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Pour « Reporters sans frontières » fraude électorale en Turquie, mais RAS en France

Un certain Christophe Deloire, secrétaire général de « Reporters sans frontières» affirme que si Recep Tayyip Erdogan a été réélu président de la Turquie, c’est «grâce à un contrôle du paysage médiatique ». Et il précise : « Il y a eu une forme de trucage massif des élections ».

Selon Deloire, Erdogan a fait de la Turquie « un laboratoire de répression de la liberté de la presse ». Ainsi en avril, le sultan a bénéficié sur une chaîne publique de passages à l’antenne 60 fois plus longs que ceux du candidat d’opposition. Dans le même temps, il a fait incarcérer 32 journalistes jugés trop critiques, pour en libérer la moitié au lendemain de l’élection.

RSF lucide en Turquie, mais frappé de cécité en France

Pour Deloire, les Turcs ont pu discuter des défauts et des qualités de chaque candidat. Et ceux-ci ont pu exposer leur programme. Et même critiquer mollement le Grand Pacha. Une liberté purement formelle destinée à enfumer le monde extérieur. Car la Turquie, membre de l’OTAN, n’a pas renoncé à phagocyter l’Eurocrature avec ses 85 millions de mahométans. Il lui faut donc conserver une apparence de démocratie pour continuer à paraître fréquentable aux yeux de la hyène Ursula.

Mais on ne doit pas se fier aux apparences. Opportuniste, le Grand Turc est un barbu rasé. Toujours islamiste dans sa tête. Les poils sont à l’intérieur. On ne les voit pas mais ils sont là. Il croit que les femmes sont des êtres inférieurs qui doivent être humbles, soumises et voilées, ainsi que l’a ordonné son prophète. Quant à les corriger de temps en temps, « c’est conforme à la tradition turque. » (sic)

Bien qu’on parle moins des négociations avec l’UE, celles-ci n’ont jamais été interrompues. Pas plus que n’ont été remis en cause les accords de partenariat privilégié. Dont ceux permettant de soutenir sur les marchés financiers la livre turque qui s’effondrerait autrement. D’ailleurs en 2022, déjà en chute libre, elle a perdu 45 % de sa valeur aux taux de change.

En interne, le mot démocratie n’a pas le même sens que chez les mécréants de Bruxelles

RSF dénonce une forme de trucage massif des élections. Qui ne passe pas nécessairement par le bourrage des urnes. Mais s’opère par le contrôle du paysage médiatique où Erdogan, depuis vingt ans qu’il est au pouvoir, de façon illégale car il n’avait droit qu’à deux mandats, a fait de son pays un bunker étouffant la liberté d’expression. Par des moyens de harcèlement, d’intimidation et de répression, signatures des démocratures.

Ainsi à RSF déplore-t-on le tabassage et l’incarcération de journalistes malpensants pour les punir et intimider les autres… Mais aussi des procédures judiciaires arbitraires à répétition, sous la houlette de juges qui n’ont rien à refuser à l’exécutif. Avec pour résultat, la fermeture de nombreux médias d’opposition, papier, audio ou numériques. Et le rachat des médias audiovisuels mainstream par un groupe d’oligarques milliardaires liés aux banksters du NWO. Lesquels financent depuis près de 20 ans la propagande du dictateur.

Enfin, Erdogan a mis à son service quasi-exclusif les médias publics. Sur la chaîne TRT Haber, la principale chaîne d’informations, le sultan a bénéficié de 32 heures d’antenne en avril, sous forme directe ou indirecte, dont de nombreux publireportages, interviews orientés et débats de complaisance, contre une demi-heure pour le principal candidat d’opposition.

Ma parole, on croirait que RSF parle de la France ! Mais non. Chez nous, ils n’ont rien vu de semblable ces bigleux !

Certes, on n’est plus au temps d’Adolf ou de Staline, et les assassinats d’opposants sont relativement rares. Par contre, les reporters Kurdes qui se permettent de critiquer le sultan sont immédiatement accusés d’être complices des terroristes du PKK. Avec menace de très lourdes peines s’ils ne se renient pas. Quant au Haut Conseil audiovisuel, le RTUK, il inflige des amendes astronomiques aux médias d’opposition. Pour un mot de travers. Une allusion jugée inopportune. Un terme mal interprété. Comme en France !

Depuis 2014, 200 journalistes et blogueurs ont été poursuivis pour irrespect envers le président. Sa personne est sacrée. Comme celle du paltoquet de l’Élysée. Le code pénal avec une jurisprudence sur mesure, téléguidée par Ankara, s’ajoute à la législation antiterroriste utilisée sous n’importe quel prétexte, pour contourner les lois sur la presse. Comme en France, on multiplie les exceptions pour ne plus appliquer le principe général de liberté.

Îlot de vérité au milieu d’un océan de trucages, le gouvernement reconnaît un taux d’inflation de 120 % par an, sans doute parce que ce serait trop difficile de prétendre le contraire. Mais les médias aux ordres clament qu’une « politique avisée » permet au pays de retrouver ses grands équilibres. De sauver son économie et ses emplois. Et que personne ne pourrait faire mieux que Macrodogan, cet autre Mozart de la finance.

Et qu’importe si le budget national de la Sublime Porte est en grande partie abondé par les Turcs vivant à l’étranger (qui ne perdent jamais leur nationalité d’origine, même naturalisés), littéralement rackettés par leurs missions diplomatiques, aux pratiques mafieuses. Et qu’importe si, au bled, les détenteurs des rentes et des capitaux empochent 47 % du PIB annuel, tandis que les travailleurs manuels et intellectuels doivent se contenter de 23,7 %. S’il y a des pauvres et des riches, c’est parce qu’Allah en a décidé ainsi. C’est la vie…

Tout cela n’est pas bien grave puisque le néo-empire Ottoman continue à faire partie des « grandes puissances » (sic). La culture géopolitique des paysans d’Anatolie et des boutiquiers d’Erzurum dont certains vivent encore comme au Moyen Âge, permet de soutenir cette illusion valorisante… De quoi encourager les gouvernants français à continuer d’abêtir et acculturer les Français, avec une Inéducation Antinationale qui atrophie les méninges et aide à avaler sans grimacer les inepties amères des médias-menteurs.

En Turquie, tous ceux qui critiquent le régime sont des terroristes !

Comme en Corée du Nord… En outre (ça pourrait inspirer le paltoquet) Erdogan exporte sa répression en utilisant de façon abusive les notices rouges d’Interpol lorsque des journalistes ou des blogueurs publient depuis l’étranger, sur les réseaux sociaux, des contenus qui lui déplaisent.

