Allemagne : après les viols, les coups de hache…

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Dès que j’essaie de retrouver mon humanité, un descendant de Mahomet vient me la ravir. J’aime les Syriens. Je retiens d’eux leur joie de vivre, leurs chants lyriques, leurs saveurs et leur hospitalité légendaire. J’admire leur beauté aussi, esthétique et intérieure, leur civilisation millénaire, malheureusement détruite par la secte mahométane. Palmyre en était le dernier vestige. Pourtant, après les attentats de Paris, je me suis farouchement opposée à un accueil massif des réfugiés syriens sans vérification d’identité. Manquais-je d’humanité? Non! J’avais peur. Car je savais que les soldats d’Allah se trouvaient parmi eux, qu’ils étaient majoritaires et que même s’il y avait des personnes vraisemblablement normales, le mode de vie occidental allait réveiller la bête islamiste qui sommeillent en eux et dont ils ne sont même pas conscients. Craintes confirmées quelques mois plus tard après les fameux “Willkommen Sie ” multicolores et chaleureux des Allemands, traduits même en arabe.

Quelle a été leur récompense? Des viols et des agressions sexuelles des jeunes femmes allemandes le soir du réveillon. C’était prévisible. Venus de pays où les femmes s’affublent de haillons pour ne pas réveiller la bête immonde, ils se retrouvent au milieu de belles blondes en petites tenues, respirant la femme, sans être inquiétées. Leurs hommes manquent-ils de virilité? D’appétit? D’honneur? Selon les postulats de ces loups affamés et frustrés par leur religion? Je leur réponds qu’ils devraient quitter leur septième siècle pour concevoir le civisme de leurs hôtes, leur galanterie et leurs qualités morales pour comprendre qu’on n’a pas besoin de religion pour se conduire comme un gentleman. La femme, voilà la bête noire de ces adorateurs d’Allah le misogyne. Il a fallu organiser des démonstrations et des formations de savoir vivre pour leur expliquer qu’une femme libre ne veut pas dire une pute et que même une pute, il faut demander gentiment son accord dans ce pays. Pauvres goujats dont la religion n’a pas laissé un gramme de bon sens! Ça commençait à sentir le fagot. Frau Merkel s’est arrangée pour passer sous silence les suites de l’enquête. On a même grondé les jeunes filles agressées et pour la première fois depuis la libération de la femme occidentale, on a osé demander aux femmes de se vêtir décemment pour ne pas choquer les âmes sensibles qui associent la beauté au péché! Joli progrès!

Jusqu’à quand l’Occident va-t-il faire des concessions sur ses acquis pour ne pas réveiller des pulsions bestiales nourries par une religion meurtrière ? Voilà qu’en moins de 7 mois plus tard, un autre grand merci à coups de couteau et de hache vient s’ajouter à la longue liste des actes pacifistes des descendants de Mahomet, à la différence de leurs origines, leurs cultures, et leurs doctrines. Et dire que l’Allemagne a accueilli un million de réfugiés à elle seule. Combien de Daesh majeur ou mineur s’y trouvent? Combien de Daesh est en cours de fabrication dans les entrailles de sa mère et qui viendrait agrandir la famille daeshiste ici chez nous, sur le même continent que nos enfants? De quoi manquait cet adolescent afghan en Allemagne je vous le demande? Tandis que ses compatriotes vivent sous la terreur des talibans, il jouissait du traitement humain et équitable de la démocratie allemande: une famille d’accueil, un programme d’intégration, un toit, de la nourriture à profusion, un cadre agréable, des lois le protégeant en tant que réfugié et en tant que mineur( alors qu’en Afghanistan il aurait été “bacha basi”: garçon jouet pour les pédophiles), tout un système à sa disposition afin d’en faire l’homme du futur.

A t il seulement compris la chance qu’il avait? Non, il ne l’aurait jamais compris. Car sa religion lui manquait comme elle manque à tous ces mercenaires conduits à nous sur un cheval de Troie, par nos propres dirigeants. La barbarie coule dans leurs veines depuis 14 siècles de copulation musulmane, de croisements de gènes violents et barbares. Cet Occident heureux, libre, ouvert jusqu’à accueillir en son sein des non occidentaux, a réveillé leurs pulsions de haine et de jalousie. Car si cet Occident avait raison, c’est leur religion qui aurait tort. Voilà la vérité amère que les musulmans ont du mal à digérer et qui les rend agressifs: découvrir que leur religion était une imposture. Alors, permettez-moi de manquer d’humanité pour préserver ma vie. Le prochain qui me parlerait de réfugiés musulmans, je lui mettrais mon poing dans la gueule. Qu’ils pourrissent chez eux. Je m’en fiche. Je ne veux pas mourir égorgée comme un mouton dans un train. Je veux mourir a 90 ans, dans ma maison de retraite entre mes photos, mes livres, mes plantes et mes souvenirs. Est-ce trop demander?

Leila Rabes