Après Larcher, Martine Szuba rêve de réinstituer les tickets de rationnement

Les dégénérés ne prennent pas de vacances. Les dégénérés pensent. Les dégénérés cherchent comment faire expier aux riches, aux nantis, aux Français moyens qui mangent à leur faim, aux Blancs… le fait qu’ils travaillent et nourrissent leurs enfants, le fait qu’ils chauffent leurs maisons, qu’ils prennent des bains, qu’ils partent en vacances, qu’ils utilisent leur voiture, qu’ils ont une voiture, le fait qu’ils sont blancs, le fait qu’ils vivent en France…

Hier c’était l’éléphantesque Larcher qui voulait nous interdire de manger.

http://resistancerepublicaine.eu/2019/07/30/pierre-cassen-larcher-150-kg-accuse-les-francais-de-trop-manger-video/

Aujourd’hui c’est le prétendu chercheur Mathilde Szuba – encore un produit du laboratoire de déséquilibrés qu’est devenu Sciences Po – qui veut nous piquer tout ce qu’elle estime superflu dans nos caddies pour le redistribuer autoritairement aux mendiants en tous genres (de préférence ne parlant pas français ?) et pour nous obliger à vivre en coupe réglée dans le monde totalitaire dont elle rêve.

Enfin, non, c’est plus subtil que cela. Elle veut mettre les riches Français moyens en coupe réglée. Ils gagnent trop. Ils mangent trop. Ils se chauffent trop. Ils se lavent trop. C’est le programme de Chavez-Mélenchon sous couvert d’écologie et de justice sociale. Grandiose. Voir l’article de Libé ci-dessous dans l’encadré gris.

Dès demain, comme en 40, les boulangers obligés de vendre le pain de la veille… qui, parce que moins bon, conduira les Français à en manger moins ?

On va en baver, mais qu’est-ce qu’on va se marrer…

Oui, je sais, on va en baver, on n’est pas au bout, et on va verser des larmes de sang, mais admirez le paradoxe.

Pour l’heure, les gauchos sont les alliés objectifs des mondialistes qui œuvrent à la… surconsommation. Tout est fait pour que les multinationales s’en mettent chaque jour davantage dans les fouilles, ils en sont même à organiser des déplacements de population en Europe pour multiplier par 2 ou plus le nombre de consommateurs de smartphone, de coca, de jeans, de voitures etc.

Tout cela, sans rire, sur fond de lutte pour le climat…

Bref, ils ont supprimé nos industries et nos emplois, ils ont fait crever nos petits commerces, ils ont vendu nos terres arables aux Chinois et nos bijoux de famille au Qatar pour les remplacer par des mosquées et des culs levés dans les entreprises et les aéroports… et pour nous obliger à consommer chinois, canadien, australien…

En même temps, les gauchistes qui les ont portés au pouvoir et qui forment leurs milices armées mènent campagne pour le covoiturage, pour l’interdiction des voyages en avion, voire pour l’interdiction des douches (vous n’avez pas repéré, comme moi, les gauchos dans les magasins à leur odeur ? ils puent, ils ne se lavent plus…).

À terme… si les campagnes des gauchistes réussissent, on achètera beaucoup moins de voitures à messieurs Ford et Renault, non ? Les aéroports disparaîtront peu à peu (vont être contents, les acheteurs des Aéroports de Paris), et les Français (entre autres) se retrouveront dans l’état de la France de 1944, obligés de se nourrir de rutabagas (espèce des gros navets destinés à la nourriture des animaux) et de boire l’amère chicorée en guise de café, ou, mieux encore, du café à base de glands… Va pas être content Jacques Vabre…

On me dira que tout cela est préparé depuis quelque temps. La mode du végan et du “naturel” conduit nombre de nos concitoyens, sous couvert de retrouver une santé perdue dans les Mac do à pratiquer sans le savoir… ce qui se faisait dans les cuisines françaises entre 1940 et 1945 :

Les livres de cuisine s’adaptent à ces nouvelles conditions. Les Français apprennent à réaliser ‘”des potages avec de l’ortie blanche, du mouron, de la luzerne’”. De nombreux livres paraissent pour aider les ménagères à cuisiner différemment. En 1940, H.P.Pellaprat signe 340 recettes de cuisine pour les restrictions alimentaires, chez Flammarion. La même année, Édouard de Pomiane, médecin et ancien chef de service à l’Institut Pasteur, écrit Cuisine et restriction indiquant, en plus d’idées recettes, les aliments à privilégier en raison des calories qu’ils apportent. Il donne également quelques astuces pour ne rien perdre : récupérer les croûtes de pain pour en faire du pain perdu ou les écraser une fois sèches pour les transformer en chapelure :‘”elle servira à faire de la pâtisserie ou des potages’”.