Il exerce aussi des pressions diplomatiques sur les pays européens pour qu’ils extradent ou expulsent les Turcs indisciplinés vers leur pays d’origine où les attendent des juges partisans et des geôles putrides. En menaçant nos dirigeants sans honneur ni patriotisme de laisser passer encore plus de candidats à l’immigration, parmi les hordes massées aux frontières de l’Eurocrature.

Selon RSF, la Turquie serait classée au 165e rang sur 180 au classement mondial 2022 de la liberté d’expression. Mais bon, on peut émettre des doutes sur la sincérité de leurs estimations, fluctuantes comme toujours selon l’évolution de la conjoncture internationale.

Ainsi, l’Ukraine corrompue et hyper-répressive qui assassine jusque dans les cercles de pouvoir, est tenue désormais pour un paradis de l’information libre et honnête. Tandis que des démocraties authentiques, comme l’Inde et Israël, ont été déclassées au bas de l’échelle parce qu’elles ne se laissent pas intimider par les Mahométans .

Et puis, quand on sait que Bob Ménard fut le patron de RSF pendant vingt trois ans (de 1985 à 2008) on peut mesurer à quel point ces prétendus redresseurs de torts ont l’échine souple, la vision strabique et les convictions à géométrie variable.

Encore faudrait-il que les journalistes-paillassons soient crédibles

Pour juger d’une info, il faut commencer par évaluer la crédibilité et la pertinence de l’émetteur et des transmetteurs. C’est ce qu’enseignait le regretté Marshall McLuhan au siècle dernier. Dans les sixties déjà, faisant preuve d’un extraordinaire esprit d’anticipation, il annonçait l’émergence d’un véritable « village planétaire » alors que le web n’en était qu’à ses balbutiements.

Déjà avant WW2, il avait théorisé l’importance de la perception au détriment de l’analyse, et donc l’impact des trucages dans la transmission des informations. Qu’elles soient politiques, financières, relevant de vulgaires effets de mode ou de la publicité. Les sensations visuelles utilisent un mode de pensée logique et linéaire. Mais les images sont d’autant plus trompeuses (qu’aurait-il pensé des trucages numériques ?) qu’elles s’inscrivent dans un processus atavique d’observation et d’apprentissage, inscrit dans notre génome.

Quant aux sensations auditives, il avait compris avant Jacques Lacan que celles-ci font appel à un mode, plus intuitif, plus global, jouant sur les assonances, les analogies, les doubles sens, les références culturelles et les jeux de mots. Et que quiconque maîtrise les subtilités du langage peut orienter la pensée d’autrui à son insu dans le sens souhaité.

Un dernier mot sur les arrière-pensées de RSF

À l’aune de cette grille de lecture, il est intéressant de sérier ce Deloire. Journaliste de gauche (pléonasme aujourd’hui !) le quinquagénaire a sévi à « Arte » et au « Point ». Médias bien-pensants et fortement subventionnés. Macronescu tenant les cordons de leurs bourses, il serait délicat sinon inopportun de lui chercher des poux sur son crâne presque chauve.

Depuis 2008, Deloire est directeur du centre de déformation des journalistes (CFJ), cet antre du politiquement correct et de la bonne pensée soumise. Où l’on enseigne à de futurs journaleux télé, triés sur le volet, comment mentir ou raconter n’importe quoi, avec ce ton grasseyant qu’ils ont tous, assorti à une componction archiépiscopale.

En prime, ce cumulard enseigne à Sciences Peaux de zébie. Une autre officine où l’on inculque la servilité à la doxa. Cela suffit à situer le personnage. Qui s’en prend à juste titre à Erdogan, mais ménage le Paltoquet et son Brichelle. Enjoignant à ses subordonnés de faire de même. Sur un ton comminatoire peu compatible avec la liberté d’expression dont il se prétend l’ardent défenseur. Même le « Canard enchaîné » peu suspect de droitisme trouve qu’il en fait trop.

Christian Navis

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La palme d’or du meilleur bouffon médiatique, Greta ou Zelensky ?

Le réchauffisme est une secte perverse comme furent le trotskysme ou l’hitlérisme au siècle précédent. Avec ses gurus, son dogme, ses rites, ses officiants, ses adeptes, sa propagande pesante et son inquisition maniaque. Grotesque si elle n’était pas aussi nocive. Intolérante et agressive contre les blasphémateurs et les hérétiques.

Parmi les victimes les plus connues de la vindicte réchauffiste

Hendrik Tennekes viré du poste de directeur de la recherche de l’institut météorologique hollandais,

Aksel Winn-Nielsen, ancien directeur de l’Organisation Météorologique Mondiale, éjecté,

Suzan Crockford, docteur en zoologie, virée de l’université de Victoria, pour avoir révélé que les populations d’ours polaires augmentaient régulièrement.

Les éminents universitaires italiens Alfonso Sutera et Antonio Speranza privés de tout crédit de recherche, coupables d’avoir contesté les fondements du prétendu réchauffement climatique anthropique.

Mais aussi Peter Ridd, enseignant à la James Cook University Queensland renvoyé pour avoir attribué le dépérissement des coraux à la pollution marine liée aux rejets industriels et domestiques, au lieu de dénoncer comme unique cause le soi-disant réchauffement anthropique.

Au procès, les attendus de la cour furent révélateurs : « Ridd a été victime de persécutions, de brimades, et d’un harcèlement hystérique jusque dans sa vie privée, sans autre reproche que d’avoir exprimé une théorie non conforme à ce que professaient ses collègues. »

En 2022, selon l’Institut australien des sciences de la mer, la grande barrière de corail dont la disparition était annoncée à cause du réchauffement a atteint des niveaux de couverture inégalés depuis 36 ans. Bonne nouvelle pour les zékolos ? Que nenni ! Entre chantages aux carrières et copinages politiques, ils ont exigé que les magazines et émissions axés sur l’environnement n’en parlent pas !

Quant à la France, est-il utile de rappeler le tombereau d’injures déversé par les médias aux ordres sur Claude Allègre, médaille d’or du CNRS et membre de l’Académie des Sciences ? Avec cet argument spécieux : « Il n’est pas climatologue ! »

Sans dire que les 2 patrons du GIEC de l’époque, le Français Jouzel et l’Indien Pachauri étaient l’un physicien atomiste, et l’autre ingénieur ferroviaire.

En France le crétinisme et la soumission sont des vertus appréciées

On est loin de l’esprit soixante huitard pour qui le prof n’est pas là pour imposer ses théories que chacun doit apprendre par cœur. Ce sont les étudiants qui, en discutant, doivent analyser des données concrètes et en extraire des concepts. Avantage de la démarche : on apprend à peser le pour et le contre pour se forger une opinion, et à défendre son point de vue en argumentant.

