Autain, Aubry, Rousseau, complices du nazislamisme anti-femmes

Des personnalités politiques de gauche comme Clémentine Autain, Manon Aubry ou Sandrine Rousseau, qui se prétendent en même temps féministes, sont pourtant des adeptes du nazislamisme anti-femmes qu’elles se sont donné pour mission d’imposer en France.
Nazi, car je l’ai plus qu’abondamment montré, l’Islam est totalitaire, en voici une de ces démonstrations :
https://ripostelaique.com/combattre-lextreme-droite-lue-doit-interdire-le-coran-et-raser-toutes-les-mosquees.html

Anti-femmes, donc contraire au féminisme : la situation de l’Iranienne, de l’Afghane ou de la petite chrétienne violée et mariée de force au Pakistan ainsi que l’esclavage jusqu’à la mort des Yazidis suffit à le montrer lumineusement à la face du monde.
Mais Clémentine Autain, Manon Aubry ou Sandrine Rousseau aveuglées dans leur idéologie nazislamiste ne sont plus capables de regarder la face du monde.

Au dossier nous pouvons verser d’autres témoignages plus proches d’elles que les pays lointains puisqu’émanant de personnes qui résident en France et relèvent des tribunaux français, mais ces dames pas drôles du tout par leur inclination islamiques savent-elles encore lire et comprendre un texte de français pour saisir que l’avenir de la liberté féminine est du côté de qui devra être furieusement encore plus radical que Zemmour, donc un politique à venir et non encore sur la place, que du côté de chez Swann-Mélenchon qui, lui, a viré fascislamiste complet comme le pain du même qualificatif ?

L’un des deux premiers témoignages se passe à la barre de la Cour d’Assises de l’Essonne :
« Rokia (le prénom a été changé) continue de craindre son mari, bien qu’il soit derrière les barreaux depuis les faits » annonce en pleine salle d’audience plein public que « Dans la religion musulmane, on ne divorce pas. Il n’y a pas de viol, l’homme a accès à la femme quand il veut. On ne porte pas plainte contre son mari. Ma mère m’a même dit : Qu’est-ce qui te prouve que je n’ai pas été dans cette situation ? Mais je ne suis jamais partie. Ça m’a marquée ».

Voilà un témoignage généralisant qui vient confirmer les dires et écrits coraniques qui concerne deux générations de femmes, la mère et la fille, comme si cette maladie honteuse qu’est l’idéologie coranique se transmettait génétiquement comme l’hémophilie ou le sida.
Si l’idéologie musulmane est une maladie qui se transmet à l’insu de son plein gré, alors où est le libre arbitre si on ne peut choisir d’échapper à sa condition de naissance ?

Outre la transmission génétique, il y également l’obligation sociale de transmission quand la témoin Rokia rapporte que sa mère elle-même a été confrontée à l’ultra nauséabond mahométan mais qu’elle n’est jamais partie, mise au point qui sonne comme un reproche de la mère à la fille qui refuse de porter sa croix osé-je, rejoignant ainsi la confrérie des hommes libres sans Dieu ni Maître.
Mais qu’implique ce témoignage de plus gravissime encore qu’il n’y paraît pour qui voudrait le décantonner des acteurs d’une simple affaire d’assises ?
D’abord la généralisation du comportement musulman à l’ensemble du monde islamisé établi en France autorise d’extrapoler un chiffre plausible.
Partons sur une hypothèse de huit millions de musulmans dans ce pays dont une moitié de femmes dont encore une grande partie « malgré elles » soumises à l’esclavage sexuel du coranique.

Si on admet 1 million de femmes dans une telle soumission et sur l’hypothèse d’une relation sexuelle forcée par semaine que le courant féministe actuel classe dans la catégorie du viol, cela nous donne 4 millions de viols à domicile, osons-nous, par mois pour lesquels jamais aucune plainte n‘est déposée puisque, selon les dires mêmes de la témoin en salle d’audience, « on ne porte pas plainte contre son mari ».

