Licencié par Google pour avoir attesté des différences physiques entre hommes et femmes

C’est l’histoire d’un mec…, un mec nommé James Damore qui a été licencié de chez Google pour avoir osé reprendre, en dix pages d’un manifeste, des résultats scientifiques attestant de différences biologiques entre les hommes et les femmes, après avoir constaté qu’au nom d’une lutte contre le sexisme, dont il ne conteste pas l’existence, celui-ci ne faisait en fait que servir de prétexte à des intentions bien peu louables. Un constat renforcé par le fait, explique Damore, qu’il n’y a pas moyen de résoudre certains problèmes si on ne les aborde pas avec honnêteté. Il prend d’ailleurs moult précautions pour nuancer son propos.

L’ancien employé du vorace Google se dit soutenu dans sa quête de transparence sur le sujet, mais par des personnes qui elles-mêmes, par crainte d’un rejet dans leur entourage ou de représailles professionnelles, n’ont pas le courage de sortir de l’étau idéologique du politiquement correct.

Google, comme d’autres entreprises, se soumet avec toujours plus de zèle à cette dictature nous explique l’excellent Breizh-Info qui ajoute que ce totalitarisme mental prend naissance dans les cerveaux de « l’extrême gauche militante » volontiers adepte du « bourrage de crâne » et de la « monoculture du politiquement correct » au détriment d’une réalité qu’elle s’obstine à nier. Pire encore, ceux qui prétendraient sortir de cette monoculture se verrait aussitôt réduits au silence. Mais à part cela, aucun problème puisqu’on vous dit que la démocratie gagne du terrain, que la censure c’est la liberté et que l’ignorance est une force.

Selon ces fachos, pour le coup tout à fait authentiques et tout puissants divaguant dans des utopies dans lesquelles ils aspirent à nous plonger, le grand remplacement serait un mythe, les pays délimités des zones à raser et les patriotes des fascistes à éliminer de la surface de la planète.

Pour coller aux dogmes du camp du Bien autoproclamé réfutant à grands cris la complémentarité des hommes et des femmes, ces évadés de l’intellect n’hésitent pas à remettre en question des années de travaux scientifiques auxquels ils n’entravent rien. L’utopie plutôt que les réalités humaines, le mensonge plutôt que la nature, le licenciement pour idées non conformes plutôt que l’humilité devant des chercheurs multipliant à eux tous des siècles d’études. Lire deux bouquins orientés et brandir trois pancartes en faisant des sit-in par ci par là et voilà nos petits dictateurs de la bien-pensance en marche pour dénoncer avec dégoût les milliers de pages de littérature scientifique.

« Et pourtant, les différences biologiques entre les hommes et les femmes existent… », écrit James Damore.

Ces jours-ci, circulait une photo d’une cliente de Décathlon qui s’indignait sur Twitter de ce que les sacs à dos étaient genrés avec une étiquette « femme » et une étiquette « homme ». Sarcastique, Léa interpellait la marque, prête sans doute à la dénoncer à la police de la pensée féministe. Mal lui en a pris, l’interlocuteur de Décathlon lui a répondu que la morphologie humaine impliquait des modèles différenciés pour les hommes et pour les femmes. Elle en a été quitte pour sceller son ridicule commentaire sur la Toile.

Mais ce que cette nature humaine concrète peut être agaçante à ne pas vouloir coller au subjectif ! Il va falloir trouver quelque chose pour que les hommes réduisent leur volume corporel ou que les femmes augmentent le leur. Ou non ! Mieux encore : intervertir les sexes pour contrer cette loi naturelle. Mais tout en défendant les bienfaits du naturel pour les fleurs et les pandas, bien sûr.

Les travaux scientifiques se voient balayés sur l’autel du politiquement correct dénué de toute rationalité et de toute raison. Bientôt, ces fous furieux viendront clamer que la terre est plate pour coller au vivre ensemble avec les islamistes, minorité à défendre puisque trop souvent stigmatisée.

James Damore vient donc de sortir son manifeste dénonçant un bourrage de crâne de Google imposé à ses salariés. Selon lui, relate Breizh-Info, « certaines idées sont trop sacrées pour être discutées honnêtement », et « par parti-pris politique, Google a étouffé toute pensée déviante, même argumentée, par volonté de ménager les sensibilités de certains ».

Quatre jours plus tard, Damore prenait la porte. L’entreprise Google n’aime pas qu’on écrive qu’elle ne tolère que les opinions allant dans son sens. Toute tête qui dépasse doit donc être coupée. Au nom, bien sûr, de la tolérance et du vivre ensemble, tout ça…

Le déchaînement assassin sur les réseaux sociaux a été conséquent sans jamais être d’une quelconque façon argumenté autrement qu’avec des conceptions idéologiques et des poncifs longs comme le bras.

Mais la répétition de litanies dogmatiques, méthode bien rôdée des sectes, ne fait pas de ces litanies des vérités. La réalité tangible, même si elle paraît contrevenir à l’abstraction idéologique du moment, n’a pas à s’effacer devant les délires d’hurluberlus déconnectés remplissant le vide de leur vie par des grandes idées aussi fumeuses qu’inconséquentes.

On pensera aussi à ce café en Australie créé par des femmes qui, au nom de l’égalité, demandent aux seuls hommes -discriminés- de payer une taxe dont les femmes sont dispensées en raison de leur sexe.

A quand un café où les blancs seuls paieront une taxe dont seront dispensés les noirs ? Car si on discrimine sur ce critère sexuel décidément infâmant qui ne devrait plus exister, pourquoi pas le faire aussi sur des critères raciaux avec des races qui n’existent plus ? Les portes s’ouvrent sur toutes les différenciations au nom de l’indifférenciation, et c’est tout le paradoxe de ces dingues courant dans une fuite en avant dont eux seuls feignent d’ignorer qu’ils ne peuvent que se cogner sur le gros rocher de la réalité.

Différents chercheurs ont lu l’essai de Dimore et l’ont validé. L’un d’eux, condamnant l’arrogance des petits idéologues haineux l’a attesté : « l’auteur de cet essai pour Google sur des thématiques liées à la diversité a quasiment tout bon quant aux données scientifiques et à leurs implications ». Un autre, louant le ton dépassionné de l’auteur à qui il aurait attribué un A – s’il avait dû le noter, a ajouté que parmi les commentateurs autoproclamés experts sur la question « je n’en ai trouvé aucun qui comprenait la théorie de la sélection sexuelle, les comportements animaliers et les recherches sur les différences sexuelles », à quoi une de ses collègues ajouta que « les preuves de ces différences (des milliers d’études) sont fortes. Il ne s’agit pas d’une information considérée comme controversée ou sujette à débat ».

On le voit, les obsédés de l’égalité à tout prix ne peuvent tenir bien longtemps la route face à l’évidence. Si à travail identique l’égalité salariale doit évidemment être de mise, l’égalité autre que celle des droits juridiques et législatifs pour l’ensemble des Français devient absurde et non avenue dès que l’on sort de ces domaines légitimes. Car si tel était le cas, comment appliquer le principe d’égalité entre une femme au physique de mannequin et une autre qui « n’a pas un physique facile », entre un surfeur aux tablettes de chocolat en parfaite santé et un gringalet en sarouel souffreteux indigné de son propre néant ?

Caroline Alamachère

 

http://www.breizh-info.com/2017/08/09/75258/google-vire-employe-critiquant-dogmes-obscurantistes-de-lentreprise




Charivari autour de Neymar pour faire oublier le gouffre financier des JO d’Hidalgo

 

Cette journée bruisse, que dis-je, s’époumone sur le fait d’actualité du moment : un très coûteux transfert dans le monde du football réputé pour sa pureté, sa transparence, son honnêteté, son absence de matchs truqués, son sens de la mesure. Pensez donc, Neymar, footballeur qui gagnait déjà à l’âge de 16 ans 6 800 euros mensuels, est pressenti pour devenir un migrant pour la bagatelle de 222 millions d’euros.

222 millions, c’est indéniablement une somme énorme, disproportionnée, obscène, d’autant plus que le Qatar qui possède le PSG investit sur l’étoile montante du foot pour engranger de juteux bénéfices qui fortifieront encore cette terre de djihadisme, de maltraitance des femmes, d’absence de liberté, etc. Tout cela est archi connu, régulièrement dénoncé à juste titre, rien de nouveau sous le soleil. Cet abject pays où la civilisation n’est pas encore arrivée ne débarque pas chez nous, cela fait un bout de temps qu’il achète notre pays par petits morceaux, nos terres, nos bâtiments, nos fleurons français, notamment le PSG, objet actuellement de toutes les attentions. On ne remerciera jamais assez Nicolas Sarkozy pour avoir aidé à tout cela. Quand on peut rendre service aux amis argentés…

En comparaison de ce gros chèque qatari pour se payer un fervent catholique qui se signe et proclame que ” la vie n’a de sens que lorsque notre idéal le plus élevé est de servir le Christ !”, l’achat de Zidane en son temps n’avait coûté, lui, “que” 75 000 000 d’euros. Eh oui, l’inflation, mesdames, messieurs…

Faut-il rappeler par ailleurs que si le PSG rapporte gros au Qatar, c’est avant tout parce qu’un public friand de ce sport le permet. Chaque place payée, chaque t-shirt acheté, chaque match regardé avec son lot de publicités, tant dans le stade même que durant la mi-temps, participe activement à l’enrichissement du Qatar qui nous achète et finance ceux qui nous égorgent, même si ce n’est pas l’unique source de revenus de ce pays hostile. Un fleuve ne sort pas de nulle part quand il se jette dans la mer, il a une source… Regarder un match du PSG-Qatar en mangeant sa pizza, c’est aussi une façon de cautionner malgré soi le djihadisme et son lot d’horreurs, que cette évidence plaise ou non.

