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Le mot "jeune", symbole des nouveaux Tartuffe du politiquement correct

“Logophobie” et désinformation

Tartuffe demandait de couvrir ce sein qu’il ne saurait voir. Les modernes Tartuffes du politiquement correct agissent de même devant le vocabulaire.
31/12/2010 : incendie volontaire dans un dépôt de nourriture des restos du cœur. Deux auteurs de cette crapulerie sont arrêtés ; selon la presse domestiquée, il s’agirait de deux «jeunes».
En bon français, «Jeune» désignait naguère un adolescent, grosso modo entre 15 et 18 ans. Désormais, le politiquement correct imposé aux journalistes en livrée, que nos écoles du journalisme formatent en grande série, instaure une sémantique positivement discriminatoire en faveur de la «diversité» qui prolonge la «jeunesse» de celle-ci au-delà de 30, voire 40 ans, au point que nous avons des «jeunes» pères de famille nombreuse, parfois polygames, ce qui permet de supposer sans risque de se tromper, et sans pour autant faire preuve de racisme ou de xénophobie, que les deux auteurs de l’incendie de Roubaix, respectivement âgés de 20 et 30 ans, sont issus de la diversité.
Mais la «diversité» souffre elle aussi d’une sémantique positivement discriminatoire à géométrie variable. Le politique ment correct, tel qu’il est enseigné aux journalistes, réserve le terme «diversité» aux communautés islamiques maghrébines ou «subsahariennes» (c’est plus flou mais plus politiquement correct que «Noirs») qu’il est incorrect de désigner en tant que tels et même de donner leur nom qui trahirait leur particularité ethnique. En revanche, les Roms et au autres «Gens du voyage» peuvent être désignés comme tels en tant qu’auteurs de violences, de vols à main armée ou de vol de métaux, nullement imaginaires. Mais ne disposant d’aucun Etat, d’aucun gisement de pétrole, donc d’aucune richesse susceptible d’acheter nos hommes politiques ni nos grandes consciences, ils n’ont aucun moyen de pression sur nos gouvernements et, de ce fait, leurs malheureux délinquants ne peuvent échapper aux rigueurs de la loi. Exactions et turpitudes.
Couvrez moi aussi ce nombre de voitures brûlées. Ainsi, par décision de notre ministre de l’intérieur (qui est aussi le ministre des cultes), il nous sera difficile de connaître le nombre de voitures que les jeunes «issus de la diversité» (je tiens à cette précision qui disculpe les jeunes simplement jeunes) auront brûlées. C’est l’art du blanchiment de la diversité, jusque là réservé à l’argent sale. Mais tout cela peut plus simplement se traduire par un mot, un seul, qui caractérise le totalitarisme illustré par l’hitlérisme, le communisme dans toutes ses versions et, à présent, l’islamisme : la désinformation, qui a pour outil un langage qu’Orwell appelait Novlangue et Victor Klemperer LTI ou Langue du Troisième Reich.
A l’instar de leurs précurseurs soviétiques, maoïstes, trotskystes ou khmères rouges, sans oublier, ça va de soi, les nazis, nos contempteurs et délateurs qui nous dénoncent comme sympathisants du FN, se révèlent comme une réserve plus ou moins corrompue de collabos et apparatchiks du nouveau totalitarisme qui nous menace. Leurs vociférations n’ont pour but que de couvrir le bruit des bottes de ce totalitarisme en marche vers la destruction de l’Occident, avec ce que cela comporte de liberté et de droit de vivre dans la dignité et l’égalité sans distinction de sexe, de croyance religieuse ou philosophique.
Aux armes, citoyens… Notre arme à nous, animateurs ou chroniqueurs et surtout fidèles lecteurs des sites internet résistants et libres, c’est la parole. Utilisons là pour traquer les agents du totalitarisme : politiciens, journalistes de toutes les formes de médias, pseudos intellos s’érigeant en commissaires politiques, faux prophètes et vrais imposteurs. Décortiquons leurs écrits, passons au crible leurs paroles et confrontons les à la réalité. Démasquons leur imposture et affaiblissons-les. Comme pour le dressage des chiots à la propreté, mettons leur le nez dans leur caca.
L’internet est une arme formidable contre les grands médias qui sont la propriété de puissants intérêts financiers, politiques et idéologiques. Comment dès lors peut-on leur faire confiance ? Entre l’intérêt du peuple et leur propre intérêt, leur choix est vite fait. Soyons le véritable contre pouvoir, faites connaître nos sites, retransmettez nos articles parmi vos relations. C’est le premier moyen de stériliser ces agents de la trahison. Le totalitarisme ne triomphe que là où les forces vives, capables de le mettre en échec, sont divisées et neutralisées par la trahison. Boutons le totalitarisme hors d’Europe. Que chacun d’entre nous en fasse son objectif de l’année 2011. «Yes, we can»
Bonne et heureuse année.
André Dufour
Paru sur le site LibertyVox :
http://www.libertyvox.com/article.php?id=443




Le mot “jeune”, symbole des nouveaux Tartuffe du politiquement correct

“Logophobie” et désinformation

Tartuffe demandait de couvrir ce sein qu’il ne saurait voir. Les modernes Tartuffes du politiquement correct agissent de même devant le vocabulaire.

31/12/2010 : incendie volontaire dans un dépôt de nourriture des restos du cœur. Deux auteurs de cette crapulerie sont arrêtés ; selon la presse domestiquée, il s’agirait de deux «jeunes».
En bon français, «Jeune» désignait naguère un adolescent, grosso modo entre 15 et 18 ans. Désormais, le politiquement correct imposé aux journalistes en livrée, que nos écoles du journalisme formatent en grande série, instaure une sémantique positivement discriminatoire en faveur de la «diversité» qui prolonge la «jeunesse» de celle-ci au-delà de 30, voire 40 ans, au point que nous avons des «jeunes» pères de famille nombreuse, parfois polygames, ce qui permet de supposer sans risque de se tromper, et sans pour autant faire preuve de racisme ou de xénophobie, que les deux auteurs de l’incendie de Roubaix, respectivement âgés de 20 et 30 ans, sont issus de la diversité.

Mais la «diversité» souffre elle aussi d’une sémantique positivement discriminatoire à géométrie variable. Le politique ment correct, tel qu’il est enseigné aux journalistes, réserve le terme «diversité» aux communautés islamiques maghrébines ou «subsahariennes» (c’est plus flou mais plus politiquement correct que «Noirs») qu’il est incorrect de désigner en tant que tels et même de donner leur nom qui trahirait leur particularité ethnique. En revanche, les Roms et au autres «Gens du voyage» peuvent être désignés comme tels en tant qu’auteurs de violences, de vols à main armée ou de vol de métaux, nullement imaginaires. Mais ne disposant d’aucun Etat, d’aucun gisement de pétrole, donc d’aucune richesse susceptible d’acheter nos hommes politiques ni nos grandes consciences, ils n’ont aucun moyen de pression sur nos gouvernements et, de ce fait, leurs malheureux délinquants ne peuvent échapper aux rigueurs de la loi. Exactions et turpitudes.

