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Inde : la pelleteuse et les bulldozers contre les islamistes

En Inde, on rase des mosquées. Et si on ne rase pas encore les barbus, ça pourrait venir ! Les engins de génie civil affûtent leurs accessoires.

Déjà, comme en Israël, les maisons des islamistes auteurs d’attentats sont démolies, en même temps que leurs lieux de prêche extrémistes. Dans la foulée, les repaires des voleurs professionnels s’envolent en poussières.

Bien évidemment, les mahométans éternelles victimes se prétendent visés par le  racisme et la guerre de religions… Eux qui n’ont rien à se reprocher… Et les gogos de la bien-pensance internationale, dont les leaders se goinfrent de pétro-dollars, joignent leurs chœurs de vierges outragées aux glapissements des « croyants ».

Le racisme, prétexte commode comme partout

Les Pakistanais actuels sont en grande majorité des descendants des Penjabis et des Sindhis, donc 100 % ethniquement et génétiquement indiens.

Vivant naguère à la frontière des deux États issus de la partition,  leurs ancêtres trop lâches pour se battre, ou lassés de subir le statut de dhimmi, se convertirent. Devenant d’autant plus fanatiques qu’ils voulaient prouver à leurs nouveaux maîtres la sincérité de leur croyance toute neuve.

Cependant, à l’indépendance en 1947, pour des raisons essentiellement économiques, beaucoup de convertis demeurèrent dans l’un ou l’autre des États de la République fédérale d’Inde au lieu de rejoindre leur idyllique Pakistan cousu sur mesure.

D’autres revinrent en Inde en suppliant, surtout après 1971 quand les mahométans, décidément incorrigibles, commencèrent à s’entre-massacrer pour la sécession du Bangladesh. Puis pour tout un tas d’autres raisons, entre dictatures militaires, émeutes de la faim, vendettas tribales et exhortations des religieux.

Les Indiens, tolérants, acceptèrent de garder « leurs » mahométans et même de leur accorder la nationalité indienne. Mais sous conditions. N’hésitant pas à déclarer apatrides les extrémistes et la racaille. Rappelant que le devoir de « l’oumma » des voisins est de les accueillir, les nourrir, les loger, les éduquer et les soigner.

Pourtant ces fanatiques, décidément incorrigibles, recommencèrent comme par le passé à saccager et incendier les temples d’une population à 80 % hindouiste, car il ne reste plus beaucoup de bouddhistes, au prétexte que ce polythéisme offensait leur foi. Et qu’ils ne faisaient que suivre les instructions de leur pédo-prophète leur intimant d’égorger tous les mécréants et de brûler leurs lieux de culte impies.

Seulement, voilà, entre-temps, les hindouistes avaient remisé au placard leurs grands principes de non-violence, sous l’impulsion du parti nationaliste Bharatiya Janata, qui a fini par arriver au pouvoir et à s’y maintenir depuis dix ans.

Premier parti du pays en voix et nombre de députés. Obligeant les socialistes un peu trop laxistes et complaisants envers les envahisseurs à se recentrer sur leur pays, leur histoire et leur culture, s’ils ne voulaient pas être définitivement désavoués et balayés.

Là-bas aussi deux poids-deux mesures avant que les patriotes réagissent

Un commerçant indien et toute sa famille brûlés vifs par des concurrents mahométans envieux de leur réussite, c’était un débordement certes regrettable, mais qu’il fallait comprendre sinon excuser.

Un imam tabassé dans une échauffourée qu’il avait provoquée, c’était forcément un abominable crime raciste et une atteinte intolérable aux “drouadlom”.

Depuis 2014, les fonctionnaires et les juges auteurs ou complices de ces forfaitures ont été peu à peu remplacés. Les journalistes qui prenaient parti contre leur propre peuple ont été remerciés. Et à chaque scrutin local ou national, le Bharatiya Janata n’a cessé de renforcer ses victoires électorales au point de disposer aujourd’hui d’une large majorité absolue qui ferait baver des ronds de chapeau à Macronescu.

La politique du bulldozer, puisque le dialogue n’aboutit à rien

Le brahmane Yogi Adityanath, potentiel successeur du Premier ministre nationaliste Narendra Modi, a fait du bulldozer un emblème de son combat contre les islamistes fauteurs de troubles.

Cette année, ses partisans ont fêté sa réélection à la tête de l’Uttar Pradesh, l’État le plus peuplé de la Fédération, en défilant juchés sur des pelleteuses. Les plus motivés se sont même fait tatouer des bulldozers ! Depuis, la  politique du bulldozer a fait des adeptes dans les autres États, forcés de constater que cette réaction musclée était une réponse très bien comprise par les ennemis intérieurs.

Les campagnes de démolition se multiplient en même temps que s’amplifient de violents affrontements, réponse des hindouistes qui représentent 80 % de la population et ne veulent plus plier devant les menaces et les exactions des 14 % de mahométans.

Parfois les autorités s’en mêlent comme à Delhi où on a démoli quelques mosquées radicales ainsi qu’une vingtaine de commerces appartenant à des militants islamistes qui assuraient l’intendance des terroristes venus du Pakistan.

Les autorités indiennes, loin des précautions oratoires de la bonne pensée mondialiste politiquement correcte affirment que, puisque les mahométans privilégient leurs croyances qu’ils placent au-dessus des lois, il est normal de les inciter à repartir au plus vite au Pakistan, pays de leurs rêves qui applique intégralement la charia.

« Paki Stan » égale le pays des purs. Eh bien qu’ils aillent se purifier là-bas !

 Un passif extrêmement lourd

On l’a oublié, ou on a préféré ne pas le savoir, mais pendant des siècles, très exactement depuis l’an 711, les Arabes, puis les Turcs, puis les Moghols ont déferlé sur l’Inde dont ils convoitaient les richesses.

Ces territoires étaient des proies faciles puisque l’hindouisme dominant, et le bouddhisme important à l’époque, prônaient la non-violence et le respect de toutes les formes de vie. Agir autrement était tenu pour nuisible au karma.

N’ayant pas de forces armées dignes de ce nom, juste des milices pour régler des différends locaux, les Indiens sont vite submergés. S’ensuivent des massacres de grande ampleur, des villes rasées, des campagnes saccagées, des œuvres d’art vandalisées et des destructions d’un grand nombre de leurs édifices religieux.

Ces « koufars » sont l’horreur absolue pour un islamiste. Ils sont polythéistes, idolâtres et allergiques au concept de dieu unique. Ils ne méritent donc pas de vivre. De toute façon, personne ne dénonce les génocides commis par des mahométans.

Malgré les refuges dans des villes fortifiées, les sanctuaires dans les montagnes, les exils dans des zones déshéritées, les traités inégalitaires, les rançons exorbitantes, la fourniture d’esclaves, ces avanies vont continuer jusqu’en 1858 avec l’avènement de l’empire des Indes, quand les Britanniques restaurèrent une certaine paix civile… Jusqu’en 1947, où avec l’indépendance, les troubles ayant repris de plus belle, le Pakistan fut créé pour séparer les belligérants.

Gandhi, grand espoir de l’indépendance, fut détesté ensuite pour sa trahison

 Lors d’un séjour à Pangim, j’avais demandé à mes hôtes qui était ce dieu ou demi-dieu figurant sur une icône, trônant au milieu de leur autel familial d’un syncrétisme de bon aloi. Entre Vishnou, Shiva, Brahma et Ganesha, un inconnu voisinait des bouddhas obèses, des christs faméliques, des croix et des vaches sacrées de Nazareth. En vertu du principe que « Plus on a de dieux, mieux on est protégés ! »

Cet inconnu pour moi était Nathuram Godse, l’assassin de Gandhi. Un patriote dont on devait honorer la mémoire parce que ça portait chance. Puisqu’il avait débarrassé, mais trop tard, l’Inde d’un  traître qui avait vendu une partie de son pays aux mahométans en échange d’une paix illusoire.

Pas moins de trois guerres s’ensuivirent, toutes perdues par les islamistes qui savent s’en prendre aux civils, aux femmes et aux enfants, mais font de piètres guerriers. Bien qu’une propagande obsédante de Lahore à Karachi ne cesse de rabâcher « Crush India ! » dans un pays qui entretient un état de belligérance quasi permanent avec son voisin. Et qualifie de victoires ses plus humiliantes défaites.

Le Cachemire est un symbole de tous les conflits avec les mahométans

 Cette province partagée fournit les 2/3 de l’eau utilisée au Pakistan, tant pour l’agriculture que pour les usages domestiques. Mais les mahométans veulent tout.

Après des transferts massifs de populations et une guerre de frontières, le Cachemire a été divisé en deux par l’ONU en 1949. L’Inde a accepté le partage. Le Pakistan vaincu a refusé ce statut et y entretient depuis des groupuscules terroristes.

En 1965, après la déroute de ses colonnes armées protégée par des boucliers humains, le Pakistan de nouveau vaincu a refusé de signer un traité de paix. Et continue le terrorisme.

Depuis 1974, le Cachemire est ensanglanté chaque année par des accrochages, des incidents de frontière, des escarmouches impromptues, des raids dévastateurs et de lâches assassinats de familles hindouistes. Il exporte aussi en Inde des kamikazes.

La même politique que les Palestiniens en Israël, les Moros aux Philippines, les Kosovars en Serbie naguère et la cinquième colonne en France. À croire que ces gens sont totalement dépourvus d’imagination en matière de stratégie de conquêtes.

Mais bon, rien n’interdit aux agressés d’appliquer sur leur sol la politique du bulldozer comme les Indiens. C’est juste une affaire de choix. Ou de résignation.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 




Avec Uber, Macronescu le chauffard a perdu les pédales

Vendredi 3 juillet 2015 : Travis Kalanick, un quadra de la génération Macron dont la fortune est estimée par Forbes à plus de 6 milliards de dollars, envoie un SMS au ministre de l’Économie, futur dictateur des Français.

Sans crainte de laisser une trace écrite – à ce niveau de pouvoir, on est au-dessus de ça – l’Américain pose sans détour la question qui tue : « Pouvons-nous faire confiance à Cazeneuve ? » (alors ministre de l’Intérieur qui l’a traité de flibustier).

Un conseiller de Kalanick lui dit qu’il a peut-être commis une erreur tactique.

– Un membre d’un gouvernement prendra difficilement parti contre un autre ministre ;

– Pensez donc, rétorque Kalanick qui connaît bien Macronescu depuis son passage chez les Rothschild. « Ce type serait capable de noyer sa propre mère contre un morceau de gras de jambon ! ».

Le pot aux roses révélé sept ans plus tard

 Un cadre licencié copie des milliers de documents internes de Uber émis entre 2013 et 2017 révélant que le patron de la compagnie d’applications mobiles de contacts pour des transports privés, confronté à des entraves administratives et à des tracas judiciaires en France, a bénéficié de la bienveillance et de l’appui de Macron.

En 2015 Kalanick s’ébroue dans la plus parfaite illégalité au Francistan. Son entreprise est sous le coup de nombreuses enquêtes tant pénales que fiscales. Parmi les sujets de discorde, l’offre « Pop » totalement illégale qui permet à  n’importe quel blaireau de s’improviser chauffeur de taxi.

Puisque les dirigeants d’Uber ne tiennent pas compte des observations et rappels de la loi, François Groland décide le 26 juin 2015 que la succursale française d’Uber doit être dissoute. Trop tard ! Il n’est plus qu’une potiche à l’Élysée. Et son ministre de l’Intérieur n’est là que pour le décorum. C’est déjà le félon sinistre de l’Économie, le vrai patron. Ou du moins le pantin arrogant dont le NWO tire les ficelles.

Macronescu-Kalanick un politicard sous la coupe du Nouvel Ordre Mondial

Bien avant les cadeaux fiscaux aux super-riches au détriment de la Nation, bien avant les honoraires somptueux versés à des consultants parasites, bien avant les crimes contre la santé des Français pour optimiser les profits de Big Pharma, Macronescu se faisait la main avec Uber.

À l’époque, la loi Thévenoud, censée réglementer l’activité des VTC, aurait dû obliger UberPop à se plier aux obligations légales ou à disparaître.

Les fichiers détournés et diffusés révèlent une histoire tordue, de celles que le dictateur affectionne. Elle commence le 1er octobre 2014. Macronescu vient d’être nommé ministre de l’Économie cinq semaines auparavant. Cédant aux           « suggestions » des grands créanciers de la France, François Groland a suivi leurs prescriptions.