Alors, la somme est choquante, certes. Mais on pourrait tout aussi bien gloser sur les cachets exorbitants de certains acteurs ou encore fustiger les salaires tout aussi injustifiés des gros cadres du CAC 40 et de leurs parachutes dorés, de leur stock options, et autres petits avantages divers. Mme Pénicaud s’est récemment illustrée pour avoir gagné plein de pépettes sur le dos de 900 licenciés de chez Danone, un scandale autrement plus révoltant en termes de conséquences sociales et financières sur les malheureux sacrifiés.

Au-delà du montant vertigineux de ce transfert, du point de vue de quelqu’un “qui n’est rien” et qui ne peut revendiquer qu’un salaire ordinaire, il faut tout de même comprendre que ce changement de club tarifé ne coûtera pas un seul centime aux contribuables. Cet argent ne sort pas de votre poche, pas de panique !

Ce qui sortira de votre poche, en revanche, ce sont les milliards que vont coûter ces monstrueux JO parisiens de 2024, lesquels ne rapporteront de bénéfices qu’aux entreprises dûment agréées par le CIO et en aucun cas à l’économie de notre pays. Mieux vaut d’ailleurs ne pas trop se poser de questions sur les marchés négociés ni sur les contreparties. Le sans-dents n’a pas à savoir ces choses-là, ce n’est pas de son niveau intellectuel. Qu’on resserve plutôt à ce gueux une louche d’Hanouna pour lui rectifier les neurones ! Les 222 millions pour Neymar passent, à côté des JO, pour un pourboire mesquin.

L’affaire Neymar couve depuis plusieurs jours, après que son ami Gérard Piqué a vendu une mèche mouillée, mais il ne vous aura pas échappé qu’elle éclate en bouquet bien garni pile poil le lendemain de la confirmation de Paris pour l’organisation de ces prochains JO d’un coût de 6,6 milliards d’euros. Et encore, cette somme prévisionnelle risque non seulement d’être sous évaluée mais, de surcroît, les équipements construits pour l’occasion continueront dans les décennies suivantes de générer des coûts d’entretien très lourds pour les collectivités. A moins qu’à l’instar d’autres villes olympiques, les prohibitives infrastructures ne soient, aussitôt les 15 jours de festivités terminés, abandonnées à la décrépitude, aux petites bêtes et aux orties, comme en attestent les images de France Info.

Stade de Rio en 2016

Ces jeux à visée distractive générant ces temps-ci des étranglements indignés et quelques dérangements aux entournures, hop-là, les gros sabots financiers du transfert de Neymar arrivent à point nommé pour détourner le regard et la grogne du quidam sur ce montant, pour le coup ridiculement dérisoire – et je le répète : privé – au regard de l’abyssale dépense, cette fois bien publique, des Jeux Olympiques vendus avec force publicité par Anne Hidalgo. L’argent public ne sortant pas de la poche de l’amère de Paris, elle peut le dépenser comme elle veut. Comme dirait l’autre “ça ne nous coûte rien, c’est l’Etat qui paie“.

Et je ne vous parle même pas de la construction du métro d’Abidjan dont le coût astronomique de 1,4 milliard sera, lui aussi, intégralement prélevé dans les poches des Français, avec la satisfaction générale du pigeon ravi de se faire plumer par les Droits de l’Homme et la République enchantée.

Sur Boulevard Voltaire, le journaliste Floris de Bonneville expliquait cette opulente générosité par ces mots : “la France sait être généreuse pour les autres. Sans doute pour se faire pardonner de son colonialisme d’antan dont on tait l’évidence même qu’il a sorti de la misère et de bien d’autres fléaux les pays où il a sévi et où il a bâti toutes les infrastructures actuelles“.

Toujours est-il que l’histoire ne dit pas qui portera les mallettes, ni en-dessous de quelles tables elles s’échangeront.

L’affaire Neymar n’est somme toute qu’un appât à gogos qui n’a d’autre visée que de vous faire râler sur un non évènement, aussi indécent soit-il, plutôt que sur deux autres faits autrement plus scandaleusement pharaoniques en termes de dépenses publiques.

Caroline Alamachère




Le boxeur Patrice Quarteron assume son patriotisme face à la meute raciste

Le boxeur Patrice Quarteron est victime de racisme sur les réseaux sociaux, de racisme anti-noir mais aussi de ce racisme institutionnalisé et largement encouragé, je veux parler du racisme anti-Français.

Lors de sa victoire en boxe Muay thaï, il a affiché sa fierté en se revêtant du drapeau français. Ah, l’affreux, que n’a t-il fait là !

Les insultes sont aussitôt tombées en salves nourries sur les réseaux sociaux. De la part de l’extrême droite, du FN ? Que nenni. De la part de gauchistes autoproclamés tolérants mais surtout d’individus complexés d’être immigrés alors qu’on nous répète à l’envi qu’ils se sentent aussi français que vouzémoi.

Tandis que les patriotes de droite félicitaient son geste avec des remerciements appuyés, un racisme gauchisant et principalement blédard battait son plein. Quarteron n’était qu’un traître à ses origines, un « facho », un « nègre de maison », un « collabeur », un « bounty ». On se souviendra de ce Mohamed massacré sur une autoroute par une bande de musulmans lui reprochant de « faire son Français ». Lui aussi avait, selon ses assassins, trahi ses origines, il devait en payer le prix.

Il ne fait pas bon être patriote de nos jours, sauf si c’est pour vanter une terre lointaine, une bonne terre, comme s’il existait désormais un racialisme terrien. La terre de France, elle, est forcément mauvaise et détestable.

Ceux qui se bouchent le nez à la vision d’un drapeau français se montrent bien plus complaisants lors des démonstrations de patriotisme d’ailleurs, forcément louable, contrairement au patriotisme français, forcément ranci.

Patrice Quarteron est patriote dans ses tripes et n’a pas honte de le montrer. C’est tout à son honneur, mais cette fierté est perçue comme un déshonneur inacceptable pour ceux qui vivent de la victimisation geignarde et se complaisent dans un fantasmagorique statut d’exploités, pour ne pas dire d’esclaves carrément, même quand tout leur est grassement offert : l’éducation qu’ils n’ont pas toujours dans le pays de leurs origines, les soins médicaux, les allocations, le travail, le logement, les congés payés, les lois ultra favorables, etc. Une Najat Vallaud-Belkacem aurait-elle été ministre dans son pays d’origine ?

Les binationaux vantent la terre de leurs parents mais jamais celle où ces derniers ou eux-mêmes ont fait le choix de vivre, se complaisant ainsi dans une nostalgie permanente, un manque perpétuel. Mais que ne vont-ils y vivre dans leur Eden s’il est si merveilleux au lieu de subir cette France qui leur fait horreur !

A moins qu’ils ne croient pas eux-mêmes à ce qu’ils vantent. Il faut dire qu’au Bled, l’argent ne tombe pas du ciel comme une manne ouverte.

Pour une Houria Bouteldja, rentrer au Bled reviendrait à « crever la dalle », voilà qui est clair. Pour autant, cela ne l’empêche pas de cracher ouvertement sur la France qui lui a tout donné puisqu’elle a un travail, qu’elle est célèbre, qu’elle ne crève pas la dalle. A t-elle de la reconnaissance ? Non. Elle a opté plutôt pour la victimisation puisqu’elle déclare « subir l’humiliation ». Ah ? J’ai un psychiatre de mes connaissances qui pourrait peut-être l’aider à surmonter sa souffrance.

L’amour du pays d’origine ne vaut finalement pas grand-chose au regard du bénéfice pécuniaire généreusement offert par les méchants Français. Il suffit de voir la quantité de matériel transporté chaque été en direction du Sud (jamais dans le sens inverse, vous remarquerez) par des véhicules écrasés de charge pour mesurer l’importance pour eux de connaître l’opulence d’ici et d’en abuser toute l’année avec morgue. Leur cœur ne balance pas longtemps entre l’intérêt vénal et un pays fantasmé où la réalité montre d’anciennes infrastructures fabriquées par les Français tombant dans une triste décrépitude. Ce n’est pas pour rien si un Bouteflika quasi momifié vient se faire soigner à nos frais en France plutôt que dans un hôpital algérien.

Ces gens racistes et haineux n’ont aucune reconnaissance, aucune gratitude envers un pays qui les a accueillis, choyés comme jamais ils ne l’auraient été sur leur terre originelle. Ils n’ont de cesse pourtant de nous cracher à la figure, de nous renvoyer des poncifs aussi éculés que menteurs. Les Français sont constamment ponctionnés et priés de se serrer la ceinture alors que la France va offrir à Abidjan son métro, sans parler des trois milliards promis à Rihanna pour l’éducation en Afrique.

Mais qu’est-ce qui ne va pas dans leur tête à la fin ?!