Couvrez moi aussi ce nombre de voitures brûlées. Ainsi, par décision de notre ministre de l’intérieur (qui est aussi le ministre des cultes), il nous sera difficile de connaître le nombre de voitures que les jeunes «issus de la diversité» (je tiens à cette précision qui disculpe les jeunes simplement jeunes) auront brûlées. C’est l’art du blanchiment de la diversité, jusque là réservé à l’argent sale. Mais tout cela peut plus simplement se traduire par un mot, un seul, qui caractérise le totalitarisme illustré par l’hitlérisme, le communisme dans toutes ses versions et, à présent, l’islamisme : la désinformation, qui a pour outil un langage qu’Orwell appelait Novlangue et Victor Klemperer LTI ou Langue du Troisième Reich.

A l’instar de leurs précurseurs soviétiques, maoïstes, trotskystes ou khmères rouges, sans oublier, ça va de soi, les nazis, nos contempteurs et délateurs qui nous dénoncent comme sympathisants du FN, se révèlent comme une réserve plus ou moins corrompue de collabos et apparatchiks du nouveau totalitarisme qui nous menace. Leurs vociférations n’ont pour but que de couvrir le bruit des bottes de ce totalitarisme en marche vers la destruction de l’Occident, avec ce que cela comporte de liberté et de droit de vivre dans la dignité et l’égalité sans distinction de sexe, de croyance religieuse ou philosophique.

Aux armes, citoyens… Notre arme à nous, animateurs ou chroniqueurs et surtout fidèles lecteurs des sites internet résistants et libres, c’est la parole. Utilisons là pour traquer les agents du totalitarisme : politiciens, journalistes de toutes les formes de médias, pseudos intellos s’érigeant en commissaires politiques, faux prophètes et vrais imposteurs. Décortiquons leurs écrits, passons au crible leurs paroles et confrontons les à la réalité. Démasquons leur imposture et affaiblissons-les. Comme pour le dressage des chiots à la propreté, mettons leur le nez dans leur caca.

L’internet est une arme formidable contre les grands médias qui sont la propriété de puissants intérêts financiers, politiques et idéologiques. Comment dès lors peut-on leur faire confiance ? Entre l’intérêt du peuple et leur propre intérêt, leur choix est vite fait. Soyons le véritable contre pouvoir, faites connaître nos sites, retransmettez nos articles parmi vos relations. C’est le premier moyen de stériliser ces agents de la trahison. Le totalitarisme ne triomphe que là où les forces vives, capables de le mettre en échec, sont divisées et neutralisées par la trahison. Boutons le totalitarisme hors d’Europe. Que chacun d’entre nous en fasse son objectif de l’année 2011. «Yes, we can»

Bonne et heureuse année.

André Dufour

Paru sur le site LibertyVox :

http://www.libertyvox.com/article.php?id=443




Les pagures des « diversitaires »