Ici on compatit, quel malheur pour Adrien Quatennens qu’il n’ait pas épousé une ou deux ou trois, ou une esclave comme le prévoit le Coran, génétiquement musulmane(s) : il n’y aurait jamais eu de plainte contre lui, et il pourrait encore trôner dans nos assemblées :
Coran 4 : 3
4 : 3 – Et si vous craignez de n’être pas justes envers les orphelins,… Il est permis d’épouser deux, trois ou quatre, parmi les femmes qui vous plaisent, mais, si vous craignez de n’être pas justes avec celles-ci, alors une seule, ou des esclaves que vous possédez. Cela afin de ne pas faire d’injustice (ou afin de ne pas aggraver votre charge de famille).

Par suite et contrecoup, ce sont les statistiques des ministères tant de la Justice que de l’Intérieur, on les savait déjà largement minimisées puisque de nombreux témoignages concordent en ce que les policiers ne prennent qu’une ou deux plaintes pour viols ou violences sur 10 dans les registres, mais maintenant au surplus, démontré à partir de ce témoignage devant les assises de l’Essonne, qui ne sont plus le reflet d’aucune réalité puisque ce serait 4 millions, ou encore davantage, de viols domestiques par mois jamais dénoncés, soit pour 12 mois, 48 millions de viols, que nos statisticiens technocrates passent sous silence.

Voilà qui n’est guère glorieux pour des féministes comme Mesdames Autain, Rousseau et Aubry de savoir qu’elles soutiennent au bas mots 48 millions de viols annuels dans leur propre pays : l’Iran ou le Pakistan ou l’Iran, c’est loin, mais ici, dans votre immeuble, sur votre palier, dans la maison d’à côté, dans un quartier si tranquille, j’arrêtes les poncifs du cinéma gauchisant mixitaire donneur de leçons toujours mauvaises à prendre….

La question qui mérite d’être posée à ces dites dames, savent-elles ce qu’elles adoubent et les valeurs-horreurs qu’elles véhiculent en soutenant l’Islam en France ?
En plus clair, véhiculent-elles en toute connaissance de cause, ou sont-elles les imbéciles utiles que l’on aurait envie de gifler pour les ramener à la raison comme tout bon médecin le ferait d’une patiente qui a perdu ses nerfs avant d’envisager le tranquillisant à haute dose ??

Car avec le deuxième témoignage médiatisé dans le JDD que je vais leur asséner sur la calebasse, quand elles vont le lire et si elles avaient l’honnêteté de reconnaître les ignominies musulmanes qu’elles se font fort de répandre dans l’hexagone, elles vont avoir de quoi perdre leurs petits nerfs :
« Comme beaucoup de femmes mariées de force, Nour est restée de nombreuses années sous les radars des organismes de protection d’État. Alors qu’on estime à 200 000, le nombre de Françaises victimes de mariage forcé, seuls 14 à 15 dossiers sont instruits chaque année. Elle raconte son histoire au JDD.

Nour [Le prénom a été changé] vient d’avoir 18 ans quand ses parents lui annoncent qu’elle va devoir épouser son cousin, âgé de dix ans de plus qu’elle. La jeune femme, née en France de parents d’origine marocaine, passe alors ses vacances dans leur village natal. Nour a déjà entendu parler des mariages forcés. Sa propre mère en a été victime. Mais elle est à des lieues d’imaginer que ce qu’elle qualifie de « pratique de barbare » lui serait un jour imposée.
« Le lendemain de cette discussion, mes parents m’ont emmenée chez une médecin pour qu’elle me fasse un certificat de virginité. Je suis ensuite allée voir un imam, se souvient-elle difficilement. Enfin, je crois que c’était un imam. J’en déduis ça à ses vêtements mais je n’en suis pas complètement certaine. Tout le monde parlait en arabe. » Une langue que la jeune fille ni ne comprend ni ne parle et dit depuis ce traumatisme ne plus vouloir apprendre.
« Le jour suivant mon père m’a emmenée dans un autre endroit. Je ne saurais même pas dire si c’était un tribunal ou une mairie. Mon frère était là aussi. C’est là que j’ai compris que c’était sérieux. Je leur ai supplié de ne pas m’imposer ça. Mon père m’a menacée en me disant “si tu parles ou que tu protestes je te tue”. Le connaissant, je savais que les menaces étaient sérieuses ».