A ses détracteurs, le boxeur a adressé cette cinglante réponse : « Quand vous portez un drapeau d’un pays où vous ne vivez pas, on vous dit «bravo, j’adore, c’est courageux, c’est un signe d’ouverture. Quand on porte le drapeau du pays dans lequel vous vivez, où vous payez vos impôts, avec lequel vous souffrez, aimez, combattez, on vous dit: «t’es un chien, un putain de facho». Je porte mon drapeau fièrement. Et j’emmerde les fils de putes qui préfèrent se sentir américains, marocains, russes etc tout ça parce qu’ils vont en vacances une semaine dans un autre pays et reviennent en se sentant étrangers à leur propre pays. Soyez patriotes et reconnaissant. Vous devez tout à la France ».

Les insultes de quelques gauchistes et de nombreux immigrés à son égard ont pour but de le ramener à ses origines, des fois qu’il ne soit pas apte à voir dans son miroir que sa peau est noire, il faudrait que son esprit ne devienne pas un esprit de sale blanc. A les lire, Patrice Quarteron serait un mauvais noir, un sale traître qui abandonne ses semblables pour s’affranchir d’un esclavage forcément inhérent à sa négritude avec la charge que ce statut contient. On lui reproche sa liberté de ton, son esprit d’homme libre, sa liberté d’aimer la terre de son choix. Reste donc esclave comme nous, la place de victime éternelle est bonne, le somme-t-on. Elle rapporte gros.

Adopter les codes des blancs, ce n’est pas normal pour un noir. On n’ose dire qu’il les singerait, au risque de devenir suspect, mais c’est pourtant bien ce qu’on reproche à cet homme. Qui sait, même, si on ne pourrait pas le brûler comme on brûle les albinos dans certaines régions d’Afrique, ça lui apprendrait…

Le bon noir en France ne devrait vanter que l’Afrique, manger du manioc avec les doigts, grimper aux arbres, danser à poil avec de la peinture sur la figure, rouler les « R » et manier des gri-gri sur sa chaise à palabres. Voilà le cliché crétin auquel Patrice Quarteron est sommé de coller. En clair, si l’on suit la logique des immigrés complexés, le noir chez nous devrait ressembler trait pour trait aux Congolais dans le si décrié Tintin au Congo ! Et le seul drapeau qu’il devrait brandir avec une fierté patriote devrait être celui du pays de ses aïeux dans lequel il passe ses vacances trois semaines par an en rapportant les tonnes de denrées diverses qui manquent sur place.

Mais, n’en déplaise à ces obsédés de la race, Patrice Quarteron est français et fier de l’être. Un Français comme vous et moi, nous répète-t-on, à moins que cette litanie ne soit finalement pas si vérifiable que cela.

Il y aurait donc bien des vrais Français et des faux Français ? Sans aucun doute, à en juger par la cohorte de ces Français qui n’ont que leurs papiers en règle mais pas leur cœur.

Au lieu de se comporter comme des sauvages racistes bas du front, les détracteurs de Patrice Quarteron feraient mieux de suivre son exemple, nous économiserions en violences, en racisme, nous gagnerions en savoir-vivre, et oserais-je dire, en vivre ensemble…

 

A l’heure où la déportation des masses africaines est devenue une tendance aussi lucrative qu’idéologique et politique, il est curieux et paradoxal de mettre autant de zèle à participer au déracinement de « l’Autre » de sa terre d’origine qu’à inciter celui-ci, une fois imposé chez nous, à penser qu’il y est resté.

C’est comme si on déracinait un coquelicot d’un champ pour le planter parmi des nénuphars tout en attendant de lui qu’il ne s’adapte pas à l’univers aquatique dans lequel on le plonge et qu’il n’ait de cesse de vanter les bienfaits de son champ à ces enfoirés de nénuphars coquelicophobes !

S’il fallait encore démontrer que le véritable racisme n’émane pas de là où on a coutume de le dénoncer mais qu’il vient de ceux qui n’ont que ce mot à la bouche pour s’en repaître jusqu’à l’indigestion, cette lamentable histoire en est une preuve éclatante. Bravo en tout cas à Patrice Quarteron pour sa victoire et merci pour sa loyauté.

Caroline Alamachère




Les habitants des Tarterêts jugés trop “fragiles” pour accueillir les migrants

Dans son édition du 7 juillet, on pouvait lire dans le Parisien qu’une centaine de clandestins âgés de 18 à 30 ans, sur les 3 000 évacués de la Porte de la Chapelle à Paris, venaient d’arriver au gymnase Nicolas-Billiault de Dourdan réquisitionné par la Préfecture. Il faut croire que le comptage est un exercice difficile puisque la mairie de Dourdan fournit, elle, le nombre de 70 migrants.

Sur le site de la mairie, on apprend que l’association EHD (Entreprendre pour Humaniser la Dépendance), via Lionel Pourtau responsable du site, chercherait des solutions pour ces migrants accueillis temporairement et pour qui ont été achetés des lits de camp et des kits d’hygiène, en plus de la fourniture de repas quotidiens. Pour tromper l’ennui, ces derniers jouent au football, au basket, font de la musique, du taekwondo.

« Nous allons leur expliquer les démarches à effectuer pour obtenir le statut de réfugié » a expliqué Lionel Pourtau. Et comment faire venir toute leur famille aussi ?

Ces hommes dans la force de l’âge – car comme toujours, les femmes sont restées dans le pays estimé dangereux – sont de nationalités diverses, dont la kenyane. Le Kenya serait donc en guerre, première nouvelle ! Selon le EHD, il ne resterait ce jour qu’une « grosse vingtaine » de clandestins. Mieux vaut ne pas demander où sont passés les autres…

« Nous avons été avertis il y a quelques jours que le gymnase avait été choisi. Je n’avais pas autorité à refuser », a justifié Maryvonne Boquet, maire socialiste de Dourdan. Autrement dit, la consultation des habitants n’a pas été jugée indispensable. On veut bien qu’ils s’acquittent de leurs impôts mais pas qu’ils aient leur mot à dire sur l’usage qui en est fait. En même temps, ils ont voté pour le parti rose, tant pis pour eux.

Mme Boquet s’empresse de se donner bonne conscience : « on ne peut pas rester indifférent quand on voit tous ces jeunes. Il fallait faire quelque chose ». Et quand des millions d’autres les rejoindront, il faudra faire quoi d’autre encore ?

Entre le moment où ils ont quitté la Porte de la Chapelle et celui où on les a transportés à Dourdan, les clandestins ont tout de même fait un court séjour d’une semaine dans le gymnase des Hauts Tarterêts à Corbeil-Essonnes.

Les transférer du cloaque des Tarterêts au paisible raffinement de Dourdan, ce n’est pas rien.

La réputation des Tarterêts n’est plus à faire, à tel point que des rappeurs ont surnommé leur cité « le zoo ». Car les Tarterêts ce sont les rappeurs, les bandes de racailles, les agressions, les incivilités, le trafic de drogue particulièrement réputé, les viols, les tabassages de flics et de pompiers… L’une des rues de la cité a été rebaptisée par la police « la rue de la Mort ».

Dans ce quartier, décrit comme replié sur lui-même où toute personne étrangère est aussitôt repérée, le logement social HLM y est de 63% par rapport à Corbeil-Essonnes. Il détient de plus le triste record du plus grand nombre d’agressions sur les forces de l’ordre en France, à tel point qu’une brigade de racailles à été créée afin de lutter contre les contrôles de police, la BAFT (Brigade Anti Flics des Tarterêts).

Population “fragile” des Tarterêts

Ville de naissance d’Hugues Capet, Dourdan c’est au contraire la France, la vraie, l’originelle, celle qui crée. C’est le terroir ancestral avec ses vieilles pierres, son château du XIIIe siècle, sa population française d’origine bien éduquée, sa fête médiévale, sa superficie à 80 % rurale où les faits divers s’y comptent sur seulement deux doigts de la main avec un malheureux gérant de bar braqué en 2012 et un ouvrier blessé au doigt par sa perceuse.

La préfecture a justifié ce changement géographique en stigmatisant la population des Tarterêts, la qualifiant de « trop fragile » pour cohabiter et la jugeant inapte à appliquer le merveilleux vivre ensemble républicain. Serait-ce une façon diplomate de dire qu’elle serait hostile aux nouveaux arrivants forcément repérés et, qui sait, peut-être mis en danger ?

« J’ai cru comprendre qu’il y avait quelques tensions là-bas. Ici (à Dourdan), cela se passe très bien avec les riverains » a confirmé l’EHD.

Aux dires des musulmans fréquentant la mosquée, ces allégations seraient complètement fausses. Les clandestins auraient au contraire été accueillis à bras ouverts, ce que les intéressés semblent confirmer en évoquant des dons de packs d’eau et de vêtements. Un homme originaire du Sénégal ne voit pas où il aurait pu y avoir des tensions puisque « de toute façon, nous sommes nombreux ici à être des immigrés ». Cependant, pour un autre « si les migrants restaient, à mon avis, il y aurait des embrouilles ». Comment savoir qui dit vrai ?

Du côté de la préfecture, la question a en tout cas été tranchée : ce sont les Français de souche nauséabonds qui devront accueillir les futurs astrophysiciens, ingénieurs et autres cerveaux exceptionnels plutôt que les immigrés des Tarterêts jugés incapables de s’enrichir : « ce quartier est un peu complexe pour accueillir des migrants, avec une population assez fragile. Il était plus opportun de les envoyer vers Dourdan, où la population est plus stable ».

Tenir de tels propos, n’est-ce pas un peu stigmatisant et un rien raciste, tout de même ?