Après dix mois de silence, un article d’André Dufour ! C’est le cadeau de Noël de LibertyVox. Riposte Laïque publie donc avec un grand plaisir ce texte d’un Résistant qui approche les 90 ans, et qui montre toujours une qualité d’écriture qui nous laisse admiratif.
http://www.libertyvox.com/article.php?id=441
Le pagure, plus connu sous le nom de Bernard-l’ermite, est ce petit crustacé qui élit domicile dans la coquille vidée d’un gastéropode et en prend ainsi l’aspect.
C’est à ce squatteur que me font penser les idéologues, les intellos, les divers censeurs de nos pensées, ou les politiciens de tout l’éventail politique, prétendument laïques, qui désignent comme « identitaires », donc adeptes du Front National, les publications telles que LibertyVox ou Riposte Laïque qui ont le tort de lutter, sans la moindre concession, pour la liberté absolue de conscience, la laïcité sans bémol, le respect total de la légalité républicaine, la démocratie, l’égalité entre hommes et femmes, contre toute discrimination fut-elle « positive », et contre le racisme d’où qu’il émane et quelle qu’en soit la cible, c’est ce qui nous distingue des antiracistes ou des laïcistes sélectifs et nous vaut leurs mouchardages continus.
Nous ne pouvons que mépriser ces délateurs diffamateurs ; ils ne sont que des résidus du stalinisme dont ils on recyclé les officines de la désinformation. Ils ne sont que les clones des staliniens membres de la nomenklatura qui n’avaient du communisme que la carte du Parti et envoyaient au goulag ou livraient au bourreau les authentiques communistes qui avaient fait la révolution, accusés de collusion avec Hitler ou avec l’impérialisme capitaliste. Ces usurpateurs d’identité sont bien dans la continuité de l’immonde. Mais ne le leur dites pas, ça pourrait les vexer et leur faire de la peine.
Installés dans ces coquilles trompeuses qu’ils squattent, ces nantis politiquement corrects tiennent le discours de gauche, des droits de l’homme, d’antiracisme, de tolérance, d’internationalisme, de pacifisme, d’idéal maçonnique ou chrétien, et j’en passe, dont ils connaissent parfaitement les codes ; ils prétendent agir au nom de ces causes honorables alors qu’ils ne font que s’en servir ; mais pour eux, ces idéaux ne sont que des faire valoir quand ce ne sont pas des sources de revenus. Délibérément ou par psittacisme, voire par crétinisme, ils se font les alliés objectifs des idéologies qu’ils prétendent combattre.
Venus aussi de toute la palette des nuances du rouge que la gauche recèle, ils se font les complices du patronat immigrationniste, des multinationales et consciemment ou par crédulité, deviennent les fourriers de l’islam qui fournit les plus gros bataillons de l’immigration et l’instrumentalise. Or, et n’en déplaise aux maquilleurs qui s’évertuent à enjoliver cette religion jaillie de la barbarie et de la rapine, elle se manifeste dans sa duplicité et défraie l’actualité locale et mondiale par ses constantes nuisances et ses innombrables crimes qui font d’elle la plus hideuse, la plus perverse aussi des idéologies totalitaires depuis la chute de l’hitlérisme et le fiasco du communisme dans tous ses formes et avatars.
Il nous parait superfétatoire de nous étendre sur les islamistes stricto sensu. Ce sont eux qui désignent comme ennemis tout ce qui n’est pas musulman et plus particulièrement ceux qui leur résistent ou les voient tels qu’ils sont réellement. Le discours lénifiant, dont un Tariq Ramadan parmi d’autres est passé maître, n’est que l’une des formes d’une guerre psychologique au sein d’une guerre totale et sans merci que l’islam à déclenchée contre les « infidèles » dont il entend assujettir les pays. Ce genre de discours rassurant ne relève donc que de la répartition des rôles et ne mystifie que nos éternels gogos adeptes de la servitude volontaire.
Ces derniers sont d’autant plus faciles à embobiner qu’ils n’aspirent qu’à être rassurés dans leur confort matériel et intellectuel douillet dont ils n’aiment pas être dérangés. Or, ce discours, sous couvert d’une religion d’amour, de tolérance et de paix à l’adresse des démocrates occidentaux, est contredit dans les actes et dans le discours haineux en langue arabe destiné à leur public musulman.
Véritable appel sans fioritures à la guerre totale, il est chargé de haine et de mépris contre l’Occident démocratique, laïque ou chrétien et, comme leurs prédécesseurs nazis, contre les Juifs. Mein Kampf n’a rien à leur envier et l’islam, pourtant avare en matière de traduction des œuvres de l’Occident, en a même fait un best seller, au même titre que les Protocoles des Sages de Sion, « chef d’œuvre » antisémite bidonné par la flicaille russe du temps des pogroms. A l’instar de leurs précurseurs nazis, ils recourent à l’antisémitisme, dont ils sont les actuels propagateurs, comme moyen d’appâter la partie la plus vulnérable des populations occidentales. À l’attention de qui l’antisémitisme rappelle de fâcheux souvenirs, ils traduisent le mot « juif » qui figure dans la version originale en arabe, par le mot « sioniste », comme le fit jadis Staline; il semblerait que ça passe mieux, surtout à gauche et chez les verts.
Comment donc, cette idéologie politico-religieuse d’une rare violence perce-t-elle la ligne immunitaire de nos démocraties qui ont rejeté toute forme de totalitarisme, de racisme et de violence et se sont fondées sur la liberté de conscience, la tolérance et la paix ? C’est que notre démocratie est rendue vulnérable non seulement par un pacifisme à contretemps, et c’était déjà le cas dans les années 30 face à Hitler, mais surtout par les éléments «politiquement corrects» qui cultivent la haine pathologique de soi, une sorte de syndrome de Stockholm face à un ennemi résolu dont le courage apparent ne repose que sur la couardise de nos prétendues élites et, ne l’oublions pas, sur la corruptibilité d’une partie non négligeable de ces donneurs de leçons. Nous en avions déjà eu un prototype avec le socialo-pacifiste Marcel Déat, compère du « philosophe » Alain.
Ce sont ces derniers qui nous intéressent ici et qu’il convient de débusquer pour mieux les neutraliser, ou au moins, on peut toujours rêver, pour ramener les égarés de bonne foi à la raison.
Nous vivons une ère de perversion des valeurs qui fait florès depuis l’hécatombe de la dernière guerre mondiale.
Le racisme, dans sa version antisémite, a-t-il délibérément mené à la mort des millions d’hommes désarmés, de femmes et d’enfants juifs et tsiganes? Nos pagures s’introduisent dans les coquilles des associations luttant contre le racisme, ce qui est fort louable, mais excluent, comme le fait essentiellement le MRAP, toute référence aux Juifs qui ont pourtant payé le plus lourd tribut au racisme et furent le prétexte de la fondation de ce mouvement par les…. staliniens, avant le tour de passe-passe consistant à substituer les Musulmans aux Juifs dans le rôle et le discours victimaires.
Je n’ai rien contre les musulmans pris en tant qu’individus, mais quand parmi ces derniers, non pas rejetés par les Français comme ils le prétendent, mais rejetant la France, sont surreprésentés dans les actes et les propos antifrançais et antisémites, outre les actes d’incivilité et de vandalisme, le MRAP, si prompt à sévir contre toute atteinte à l’islam en tant qu’idéologie enrobée d’une religion, n’y voit aucun racisme ou les justifie par des arguments fallacieux et exonératoires, nous ne pouvons rester passifs devant la délinquance criminogène et avons le devoir de sévir de façon dissuasive et exemplaire.
Combien de plaintes, ou simplement de réprobations du MRAP contre des racistes musulmans maghrébins ou black ? On n’a jamais vu ce mouvement « antiraciste » partie civile contre un raciste musulman ou black. La discrimination étant un aspect du racisme, le MRAP, que le contribuable subventionne, se révèle donc un pagure raciste. Difficile à admettre ? Il faudra s’y faire! Et percer cette baudruche de l’imposture.
L’entrisme stalinien ou trotskiste aidant, la LDH, SOS Racisme, voire la LICRA pourtant fondée avant guerre pour lutter contre l’antisémitisme, s’alignent plus ou moins sur le MRAP dans sa traque de « l’islamophobie ». Rappelons que si prompt à voir le racisme partout, même là où il n’est pas, le MRAP, au temps du procès stalinien des « Blouses Blanches », faisait déjà preuve de négationnisme devant l’antisémitisme du régime soviétique et en a adopté la version antisioniste. Tout est dans la forme, n’est-ce pas ?
Le patronat a-t-il recours à une immigration massive et non sélective pour casser le prix de la main d’œuvre et faire obstacle aux avantages acquis au prix d’une longue lutte des ouvriers ? On se serait attendu à ce que les syndicats ouvriers, et les partis de gauche dont ils émanent, ruent dans les brancards. Ne sont-ils pas payés pour ça par les salariés cotisants ? Que nenni ! Les leaders syndicaux, du reste bénéficiaires de fonds publics et… patronaux, semblent avoir d’autres objectifs et se joignent au chœur des délateurs qui voient dans toute restriction à l’immigration, fut-elle illégale, une mesure xénophobe et raciste. Bon, après tout, ont-ils raison mais qu’on ne vienne pas nous parler des syndicats au service de la classe ouvrière. Pas plus que des partis de gauche désertés par la classe ouvrière qu’ils trahissent : ils peuvent ensuite beugler contre l’atteinte aux «avantages acquis» mais ce n’est que du chiqué.
