Il faut mettre Fabius à l'Agriculture !

FabiusivreFabius titube en post-prandial. On parle de malaise vagal. Mon oeil. Le “malaisé vagal” pâlit et grimace avant de tomber d’un coup, foudroyé par la mise en grève brutale d’un nerf important. Rien de tel derrière ce micro. Le représentant de la France urbi et orbi sourit béatement et semble chercher un hamac pour accro au ti’punch sous les cocotiers de Le Marin (Antilles). Je diagnostique un taux d’alcoolémie largement supérieur à 1,80g. Cela étant, il peut être moindre mais “dopé” par la prise d’une petite poudre de perlimpinpin brute de narine (gauche évidemment). Quoi qu’il en soit, seuls ceux qui eurent la primauté de l’haleine ministérielle pourraient le cas échéant ajouter une pièce au dossier déjà lourd de ce satrape sous contrôle US.

Nous aimerions être là dans “Les Vignes du Seigneur“, petit chef d’oeuvre cinématographique français et “fernandelien” des années 50, avec une réplique gravée dans le marbre, lorsque que le poivrot de service délivre à son rival, entre deux fous-rires, cette sentence complètement avinée mais définitive : “Mon pauvre vieux, je dois te dire que tu es cocu !
Passons sur ce que font les épouses quand les maris sont au loin. Même période faste de notre cinéma, Raimu titube et tombe dans son pétrin. “La femme du boulanger” s’est carapatée comme la Pomponette qui finalement reviendra à sa litière. “Je suis dans le pétrin“, nous répète le Depardieu de ces années noir et blanc témoins d’une France en paix avec elle-même au sortir du chaos. Nous y sommes à notre tour, merci Laurent.
Je ne suis pas un écrivain qui boit, je suis un buveur qui écrit“, nous assène Antoine Blondin au sortir d’un pub irlandais où, fin stratège, il a filé un coup de pied à un celte, sous le bar, provoquant la bagarre rugbystique de laquelle il s’extrait pour s’en aller finir la soirée sous d’autres voutes de cave. France joyeuse des troisièmes mi-temps, France d’un Belmondo complètement pété estoquant des voitures dans la cité normande luisante des pluies d'”Un singe en hiver“. France des mélancolies douces partagées entre soi, dans la culture libertaire, paillarde, insolente et pourtant familiale, fraternelle, équilibrée entre les extrêmes, qui nous a fabriqués, nous de ces temps-là. Temps révolus. L’époque n’est plus guère au rêve, même sous Irouleguy.
Regardons, atterrés, cette France enfuie derrière les tronches paniquées des valets commis au chevet du grand homme venu spécialement de Paris pour s’en prendre une belle au nom du peuple “le plus intelligent du monde“. On est mal, au moment où déferle sur nous la vague de ceux qui attribuent au Diable en personne la suave vapeur des chais de Pauillac, de Vougeot, de Riquewirh ou de Cahors. Ceux-là y mettront un jour le feu grâce à d’autres qui leur auront offert gite et couvert au nom du devoir de subir. Si toutefois rien n’est fait pour leur permettre de regagner sans trop tarder leurs pénates, la paix imposée à tous. Qu’ils y reviennent avec dans leurs bagages la pitrerie conformiste qui tant nous désole.
Consolons-nous : le temps est venu des Salons du Vin. il y en a partout. Blanc, rouge, rosé, bulles, liqueurs, bontés du ciel changeant de nos saisons. Laurent Fabius nous précède à sa façon très personnelle dans les allées de cette immense et rassurante foire. Envoyé spécial, il montre à la planète pétrifiée comment un amateur français de cabernet, de merlot ou de syrah se tient lorsque les destinées de sa nation sont en jeu. Maîtrise de soi et genou de fer.
On le porte un peu plus loin. C’est sans doute parce qu’il avait oublié son verre de dégustation.
Alain Dubos
(Préférence Margaux).