En France, l’enseignement secondaire et supérieur des 50 dernières années se sont ingéniés à diluer le sens critique, émasculer l’esprit frondeur, condamner le goût des discussions hors piste, et rejeter cet extraordinaire stimulus pour l’esprit qu’est la remise en cause des théories qu’on croit acquises pour en explorer de nouvelles. En dehors de la doxa fixée par le Nouvel Ordre Mondial et ses banksters, point de salut !

La climatologie du GIEC est une variante de la pataphysique

Loin de la pratique consistant à observer et répertorier des faits, puis à chercher des corrélations entre eux suggérant des tendances permettant d’en tirer une loi, avant d’en vérifier les tenants et aboutissants lors d’expérimentations renouvelables, en soumettant sa méthodologie à ses pairs… Méthode scientifique classique, hors physique quantique…

Les gens du GIEC sélectionnent des statistiques, ou les truquent, et assènent des axiomes se renforçant les uns les autres, ne retenant que les données les confortant, en écartant, modifiant ou marginalisant celles incompatibles avec leurs conclusions prédéterminées ! Et ceci aboutit à un paradigme présenté comme irréfragable.

Des voyants à la vue trouble

L’évolution des climats dépend d’une multitude de paramètres, la plupart aléatoires, qu’on parvient à sérier séparément mais dont on a le plus grand mal a déterminer l’inter connectivité parce que celle-ci est conjoncturelle et imprévisible. Prétendre maîtriser l’ensemble de ces données, en les confiant à un ordinateur qui pratique des tris croisés et des extrapolations selon le programme qu’on lui a implémenté, témoigne d’une extraordinaire suffisance confinant à l’arrogance.

La plus énorme erreur est de vouloir fixer des tendances s’appliquant partout de la même manière, avec une obsession maniaque : prédire et justifier le réchauffement global. Et une cécité ahurissante attribuant un rôle prépondérant au CO2 responsable de tous les maux !

C’est tout simplement ascientifique car le principal gaz à effet de serre est la vapeur d’eau.

H2O représente 2 % de l’atmosphère soit 50 fois plus que le CO2 (= 0,04 %)

Or dans les modèles du GIEC, le CO2 vire à la folie obsessionnelle (la trogne agitée de Greta est contagieuse) alors que dans l’atmosphère il est mélangé à la vapeur d’eau qui possède de larges bandes d’absorption qui recouvrent en intensité et en fréquences celles du CO2 avec un ratio de 50 pour 1.

C’est la vapeur d’eau qui absorbe par saturation la quasi-totalité de la chaleur, soit 90 % des infrarouges, le reste étant imputable à d’autres gaz comme l’ozone ou le méthane. Mais la chaleur ne s’accumule pas par additions successives !

En outre, les « savants » du GIEC ignorent l’effet du gradient thermique vertical : l’air chaud monte et perd 2°C/1.000 pieds. Quand il fait 25°C au sol, il ne fait plus que 12° à 2000 m.

Enfin le GIEC ne tient pas compte de l’accélération du cycle de l’eau qui se traduit du fait de la chaleur par un épaississement des couches nuageuses, avec pour effet d’accroître l’albédo de la terre et donc de renvoyer davantage de rayons solaires vers l’espace, diminuant ainsi l’effet de serre et le réchauffement tant redouté.

Pour Richard Lindzen, professeur au MIT et physicien spécialiste de l’étude de l’atmosphère : « Il n’y a pas de consensus, unanime ou non, sur les tendances de long terme du climat et sur leurs causes (…) Nous ne sommes pas en position d’attribuer avec suffisamment de confiance les changements climatiques passés au dioxyde de carbone, ou de prédire ce que le climat sera dans le futur.»

Tandis que feu Frédérick Seitz, physicien en structure des matériaux et rayonnements ionisants, et président de l’Académie des Sciences des USA, disait:

« Il n’existe aucune preuve scientifique convaincante indiquant que les émissions de dioxyde de carbone, de méthane ou d’autres gaz à effet de serre causent ou causeront, dans un avenir prévisible, un réchauffement catastrophique de l’atmosphère de la Terre et une rupture de son climat. »

Pied de nez au GIEC et à ses astrologues, des astrophysiciens se fiant à une baisse constante de l’activité solaire ont émis l’hypothèse qu’on pourrait connaître une période glaciaire de quelques siècles semblable à celle consécutive au « minimum de Maunder » à partir de 2030.

Pensée magique contre paramètres de Milankovitch

Les cycles climatiques courts (siècles) et intermédiaires (millénaires) sont fonction d’abord de l’activité solaire, à laquelle il convient d’ajouter pour les cycles longs une incidence plus marquée des variations d’orbite de la terre, des changements de son inclinaison et de son axe de rotation. Avec à la marge les grandes éruptions volcaniques.

Ce sont les paramètres de Milankovitch validés par la science expérimentale :

L’analyse des isotopes de l’oxygène dans les glaciers, la paléoclimatologie confirme les corrélations entre les éruptions et taches solaires et les ralentissements ou accélérations d’activité de notre étoile.

La cyclo-stratigraphie entérine la théorie astronomique des climats, par l’analyse des cycles sédimentaires qui sont autant d’indicateurs dans les dépôts des sédiments marins carbonés, de l’influence de la précession, de l’obliquité et de l’excentricité.

La dendrochronologie sur des périodes plus courtes de l’ordre de 10.000 ans, étudie des cernes des arbres y compris fossilisés, révélant la succession des période chaudes, froides, sèches, humides et leur durée.

Mais qu’importe ! Les réchauffistes persuadés de savoir distinguer le Vrai du Faux, le Bien du Mal, comme leur simplette Greta voit et sent le CO2, se sont auto-investis de la mission sacrée de protéger l’espèce humaine contre ses propres erreurs. Ils annoncent des cataclysmes qui correspondent à des événements climatiques extrêmes comme on en a toujours connu, en taisant cette statistique qui donne à réfléchir : En 1931 3,7 millions de personnes sont mortes du fait de catastrophes naturelles. Pour 11.000 seulement en 2018. Alors qu’entre temps, la population mondiale a quadruplé.

Pour les chamanes de la secte réchauffarde, tous ceux qui ne pensent pas comme eux sont dans le Faux et le Mal, et menacent la survie de l’humanité. Les réchauffistes ont donc un devoir impératif de museler tous ceux qui contestent leurs lubies. C’est une logique d’inquisiteur. De nazillon ou de stalinien. Ou de khmer rouge repeint en vert.

Bien entendu cette attitude ne favorise pas un débat scientifique, que les réchauffistes esquivent en traitant par l’anathème et l’excommunication leurs contradicteurs. On ne discute pas avec le diable !

Christian Navis

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Les USA ruinés par l’Ukraine : Biden va-t-il faire la manche ?

Papy Gaga Robinette a commis deux erreurs majeures qui pourraient précipiter la faillite des USA. D’abord, à force de porter à bouts de bras l’Ukraine insatiable et corrompue, les États-Unis sont sur le point d’être déclarés par le FMI en état de cessation de paiements.