Dans ce climat de la perversion, nous assistons à une alliance de fait avec, d’une part, le patronat affairiste et cupide qui voit dans les frontières nationales, les mesures de sauvegarde culturelle, les lois protégeant les acquis sociaux et toute restriction à l’immigration effrénée, des obstacles à leur enrichissement sans limites et, d’autre part, une gauche qui compte parmi ses adhérents davantage de bobos nantis et dogmatiques que d’ouvriers, vouée à un internationalisme qui n’a guère évolué depuis le 19ème siècle, hostile à la notion d’identité ou de souveraineté nationale. Ils soutiennent sans réserve une immigration massive et font obstacle à l’application des lois, pourtant souverainement votées par le parlement, qui contrarieraient les négriers et freineraient cette immigration intruse, ruineuse et destructrice pour nos institutions de solidarité sociale, au mépris de notre cohésion culturelle et identitaire, et de la sécurité de nos concitoyens.
Certes, l’idée d’un monde sans frontières, d’une sorte d’Espace Schengen à l’échelle planétaire peut séduire, mais ce que nos bobos pagures de la gauche acceptent, c’est de n’abolir que nos frontières et de renoncer à toute identité particulière en faveur de gens qui ont une patrie et y tiennent, un drapeau national qu’ils brandissent à tout propos, qui s’accrochent à leur culture, à leur religion et ne souffrent aucune entrave à leur identité. En somme, celui qui préserve son identité est un vilain identitaire s’il est Français, mais un «diversitaire» respectable s’il est musulman ou africain. Existe-il un équivalent « blanc » du CRAN ?
Et pourtant, une telle complaisance envers l’islam, sans exigence de réciprocité, est simplement suicidaire. N’en déplaise aux auto flagellants, je ne pense pas que la culture musulmane soit supérieure, ni même, loin s’en faut, égale, à la nôtre, même si celle-ci n’est pas toujours au-dessus de tout reproche. La France et les Français ont tout à perdre dans ce « dialogue des cultures » biaisé et dans cette « diversité » contre nature qui s’instaure officiellement. Mais nos pagures, munichois et collabos en germe, acceptent sans broncher que «l’inter culturalité», le «dialogue des cultures» se réduisent à un monologue comminatoire de l’islam devant un auditoire muet ou bâillonné.
Ce sont pourtant ces pagures qui s’infiltrent non seulement dans nos louables institutions antiracistes et humanistes fondées sur les droits de l’homme, mais aussi, à l’échelle internationale et sous le fallacieux prétexte d’équivalence des cultures, favorisent la mainmise des pays islamiques de l’OCI sur toutes les instances patronnées par l’ONU en vue de les infléchir dans le sens de l’obscurantisme totalitaire islamique.
Sauf à prendre l’Arabie ou la Libye pour idéal, que signifient encore l’UNESCO en matière de culture, ou les commissions des droits de l’homme, de lutte contre le racisme, des droits de la femme, lorsqu’elles sont noyautées et même présidées par les Etats les plus réactionnaires, les plus intolérants, les plus irrespectueux des droits de l’homme et surtout de la femme ?
À noter que toute laïque qu’elle fut avant Erdogan et que nos eurocrates veulent faire adhérer à l’UE, la Turquie est membre de l’OCI et l’a même présidée. Que dirions-nous d’une France laïque qui ferait partie d’un organisme fédérant les Etats chrétiens ? C’est du reste l’une des raisons pour laquelle nous ne pouvons croire à une laïcité émanant de l’islam. Renvoyons la donc à son univers mahométan. Mais que nos méprisables pagures, qui révèlent leur hideuse image antidémocratique en injuriant les peuples suisses ou néerlandais qui «votent mal», cessent de nous qualifier d’identitaires quand nous ne faisons que défendre, contre la régression islamique, nos valeurs et institutions résultant de longs et durs combats pour la dignité humaine. Les concitoyens de Guillaume Tell qui refusait de saluer le chapeau de Geisler, comprennent mieux que nous le symbolisme et ont donc bien saisi le message d’Erdogan lorsqu’il clamait que les minarets ne sont pas des éléments architecturaux religieux mais les baïonnettes de l’islam pointées contre nous tous.
Méfions-nous donc de ces supplétifs de l’islam qui nous imposent leur ligne politique : ce sont des imposteurs ; la liberté, qu’ils s’arrogent le droit de nous octroyer, consiste à nous laisser le droit de penser et de voter selon leurs directives. Ce ne sont que des commissaires politiques, des flics de la pensée. En nous traitant de racistes et de fascistes, ils jouent les voleurs qui crient « au voleur » pour égarer les poursuivants. En matière de désinformation, ils sont les élèves méritants de l’école stalinienne et nazie. Ils dénonceraient aujourd’hui comme « xénophobes inspirés par Jean-Marie Le Pen », un Charles de Gaulle ou un Jean Moulin qui voulaient bouter hors de France les « immigrés » et « touristes » allemands.
Devant la menace qu’ils représentent pour la République Une et Indivisible, serait-il xénophobe de bouter hors de France, non pas les étrangers en tant que tels, mais ceux d’entre eux qui, sous l’étendard sanglant de la tyrannie, « viennent jusque dans nos bras égorger nos fils, nos compagnes », nous mépriser, nous haïr, nous bafouer, nous piller, rançonner les lycéens « faces de craie », brûler nos bagnoles, nous ruiner et, de surcroît, nous injurier ? Envoyons les donc faire fleurir le Sahara.
Nous sommes simplement opposés à une France livrée aux communautés. Nous le clamons d’autant plus fort que nous n’avons aucun exemple d’un pays multiculturel, multiethnique ou pluri–religieux institutionnel qui fonctionne paisiblement. A l’instar de Clermont Tonnerre qui, à l’occasion de l’émancipation des Juifs disait : « tout pour les Juifs en tant que citoyens, rien pour les Juifs en tant que nation » (Le Pen l’influençait-il ?) nous exigeons que ce principe, qui préserve les droits de l’homme et l’indivisibilité de la République, s’applique également à l’islam comme à tout groupe ethnique ou religieux. Nous exigeons aussi que la loi de la République s’applique sans exception à tous, en l’occurrence la Loi de 1905 sur la séparation de l’Eglise et de l’Etat. Une loi distincte pour une catégorie particulière s’appelle un «privilège» et nous ne voyons aucune raison de privilégier une religion par rapport à d’autres religions. C’est parfaitement illégal. Et c’est de surcroît destructeur. Rien de moins mais rien de plus. Mais c’est dur de faire admettre, à nos pagures et aux pleutres, l’absolue égalité de tous devant la loi ; et impossible à y faire souscrire l’islam « über alles » qui, selon sa conception de la tolérance, se veut au-dessus des autres religions.
Tout simplement parce qu’il manque quelque chose dans l’islam, tant «islamiste» que «modéré », il manque juste un mot et cette absence change radicalement la nature de son discours revendicatif et victimaire, comme le manque d’un seul gène distingue le singe de l’homme : « réciprocité ».
Quand dans un récent débat télévisuel, comme toujours biaisé, un pagure présidant un machin antiraciste, dit à Eric Raoult que le taux de mariages mixtes est un marqueur de l’intégration des immigrés et que les musulmans sont les plus nombreux à faire des mariages mixtes, il ment ! Au moins par omission : dans leur immense majorité, les mariages impliquant un musulman sont subordonnés à la conversion du conjoint non musulman. L’inverse, fort rare, exposerait l’apostat à des représailles pouvant aller jusqu’à la mort. Comme on l’a du reste vu dans sa négociation avec les représentants de l’islam en vue de créer un organisme officiel représentatif de cette religion, Chevènement a capitulé devant le refus des officiels musulmans d’admettre qu’un citoyen français, né ou devenu musulman, puisse librement sortir de l’islam. Comme je l’ai dit, même chapeauté par un républicain laïc pur et sans tache, l’islam reste une voie à sens unique. Il n’est que de voir le nombre de femmes de souche européenne porteuses d’un voile hallal ou de la burqa. Avec le flot musulman qui continue à se déverser sur la France, que restera-il de notre République « une et indivisible » ?
Dans une émission télé belge consacrée aux centaines de familles juives qui, lassées par les agressions antisémites commises par des musulmans, s’apprêtent à quitter la Belgique, une espèce de « Mrapeux » belge minimise ce phénomène en expliquant qu’il s’agit d’une retombée du conflit du Proche-Orient sur le sol belge. Ce pagure stalinoïde de l’antiracisme ne va cependant pas jusqu’à nous dire pourquoi, à l’inverse de l’islam, les Juifs belges n’agressent jamais leurs concitoyens musulmans. En attendant qu’ils soient suivis des Wallons et des Flamands qui régleront leur querelle linguistique sur d’autres continents, ce sont les Juifs qui s’expatrient et les musulmans qui les remplacent. Comme c’est le cas du Proche et Moyen-Orient qui, depuis plusieurs siècles, se vide des autochtones chrétiens, poussés à l’exode par les musulmans.