Malgré la présence de son mari dans la maison familiale, Nour tente de vivre sa vie d’adolescente. Profitant un soir de l’absence de ses parents, repartis au Maroc pour aller voir sa grand-mère malade, elle décide de sortir avec ses amies pour fêter la fin de ses examens. « Je voulais juste aller danser. C’est la première fois que je sortais. Je suis allée chez ma meilleure amie pour me préparer et j’ai demandé à ma sœur de me couvrir en prétextant que je gardais ses enfants. J’ai fait la fête jusqu’au matin. Quand je suis rentrée chez moi, je suis tombée sur mon cousin. Il était furieux. Il m’a demandé des comptes et a commencé à me frapper en me disant que je ne lui avais pas demandé son autorisation. C’est là qu’il m’a violé pour la première fois. »  « Ce jour-là j’ai cru que je n’allais pas survivre, se souvient-elle. Je suis tombé dans les pommes et je ne me souviens plus de ce qu’il s’est passé ensuite ».

Vous croisez ce témoignage avec le Coran, et vous comprenez que c’est une domination patriarcale et non une religion qui a été codifiée dans le nauséabond génocidaire bouquin : le mari, le frère, le père, ce sont tous les hommes de la famille qui ont droit de vie et de mort sur les femmes de la famille, conformément aux sourates :
Coran 4 : 15
4 : 15 – Celles de vos femmes qui forniquent, faites témoigner à leur encontre quatre d’entre vous. S’ils témoignent, alors confinez ces femmes dans vos maisons jusqu’à ce que la mort les rappelle ou que Dieu décrète un autre ordre à leur égard.
Coran 4 : 34
4 : 34 – Les hommes ont autorité sur les femmes, en raison des faveurs que Dieu accorde à ceux-là sur celles-ci, et aussi à cause des dépenses qu’ils font de leurs biens. Les femmes vertueuses sont obéissantes (à leurs maris), et protègent ce qui doit être protégé, pendant l’absence de leurs époux, avec la protection de Dieu. Et quant à celles dont vous craignez la désobéissance, exhortez-les, éloignez-vous d’elles dans leurs lits et frappez-les. Si elles arrivent à vous obéir, alors ne cherchez plus de voie contre elles, car Dieu est certes, Haut et Grand !

Pauvres dames Autain, Aubry et Rousseau qui, croyant faire œuvre pieuse d’altérité en soutenant les musulmans et l’islamisation de notre pays, sont en réalité les soutiens des pires tortionnaires qui n’ont rien à envier aux talibans ou aux Pasdarans.
Et ma boule de cristal qui ne prévoit pas l’avenir mais l’hypothèse plausible par projection à partir des données migratoires et démographiques, Clémentine, Manon et Sandrine vous allez finir par devoir prendre le voile quand le musulman sera majoritaire au pays de Jeanne d’Arc.
À moins d’un Charles Martel qui nous émerge bientôt et au plus vite, auquel je leur conseille vivement de se rallier.
Vous voulez mon avis ?

Quatennens n’a jamais été qu’un amateur très mal conseillé qui n’a jamais su saisir le bon Code du bien-vivre son patriarcat dans la France du XXI° siècle.
Il aurait fait relever ses relations conjugales avec sa bonne femme du Coran, il n’en serait pas là, et il aurait au surplus le soutien actif desdites dames Autain, Aubry et Rousseau.
Pauvre homme…

Jean d’Acre