Ensuite, une coalition de pays émergents, lassés des menaces, des pressions et des sanctions de Washington, et qui veulent commercer librement avec la Russie et la Chine, entre autres « pestiférés », ont décidé purement et simplement de se passer du dollar.

Au premier juin, les caisses seront vides

Le plafond de la dette, supérieur à 31 000 milliards de dollars, un record mondial, a été atteint il y a quelques mois. Depuis, le gouvernement fédéral a géré la situation par des artifices comptables, façon vases communicants. Mais ces compensations provisoires ne sont que des pis-aller…

Et le nabot mal rasé de Kiev continue d’exiger toujours plus d’armes, de munitions et de pognon, en promettant de mettre bientôt la Russie à genoux… Et le Papy gaga, qui a oublié que la guerre froide est finie, croit combattre l’URSS.

La secrétaire au Trésor Janet Yellen a rappelé qu’il était très probable que les États-Unis se retrouvent à court d’argent public après le 1er juin.

Pour lever le risque d’une banqueroute, le Congrès, Sénat démocrate et Chambre républicaine pourraient décider de relever le plafond maximal d’endettement public autorisé. Mais jusqu’à quel niveau ? La situation n’est pas brillante. Et actionner la planche à billets dans ce contexte, peut conduire à la catastrophe.

Le président des USA a tenté d’amadouer Kevin McCarthy, président républicain de la Chambre des Représentants. Mission délicate, car les deux hommes se détestent pour toutes sortes de raisons autant politiques que personnelles. Il y a des limites au patriotisme quand il est instrumentalisé pour vous rouler dans la farine. Et donc McCarthy serait un imbécile d’aider le sénile.

Car si les finances publiques plongent, adieu les espoirs de réélection du gaga. D’autant que, cette fois, les Républicains échaudés par la fraude massive de 2020 sont décidés à multiplier les scrutateurs, et à placer des caméras partout. Pas de cadeaux à l’adversaire !

Tandis que le gâteux escaladait le sommet du G7 au Japon, promettant au Zygomyr un nouvel afflux de milliards à fonds perdus, l’imbroglio politico-budgétaire à Washington a atteint la zone critique. Là où tout peut s’effondrer à n’importe quel moment.

Les Républicains conditionnent leur accord à une forte réduction des dépenses publiques. Or Biden, qui fait campagne pour sa réélection en 2024 sur des promesses de cadeaux financiers aux fainéants, aux incapables, aux minorités agressives et aux parasites de tout poil, s’y oppose. Considérant, comme Macronescu, qu’on peut régler tous les problèmes en s’attaquant aux niches fiscales.

Quand il n’y a plus de sous, on peut encore fabriquer de la monnaie de singe

En cas de défaut de paiement, les USA ne seraient plus en mesure de rembourser les porteurs de bons du Trésor US, le placement roi de la finance mondiale, provoquant une panique sans nom. Comparable à celle de 1929. Faillites en cascades, chômage exponentiel, effondrement des échanges, fermetures des marchés, troubles sociaux, guérillas ethniques. Les seuls à s’en tirer plus ou moins bien seraient les banksters. Mais que faire de tout leur pognon réduit à sa valeur nominale, dans une économie ruinée et en panne ?

Dans ce contexte, le gouvernement ne pourrait plus payer de nombreux salaires de fonctionnaires, dont ceux des flics fédéraux qui se montreraient moins vaillants à tabasser les trublions… Sans parler des retraites des anciens combattants. Qui seraient moins motivés pour intervenir en tant que milices citoyennes quand ça barde quelque part.

On peut toujours faire fonctionner la planche à billets comme en Europe, mais la monnaie papier étant par définition fiduciaire, si personne n’a plus confiance dans sa valeur, elle vaut moins que du PQ.

Évidemment, les conséquences pour l’économie mondiale seraient catastrophiques. Et bien avant l’effondrement final, ceux qui peuvent échapper aux conséquences de la banqueroute prendront la tangente. Ils préparent déjà des solutions de remplacement.

Les démocrates préparent-ils un coup d’éclat ou un coup d’État ?

Kevin McCarthy n’est pas trop enclin à se déballonner. D’autant qu’il doit son poste à des élus radicaux qui l’invitent, comme Trump, à ne pas plier. Mais les Ricains ont plus fort que le 49.3. L’aile gauche du parti démocrate pousse Robinette à passer en force en invoquant le 14e amendement de la Constitution, qui interdit de remettre en question la solvabilité de ce qui fut la première puissance mondiale.

Dans ce cas, le gouvernement émettrait de nouveaux emprunts, comme si le plafond de la dette n’existait pas. Cette stratégie de fuite en avant, s’apparentant à une pyramide de Ponzi, est toutefois lourde de dangers.

Dangers juridiques, dans la mesure où ils ont affaire à une Cour suprême à majorité conservatrice qui pourrait censurer le gouvernement et annuler la manipulation. Et dangers économiques, en cas de subterfuges permettant de faire passer ces mesures en jouant sur la multiplication des intervenants financiers… Conduisant à une perte de confiance générale, quand tous les pigeons demanderont à être remboursés en même temps.

Le BRICS propose de changer les règles du jeu et de se passer du dollar

De nombreux pays en ont ras-le-bol du droit exorbitant que se sont arrogés les Ricains de contrôler leurs échanges internationaux, même s’ils ne passent pas par les USA, et de les racketter à coups d’amendes colossales s’ils ne se soumettent pas aux injonctions des mafieux de Washington. Lesquels n’ont pas attendu les bisbilles avec la Russie pour confisquer les avoirs et les biens, et pirater les navires et les avions des récalcitrants. Aux USA. Mais aussi chez les limaces qui leur obéissent servilement, comme la France et l’Eurocrature.

La réponse semble couler de source : en finir avec la tyrannie du dollar. La possibilité d’introduire une nouvelle monnaie internationale sera discutée lors du sommet du BRICS (Brésil, Russie, Inde, Chine, Afrique du Sud) en août 2023, en Afrique du Sud, pays hôte du sommet. Très remonté contre l’ingérence des USA dans ses relations commerciales avec la Russie.

La question d’une monnaie unique en remplacement du dollar devient pertinente pour les BRICS bien décidés à échapper à la tutelle des USA. Dans cette perspective, d’autres pays comme l’Arabie saoudite, l’Égypte, l’Iran, l’Algérie, Bahreïn et les Émirats arabes unis ont demandé à leur tour à adhérer aux BRICS. Les rats sont prêts à quitter le navire en perdition. Mauvais signe pour les Yankees.