Claude Cabannes et tous les crimes cautionnés par L'Humanité

ClaudecabanesClaude Cabannes est mort. L’Humanité est en deuil. Respect pour l’homme dans sa pauvre carcasse figée. Pour le journaliste communiste des années 70-90 entré en cure de désinformation juste après les bains de sang de Budapest, de Berlin, de Prague, c’est un peu différent.
http://www.lefigaro.fr/flash-actu/2015/08/26/97001-20150826FILWWW00081-l-humanite-claude-cabanes-est-decede.php
Les Communistes français, par la voix de L’Humanité, ont validé, derrière Georges Marchais, l’invasion de l’Afghanistan par les Soviétiques le 1er Janvier 1979. Quatre millions de réfugiés, déstabilisation totale d’un pays, armement des futurs Talibans par les Américains, poussée de l’Islam guerrier jusque dans les Républiques musulmanes de l’ex-URSS, etc. Les conséquences de ce fait d’armes se font évidemment sentir aujourd’hui encore, dans le grand foutoir en cours.
Les Communistes français, par la même voix, ont applaudi le renversement de l”‘horrible et monstrueux” Négus et l’arrivée du flamboyant colonel Mengistu au pouvoir en Ethiopie, en 1977. Bilan : un pays ruiné, quelques millions de morts et de réfugiés, des régions entières vidées de leur population, la famine due aussi à la sécheresse entretenue pour cela et l’aide internationale clairement et massivement détournée à seule fin de faciliter la déportation des gens. Le Band Aid de Geldof demeure l’un des plus grands scandales “humanitaires” de tous les temps.
Les Communistes français et leur journal préféré ont célébré comme il convenait la “libération” (dixit Le Monde) de Pnomh Penh par les Khmers Rouges le 15 Avril 1975. Bilan : deux millions de morts, un peuple vitrifié, une culture gommée, un pays rayé de la carte, une génération entière sacrifiée sur l’autel des utopies les plus sanglantes de l’Histoire. Et pourtant, il y eut un stand des mêmes Khmers Rouges à la Fête de l’Huma deux ans plus tard, alors que le meurtre de masse était largement consommé.
Les Communistes français ont, via le quotidien, chanté pour l’entrée des Nord-Vietnamiens dans Saïgon le 30 Avril 1975. Je rappelle que le Vietnam du Sud était une république dûment reconnue par un accord international. Bilan : des centaines de milliers de fuyards, d’autres ré-éduqués pendant des années dans des camps, un pays muré depuis dans son dogme, encore attardé quarante ans plus tard malgré son potentiel de progrès.
Les Communistes français (et leurs idiots utiles) ont porté le col Mao pendant toutes ces années-là, en hommage à celui dont la Chine du 21è siècle cache du mieux qu’elle peut les ravages qu’il a causés à une population d’esclaves terrorisés, massacrés par paquets de dix mille, conditionnés à la manière assez exacte de la Corée du Nord, laquelle comme pour une synthèse mortuaire, se veut héritière et des robots de Pol Pot et des rouges mandarins de Chou-en-Lai.
Accessoirement, tandis qu’ils complimentaient chaudement Khomeiny pour avoir terrassé l’“ignoble et monstrueux” Shah d’Iran avec l’aide de Giscard et de la CIA, les Communistes français ont vibré, toute Humanité déployée, à l’entrée des Sandinistes dans Managua, la même année 1979, pour finalement assister sans broncher à l’une de ces guerres civiles de type sud-américain, laquelle accouche aujourd’hui d’une vague démocratie post-révolutionnaire capable cependant de faire la leçon à Cuba*. Par quoi il n’est donc nul besoin de sortir Castro et ses geôliers de leur naphtaline généreusement offerte par le PCF, les Yankees d’Obama étant en train de s’en charger.
Alors, ainsi résumée, la trajectoire à L’Humanité de Claude Cabannes, stalinien de coeur et indigné de studios, est obscurcie par une bien silencieuse complicité avec les spadassins de Marx et d’Engels. Elle est surtout bordée de balises d’une belle couleur rouge sang avec, pour couleurs de complément et en une liste nullement exhaustive, le blanc des neiges sibériennes, le gris des prisons de l’Est européen, le brun des turbans ayatollesques. Donnant une note à peine moins morbide à cette sinistre palette, le bleu trompeur des burqas, des foulards, des chaînes, des cadenas, ferme le ciel de toutes parts. Je n’entends pas les Communistes français exiger qu’on en libère, jusque dans nos banlieues, les femmes.
Désolé, Claude Cabannes, mais je sais des engagements qui ont tout de même tué beaucoup moins de gens que tous ceux-là égrenés comme on le fait, au bar à chicha, d’un chapelet.
Alain Dubos
*Les Sandinistes ont organisé des élections démocratiques en 1984, et respecté globalement la liberté de la presse.
 




Merci à nos Académiciens de voler au secours d'une France malmenée

academiefrancaiseContre la liquidation programmée  de la France, l’Académie Française, sortant de ses prérogatives et prenant parti (à l’étonnement peut-être feint d’un journaliste certifié “conforme”), fait un geste politique considérable. Il était temps, grand temps qu’elle s’exprimât ainsi et comblât, en quelques mots, l’attente d’elle que nous avons depuis longtemps sur ce site.