Caroline Alamachère

http://www.leparisien.fr/essonne-91/dourdan-une-centaine-de-migrants-heberges-au-gymnase-07-07-2017-7118751.php

http://www.rue89.com/2011/06/10/la-police-aux-tarterets-au-mieux-on-nous-dit-encules-208603

https://www.mairie-dourdan.fr/actualites-sante-et-actions-sociales/2072-dourdan-accueille-une-centaine-de-migrants

http://www.leparisien.fr/corbeil-essonnes-91100/corbeil-essonnes-les-migrants-diriges-par-la-prefecture-vers-une-population-plus-stable-16-07-2017-7138050.php




PMA : un enfant avec un papa et une maman, c’est dépassé, rétrograde, réactionnaire

Au nom du « droit » à acquérir un enfant, à s’offrir un être humain, à se payer un de ses semblables choisi comme une marchandise dans un catalogue, c’est à cet autre humain, acquis à grands cris de désir personnel, que l’on refuse des droits. Celui-ci n’a pas droit à des parents, il n’a pas droit à la connaissance de ses origines, il n’a pas droit à la connaissance de ses potentielles maladies génétiques, à une greffe en cas de besoin, à l’accès à la longue et honorable lignée généalogique qui le constitue.

Ces personnes nées de parents inconnus témoignent, pour nombre d’entre elles, d’une souffrance morale vécue comme une indignité à leur endroit à seules fins que d’autres puissent bénéficier du droit de trafiquer leur lignage en se les appropriant. « C’est une souffrance profonde, existentielle »…

Des droits pour les uns, un vide originel désossé du moindre droit pour les autres. Ce serait donc cela l’égalité des droits en République française ?

« Nous sommes une génération d’abandonnés, orphelins de nos origines », déclarait en 2013 avec amertume l’un de ces « donnés », sorte de paria de la société passé d’une main à l’autre lors d’une transaction marchande.

La conception d’un enfant issu de l’amour entre un homme et une femme, c’est dépassé, rétrograde, réactionnaire. L’avenir est à la fabrication d’un humanoïde en éprouvette. Il faut vivre avec son temps parce que c’est notre droit ! Bienvenue dans la secte des individus sans parents : tu seras coupé d’eux à vie et jamais tu ne seras autorisé à sortir de la secte des sans filiation.

Nous avons tous des origines et en principe la possibilité de les connaître, sauf ces issus de labo qui, eux, n’ont pas ce droit légitime, humain, digne. Ils sont nés du croisement entre un glaçon et une aiguille de chimiste. Papa fond et maman pique…

Un Cecos détient le secret de votre identité et de vos origines génétiques mais l’interdiction qui vous est faite d’accéder à cette connaissance, dont bénéficient naturellement ceux qui ont la chance d’avoir été conçus de manière traditionnelle, est, selon ces victimes du désir d’une minorité influente, « une forme de torture psychologique ». Les nés de rien vivent cela comme une injustice et une humiliation : jamais ils ne seront comme les autres. Ils sont les vilains petits canards dont un géniteur s’est débarrassé comme on se débarrasse d’un vieux Kleenex sur lequel on a essuyé ce qui devait l’être et que quelqu’un d’autre aurait ramassé pour le recycler.

L’égalité des droits vole en éclats, piétinée par les bonnes âmes avides d’expériences en tous genres sur les corps humains au nom du progrès et de la consommation assistée. Au diable les âmes et la psyché, l’important est d’avoir des droits ! Mais plus de droits pour les uns, les acquéreurs d’enfants, cela ne peut se faire que sur le dos des autres, les enfants acquis à qui, de fait, on a spolié les leurs.

Le bébé dans les années 80 était une personne, il est devenu aujourd’hui l’objet d’une âpre transaction.

Nulle part à notre époque à l’égoïsme effréné il n’est question de « devoirs », ce concept porteur de trop de contraintes pour le jouisseur sans entraves, pour l’homo festivus du 21e siècle plus empressé de revendiquer à grands cris tapageurs toujours plus de droits et de satisfactions égotiques immédiates pour lui-même et pour la petite communauté de ses semblables que de s’acquitter de quelques devoirs envers la société dont il entend se démarquer, tout en réclamant à cette dernière un pseudo dû perpétuel et anthropophagique puisqu’il finit par mettre en danger la cohésion de tout un peuple au profit d’une minorité vociférante, soutenue par un système volontiers destructeur de valeurs.

A l’heure de faire à son tour des enfants, cette fois à l’ancienne avec une femme qui n’aura pas encore été totalement supprimée au profit d’un utérus artificiel, la question des origines se repose, lancinante : « Je n’ai pas envie de transmettre cette part d’inconnu à mes enfants ». Car on transmet à sa propre descendance ce fardeau, cette part d’héritage douloureusement absente, comme un amputé qui, les jours de pluie, ressent la douleur du membre qu’il n’a plus.

Plus tard, devenu père ou mère, le né de rien pourra expliquer ainsi à son enfant comment ils sont tombés de la branche brisée de leur arbre généalogique : « mon enfant, je te remets ce livret de famille vierge. Comme tu vois, tu fais maintenant partie de ceux qui ne viennent de nulle part de mon côté. Bienvenue au club des oubliés de l’égalité des droits, des sans droits, des bafoués. J’en ai souffert, c’est maintenant à ton tour d’hériter de cette absence d’aïeux que tu transmettras à ton propre enfant plus tard. Tu pourras lui expliquer que la loi a fait sciemment de nous des sacrifiés mais que c’est pour la bonne cause puisque grâce à cette loi favorable à la PMA, deux individus ont pu avoir le droit de s’approprier nos racines et notre destinée en se faisant passer pour mes parents. Ils sont décédés aujourd’hui mais avant de mourir ils ont obtenu leurs droits de m’acquérir. C’est le principal, n’est-ce pas ? Au diable, notre ascendance détruite à jamais et notre mal être à ne pouvoir la revendiquer. Les humains sont devenus interchangeables au gré du bon vouloir de quelques-uns et des législateurs, des numéros, des fioles, des gamètes dans des frigos attendant leurs acquéreurs ».

Est-ce qu’au nom d’une revendication particulière et du droit à l’obtention de tout sans contrepartie forcément réduits dans le temps à seulement quelques dizaines d’années de bénéfice, il est légitime et moral d’accorder l’effacement de toute l’ascendance d’un être humain choisi dans une banque de données en compromettant son équilibre psychologique, voire médical, ainsi que celui de sa descendance ?

Caroline Alamachère




Nabil agresse les femmes, les machinistes, les mangeurs de porc…

Nabil Mhiri, 40 printemps au compteur et vivant on ne sait trop de quoi, a pour marotte de rôder autour de la gare d’Amiens afin d’importuner les jeunes femmes passant par là lorsqu’il les juge impudiques.

Gros et barbu, vêtu comme un chamelier du 7e siècle d’un ridicule pantalon de pyjama comme certains de ses coreligionnaires en portent depuis 14 siècles, lequel lui a valu le doux surnom de « Monsieur Pyjama », ce mahométan au déséquilibre affirmé n’en finit plus de semer la haine et la terreur dans ce quartier qu’il hante depuis de nombreux mois.

Le 18 février dernier, alors qu’il devait répondre de huit délits commis depuis 2016, Mhiri était condamné à huit mois de prison pour harcèlement envers plusieurs jeunes femmes, et pour avoir menacé avec un couteau un professeur dans le centre de formation où il suivait un stage de boulangerie. Les professeurs et les élèves ont décrit un comportement agressif tels que des coups d’épaule exclusivement donnés aux femmes non-musulmanes, des menaces de « baffes » mais aussi de mort.

Il s’en est justifié à la barre : « dès le premier jour ça s’est mal passé, ils ont voulu me faire faire du pain au lard, mais moi, je ne touche pas au porc ». Un argument qu’il a dû estimer imparable pour justifier les menaces de mort et les agressions physiques de femmes identifiées comme mécréantes.

En mars, il a passé toute une journée à suivre une stagiaire de la formation qui avait dénoncé ses violences, avant de l’interpeler par un aimable « pourquoi t’as fait un faux témoignage ? Salope ! Toutes les Albanaises sont des putes comme toi, rentre dans ton pays ! ». Après quoi il lui a arraché son téléphone portable.

Devant les juges, Nabil Mhiri s’est posé classiquement en victime en pleurnichant : « Je n’ai rien fait, j’ai juste demandé des explications, c’est elle qui me manque de respect ». Le pauvret qui s’est fait violenter par une méchante dame, si c’est pas malheureux…

Un témoin a attesté l’avoir entendu tenir des propos racistes et faire l’apologie du meurtre des Français d’origine : « Mécréants », « sales cons de blancs, y’a trop de blancs en France », « y’a pas assez d’attentats », « un bon homme est un soldat de Daesh ».

Mais la cour le relaxera finalement pour ce délit somme toute ordinaire au prétexte qu’on aurait « chargé la barque ». Le racisme anti blancs et anti Français, pourtant de loin le plus constaté, est largement accepté au mépris de la loi sur l’incitation à la haine, valide uniquement lorsqu’elle vise la diversité. On pensera à ce juge qui, dans l’odieuse affaire du viol collectif de la jeune Laure, a mis de côté le caractère raciste, anti blanc (« t’es blanche, tu manges du porc, on va te violer »), pourtant inhérent au viol, afin de ne pas stigmatiser les pauvres petits violeurs qu’on aurait pu suspecter de racisme et de ne pas compromettre les chances d’un « vivre ensemble » fantasmagorique.