Pour tous ces pays, la référence au dollar pour l’ensemble de leurs échanges devient un handicap difficilement tolérable du fait du durcissement de la politique de sanctions des USA à l’encontre des deux « stars » du BRICS, la Russie et la Chine. Partenaires de première importance pour les non-alignés, qui refusent de se passer de leurs matières premières abordables et de leur technologie avancée, pour satisfaire les lubies d’un vieillard cacochyme.

Aujourd’hui, des sanctions arbitraires et injustes menacent non seulement les entreprises et les pays qui continuent à commercer avec la Russie. Mais aussi ceux qui ont décidé de coopérer avec la Chine dans le domaine des technologies de pointe, comprenant les processeurs performants, les chaînes pour la fabrication de puces et de mémoires informatiques, et les communications mobiles et satellitaires.

L’inclusion de l’Iran dans les BRICS serait un coup de pied au cul donné aux impérialistes qui prétendent diriger la planète et s’immiscer chez ceux qu’ils considèrent comme leurs vassaux. Par la force, l’intimidation, la menace ou le chantage comme ils l’ont toujours fait. Mais si leur monnaie de singe ne vaut plus grand-chose, on pourra rebattre les cartes.

On n’est pas obligés d’approuver les ayatollahs, ni d’admirer le crédit social mis en place par la Chine, mais comme on dit aux USA : « Business is business ». Si une affaire est rentable, on ne va pas y renoncer pour faire plaisir à la concurrence. Et si on craint des mesures de rétorsion, on anticipe des riposte adéquates. Par la ruse comme jusqu’à présent. En s’opposant de front, demain peut-être…

Le Brésil et l’Afrique du Sud sont les plus ardents avocats d’une monnaie de remplacement

L’économie brésilienne est trop liée au dollar, et si la monnaie de référence plonge, le réal s’effondre. Or l’augmentation des dépenses des États-Unis pour servir leurs emprunts et faire face à un déficit croissant de leur budget poussent Washington à accumuler des liquidités en dollars sur les marchés financiers extérieurs. Ces capitaux figés au lieu d’être investis sont gelés pour la croissance, et on peut craindre que les économies latino-américaines subissent à court ou très moyen terme une fuite des investisseurs.

Les investissements chinois pourraient les remplacer, ce qui donne des sueurs froides aux crânes d’œuf de la Maison Blanche et de Wall Street. Lesquels ont conscience que l’aggravation des relations sino-américaines pourrait inciter la Chine à développer une coopération économique plus dynamique avec ses autres partenaires. Puisqu’elle n’aurait plus aucune contrepartie à attendre des USA. Qu’elle dispose de réserves financières importantes. Et d’une puissance militaire qui la met à l’abri de tous les chantages.

D’autant plus qu’aujourd’hui, la Chine est considérée par de très nombreux pays en développement comme un partenaire fiable. Coriace dans les négociations certes, mais qui tient ensuite ses engagements. À la différence des Ricains, des voyous qui peuvent se renier à tout moment, et vous tirer dans le dos façon Far West, tant qu’ils se croient les plus forts.

En luttant pour leur souveraineté face à la dictature du dollar US, le Brésil et les autres pays du BRICS ne prétendent pas remplacer cette monnaie par le yuan. Du moins pas dans un premier temps. Le Brésil a ses propres ambitions pour créer une zone monétaire élargie en Amérique latine. Tandis que l’Inde, l’Afrique du Sud et les pays arabes nourrissent des projets semblables dans leur zone d’influence respective.

Mais dans le monde multipolaire qui se profile, on peut envisager des fusées à deux étages : le premier regroupant des pays adoptant un instrument d’échange régional commun. Avec des règles de droit favorisant leurs partenaires privilégiés. Et un second étage créant des passerelles vers une monnaie mondiale plus forte que le dollar en déconfiture, et appelée à le concurrencer. Sinon à le remplacer.

Christian Navis

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État de siège à Amiens, la Présidente organise la Résistance

Que deviendraient les Macreux-Trognon sans le professeur Zelensky ? Un véritable acteur lui. Bien que spécialisé dans les sitcoms avec piano à queue, il sait comment chauffer une salle. À quel moment envoyer les rires préenregistrés, lancer les acclamations et passer les glapissements d’indignation sur commande.

Cet homme orchestre est venu spécialement au Francistan pour enseigner les secrets de son art aux Macronescu. En échange d’un stock de tanks et de canons, de deux ou trois avions et de quelques missiles. Un prix d’ami pour une leçon qui n’a pas de prix. Savoir se victimiser au bon moment, ça ne s’improvise pas. Il faut bien répéter avant.

La presse de caniveau adore Brichelle

« Vois-ci », « Vois-ça » et « Pourri Match » ont été promus service de presse particulier de Brichelle. Celui de l’Élysée ayant été jugé insuffisant. Brichelle ne veut que des fayots même si elle n’en consomme guère. Ça fait péter et c’est déconseillé pour sa ligne, cuisse de mouche, patte de sauterelle. Dix légumes et fruits par jour, il paraît que ça aide à effacer ses épaules de catcheur.

Lecture favorite des bonniches, des concierges et des souillons, qui hélas ont le droit de vote comme vous et moi, la publicité subliminale pour le freluquet suinte de ces publications aussi serviles que nauséabondes.

Brichelle fait son marché au Halles, Brichelle prend le métro, Brichelle aide une vieille dame à traverser la rue, Brichelle ouvre son pébroc, Brichelle raccommode son slip, Brichelle se gratte les fesses… Les gorilles du paltoquet ont été dressés à rester hors du champ. Il faut que tout ait l’air à la fois réaliste et spontané. Bien évidemment, ces sornettes ne sont gobées que les QI inférieurs à 100. Lesquels rassemblent désormais la moitié de nos chers compatriotes.

D’aucuns peuvent se demander pourquoi les télés aux ordres ne sont pas plus sollicitées pour ce genre de réclame. La réponse est simple : il n’y a pas que des cons qui regardent la télé. Et parfois, il arrive qu’un journaleux moins pusillanime que les perruches empressées ose exprimer des doutes. Tandis qu’avec la presse people, aucun risque. Tout est calibré et ajusté pour le public de gogols qui achète ces torchons. Les mensonges officiels, y a que ça de vrai !

Encore que des méchantes langues prétendent que ces revues, grassement subventionnées par le monsieur de Brichelle, peuvent se passer de vendre. Distribuées gracieusement chez les médecins, les dentistes, les kinés, les architectes, les avocats, les notaires, les salles de boxe et de danse, qui n’ont rien demandé. Et divers services publics où il faut attendre des heures pour un bout de papier sans intérêt mais obligatoire. Tous ces « bénéficiaires » sont rarement opposés à garnir leur salle d’attente avec ces publicités mensongères en quadrichromie, pour faire patienter les clients.