Sur le seul plan de l’enseignement, les choses ne peuvent désormais plus aller au rythme infernal de démolition imposé par les utopistes meurtriers qui prétendent nous forcer au bonheur multi-culturel. Ce que dit Jean-Marie Rouart accule le Gouvernement de la France au fond de l’obscur couloir où, coupé de tout ce qui nous constitue Français, il pense encore habiter un Palais. Il ne sortira pas de ce boyau sans courber l’échine, sans en rabattre de son insolence et de sa cuistrerie.
Car c’est vrai : les butors sont aux affaires. Rarement, dans notre Histoire moderne, les gens de ce pays n’auront été à ce point malmenés, égarés, désinformés à jet continu, soumis à l’arbitraire, à l’improvisation, aux égos démultipliés de doctrinaires empêtrés dans leurs propres contradictions et s’obstinant à jouer de la masse sur le clou fatigué de la Nation. Il fallait que ce matraquage saupoudré à l’occasion de 49-3 cessât. En se déclarant ouvertement en révolte contre l’ordre parfaitement terroriste à venir, l’Académie, toutes tendances politiques confondues, se porte, unanime, au secours de ce qui reste de notre âme.
Alors, par ces jours de grand soleil d’été, merci gentes Dames et nobles Messieurs. Vous avez eu mille fois raison de quitter l’habit vert pour le treillis du combattant. Ne souriez point. Nous sommes dans une guerre, vous le savez mieux que quiconque, une guerre qui laissera les plus faibles sur le carreau des civilisations disparues, des cultures sous contrôle et des libertés perdues. Ce triangle mortel se nomme défaite. En vous engouffrant dans la faille que la très grande stupidité dogmatique de nos maîtres du moment approfondissent un peu plus chaque jour, vous faites acte de résistance, la résistance étant, nous l’avons vous et nous appris il n’y a pas si longtemps, le premier acte de la renaissance.
Alain Dubos
Écrivain-Médecin.
Prix Historia 2012.




Mgr Dubost, en un mot, vous trahissez

DubostMonseigneur,
A votre tour, vous éprouvez le besoin d’entrer dans la danse de mort au bout de laquelle, ivre, matraquée de toutes parts, vidée de ses dernières forces, la France, votre patrie livrée à l’encan, est supposée se savoir purement et simplement rayée de la lignée des civilisations.
http://oumma.com/220720/leveque-devry-prefere-eglises-deviennent-mosquees-plu?
Par cette affirmation sur laquelle vos pires ennemis se jettent comme le rapace sur la brebis égarée, vous êtes aussi entré, Monseigneur, par ces mots terribles, dans la vaste famille de la forfaiture française, négatif de notre Histoire où copulent, enlacés, Cauchon et Bousquet, Concini et Ganelon, Boudarel et vous-même béatifié par un Laval de passage à Sigmaringen.
“Plutôt des mosquées que des restaurants”, dites vous. Quelle méconnaissance du génie de notre nation, qui a su, en maints endroits, donner à des vieilles pierres à l’abandon un souffle nouveau en en faisant tout simplement des lieux de mémoire et de fête. Comptera-t-on les abbayes, couvents, cloîtres promis aux ronces et au salpêtre, réanimés pour qu’on y célèbre la jolie musique des mariages, des baptêmes, des anniversaires, des réunions d’anciens et, sans doute dérisoire à vos oreilles de vieillard sans affect, celle d’un Schubert, d’un Mozart, d’un Bach ou d’un Prokofiev sous les doigts et les gorges inspirés d’un Casals espagnol, d’un Ciccolini italien, d’une Kanawa japonaise ou d’un Menuhin, juif universel en qui se rassembla tout entier le talent d’un Dieu amoureux de ses créatures.
La chrétienté, Monseigneur, ce luxe fécond que le caprice des hommes se sera offert pendant deux mille ans, meurt par des gens comme vous. À la sécheresse de votre visage et de votre coeur répond la voracité des prédateurs que vous faites, d’un trait de votre acide et méprisant désamour pour nous, propriétaires de votre domaine sacré. Fatigué, rictus aux lèvres, incapable de répondre au désarroi immense de vos ouailles, vous rendez enfin la clé du sanctuaire à ceux qui, tant de fois, se brisèrent les dents sur elle. En un mot très simple, vous trahissez. Voyez la joie à peine masquée de vos prochains maîtres ; elle est l’exact reflet de votre défaite.
Votre orgueil, dérisoire, en devient méprisable. Car c’est bien de cela qu’il s’agit. Quand votre devoir serait de dresser votre communauté contre sa mise sous tutelle programmée, vous livrez gens et choses, comme on le fit autrefois de comtés, de royaumes, de peuples, de communes destinées. Peut-être serait-il pertinent de demander aux intéressés d’aujourd’hui ce qu’ils en pensent. Qu’importe en effet la vacuité des églises et chapelles de France si leur silence, leur grâce, leur seule présence, autorisent que l’on y retrouve, esseulé, des choses de soi et des autres enfouies, oubliées, perdues ?
Ce sondage n’aura jamais lieu. La grande braderie a commencé, dont vous êtes le moteur.
Alors, croyez-vous que nous laisserons se courir cette étape supplémentaire vers l’hôtel de passe que des Attali, des Cambadelis, des Plenel, appellent de leurs sordides fantasmes ? Ici, au risque de vous décevoir, je vous dis qu’il ne peut plus en aller ainsi, car si des autorités morales comme vous se couchent afin qu’on les laisse dormir, il en est d’autres qui sont prêtes à prendre les décisions que votre petite lâcheté de prélat dédaigné vous empêche manifestement d’assumer.
Alain Dubos