Est-ce Saint-Just, que je n’adule pourtant pas outre mesure, qui disait « Pas de liberté pour les ennemis de la liberté » ? Sans doute détenait-il lui aussi une carte du Front National ?
Ne sont-ils pas impudents ces militants de l’islam et leurs pagures occidentaux qui osent se plaindre, fallacieusement, de notre intolérance alors qu’en terre d’islam, la tolérance est une notion inconnue ? Ils sont impudents ces pagures qui blâment le peuple suisse souverain qui, tout en tolérant parfaitement la pratique de l’islam, en réglemente l’architecture des mosquées. Collectivement xénophobes, les Suisses devront être expulsés de leur pays pour être remplacés par des gents clonés sur nos pagures. Guillaume Tell deviendrait ainsi un héros de l’islam dans un pays hérissé de minarets.
Quand donc ce chœur de pleureuses bien pensantes s’est-il lamenté devant l’interdiction totale de tout culte non musulman en Arabie, pays dont la voix pèse pourtant à l’ONU, à l’UNESCO et dans toutes les commissions internationales pour les droits de l’homme et autres instances antiracistes ?
Quel pagure droits de l’hommiste, antiraciste et d’autres vertus, est capable de nous dire combien des quelque soixante Etats que compte la terre d’islam appliquent aux minorités religieuses ou ethniques ne serait-ce qu’une seule des vertus dont notre pays doit faire preuve à l’égard de l’islam ? On est aussi assourdi par le silence du chœur des pleureuses devant le refus de visas aux prélats chrétiens qui veulent se rendre en Algérie alors que la terre d’islam inonde la France de ses imams et de ses agitateurs semeurs de haine anti-occidentale.
Je n’adule pas le catholicisme mais je ne vois pas pourquoi un catholique persécuté, voire assassiné me ferait moins mal qu’un musulman frustré. Mais contrairement aux associations antiracistes subventionnées par l’Etat, je ne supporte simplement pas la persécution d’où qu’elle vienne et quelle qu’en soit la victime. C’est sans doute ce refus de toute discrimination, fut-elle « positive » qui nous vaut d’être classés à l’extrême droite par les nazillons rouges ou verts.
Si la gauche, sans se renier, avait le courage d’appeler un chat un chat et se montrait capable de discernement, si elle cessait de mentir par omission ou par amalgame, on n’entendrait plus parler d’un Front national. Mais par quel mécanisme nos pagures réussissent ils à enrôler leurs ouailles, adhérents sincères à une cause qu’ils jugent généreuse et juste? Par la désinformation tout simplement qui permet toute inversion des valeurs. Les tenancières de Pro Choix sont dépassées par une nouvelle génération d’imposteurs. En voici un exemple» parmi tant d’autres :
J’ai sous les yeux le mensuel «La Raison» n° 555 de novembre 2010, organe de l’insoupçonnable Association de la Libre Pensée. Je vais le décortiquer avec vous.
Libre pensée, laïcité militante, recherche de la vérité, humanisme, voire même la personnalité de Marc Blondel, certes « grande gueule » mais homme de convictions, me semblaient garantes de la concordance entre la tendance proclamée et la réalité dans les faits. Or, force m’est de déchanter. J’ai failli me laisser piéger par un pagure.
En fait cette publication manifeste bien une hostilité systématique au catholicisme, ce qui répond aux convictions de ses abonnés, mais elle se montre étrangement discrète et modérée envers l’islam dont elle soutient même certains aspects excessifs et incompatibles avec nos mœurs, notre culture et nos valeurs. Lorsqu’en page 36 (4ème de couverture) cette revue stigmatise « l’interdiction législative de la burqa et du voile intégral » en conférant à cette mesure la même gravité que l’extermination des Juifs par les nazis, elle vole au secours des militants islamistes. Vous avez dit laïcité ? La tendresse que Marc Blondel manifeste au « militantisme » lui fait fait perdre tout sens du discernement et de la mesure.
Amalgamer l’interdiction de la burqa avec l’extermination des Juifs me paraît tout simplement une escroquerie intellectuelle qui déshonore et décrédibilise ceux qui y recourent. J’ai connu dans mon jeune âge maints copains juifs et juives qui auraient aimé se voir interdire le port de l’étoile jaune. «La Raison» fait ainsi prendre à ses lecteurs des vessies pour des lanternes et l’anticatholicisme militant pour de la laïcité.
Qu’on ne se méprenne pas, tout un chacun peut, à tort ou à raison, détester le catholicisme et on ne s’en prive pas. Et cette revue a raison de dénoncer la « Censure ecclésiastique » (p.5) même si c’est à propos d’une œuvre d’un goût douteux, mais nul n’a jamais envisagé de présenter cette hostilité comme un racisme passible des foudres de la loi et la mettre sur le même plan que la déportation des Juifs.
Alors, est-ce faire preuve de laïcité que de se montrer indulgent envers l’islam et hostile au catholicisme? Est-il laïque d’approuver (page 4) l’interdiction d’une procession catholique au château des Ducs (Nantes) dans une reconstitution historique unique et, en même temps, de ne souffler mot sur l’accaparement systématique de certaines voies publiques transformées, certaines heures et en toute illégalité, en mosquée de plein air, au mépris des nuisances causées aux riverains et aux passants ? Et d’aller jusqu’à qualifier de racistes génocidaires ceux qui dénoncent et s’opposent à cette extériorisation forcenée et provocatrice de l’islam conquérant ?
L’omission aussi peut se révéler complice de l’islamisme : en page 5, et sous le titre « La kippa : oui, la burqa : non » (et ce titre déjà est pervers), nous lisons que les autorités néerlandaises ont estimé que l’utilisation de policiers en civil coiffés d’une kippa pour lutter contre l’antisémitisme est une option possible ». C’est Ahmed Marcouch «député travailliste d’origine marocaine» qui est l’auteur de cette proposition dans le but d’arrêter les délinquants «dans les quartiers où les Juifs se font souvent intimider, insulter ou frapper ».
Voilà bien un article caractéristique du politiquement, pour ne pas dire «islamiquement» correct. Il est certes réjouissant qu’un parlementaire qui propose des mesures contre les délinquants antisémites, soit «d’origine marocaine». Mais, puisqu’on en est à donner l’identité et l’origine de cet estimable député, il eût été plus loyal et en bonne logique de dire aussi «l’origine» des agresseurs antisémites pourtant connue de leurs victimes et des témoins. Mais il serait islamiquement incorrect de révéler cette origine qui laisserait penser que l’immigration musulmane ne serait pas forcément une chance pour l’Europe. De la part des militants de l’islam, c’est de bonne guerre mais venant d’un Marc Blondel qui, paraît-il, ne craint ni la lumière ni la vérité qu’il rechercherait plutôt, ce coup de pouce aux camarades militants de l’islam a de quoi laisser songeur.
Autre exemple tout récent de mystification perverse : le grand quotidien belge « Le Soir » du vendredi 17 décembre, à propos des « aménagements raisonnables » des jours fériés des diverses religions minoritaires (islam, sikh, juifs, témoins de Jéhovah, etc.) en cours d’instauration. Cet article est illustré d’une photo de Juifs religieux « visibles », laissant ainsi entendre au lecteur inattentif que ce sont ces derniers qui sont demandeurs et bénéficiaires de cette mesure communautariste. Or, déjà implantés en Belgique avant la fondation de ce royaume surréaliste, les Juifs, y compris la petite minorité ultra pratiquante et ceux qui les y ont entre-temps rejoints, n’ont jamais formulé d’autre aspiration que d’y vivre en paix. C’est ce que confirme le texte établissant que l’exigence « d’aménagement » vient de la communauté musulmane qui constitue quelque 87% des minorités religieuses. Dans ce cas, une photo de femmes voilées ne serait-elle pas plus fidèle au texte et à la réalité ? Pourquoi n’ose-t-on pas dire que c’est l’islam, sous couvert de religion, qui revendique un séparatisme de plus, au sein de la population belge ? Cette photo ne serait-elle pas plutôt un indice d’infiltration des pagures islamisants dans ce quotidien ?
Je ne terminerai pas sans un coup de chapeau à la section ardennaise de l’AFMD, association mémorielle de la déportation dont Christine Dollard-Leplomb, l’infatigable présidente, lutte contre l’oubli des travailleurs agricoles juifs de ce département pratiquement annexé au Reich, asservis par le régime nazi, pour la plupart déportés et, à une exception près, tous exterminés à Auschwitz. Je ne suis que davantage surpris de lire dans la dernière publication nationale de cette association un amalgame touchant à l’actualité, entre la déportation, l’antisémitisme et autres racismes parmi lesquels « l’islamophobie » qui serait l’équivalent de l’antisémitisme meurtrier.
Quitte à me répéter, on peut avoir d’excellentes ou de mauvaises raisons de craindre ou de détester l’islam comme on peut ne pas aimer, voire combattre, le catholicisme ou telle et telle idéologie sans être pour autant «raciste islamophobe ou cathophobe». Comme le disait Albert Camus, «Mal nommer les choses ajoute aux malheurs du monde». Je ne pense pas que les adhérents de l’AFMD souhaitent ajouter aux malheurs du monde, mais attention aux pagures qui guettent cette association méritante et tentent de la squatter pour la pervertir.
André Dufour