Quatre visiteurs de marque rencontrent alors Macron au ministère : Kalanick le PDG, David Plouffe ancien directeur de campagne d’Obama, alors en cheville avec Zuckerberg, Pierre-Dimitri Gore-Coty, ancien de Goldman Sachs et vice-président d’Uber, ainsi que le lobbyiste européiste Mark MacGann. Une belle âme qui mettra plus tard son talent au service du Zygomyr Zelensky pour l’aider à enfumer le monde.

La rencontre est secrète. En principe. D’ailleurs, elle ne figure pas à l’agenda du ministre. Mais MacGann, qui est du genre frimeur, se vantera auprès de ses collègues dans un mail surréaliste (les écrits restent) « Malgré quelques réticences pour la forme, on a eu tout ce qu’on voulait. Ce type est très maniable si on sait lui montrer où est son intérêt. »

Les valises de biftons, c’est bon pour les ploucs. Les conseillers municipaux de Trifouilly-les-Oies pour le marché de réfection des pissotières municipales. Ici on est entre gens de la haute. On se prête des jets privés, on offre des campagnes de propagande sur les médias audiovisuels et web qu’on contrôle, on monte des machinations sordides contre les opposants, et on ouvre des lignes de crédit aux Bahamas à des ONG « humanitaires » qui participeront aux campagnes électorales.

Et (ne vous étranglez pas !) ils ont l’arme fatale : faire passer pour des fachos les vrais chauffeurs de taxi qui ont acheté fort cher leur licence et sont sujets à des contrôles draconiens. Puisque c’est pour la bonne cause : combattre l’extrême droite !

Selon les enquêteurs du Consortium international des journalistes d’investigation (ICIJ), qui ont eu accès aux documents internes d’Uber de 2013 à 2017, Kalanick, qui connaît fort bien le contexte français, aurait demandé à ses cadres de pousser les chauffeurs Uber à participer aux manifestations des taxis, en se faisant passer pour des « voyous d’extrême droite » afin d’entretenir la controverse. Et présenter Uber comme un acteur important de la « lutte anti-fasciste ».

C’est que Uber est un grand humaniste. À la vue un peu trouble tout de même. Puisque installé en Chine, en Colombie, en Égypte, en Turquie et en Arabie saoudite, dans ces pays, il n’a rencontré que des démocrates.

Un dirigeant français qui piétine les lois de son pays

Bien avant les viols répétés de la Constitution attentant aux libertés des citoyens, et bien avant le détournement des pouvoirs publics à son usage exclusif, le psychopathe manipulateur pervers s’était déjà fait la main avec les vrais-faux taxis.

Macronescu le traître avait pour mission assignée de faire changer les lois, d’empapaouter les médias et d’entraver la bonne marche de l’administration et de la justice. Les rendez-vous à Bercy s’enchaînent pour mettre la pression au freluquet.  Dans un compte-rendu destiné à l’état-major de la multinationale (et rendu public) les représentants de Uber écrivaient :

« La situation est délicate depuis que des agents de la Direction des Fraudes (DGCCRF) ont investi nos locaux et que des fonctionnaires du ministère du Travail enquêtent sur du travail dissimulé. Mais notre ami haut placé (sic) nous a garanti qu’il allait mettre bon ordre à tout ça. »

Bien entendu, Macronescu et sa bande nient la réalité de ces entretiens. Quant aux documents rendus publics, ce seraient des affabulations de cadres désireux de se faire mousser auprès du patron. Des médias subventionnés ont déjà adopté cette version.

Pourtant c’est bien Macronescu le futur tyran qui écrit qu’il est favorable à une licence allégée pour les VTC avec moins de contraintes pour la formation des chauffeurs (7 heures au lieu de 250 !) et plus de souplesse dans le suivi de la fiabilité des véhicules.

Et pour ça, il inaugure une technique de contournement de la loi qu’il réutilisera lors de la dictature sanitaire : en respectant les procédures sur des points secondaires. Mais pour les dispositions importantes et litigieuses, il passe par des décrets. Rédigés en l’occurrence par les lobbyistes d’Uber ! Plus tard de Pfizer.

« Il s’agit de trouver le moment opportun pour rédiger le décret abolissant le régime de la loi Thévenoud pour introduire une réglementation plus souple. » Mais ce n’est pas lui qui a écrit ça. Les mains prises dans le pot de confiture, l’immature nie tout. Et charge un conseiller de cabinet maladroit, décédé depuis.

Pour éviter des remous créés par les parlementaires, alors en majorité socialauds, députés dépités d’être dépossédés de leurs prérogatives et qui pourraient faire du foin (les merdias ne sont pas encore entièrement sous contrôle) une méthode s’impose. Suggérée par une proche collaboratrice du freluquet : « S’enquérir des besoins en circonscription des élus les plus influents et leur proposer des solutions ».

La corruption, quel vilain mot !  Entre gens de l’élite, on reste dans l’euphémisme.

Dans un échange interne qui a été rendu public, une responsable de la plateforme américaine se félicite des résultats obtenus : « C’est une excellente nouvelle. On a trois amendements déposés par des députés socialistes qui portent sur des éléments clés du régime, et notamment sur l’amendement sur les gares et aéroports (…) Ceci permet, comme c’était le but, de légaliser un régime VTC assoupli. »

L’empire mondial de Travis Kalanick fascine Macron l’arriviste provincial

Cette entreprise implantée dans plus de 50 pays correspond à sa vision du monde globalisé, où la start-up nation doit jouer un rôle aux contours inscrits dans un cadre bien précis. En servant d’abord les intérêts des nababs du NWO.

Mais au-delà des considérations économiques, il y a la fascination du pervers sadique pour les dirigeants d’une boîte capable de faire bosser les gens pour des queues de cerises, en violation de toutes les règles juridiques et au mépris des considérations  élémentaires d’humanité et de respect des personnes. Un régime sec qu’il aimerait bien imposer à la France entière.

En toute hypothèse, forts de ce soutien au sommet de l’État et avant la moindre régularisation formelle, les dirigeants d’Uber continuent de déployer le service Pop dans toutes les grandes villes de France et amplifient leur campagne de recrutement de chauffeurs. Une provocation pour les taxis. Le 25 juin 2015, 3 000 manifestent à Paris.

Les lobbyistes rappellent alors ses promesses à Macron. Celui-ci les rassure : « Je vais faire taire les taxis ». Mais il manque d’expérience, le bougre. Il ne sait pas encore que pour calmer des manifestants en colère, il faut les faire éborgner, gazer et mutiler par sa flicaille dévoyée.

Et il n’a pas encore la haute main sur l’appareil d’État pour faire valser à sa guise les préfets, les commissaires de police, les agents du fisc et les magistrats.

Le 28 juin 2015, soit 5 jours avant la fameuse réunion stratégique à Bercy, Thibaud Simphal et Pierre-Dimitri Gore-Coty, dirigeants français d’Uber, sont placés en garde à vue. Macronescu est furieux. On a osé défier sa magnificence !

D’après des témoins hauts fonctionnaires, le paltoquet trépigne, donne des coups de pied dans les portes et les murs, et pousse des hurlements dans son bureau, comme un petit demeuré auquel on aurait confisqué son ours en peluche.

Le 3 juillet, Uber n’a pas d’autre choix que d’annoncer officiellement la suspension de son activité « Pop ». Mais pour la France, c’est une victoire amère. La multinationale américaine abandonne un département qu’elle avait peine à rentabiliser, mais en contrepartie obtient un changement des règles de droit à son avantage. Et dans la foulée, la suspension des procédures pénales et fiscales, qui seront déportées vers une filiale néerlandaise.

Chez Uber on exulte en lisant les messages échangés entre Kalanick et Macronescu. Le tycoon a obtenu du minus tout ce qu’il voulait moyennant une simple  concession de pure forme.

Des perquisitions annoncées à l’avance pour bien s’y préparer

Le 6 juillet, une nouvelle  perquisition fiscale est menée chez Uber France par des fonctionnaires tenaces. On prétend que, s’ils sont repartis bredouilles sans trop insister, c’est parce que Macronescu, leur supérieur hiérarchique, leur a conseillé d’aller voir ailleurs. Avec des formules bureaucratiques fleuries du style : « Il serait dommage que quelqu’un comme vous, promis à une brillante carrière, la gâche en se perdant dans des investigations inutiles. »

Mais il n’y a pas que ça. On sait aujourd’hui que Uber disposait d’un système de gestion à distance permettant de neutraliser les documents compromettants en mettant HS ses propres serveurs. Pas dramatique dans la mesure où on a des sauvegardes dans un autre pays.

Mais pour activer le « kill switch »  il fallait agir en temps réel, donc être prévenu par quelqu’un de haut placé qu’une décision avait été prise, mobilisant des enquêteurs.

Quoi qu’il en soit, le 29 juillet, Mark MacGann remercie le ministre complaisant pour sa compréhension et sa patience et ajoute : « Travis vous est très reconnaissant des avancées considérables obtenues depuis la tension du mois de juin. »

Le futur tyranneau lui répond : « No problem. On continue ».

Les Uber Files révèlent d’autres contacts directs et réguliers, familiers voire amicaux, entre les dirigeants de la multinationale et Macron dans les semaines et mois qui suivent. Le ministre de l’Économie a pris sous sa seule autorité le dossier des VTC normalement placé sous la responsabilité du ministre des Transports.

L’empire des passe-droits sous la houlette de Macronescu

À Paris, l’Urssaf ouvre à son tour une enquête, soupçonnant Uber de se dérober au paiement des cotisations sociales. Dans les grandes villes, de nombreux chauffeurs continuent à exercer sans autorisation. Durant l’été, la tension monte d’un cran comme à Marseille où des taxis empêchent des dirigeants d’Uber de participer au salon des entrepreneurs.

Responsable du respect de la loi et de l’ordre public, le préfet Laurent Nuñez interdit les courses privées d’Uber dans le centre-ville de Marseille, ainsi qu’aux abords des gares et de l’aéroport. Bien évidemment Uber proteste vertement auprès de son ministre à tout faire. Lequel promet de s’occuper sans délai de la situation.

Bien que toute intervention soit niée, force est de noter que dans la soirée, la préfecture des Bouches-du-Rhône annonce qu’un nouvel arrêté va être publié. Ce règlement sera beaucoup moins restrictif. Dans sa communication interne, Uber présente cela comme une victoire.

Laurent Nuñez désavoué obtiendra par la suite un bel avancement puisqu’il est actuellement coordonnateur national du renseignement auprès du président de la Ripouxblique. Le haut fonctionnaire assure n’avoir subi aucune pression, ni rien obtenu en échange du deuxième arrêté. Il n’a fait que servir l’intérêt général dans un but louable de clarification.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 

 

 




Covid : Zelenko a-t-il été assassiné par Big Pharma?

Vladimir Zelenko est mort à 48 ans, le 30 juin, d’un « cancer rare et inexplicable ».

Comme Claire Séverac emportée fin 2016 par un « mal rare et inexplicable ».

Tous les deux dénonçaient les tromperies de Big Pharma et les crapuleries des politiciens véreux au service des labos. Disposant d’une audience certaine, ils pouvaient faire perdre des milliards aux mafias de l’industrie pharmaceutique.

Un médecin qui voulait vraiment soigner ses malades

Il était médecin de famille dans le comté de Rockland (New York) lorsque l’épidémie de grippe pangoline (inexplicable autrement que par des chimères) a commencé à tuer ses patients. Officiellement, il n’y avait aucun traitement pour combattre le covid. C’était la « vérité » martelée en continu par les médias du NWO dépendant des labos.

Zelenko a fait ce que tout médecin aurait dû faire, même si bien peu l’ont fait. En cherchant dans les publications médicales, il est tombé sur les expériences couronnées de succès du professeur Didier Raoult en France, confortées par les témoignages de médecins Sud-Coréens.

Il a aussi pris en compte les études du Docteur Roger Seheult préconisant l’utilisation du zinc et des ionophores de zinc.

Le zinc est un minéral indispensable aux  humains, et un léger supplément peut être utilisé pour renforcer les défenses naturelles. Un ionophore est un soluté porteur d’ions qui ouvre la paroi cellulaire pour permettre aux ions minéraux d’y pénétrer. Une direction de recherche complémentaire qui méritait qu’on s’y penche.