Les journaux et les emballages des produits alimentaires proposent également des recettes adaptées. Une recette de Maïzena propose de préparer une omelette bien épaisse avec un seul œuf, un peu de lait et du saindoux auquel est ajoutée une grosse cuillère de maïzena. Encore faut-il trouver du lait… Des recettes s’échangent durant l’attente, souvent très longue, devant l’épicerie ou la boucherie. On s’enquiert de la préparation du ‘”pâté sans viande’” dans laquelle un cube de “Viandox” apporte, mélangé à la farine, à l’œuf et à l’eau, le goût du bœuf, si rare en ville.

https://www.dielette.fr/2017/03/20/trouver-de-quoi-manger-sous-loccupation-de-1940-1945/

Quid encore de ces jardins familiaux qui fleurissent actuellement sur les toits de Paris et dont un architecte de compétition rêve de couvrir Notre-Dame ?

http://resistancerepublicaine.eu/2019/05/07/une-serre-pour-les-personnes-en-difficulte-sur-le-toit-de-notre-dame-cest-tres-tendance/

Durant la guerre, les bombardements ennemis sur les axes de circulation routière (ponts) et ferroviaires (voies ferrées et gares) ainsi que la pénurie de carburants rendent difficile voire impossible l’acheminement des denrées entre régions et l’approvisionnement des villes. Les problèmes de ravitaillement s’intensifient à quelques semaines du débarquement en Normandie, quand les sabotages se multiplient. Dans les grandes villes, les balcons accueillent désormais poulaillers ou clapiers à lapins. Les carottes et les poireaux remplacent les géraniums dans les bacs à fleurs. À Paris, une partie des jardins des Tuileries, se transforme en potager collectif, tout comme l’hippodrome de Saint-Cloud et la cour du Louvre. En province, les grandes étendues de Sologne et de la Crau sont mises en culture. Le retour à la terre est préconisé.

https://www.dielette.fr/2017/03/20/trouver-de-quoi-manger-sous-loccupation-de-1940-1945/

Gageons que les Larcher et autres Szuba ont prévu de priver les Français d’origine, trop bien nourris, des aliments authentiques et savoureux, nourrissant bien, pour les réserver aux nouveaux occupants comme ils étaient réservés aux nazis.

La France doit donc apprendre à vivre en autarcie. Ce pays agricole et viticole devient le « garde-manger » du Reich. Les prélèvements de l’occupant atteignent 15 à 20 % de la production agricole française. Les restrictions alimentaires vont s’intensifier jusqu’à la fin de la guerre, et même au-delà.

Les topinambours et les rutabagas se substituent à la pomme de terre, plus énergique et réservée en priorité aux soldats allemands.

Entre juin 1940 et juin 1944, l’armée allemande a emporté 2 845 000 tonnes de blé (soit la moitié d’une récolte annuelle) et presque autant d’avoine, 845 000 tonnes de viandes (soit plus que la consommation des 40 millions de Français pendant l’année 1941), 711 000 tonnes de pommes de terre, 220 millions d’œufs…

Les Français, qui espéraient que les problèmes de ravitaillement et les restrictions alimentaires disparaîtraient avec le dernier occupant, ont dû utiliser leurs tickets de rationnement jusqu’en 1949. Le premier et dernier aliment rationné sera le pain, si cher aux Français.

Les problèmes de ravitaillement se prolongeront, quant à eux, jusqu’en 1952…

Grâce au rationnement, les Français avaient accueilli avec gratitude l’aide américaine, offerte à condition que soient exportés en même temps les films américains véhiculant la société de consommation et le mode de vie américain… menant à la surconsommation.