Et maintenant, Le Point s’y met lui aussi

Je n’avais guère d’estime (aimable litote) pour ce canard, mauvaise copie de « L’express », ennemi sournois de la Nation depuis la guerre d’Algérie, procédant par allusions perfides comme « L’Immonde »… Mais ils feignaient une réflexion, au moins superficielle. Aussi je n’imaginais pas que la pêche aux subsides ferait du « Point » une succursale d’ « Ici Pourris » et « Rance Dimanche ». Se vautrant dans la plus vile flagornerie.

Le 21 mai 2023, une certaine Nathalie Schuck, 45 ans, le regard désabusé et la lippe tombante, grand reporter, titre « Le cauchemar de Brigitte Macron ». Et pour ceux qui auraient la comprenette lente, ce grand échalas de près de 1,80 m pour 55 kilos, explique qu’après la récente agression d’un membre de la famille Trognon à Amiens, Brichelle aurait vu se matérialiser ses pires cauchemars.

Objection Votre Déshonneur ! D’abord ne vous laissez pas impressionner par le titre de « grand reporter ». On n’est plus au temps d’Albert Londres, Jeff Kessel, Pierre Mac Orlan, Blaise Cendrars ou Romain Gary. Aujourd’hui, « grand reporter » est un grade figurant à la convention collective de la presse, qu’on peut obtenir à l’ancienneté, au népotisme ou au piston, sans jamais être sorti de son bureau.

J’ai connu à Paris un insignifiant binoclard maigrichon, clone de Sartre en plus moche, qui « contrôlait » les récits des baroudeurs tous terrains et des correspondants de guerre. Bien que n’ayant jamais parcouru le monde plus loin que le périph, il avait sa carte de « grand reporter ».

Pour en revenir à la trognolisation de l’actualité, il y a des doutes sur la chronologie des faits. Qui a commencé la baston ? Les insultes ont-elles précédé les torgnoles ? S’est-on vraiment battu pour une poubelle ? Dans cette querelle de vilains garçons, un brin demeurés, c’est parole contre parole. Même si on peut supposer que la justice s’en tiendra à la version officielle, un vrai grand reporter à l’ancienne, aurait essayé d’en savoir plus. Au lieu de laisser ses lecteurs chocolat.

La vioque perruquée serait morte de trouille

La prose du « Point » est un résumé de tous les poncifs dont on devrait instruire les futurs journalistes pour qu’ils les évitent. Si on leur enseignait autre chose que la haine de la France, la lâcheté devant les puissants, et l’adulation pavlovienne de l’islamo-gauchisme.

Selon Madame Schmulbluc, Brichelle serait très malheureuse. Elle stresse tous les jours en pensant aux épouses ou compagnes des présidents précédents, qui auraient très mal supporté le carcan des « fonctions officielles » lesquelles, au demeurant, n’existent pas dans le protocole républicain.

Il paraît que de la veuve Pompidou à la cocue Rottweiler, en passant par la chanteuse du nain hongrois, ces dames auraient très mal supporté ce statut bancal d’icône officielle et de conne officieuse. Qu’à cela ne tienne. Brichelle n’a qu’à s’en retourner à Amiens vendre du chocolat. Et en manger. C’est plein de magnésium. Bon pour le moral. Et tant pis pour les kilos en trop.

Quant à son Choupinet, qu’elle ne se fasse pas trop de soucis. Il trouvera vite un jeune page pour lui faire la lecture des « Nourritures terrestres » de Gide qu’il affectionne au point d’en avoir toujours un exemplaire dans son bureau, et meubler ainsi ses longues soirées d’ennui et de désespérance. Puisque Poutine refuse de le prendre au téléphone.

Et impressionnable avec ça !

Depuis qu’elle a vu pendant l’épisode des Gilets Jaunes des mannequins, à l’effigie du paltoquet, brûlés ou pendus, et qu’elle même a été comparée à Marie-Antoinette, la pauvre louloute fait des cauchemars. Avec un peu de Valium ou de Diazépam ça s’arrangerait… Ses cauchemars sont moins angoissants que ceux des mères de famille antivax, privées de tout revenu, qui se demandaient si elles allaient pouvoir nourrir leurs gosses avec des coquillettes à la margarine. Dix coquillettes par jour, c’est déjà un festin !

On prétend que la famille Trognon recevrait chaque jour des lettres d’insultes et de menaces. Si c’est vrai, ils devraient songer à changer de nom. Comme tous ceux qui avaient la malchance de s’appeler Landru ou Hitler. Mais peut-être devrait-on relativiser ? Vu la tendance à l’exagération et à la théâtralisation de la vie de stars de pacotille du paltoquet et de son mari.

Si ces frappes collatérales ne sont pas inventées, le Choupinet a atteint un niveau de détestation jamais égalé depuis Louis XVI et Pierre Laval. Tandis que les médias nous prennent pour des jambons en racontant que le peuple (soigneusement tenu à l’écart de ses déplacements) l’apprécie énormément. Mais peut-être les journaleux de cour sont-ils durs de la feuille ? Abhorrer et adorer sonnent presque pareil pour les sourdingues.

Un job pour les militaires depuis qu’on les a virés du Mali

Avec l’argent du contribuable français, qui reste à la merci des voyous et des égorgeurs djihadistes, les Trognards enfants, petits-enfants, neveux, nièces, cousins, cousines, belles familles, leurs chiens, leurs chats et leurs hamsters, sont protégés jour et nuit par des escouades du GIGN et du GIPN, armées jusqu’aux dents. Choupinet essaie, une fois de plus, de se déguiser en général de carnaval comme le nabot de Kiev, et rêve de transformer l’Élysée en un Bakhmout dont il sortirait vainqueur.

Mais très grand seigneur, le neveu Trognon a décliné l’offre de bénéficier d’une milice à ses ordres. Puisque les médias cancaniers ont claironné que la flicaille, l’armée, les mercenaires, les Forces spéciales, les indics et les services secrets, passeraient le plus clair de leur temps à surveiller la chocolaterie. Inutile donc d’engraisser les poulets avec des mignardises. Ne serait-on pas un peu radins chez les Trognon Macreux ?

Il paraît que parmi les crimes de lèse-majesté, la famille du Trop mignon aurait reçu des crottes de chien dans son courrier. J’espère bien qu’on va mobiliser tous les limiers et experts de la police criminelle, d’Interpol, du FBI et de la CIA pour analyser l’ADN du canidé responsable, et trouver son maître coupable. Papy gaga Robinette doit bien ça à son cire-pompes Macrounette.

La parano du prince sans rire va encore plus loin, puisqu’il a décidé de faire protéger aussi par ses hommes de main, les restaurants, bistrots, saunas, cabarets, lodges, salons de massages, et autres lieux de plaisir et de rendez-vous qu’il a honorés de son auguste présence.