Aux camarades Mélenchon et Corbière, qui rêvent d'éradiquer la France d'avant 1789

VersaillesCamarade Mélenchon,
Camarade Corbières,
Les rois dont vous accusez le charmant, érudit et très inoffensif Stéphane Bern d’être la malfaisante créature, ont oeuvré durant près de quatorze siècles pour construire ce que manifestement vous rêvez de démolir à coups de certitudes imbéciles. Vous concernant, ces deux mots sont tout sauf un oxymore, vous l’aurez compris.
Ces hommes (et ces femmes ; pas mal d’entre elles, en fait, régnèrent) dont vous eussiez sans aucun doute apprécié de contempler les cadavres démembrés, décapités, brûlés, profanés, pulvérisés, furent de caractères et de tempéraments fort différents. Il y en eut ainsi de braves et de poltrons, de désinvoltes et d’obstinés, de magnifiques et de discrets, d’intelligents et de bornés, de sages et de fous. Les choses sont-elles vraiment différentes à la tête de nos partis politiques “modernes” ? Vous-mêmes, où donc vous placez-vous dans ce fourre-tout si basiquement humain ?
Les rois, donc. Durant tout ce temps, et quelles que fussent leurs capacités à gouverner, ils eurent en tête la constitution puis la défense donc la pérennité, à partir d’éléments plutôt disparates, d’un ensemble que l’on se plait encore, ici et là, à nommer selon l’humeur pays, nation, terroir, patrie. France. Ou cauchemar pour grand soir embourgeoisé jusqu’à l’os. Là, bien sûr, c’est de vos rêves agités dont qu’il s’agit.
Disert et heureux de partager notre royale et commune, que vous le vouliez ou non, saga, Bern nous raconte ce qui fut l’odyssée française pour l’essentiel de sa durée. De Clovis à Louis-Philippe, quatorze siècles, palsambleu, ce n’est pas rien ! Quel roman, quand en parallèle vos aimables frangins coraniques des déserts d’Arabie, des madrasas de Lahore, des harems d’Istanbul, des mosquées du 93 et des fosses communes de l’Etat Islamique n’ont pas changé une seule virgule du leur. C’est Dumas contre Boukhari, l’amour courtois contre le voile imposé, la liberté de créer, d’inventer, de souffrir et d’aimer contre la mille-deuxième nuit, celle qui, hantée par vous, referma pour toujours la boite à fantasmes orientaux.
Bern raconte l’Histoire dans ses justes proportions de temps. Votre pays, camarades, n’est pas né en 1789. J’irai même plus loin : Empires, Républiques, État, combien de morts violentes, en deux seuls petits siècles, comparées aux guerres d’avant la Convention ? J’ose : la Vendée de Westermann (qui se fit faire des abats-jour en peau de chouan, ça vous rappelle quelque chose ?) a tué en quelques semaines davantage de gens que mille quatre cents ans d’épopée monarchique. On parie ?
corbieremelenchonAlors, plutôt que d’accabler un hôte dont les manières sont aux vôtres ce que le trait de Fragonard est à celui d’Otto Dix, vous feriez mieux de vous occuper de la souffrance citoyenne étalée au bas des murailles de vos forteresses. Celle-là est d’aujourd’hui, et elle… Empire !
Finissons malgré tout sur une note souriante : les amours d’Henri IV, les complots des Valois, les poisons de Versailles et même la destinée tragi-comique du Général Boulanger, ça a une autre allure que la gâterie, au frais du contribuable, qui envoya ad patres le bien ordinaire Président Felix Faure. On a les modèles que l’on veut. Les vôtres font comme tout le monde ce qu’ils peuvent pour passionner les historiens. Je ne nie bien sûr pas leur intérêt. Permettez-moi cependant de préférer les états d’âme d’un François 1er tourmenté, défendant la France encerclée par Charles V, à ceux d’un Robespierre décrétant froidement la Terreur sur l’ensemble du territoire.
Alain Dubos
Écrivain-médecin
Prix Historia 2012