D’abord ne pas nuire (serment d’Hippocrate)

Il se trouve que l’hydroxychloroquine (HCQ) est un ionophore fiable qui a un schéma posologique et un profil d’innocuité établis. Des millions de personnes en bonne santé qui visitent des zones infectées par le paludisme ou qui y vivent, la prennent régulièrement à titre préventif. Cela depuis 80 ans.

Sans subir les troubles imaginaires décrits par des médicastres aux ordres de labos, et rabâchés ad nauseam par les loufiats des merdias dont la finalité n’est pas d’informer mais de terroriser les populations. Pour mieux les manipuler et les soumettre.

HCQ est vendu sans ordonnance dans toute l’Afrique et dans la plupart des pays d’Amérique du Sud. Et l’était aussi en Europe avant que Pfizer & Co y opposent leur veto. Pourtant, si le produit était toxique, depuis le temps, ça se saurait…

Zelenko a ajouté au protocole expérimental de Raoult, le sulfate de zinc et l’azithromycine, un antibiotique à large spectre qui prévient les agressions bactériennes opportunistes qui peuvent suivre les infections virales.

Sur ses 50 premiers patients, les 50 se sont rétablis après des symptômes légers ne nécessitant pas d’hospitalisation.

Zelenko a alors partagé son expérience dans une lettre et une vidéo adressées aux médecins et aux agences de santé, les informant de l’efficacité d’un traitement susceptible de sauver des vies.

La réponse à cet empêcheur de magouiller tranquille ne s’est pas faite attendre. Les agences fédérales aux USA, comme le mille feuilles des comités Théodule en France, ont dénoncé la prétendue nocivité de l’HCQ et, fait sans précédent, ont interdit aux médecins de prescrire un médicament qui aurait pu sauver des millions de vies.

Dans le même temps, selon un processus de cenSSure désormais classique, le rouleau compresseur des exclusions des réseaux sociaux et des déréférencements des moteurs de recherche se mettait en place, pour empêcher Zelenko de répondre aux calomniateurs, et surtout d’argumenter auprès de ses pairs.

La propagande de Big Pharma ne sait que mentir et menacer, voire pire

Les politiciens corrompus, relayés par les médias aux ordres, ont déversé un tsunami de mensonges sur le soi-disant danger de l’HCQ. Sachant bien que la plupart des téléphages et des web addicts n’étaient pas en mesure de porter un regard critique sur leurs assertions, faute de bagage scientifique suffisant.

En attendant les vaccins miracle élaborés en trois mois (!) ils ont mis Zelenko au pilori pour avoir proposé une alternative efficace et peu onéreuse à la panacée d’alors, le Remdesivir qui coûtait 3.200 $ par personne, était protégé par un brevet et approuvé par les autorités Américaines et Françaises, friandes de ristournes. Alors que ce médicament est d’une efficacité douteuse et toxique pour le foie et les reins.

Par la suite, il fallait amortir un autre investissement risqué, dans le pré-achat massif des thérapies géniques improprement appelées vaccins. Avec là aussi,  bakchichs et commissions à venir. D’où l’acharnement des dirigeants et leur rage contre les scientifiques honnêtes qui risquaient de leur faire perdre une partie de ce pactole.

Zelenko  a écrit ce que Raoult ou Perronne auraient pu signer : « Ma vie n’a plus jamais été la même. Je suis passé du jour au lendemain du statut de médecin obscur à celui de cible désignée sur la scène publique. J’ai été jeté dans une piscine avec les requins des médias et de la politique, pour y être dévoré. »

Néanmoins, le protocole Zelenko a été repris par quelques médecins et leurs résultats publiés dans une revue médicale. Dans le même temps, considérant que c’était son devoir de médecin, Zelenko a écrit au président Trump expliquant comment il avait déjà sauvé des centaines de vies. Trump lui accorda sa confiance. Erreur de timing !

Science et politique n’ont jamais fait bon ménage

Trump faisait déjà l’objet d’une détestation inédite chez les faiseurs d’opinion de la caste politique américaine. Pour  ces pseudo intellos, certes instruits mais très pourris de la tête, tout ce que disait Donald ne pouvait être que erreurs, mensonges, trucages… Pas comme les « honnêtes démocrates » qui ne trichent jamais…

Une opportunité inespérée pour le médiocre et ambitieux Anthony Fauci, qui n’avait aucun bilan à présenter dans la lutte contre la grippe pangoline.

Pourtant vainqueur dès le premier round contre Zelenko parce qu’il y avait des millions d’Américains, et parmi eux nombre de médecins et de scientifiques conditionnés par les merdias à croire que : « Si Trump le dit, c’est forcément faux ! »

Et encore, Zelenko a eu la « chance » de mourir avant qu’on lui applique le même traitement qu’au professeur Fourtillan en France : « À enfermer chez les fous ! » Un projet déjà bien avancé… Le paltoquet donnait des conseils au sénile Biden.

Après la mort de Zelenko, le très progressiste New York Times qui avait créé, fait unique dans les annales, une cellule de démolition du Président, réduit la nécrologie du médecin à ce résumé malhonnête :  « A promu un traitement Covid non fondé. Aucune étude n’a trouvé un avantage à son traitement, et certaines ont mis en évidence un risque d’arythmies cardiaques dangereuses.»

Sans vergogne, le NY Times a occulté les 35 études sur un total de 38 utilisant l’HCQ contre le Covid-19 démontrant la supériorité de ce médicament sur les autres thérapies avec dans l’ensemble 72 % de décès en moins.

Science et pognon ne sont pas faits non plus pour s’entendre

Le NY Times a préféré oublier aussi la campagne massive financée par Big Pharma pour discréditer l’HCQ. Avec un culot incroyable, des médicastres ont présenté une étude bidonnée portant sur 100.000 patients sur six continents.

Une supercherie publiée par le Lancet, l’une des plus fameuses revues médicales qui a été piégé.  Et été conduit à se rétracter deux semaines plus tard, L’étude était une fraude dès le départ, basée sur des données pré fabriquées qu’aucun expert du Lancet ne s’était donné la peine de vérifier.

La propagande anti-HCQ a falsifié en outre les données scientifiques avec trois essais cliniques conçus pour échouer, en provoquant des arythmies dangereuses, en limitant les tests à des patients atteints à un stade avancé. Pour ne pas dire des moribonds.

Pire encore, la posologie était quatre fois supérieure à la dose sûre. Empoisonnant délibérément des patients afin de créer l’illusion que l’HCQ était dangereuse et justifier son interdiction par des politicards complices. Plus de 500 patients sont morts dans ces essais de surdose pour préserver les bénéfices des labos !

Perte de confiance dans la médecine

Avant le covidus macronibus, on n’avait plus tellement confiance dans la flicaille devenue milice du tyran, chargée de traquer les opposants et de molester les manifestants. Tout en  laissant courir les délinquants.

On n’avait plus du tout confiance dans une justice islamo-gauchiste politisée à outrance. Décidant non plus en fonction du Droit mais selon son idéologie.

Mais on avait encore confiance dans la médecine. Grâce aux progressistes démocrates américains et à Macronescu, c’est fini !

Bien sûr, il reste des médecins scrupuleux, mais quand on ne les connaît pas bien, comment différencier le pourri prêt à vous injecter ses poisons pour optimiser son chiffre d’affaires et le bon docteur qui veut vous soigner ?

Zelenko parlait d’avilissement de la médecine. Au lieu d’enseigner des connaissances approfondies reliées par des raisonnements analytiques et soutenues par l’expérience, on a endoctriné les étudiants à se plier à l’autorité des « experts » fussent-ils autoproclamés. Et sous la coupe des politiciens les plus vérans véreux.

La tendance a empiré depuis que de nombreux médecins qui n’ont plus vu un malade de près depuis la fin de leurs études, sont salariés par des firmes pharmaceutiques comme chercheurs, ou VRP introduits dans les hôpitaux sous tutelle de Big Pharma.

Quand des décrets scélérats ont interdit la HCQ, les médecins qui ont soulevé des objections ont été interdits de publication dans les principales revues médicales contrôlées par Big Pharma. Et ceux qui ont insisté ont perdu leur droit d’exercer.

Médecins assassins

Zelenko a traité 7 500 patients n’en perdant que trois. Il a donc essayé de trouver sur quels arguments scientifiques ses détracteurs s’appuyaient pour faire interdire l’HCQ, médicament peu coûteux qui pouvait être administré sans délai aux patients pour prévenir la progression de la maladie.

Dans sa recherche, il a découvert que les CDC (Centers for Disease Control and Prevention) avaient fait des expériences similaires avec la chloroquine et l’HCQ, et étaient parvenus aux mêmes résultats que lui.

Non seulement la chloroquine et l’HCQ empêchaient la réplication virale, mais aussi des dizaines d’autres médicaments homologués agissaient de même ! Mais Fauci et les crapules du département américain de la Santé ne l’ont jamais dit au public.

Au lieu de cela, Fauci a fait tout ce qu’il pouvait pour empêcher que les preuves des avantages de l’HCQ atteignent le public, allant jusqu’à annuler sa propre étude.

On peut avancer sans risque de se tromper que les différents organismes qui chapeautent la santé en France, Ministère, commissions, Haute autorité de santé, ANSM, INSERM, comité spécial élyséen, en savaient au moins autant que Fauci.

Et leurs décisions prouvent qu’ils ont agi  de façon aussi criminelle, encouragés par le dictateur Macronescu, ses consultants avides et ses séides cupides.

Le testament de Zelenko

Dans son dernier message vidéo depuis son lit de mort à l’hôpital de Dallas, Zelenko a accusé l’Organisation mondiale de la santé d’être complice de Big Pharma pour empiéter sur la souveraineté des nations. Et il nous a exhortés :

« Résistez à leur programme diabolique et à leurs campagnes de peur, de verrouillages, d’isolement, de masques déshumanisants. Ils continueront à envoyer vague après vague des virus de la peur jusqu’à ce que vous acceptiez de vous soumettre à des psychopathes qui se prennent pour des demi-dieux. Dénoncez les ces faux dieux de la technologie, de la science, du gouvernement corrompu, de l’argent, du pouvoir, de la renommée, et désobéissez-leur massivement ! »

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 

 




Cancel culture en Ukraine : Tout ce qui est russe doit disparaître ! 

Zygomyr est un roquet enragé qui se prend pour le centre du monde. Ignare, inculte, stupide, primaire. Amateur de déguisements ridicules comme Macronescu.

Formaté par la cancel culture, le virtuose du piano à queue a ordonné que tous les témoignages de la culture russe, depuis le temps de tzars, disparaissent du paysage public ukrainien. Statues, livres, tableaux, musique, films, tout doit partir à la casse !

Rien ne doit rappeler la grandeur de la Russie

Les chefs d’œuvre du passé offensent ses guerriers en peau de lapin. Il faut donc faire payer à Pouchkine, un temps exilé en Ukraine et mort en 1837, les raclées que les Ukronazis se prennent aujourd’hui. À chaque nouvelle ville perdue, les hiérarques déconfits se défoulent sur les objets qu’ils ont sous la main. Pauvres types !

À Tchernihiv, Mykolayiv, Moukatchevo, Zabolotiv, Oujhorod les statues de  «l’ennemi Pouchkine » sont déboulonnées, décapitées, envoyées au rebut. Comme naguère celles de Staline. Comparer ces deux hommes traduit un trouble de l’esprit… Les autorités assument : « Tout ce qui est russe doit être démantelé.»

Seul le maire d’Odessa comprend mais déplore ce rejet de tout ce qui est russe, et a refusé de renommer la rue Pouchkine. Mais partout ailleurs, les hiérarques se déchaînent à la tête de bandes de hooligans. Parangons de culture comme chacun sait.

Les responsables des bibliothèques publiques, scolaires et universitaires sont «invités» par le gouvernement à faire disparaître de leurs rayons Fédor Dostoïevski, Léon Tolstoï, Ivan Tourguéniev, dont les œuvres relèvent du patrimoine mondial de la littérature. Pour Nicolas Gogol, les Ukronazis hésitent vu qu’il avait la double nationalité.

En toute hypothèse, Oleksandra Koval, directrice de l’Institut ukrainien du livre n’y va pas par quatre chemins : « Quelque 100 millions d’ouvrages de propagande russe  devront disparaître !»