Mhiri fait l’objet de nombre de mains courantes, les plaintes étant généralement abandonnées au profit de ces dernières à la demande des dirigeants successifs afin de masquer des statistiques catastrophiques. Le bon peuple ne doit pas surtout savoir que la France s’ensauvage à grands pas.

Au mois de janvier, une jeune fille portait plainte pour persécution manifeste, parlant de « cauchemar ». Elle a dressé le portrait de ce musulman bon teint comme étant « un Maghrébin de forte corpulence, barbu » qui l’attend « tous les jours à la gare. Il me suit jusqu’au lycée. Il me retrouve le soir. Il me prend en photo. Hier, il a collé son visage à la vitre du train. J’ai peur ».

Une autre a décrit des faits similaires, précisant que Mhiri lui avait demandé de « ne pas montrer ses jambes ».

Le respect de la charia c’est important, même pour les non musulmanes, comme on a pu le voir avec les viols collectifs de Cologne avec ces Allemandes qui auraient dû rester chez elles pour la St Sylvestre, comme on l’a vu à Sevran avec ces femmes qui ne devraient s’attabler dans un café, comme on l’a vu à Rotherham où des centaines d’enfants ont été violés en toute connaissance des autorités anglaises craignant de passer pour racistes, comme on le découvre toujours en Angleterre avec le viol d’une gamine de 13 ans là encore avec l’aval des autorités qui lui ont même fourni un stérilet en fermant les yeux pour se préserver là encore de toute accusation de racisme, comme on l’a vu enfin à la Chapelle-Pajol avec ces femmes dont la seule présence sur un trottoir – étroit qui plus est – justifierait qu’elles se fassent tripoter, menacer, insulter, humilier, violer.

Monsieur Pyjama s’en explique : « Je voulais juste faire connaissance, leur parler, je m’y suis sans doute mal pris. Si je suis souvent à la gare le matin, c’est que j’y passe en sortant de la mosquée ».

Bref, une petite drague maladroite, m’sieur le juge !

Il serait bon de se demander si les sermons dispensés à la mosquée du coin ne serait pas de nature à encourager une gaudriole un peu appuyée et un fort sentiment kouffarophobe. Je dis ça…

Une autre de ses tocades est la compagnie de bus locale Ametis, au point que par décision de justice il lui avait été interdit de monter dans ses bus, exception faite toutefois, à la demande d’un juge, pour lui permettre d’aller visiter son conseiller d’insertion, lequel, on l’imagine, doit éprouver un certain soulagement d’être toujours en vie quand Mhiri quitte son bureau.

En avril 2016, notre brave mahométan avait menacé de mort un chauffeur. Une femme a également affirmé qu’il l’insultait régulièrement : « Salope, putain, tu mets des décolletés ». 

Mais quelle idée aussi de ne pas porter un voile en terre d’islam, à croire qu’elle cherche le viol, ma parole ! Elle se croit encore dans la France d’avant son enrichissement ou quoi ?!

Un jour, à un arrêt de bus, Nabil Mhiri s’était soudainement jeté sur elle et l’avait plaquée au sol, avant qu’un machiniste n’intervienne pour lui venir en aide, lequel a bien évidemment été aussitôt menacé de représailles.

A la barre, levant les yeux au ciel, Monsieur Pyjama endossait à nouveau la posture de victime : « C’est elle qui a insulté ma mère, moi j’ai rien fait. Et le chauffeur, c’est son petit ami ».

Bref, Mhiri se dit innocent comme l’agneau qui vient de naître, comme un de ces pauvres agneaux non encore égorgé en prévision des gargantuesques agapes du ramadan.

Caroline Alamachère

http://www.courrier-picard.fr/34373/article/2017-06-01/il-deteste-les-femmes-et-les-bus

http://www.courrier-picard.fr/11700/article/2017-02-18/le-vieux-garcon-voulait-quelle-couvre-ses-jambes

http://www.fdesouche.com/859623-grande-bretagne-vers-un-nouveau-scandale-de-viols-massifs-de-jeunes-filles-blanches




La Chapelle-Pajol 2021 : des mâles blancs agressent les femmes dans la rue

Il était une fois le quartier La Chapelle-Pajol de l’An de Grâce 2021.

Quatre ans maintenant que le fascisme est parvenu au pouvoir grâce à 90 % de votes favorables, quatre ans que la rue est interdite aux femmes, que les Français de souche mâles ont envahi l’espace public, insultant, menaçant et agressant les femelles importunes.

Les 10 % d’antifascistes s’émeuvent de la situation, créent des pétitions en faveur des femmes, contestant le sexisme et le machisme de ces hommes blancs dans ces zones de non-droit qui leur sont réservées.

Les Femen sont bien sûr en première ligne avec les Chiennes de Garde et Ni Putes Ni Soumises. Clémentine Autain monte au créneau. Celle qui avait réclamé la gratuité dans les transports pour stopper la fraude ainsi qu’un service public plus solidaire pour lutter contre Daesh, celle encore qui n’avait pas hésité à déclarer que « l’Européen de souche est un Arabe noir », vient de se rendre personnellement sur les lieux pour témoigner qu’un sale Blanc lui avait mis la main aux fesses et que les Blancs étaient naturellement agressifs et violeurs, attestant de sa propre expérience, contrairement aux hommes maghrébins et subsahariens par exemple qui, eux au moins, savent rester serviables, raffinés et courtois en toutes circonstances. Elle a, de plus, suggéré avec sagesse aux victimes attouchées, et plus largement à toutes les femmes du territoire de la République, de porter un niqab noir, à la mode des progressistes musulmanes qui nous montrent le chemin, afin de s’éviter à l’avenir ce genre de désagréments.

Anne Hidalgo à son tour s’est empressée d’accuser tous les Français de machisme, expliquant qu’à l’époque merveilleuse d’Al-Andalus qu’elle a elle-même fort bien connue, les Arabo-musulmans avaient su imposer l’égalité hommes-femmes aux Espagnols arriérés, et que les Français auraient grand besoin de s’en inspirer.
  
De son côté, absolument outrée par ces attitudes indignes du XXIe siècle, Caroline de Haas a dénoncé un problème de voirie avec des trottoirs inadaptés et un poil trop courts, réclamant de séparer ceux-ci en deux zones distinctes : une pour les agresseurs blancs (pléonasme) et l’autre pour les agressées de toutes origines. Elle a toutefois déploré que les viols commis à Cologne le 31 décembre 2015 n’avaient pu être possibles que parce que les femmes s’étaient rendues dans les rues à l’occasion du réveillon, générant elles-mêmes les agressions dont elles avaient été victimes et que si elles étaient restées dans leur cuisine à farcir leur dinde, leurs violeurs n’auraient pas été tentés. C’est tout bête mais il suffisait d’y penser, au moins ces idiotes d’Allemandes ont été averties pour les années suivantes.
En Allemagne toujours, le 22 mai 2017 nous apprenions que des volontaires à leur extinction, ayant organisé une fête, avaient vu celle-ci mal tourner quand «plusieurs hommes noirs qui ont agi en groupe» « plusieurs Aryens blonds aux yeux bleus » (version validée par la télévision d’Etat) ont agressé sexuellement leurs hôtes, lesquels ont dénoncé un sexisme ordinaire, refusant catégoriquement de faire un quelconque parallèle avec une quelconque culture, sauf si celle-ci se révélait exclusivement européenne, seule option acceptable à une dénonciation massive, assidue et collaborative.
Mouchoir parfumé au jasmin posé sur son nez, Caroline de Haas a rappelé que le quartier de La Chapelle-Pajol était notoirement connu pour être un repaire de fascistes bourgeois, tout comme d’ailleurs le trop fameux quartier de la Goutte d’Or rendu célèbre en 2010 par ses intolérables processions catholiques rappelant la France rancie d’il y a 30 ans.
Frémissant de colère, l’adjoint au logement de la mairie de Paris, Ian Brossat, celui qui avait déclaré qu’il n’avait pas « choisi d’être gay, ni juif, j’ai juste choisi d’être communiste », ce dont Bouygues, Areva et Vivendi lui sont fortement reconnaissants pour les services rendus en termes de baisses salariales, s’est autorisé lui aussi un petit commentaire condamnant ces machistes, forcément de droite, voire pire, venus stigmatiser les femmes et sans doute aussi les homosexuels, ajoutant que de telles démonstrations de virilité « ce n’est pas digne ».
De la dignité, c’est aussi ce que réclamait la sympathique Houria Bouteldja du PIR (Pour un Islam Rassurant) en son temps lorsqu’elle demandait aux femmes d’origine étrangère de ne pas porter plainte en cas de viol par des Noirs ou des Maghrébins afin de ne pas stigmatiser ces derniers déjà suffisamment accablés comme ça par les racistes. Lesdites violées, probablement un peu provocatrices quand même, se devaient d’effacer de leur mémoire toute trace de leur agression en posant leur foulard par-dessus. En revanche, et c’est bien normal, le viol se devait d’être absolument dénoncé si le violeur était un « sous chien » car dans ce cas, et dans ce cas seulement, la stigmatisation avait toute sa raison d’être. La délicieuse Houria, faisant partie des 10 % d’électeurs antifascistes, justifiait son propos d’un lumineux et prophétique « il n’est pas dit que la génération suivante acceptera la présence des Blancs ».
On se souvient de la scandaleuse affaire de Sevran en 2016 avec ces cafés tenus par des mâles Français de souche fasciiiiiistes et raciiiiiiistes où les femmes ne pouvaient se rendre sous peine de se faire mettre dehors. On comprend aujourd’hui, à la lumière de l’affaire des agressions de La Chapelle-Pajol, que la raison probable pourrait en être le manque de chaises.

