Après la victoire du Bataclan, poursuivre l’offensive contre l’Islam

 

Après la première victoire du Bataclan, il faut amplifier notre offensive en se fixant un nouvel objectif, au lieu de nous endormir dans les délices politiciens des élections européennes.

Elles changeront peu de choses en France comme le font prévoir les sondages actuels et si les médias en parlent autant, c’est pour camoufler avec la complicité de tous les partis  la gravité de la situation. La guerre ethnique latente et la crise financière qui pointe de nouveau son nez peuvent plonger à tout moment le pays dans le chaos. Tout le monde sait que Macron sera incapable d’y faire face d’autant plus que de sérieux doutes commencent à peser sur sa santé mentale. Dans ce contexte, les calculs politiciens et les processus électoraux appartiennent déjà à un monde en sursis.

Le rôle des patriotes est de se préparer à ces événements. En cas de crise grave, les partis et les médias disparaîtront et ce sont les forces vives (et notamment le patronat national) qui ramasseront le pouvoir. Nos organisations doivent accroître leur influence et leur visibilité  afin de participer au Comité de salut public qui entreprendra la reconquête de la France. Il faut donc poursuivre notre offensive en choisissant un nouveau thème  susceptible de mobiliser fortement l’opinion.

Il pourrait s’agir de la multiplication des attaques au couteau ou à la voiture-bélier qui visent au hasard nos compatriotes, au cri d’Allahou akbar. Divers sites permettent de mesurer l’ampleur de ce phénomène qui s’est accéléré au cours des derniers mois. Le pouvoir et les médias le dissimulent le plus possible, ce qui signifie qu’il constitue le maillon faible de leur propagande. C’est donc là que nous devons frapper en concentrant nos moyens.

Il conviendrait de prévoir une manifestation (et non une marche blanche !) en s’inspirant des actions menées en Allemagne orientale, lorsqu’on aura atteint par exemple le centième égorgement islamiste. L’idéal serait de prendre pendant quelques heures le contrôle d’un quartier sensible, de faire basculer de notre côté les forces de l’ordre et d’imposer une douloureuse humiliation à nos adversaires.

La peur changerait de camp et les Français se tourneraient alors vers nous d’une manière plus massive et plus résolue.

Gérard Pince

Membre du CNRE

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