Tandis que pour le ministre de la culture Oleksandr Tkachenko :

« Il s’agit d’une guerre d’identité pour le peuple ukrainien. Par le rejet global du monde russe et de ses figures, la dé-russification doit renforcer la prise de conscience d’une identité nationale.»

Dans le même temps, des circulaires comminatoires enjoignent aux directeurs des médias, des théâtres, des cinémas et de salles de concert, de bannir les compositeurs russes, de l’opéra jusqu’au rock’n’roll en passant par les musiques de films.

Selon les instructions d’un tyranneau pitoyable et de sa cour de bouffons tragiques, il faut faire disparaître toutes les figures artistiques et intellectuelles héritées de l’empire russe, de l’ère bolchevique et de l’époque post-soviétique.

Imaginez un instant qu’en France, en guise de représailles contre Adolf ou Von Der Leyen, son clone en jupons, on décide un autodafé de tous les auteurs allemands de Kant à Goethe et de Schiller à Nietzsche. Et qu’on interdise de jouer Bach, Handel, Beethoven, Wagner…

Que diraient nos bobos européistes, grands amoureux de la diversité, chantres de la fusion des cultures et imprécateurs des penchants nationalistes ?

Les auteurs et artistes du présent ostracisés comme ceux du passé

Dans cette frénésie de dé-russification le parlement ukrainien a adopté le 19 juin 2022 une loi interdisant l’importation et la vente de livres imprimés en Russie.

Peu importe qu’il s’agisse de romans, de poésie, d’essais, de traités scientifiques ou d’ouvrages techniques. Avec cette décision stupide, ils s’imaginent sans doute que l’art et le savoir peuvent être étouffés par un embargo. Effet Streisand probable !

Il sera également interdit de diffuser dans l’espace public ukrainien de la musique composée ou jouée par des artistes ayant obtenu la citoyenneté russe après la chute de l’URSS en 1991… Phase suivante : Exiger leur disparition de YouTube ?

Dans sa grande tolérance, le virtuose du piano à queue a toutefois ouvert aux  musiciens concernés la possibilité de solliciter des autorités ukrainiennes une autorisation de représentation et de diffusion, à condition de condamner publiquement la Russie. Piètre consolation à ses blessures d’ego.

Ces manigances viennent en complément de la guerre des images où les Ukrainiens remportent les batailles virtuelles qu’ils sont incapables de gagner sur le terrain.

Comme dans toutes les impostures autocratiques, la mise sous tutelle de la culture et le verrouillage de l’information sont des armes redoutables au service de la propagande. Pour renforcer la cohésion de ceux à qui elles sont spécifiquement destinées. Mais surtout pour contaminer les opinions en Occident puisque ceux qui les répercutent sont des journaleux un peu niais, beaucoup complices et très militants.

Parmi les dizaines de subterfuges utilisés par le Zygomyr pour faire raquer les Otanesques, et repris avec ferveur par nos médias menteurs : Le top gun fantôme qui descendait tous les avions russes, les braves de l’île eux serpents qui se sont sacrifiés avant de ressusciter, et la pathétique histoire du héros ukrainien faisant ses adieux à sa famille, une vidéo détournée d’un combattant pro-russe du Donbass !

https://www.youtube.com/watch?v=GtnhovwOHLI

Ces images ont tourné en boucle dans le monde entier, elles ont été vues par des millions de personnes, sans que les Russes puissent y répondre. Et les rectificatifs tardifs et timides sous la pression du web n’y changeront rien. Seule perdure l’impression première. Qui prétend faire passer les Ukronazis pour des victimes et le Zygomyr pour un superman de fête foraine. Auquel il ne manque que des armes, encore plus d’armes et des milliards de dollars supplémentaires pour aplatir la Russie.

Le Zygomyr qui fut un histrion minable a raté une belle carrière de metteur en scène !

Il va falloir refaire la plupart des cartes et plans de villes

 Selon la BBC, 200 avenues, places, boulevards, musées, théâtres, quartiers entiers ont déjà été débaptisés. « Pour débarrasser l’espace public de la présence russe. »

On a du oublier de signaler au Zygomyr que la langue russe et l’ukrainien ont des racines communes. Langues slaves, elles dérivent toutes deux du ruthène, le parler des anciens Rusyns. Et de quel côté va-t-on ranger le  « surzhyk » un pidgin mélange d’ukrainien et de russe, plus parlé dans les provinces du Nord que dans celles de l’Est et du Sud, où on s’en doute les habitants préfèrent le russe classique.

Heureux Français qui ne connaissent pas ces problèmes linguistiques grâce au gargouillis des présentateurs télé limité à 200 mots, et aux zélites qui encensent le sabir des banlieues comme une source d’enrichissement culturel.

Pour en revenir à Pouchkine, dans son procès post mortem, il est accusé d’avoir traité de « barbare sanglant et cruel » le chef des Cosaques Ivan Stepanovitch Mazepa allié à la Suède (tiens, tiens…) et à l’Ukraine pour combattre les Russes au XVII ème siècle.

Faut-il rappeler qu’outre des figures universelles de la culture, les divers noms de rues, de bâtiments publics et de lieux, honoraient des héros morts au combat contre les nazis pendant WW2 (tiens, tiens…) Des combattants russes mais aussi ukrainiens.

Le zygomyr et sa bande qui ont élevé au rang de « héros national » le gestapiste Stepan Bandera et légitimé les exactions des waffen SS ukrainiens, voudraient-ils estomper des livres d’histoire la résistance ukrainienne ? Car, comme en France occupée, tous les Ukrainiens n’étaient pas des collabos et des salauds. Certains se sont courageusement battus contre les nazis.

Ce n’est pas un hasard si Poutine considère les Ukrainiens comme un peuple frère et limite volontairement ses frappes pour ne pas nuire aux civils. À la différence des bombardements sauvages de l’OTAN en Serbie.

Mais des dégâts collatéraux aussitôt montés en épingle sont inévitables, puisque les Ukronazis utilisent leurs compatriotes comme boucliers humains, en adossant leurs arsenaux et leurs postes de tir à des centres commerciaux, des hôpitaux, des écoles, des immeubles d’habitation. Une fourberie copiée sur les Palestiniens.

Le zygomyr est un nazislamiste qui s’ignore

Le Zygomyr et son gang se sont largement inspirés des autodafés de Goebbels autant que des délires d’effacement et de ré écriture du passé dont les mahométans sont coutumiers. Comme le calife Omar qui, après la mise à sac d’Alexandrie répondit à un général qui lui demandait ce qu’il fallait faire de la Grande Bibliothèque : « Tous ces livres s’ils sont conformes au coran sont inutiles. Et s’il ne le sont pas, ils sont impies. Dans les deux cas, brûlez-les ! »

Ou comme les Iraniens et les Talibans qui interdisent l’enseignement de l’évolutionniste, assorti d’une fatwa contre Darwin parce qu’il blasphémait. Et punissent les profs de sciences qui ne réfutent pas la théorie de la relativité, un mensonge juif forcément.

Voilà à quel stade d’arriération et d’aliénation a régressé l’Ukraine du Zygomyr, le pote à Macron.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 

 

 




Par soumission à l’Otan, Macron nous entraîne dans une économie de guerre

 

Dès novembre 2017, preuve de la préméditation des manigances pour pousser à bout la Russie, l’OTAN enjoignait à ses vassaux d’évoluer le plus vite possible vers une économie de guerre. En valorisant de nouveaux fournisseurs pour pouvoir se passer des matières premières et des sources d’énergie importées de Russie.

Mais aussi chaque pays était invité à consacrer des budgets adéquats pour élargir les routes et renforcer les ponts afin de permettre aux blindés de se rendre rapidement à l’est « pour défendre les pays Baltes » qui n’étaient pas menacés.

L’idée n’est pas nouvelle. Le führer avait développé les autoroutes dans les années 30, non pour canaliser les flux de vacanciers, mais afin de pouvoir déplacer le plus rapidement possible ses troupes et leur matériel vers l’Est. Le dernier tronçon de l’A2, qui reliait Berlin à la Ruhr fut  inauguré symboliquement le 23 septembre 1939.

L’économie de guerre, une invention allemande

Au cours des deux guerres mondiales, les boches imposèrent à leur population, et plus encore à celle des pays occupés, des économies de bouts de chandelles afin de soutenir l’industrie de guerre.

« Lavez-vous moins souvent et limitez vos lessives pour ne pas gaspiller le savon » Un slogan qui devrait ravir les écolo-barjots adeptes de la décroissance. Puisque ceux-ci préconisent de réutiliser l’eau du bain pour faire la soupe.

Les verts n’imaginent pas un seul instant la production dantesque de CO2 et de micro particules des armes mobiles envoyées au pianiste, avant destruction. Et la pollution de l’air produite par leurs explosions, du moment que c’est pour la « bonne cause ».

À marche forcée vers l’autarcie

Macronescu le tyran qui n’a jamais été soldat mais s’est autoproclamé stratège a décidé le 13 juin 2022 de faire passer les Français dans une économie de guerre.

Les intentions du dictateur  sont claires : Continuer à soutenir, quoi qu’il en coûte, le virtuose du piano à queue pour lequel il éprouve un trouble émotionnel fort.

Les Français devront se serrer encore plus la ceinture. Et après ? Tant pis pour eux, ils n’ont que ce qu’ils méritent. Après avoir voté pour le paltoquet ou contribué à son maintien par leur indifférence.

Les premières mesures annoncées consistent à accélérer la fabrication de matériels militaires.  Notre armée a été sévèrement rationnée depuis plusieurs années. Mais rien n’est trop beau pour servir les mafieux ukro-nazis. Le despote envisage même de réquisitionner des usines fabricant du matériel civil pour les reconvertir à des productions de guerre. Le Zygomyr exige. Le paltoquet obéit.

Cela devra s’accompagner de mesures de réduction de la consommation énergétique pour commencer. Puis de restrictions de la consommation privée des familles. Dépenses alimentaires entre autres puisque l’arrêt des importations de céréales est supposé punir la Russie tandis que la production agricole en France est en train de chuter du fait du manque d’engrais et de pesticides. Que du bio mais à quel prix ?

Du moins pour les produits auxquels les familles n’auront pas renoncé du fait de l’inflation. Qu’on ne peut encadrer par une politique monétaire puisque nous ne sommes plus les maîtres du jeu dans ce domaine depuis belle lurette.

La loi « pouvoir d’achat » en préparation ? Encore un rideau de fumée !

Depuis qu’on fait la guerre aux Russes par ukronazis interposés, les prix de l’électricité, du gaz ou du pétrole, ont battu des records. Qui seront battus à leur tour.

L’Ukraine où la moitié des gens, même dans les villes, souffraient de coupures de courant intempestives, bien avant les opérations de nettoyage russes, va nous vendre de l’électricité ! Au prix fort. Il n’y a pas de petits profits pour le Zygomyr.

Pour le moment c’est l’été. Mais quand l’hiver viendra, ça va aller très mal. Surtout sur l’approvisionnement. Selon Les Echos du premier juillet, la loi «pouvoir d’achat» devrait comporter un volet « Souveraineté énergétique » donnant à l’État des pouvoirs sans précédent, depuis la déclaration de guerre de 1939.

Les confinements, restrictions, muselières, auto-attestation, passes nazitaire, cafés assis, debout, couché, restos et cinoches fermés. salles de sports interdites, ne furent que des hors d’œuvre. Patience, les plats principaux arrivent. Plus indigestes encore.

L’énergie au ralenti

D’après une préversion du texte, des réserves de gaz seront stockées sous terre, dans la plus complète opacité, niveau secret défense. Double avantage pour le pouvoir : Faire gober aux jobards que Macronescu se décarcasse pour leur éviter le pire. Et gérer les prix à la consommation, en contrôlant les flux de distribution.

Par ailleurs, le gouvernement peut décider de restreindre à sa guise, ou de suspendre, voire de stopper complètement le fonctionnement de certaines installations de production d’électricité utilisant du gaz naturel.

Dans le cas prévisible de difficultés d’approvisionnement en électricité, l’État pourra réquisitionner ces centrales afin qu’elles fonctionnent selon ses instructions. Confiées à des énarques qui sont autant ingénieurs ou techniciens que moi évêque anglican. Mais tout à fait à leur place dans ces usines à gaz, c’est leur spécialité. EDF, Engie et Total Énergies sont concernés.