Réponse au francophobe Askolovitch, pour qui Jeanne d'Arc n'a jamais existé

Ri7askolovitch-fourestQuelques temps après que l’ineffable Jamel Debbouze nous eut informé que l’Islam est en France depuis trois mille ans, au moment où François Hollande nous révèle que notre belle patrie, berceau de la salsa, du mambo, du cha-cha-cha, du blue-grass et de la mazurka, est très logiquement un pays caribéen et sud-américain, voici le très dispensable Claude Askolovitch et sa certitude du jour : Jeanne d’Arc n’a jamais existé (à partir de 32’50).
https://www.youtube.com/watch?v=1NN9tRS0HvI
https://www.youtube.com/watch?v=1NN9tRS0HvI
Pourtant, s’il est un personnage médiéval doté d’une bibliographie hors-pair, c’est bien celui-là. Témoignages de contemporains, minutes de procès, déclarations d’icelle, tout équivaut, chose extraordinaire pour l’époque, à une instruction d’aujourd’hui. Mais de cela, Claude Askolovitch se fout Charleseptement. Claude Askolovitch n’aime pas Jeanne d’Arc, comme il déteste le pays qu’elle libère, la religion qu’elle appelle à son secours, le peuple qui se soulèvera dans son ombre encore fumante.
Claude Askolovitch hait la France comme il hait le citoyen libre que je suis. Et la France, bonne fille, lui offre, malgré mes avertissements et avec sans doute l’argent de l’étranger, la résonance dont son idiotie très inutile à mon avis a besoin pour corrompre. La France est pour Claude Askolovitch un scénario demeuré depuis deux millénaires dans les tiroirs d’une production occupée ailleurs. Rien. Poubellisable. Chimère.
Ainsi, mon aïeul Colonel dans la Garde Impériale, quittant Napoléon à Waterloo vingt ans après avoir croisé, jeune engagé, Bonaparte à Toulon, n’est-il qu’une fiction sortie du cerveau fantasque d’un Guitry pour Cinémascope. Donc, mes deux grands-pères rescapés de Verdun ne sont-ils, ayant rempli un devoir jugé très superfétatoire par leurs fossoyeurs attablés Place de Clichy et reluquant les jolis culs passant à hauteur de leurs fantasmes, que des touristes zombies imprudemment aventurés sur un terrain fleuri au mimosa par de vrais acteurs de la vraie Histoire.
Ainsi mon père, médecin remobilisé par les Alliés en 42, canardé par l’aviation italienne sur une route de Tunisie, ne fut-il qu’un comparse du scénario écrit par Debbouze, costumé par Roger-Petit et mis en scène par le clone d’Askolovitch. Point d’orgue de cette virtualité française odieusement érigée en prétention à la mémoire, fiction que ma propre existence égarée, au moment où il le fallait, dans des endroits sanglants du monde où je n’avais aucune chance de rencontrer les contempteurs des personnages dont il vient d’être question, tant ces savonnettes aux fumets de compost printanier éviteront jusqu’à leur dernière heure de se risquer loin de leurs charentaises, claviers, studios d’enregistrement et autres tribunes d’où l’on admoneste le pauvre peuple pour des salaires multipliant le sien par dix, vingt, cinquante, cent ou mille. Insane comédie. Fumure pour champs de cannabis urbains.
Je regarde Claude Askolovitch s’exprimant aux heures de grande écoute. Chacun de ses mots, chacune de ses phrases, la moindre de ses mimiques, n’est qu’effort de violence variable pour extirper d’un corps étique la pensée trop longtemps retenue. De cette physiologie pour compresseur de viande halal sous cellophane émerge un constat clinique : Claude Askolovitch parle comme on défèque, dans la douleur, au déboulé de trop longues constipations.
En ce cas, la Faculté est formelle : on se referme comme on peut le fondement, on tire la chasse et « à vous les égouts de Paris ». Bonne route, camarade. À ce qui se dit, on peut encore, par endroits, y flotter.
Alain Dubos
PS : afin de clore, pour ce qui me concerne, un débat mouvant, est “de souche” toute personne, quelle que soit son origine, sa couleur, sa croyance, qui se lève à un moment donné pour dire “la France est ma seule patrie”.  




Chers confrères de Charlie, ferez-vous preuve de solidarité envers le dessinateur Ri7 ?