La boucle est bouclée.

Je ne sais pas comment les différents intérêts qui se rencontraient jusqu’à présent vont pouvoir continuer à jouer ensemble contre les peuples… ils sont incompatibles.

On va se marrer, je vous dis. Ça va exploser de partout. Forcément.

Oui, je sais que la perspective de mourir ou de faim ou égorgé par un djihadiste déguisé en migrant n’est pas géniale, mais plus ils en font plus ils contribuent à ce que tout cela explose.

Mathilde Szuba : « Il faut réguler politiquement l’ensemble de la consommation à des fins de justice »

L’enseignante-chercheuse Mathilde Szuba défend l’idée d’imposer le rationnement pour organiser le partage et protéger les plus fragiles.

Mathilde Szuba est maître de conférences en sciences politiques à Sciences Po Lille et membre de l’institut Momentum, laboratoire d’idées français consacré aux enjeux de l’Anthropocène.

Vous travaillez sur la notion de rationnement. De quoi s’agit-il ?

C’est une réponse collective à la pénurie pour protéger les plus fragiles en organisant le partage, quand un produit de première nécessité vient à manquer. Rationner, cela veut dire empêcher certains de surconsommer pour s’assurer que tout le monde puisse en avoir un minimum. Ce n’est pas punir les gens en les privant, c’est s’assurer que chacun puisse avoir une quantité minimale d’un produit nécessaire. Pour cela, il faut forcément réguler l’ensemble de la consommation et la surconsommation. C’est une intervention du politique, donc du collectif, dans l’économie, à des fins de justice.

Vous auriez un exemple de rationnement mis en place

Dans la mémoire collective française, les histoires de rationnement les plus vives remontent à la Seconde Guerre mondiale. Ce fut une expérience très dure de privations pour la plupart, vécue comme injuste puisque la pénurie alimentaire était liée certes à l’effort de guerre qui concentrait les forces productives, mais aussi aux réquisitions organisées au profit de l’Allemagne. À la même période cependant, le rationnement est vécu en Grande-Bretagne comme un moyen de s’organiser collectivement pour faire face à l’ennemi allemand, on parle de « pulling together », l’idée de se serrer les coudes. Plus récemment, on en a un autre exemple au moment du choc pétrolier de 1973 avec le rationnement du pétrole aux Pays-Bas.

À Cuba, il y a un rationnement depuis les années 60 pour certains produits alimentaires de base : le sucre, le riz, les haricots et la viande peuvent s’acheter dans un magasin d’État avec un carnet qui donne droit à quelques kilos de ces produits à tarif subventionné. Pour en acheter plus, il faut aller sur le marché libre, où ce sera plus cher. Ce système permet de s’assurer que chacun a accès à un minimum de produits de base à des tarifs accessibles. Encore plus récemment, dans les années 90, des chercheurs britanniques ont conçu l’idée d’une carte carbone : chacun aurait une quantité limitée de crédits d’énergie pour ses pleins d’essence, ses billets d’avion, l’énergie de sa maison… Cela a été envisagé sérieusement au ministère de l’Environnement dans les années 2000, sous les gouvernements Blair et Brown. Il y a eu plusieurs études de faisabilité, mais la crise de 2008 a mis fin aux discussions.

On peut imaginer que de tels scénarios soient mis en place à l’avenir ?

Je m’intéresse à cette question car je considère qu’on va au-devant de situations de crises dans lesquelles on sera certainement très intéressés par ces possibilités d’organisation du partage. Que ce soit parce qu’on manquera de quelque chose, comme d’eau ou d’énergie, ou pour organiser volontairement l’autolimitation des consommations. En France, nous nous sommes engagés à diviser par quatre nos émissions de gaz à effet de serre, voire à atteindre la neutralité carbone d’ici à 2050. Bien sûr, le secteur économique est responsable de la plupart des émissions, mais un effort de réduction aussi conséquent ne pourra pas se faire sans que la population y contribue aussi. Alors comment va-t-on s’y prendre ?

Les politiques publiques doivent-elles s’organiser en fonction de la finitude des ressources ?