Afin de remédier à ces épineuses questions en permettant que la République retrouve pleinement les valeurs qui sont les siennes, quelques idées ont été lancées afin d’éviter les attouchements, les menaces, les insultes, les viols :

  • élargir tous les trottoirs du territoire, ou mieux encore les supprimer purement et simplement,
  • éliminer les tables et les chaises dans tous les cafés et restaurants du pays,
  • apposer des panneaux « Interdit aux hommes Français de souche agressifs, fascistes, sexistes et violeurs » ou bien « Interdit aux femmes non protégées par un niqab ». Variante : « Refugees welcome, Non refugees and white people go away ! »,
  • construire des couloirs de circulation distincts pour hommes et pour femmes,
  • suggérer un jeu de rôle républicain où, dans le strict respect de l’égalité hommes-femmes, ce serait aux femmes d’agresser sexuellement les hommes,
  • imposer le gender à tout-e-s,
  • imposer le port du niqab à tout-e-s,
  • pratiquer l’IVG exclusivement sur les embryons de sexe féminin afin d’éliminer le problème à la source,
  • trucider tous les Français de souche, hommes et femmes, en laissant le terrain vague hexagonal aux seules « chances pour la France » infiniment plus éclairées et éduquées que les sales fachos peuplant ce pays depuis des millénaires et qu’il est plus que temps d’anéantir.

Caroline Alamachère




Il ose qualifier les attentats d’ ‘impondérables’ : Ne livrez pas la France à Macron !

Tandis que se perpétrait un énième attentat islamiste à Paris, Emmanuel Macron participait dans l’émission de France 2 « Présidentielle 2017, 15 minutes pour convaincre ». Usant du langage de Valls et empruntant quelques tics du col de Sarkozy, il s’est exprimé sur la tuerie perpétrée au même moment sur les Champs-Elysées et visant des policiers dont un a été tué par Karim Cheurfi, membre de la religion d’amour, de paix et de tolérance.

Dans le véhicule de ce dernier, auraient été retrouvés un fusil d’assaut (orthographié « fusil d’assault » sur le site de France Info en référence inconsciente sans doute au fabricant d’armes…), un sécateur et un coran. Si la présence du coran peut aisément s’expliquer, puisque la source d’inspiration des déséquilibrés part de là, celle du sécateur est plus surprenante, sauf si le mahométan avait projeté de s’en prendre aux jardinières de Ladurée. Prévoir un tel outil afin de commettre un attentat laisse pour le moins dubitatif.

L’attentat a été préparé, même s’il relevait plus du djhad artisanal d’Abd Ar-Rahman que de celui plus professionnel d’Oussama Ben Laden. Depuis plusieurs années, ces tueries se perpétuent en Europe avec une fréquence plus soutenue en France. Elles sont à chaque fois actées par des larmes, des bougies, des nounours, avant la suivante.

Manuel Valls nous avait prévenus avec son « habituez-vous à vivre avec le terrorisme », Macron a enfoncé le clou en déclarant que « cet impondérable, cette menace, elle fera partie du quotidien des prochaines années ».

On ne peut qu’être outré d’un tel propos à la fois irresponsable pour qui prétend à la plus haute fonction et totalement en décalage avec la réalité puisque les déséquilibrés sont la plupart du temps des fichés S, donc des individus connus et répertoriés comme étant potentiellement dangereux.

Un événement impondérable vous arrive par surprise, la foudre qui tombe sur votre voiture, le pigeon qui vous lâche une fiente sur votre coûteux costume offert par un ami, le train qui déraille, etc. Un énième attentat commis par des gens qu’on laisse entrer chez nous sans les contrôler n’est certainement pas un impondérable, c’est du laxisme, une volonté assumée de ne rien faire pour l’empêcher.

Non seulement le terme employé par Macron est inepte et inconvenant, mais en plus celui-ci l’associe dans la même phrase à une « menace » dont la nature est précisément anticipatrice. Qui dit menace dit avertissement préalable, cela ne saurait donc être un impondérable par nature imprévisible.

Peut-on raisonnablement considérer comme impondérable le fait de laisser dans la nature un type – dont le procureur Molins a affirmé qu’il n’était même pas fiché S malgré ses antécédents ! – déjà condamné pour une triple tentative d’homicides volontaires à 15 années de prison, visé par une enquête du parquet anti terroriste parce qu’il recherchait des armes « pour tuer des policiers » mais relâché par celui-ci en raison d’un profil qui « ne correspondait pas à celui d’un terroriste et à un homme islamisé ».

« Gouverner c’est prévoir » dit-on. Or, le candidat Macron, celui qui fait installer des sièges colorés dans ses meetings pour faire croire aux caméras qu’ils sont occupés, ne semble pas avoir prévu de prendre des mesures visant à stopper cette récurrente pratique des adeptes de la charia (loi islamique) que le monde subit depuis la création de cette idéologie, puisque Mahomet lui-même la pratiquait, même s’il usait à l’époque du glaive remplacé depuis par des fusils, des machettes, des Kalach et, semble-t-il maintenant, des sécateurs.

Comment envisager une seconde d’élire un type à l’humeur fataliste qui se contente de déplorer et de témoigner d’une solidarité facile et peu engageante, qui nous promet des attentats au quotidien pour les années à venir sans préconiser la moindre mesure pour les contrer, sans montrer de quelconque volonté de nous en préserver ?

Car la profession de foi de Macron n’indique nulle part son intention de lutter contre les fous d’Allah au déséquilibre de plus en plus libéré et décomplexé. D’ailleurs, il affirmait encore ce matin sur RTL qu’ « il y a presque 20 000 fichés S pour des faits multiples, pas que des djihadistes. Si vous les mettez tous en prison, ce n’est pas conforme au droit ».

Ne serait-ce pas une mesure minimum que d’enfermer ou d’expulser, le cas échéant, les djihadistes susceptibles de nuire gravement à la société ?

Selon le rejeton de Hollande « mettre les fichés S en prison n’a aucun sens ». Est-ce à dire que les laisser déambuler dans nos rues avec des couteaux à la main et leur permettre d’entrer dans des salles de concerts avec des armes lourdes aurait du sens ? Décidément fécond en propos aussi irresponsables qu’inquiétants, Macron a encore déclaré que la déchéance de nationalité reviendrait à « faire preuve de démagogie ». Autrement dit, gardons-les chez nous, ne les renvoyons surtout pas chez eux. Les cimetières vont donc à l’avenir se remplir d’autres victimes dont la protection aura été jugée moins prioritaire que l’évitement de la démagogie. Au fou !

Pour estimer à quel niveau de menace la France doit faire face, il suffit d’observer les différentes tranches de pourcentages d’éléments en lien avec la présence d’une population musulmane sur un territoire, et de deviner laquelle nous concerne actuellement : https://ripostelaique.com/analyse-du-monde-musulman-en-chiffres-quand-ils-sont-10.html

« On ne sait pas qualifier ce qui s’est passé », a ajouté Macron, impuissant. C’est pourtant simple : c’est le djihad Emmanuel !

La gauche ne fera jamais rien pour protéger le peuple, Selon elle, ce serait au peuple de s’habituer à mourir.

Faut-il s’étonner de l’indifférence affichée d’Emmanuel Macron sur la question de notre protection quand celui-ci a des amitiés particulières avec l’étrange Monsieur Saou, au point de l’avoir cautionné pour représenter son mouvement En Marche dans le Val d’Oise ?

Mohamed Saou, c’est l’homme qui se vante de n’être pas Charlie, un admirateur fervent de l’infâme Marwan Muhammad et du menaçant Erdogan, un défenseur du burkini, un islamiste assumé proche du CCIF, un fan de l’imam ayant radicalisé un kamikaze du Bataclan. Beau palmarès !

Il s’était exprimé lors des attentats de Nice « à la manière d’un Tariq Ramadan, qui vomit la laïcité, ne comprend rien à la liberté d’expression et met son identité musulmane en avant dans beaucoup de ses prises de position », comme l’écrivait il y a peu Céline Pina. Celle-ci ajoutait : « force est de constater que les islamo-serviles, ces défenseurs d’un Islam identitaire qui tirent à boulets rouges sur la France, son esprit et ses principes, sont bel et bien présents dans la campagne de Macron et se voient confier des responsabilités notables ».

Macron le défendait ces jours-ci hors micro en disant qu’il avait fait « un ou deux trucs un peu radicaux » mais que malgré c’était quand même « un type bien, un type très bien, Mohamed ». A la demande du CCIF, Macron a finalement gardé dans ses rangs l’homme qui ne sera jamais Charlie, malgré une polémique risquée pour sa campagne. Il faut dire que son directeur Marwan Muhammad s’est fait très convaincant, en rappelant que Mohamed Saou avait rapporté « des milliers de soutiens » de personnes « de confession musulmane » au mouvement En Marche, et qu’il se réservait le droit d’avertir ses « 350 000 abonnés » si Macron virait Saou.