« En même temps » on accélérera la relance des centrales à charbon que les écolo-barjots alliés de circonstance du pouvoir, accepteront mieux que la réouverture des centrales nucléaires. La silicose et la pneumoconiose, fréquentes chez ceux qui vivent à proximité des centrales à charbon, les perturbent moins que les irradiations rarissimes près des usines atomiques. C’était quoi déjà la « transition énergétique » ?

Les retraités seront « invités » à reprendre le travail, sous peine de perdre tout revenu.

En violation des dispositions du code du travail, mais le dictateur a piétiné tant de lois, Constitution incluse, qu’il n’est plus à ça près. Répétition du  chantage de ce psychopathe pervers pour trouver des « volontaires » à ses piquouses.

L’économie de guerre donne tous les droits au gouvernement

Outre le fait qu’elle amplifie la tentation des zélites, jamais tout à fait abandonnée, de contrôler et si possible de diriger l’économie, elle leur donne des droits exorbitants sur la liberté des individus et sur la cenSSure des opinions divergentes. Comme si l’épisode covidus macronibus n’avait pas suffi à désorganiser le pays et à créer des clivages irréductibles entre les citoyens.

Et il n’y a même pas besoin que la France soit engagée directement dans un conflit armé puisque, selon une loi de 1938 jamais abrogée, mais remise à niveau récemment :  « L’organisation de l’économie de guerre peut être ordonnée à tout moment en période de tension extérieure si les circonstances l’exigent. »

Le Gouvernement dispose du pouvoir discrétionnaire de procéder en temps de paix, au recensement des personnes, animaux, matériels, matières ou objets, produits, denrées alimentaires, outillage, immeubles, installations ou entreprises susceptibles d’être requis si la France se sent motivée par un conflit qui ne la concerne pas.

Dans cette hypothèse, peut être soumis à réquisition, hors contraintes militaires,  tout individu et ses biens faisant partie d’un service ou d’une entreprise considérée comme indispensable pour assurer les besoins du pays.

Les personnes titulaires d’une pension de retraite, sont mises à la disposition des préfets pour les tâches jugées nécessaires, sous réserve de remplir des conditions d’aptitude physique et intellectuelle. La réquisition n’ouvre droit à aucune indemnité.

Quiconque n’aura pas déféré aux réquisitions de l’autorité publique sera passible d’un an de prison (pour de vrai) et d’une amende de 3750 euros.

Quiconque aura tenté de dissimuler des biens susceptibles d’être réquisitionnés, sera passible d’un an de prison (pour de vrai) et d’une amende de 4000 euros.

Quiconque aura diffusé de « fausses informations » sera passible de cinq ans de prison et 15.000 euros d’amende. Et le pyjama orange pour les « complotistes » ?

Ni les syndicats de prétendus travailleurs, ni les assoces de défense des drouadlom, grassement subventionnés les uns et les autres, n’y ont trouvé à redire.

Quant aux écolos-barjots, ils ne se sentent pas concernés par des procédures illégales violant les impératifs de sécurité, comme celles destinées à accélérer les travaux de raccordement du port du Havre au réseau de gazoducs de GRTgaz chez Barbapoux.

Il y a encore une porte de secours

Fort heureusement, la bornée est obligée de passer par le Parlement pour instaurer le statut d’économie de guerre. Les macronards sont tellement sûrs de l’emporter par un nouveau discours de peur, colporté par les médias aux ordres, que leurs décrets d’application sont rédigés, et certains déjà mis en œuvre à titre expérimental.

Étant donné qu’ils ne peuvent décider seuls cette fois, il sera intéressant de relever le nom des ordures, tous partis confondus, qui leur accorderont leur blanc seing.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 

 




Covid : un bon prétexte pour vendre vos données personnelles de santé

Vous avez aimé covid 1 « la pangolinade », Covid 2 « les vaccins tueurs », Covid 3 « les tests à la con » ? Vous adorerez Covid 4 « le retour des zombies ». Avec dans ce nouvel épisode la marchandisation de vos données de santé et de votre génome.

Il aurait fallu être le dernier des bourricots pour ne pas comprendre que si le virus avait eu la délicatesse de se calmer quelques mois avant les élections…il ne manquerait pas de reprendre ses nuisances plus médiatiques que pathologiques, une fois qu’Ubu roi aurait renouvelé son bail. Enfin libre d’imposer des mesures coercitives inédites pour mieux encadrer la populace. Et se remplir les poches.

La bornée et ses loufiats de préfets préparent l’opinion en « conseillant » de ressortir les muselières des placards. Tandis qu’une fraction importante de la caste politico-médiatique « ne s’oppose pas » à la prorogation du passe nazitaire. Les cours d’euphémisme furent, avec la pipotronique, très suivis à l’ENA.

Vous êtes les gibiers d’un safari commencé il y a 46 ans avec Fiscard Mesquin

En 1976, des médias moins vénaux et pourris que maintenant révélaient un projet gouvernemental jugé scandaleux à l’époque.

Ce projet dit SAFARI (Système automatisé des fichiers administratifs et du répertoire des individus) visait à interconnecter tous les fichiers nominatifs des différentes administrations, avec pour finalité un fichage général de la population. Dans un but louable de modernisation du pays. Bien sûr. Et avec l’ambition philanthropique de mieux servir les administrés. Bien évidemment.

Les Français de l’époque étaient moins jobards que ceux d’aujourd’hui, et leur fronde provoqua un tel tollé que le gouvernement institua une Commission nationale de l’informatique et des libertés par une loi du 6 janvier 1978.

Cette loi rassurait les citoyens en posant des règles strictes de protection des données à caractère personnel dans les traitements informatiques. La CNIL pouvait conseiller, contrôler, tancer, et être saisie de plaintes par toute personne s’estimant lésée.

Jusqu’au 6 août 2004 (c’est toujours pendant les vacances d’été ou à la veille de Noël qu’ils font leurs sales coups)  quand tout changea avec la transposition d’un diktat de l’Eurocrature ouvrant la voie au « regroupement des données de santé ». Pour favoriser des échanges d’informations confidentielles entre professionnels, dans le but d’améliorer les politiques de santé. Interdit de douter de leurs bonnes intentions.

Avec Macronescu,  tout malade bien exploité est un filon

Fin mai 2022, le gouvernement détournait les dispositions européistes de 2004 jusqu’alors réservées à la Sécu, aux mutuelles, aux hôpitaux et aux médecins, en officialisant la mise en place d’un traitement automatisé des données de santé à caractère personnel dans le but de créer des data bases gérées par « Agoria Santé ».

Agoria ? Un consortium de géants pharmaceutiques  regroupant des bienfaiteurs de l’humanité comme AstraZeneca et des filiales de Pfizer, ainsi que Impact Healthcare, l’inévitable cabinet de consultants experts-en-tout dont le dictateur est friand.

Cette décision scélérate, démentie jusqu’au dernier moment, saborde l’équilibre fragile existant jusqu’alors entre la protection de la vie privée garante des libertés individuelles, et les pratiques parfois intrusives de la recherche et de l’innovation.

La CNIL a prouvé la souplesse de son échine en opérant un revirement jurisprudentiel et doctrinal à 180 degrés, en légitimant la marchandisation des données de santé des particuliers (pathologies, thérapies, handicaps) sans leur accord.

Pour donner une apparence de légalité à cette forfaiture, la CNIL, dans une délibération du 7 octobre 2021, guère commentée dans les merdias, permettait déjà la création de bases de données multiples à partir d’informations confidentielles. Avec la possibilité de réutiliser ces données, à l’insu des fichés, dans un cadre de missions dites d’intérêt public. Intérêt défini par le Consortium, émanation de Big Pharma !

Ainsi le gouvernement a adopté la vision américaine mercantiliste selon laquelle seuls les profits des multinationales de Big Pharma permettraient l’innovation en matière de santé. Sans se demander si ces innovations seront favorables aux malades ou seulement aux actionnaires. Bien que tout le monde connaisse la réponse.

Vos données de santé ne vous appartiennent plus. Elles seront gérées par Big Pharma. Que ça vous plaise ou non. Le paltoquet vous emmerde tous et il ne va pas se gêner !

Vous ne leur échapperez pas, vous n’êtes que des numéros !

https://www.youtube.com/watch?v=wZ9238qH1Sk

Une fois de plus, le dictateur s’assoit sur les lois en vigueur et gouverne par oukases au gré de ses humeurs, et en fonction de ce que lui dictent d’énormes intérêts financiers. Les siens et ceux de ses sponsors.

Après les graves atteintes aux libertés individuelles et à l’intégrité physique des personnes, en les forçant à se faire injecter des mélanges nocifs sous la menace d’être exclus de la société, le despote a décidé dans le secret partagé avec des consultants payés à prix d’or, de la privatisation de la santé numérique.

Goinfrez-vous à la santé du paltoquet !

Les barrages éthiques opposés depuis plusieurs années à cette approche marchande de la santé étaient sans cesse ébranlés par les lobbies du business médical en France. Qui savent contribuer aux campagnes électorales au profit des « candidats méritants ».

Le covidus macronibus a surgi à point nommé pour faire céder les dernières barrières. Si cette grippe pangoline n’avait pas existé, il aurait fallu l’inventer !

Un journaleux télé aussi pourri que cynique a reconnu benoîtement que « les intérêts financiers en jeu sont tellement considérables dans le domaine de la santé que celui-ci ne pouvait pas rester plus longtemps à l’écart de la globalisation. »

Illustration de ce que Guillaume Desgens-Pasanau et Éric Freyssinet observaient dès 2009 dans leur livre « L’identité à l’ère numérique » (Dalloz) « Au gré des évolutions technologiques et commerciales, la CNIL a dépassé son rôle de gardien des libertés publiques pour devenir  une institution de régulation du marché »

Priorité aux repris de justesse

Désormais des entreprises au passif judiciaire assez lourd comme AstraZeneca et Pfizer peuvent en toute légalité et avec la bénédiction du Gouvernement français,  collecter, croiser et traiter vos informations personnelles de santé, les utiliser à leur profit comme elles l’entendent, et même les céder à des tiers.

Bien évidemment d’autres majors pharmaceutiques sont sur les rangs pour bénéficier de ces privilèges que Macronescu et ses complices ne sauraient leur refuser. Mais les informations de santé individualisées, juteuses, pourraient être l’arbre qui cache la forêt de la marchandisation des données génétiques.

Là aussi les digues ont sauté quand on a allégué la nécessité de remédier à la faiblesse financière de l’Université et à l’indigence intellectuelle de la recherche publique (les glandeurs du CNRS ?) pour collecter, compiler et croiser les données génomiques à l’échelle planétaire. Dans l’intérêt des sujets d’étude. Naturellement.

Ainsi s’est créé un Big Data génétique regroupant Google, Apple, Facebook, Amazon, Microsoft et IBM. La filiale Google Genomics est déjà opérationnelle.

Les tests covid RT-PCR passés au super-séquenceur MGI sont un outil idéal pour abonder les bases de données mondiales sur les populations.  Pour quel usage ? Sélectionner les bons profils, soumis et besogneux, et laisser les autres crever ?

La course au trésor

En 2019, les dépenses de santé représentaient plus de 10 % du PIB des pays vassaux de l’Eurocrature. Un chiffre tournant autour de 1840 milliards d’euros.

Les crapules de Bruxelles ont justifié la marchandisation des données personnelles de santé en vertu de l’infâme traité de Maastricht qui instaure une liberté totale de circulation des personnes, des marchandises, des services, des infos et des capitaux.

Le Covid-19 a permis d’accélérer cette évolution quand, le 19 mars 2020, sur demande insistante de Macronescu, le Comité européen de la protection des données (CEPD, un acronyme savoureux !) a levé les restrictions sur l’échange et le traitement des données informatiques personnelles des « sans-dents » en arguant du contexte exceptionnel d’une épidémie. Pour mieux les soigner. Cela va sans dire.

La démarche du consortium « Agoria Santé » est plus sournoise que celle des GAFAM et des BATX (les GAFAM chinois) car si ceux-ci ne dissimulent pas leur objectif, faire du pognon au travers de leurs activités de santé, ils offrent des contreparties. Dans la plupart des cas, un service virtuel sinon vertueux, au consommateur en échange de l’usage des informations confidentielles le concernant.

« Agoria Santé » par contre va valoriser et vendre à ses clients des données de santé qu’elle aura collectées gratos, sans rien proposer en retour. Et si de nouveaux traitements sont découverts grâce à ces données, les profits seront uniquement pour Big Pharma. Moins les ristournes aux politiciens véreux et aux journaleux corrompus.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)

 




Covid : Stéphane Eimer, encore un mort sur ordonnance ?