Palestine : ras le bol !

http://libertyvox.com/article.php?id=422




Notre identité nationale est-elle compatible avec l'islam ?

http://www.libertyvox.com/article.php?id=418




Trappes : ouverture de la chasse aux infidèles

Le maire socialiste de Trappes attaque Riposte Laïque : La chasse aux Roumis est ouverte

L’islamisation éhontée étant l’objet d’un article paru récemment dans Riposte Laïque, le coup devait venir d’une de ces innombrables organisations islamiques dont le maillage enserre de plus en plus cette République de moins en moins Française, au point que cette situation a rendu nécessaire un débat sur l’identité française de plus en plus difficile à définir sans froisser les susceptibilités communautaires.
Mais à quoi bon s’avancer à visage découvert (là il ne s’agit donc pas de musulmanes encagées) alors que l’islam dispose d’un réseau d’affidés roumis rendus dociles, en l’occurrence, par leurs ambitions électoralistes ?
Er c’est ainsi que le maire PS (en attendant qu’il trouve mieux) de Trappes en Yvelines, et on ose à peine le croire, en France, menace des foudres de la justice notre confrère Riposte Laïque pour un article signé Maxime Lépante paru le 24 août 2009, ce nom, ou pseudo, n’est-il pas en soi islamophobe ? Selon l’avocat de ce maire susceptible, cet article serait lui aussi «susceptible» d’avoir un caractère diffamatoire.
Ainsi, chez les nazillons de toutes teintes, le conditionnel vaut culpabilité. En effet, à la relecture de l’article incriminé, je me demande quelle est la personne diffamée alors que le nom de Guy Malandrain, «susceptiblement diffamé», n’y figure même pas sous la plume de l’auteur. Il faut le chercher dans l’une des notes de références qui suivent l’article, en l’occurrence une copie du journal Le Monde où il est dit qu’adjoint au maire communiste, ledit Malandrain s’est présenté contre lui avec le soutien actif et militant de l’Union des Musulmans de Trappes (l’islam y représente 25 % de la population) en contre partie de l’octroi d’un terrain municipal assortie d’une généreuse subvention pour édifier l’une des plus vastes mosquées de France, d’un abattoir hallal, d’un carré musulman dans le cimetière et d’une piscine réservée aux pudibondes musulmanes pour éviter qu’elles ne se souillent dans une eau rendue impure par une présence mâle ou infidèle. Et de rappeler que le maire sortant, communiste, viscéralement attaché à la laïcité, et donc opposé au détournement de la loi de 1905, a ainsi été «puni» par l’islam politisé. Gageons que la réussite de ce coup d’essai provoquera une émulation pro-islamique chez les candidats aux diverses élections de France et de Navarre, voire nombre de conversions, sous la devise «Paris vaut bien une dawa». A croire que pour se faire une place dans la politique, il faut être un tantinet malandrin.

Si le rappel de ce maquignonnage de politiciens bas de gamme aux frais du contribuable et en violation de la loi de 1905, est «susceptible» d’avoir un caractère diffamatoire, on peut se demander pourquoi ce maire ne poursuit pas le journal Le Monde qui a révélé ces magouilles au public, au lieu de rouler les mécaniques pour intimider les rédacteurs de Riposte Laïque. Ce serait oublier que la délation et le chantage vont de pair avec la médiocrité. Tout le monde n’a pas l’étoffe d’un véritable homme d’Etat, qualité rare qui le différencie des politiciens.
Le Sieur Malandrain et son avocat savent fort bien que leur «susceptible» ne tient pas la route, comme ils savent aussi que Cyrano et l’équipe de Riposte Laïque ne sont pas «susceptibles» de céder à leur grossier chantage. Alors pourquoi cette mise en cause ?
Difficile de se mettre dans la peau de ces néo-inquisiteurs, j’avance néanmoins une hypothèse : ce genre de menaces et d’intimidations ne seraient-elles pas une tentative de bâillonner tous les sites, blogs et journaux Internet qui dénoncent l’islamisation de la France, non pas par «racisme», mais parce que l’islam, tel qu’il défraie la chronique et se manifeste sous nos yeux un peu partout dans le monde et dans nos rues, n’est pas une religion mais une idéologie totalitaire, impérialiste et belliciste.
Composer avec une telle prétendue «religion» est un acte que l’on qualifiait naguère de «collaboration». C’était une infamie qui aurait stigmatisé la France si la Résistance n’en avait pas sauvé l’honneur. Et faut-il le rappeler ? Les Résistants étaient qualifiés de «terroristes» par les nazis et leurs valets français, mais jamais de «germanophobes».
Aujourd’hui, le seul racisme digne d’être dénoncé est la francophobie de ceux qui viennent dans notre Occident, tant décrié par ceux qui en forcent la porte, pour en profiter sans vergogne et sans le moindre sens de la réciprocité. Venant d’un maire socialiste qui doit renvoyer l’ascenseur à ceux qui lui ont assuré la victoire sur son rival, cette initiative procédurière est donc «susceptible» de passer bien mieux que si la plainte émanait directement d’une association musulmane. Un échange de bons procédés en somme, aux frais du contribuable et au détriment de la loi de séparation de l’Eglise (mais pas de la mosquée semble-t-il) et de l’Etat, mais qui ne coûte pas un centime aux islamistes et leur sauverait la face en cas d’échec.
André Dufour
http://www.libertyvox.com/article.php?id=416