Chers confrères de Charlie,
possesseur jaloux d’incunables H.K mensuel des années 60, de la totale H.K-Hebdo “Bal tragique” compris, d’un paquet de C.H et de quelques tirés-à part-reiseroïdes, wolinskyiens, cavannesques, choroniques entre autres œuvres immortelles de Fred, Gébé, Cabu, j’en passe et des pires, je me sens fondé à vous poser, au vu du dessin qui mène aujourd’hui Riposte Laïque au tribunal, cette question :
3
si une aussi vénielle moquerie débouche sur une mise au pilori de gens s’exprimant librement dans une authentique démocratie, où vous conduiront désormais les très pamphlétaires et insolentes pesanteurs dont vous accablez à nouveau, passé le temps du deuil, ces gouvernants dont les plus haut placés se sont révélés être vos amis proches ? (Question connexe : sommes-nous toujours en démocratie ? Il est permis de réfléchir encore un peu avant de répondre)
Vous objecterez, avec raison, que vous avez récemment payé votre liberté d’expression un prix exorbitant. C’est vrai. Vous aurez constaté, je pense, à cette occasion, ce qui sépare le droit de railler tel que nous le concevons depuis plus de deux siècles du devoir de tuer, de par le vaste monde et jusqu’au cœur de nos sociétés, ceux qui comme vous et nous, ne s’alignent pas sur les pensées dominantes de la guerre de conquête en cours. Avez-vous bien compris cela ?
Debout le 11 Janvier dans un élan aussi massif qu’éphémère, la France, à défaut de désigner clairement un coupable pourtant fort visible, ce qui eut froissé quelques susceptibilités orientales et d’ici également, vous a manifesté sinon sa compassion réelle, du moins son désir de vous savoir encore capables de moquer le puissant pour rassurer le faible. Vous existez toujours, sous haute protection pas seulement policière et, quoique je vous aie quittés depuis assez longtemps, je m’en réjouis très sincèrement.
D’où ma question, posée d’une autre manière, ou prolongée, comme l’on voudra, par ceci : si vous estimez que la plainte de Madame le Maire de Paris piétine pour vraiment peu de matière cette liberté de dire et de montrer qui nous est à tous très chère, aurez-vous, pour nous que l’on accuse aujourd’hui d’une épouvantable diffamation, les mots de solidarité qu’un peuple porté par ses dirigeants et ses médias eut pour vous au début de cette année entre toutes sanglante ?
Oh, nous ne vous demandons pas grand chose en vérité, simplement ce que vous exigez, semaine après semaine, des gens dont vous faites votre miel : qu’on nous foute la paix, aux uns et aux autres, surtout lorsque, dans l’indifférence le plus souvent, le déni sur plateau télé pour la galerie, le mépris verbeux quand manquent les arguments, l’on observe les lucides s’épuisant, depuis des années, à pointer du doigt la mèche allumée, déjà tueuse vous le savez hélas, qui mène droit au baril de poudre.
Par avance, merci, en espérant pour vous que les collectionneurs de C.H auront quoi qu’il advienne de belles décennies devant eux.
Alain Dubos
Écrivain-médecin.
PS : l’information circule sur la toile :
http://www.bvoltaire.fr/pierrecassen/anne-hidalgo-envoie-un-dessinateur-au-tribunal-pas-vraiment-charlie,169489
http://lemontventoux.skynetblogs.be/apps/m/archive/2015/04/08/quand-la-mairesse-de-paris-prend-la-mouche-8416894.html
http://www.ojim.fr/jetais-charlie-un-dessinateur-poursuivi-par-anne-hidalgo/?utm_source=Newsletter&utm_campaign=2600574e07-mailchimp&utm_medium=email&utm_term=0_ca15a58a97-2600574e07-71456101
 




A quand un jet d'acide au visage de Mona Lisa ?