Karim Cheurfi avec son coran, son identité musulmane et son fusil d’assaut était-il aussi « un type bien, un type très bien » ? Quelle est l’opinion de M. Saou de cet attentat des Champs-Elysées ? Le condamne-t-il ? Pense-t-il lui aussi, comme son mentor, que cela va continuer de plus belle ?

On s’étonnera au passage de ce que les « ouvrages religieux » trouvés cette nuit au domicile familial de Karim Cheurfi aient été considérés comme ne constituant pas « des éléments suffisants pour attester d’une radicalisation ». En effet, une telle conclusion laisse entendre que les policiers auraient passé la nuit à lire et à gloser sur des livres religieux écrits en arabe pour en déterminer la radicalité… Ils sont vraiment forts !

Va-t-on nous prendre encore longtemps pour des lapins de six semaines ?

Pour conclure, je propose à Emmanuel Macron d’adapter ses slogans de campagne à la réalité du terrain :

« En Marche avec ta Kalach »

ou encore

« Pensez printemps, pensez enterrements ».

Caroline Alamachère




Colloque Iliade : “Européens, transmettre ou disparaître”

Hier se tenait à la Maison de la Chimie à Paris un colloque de l’Iliade qui avait pour thème « Européens : transmettre ou disparaître ».

« Nous sommes debout face à ceux qui voudraient nous faire plier », résumait en introduction Grégoire Gambier, porte-parole de l’Iliade avant de laisser la parole à Philippe Conrad, président de l’institut, qui a expliqué la nécessité de se recentrer sur les bases familiales et sur les moyens de communication « lieux essentiels de reconquête de la transmission », fustigeant le « triomphe de l’immédiat et du plaisir sur les valeurs d’effort et de dépassement de soi ». Il a ajouté que « nous devons redécouvrir notre histoire pour lutter contre sa déconstruction volontairement orchestrée ».

Puis François Bousquet, écrivain, a évoqué ceux qu’il nomme des « pédagocrates », ces dé-faiseurs de savoirs mais aussi le naufrage de l’Education Nationale, demandant s’il valait mieux accompagner les élèves dans l’appréhension des savoirs ou dans la file d’attente de Pôle Emploi, désignant un responsable parmi d’autres de ce carnage moral, Bourdieu, qu’il a qualifié de « Tchernobyl intellectuel », faisant s’esclaffer l’auditoire.

« Le Bourgeois Gentilhomme n’est jamais qu’un bobo du grand siècle » a-t-il ajouté.

Des pédagogistes fous suppriment le principe de sélection et la culture générale au nom de l’égalitarisme. Résultat : les élèves moins favorisés n’ont plus du tout accès à la culture, la vraie. Terminées donc les évaluations jugées trop discriminantes. Les enfants doivent apprendre par eux-mêmes mais le problème c’est qu’ils ne savent rien, qu’on ne leur donne pas accès à la connaissance, on ne leur donne plus les moyens d’apprendre à penser par eux-mêmes. Les pédagogistes tracent ainsi l’avenir de millions d’élèves sur la base asséchée de la méconnaissance car, selon Rousseau et ceux qui s’en inspirent, seule l’ignorance serait vertueuse. Nous connaissons tous ce funeste slogan du roman 1984 « l’ignorance est une force ». Or, c’est bien ce délirant slogan que les têtes mal faites de l’Education Nationale appliquent à vos gosses avec l’empressement zélé d’un certain nombre d’enseignants mentalement liquéfiés par leurs idéologies fétides.

Il a évoqué la difficulté à accepter l’idée de l’ascendance d’un maître, possesseur d’un savoir et censément payé pour le transmettre à l’élève, principe jugé trop autoritariste pour être acceptable. « L’enfant est devenu co-auteur de son apprentissage », peut-on ainsi lire sur les documents officiels. L’élève est mis sur le même plan des connaissances que son professeur avec l’effet calamiteux qui ne peut qu’en découler, sans parler de l’anxiété forcément générée par une telle pression sur les petites épaules de l’enfant. On masque les échecs cuisants, on refuse le redoublement trop stigmatisant et coûteux, on camoufle la baisse du niveau pour éviter d’avoir à remettre en cause un système foireux dans lequel trop de gens trouvent leur compte, on peaufine avec célérité « le fiasco et la faillite ».

François Bousquet a rappelé que la tragique méthode globale a été créée à l’origine pour les élèves sourds et demande « pourquoi l’avoir généralisée aux entendants ? »…

Une table ronde menée par Charlotte d’Ornellas a ensuite réuni Françoise Candelier, directrice d’école hors contrat du Blanc-Mesnil, Jean-Paul Mongin de SOS Education et Jean-François Chemain, professeur.

Ce dernier a enseigné à des élèves issus de l’immigration qu’il appréciait mais qui ne savaient rien, dit-il, parce que rien ne leur avait été transmis, qu’à la maison le français n’était pas parlé. Alors, pour éviter que ces élèves-là ne se sentent stigmatisés en raison d’un retard culturel, le niveau de tous les élèves a été abaissé. Principe égalitaire républicain obsessionnel compulsif.

La conséquence est que dorénavant plus personne ne maîtrise le français mais que tout le monde est enfin à égalité dans cette ignorance. L’égalitarisme est un terreau infertile qui ne peut se concevoir qu’au détriment de la réussite.

Au nom de ce principe, on a supprimé les classes de bons élèves jugées trop élitistes et dans un « entre soi » stigmatisant. Les bons élèves ont été parqués avec les mauvais afin qu’ils cessent, ces petits saligauds, d’être meilleurs qu’eux.

Cette baisse du niveau est volontaire, le but étant d’empêcher l’individu d’acquérir des capacités à raisonner et de le rendre plutôt esclave de ses pulsions primaires, ce qui le rendra plus tard plus perméable à la manipulation mentale. Les égalitaristes, sous couvert de bienveillance, souhaitent en réalité du mal à ceux qu’ils prétendent défendre, et participent avec zèle à les rendre les plus intellectuellement faibles possible. Ainsi, au cours des dernières décennies le niveau a considérablement baissé mais on peut encore faire mieux.

Jean-François Chemain a également fustigé la sélectivité idéologique en matière d’histoire consistant à systématiquement dénigrer la France sans jamais montrer ce qu’elle a fait de beau, quitte au besoin à forcer le trait : « On ne peut pas promouvoir le vivre ensemble quand on résume l’Histoire de France à la traite africaine, la colonisation, la Shoah ».

Françoise Candelier a évoqué ces livrets d’évaluation hermétiques aux parents, ces enfants en difficulté que l’Education Nationale abandonne à leur sort. Elle a témoigné de ces parents, soucieux de donner une chance à leur enfant d’avoir plus tard un bagage intellectuel en poche, condition sine qua non à leur épanouissement, qui accourent inscrire leur enfant dans son école hors contrat, décrits comme désespérés par une école publique moribonde et rendue incapable d’instruire, de cette massive déconstruction méthodique, de cette « idéologie mortifère » qui dure depuis quatre décennies, des parents.

Dans les années 60, a t-elle rappelé, la France avait la meilleure école au monde, elle a aujourd’hui totalement dégringolé dans le classement. C’est un devoir régalien que de gérer l’école, comme elle l’était autrefois quand tous les élèves maîtrisaient le français, l’Histoire, le grec et le latin, a t-elle insisté, ajoutant que l’Education Nationale fait « un Alzheimer terrible » et que, heureusement, l’école hors contrat fait en sorte de préserver ce trésor de savoir, un trésor qui semble d’ailleurs beaucoup déranger les différents ministres – qualifiés de « toxiques » – qui régulièrement réclament son interdiction. Il ne fait pas bon garder les preuves de l’ampleur du désastre.

Le représentant de SOS Education, Jean-Paul Mongin, a rappelé que 20 % des élèves de 6e arrivent illettrés et que le niveau des maîtres lui aussi s’effondre lamentablement puisque les candidats sont admis à partir de 4/20 de moyenne. La structure enseignante, a t-il expliqué, « poursuit un relativisme libertaire issu des années 70 » fait de poncifs. Il a moqué le sacro-saint « vivre ensemble », cette plus impérieuse matière que le français : « On parle de vivre ensemble comme des poulets dans un abattoir vivent ensemble ». Selon lui, il y a une violence totalitaire à vouloir interdire les écoles hors contrat. Il a conclu en disant qu’il fallait redonner aux parents le choix de l’établissement.

Sourire aux lèvres, Charlotte d’Ornellas a ironisé sur le fait que la veille de ce colloque, alors qu’elle visitait un collège, Najat Vallaud-Belkacem avait distribué des baguettes magiques aux élèves. Manifestement, il ne reste plus que cette option…

L’intervenant suivant, Fabien Niezgoda, chroniqueur de la revue Eléments, a parlé de la transmission de la tradition grecque au Moyen-Age, s’appuyant sur l’ouvrage « Aristote au Mont-St-Michel », livre devenu introuvable car non réédité par les éditions du Seuil, suite à la montée de terrorisme intellectuel qui a suivi sa parution en raison du caractère sulfureux des propos de l’auteur minimisant drastiquement le rôle de l’islam dans cette transmission, contrairement à ce que voudrait nous faire accroire la doxa pâmée devant cette idéologie génératrice de quelques inquiétants déséquilibres.