Un petit coup d’affreux méchant facho pour le dessert

Le neveu chocolatier bousculé à Amiens n’est pas impliqué en politique. Ce n’est tout de même pas de sa faute si ce boutiquier a une vieille tante mariée en grandes pompes avec un psychopathe de 35 ans son cadet.

Monsieur Chocolat n’a aucun rapport avec la forfaiture du saupoudrage d’immigrés dans les villages et bourgades de la France profonde. Sans demander l’avis des populations. Suscitant des levées de boucliers des patriotes régionaux et nationaux venus épauler les locaux.

Mais comme tout est bon pour fustiger les patriotes et se faire bien voir des traîtres mondialistes, la dame Schmulbluc y va de son couplet antifa sur la vague de démissions des maires. Surtout celui de Saint-Brevin en Loire-Atlantique. En oubliant le millier de maires démissionnaires et les 4 000 élus qui ont rendu leur écharpe pour toutes sortes de raisons.

Pour Dame Schmulbluc, Brichelle serait terrorisée par l’extrême drouâte comme Yannick Morez. Alerte, la démocratie est en danger ! Alors que, précisément, la démocratie est en péril quand on ne consulte pas les citoyens pour leur demander leur avis avant de décider de grands bouleversements pouvant affecter leur vie de tous les jours.

La journaliste du Point dans la gueule est-elle à ce point formatée par la doxa qu’elle la récite comme Greta flaire, voit et touche le CO2 ? Ou est-ce que son amour des immigrés est une clause stylistique obligatoire désormais, pour éviter d’être mis en quarantaine par la profession ? En toute hypothèse, le paltoquet devrait la récompenser pour ses diligences en lui offrant la direction d’une chaîne de télé. Parce qu’elle le vaut bien.

Christian Navis

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En Polynésie, on ne trouve pas d’homophobes, alors on en fabrique

La Polynésie encore française (pour le moment…) est un pays qui a toujours traité avec bienveillance les “différences” comme on dit aujourd’hui. Suivant un principe immémorial inscrit dans la culture ma’ohie : Chacun(e) a le droit de mener sa vie comme il l’entend, à condition de ne pas pourrir celle des voisins.

Or voilà que depuis juillet 2021, des missi dominici amenés par Macronescu dans ses bagages se sont incrustés tels des prêcheurs au verbe haut, venus éduquer les sauvages que nous sommes. Avec toutes les certitudes, l’inculture, la volonté de domination et l’arrogance des gens du « camp du bien » qui veulent « changer les mentalités ».

À tel point qu’on peut se demander si ces bons apôtres, subventionnés par l’État comme les antiracistes professionnels, ne provoquent pas délibérément des conflits pour susciter des incidents, justifier leur utilité, et faire cracher au bassinet les récalcitrants à l’ordre nouveau.

À la télé locale, des « représentants LGBTetc » (élus par qui ?) viennent chouiner que leurs ouailles seraient obligés de se cacher et de raser les murs. Ces zigotos confondent le Fenua avec l’Afghanistan !

Les mahus, garçons efféminés habillés en filles, aux manières lascives, qui vivaient en gynécée, dansaient et chantaient avec les femmes, relèvent d’une tradition multiséculaire dont ont témoigné les navigateurs depuis le XVIIe siècle. Loin d’être maltraités, ou seulement vilipendés, les mahus avaient une place reconnue dans la société océanienne. On en croise encore dans les bars de nuit, les soirées d’animation des grands hôtels et sur les paquebots de croisière. Personne ne les brime, et la plupart gagnent correctement leur vie.

Certains, plus doués que les autres, formaient des communautés d’artistes, les Arioï qui bénéficiaient d’un statut prestigieux dans les structures élitistes d’antan. Comédiens, musiciens, conteurs, philosophes, astronomes, oracles, ils et elles pouvaient tenir un rôle de conseillers, voire de « ministres » auprès de nos anciens rois. Aujourd’hui, on trouve leurs successeurs dans la politique et dans les médias, à tous les échelons, et ils ne sont pas du tout ostracisés.

Homos, hétéros, bi, trans, ces lascars et ces gaillardes, véritables couteaux suisses du sexe, ne se posent pas tellement la question du genre. Ils suivent leurs envies et leur inspiration du moment, selon les rencontres et les partenaires, et personne ne leur reproche cette versatilité.

À l’époque moderne, sont apparus les rae rae, plus proches des gays selon les critères occidentaux. Certains discrets, commerçants, artisans, ou employés de bureau, d’autres plus « visibles ». Le choix ne dépend que d’eux. Ils savent organiser des fêtes mémorables auxquelles tout le monde est convié, hétéros compris. Entre autres, des élections annuelles de miss vahiné-tané (filles-mecs). Certain(e)s de ces hybrides sont beaucoup plus convaincant(e)s dans leur trouble beauté que votre Brichelle rafistolée de la cave au grenier.

En toute hypothèse, on ne relevait pas avant Macronescu d’homophobie structurelle ni d’agressions ciblées contre ces personnes… Les litiges de voisinage ou les rivalités commerciales n’étaient pas liés à leurs mœurs… Aujourd’hui on qualifie d’homophobe tout contentieux avec eux, depuis que des Popaa zélés et bien intentionnés (?) sont venus mettre le souk dans nos îles.

La première gay pride en février 2023, financée avec le concours de fonds publics, a été un bide retentissant.

En fait, personne ne les a rejetés, encore moins stigmatisés. On les a simplement ignorés. C’est une attitude d’indifférence polie. Très océanienne. Mais qui ne convient pas à certains. Les militants LGBT les plus impliqués. Et les met en rage. Car ceux-là voudraient imposer partout et à tout le monde leur vision de la société. Et qu’on les admire.

La surprise, puis la colère et l’indignation qu’ils provoquent par des propos accusatoires, injustes et agressifs dans les médias locaux ont fini par énerver des Ma’ohi parmi les plus cool. Lesquels tiennent à présent des propos virulents que je ne puis rapporter, ce seraient des délits d’opinion.

Au lieu d’essayer de comprendre les indigènes, ces « progressistes » qui possèdent une vision colonialiste et archaïque de l’Outre-Mer, ont d’abord accusé la religion chrétienne (forcément homophobe !) d’être la cause de leurs déboires. Vision de Popaa ignares. Tout le monde sait ici que les chrétiens ont composé avec les anciens dieux, dans un syncrétisme de bon aloi, comme au Mexique et dans les Andes.

D’ailleurs, le polythéisme océanien hiérarchisé honorait un dieu suprême Ta’aroa, son délégué Oro (Joseph), son épouse Moana Nui (Marie), leur fils Hiro (Jésus) et une foultitude de divinités secondaires et de demi-dieux assez proches des saints (je simplifie pour les béotiens).