Je n’ai pas l’impression qu’il y ait des signes pour aller dans cette direction actuellement mais d’un point de vue écologique, ce serait essentiel. Il faudrait inscrire la finitude des ressources comme architecture de notre fonctionnement économique et social. On peut donc choisir de limiter l’utilisation des ressources pour anticiper et éviter les crises. Mais il est plus probable que la prochaine fois qu’on fera du rationnement, ce sera en catastrophe, en réaction à dans une crise énorme et pressante, et reconnue comme telle.

Vous dites qu’il faut « politiser l’enjeu du partage »…

La crise écologique est un problème de surconsommation des sociétés industrielles. Dans ce contexte, elle doit conduire à un partage des efforts d’autolimitation et de sobriété. On a bien compris la précarité énergétique, l’injustice que cela représente pour les plus fragiles. Mais les enjeux de justice, c’est aussi voir de l’autre côté du gradient ceux qui surconsomment de manière incontrôlée et font du tort à l’ensemble de la société. Or l’indicateur le plus prédictif des émissions de gaz à effet de serre d’une personne, c’est son revenu : plus les gens gagnent de l’argent, plus ils émettent des gaz à effet de serre. Politiser le partage, c’est se rendre compte que les politiques publiques ne doivent pas seulement protéger les plus faibles, mais aussi faire en sorte que les gros consommateurs soient limités dans leur consommation, car ce sont des dangers publics.

Ces limites imposées réveillent très vite le spectre d’une « dictature verte »…

La « dictature verte » est vraiment un fantasme. L’écologie est une des idéologies les plus attachées à la démocratie et ces décisions sont impossibles à prendre sans le consentement de la population. Par ailleurs, contrainte ne veut pas dire dictature : on accepte sans problème certaines contraintes, comme l’instruction obligatoire jusqu’à 16 ans, car on estime que c’est légitime pour le bien de la société. Il serait temps qu’on perçoive le climat comme un enjeu d’intérêt général et même de survie. Pendant une courte période de l’histoire, on a pris l’habitude d’être les rois du pétrole, donc il est certain qu’on va devoir passer par une période de sevrage.

Aurélie Delmas

https://www.liberation.fr/france/2019/07/29/mathilde-szuba-il-faut-reguler-politiquement-l-ensemble-de-la-consommation-a-des-fins-de-justice_1742756

Christine Tasin

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31 Commentaires

  1. Amusant ! J’évoquais avant hier le retour aux tickets de rationnement ! Logique !
    Dans un Monde surpeuplé, hanté par la consommation, il faut “réguler” !
    Attendre au comptoir avec sa feuille de paie pour payer le “juste prix” !

  2. J’arrive même plus à suivre moi ! On descend tellement vite et tellement profond que j’ai pas le temps de réaliser… D’autant qu’absolument personne ne réagit ! D’autant que beaucoup beaucoup de gens croient encore à notre bienveillant gouvernement et à ses inepties, ses folies ! Je suis désorienté, j’ai l’impression de plus en plus souvent d’être dans un rêve tellement tout est énorme. Pourtant c’est bien la réalité. “Réveillez-vous” sera bientôt à prendre au premier degré.

  3. Elle sort de quel hôpital psychiatrique ? Suit-elle toujours son traitement ? On peut être barge mais à ce point là c’est dramatique !

  4. Martine Szuba, soit c’est une folle ou soit elle veut une guerre mondiale ou/et civile

  5. Nombreux sont ceux qui ont rejoint la peste verte, la gauche caviar, la fausse droite. C’est inimaginable le degré de nuisance de certains qui ont perdu le sens des réalités. Ceux qui sont proches du pouvoir devraient être au SMIC et vivre comme les plus pauvres. Etre au service de la Nation ne devrait enrichir personne. Alors où en est la fin des privilèges et des avantages acquis qui ruinent notre pays avec une dette abyssale ?

  6. L’institut Momentum dont le directeur est…Yves Cochet. Comme leur monde est petit…
    Alors, si l’on suit leur logique, on en revient aux magasins d’état qui ont disparus des pays de l’Est sous le joug du communisme et du trotskisme dès la chute du mur de Berlin en 1989.
    Et eux, ces ordures, croyez-vous qu’elles vont se priver ? Certainement pas !