 

 

C’est l’histoire d’un homme de 52 ans qui « valait » 600 millions d’euros en 2021 au hit parade des nababs selon le magazine Challenges. Son nom : Stéphane Eimer.

Ses proches et ses collaborateurs le décrivent comme possédant un caractère bien trempé. De l’intelligence et du savoir- faire à revendre. Pas le genre déprimé.

Pour ses hagiographes, « parti de rien » il serait devenu une des plus grandes fortunes françaises en quelques années. Grâce au covidus macronibus. Dans une discrétion de bon aloi. Celle de la bourgeoisie provinciale qui sait compter ses sous sans les montrer.

Rien de commun avec les vociférations du Varan qui pue de la gueule, les ritournelles mi-acides mi-sirupeuses du Blachier et les insultes compulsives du psychopathe élyséen mal embouché. Du coup, bien que ce profiteur du covid ait fait son beurre en vous entubant, je le trouverais presque sympathique en comparaison des autres.

Et voilà qu’après une dispute avec Bobonne, cet homme dynamique à qui tout a réussi, saute tout seul par une fenêtre du très chic hôtel Royal Monceau à Paris. C’était le 22 juin 2022. « Une mort brutale » déplore le communiqué officiel de la multinationale dont il était le PDG.

« Un suicide » conclut aussitôt l’inspecteur Clouseau. Avant analyses et enquêtes, dont le parquet n’a rien à cirer. Sur simple interprétation d’une bafouille où le défunt évoque ses difficultés conjugales. Sans exprimer clairement son intention d’en finir. Le moins qu’on puisse dire est que cette histoire d’homme-oiseau laisse songeur…

Si Stéphane Eimer était Russe, les médias clameraient en chœur : « Encore un oligarque suicidé par Poutine ! ».

Seulement voilà, on est au Francistan, et il ne viendrait jamais à l’idée du pouvoir de se débarrasser des gens pouvant devenir gênants, en les aidant un peu à se suicider.

Une success story édifiante

 Né en 1970, docteur en pharmacie, il crée à 28 ans un laboratoire d’analyses médicales, dans un petit village d’Alsace.

Par quel miracle est-il passé entre 1998 et 2022, d’une mini-entreprise avec 2 salariés à un empire employant 11 000 personnes, œuvrant dans plus de 1500 laboratoires en France, Belgique, Grande-Bretagne, Espagne, Portugal, Suisse et Luxembourg ?

Assurément ce lascar était un sacré veinard qui n’a pas trop souffert du racket social et fiscal qui, en France, tue dans l’œuf la plupart des nouvelles sociétés et paralyse le développement de celles déjà établies. Et il a su probablement utiliser à bon escient tous les « encouragements » de l’Eurocrature pour ce genre d’essaimage.

Des intuitions qui frôlent le paranormal

Il fut doublement veinard puisque, grâce à un flair qui tient du génie, au tout début de l’année 2020, alors que les médecins lambda croient que la pangolinade est une grippette un peu plus coriace que celle du mouton, du cochon ou du dindon, Stéphane Eimer sait déjà qu’il s’agit d’une pandémie destinée à durer. Et il le dit.

On prétend même qu’il conseillait officieusement le dictateur Macronescu, mais ce ne peut être que des rumeurs colportées par des concurrents envieux.

En toute hypothèse, alors que le pouvoir hésite encore sur les mesures à prendre, il équipe ses laboratoires de 26 MGI, spécialement importés de Chine. À une époque où seuls quelques CHU commencent à s’équiper chichement de ces super-séquenceurs à haut débit, 8 fois plus rapides que leurs concurrents.

Même si on ne communique pas clairement sur leur prix unitaire, lequel dépend comme pour les armes du poids politique du client, ils ne sont sûrement pas donnés.

Destinées à tester les gens atteints du covidus macronibus et à en suivre les variantes, ces machines qui rapportent 1000 USD/jour de bénéfice net quand elles tournent à plein régime, peuvent être amorties encore plus vite en contribuant au séquençage du génome des cobayes. À leur insu.

Les infos recueillies sont vendues ensuite à des entités nébuleuses chargées d’abonder des bases de données mondiales sur les populations. Pour en faire quoi ? Peut-être sélectionner les plus aptes à accepter le nouvel esclavage planétaire sans se rebiffer ?

Officiellement, la fortune du PDG de Biogroup aurait commencé avec les tests de dépistage du covid, fournissant le quart des 273 millions de tests RT-PCR à 44 euros pièce, imposés en France. Chiffres officiels au 14 mai.

Un pactole de 3 milliards d’euros en 2021 rien qu’avec le covid

C’est Byzance alors qu’il ne déclarait qu’un misérable petit chiffre d’affaires de 215 millions pour 2017 selon la revue Capital-Finance. Mais personne n’a été fichu de me dire où, quand et comment il a atteint la masse critique permettant son expansion.

On sait seulement que dans un rapport de notation, Moody’s l’espion en chef du Nouvel Ordre Mondial, habilité (par qui ?) à délivrer des bonnes et mauvaises notes aux multinationales et aux États, a été favorablement impressionné par les 1,5 milliard d’euros consacrés par Biogroup à sa croissance en 2020.

Les marchés applaudissent et les investisseurs se frottent la panse : en février, Biogroup a réussi à lever 2,8 milliards d’euros en « loans » (sortes de prêts sur nantissements à la sauce américaine) et en high-yield bonds (obligations à haut rendement, avec éventuellement prise de participation dans le capital social)

La demande aurait excédé dix fois l’offre ! Normal, on ne prête qu’aux riches.

Devenir millionnaire c’est facile, yaka traverser la rue frontière !

La mondialisation pilotée par les banques d’affaires produit des mouvements de fusion-intégration dans tous les secteurs, conduisant à la disparition des sociétés les moins rentables et à la mise à pied de leurs salariés. Pour constituer des groupes localement plus forts, sous la tutelle des tycoons du NWO. Le monde des laboratoires privés n’échappe pas à cette concentration à marche forcée.

Pour ne pas laisser à certaines banques trop favorisées par le pouvoir, un droit de vie et de mort sur les entreprises par les leviers des crédits, des amortissements et du cash flow, le législateur a mis en place des contraintes de pure forme supposées éviter ou limiter les situations de monopole ou de duopole.

Ainsi dans le domaine des labos, les directeurs des Agences régionales (ARS) peuvent s’opposer (mais rien ne les y oblige)  à un rachat si un groupe dépasse 25 % des analyses réalisées sur une région. On ferme les yeux jusqu’à 33 % mais après, pour les dérogations, il faut arroser copieusement les ministres, attachés de cabinet et autres parasites, à Paris comme à Bruxelles.

L’astuce cousue de fil blanc consiste à se développer sur plusieurs régions de France et dans les pays de l’Eurocrature, et à créer pour chaque cible une nouvelle société. L’ensemble de ces entités, officiellement distinctes les unes des autres,  étant géré par une holding elle-même dirigée en sous-main par les banquiers d’affaires, conseillés par un pool d’avocats internationaux pour que tout soit juridiquement correct.

Jeux dangereux

Pas besoin d’être un gros méchant complotiste pour imaginer que notre potard chanceux a touché à un domaine relevant de la sécurité des États, de l’espionnage économique et scientifique, de la guerre biologique, et des luttes féroces que se livrent les multinationales pour le contrôle de la planète.

Un détail m’a mis la puce à l’oreille. La quasi-totalité des médias écrits, télévisuels ou numériques reprennent mot pour mot le communiqué officiel sans en changer une virgule. Au bout de trois jours, on ne parle plus que de « mort subite ». Comme s’il s’agissait d’un accident de voiture ou d’une crise cardiaque. Le plongeon ? Quel plongeon ? Une telle unanimité est forcément suspecte.

La main du crime pharmaceutique organisé ?

Quand on sait comment fonctionnent Big Pharma, ses succursales et les gangs de politiciens véreux stipendiés par les labos, il n’est pas impossible que Eimer ait été puni pour avoir refusé de partager le butin. Ou qu’il ait débordé sur une zone qui lui était interdite. Son trépas « accidentel » aurait pu servir d’avertissement aux franc-tireurs qui seraient tentés de l’imiter.

Au fait, combien de médias ont signalé que Pfizer, Bill et Melinda Gates, Boris Johnson, Fauci, Klaus Schwab font partie d’une brochette d’inculpés par la CPI ?

Après de nombreux ouvrages traitant du sujet en anglais, parfois mal traduits, le journaliste scientifique Xavier Bazin viré des médias main stream pour son indocilité, dévoile, après 11 mois d’investigations, les dessous sordides de la crise sanitaire.

Avec 300 sources scientifiques sérieuses, il confirme que l’industrie pharmaceutique a façonné, depuis vingt ans, une pensée médicale unique, autoritaire sinon totalitaire, aux conséquences dramatiques pour notre santé. En discréditant tout scientifique s’opposant à leurs visées par le biais de tests truqués, sur lesquels s’appuient les discours des politiciens vendus et des médias corrompus. Et en dénigrant systématiquement tous les remèdes efficaces mais peu onéreux au profit de molécules douteuses et chères, rebaptisées « miracle » par le marketing.

Et dans le cas du covid pour faire interdire d’autres thérapies que des pseudo-vaccins au mieux inutiles, au pire incapacitants et mortifères. Sans se priver des à-côtés en se goinfrant sur le bon peuple de tests aux résultats aussi fantaisistes qu’aléatoires.

Christian Navis

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Climat : les charlatans du réchauffisme rééduquent les députés de gauche

Un certain Christophe Cassou, prédicateur gauchiste du CNRS, et son comparse Matthieu Orphelin, militant écolo qui fut parlementaire, se sont associés pour recycler nos députés. Il y a du camp de rééducation dans l’air chez les Khmers verts.

154 élus, pratiquement tous de gauche, sont retournés à l’école, sous une tente double qui évoque les petits cirques des villages d’antan. Avec un calicot proche des  couleurs LGBT.

Il est pour le moins troublant que le préfet Leboche si avare d’autorisations pour l’occupation de l’espace public, ait permis l’installation de ce souk néo-zadiste pendant 3 jours, du 20 au 23 juin, à seulement 400 mètres de l’Assemblée.

Zéro pointé en histoire pour les réchauffards !

En 994, Hugues Capet régnant, l’absence prolongée de pluies assécha les fleuves et les lacs, asphyxiant les poissons. La chaleur enflamma des forêts entières avec leur gibier et anéantit les prairies, les moissons et les troupeaux.

Une reconstitution modélisée de ces phénomènes extrêmes conclut à des températures égales ou supérieures à 42°C pendant au moins 6 à 8 semaines. Les clercs de l’époque évoquent une « chaleur infernale » pendant près de 3 mois !

Des canicules de plusieurs mois, tarissant puits et fontaines, faisant des fleuves de simples ruisseaux, détruisant les récoltes tandis que hommes et bétail mouraient littéralement de soif puis de faim, on en connut 8 majeures jusqu’en 1682. Les plus meurtrières furent celles de 1540 et de 1636 qui tuèrent 500.000 Français.

En 1684, l’Académie Royale des Sciences releva pendant plus d’un mois à Paris, une température constante d’au  moins 35° à l’ombre, selon l’échelle de Torricelli.

Le climat se dérégla à nouveau en1694, en 1701, 1718 et 1719 faisant 700.000 morts. Puis en 1767, 1778, 1803, 1817, 1825, 1842, 1858, 1875, 1893. Et ça continua ainsi jusqu’au XXème siècle.

Si les astrologues du GIEC oublient la canicule de 1911 qui fit 45.000 morts en France (contre 19.000 pour celle de 2003 attribuée au prétendu réchauffement) sans doute préfèrent-ils taire qu’on a connu pire : 56,7°C enregistrés en Californie en juillet 1913 et 50°C à Dunbrody en Afrique du Sud en novembre 1918.

Le réchauffisme est une religion laïque comme était le communisme

Avec son dogme, ses rites, ses messes, son haut et bas clergé, ses ouailles, sa sainte gourde et sa bureaucratie lourde, sa propagande omniprésente, ses interdits alimentaires (« devenez végétariens pour sauver le monde !») et son inquisition médiatique prompte à punir de la mort sociale les blasphémateurs et les hérétiques.

Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que de toute façon les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !

Interdit de douter des prédictions extravagantes du GIEC

En 1989, Henri Sannier présentateur de JT français annonçait Waterworld avant 10 ans, l’envahissement par la mer de toutes les villes côtières et l’engloutissement des îles basses, d’après le bureau de l’environnement de l’ONU, précurseur du GIEC.

Tandis que, pour ne pas être en reste, ses confrères en rajoutaient des tonnes :

Plus de neige en France dès 2010

Submersion des deltas des grands fleuves dans les 20 ans à venir,

Engloutissement des atolls du Pacifique au plus tard en 2020

Fonte des glaciers de l’Antarctique dans le même laps de temps,

Disparition des « neiges éternelles » de l’Himalaya avant 2030

Fort heureusement, rien de tout cela ne s’est produit :

La neige continue à tomber l’hiver dans les zones tempérées, et depuis 2015, au Brésil, au Sahara et en Arabie où il a commencé à neiger,

Les deltas se sont légèrement développés en se modifiant grâce aux apports des alluvions et aux dépôts sédimentaires des courants marins,

Les atolls sont stables ou sujets à un exhaussement progressif du fait de la sédimentation des rivages et des mouvements verticaux de la lithosphère,

Les glaciers himalayens gagnent et perdent régulièrement en épaisseur et superficie selon des mouvements cycliques connus,

Les mesures au sol comme les vues satellite s’accordent sur un refroidissement  constant de l’Antarctique depuis 40 ans, impactant tout l’hémisphère sud. On vend à Tahiti des couvertures polaires tandis que des otaries nagent dans nos lagons.

Les prévisions du GIEC, colportées par Greta et d’autres simples d’esprit, ont déclenché des vagues de démissions de chercheurs qui ne veulent plus être associés à leurs élucubrations. Mais ces scientifiques sérieux sont interdits de séjour sur les médias main stream, censurés sur les RS et déréférencés sur les moteurs de recherche.

Les réchauffards, des « scientifiques » entre pataphysique et incantations !

L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on peut sérier séparément mais dont on a du mal a démontrer l’inter connectivité.

La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : Prédire un réchauffement global. Avec une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tout.

C’est totalement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau. H2O représente 2% de l’atmosphère soit 50 fois plus que CO2 (= 0,04%)

Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à l’idée fixe quand, dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1

C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90% des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

En outre, les « savants » du GIEC oublient l’effet du gradient thermique vertical : L’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12°C à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit avec la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Pensée unique et pensée magique

Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs, une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques. Ce sont les paramètres de Milankovitch.

https://www.youtube.com/watch?v=FTzmqjDNMmM

Les paramètres de Milankovitch ont été validés par la science expérimentale. Par l’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations réchauffement-refroidissement avec les éruptions solaires et les ralentissements d’activité de notre astre.

La cyclostratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l’analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d’indicateurs dans les dépôts carbonés stratifiés, de l’influence de la précession, de l’obliquité et de l’excentricité.

Sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10.000 ans, la dendrochronologie étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.

Mais qu’importe ! Les réchauffards sont persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux et le Bien du Mal, comme Greta voit et sent le CO2.

Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant qu’en 1931 : 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé.

Pour ces cuistres, les modèles ne peuvent pas se tromper !

Or ce ne sont que des constructions intellectuelles spéculatives reposant sur des a priori. En théorie, les modèles s’articulent sur des systèmes d’équations différentielles i.e qui cherchent à établir des relations entre des fonctions inconnues et leurs dérivées aléatoires. Du solide quoi !

Une aura de science sert à impressionner les crédules, servie par des « intellectuels » portant blouse et barbe blanches, dignes et sérieux, renforcés par des escouades de jeunes ambitieux au léger vernis, abondant leur verbiage de termes de pataphysique.

Or il faut rappeler cette évidence : un modèle ne rend que ce qu’on y a mis dedans. Le cas le plus symptomatique est la courbe en crosse de hockey de Mann, le Saint Graal du GIEC, abandonnée après que le MIT l’ait qualifiée « d’artefact mathématique médiocre », et la justice de « fraude caractérisée ».

Son auteur avait tout simplement lissé 1000 ans d’évolution climatique, gommant l’optimum médiéval et amplifié le léger réchauffement observé depuis le petit âge glaciaire. Cécité ou complicité, personne n’avait rien vu. Ou n’osait protester.

Loin de la méthode scientifique classique, hors physique quantique, consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations suggérant des tendances permettant d’en tirer une loi, avant d’en vérifier les déterminismes lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs…

Les agents de propagande du GIEC assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, et écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

J’appartiens à une génération à la fois cartésienne et contestataire. Non seulement on appliquait à la lettre les schémas d’analyse critique du discours de la méthode, mais avec une suave perversité on se délectait à étriper les vaches sacrées pour voir ce qu’elles avaient dans le ventre.

Aujourd’hui, je suis stupéfait de constater la soumission et l’absence de réflexion personnelle chez la plupart des jeunes scientifiques qui s’alignent de façon pavlovienne sur les vaticinations d’une mongolienne médiatisée. Abdication de la raison au profit de la pression sociale !

Vous osez discuter ? On vous donne vos huit jours ! Au nom d’un prétendu consensus qui proscrit le doute…

Parmi les victimes les plus emblématiques de la vindicte réchauffiste :

Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l’institut météorologique hollandais,

Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale,

Peter Ridd universitaire à la James Cook University du Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, et à la prolifération d’algues et d’animalcules qui colonisent le corail. Au lieu de dénoncer le soi-disant réchauffement anthropique.

Suzan Crockford docteur en zoologie virée de l’université de Victoria pour avoir dénoncé le détournement de photos d’ours blancs cachectiques, cancéreux ou grièvement blessés, dont l’état de faiblesse était imputé au réchauffement climatique. Quand loin de disparaître, leur population s’est accrue de 50% depuis 20 ans !

Demain le refroidissement climatique ?

https://www.youtube.com/watch?v=Vz-3KC08cX8

Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle du  minimum de Maunder , à partir de 2030.

Ce n’est pas irréaliste dans la mesure où la légère hausse de température (1,2° C en 140 ans) a marqué une stase entre 2000 et 2015, avant de repartir à la baisse.

Ferez-vous partie des survivants après le Grand Gel ?

Christian Navis

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Macron en Ukraine : restrictions, pénuries et inflation pour les Français

 

L’Occident est en train de couler. Mais Macronescu se la coule douce. Avec les clowns du cirque Biden qui vous font danser devant le buffet.

Le FMI, la BRI, la Banque mondiale, l’ONU, la Fondation Rockefeller et le forum de Davos ont prédit d’ici la fin de l’année une crise alimentaire en Occident, sans précédent depuis les dernières grandes famines du XIXe siècle.

Ces crapules du NWO détournent la russophobie pour réorganiser à leur profit les échanges planétaires. Et accroître leur emprise sur des dirigeants fantoches. Comme pour le prétendu réchauffement anthropique et la grippe pangoline, il leur suffit d’annoncer un événement et de décider du moment où il se produira. Le tam-tam médiatique se charge de conditionner des foules influençables, apeurées et hébétées.

Après la dictature sanitaire, les pénuries alimentaires

Le nettoyage de l’Ukraine perturbe sans doute la production céréalière de ce pays, mais elle ne représentait que 10 % du marché mondial du blé.

La part de la Russie approche les 20 % et alimente non seulement des pays comme l’Inde, mais aussi une grande partie de l’Europe avec 30 % des exportations de blé et d’orge, 19 % des ventes de maïs, 23 % pour le colza et 78 % pour le tournesol.

En outre, la Russie produit 20 % de l’ammoniac mondial et 20 % de la potasse. Des ingrédients basiques pour les engrais utilisés dans l’agriculture intensive.

Les agriculteurs subissent déjà une flambée des prix de l’ordre de 10 % alors qu’on vit sur les stocks (effets d’aubaine) qui évidemment s’amenuisent. On peut imaginer sans faire du catastrophisme que ces prix vont augmenter ensuite de façon vertigineuse.

Les sanctions contre Poutine sont plus dommageables pour les peuples de l’Eurocrature dont les solutions de rechange sont limitées, que pour les Russes.

Car la Russie continue à commercer avec le monde entier, même avec des pays vassaux de l’OTAN en passant par des intermédiaires neutres et des pavillons de complaisance, et a accéléré son redéploiement en Asie.

Par ailleurs, son marché intérieur connaît un regain appréciable du fait du patriotisme des Russes qui préfèrent acheter local plutôt qu’importé, même quand les relations avec l’étranger sont maintenues.

 https://www.youtube.com/watch?v=Z-UCj_DPvLo&t=2s

Parmi les pénuries prévisibles ou en cours, le blé et les céréales dont les prix partent inéluctablement à la hausse, en vertu de la loi de l’offre et de la demande.

Mais aussi les coûts de l’énergie qui commencent à atteindre des niveaux insupportables pour un budget moyen. Et ce n’est qu’un début, que les misérables aumônes de 100 euros par ci ou par là pour les plus démunis, ne pourront compenser.

Les prix du gaz et de l’électricité ne sont pas les seuls à s’envoler. Ceux de nombreuses matières premières (bois, plastiques, métaux, silice et terres rares pour les composants électroniques) grimpent également, freinant la production et la distribution des biens de consommation.

Depuis que Vlad a décidé de réduire ou de verrouiller le marché, les matières premières importées de Russie subissent une hausse accélérée.

Dont profitent la Chine et d’autres pays d’Asie qui augmentent le volume de leurs exportations sans baisser les prix. En revendant à ces jobards du gouvernement français des produits, comme le gaz, qu’ils ont eux-mêmes acheté aux Russes !

https://www.youtube.com/watch?v=OWO01Y8mVCE

Quant aux produits finis que la France doit importer parce qu’elle ne sait plus les fabriquer, depuis que ses industriels ont délocalisé les usines pour échapper au double racket fiscal et social, pourra-t-on continuer longtemps à les payer en monnaie de singe ?

Selon la Banque de France qui n’est pas a priori hostile au baltringue élyséen :

« 65 % des chefs d’entreprise estiment que les difficultés d’approvisionnement ont augmenté dans l’industrie tandis que les stocks de produits finis sont jugés particulièrement bas dans les secteurs agroalimentaire et automobile (…)  Les difficultés d’approvisionnement s’accompagnent de hausses des prix des matières premières et aussi, de façon décalée, des produits finis »

Le renchérissement du fret maritime coule un peu plus l’économie

Les navires assurent 90 % du transport mondial des marchandises. Et tandis que Panama augmentait ses tarifs de transit après avoir adapté le canal aux gros gabarits, les assurances doublaient ou triplaient leur montant du fait de l’insécurité entretenue par des pays comme l’Iran, et à cause de la piraterie peu combattue par des états déliquescents et corrompus : Somalie, Yémen, Gabon, Indonésie, entre autres.

La piraterie d’État-voyou pratiquée par la France, l’Angleterre, l’Italie, l’Allemagne et les USA au détriment des navires de commerce russes a aussi contribué à altérer et changer les règles et les tarifs, en même temps que les pavillons.

Un pont d’Amour entre Poutine et Xi Jin Ping

Rassurez-vous, ils n’ont pas été contaminés par le paltoquet et sa cour aux mœurs dissolues. Simplement la Russie et la Chine viennent d’inaugurer, début juin, un pont routier d’un kilomètre de long, au dessus du fleuve Amour qui leur sert de frontière.

https://www.youtube.com/watch?v=HRPKsEPmn80&t=29s

Ce pont routier complète un pont ferroviaire 500 km plus à l’Est, bientôt suivi d’un second, dans le cadre de l’alliance économique et géostratégique, justifiée et accélérée par les initiatives inconsidérées du sénile Biden suivi par ses caniches de cirque.

Les échanges commerciaux croissants entre les deux géants depuis les années 1990 étaient limités par l’insuffisance des infrastructures de transports dans la région. On y remédie donc. Et cette fois il y a urgence, pour compenser le blocus imposé à la Russie. Un blocus qui pourrait être aussi infligé à la Chine à cause de Taïwan.

D’autant que la Chine, prudente, se prépare déjà à une guerre économique dont les gouvernements américain et européens n’ont pas la moindre idée. Si la situation se détériore, tout est mis en place pour un arrêt des exportations vers les USA et l’Europe, qu’il s’agisse d’une suspension progressive ou d’un blocage permanent en fonction des réactions des gouvernements de leurs clients.

