Arc de Triomphe enveloppé dans l’idéologie LGBT : c’était un montage, mais…

Vous avez vu l’Arc de triomphe drapé dans les couleurs LGBT ?… Peut-on utiliser un monument public pour la propagande d’une minorité de la minorité ?

Là, on en fait trop. Certes respecter les homos, qui sont tout à fait respectables, les défendre contre les agressions, ne pas se mêler de leur vie privée qui doit rester privée comme la nôtre, OK.

À ce propos d’ailleurs que dit-on du Coran et des coraniques qui prévoient de jeter les homos du haut de falaises ou à défaut de falaises, du haut d’immeubles ? Ou qui les torturent à mort en leur collant l’anus et en leur faisant ingérer des laxatifs ? Rien, justement. On ne dit rien. On attend toujours sur ce sujet les associations de gauche homo-islamisantes friendly.

A-t-on besoin, pour respecter les homos, de calfeutrer l’Arc de triomphe sous leurs couleurs, d’aller chercher que Jean Moulin était homo et d’inventer que c’est l’homosexuel Cambacérès qui a écrit le Code civil, alors que c’est complètement faux et que son projet a été rejeté ?

Mais offusquer les yeux des personnes lambda en accaparant l’Arc de triomphe pour l’envelopper dans les couleurs LGBTQQAA+azertyuiop, cela ne gêne personne.

A-t-on demandé aux familles qui ont le nom de l’un des leurs sur l’Arc de triomphe, monument dédié aux soldats de France, ce qu’ils pensaient de voir ces noms occultés au profit des LGBT ?

C’est mon cas, j’ai un lointain cousin qui a son nom sur l’Arc. Les batailles qu’il a livrées, c’était au nom de la France, et elles ont été autrement plus difficiles que les batailles LGBT. C’était une question de vie et de mort et de l’avenir de la France. Il s’est battu à Austerlitz, Iéna, Wagram, ne laissant pas un pouce de terrain alors qu’il était en grande infériorité numérique. Les problèmes LGBT paraissent bien petits à côté.

Déjà on avait Cristo qui nous avait honteusement empaqueté et fait disparaître l’Arc dans une de ces non-productions en forme de passe-passe dépourvues de tout art dont il avait le secret et que notre époque déjantée adore béatement en toute ignorance de ce qu’est l’art véritable, l’art du beau.

Va-t-on prendre l’habitude de cacher l’Arc avec les slogans de notre époque, persil lave plus blanc, à bas la Russie et vive chat gpt ?

Comment les familles qui passent par là vont-elles expliquer à leurs jeunes enfants que l’Arc de triomphe est détourné au profit d’une secte ultra-minoritaire ?

Comment leur expliquer que ces gens-là mettent leur fierté dans leur pratique sexuelle ? On aurait pu s’imaginer une fierté mieux placée.

On pourrait s’imaginer que les gens mettent leur fierté dans une vie professionnelle réussie, dans du bénévolat actif, dans une œuvre littéraire, artistique, ou politique, dans une vie de famille réussie…

Mais non, ils mettent leur fierté dans une pratique sexuelle qui ne regarde qu’eux et doit rester dans leur intimité la plus stricte, comme celle des hétéros.

Quid alors si tout le monde devenait homosexuel ? Est-ce l’intérêt de la France et des Français ? A-t-on dans les « hautes sphères » qui nous gouvernent avec un remarquable mépris réfléchi à cela ?

L’ancien député Christian Vanneste, avant d’être finalement acquitté par la Cour de cassation, a été condamné et conspué, ostracisé, mis au ban de la société parce qu’il avait osé dire que Kant a écrit qu’un principe qui ne peut être généralisé n’est pas un bon principe. Or l’homosexualité ne peut pas être généralisée.

Ce à quoi les homos répondent fort hypocritement que la généralisation, ils ne la demandent pas, mais qu’ils la demandent quand même, cherchez l’erreur.

Moi, je vais vous dire, quand je vois ça, je voudrais proclamer que je suis fière d’être hétérosexuelle, fière d’avoir un mari pas déconstruit, (eh oui, Sandrine Rousseau).

Fière d’avoir des enfants que j’ai mis au monde sans aucune intervention tordue, sans demander à l’État un changement de loi, sans manifester aucune colère contre l’injuste traitement qui m’était soi-disant fait, alors que tout cela est millénaire …

On assiste à un renversement de valeurs : maintenant nous allons devoir lutter pour défendre ce qui existe depuis toujours, l’amour entre un homme et une femme, qui a donné tant de chefs-d’œuvre littéraires et artistiques (et l’amour homo, nettement moins de chefs-d’œuvre qu’on le veuille ou non).

La famille constituée d’un père et d’une mère (quelle comique bizarrerie), l’enfant qui reste tout naturellement dans le sexe donné à sa naissance par des abrutis de parents sans doute inconscients de la richesse transgenre !

Oui c’est affreusement banal, nous devrions sans doute avoir honte de cette banalité. Que fait l’État contre cette banalité repoussante ? Eh bien, il kidnappe l’Arc de triomphe.

Peut-être un jour devrons-nous, pour nous montrer et parce que nous serons en voie de disparition, orner l’Arc de Triomphe de couleurs hétérosexuelles ? Pourquoi pas ? Mais quelles sont les couleurs hétérosexuelles ? Vous le savez, vous ?

Mais nous autres, pauvres hétéros qui ne connaissons pas la vraie vie, sommes quand même encore majoritaires, du moins pour le moment. Peut-être plus pour bien longtemps vue la propagande éhontée qui est faite partout et tout le temps par ce qu’il fait bien appeler le lobby homo.

Alors quand tout le monde sera devenu homosexuel, nous n’aurons plus que nos yeux pour pleurer, car le monde sera devenu bien triste, bien gris malgré les belles couleurs du drapeau homo et on s’ennuiera tellement…

Comment peut-on concevoir le monde sans le piment de l’altérité, l’inventivité croisée, les éternelles discussions parfois déraisonnables et sans but dont on sort curieusement revigoré, en bref sans la rencontre avec l’autre plutôt qu’avec le même ?

Ah ! Je lis à l’instant que cette image est virtuelle et a été inventée par Ian Padgham, artiste américain installé à Bordeaux. On s’y croyait, on y a tous cru, on a déjà avalé tellement de couleuvres… On n’est pourtant plus le 1er avril. Mais on est le mois de la gay pride et l’artiste a voulu souligner les droits des LGBT.

Le fait d’y avoir pensé montre bien l’esprit transgressif des pro-LGBT. Et si le lobby l’exigeait, une autre fois ? Il aurait gain de cause, n’en doutons pas, dans notre pays envahi idéologiquement par toutes sortes de frénésies plus woke et plus surréalistes les unes que les autres.

Image virtuelle certes mais nous n’en sommes pas loin, et cela risque bien d’arriver, au point où en sont les choses. L’an prochain peut-être ?

Sophie Durand