  7. Décision qui pourrait être prise par le gruppenführer SS (scélérat sodomite) metequophile Hermanuel von macrondelle , sur proposition de l’ untersturmführer SS (salope servile) Szuba .
    Cette “scientifique” ‘sic) popoliste folle dingue mentionne – t – elle la limitation de la natalité des allogènes (là où il y a de l’ allogène , il n’ y a pas de plaisir) dont le lapinisme est notoire ? Que nenni .
    Elle serait capable comme le climatocrétin Cochet de proposer cette mesure malthusienne de bon sens aux seuls Francais .

  8. “…plus les gens gagnent de l’argent, plus ils émettent des gaz à effet de serre.”
    Question : le caviar et le homard donnent-ils plus de flatulences que le rutabaga réservé pour nos pauvres?

  9. voilà on vas gagner des sous !! le marché noir est de retour bientot !! moi dans mon morvan on tue le cochon a l’ancienne (cout 170€ le demi cochon) , on fait notre beurre, le jardin est là, dans la cave du pinard,de la gnole,des conserves, mes oeufs proviennent de mes poules !! janvier janvier janvier est de retour

    • Salut morvandiaux moi aussi et vive la bonne bouffe dans le MORVAN une connasse de plus avec MACRON

  10. Cette pouf parle de rationnement, par contre au niveau connerie elle n’a pas été rationnée, elle a été servie à la louche.

  11. Elle a bien raison ! Je propose donc qu’elle continue ses recherches avec un SMIC pour montrer l’exemple.

  12. On vit chez les fous…..
    Et à chaque élection , les gens ( moutons ) en redemandent……

  13. voila un article de pure réinformation! (qui donc justifie mon bonnement à RL … et à TVlibertés, dreuz.info, le salon beige)

  14. les rois du pétrole ce sont les saoudiens pas nous et depuis 1973 ils le font bien savoir. Il y en a marre des gens qui nous racontent la messe . . Nous n’avons pas besoin de leçons nous avons été assez raisonnables comme ça. Les français ont fait un enfant 1/2 en moyenne. Cette personne va nous dire que la surpopulation n’a pas d’incidence sur les ressources,c’est du foutage de gueule! Si les autres pays en avait fait autant nous ne serions pas à nous poser ces questions . Limitons les naissances y compris en France , on ne paiera pas encore, en plus de toutes les allocs pour les pondeuses patentées !!

  15. Pourquoi reproduire le délires débiles d’attardés mentaux?

  16. le problème ce n’est pas le finitude des ressources, mais l’infinitude de la connerie.

    • Einstein disait que seule la bêtise humaine donne la notion de l’infini.

    • Le problème est la limitatude des ressources terrestres face à l’ infinitude de la croissance démographique humaine !

  17. Très intéressant… c’est aussi la copine de C. nouvian ?
    En fait, c’est sur la ligne de Ric Hochet qui veut que les blancos arrêtent de faire des drôles pour accueillir encore plus de CPF, les gentils migrons de micron, faire la même chose pour la bouffe me semble cohérent.
    Mais il faut aller jusqu’au bout, restriction sur eau, électricité, gaz, tout combustible fossile, sans oublier les produits d’hygiène.
    Seuls les enfants de migroïdes auront droit aux couches jetables, pas les autres car c’est pas écolo pour les blancos, c’est seulement écolo pour les n… MAIS QUE VA FAIRE PAMPERS ?

  18. Il suffit de voir la tête de cette dame pour savoir que c’est une bonne gauchiste : pas de maquillage, pas de boucles d’oreilles, pas de bijoux (même en toc).

    Exactement le même style qu’Arlette Laguiller, la sempiternelle candidate trotskyste à la présidentielle pour Lutte Ouvrière.

    • Je viens de voir passer une Ferrari flambant neuve,rouge,comme il se doit.C’est beau,une Ferrari!Et de me dire :”heureusement que je n’ai pas de Ferrari,moi!Parce qu’a cinquante litres aux cent,il ferait comment,le climat,pour pas se réchauffer?Et le bébé,dans sa poussette,pour pas tousser?Je me trouve héroïquement con,à cet instant,sauf que j’ai pas les moyens de me payer une Twingo!

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