Un goulot d’étranglement sur le commerce avec Taïwan, et surtout avec ses principaux fournisseurs et alliés, serait plus efficace et moins coûteux qu’une invasion armée de l’île forteresse, en vue de lui appliquer le principe « un pays, deux États » en vigueur à Hong Kong et Macao.

Avant que Poutine ferme le robinet pour la France, les exportations de gaz russe vers l’Europe ont chuté d’environ 20 % entre janvier et mai 2022 par rapport à cette même période en 2021. Mais elles ont augmenté de 40 % vers la Chine dans le même temps. Ainsi un complexe industriel a vu le jour côté russe avec une des plus importantes usines de traitement de gaz au monde, maillon du gazoduc russo-chinois via la Sibérie, assorti de nouvelles usines de pétrochimie Sibur.

En outre, pour continuer à disposer de composants électroniques et de produits de consommation durable jusqu’ici importés, la Russie renforce ses liens hors Eurocrature pour assurer son approvisionnement, notamment technologique.

Tout en développant ses prospections minières en Sibérie, et ses bureaux d’études et de recherche avancée dont sont sorties, entre autres, les nouvelles armes hypersoniques.

Pour Moscou, les technologies d’information et de communication de la Chine ne sont en rien inférieures à celles de l’Occident.

Et la Chine dispose de la plus vaste réserve mondiale de terres rares indispensables aux nouvelles technologies. Mais il y a aussi des mines qui ne demandent qu’à être exploitées ou développées en Afrique et en Amérique du Sud. La Russie et la Chine y sont déjà de gros actionnaires.

Par ailleurs, la Russie, qui n’est pas trop impactée par les coups tordus des canailles otanesques, a empoché 93 milliards d’euros de bénéfices sur ses exportations de pétrole, gaz et charbon durant les cent premiers jours du nettoyage de l’Ukraine. Dont 57 milliards payés en roubles par les vrais-faux belligérants de l’Eurocrature.

Parallèlement la Russie a augmenté de 56 % ses exportations de pétrole vers la Chine, devenant son premier fournisseur devant l’Arabie saoudite. Une bonne affaire pour les Russes qui compensent ainsi les sautes d’humeur de l’Eurocrature. Et pour les Chinois à qui des prix bloqués sont garantis.

Au bout du compte, la Russie « vaincue » gagne la guerre. La Russie « ruinée » s’enrichit ! Et après avoir profité de la guerre en Ukraine pour se refaire une santé à la présidentielle, les législatives ont rappelé à Macronescu qu’il reste l’homme le plus détesté de France.

En toute hypothèse, si on doit un jour réparer les pots cassés avec la Russie, plus rien ne sera jamais comme avant.

Fini la confiance dans l’Amérique et l’Eurocrature qui ont pratiqué sans vergogne des actes de piraterie maritime, des confiscations indues de biens immobiliers, des accaparements de sociétés commerciales, des vols de titres boursiers et des détournement de fonds bancaires.

Fini les relations de bon voisinage avec la minuscule Lituanie qui, en violation flagrante du droit international sur la desserte des territoires enclavés, et le mépris des traités signés avec la Russie, ferme le passage aux trains et camions russes à destination de Kaliningrad. Sur ordre de l’OTAN bien évidemment qui espère, par cette provocation, inciter la Russie à réagir. Afin d’avoir un prétexte pour lui faire la guerre pour de bon.

Le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a déclaré que la Russie étudierait toute offre des Occidentaux pour rétablir des liens commerciaux, le jour où ils comprendront où sont leurs intérêts.  Mais que la priorité de son pays était de développer ses relations avec la Chine et d’autres pays d’Asie, dont l’Inde au marché immense, qui ne s’est pas jointe aux maîtres chanteurs.

« On ne pourra plus jamais faire confiance aux Occidentaux qui se sont comportés à notre égard comme des gangsters. » a conclu Vlad qui évite de décrocher son téléphone quand le paltoquet l’importune. Le gamin mal fini en trépigne de rage. Et Brichel le console avec des chocolats Trognon.

Christian Navis

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Le covid n’a pas raté l’avion

Green cartoon coronavirus covid-19 Vectorel image

Le covid n’a pas raté l’avion ! « Demander aux pilotes de voler lorsqu’ils sont fatigués, c’est comme donner les clés d’une voiture aux pneus lisses à un conducteur ivre » déclare le syndicat des pilotes de ligne, qui pointe un des aspects pervers (un de plus !) de la politique sanitaire de Gribouille aka Macrounette.

Une inquiétude légitime résultant de l’emploi de pilotes occasionnels, « pigistes » ou « ubérisés » pour compenser le manque de professionnels dans un métier dont une partie des effectifs ont été immolés sur l’autel de Big Pharma.

On ne meurt que deux fois

En 2019, les avions avaient transporté deux millions de voyageurs. Un record. Les compagnies achetaient des nouveaux appareils et recrutaient des pilotes. Malheureusement, un pangolin, passager clandestin, a tué net cette belle croissance.

Les avions ont arrêté de voler, à la différence des politiciens. Des aéroports ont fermé. Des compagnies ont déposé le bilan. Des milliers de salariés ont perdu leur emploi ou été mis en chômage partiel. Une année d’immobilisme pendant laquelle la plupart des vols furent suspendus. Chronique d’une mort annoncée en attendant le vaccin miracle,

L’année suivante, la reprise fut lente. Parce que beaucoup de gens ruinés par les macronneries n’avaient plus les moyens de voyager. Ou qu’il leur répugnait de subir des piquouses forcées, ou des mesures vexatoires attentant à leur intégrité corporelle, préalables à tout embarquement. Flicage sans supplément. La reprise fut tellement lente qu’on continua à fermer des lignes et à diminuer les personnels. Deuxième mort inévitable du transport aérien, provoquée par les délires vaccinatoires du despote.

Comme d’habitude le dictateur a décidé sans se soucier des conséquences

Pendant la crise artificielle du covidus macronibus, le pouvoir à la botte des généreux labos a imposé à tous les personnels navigants de recevoir 3 doses des prétendus vaccins, inefficaces et dangereux pour la santé. Mais si attrayants pour les décideurs par les dividendes et ristournes qu’ils reçoivent.

Malgré les menaces et les chantages, de nombreux pilotes ont refusé les piquouses et soit ont été mis à pied, soit ont déclaré une maladie diplomatique. D’autres, les plus influençables, sont morts ou handicapés à vie du fait des mixtures injectées sous la contrainte. Parmi les moins atteints, beaucoup souffrent d’altérations intellectuelles.

En a résulté une pénurie des personnels qui a paralysé les aéroports lorsque le trafic aérien a repris doucettement.

Cette pénurie de pilotes fut un handicap supplémentaire nuisant à la fluidité du trafic. Comme si celui-ci n’était pas déjà assez perturbé par les impératifs de sécurité renforcée à cause des terroristes qu’il ne faut pas nommer. S’ajoutant au sens du service public des « rampants » qu’il ne faut pas fustiger, quand ils se mettent en grève surprise au moment des grands départs.

Gestion des ressources humaines à flux tendus

Aujourd’hui que le trafic aérien repart à la hausse, les compagnies manquent de pilotes. Et des avions restent au sol tous les jours malgré les réservations.

De nombreux ATPL antivax se sont reconvertis dans l’industrie aéro ou  les bureaux d’études. D’aucuns ont changé radicalement de vie, de métier, de pays. Certains ont décidé de prendre une ou deux années sabbatiques pour faire le tour du monde à la voile, développer leurs capacités artistiques, ou ouvrir un cabaret. Après tout, chacun devrait avoir droit à plusieurs vies.

Difficile, s’ils le souhaitaient, de les réembaucher rapidement. Car si leur titre reste valable, il n’a pas été validé par des contrôles médicaux annuels (tous les 6 mois pour les plus de 40 ans). Et ils n’ont plus les heures de vol requises pour un renouvellement quasi automatique. Il leur faudrait donc repasser des tests de qualification après entraînement (qui paiera ?) lesquels pourraient être alourdis par des qualifications de type en fonction des appareils qui ont évolué après les remises à niveau de Boeing.

Dès lors, pour éviter de devoir annuler encore plus de vols, tandis que s’accumulent les frais fixes, des compagnies sont conduites à externaliser la fonction de pilote. Au détriment la sécurité des passagers ?

C’est plus avantageux pour elles que de recruter et former des nouveaux venus, avec le désagrément de maintenir des vols non rentables ou de devoir leur verser des indemnités de licenciement si le marché s’effondrait à nouveau.

 Aéroports embouteillés, bientôt saturés

Depuis le mois de mai, les télés vous montrent des files d’attente monstre à Londres Heathrow ou à Amsterdam Schiphol. Malgré des rotations accélérées, on ne peut absorber tout le trafic. D’autant qu’en plus des pilotes qui font défaut, il manque aussi du personnel de service à bord et des employés au sol, tous victimes des conséquences des exclusions covidesques.

Des passagers se désistent ou diffèrent leur vol. Des vacanciers préfèrent attendre et dormir sur place. Mais curieusement en France, tout va bien. Puisque les Français prennent leurs vacances plus tardivement que les Anglais et les Hollandais.

D’ailleurs, s’il n’y a plus de ministre des Transports dans le gouvernement actuel, c’est que le génie des carpettes n’a décelé aucun problème. Qui a vu des problèmes pour les PDG et les ministres qui ont leurs jets privés ?

La fonction ministérielle était assurée à titre accessoire par l’inénarrable Amélie de Montchalin qui sera virée avant d’avoir appris à piloter une trottinette.

Sinon, on a dû oublier de signaler à la bornée qui fut récemment ministresse des Transports que, rien que chez Aéroports de Paris, il manquerait 4 000 personnes selon les professionnels du secteur.

Pilotes de ligne auto-entrepreneurs

 Sous réserve de posséder les qualifications requises, les pilotes ne sont pas forcément des salariés. On commence à voir des pilotes auto-entrepreneurs qui négocient avec des compagnies leurs prestations au cas par cas.

D’autres sont mis à la disposition des compagnies, en fonction de leurs besoins ponctuels, par des professionnels du travail temporaire. Dont le polonais Buzz compagnie sans vols réguliers qui loue et emprunte des avions et des pilotes.

Leurs revenus étant aléatoires, en fonction d’engagements provisoires, on peut craindre que certains de ces pilotes de secours aillent au-delà de leurs limites.

Des pilotes occasionnels ne seront-ils pas tentés de travailler même fatigués, ou malades, ou dépressifs ? Sans en toucher mot à personne. D’autant que la demande augmente au fur et à mesure que le trafic aérien se rétablit.

L’ubérisation du métier peut nuire à la sécurité des vols. Même si rien ne permet de penser, pour le moment, que les compagnies françaises seront moins vigilantes sur le temps de travail et de repos de ces prestataires, qu’avec leurs propres salariés.

Si les compagnies ne veulent pas canceler des norias d’avions pleins en période estivale, elles vont devoir faire appel de plus en plus à ces pilotes extérieurs. En attendant, elles conseillent aux clients de venir plusieurs heures avant le décollage afin de ne pas être pris au piège des files d’attente qui s’allongent.

La France s’alignera-t-elle sur les aviations civiles du tiers monde ?

Dans des pays qu’il ne faut pas nommer, la bureaucratie a gangrené le système. Si vous avez les documents requis, bien tamponnés, vous êtes en règle. Qui va se soucier de la valeur des qualifications obtenues haut la main à l’institut supérieur d’aviation du Caramboula ? On prétend juste qu’il ne faut pas lésiner sur les bakchichs versés à des fonctionnaires peu curieux.

Dans des pays qu’il ne faut pas évoquer, outre les qualifications des pilotes assez approximatives, l’entretien des avions est confié à des sous-traitants de l’enclave du Macrolando dont des papiers apparemment en règle certifient les compétences putatives des dirigeants. Pas celles des pauvres hères qui font le travail après une formation accélérée.

Quant aux aérogares, elles tiennent de la cour des miracles. Avec tous ces individus louches, expansifs, agressifs, bruyants, bigarrés et chamarrés. Qui mangent, dorment, forniquent et défèquent sur place. Dans la crasse et les détritus.  Avec le même sans-gêne sans hygiène que dans une église occupée.

Après tout, pourquoi pas ça en France ? Ce pays doit s’adapter à de nouvelles normes depuis qu’il a remplacé sa population.

Christian Navis

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