Après NKM, la députée Rossi agressée : une honte ou un juste retour des choses ?

La classe politique et les journaleux sont en émoi. Après NKM, qui avait fait un malaise dans des circonstances controversées, voilà une autre malheureuse députée, Lauriane Rossi, qui, sur un marché de Bagneux, a reçu une gifle.

http://www.europe1.fr/societe/agression-de-la-deputee-laurianne-rossi-un-mois-de-prison-ferme-requis-3401252

A noter que pour les juges, c’est bien plus grave de gifler un député que d’agresser une grand-mère. Dans le premier cas, vous prenez 48 heures de garde à vue (l’agresseur de NKM était pourtant maire d’un petit village, tandis que celui de la députée “En Marche” de Bagneux est un ancien cégétiste, ex-militant du PCF). Nombre de racailles islamisées, pourtant coupables de voies de fait autrement plus graves sur des personnes anonymes, se voient, eux, remis trop souvent en liberté, et peuvent fanfaronner des mois entiers dehors, en attendant d’être jugés, et la plupart du temps relaxés.

D’autre part, on est obligé de constater l’extrême sélectivité lacrymale des pleurnicheurs. Les multiples agressions, dont nous ne publions ci-dessous qu’une petite liste, de militants FN ou Identitaires par des racailles ou des gauchistes antifas, pourtant parfaitement organisées, n’ont jamais suscité la moindre émotion chez les “émotifs”.

http://ripostelaique.com/militants-fn-agresses-par-des-fascistes-bulletins-marine-dechires.html

http://www.fdesouche.com/815667-montreuil-93-des-militants-du-front-national-agresses-devant-la-mairie

http://www.jeanmarcmorandini.com/article-365308-les-images-spectaculaires-d-un-car-de-militants-fn-attaque-cet-apres-midi-en-allant-au-meeting-de-marine-le-pen-a-nantes-regardez.html

http://lelab.europe1.fr/le-fn-denonce-les-racailles-et-lensauvagement-apres-le-deces-dun-jeune-militant-luigi-guardiera-2737078

http://www.lyonpremiere.com/Des-militants-FN-agresses-place-Guichard_a4662.html

Et cela ne date pas d’hier…

http://legislativefn46.centerblog.net/1956662-Liste-des-agressions-contre-le-Front-National

Pourtant, quand on regarde l’état de Pascale, épouse du leader de “Français de France”, agressée par quatre motards casqués qui la guettaient devant le bar qu’elle tient dans un petit village de province, avec son époux, il n’y a pas photo avec le portrait des “grandes blessées” NKM et Lauriane Rossi, qui, faut-il le faire remarquer, ne portent pas le moindre hématome.

Et là, le guet-apens est clairement établi, et les coupables, qui avaient multiplié les menaces, clairement identifiés : la mouvance antifa du coin. Mais silence radio, allumer une femme à quatre contre un, pour des divergences politiques, cela n’intéresse personne !

De même, quand Clément Méric, jeune crétin antifa (paix à ses cendres) cherche l’affrontement et se prend une droite au visage, ce qui entraîne une mort accidentelle, c’est une manipulation qui dure 72 heures, avec un non-stop médiatique. Cela se termine par la mise en accusation de toute la mouvance patriotique, dont le FN, la dissolution de quatre groupuscules classés à l’extrême droite, et la fermeture, totalement illégale, du “Local” tenu par Serge Ayoub.

On n’avait pas entendu une telle sollicitude médiatique quand Action Directe avait éliminé Georges Besse, patron de Renault, ou bien le général Audran. Et quand des assassins gauchistes comme Pierre Goldman, tombés dans le banditisme, exécutent une innocente pharmacienne, c’est la mobilisation générale de la gauche pour le faire acquitter, malgré des faits accablants à son encontre.

Cela n’a ému personne quand trois jeunes militants d’Aube Dorée, en Grèce, ont été exécutés froidement par un commando gauchiste, sans doute barbouzard, alors qu’ils gardaient les locaux de leur association.

N’oublions pas qu’en interne, des années durant, les militants du PCF (parti auquel a appartenu l’homme qui a giflé la députée Rossi, à Bagneux), ont multiplié les agressions très violentes contre les gauchistes, qui eux-mêmes multipliaient les bagarres contre les “fachos”.

Nous pourrions multiplier les exemples montrant le deux poids deux mesures de toutes ces pleureuses, auxquels Florian Philippot a cru bon se joindre (dédiabolisation oblige).

Reste la question de fond : est-il légitime de frapper, dans un régime démocratique, un adversaire politique, qui plus est une femme ? Bien évidemment, posée ainsi, la question ne peut que susciter une réponse négative. On pourra ajouter que ce n’est pas un très grand exploit physique, quand on est un homme, que de coller une claque ou un coup de poing à une femme. Mais alors, serait-il plus légitime de mettre une patate à un homme, pour divergence politique, dans un régime démocratique ?

