Après avoir combattu l’apartheid, les Noirs ne veulent plus des Blancs
Ils sont tout de même curieux, les Africains et leurs descendants, de même que les autres communautés qui se prétendent minoritaires comme s’il s’agissait d’un sésame qui ouvrait à tous les droits.
Ils ont piaillé des décennies contre l’apartheid en Rhodésie devenue Afrique du Sud, ils ont piaillé aux US avec Rosa Parks pour avoir le droit de monter dans le bus des Blancs, ils ont soutenu Mandela qui luttait contre la séparation des races, et maintenant ils mettent en place, tout seuls comme des grands, l’apartheid ségrégationniste les séparant des Blancs qu’ils ont tant honnis :
« Le Théâtre Royal Stratford East, dans l’est de Londres, a déclaré que les visiteurs blancs ne devraient pas venir assister à une représentation de Tambo & Bones qui aura lieu le 5 juillet. »
Les organisateurs ont déclaré qu’ils organisaient cet événement unique “Black Out” « afin de créer un espace “sûr et privé” pour un “public s’identifiant entièrement et uniquement comme noir” afin d’explorer les questions liées à la race ».
https://www.fdesouche.com/2023/05/21/londres-wokisme-une-piece-de-theatre-comique-sur-les-questions-de-race-sera-interdite-aux-blancs-afin-de-liberer-le-public-du-regard-blanc/
Cela donne du grain à moudre aux ségrégationnistes que certains nomment suprémacistes blancs qui pensent que seule la séparation complète dans l’espace public entre Blancs et autres couleurs minoritaires est le réel bien-vivre ensemble viable.
Il faut l’admettre, ce dont certains des suprémaciste blancs rêvaient depuis le biberon, les ségrégationnistes des minorités dont la noire l’on fait : comme le clamait Obama « Yes, we can », oui le Noir peut remettre en vigueur le ségrégationnisme, agissant comme un être doué de raison qui a reluqué où se trouvait son intérêt.
On peut y voir une bonne nouvelle, comme la station de métro éponyme : Blancs et autres minorités qui ne se mélangent pas se retrouvent d’accord pour un avènement de l’apartheid en l’Europe : si le maire de St-Brevin avait obtenu un consensus aussi unanime de ses administrés pour son CADA, il serait encore à la mairie aujourd’hui.
Il va donc falloir organiser l’espace public pour la fonction, soit des rues pour Noirs et d’autres pour Blancs, des trottoirs pour Noirs et d’autres pour d’autres, des bars, théâtres, cinémas, bus, métros, RER, trains pour Noirs et d’autres pour Blancs.
Mandela a-t-il une conscience dans le lieu où il est ?
Il doit bien se maudire de s’être cogné des décennies de taule pour l’égalité raciale et regarder les Noirs en revenir à l’apartheid d’eux-mêmes, là où il les avait pris.
S’il avait mené sa barque peinardement en cueilleur de coton dans un champ propriété de Blancs, il n’aurait pas connu tant d’emmerdes dans sa vie, et il doit abominer les Noirs de 2023 qui tournent aigres dans le creuset du monde.
Pauvre Mandela, il vient de comprendre que l’on n’est jamais si bien trahi que par les siens.
On peut y discerner en contrepartie des vérités moins “Bonne Nouvelle” que celle du métro, celles que la doxa générale refuse de voir, par exemple que le Noir est raciste, qu’en réalité toutes les minorités ont le racisme latent collé à leur peau sous couvert du vocable dénommé « ressentiment ».
Quand je dis toutes les minorités, je dis faux : il y a une minorité qui se réjouit de tout, celle qui est au pouvoir politique et économique mondial et qui tire ses marrons du feu de tout cet amalgame de populations, travailleurs-consommateurs sont les deux mamelles dans lesquelles cette minorité va puiser sa richesse.
Or, faut-il le rappeler, c’est cette minorité qui crée la doxa du monde pour son profit avec la complicité de tous les médias de propagande et ses pasdarans idéologiques comme les magistratures ou les polices.
Vous l’avez compris, les minoritaires complotistes, c’est-à-dire comploteurs contre le genre humain qu’ils ont mis sous sujétion pour en mieux faire suer les richesses, ont organisé la morale mondiale et les textes fondamentaux égalitaires qui la sous-tendent afin de mieux bâillonner le droit naturel des habitants de la planète.
Or le ségrégationnisme est bien l’un de ces droits naturels, maintenant plébiscité tant par les Blancs suprémacistes que par les Noirs wokes : « chassez le naturel, il revient au galop » se lamenterait dans un élan d’exaspération un de nos droits-de-l’hommistes, jouet innocent, « innocent » tout court dans l’acception la moins valorisante du terme diront certains, qui aurait lutté toute sa vie contre ledit penchant naturel justement consubstantiel à l’être humain depuis au moins le temps des grottes.
Finalement on aurait tronqué le texte fondamental des droits de l’homme, il y aurait un articulet qui a été effacé de la mémoire de nos pères : lesdits droits ne s’appliquent qu’entre gens de même race, et ne sont pas viables dans l’inter-racialité souffrante de s’insupporter.
Les musulmans ne s’y sont pas trompés d’ailleurs, ils sont moins abêtis visiblement que le reste du monde, ce reste que la minorité complotiste empêche de s’éveiller auxdits droits naturels :
ils ont proclamé leurs propres droits de l’homme par les annonces du Caire et de Decca ; c’est bien le signe, voire la preuve, qu’un texte que l’on voudrait universel contredit la nature, ce que nous dit aussi le woke noir ou le woke blanc qui a versé dans une inégalité où c’est le Noir qui tient le fouet et est propriétaire du champ de coton dans lequel marne le Blanc : les droits des hommes ne valent que pour une communauté donnée, qui peut certes comprendre des Noirs mais alors non wokes et qui auraient épousé l’égalité française sans avoir la volonté d’y substituer des valeurs autres et qui au surplus ne se sentiraient pas souffrants de cet état égalitaire comme, nous allons le voir, le soulignait un Président US pour pousser les Noirs vers leur liberté ailleurs que dans le pays dont il était le dirigeant.