Quelques rappels historiques d'un résistant à l'attention de Caroline Fourest sur fond de Durban 2

Nous sommes en 1938. Moins de cinq ans se sont écoulés depuis qu’un Adolf Hitler a été «démocratiquement» élu chancelier du Reich. La tache brune qui souille l’Allemagne s’étale à présent sur l’Autriche et va déborder sur la Tchécoslovaquie. L’Europe est au bord de la guerre. Face à la France et à l’Angleterre qui ne se sont pas décidées à réarmer à temps et n’ont aucune doctrine militaire, l’Allemagne, qui ne tolère aucune propagande pacifiste tout en subventionnant celle de la France et de la Grande Bretagne, dispose d’une armée intensivement entraînée et combattive. Mais bon prince et bien avant le Raïs Yasser Arafat, le Führer qui, d’une main fourbit ses armes, tend de l’autre main un rameau d’olivier ; pour le cueillir, il suffira à Neville Chamberlain et à Edouard Daladier, garants de l’indépendance et de l’intégrité territoriale de la Tchécoslovaquie, de se rendre à Munich où «Monsieur» Hitler et son compère Benito Mussolini les attendent pour «négocier».
Le «camp de la paix» mené par Marcel Déat et autres précurseurs des Carolines se trémousse : les «pacifistes» admettent que, certes, l’Allemagne nazie n’est pas leur tasse de thé, mais la négociation, fut-elle dans des mauvaises conditions, n’est-elle pas préférable à la guerre ? Parmi ceux qui prônent plus de fermeté contre Hitler, on compte Churchill, dont on rappelle aussitôt les exploits colonialistes en Afrique du Sud et derechef qualifié de réac colonialiste, ou les Juifs qu’on ne désigne pas encore comme «sionistes» mais déjà comme fauteurs de guerre, et dont la situation en Allemagne devient de plus en plus tragique. Et puis en France, il y a Charles de Gaulle qui a compris les enjeux militaires qu’il expose dans ses ouvrages lus par les seuls spécialistes, mais il n’est alors qu’un illustre inconnu. Or, si le «camp de la paix» reconnaît plus ou moins cette tragédie, il ne voit aucune raison de provoquer un conflit armé qui embraserait toute l’Europe en nous ingérant dans les affaires internes de l’Allemagne. On connaît la suite.

Et pourtant cette suite, connue de tous mais escamotée par nos capitulards actuels, ne semble pas faire obstacle à un nouveau Munich dont nous avons goûté les prémisses à Durban et que l’on s’apprête à rééditer cette année à Genève. Mais avant de poursuivre, procédons à un rappel de principe.
On ne réécrit pas l’Histoire, dit-on. Mais c’est ce que font les faussaires et ils ne se privent pas de la gommer quand elle devient gênante. Or l’Histoire consigne l’expérience des peuples. De notre peuple et des peuples européens en l’occurrence. Elle en est la mémoire, celle de nos succès, de nos échecs, de nos victoires et de nos défaites, de notre grandeur mais aussi de nos fautes. Elle doit nous inciter à faire appel à cette mémoire, d’en dégager les analogies, pour éviter de rééditer les mêmes erreurs et les mêmes fautes. La connaissance de l’Histoire est ainsi notre système immunitaire et le socle de la Sagesse. D’où l’importance pour un peuple libre et qui entend le rester d’en contrôler l’écriture et d’en perpétuer l’enseignement. D’autant plus que cette Histoire est aussi celle d’une culture, d’une civilisation et de ses valeurs.
On, dit que l’Histoire est écrite par les vainqueurs. C’est-à-dire par les détenteurs du pouvoir. Dans un régime démocratique, le pouvoir émane du peuple et l’écriture de son Histoire fait partie de ses prérogatives. Dès le moment où un peuple consent à se plier à des pressions extérieures pour «corriger» son Histoire et y insérer anachroniquement celle d’autres peuples ou cultures pour en faire une sorte d’Histoire transgénique, ce peuple est déjà colonisé avant la lettre et décérébré. Alors les descendants des peuples que nous avons un jour «humiliés» peuvent nous obliger à effacer de nos manuels d’Histoire toutes nos victoires qui, à leurs yeux, sont leur défaite. Nos voisins européens nous demanderont de rebaptiser le pont d’Austerlitz, les avenues de Wagram, d’Iéna, tandis que les Allemands nous demanderont de rendre à la station de métro Stalingrad, nom qui leur rappelle de fâcheux souvenirs, son ancienne appellation de Rond Point de la Villette, tandis que Poutine nous demandera de débaptiser le boulevard de Sébastopol et la rue de Crimée. Pourquoi pas ? Mais c’est à nous qu’il appartient d’en décider, non aux autres de nous l’imposer, pas plus qu’il ne nous viendrait à l’idée d’exiger des Londoniens de débaptiser Waterloo Station et Trafalgar Square qui perpétuent notre humiliation. De même que nous ne pouvons exiger du Vietnam le retrait de toute référence à Dien-Bien-Phu dans ses manuels d’Histoire.
Pardonnez-moi cette longue digression mais nous ne réagissons pas assez, voire pas du tout, contre ceux qui tentent, pour des raisons idéologiques, par lâcheté ou par malhonnêteté intellectuelle, de manipuler et de «bricoler» notre Histoire, voire d’en gommer ou d’en altérer des pans entiers. Comme la science, l’Histoire n’est fiable que si elle s’affranchit des idéologies et des idéologues. Force est de constater que nos manuels d’Histoire sont rédigés sous la surveillance soupçonneuse des commissaires politiques.
Le XXème siècle fut celui de deux grandes guerres suicidaires pour l’Europe, celui de grandes impostures et mystifications idéologiques : communisme, fascisme, national-socialisme, celui des grandes erreurs géopolitiques : dépeçage de l’empire austro-hongrois et de l’empire ottoman ; celui aussi, non sans lien avec ce qui précède, des génocides : celui des Arméniens perpétré par la nouvelle Turquie «laïque», banc d’essai qui inspira à Hitler la «Solution finale», c’est-à-dire l’extermination de tous les Juifs tombés sous le pouvoir nazi. La piraterie idéologique s’étant emparée de l’Histoire, on oublie «simplement» de compter parmi les génocides les dizaines de millions de Soviétiques, Chinois, Vietnamiens, Cambodgiens, Nord-Coréens victimes de la barbarie communiste.
Et le XXIème siècle qui a fêté ses neuf ans ? Tel le phénix que l’on croyait mort, la barbarie ressurgit après un assoupissement de mille ans sous un accoutrement religieux : l’islam. Idéologie dont nos jobards désignent le côté odieux, belliciste et criminel par islamisme pour la distinguer de l’islam, le paisible, dont ils persistent à ne voir que l’aspect strictement religieux. Appelez ça comme vous voulez, ça ne change pas grand-chose à la réalité sur le terrain. Et cet islam islamo-islamiste livre sa guerre sur tous les points du globe, ici par les armes, là par infiltration, ailleurs par le chantage et l’intimidation.