Lors de sa tonitruante sortie, une liste de signataires avait éclos pour réclamer la peau de son auteur Sylvain Gougenheim qui remettait en cause, d’une part, les poncifs sur un Moyen-Age habituellement considéré comme obscurantiste et arriéré quand il était au contraire si riche en créations de toutes sortes, et d’autre part les mensonges éhontés sur des relations soi-disant harmonieuses entre l’Europe médiévale et le monde islamique où se vendaient sur les marchés aux esclaves des Européens chrétiens capturés jusque sur nos côtes, pratique qui a perduré durant de nombreux siècles.

Parmi ces signataires se trouvaient des gens qui n’avaient pas lu le livre, d’autres encore qui ne parlaient pas français. Une liste de grands démocrates convaincus, très certainement…

« L’héritage grec n’a jamais été perdu même dès les premiers siècles du Moyen-Age, grâce aux chrétiens fuyant l’islam », a affirmé Fabien Niezgoda qui a poursuivi : « l’Europe a eu connaissance des textes grecs parce qu’elle les a cherchés, non parce qu’on les lui a apportés ».

Après la pause déjeuner, une deuxième table ronde avait pour thématique la transmission des savoirs à travers le scoutisme, école de la persévérance, de l’éducation de terrain et de valeurs morales communes avant d’être à leur tour transmises à la génération suivante, mais également à travers les contes ou encore le compagnonnage, avec notamment la présence d’un compagnon venu d’Allemagne pour témoigner de son parcours et de la nécessité de ne transmettre que le meilleur pour que le métier perdure.

Le chef d’entreprise Philippe Christèle est ensuite intervenu pour parler de la transmission en entreprise : « l’entreprise réapprend certaines réalités : ponctualité, courtoisie, travail communautaire, complémentarité ».

Mathilde Gibelin et Anne Trewby, du mouvement des Antigones, ont ensuite parlé de la femme, de son corps, de ses cycles, du foyer, centre familial de la transmission quand il n’est pas accaparé par le support de propagande et d’abrutissement qu’est la télévision.

« Michéa nous l’expliquait, le système éducatif enseigne l’ignorance pour que nous restions consommateurs ».

L’intervention de l’écrivain belge Christopher Gérard avait pour thème « Paideia, la transmission comme acte révolutionnaire », la paideia signifiant « l’éducation » en grec ancien. « On veut nous priver de l’héritage grec au nom de l’amnésie programmée de notre société », or « l’héritage est un lien qui rend libre », a t-il déclaré, enjoignant le public à participer activement à la reconstruction de notre civilisation : « Pour reconstruire l’Europe nous devons faire ce qui a toujours été fait : retrousser nos manches ! ».

Puis Jean-François Gautier nous a offert un cours de musicologie grâce auquel nous avons notamment appris que Louis XIV était si féru de musique et de danse qu’il a accordé à ces deux disciplines « une place majeure » qu’il avait à cœur de transmettre à ses deux filles nées de son union avec la Montespan. Il nous a raconté comment notre patrimoine musical a été remisé aux oubliettes alors que « l’art sacré fut une pépinière de talents », comment 1789 avait aussi ratiboisé ce trésor-là, comment des partitions de chants régionaux patiemment collectées sous Napoléon III ont fini leur vie empoussiérés depuis des lustres aux Archives Nationales dans un oubli retentissant.

« Nous devons éviter le grand remplacement démographique mais aussi musical, musique européenne, musique polyphonique », a t-il asséné, interrogeant : « face à ce passé musical illustre, comment se fait-il que la France soit devenue une ignare ? ».

Un jeune participant aux formations de l’Iliade, Thibaut Cassel, a pris sa suite pour déclamer un poème d’Alfred de Vigny « la Mort du loup », une prestation magistrale qui lui a valu des applaudissements nourris.

Lionel Rondouin, normalien de son état, a parlé de ces enfants élevés dans des foyers où il y a des livres et de ces autres élevés dans des foyers sans livres, avant d’évoquer la mémoire d’Ernest Lavisse, cet amoureux de la France charnelle, qui disait que « l’Histoire ne s’apprend pas par cœur, elle s’apprend par le cœur ».

Il a parlé de la basilique Sainte-Sophie devenue mosquée et dont le dôme avait tellement ravi les Orientaux qu’ils ont fait, par la suite, de cette coupole la caractéristique principale des mosquées. Un rien goguenard, il s’est amusé de ce que l’on n’apprend pas aux enfants que ce sont les Grecs qui sont à l’origine de l’architecture des mosquées.

Lionel Rondouin a rappelé aussi que les grandes avancées de l’humanité qui ont véritablement changé la vie des hommes sont nées en Europe : les grandes découvertes, les vaisseaux d’exploration scientifique, le perfectionnement des horloges, la mécanique, la physique, la chimie moderne, la révolution industrielle, la machine à vapeur, les progrès de la médecine, l’abolition de l’esclavage… (intégralité de son intervention : http://institut-iliade.com/colloqueilaide-le-recit-civilisationnel-de-leurope/)

Nous avons vu ensuite une vidéo vantant l’intérêt de retrouver nos racines européennes et de maintenir les liens qui nous unissent les uns aux autres.

Enfin, le sémillant Jean-Yves Le Gallou a conclu cette journée en évoquant la promotion permanente de paradis artificiels faisant croire qu’on pourrait ne vivre que de jeux et de plaisirs égoïstes et immédiats, un monde factice destiné seulement à nous noyer dans une ignorance crasse et moutonnière, promesse d’un rétrécissement futur de cet organe que l’on appelle « cerveau » rendu inutile par tant de couches de fumisterie idéologique et abrutissante. Il a montré cette féminité que l’on dégrade peu à peu, avant de faire rire l’assistance par l’évocation du dernier homme sur cette pauvre terre devenue complètement barrée, lequel ne saurait être que le rejeton issu de l’effrayante union de Yann Barthès et Hanouna.

Un cycle historique de déconstruction se termine. Le cycle de culpabilisation a débuté en 1945, visant l’Allemagne avant de s’étendre à toute l’Europe coupable, forcément coupable. Et comme cela ne suffisait pas, on en a rajouté une bonne grosse couche avec l’esclavage, cet esclavage aboli pourtant grâce à l’insistante demande de la civilisation européenne, quand il se pratique encore dans nombre d’autres pays.

Mais, a t-il terminé, « partout à l’Ouest, des mouvements nationalistes s’éveillent ».

Caroline Alamachère




Le “déséquilibré” prie sur son tapis après avoir foncé dans le funérarium

La presse belge relate un drôle d’accident survenu vendredi dans la ville de Sclayn près de Namur où le conducteur d’un véhicule immatriculé en France a foncé dans la vitrine d’une entreprise de pompes funèbres, dans laquelle reposait un défunt, causant, nous dit-on des « dégâts considérables ».

Cela apparaît comme un banal accident de la route, un fait divers ordinaire.

Le propriétaire des pompes funèbres Warzée, manifestement abasourdi aurait déclaré « on a vécu un truc de fous ». Et qui dit fous…

Après enquête, il apparaît que l’auteur des faits serait un Français converti au Déséquilibre, autrement dit, un déséquilibré radicalisé montrant de forts signes de dérèglements psychiatriques. Encore un ! C’est une épidémie !

Le dénommé « déséquilibré », originaire de Givet, a été retrouvé, selon le témoignage du patron de l’entreprise Warzée, aux côtés de sa voiture en train de prier sur son tapis, remerciant Allah d’être encore en vie après l’accident qu’il a lui-même occasionné, et promettant que « l’islam vaincrait l’Europe », ajoutant qu’il se vengerait contre les mécréants. Se venger de quoi ? On ne sait pas mais on peut présumer sans trop se tromper que l’individu n’est pas très Charlie.

Il semble que le converti aurait déjà tenu des propos radicaux « inquiétants » et qu’il serait suivi par les services de sécurité français suite à ses problèmes mentaux. On voit d’ailleurs avec quelle compétence lesdits services le surveillaient puisqu’il a pu se rendre chez nos voisins belges sans difficulté grâce à l’abolition des frontières à laquelle nous devons aussi de voir se construire un mur tout autour de la Tour Eiffel pour limiter les attentats plutôt à l’extérieur du périmètre de celle-ci.

Selon le procureur du roi, sa conversion au Déséquilibre le dédouanerait d’avoir foncé volontairement dans les couronnes mortuaires. Il ressort simplement de son acte que celui-ci « n’est pas rationnel ». On s’en serait un peu douté. Ceci dit, j’ai plein d’individus près de chez moi qui se vêtent comme en 732 à Médine alors que nous sommes en 2017 en France, ce n’est pas hyper rationnel non plus, notez.

Le Parquet de Namur, désireux de ne pas amalgamer, se hâte de nier tout lien avec le terrorisme. Non, le converti qui prie Allah sur son tapis n’est pas un djihadiste, c’est juste un déséquilibré qu’on vous dit ! Le procureur croit même bon de préciser que sa conversion au Déséquilibre serait « son droit le plus strict ».

En attendant, ce même jour, un autre membre de la même confrérie a attaqué à la hache des mécréants allemands à Düsseldorf mais bon, peu importe la liste des morts et des blessés qui s’allonge en Europe, le plus important c’est de ne pas amalgamer.

Caroline Alamachère

http://www.lavenir.net/cnt/dmf20170310_00971729?utm

http://www.lameuse.be/1804798/article/2017-03-10/stupeur-cette-nuit-a-sclayn-un-francais-converti-a-l-islam-fonce-dans-la-vitrine