Cette question n’est pas totalement idiote. Sommes-nous encore réellement en démocratie, et les députés qui nous représentent peuvent-ils bénéficier de la légitimité, parce qu’ils ont été élus par le peuple ? Là, on rentre dans le vif du sujet. Il faut d’abord rappeler que pas davantage que 40 % de nos compatriotes se sont déplacés pour aller voter. D’autre part, les législatives faisaient suite aux présidentielles, dont le résultat a été lourdement truqué par plusieurs faits graves, qu’il est facile d’énumérer :

– Exécution politico-médiatique de François Fillon par l’appareil d’Etat, au lendemain de sa victoire aux primaires.

– Campagne médiatique très violente et partisane de l’ensemble des suppôts de l’UMPS contre Marine Le Pen.

– Soutien total à Emmanuel Macron de la part des journalistes, qui étoufferont les nombreux points sombres de la carrière du candidat d’En Marche.

– Vote massif musulman (92 %) en faveur de Macron au 2e tour.

– Naturalisations massives d’étrangers devenus “Français”.

– Etonnant vote massif contre Marine Le Pen de la part de personnes âgées, après l’instrumentalisation habituelle du vote des personnes dépendantes en maisons de retraite.

– Occultation délibérée des deux sujets principaux, l’invasion migratoire et l’islamisation de la France, pour axer la campagne sur l’économie et l’euro.

Voilà en ce qui concerne la prétendue légitimité des députés et de Macron : aucune !

D’autre part, en période de guerre, qualifiée ainsi par l’ancien président de la République en personne, disserte-t-on paisiblement, devant une cheminée, un verre de whisky à la main, avec ceux qui trahissent ouvertement la France ?

Faut-il rappeler les propos de Philippe de Villiers, qui, interrogé par Ruth Elkrief, accusait ceux qui avaient ouvert nos frontières et laissé des hordes d’immigrés, souvent musulmans, entrer en France “d’avoir sur les mains le sang des victimes du Bataclan et d’autres attentats de masse”.

Puisqu’on parlait démocratie, quand donc ces prétendus représentants du peuple ont-ils demandé l’avis des Français, sur l’islam et l’immigration ? Jamais !

Alors, oui, les députés et les ministres qui, en toute connaissance de cause, laissent entrer sur le territoire français, à marche forcée, des dizaines de milliers de clandestins musulmans, qu’ils osent appeler “des migrants qui fuient la guerre” sont des traîtres. Ces scélérats seront complices, en toute connaissance de cause, des futurs assassinats qui vont toucher nos amis, notre famille, nos enfants. Qu’ils militent à “En Marche”, à LR, chez les Insoumis, au Modem, à ce qu’il reste du PS ou dans n’importe quel parti immigrationniste, ils ont forcément des comptes à rendre au peuple, des explications à nous fournir, et des représailles inévitables à attendre. C’est le contraire qui serait anormal. De tous temps, les traîtres ont dû rendre des comptes à ceux qu’ils ont trahis.

Tous les immigrationnistes de ce pays, qu’ils soient députés ou autres propagandistes,  ont tous sur les mains le sang des victimes de Merah, des assassins de Charlie Hebdo, de l’Hyper-casher, du Bataclan, de Nice, de Magnanville, de l’Eglise de Saint-Etienne du Rouvray, de Hervé Cornara et de toutes les victimes, plus anonymes, des assassins islamistes de France.

Personnellement, si mon enfant avait trouvé la mort au Bataclan, je serais venu à la cérémonie officielle. Mais je peux vous dire que quand Hollande serait venu me serrer la main, il aurait pris le coup de poing dans la gueule de sa vie, même si cela devait me coûter de la prison et un lourd procès.

De même, j’avoue que j’aurais énormément de mal à me contrôler, si je croisais un jour des mecs à Mélenchon, Macron, LR ou autres crapules islamo-collabos en train de me distribuer un tract. Tout simplement parce que, face à des pourris qui trahissent ouvertement mon pays, et livrent les miens à une mort possible, je n’ai plus envie de discuter paisiblement. Alors, il est évident que ceux qui ont du mal à se contrôler peuvent, dans ce contexte, aller jusqu’au bout de leurs pulsions. En 1945, cela ne s’est pas bien passé entre Résistants et collabos, même si des résistants de la dernière heure, parfois collabos de la première heure, ont profité de la situation en ont fait des tonnes ! Mais les représailles étaient légitimes.

Bien évidemment, je n’exprime que mes sentiments personnels, et je n’encourage nullement les Français à gifler leurs députés, et encore moins à aller plus loin ! Cela ne sert qu’à les victimiser davantage, et à faire chialer sur eux. Je rêve simplement d’un Clemenceau qui mette en application le sort qu’il réservait, il y a un siècle, aux traîtres, en temps de guerre… A côté de cela, une gifle, c’est bien trop doux.

Et cela fait du bien de penser à cela, je vous le promets, quand on est confronté quotidiennement à l’invasion migratoire et à l’islamisation de son pays…

Martin Moisan