Allemagne : un Iranien poignarde à mort sa voisine, merci, Merkel !
Ce matin, jâai eu du mal à choisir le sujet de mon article. Que prendre ?
Landshut, Bavière. Lundi. En se relevant, une jeune femme de 19 ans, prise dâune faiblesse sur le trottoir, retrouve couché sur elle un homme bronzé qui tente de la forcer. De ses mains, il lui serrait la gorge.
Heidelberg, Bade-Wurtemberg. Pendant la nuit de samedi à dimanche, deux groupes dâArabes se jettent brutalement sur des passants. Un homme de 36 ans est transporté à lâhôpital, gravement blessé à la tête et au visage, là où ils lâavaient intentionnellement frappé
Dresde. Lundi. 6 heures du matin, une jeune femme de 28 ans traverse le Grand Jardin : un homme basané prétexte avoir besoin dâun renseignement. Tout en parlant, il lâempoigne, la jette au sol et la viole.
Jâai finalement décidé de mâattacher à lâodieux assassinat dâune autre jeune femme, elle aussi complaisante, sérieuse, sociable. Utile à la société. Appréciée de son entourage. Aimée de sa famille.
Encore (de nouveau, comme dâhabitude, un de plus, biffer la mention inutile) un meurtre à Düsseldorf : la police recherche un Iranien, Ali S. (44 ans), qui a poignardé sa voisine Anna S. (36 ans) sur le pas de sa porte.
Lundi matin, à 7h38, les voisins entendent une femme crier, hurler, pleurer, sangloter, appeler à lâaide. Un témoin raconte : « Jâai entendu âlaisse-moi, je nâai rien faitâ. » Un homme en survêtement bleu attaque Anna S. qui se retrouve au sol, il la frappe avec un couteau, puis prend la fuite. Des témoins viennent en aide à la jeune femme qui saigne abondamment, ils compriment ses blessures avec du tissu, mais elle décédera peu après à lâhôpital.
Sur le lieu du crime, un témoin identifie lâagresseur comme étant le tenancier dâun kiosque voisin. Une heure plus tard, une équipe dâintervention spéciale investit son appartement, mais il est absent, bien entendu. à cette heure, on nâa toujours pas retrouvé sa trace. Un de plus dans la nature. Un de plus que personne nâévoquera plus dâici deux à trois jours.
Dans le journal, je lis quâon se questionne sur le motif. La police est muette à ce sujet, mais dâaprès une voisine, le pervers la suivait depuis un certain temps. Comme si on avait besoin dâun motif aujourdâhui. Toujours le même. Haine, violence, agressivité, bestialité, barbarie. Toutes les caractéristiques des compagnons du coran. De nouveau équipés dâune arme.
Une voisine, âgée de 80 ans, confie à BILD : « Câétait une gentille voisine. Samedi passé, elle avait préparé un gâteau et mâen a apporté une part. Elle mâavait raconté quâun de ses voisins la harcelait. Lâhomme du kiosque. »
Voilà où nous en sommes : les gentilles jeunes femmes qui sâoccupent de leurs voisins âgés et leur consacrent du temps se font tuer par des ordures qui trouvent toujours lâindulgence de la presse et des politiciens.
Le frère du suspect, lui, a prétendu au même journal quâAli S. serait handicapé mental. Bien essayé. La police ne lâa pas confirmé. La jeune femme nâavait pas porté plainte pour harcèlement précédemment.
Aucune trace du sanguinaire qui, lundi matin, a littéralement massacré cette jeune maman en pleine rue. Et je nâen ai rien à foutre quâil soit dément ou ivre, solitaire ou impécunieux, ou que sa maman ne lui ait pas prodigué assez de câlins !
Je lis encore : la brigade criminelle tente de déchiffrer lâéventuel contexte qui entoure cet acte ! Mais tentez donc, si vous ne comprenez pas, tentez ! Je ne suis pas policier, mais je peux tout vous expliquer. Merkel a fait entrer des centaines de milliers de tueurs et de violeurs et ils sont en pleine activité. Ils Åuvrent, ils agissent, ils besognent. Encore et toujours. Câest ça, le contexte !
Combien de temps encore les médias tenteront-ils de dissimuler ces actes odieux ? Combien de temps encore laissera-t-on cette abominable diarrhée se répandre chez nous, toujours armée de couteaux ? Combien de temps encore devrons-nous trembler pour nos enfants, notre famille ? Va-t-on encore nous faire croire quâil sâagit dâun psychopathe ? Qui tenait un kiosque ? Qui se levait tous les matins pour lâouvrir ? Qui tenait la boutique en ordre, rendait la monnaie juste ? En Allemagne, en France, en Angleterre, partout ! Et combien de temps encore nos compatriotes se laisseront-ils abuser de la sorte ? Mais réveillez-vous ! On en veut à votre vie, à celle de vos enfants !
Anne Schubert