L’Islam est un monde à part. Rejetant la déclaration universelle des Droits de l’Homme, il lui oppose sa version musulmane, «supérieure» en matière des droits de la femme puisqu’elle stipule qu’une femme condamnée à la lapidation pour «inconduite» voit son exécution ajournée tant qu’elle allaite l’enfant qu’elle portait au moment de sa condamnation. C’est-y pas grandiose ? Est-ce avec ces déments pervers qui entendent nous imposer leur «culture» qu’il faut négocier ? C’est en tous cas ce que nous fait gober une Caroline qui fait dans la laïcité et dans le droit de la femme quand elle écrit dans Le Monde «Il ne faut pas déserter Durban II», qui se tient à Genève cette année. Avec une feinte objectivité, elle admet que Durban 1 fut un festival antioccidental et antisémite orchestré par l’OCI, les organisations islamiques, les ONG bidons mises sur pied pour la circonstance par les Etats musulmans. Elle a déjà utilisé ce genre d’argumentaire pervers pour se ranger dans le camp des «pro voile» contre Fanny Truchelut «ultra-laïciste et ultra-féministe». Aussi tire-t-elle argument du boycott de Durban II décidé par les Etats-Unis, le Canada et, horresco referens, par Israël pour soutenir, toujours aussi faux cul, que si les intellectuels font leur devoir en stigmatisant un organisme onusien «des droits de l’homme et antiraciste» totalement noyauté par l’islam, présidé par la Libye de Kadhafi et «vice-présidé» par l’Iran des mollahs, il est du devoir des diplomates d’être présents à cette conférence d’où ils arracheront, on ne sait jamais, quelques miettes de concessions aux fachos démentiels d’Allah, comme ce fut du reste le cas à Durban 1 où les délégués de l’Afrique du Sud et de la Belgique «restés dans la bataille» ont «limité les dégâts» et même, «fait rare, ont refusé le texte inacceptable venant du forum des ONG».
Drôle d’oiseau cette Caroline qui se régale de quelques miettes laissées tomber par les voraces islamistes et leurs larbins gauchistes. Laïque, elle se dresse contre les «ultra-laïques» dont elle a établi une liste délatrice dans laquelle LibertyVox, parmi nombre d’autres, est montré du doigt (De l’Index, bien entendu. Ce procédé n’est pas sans rappeler un ouvrage qui se trouvait dans la bibliothèque des familles catholiques bienpensantes des années 30 : «Romans à lire, Romans à proscrire», essai de classification au point de vue moral des principaux romans et romanciers depuis l’an 1500, d’un certain abbé Louis Bethleem. Caroline et consorts sont devenus les abbés Bethleem du camp laïque «modéré»). Et dans la défense des droits de la femme, elle combat visiblement les Ultra-féministes puisqu’on la trouve aux côtés d’une militante islamiste pro-voile contre Fanny Truchelut. Pour combattre cette marée montante de l’islamo-fascisme, nous préférons nous aligner sur les «ultra laïques» que sur les «laïques modérés», la «modération» de la Caroline menant tout droit à un nouveau Munich. Eh oui, à Munich, Daladier et Chamberlain ont eux aussi «limité les dégâts» en ne cédant à Hitler, contre l’avis des Tchèques, «que» les territoires des Sudètes en échange de la paix tant désirée, ce qui n’a pas moins ouvert à Hitler la route de Prague. Un an aura ensuite suffi à ses Panzers pour prendre la route de Varsovie et de Paris.
Désolé Caroline. Quand on sait, comme vous, qu’on a affaire à des tricheurs, à des ennemis malhonnêtes, menteurs et de mauvaise foi, on a deux solutions : dégainer ou quitter la table de jeu. Ayant horreur de la violence, la France doit quitter la table de jeu. Et mieux, il y a une troisième solution, la plus digne, la plus honorable et sans doute la plus efficace : ne pas y aller. Organisme officiel ou pas, laissons ce «machin» onusien aux Etats fachos où ils pourront cracher leur venin et s’y afficher, si ça leur chante, comme les seuls antiracistes et les meilleurs garants des droits de la femme. A quoi une présence des pays démocratiques servirait-elle alors que les pays qui bafouent le plus les droits de la femme et qui se révèlent les plus intolérants, les plus racistes, ne sont nullement disposés à appliquer dans leur pays les résolutions qui iraient à l’encontre de leur prétendue religion. Mais ce qui est certain, c’est que la prétendue «laïcité» et le prétendu «féminisme» de ces boutiquières de Pro-Choix et autres UFAL s’inscrit dans le même registre des impostures que le Communisme qui fit de l’URSS la patrie du Prolétariat mondial et du Communisme le parti luttant pour le Pain, la Paix et la Liberté, et qui virent ensuite en Mao le nouveau messie du prolétariat. Dans le combat pour les droits des travailleurs, des femmes et autres causes, il y a ceux dont c’est une fin en soi, d’autres dont c’est un moyen de faire carrière. Je crains que notre Caroline ne se range dans cette dernière catégorie. Celle des alimentaires.
Tous les partisans de la laïcité souhaitent celle-ci «apaisée, sereine et sans confrontation avec les religions» et il n’y a effectivement pas de confrontation avec les Chrétiens, les Bouddhistes ou les Juifs. Il me paraît donc malhonnête, comme le font les «laïques modérés, positifs ou ouverts» de suggérer que la laïcité provoque la confrontation avec les religions. Ce n’est pas la laïcité qui a besoin d’être apaisée mais l’Islam. Si confrontation il y a, c’est uniquement dû aux politiciens islamiques qui, chaque jour, sous n’importe quel prétexte, en tous lieux et avec la plus cynique mauvaise foi, se lancent à l’assaut de la laïcité qu’ils jugent attentatoire à leur «religion», paravent d’une idéologie liberticide et homicide. Et si, en apparence, il n’y a pas trop de «confrontations», c’est surtout parce que nos autorités régionales et communales, se comportant en pétochards munichois, et se prostituant pour être réélus, cèdent aux revendications de cette religion ennemie de la laïcité, en toute infraction à la loi de 1905 qui, incontestablement, interdit toute aide publique aux religions.

Lorsqu’on a une loi, l’égalité, inscrite dans la trilogie de la devise républicaine, exige qu’elle s’applique à tous, sans exception. Sans discrimination «positive» née d’une roublardise de camelot. Il n’est pas moins légitime de la part d’un gouvernement ou d’une autorité locale de dire «non» à toute dérogation à la Loi de 1905, que pour un musulman de refuser de manger du porc en vertu de sa propre loi. C’est une question de respect mutuel qui commence par le respect de soi et de ses propres principes. Toute concession est une capitulation qui entrainera d’autres revendications sous la menace de violences, provisoirement satisfaites par de nouvelles concessions. On ne négocie pas avec les mauvais joueurs. On leur impose notre loi. Si elle ne leur plait pas, qu’ils aillent satisfaire leur intempérance religieuse dans les pays qui appliquent la loi de l’islam. Nul ne les retient. Mais s’ils entendent rester, welcome, à condition qu’ils respectent nos lois et s’y plient. Quel homme politique, quel véritable homme d’Etat aura le courage de tenir un tel langage ?
André Dufour
Paru dans Libertyvox
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