Ainsi, de loin en loin au travers des siècles, on peut repérer des défenseurs des droits naturels sous la forme d’un Président des USA qui n’a pourtant jamais été pris pour un suprémaciste blanc forcené.
Le Président Lincoln morigénait en 1862 les Noirs de son pays pour les pousser à leur liberté naturelle dans un discours que la doxa passe sous silence, de peur que les peuples s’affranchissent des fers du multiculturalisme qu’on leur impose contre leur gré :
” Pourquoi les gens de votre race devraient-ils être colonisés, et où ? Pourquoi devraient-ils quitter ce pays ? C’est peut-être la première question à examiner. Vous et nous sommes des races différentes. Nous avons entre nous une différence plus grande qu’entre presque toutes les deux autres races. Que ce soit bien ou mal, je n’ai pas besoin de discuter, mais cette différence physique est un grand désavantage pour nous deux, car je pense que votre race souffre beaucoup, beaucoup d’entre eux en vivant parmi nous, tandis que la nôtre souffre de votre présence. En un mot, nous souffrons de chaque côté. Si cela est admis, cela fournit au moins une raison pour laquelle nous devrions être séparés.”
Abraham Lincoln.
https://atlantico.fr/article/decryptage/au-coeur-de-la-maison-blanche–le-jour-ou-abraham-lincoln-a-voulu-exiler-les-noirs-des-etats-unis-
https://newsone.com/2677362/abraham-lincoln-blacks-to-africa/
Vous le voyez clairement maintenant, à la lecture de ces explications, le pacte de Marrakech est le dernier fer concocté par les minoritaires qui contrôlent ou tirent profit via les multinationales, nous nommons la caste Davos qui comprendra aussi bien des capitalistes occidentaux, russes ou chinois : comme la Umma musulmane, cette caste est transnationale, et leurs capitaux n’ont aucune nationalité sinon celle de l’exploitation et du commerce.
Tirer profit de 400 millions d’Européens blancs ne suffisait plus à leur pelote, c’est de 2 ou 3 milliards de migrants travailleurs-consommateurs sur ce continent pour alimenter le tiroir-caisse dont ils ont réclamé des pouvoirs politiques mondiaux, dont l’ONU et les organes de Bruxelles, l’importation submersive, pouvoirs politiques qui y ont répondu par les pactes migratoires, au mépris de toute écologie quand on voit le niveau alarmant des nappes phréatiques dans toute la France, et du droit naturel.
On peut facilement conclure, la remigration est bien un droit naturel dont la minorité élitiste qui fabrique la doxa avec ses bataillons de mollahs de la magistrature ne veut pas entendre parler pour une seule raison : ce serait l’effondrement de son chiffre d’affaires.
Madame Rokhaya Diallo travaille pour des médias US plus d’un siècle après l’appel de Lincoln, elle n’a pas encore compris le sens de l’accord gagnant-gagnant que celui-ci propose quand il constate que « que votre race souffre beaucoup, beaucoup d’entre eux en vivant parmi nous, tandis que la nôtre souffre de votre présence. En un mot, nous souffrons de chaque côté. Si cela est admis, cela fournit au moins une raison pour laquelle nous devrions être séparés.”
Pourtant madame Diallo se prétend woke-décoloniale, comme notre Pap Ndiaye des ministères, et a honte d‘être française.
Certains wokes sont à mi-chemin de la compréhension, ils réhabilitent l’apartheid sur le continent européen, on l’a vu plus haut pour la Grande-Bretagne et les exemples abondent maintenant en France jusque dans toutes les universités, mais n’osent pas entamer la deuxième partie du chemin : le retour aux sources, aux terres natales des ancêtres, il n’y a que ça de vrai, demandez à un Breton ou à un Basque si, éloigné du pays, la vie ne lui pèse pas. C’est donc aux Blancs d’oser pour ceux qui sont trop timides ou pusillanimes dans leur quête de bonheur, il faut les aider à remigrer.
Le droit naturel du bien-vivre ensemble, pour reprendre Lincoln, c’est quand les communautés ne se souffrent pas mutuellement.
L’exact contraire des wokes, décolonialistes indigénistes, Mélanchon en tête qui n’aime que les créoles sans les Blancs et autres minoritaires perturbateurs qui souffrent d’être ici tout en faisant souffrir dans le même temps macronien tout le monde de leur présence.
L’exact contraire du matériel commercial d’importation quand on balaie les faits divers européens, plus un endroit “sécure” depuis les vagues submersives de masse, tout le monde souffre, « la victime s’est vue mourir » dit l’avocat du plaignant blanc au président du tribunal, « l’agresseur qui n’a pas les codes aussi » répond l’avocat de la défense du coloré, peut-on continuer longtemps dans cette souffrance commune à un vivre-ensemble fictif alors que l’on pourrait si facilement vivre chacun heureux séparés dans le réel ?
Le droit naturel c’est donc de les envoyer ailleurs pour qu’on en soit définitivement séparés, afin que personne ne souffre plus jamais.
Lincoln avait raison, Obama nous assène que « yes we can », Mandela maudit les Noirs wokes car il sent qu’il a gâché sa vie pour rien, les suprémacistes blancs en rêvent mais n’arrivent pas à le concrétiser, tout le monde est pourtant d’accord pour séparer ceux qui souffrent de ne pas se souffrir, qu’attendons-nous pour être heureux comme dit la chanson ?
Jean d’Acre