1 de couvUn peu avant les attentats du 11 Septembre, en Mars 2011, les Talibans afghans ont commis un acte définitif : la mise à mort d’un millier d’années de civilisation orientale, dans un lieu jusque là préservé soit par souci authentique de mémoire, soit par simple indifférence au temps et aux pierres des autres. La destruction des Bouddhas de Bamyan par les Nazis du lointain Levant demeure l’un des actes les plus tristes que la bêtise idéologique (toutes catégories confondues) ait commis depuis que l’on est capable d’enregistrer ses méfaits, donc d’en garder la trace vive.
http://archaeology.about.com/od/heritagemanagement/a/buddha.htm
Ce jour-là, le souvenir d’avoir gravi, un jour de l’été 1970, l’étroit et raide escalier menant au sommet du grand Bouddha pour contempler, des heures durant, la paisible et verte plaine de Bamyan, me tira des larmes. Larmes de colère, de rage, de vengeance désirée. Je pensais à la guerre inéluctable qui suivrait ce geste. Je ne savais quel visage elle prendrait. Un matin à Manhattan m’apporta, six mois précisément après, la réponse.
Voici que, quarante cinq ans plus tard, par une sorte de jeu de balle, le Musée de Baghdad ouvre à nouveau ses portes pas très loin de la vallée afghane suppliciée.
http://www.orange.mu/kinews/afp/actualites/398591/le-musee-de-bagdad-rouvre-ses-portes-douze-ans-apres-avoir-ete-pille.html
On y a rassemblé, après pillage là aussi, tout ce qu’il fut possible de sauver au fil de ces interminables années d’une guerre dont on n’a pas encore trouvé le nom, guerre pour laquelle je propose tout bêtement celui de IIIè Mondiale. Elle est en effet partout sur cette planète où les plus sourds, les plus aveugles, les plus obstinés à la négation finiront par découvrir, forcés, son origine une et indivisible, imprescriptible et conquérante, acharnée comme nulle autre à réduire tout ce qui, depuis quatorze siècles, lui résiste.
C’est qu’entre le massacre des Bouddhas et la ré-ouverture tremblotante, aléatoire, d’un musée, il y a, tolérée de fait par le plus grand nombre, par la masse comme on dit, l’annihilation systématique que les très lucides fossoyeurs de la Mésopotamie ancienne ont commencée. À leur secours, complice d’un ignoble trafic tueur de milliers d’innocents, grenouille la foire aux antiquités dont les gestionnaires méritent tout comme eux ce qu’en temps de guerre il est légitime et normal de nommer poteau. Avec douze balles pour compagnie vers les jardins d’Allah, que l’on soit français, qatari, irakien ou autre. Douze balles pour vidanger la pourriture. Et bon voyage.
https://images.search.yahoo.com/yhs/search;_ylt=A0LEVrdUIPNUA4AAOygPxQt.;_ylu=X3oDMTB0b2ZrZmU3BHNlYwNzYwRjb2xvA2JmMQR2dGlkA1lIUzAwMl8x?_adv_prop=image&fr=yhs-iry-fullyhosted_011&va=musée+mossoul&hspart=iry&hsimp=yhs-fullyhosted_011
On me dit qu’il y avait là des copies sans valeur d’oeuvres abritées ailleurs. Et alors, bandes de lâches ! À ce jour, la civilisation telle que nous la concevons poursuit, cernée, piquée, tourmentée, trahie de l’intérieur, sa retraite. Ses coups de boutoir sont ceux du condamné sous sac plastique, façon Pol Pot-Badiou, de l’égorgé quand son sang commence à jaillir de ses artères, façon Calife-Lunel, de la petite chrétienne de Syrie violée à dix ans par cent cinquante observants du dogme à la lettre, version monstrueuse de la tournante du vendredi à Saint-Denis.
Saint-Denis ! Terre de France perdue.
Rage et colère. Impuissance. Christiane Taubira à la barre du navire et Frère Tarik chef de chaudière. BHL au 115 de marine. Askolovitch pour l’amarrage aux bittes, Lang pour les jeux enfantins à la mi-temps du match et Attali à la serpillère du croiseur France. E la nave va.
Un jour ou l’autre, Mona Lisa recevra le jet d’acide qui la fera grimacer sur sa toile fondue. Des femen en burqua pétroleront Notre-Dame et Manuel Valls sera Président de la République de Catalogne. Je plaisante, évidemment. Mesdames et messieurs les munichois de nos temps incertains, est-il permis de rire un peu, et de tout, lorsque l’on n’est pas de votre écrasante pensée ?
Alain Dubos




Lettre à Madame Bettencourt

Madame,
Je vous imagine regardant par la fenêtre le spectacle de la rue. Sur le trottoir, des chiens se courent après, se mordent, se terrassent avant qu’on les sépare. Vous vous dites que c’est là violence de la nature. Oui. C’est très exactement ce qui se passe au Palais de Justice de Paris, où l’on tente d’y voir clair dans un de ces opaques brouillards dont raffolent les médias indifférents, les gueux, à la vraie barbarie du monde.
Des gens vous entourent. Je souhaite très sincèrement qu’ils soient pour vous douceur et caresses, paroles apaisantes, famille. Tout être vivant a droit à cela. Vous, comme les autres, du plus humble, anonyme, de vos employés au plus fortuné de vos pairs.
Tandis que des crapules grâce à vous millionnaires se disputent le redoutable privilège d’échapper à la rédemption de leurs fautes envers vous, vous voyagez dans le souvenir de ce que vous fûtes : l’héritière d’un colosse aux allures de dandy français, la patronne d’un empire suffisant pour donner à votre pays la fragrance de son industrie dite “légère”, en vérité, le parfum et la texture de son génie.
De tous les socles industriels sur lesquels ma patrie s’est appuyée pour survivre au fil des siècles, il ne reste en vérité pas grand chose. La demeure ne tient plus, depuis longtemps déjà, que par l’armature d’un béton pulvérisé par les marteaux-piqueurs de ce que j’appelle “cantonniers du pire”. Vous avez côtoyé ces gens-là. Bien conseillée je suppose, vous avez résisté à leur besogne de sape, à leur appétit de fauves, à leur logique de mort. Loréal vit encore en France sous ses couleurs d’origine, ses compagnons se comptent aujourd’hui sur les doigts d’une main. Il faudrait en persuader le peuple, afin qu’il prenne conscience du  dénuement qui le livre à la prédation. Vaste projet.
Ce qui se passe en votre nom au tribunal est ainsi une scorie dans le cours de votre vie, et dans celui de la France. Rien. Des chiens conforté par des porcs s’y déchirent pour les serpillères qu’ils confondent avec les étendards de leur soi-disant honneur. On a les batailles que l’on peut, les victoires que l’on mérite. Vous avez, je le sais, relégué tout cela dans les poubelles de votre cheminement. Il est en revanche forcément des gens, de par le vaste univers, auxquels vous avez, pour de bon et sciemment, sauvé la vie. Un seul de ceux-là  témoignera que, par lui, vous avez d’ores et déjà gagné votre paradis.
Laissez le reste dans le caniveau, Madame. Ca pue, de toutes parts, ça se répand comme une traînée méphitique n’obligeant que ceux qui la sécrètent. Contemplez, de votre fenêtre, l’hiver. Reposez vous. Les foules innombrables de citoyens qui vous doivent la dignité vous remercient d’avoir, à votre discrète manière, veillé sur eux.
Alain Dubos 




Le seul qui s'amuse pour de bon, c'est Houellebecq !

