Après Adama et Théo, ils tiennent une nouvelle « victime » de la racaille policière

 

Le jeune délinquant Aboubakar Fofana, ayant tenté de se soustraire à un contrôle de police à Nantes, manquant selon les forces de l’ordre de tuer plusieurs personnes dont des enfants dans sa fuite, est donc mort de sa belle mort, au djihad, combattant les forces impures de la flicaille mécréante et islamophobe. Voilà pour les « faits ».

Mais ce qui compte dans cette affaire, n’en doutons pas, ce n’est pas la réalité, mais l’émotion. Et là, les professionnels, c’est-à-dire les journalistes, prennent leur plus belle plume pour tartiner leur papier-cul à valeur rajoutée. Après avoir autant mené campagne en faveur de Macron et des migrants, ils méritaient bien une belle romance comme celle d’Aboubakar. 

Rappelons en quelques lignes quel personnage a été éliminé par un courageux policier. Selon Valeurs actuelles, « natif de Garges-lès-Gonesse (Val d’Oise), il était déjà connu pour des faits de vol par effraction, menaces de mort, vol en bande organisée et association de malfaiteurs. Sa voiture avait en outre été signalée dans le cadre d’une enquête pour trafic de stupéfiants. Au moment de son interpellation, il était recherché pour vol en bande organisée et recel, et usurpait l’identité de Mamadou D. pour échapper à la surveillance des forces de l’ordre. »

On imagine donc qu’il a dû, durant le contrôle, se montrer tout à fait coopératif, présenter patte blanche (noire, pardon), décliner sa véritable identité, avouer ses faits et gestes les moins défendables, battre sa coulpe en rythme et promettre de reverser l’ensemble de son argent sale planqué entre deux murs à la section locale des Restos du cœur.

Car, d’après ses proches, Aboubakar Fofana, c’était « « une crème ». Ce type « hyper gentil » et « très intelligent » était venu vivre chez sa tante il y a deux ans, en provenance de la région parisienne. « C’était quelqu’un qui mettait l’ambiance (cela reste le cas même après sa mort, ndlr), super-respectueux », raconte Saïd En Emer, 32 ans, le président du club de foot du quartier où jouait Aboubakar. « Il rigolait avec tout le monde, était super souriant… Moi, je le considérais comme mon petit frère, confirme Christian, 36 ans, un « grand » du quartier. C’était quelqu’un de non-violent, respectable et respectueux de tout le monde… Il n’était pas dans les conflits de quartier : il était plus dans la médiation qu’autre chose.» 

 Source : http://www.liberation.fr/france/2018/07/04/homme-tue-par-la-police-a-nantes-on-a-l-impression-qu-il-y-a-une-envie-d-etouffer-toute-voix-discord_1664157?xtor=rss-450

 C’est donc une nouvelle victime de la violence des hommes en uniforme, pour nos thuriféraires de la très riche immigration. Ainsi, BFM Tv veut nous faire croire qu’ils disposent d’une vidéo exclusive, sur laquelle on peut assister à quelques secondes du contrôle. Visionnage d’expert à l’appui, « on ne voit pas de policiers derrière le véhicule, ni d’enfants présents sur les lieux contrairement au rapport d’intervention de la police, qui évoque quatre enfants dont deux qui auraient été sauvés par un fonctionnaire lorsque le jeune homme a tenté de prendre la fuite en marche arrière. »

 Source :https://rmc.bfmtv.com/emission/jeune-homme-tue-a-nantes-ces-videos-d-habitants-qui-contredisent-la-version-des-policiers-1483658.html

 Pas de chance, une autre vidéo, qui circule bien, celle-là, montre clairement que des enfants rodaient autour des fourgons de police, juste à côté de l’endroit où les fonctionnaires ont effectué le contrôle.

 https://www.cnews.fr/videos/france/2018-07-06/jeune-tue-nantes-les-images-du-controle-didentite-qui-mal-tourne-787579

 Mais on a déjà constaté, après le « K Théo », que les images ne contiennent pas la réalité, mais que cette dernière se situe uniquement en islam, idéologie dont notre « crème » renversée pouvait se revendiquer sans coup férir.

 Et qui dit islam, dit djihad, donc tentative, par tous les moyens, de conquérir les territoires non encore soumis à la secte du prophète pédophile et à son armée de zombies. De là, les attaques qui surviennent depuis trois jours à Nantes ne souffrent aucunement d’un manque de justification.

Les pouvoirs publics ont depuis longtemps choisi leur camp, celui de la dhimmitude. Une nouvelle preuve a été apportée par la réaction du maire de Nantes, Johanna Rolland. Sa première pensée va pour ce « jeune ».

 Le policier, qui a tenté de sauver la vie de ses collègues et d’enfant, alors qu’il avait été mis au charbon par ces mêmes politiques dans une cité où tout règne sauf l’ordre républicain, qui est maintenant la cible de menaces de mort et a vu sa photo diffusée sur les réseaux sociaux, qui se trouve dans la considération des élites quelque part entre le pestiféré et le lépreux, pourra bien cuver sa nuit difficile en garde-à-vue. Quel que soit le résultat de l’enquête, il est, comme dans le « K Théo », irrémédiablement coupable.

 Le maire de Nantes n’a en revanche pas souhaité commenter l’incendie de sa voiture personnelle lors des émeutes. Ces jeunes sont pleins de bonne volonté, il ne faudrait pas les contrarier dans leurs tentatives de s’exprimer comme tout bon citoyen. D’ailleurs, ils ont sans doute fait une erreur et voulaient probablement viser la voiture d’un membre du Front national.

Le policier a modifié sa version après sa garde-à-vue, arguant que le coup de feu était parti par accident et non dans le cadre de la légitime défense. L’idée selon laquelle Aboubakar pût tout de même être dangereux durant sa fuite, que le policier pût comme tout être humain commettre une erreur dans une telle situation de stress et de danger ne changera pas la litanie de nos merdias : c’est clairement une bavure de la sale flicaille, et un argument pour prétendre que les pires racailles dans les banlieues portent un uniforme bleu. Très pratique, après le flop de l’affaire Théo et les inquiétudes grandissantes du peuple quant à l’invasion migratoire africano-musulmane.

 La roue de l’Histoire écrase toujours, sur son passage, quelques martyrs.

Lou Mantely