HouellebecqsoumissionSi la basse-cour médiatique, ce foutoir où l’ignorance des choses le dispute, gueulante, péremptoire, ivre d’elle-même, à la prétention de les expliquer, si donc cet espace boueux où piétinent coqs et poules, chapons et paons, l’un sur le dos de l’autre et la pile de tous accumulée ne cessant de croître, se meublait de quelque mémoire applicable à l’équation Houellebecq, deux noms lui viendraient à l’esprit. Ce mot étant pris dans son sens strictement virtuel, sa matérialité étant ici un fantasme de témoin accablé.
Les noms ? Pierre Drieu la Rochelle et Louis-Ferdinand Céline.
Qu’ai-je écrit là ! À l’abri d’une épaisse cuirasse fondue dans le métal des tracto-pelles curant les marécages envasés, je m’explique. En deux mots, Michel Houellebecq est à mes yeux non pas l’héritier de ces génies égarés dans la vaste nuit des barbaries, mais comme eux, un cynique dont la vision va bien au-delà des grilles du poulailler derrière lesquelles on aimerait tant l’enfermer à son tour. “Petits, petits, petits“, chantonnait ma grand-mère en jetant du grain à sa volaille. “Gentil Mimi, gentil poulet, petit, petit”, ah, si le bougre voulait bien se laisser nourrir ainsi, caquetant en harmonie avec la confrérie, humblement penché vers la terre et remerciant pour l’aumône d’un petit coup de croupion, comme le monde serait plus simple.
Mais voilà. C’est qu’il a des visions, le déplumé. Comme en avaient les anars de droite de son calibre, les Audiard, Blier, Dard, Perret, Boudard, Blondin, entre autres ricanants désespérés de devoir subir, et le faisant savoir. Il y a trente ans, ça passait, dans une France encore bon enfant, revenue cabossée de pas mal de choses et se foutant d’elle-même avec le talent de ces uniques. En 2015, c’est différent. La guillotine médiatique se proclame humour choisi, l’argent venu d’ailleurs se statufie talent, l’esprit se coule dans le cerveau des autres pourvu qu’il épargne le très aristocratique sacré des egos au pouvoir. La catastrophe est nationale, costumes de foire, décors d’empoigne.
Parce qu’il annonce, à sa manière de peine-à-jouir toussant sa nicotine, un désastre ressemblant fort à celui que connurent mes parents quand le brouillard de la désinformation se leva sur l’Allemagne nazie, Houellebecq est mis, à peine son livre en place sur les gondoles, au ban de la non-société oestrogénée qui vit en vérité de lui. La meute est à ses basques. Et pourtant.
Et pourtant, dans un style, une forme et un ton évidemment différents, il n’en prédit pas davantage que Le voyage au bout de la nuit, ou que Gilles. J’ajoute à ces deux-là La grande illusion, de Renoir, qui décrit avec une précision d’horloger suisse ce que sera la débâcle de 1940, et la fin de la France. Ces oeuvres sont nées avant la guerre, en des temps incertains où comme de nos jours, vivre importait plus que penser. Ce que le second conflit mondial fit de ces oracles est une autre histoire, et là est le drame, pour nous aujourd’hui. Sans autre culture que leur reflet dans la glace, sans autre mémoire que celle de leur compte en banque, sans autre souci que l’amalgame, l’approximation, le négationnisme et la malhonnêteté intellectuelle susceptibles de les protéger encore quelque temps, les grandes gueules de tout poil qui mènent le peuple français à sa ruine se garderont bien de ces références pourtant limpides. Renoir est au musée, Drieu au purgatoire et Céline en enfer. Effaré, le peuple espère quant à lui qu’on le tirera bientôt de son somnolent cauchemar. Il risque d’attendre encore.
Ainsi Houellebecq va-t-il devoir affronter une houle semée de grains et de bourrasques. Regardant les photos peu gratifiantes que l’on montre complaisamment de lui ces jours-ci, parce que la médiocrité des uns ne peut se goberger que de l’abaissement des autres, je me dis que physiquement, il n’est pas sans ressembler au caporal Destouches relisant “Casse-pipe” dans sa maison de Meudon. Je me dis aussi que de la meute, des chasseurs, des flingues et de la curée, il n’a, ayant dit à sa façon sa vérité et jouant déjà les andouilles, strictement rien à foutre.
Ce en quoi il a parfaitement raison.
Alain Dubos