Les tikis (statuettes des dieux) dans les jardins, ceux portés en sautoir ou figurant sur les tatouages, les cultes rendus sur les maraés aux stèles ornées de pétroglyphes, la soumission au mana force surnaturelle qui révèle les qualités de l’âme, et les compromis avec les toupapaous (esprits des morts) témoignent de cette fusion. Il n’est pas rare que, le dimanche, après avoir chanté des cantiques, les bons chrétiens fassent un détour par le maraé.

Mais évidemment, on n’apprend pas ça dans les livres. Il faut aller vers les gens. Les écouter. Gagner leur confiance. Les laisser s’exprimer quand ils sont prêts à partager leur culture. Plutôt que de leur asséner les certitudes d’une doxa qui ne dispose pas ici des porte-voix des médias de désinformation pour soûler le public.

Les grands voyageurs, ethnologues et anthropologues de terrain expliquent que, depuis le XIXe siècle, la conversion au christianisme n’a pu se produire que dans la mesure où elle n’empêchait pas les individus de préserver leur mode de vie ancestral et leurs croyances, selon l’île, le village ou le groupe social auquel ils appartenaient. Raison suffisante pour expliquer le rejet à 99,99 % des récentes tentatives d’islamisation.

Après le bide de la gay pride, ils ont voulu nous imposer le 17 mai leur journée de lutte contre l’homophobie

Des Popaa qui viennent de débarquer, et vivent entre eux dans leur « communauté festive » se répandent sur les ondes locales pour chouiner que les invertis et les trans seraient martyrisés au Fenua. Rien de plus faux ! Mais il n’y a personne pour leur apporter la contradiction… Tous ceux qui auraient pu ont été bannis des studios pour avoir refusé de présenter une attestation de vaccination forcée.

Le plus extravagant est le discours d’un de leurs « délégués » (nommé par Macron ?) qui proteste contre une terrible injustice : les autorités locales ne leur donnent pas autant de sous qu’ils voudraient pour s’acheter des tenues de filles et des hormones. Quel scandale !

Certes, on trouvera comme partout des gens qui apprécient peu les invertis. Mais est-ce une obligation légale de les aimer ? D’autant que les réticences relèvent moins de leurs pratiques sexuelles, dont on se fiche bien, que de l’invasion des directeurs de conscience qui, depuis bientôt deux ans, martèlent des slogans culpabilisateurs… Et incitent même des enfants à dénoncer leurs parents s’ils ne se montrent pas gay friendly ! Ces prédicateurs odieux sont très mal acceptés par la population.

En toute hypothèse, en famille et entre amis, dans les farés ou sous les farés potés (nos salons de jardin) la critique et l’indignation vont bon train. Chez des gens qui ont toujours été très respectueux d’autrui, mais ne supportent plus d’être fustigés sans raison… En colère contre certains de ces touristes germanopratins auxquels on n’a rien demandé. Et dont les plus motivés interpellent maintenant, dans les centres commerciaux, des personnes qu’ils ne connaissent pas pour leur faire la leçon. Plus collants et racoleurs que des Témoins de Jéhovah !

Tout cela nourrit un contentieux qui a commencé il y a dix ans quand les autorités locales avaient refusé de valider le mariage homosexuel, lequel fut imposé en douceur par la France, avec ses CRS et ses gardes mobiles.

Que voulez-vous, pour nous les sauvages des îles, encore un peu cannibales sur les bords, une famille c’est une femme et un homme qui s’aiment et décident de mêler leurs vies pour faire des enfants et les élever ensemble. Mais qui peut encore proférer de telles énormités ?

Cela s’aggrave aujourd’hui avec le refus de certains maires et enseignants de laisser des personnes étrangères à l’Éducation nationale venir expliquer en classe aux gamins que les hétéros, donc leurs parents, biologiques ou adoptifs (fa’a’amu, une tradition locale où les enfants peuvent aussi choisir leur famille) seraient des anormaux, pour ne pas dire des monstres.

Puisque, selon leurs préjugés, il n’y aurait ni hommes ni femmes à 100 %. Nous serions tous des hybrides. Selon diverses proportions. Il faut dire que le port du pagne océanien, appelé paréou ou lavalava selon les archipels, peut prêter à confusion au même titre que les kilts écossais.

Car, sous nos climats chauds et humides, si on veut conserver longtemps son attirail viril en état de marche, on doit éviter de le laisser fermenter, mijoter, se ratatiner et moisir dans un calebard serré. Il faut le laisser libre de bouger à sa guise et de se rafraîchir au gré des courants d’air et des mouvements naturels du corps.

Enfin, maintenant, nouvelle cause de rejet de ces néo-colonialistes, leurs porte-parole voudraient qu’on se déguise avec des tenues arc-en-ciel comme si on était tous homos.

Et pourquoi ne pas imposer des accoutrements de lapins roses à tout le monde, tant qu’on y est ? Une idée aussi saugrenue devrait plaire à Macronescu et à sa bornée. Peut-être un peu moins aux footballeurs ?

Christian Navis

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Ukraine : Pendant la guerre, la corruption continue au plus haut niveau de l’État

La propagande des chaînes de désinformation permanente avait presque réussi à faire oublier aux téléphages que l’Ukraine était un des pays les plus corrompus de la planète. Une ripouxblique bananière du tiers-monde, donnant l’illusion de fonctionner, grâce aux milliards de dollars versés à ses dirigeants. Auxquels l’Otan demande en contrepartie de sacrifier leur peuple, afin de nuire le plus possible aux Russes.

La plus haute juridiction d’Ukraine pourrie jusqu’au trognon

Le président de la Cour suprême ukrainienne Vsevolod Kniazev a été arrêté et placé en détention dans une affaire de corruption portant sur 2,7 millions de dollars (2,5 millions d’euros), ont annoncé le mardi 16 mai 2023 les autorités dites anti-corruption de ce pays pétaudière.

Selon le chef du bureau anti-corruption national, un certain Semen Kryvonos (peut-être un des rares types honnêtes au milieu de tous ces gangsters ?) : « C’est la plus grosse affaire touchant la branche judiciaire de l’État, du fait d’un groupe criminel formé par des juges de la Cour suprême. »

Parmi les corrupteurs de ces juges, figurerait le milliardaire ukrainien Kostiantin Jevago, qui avait mandaté une société d’avocats pour verser des pots-de-vin à la Cour suprême afin que celle-ci adopte une décision favorable le concernant.

Kostiantin Jevago aurait transféré 2,7 millions de dollars par l’entremise de ses avocats. Sur ce montant, 1,8 million destiné à être versé à des juges de la Cour suprême et 900.000 dollars aux avocats pour leurs services en tant qu’intermédiaires. Selon le Parquet, l’homme d’affaires voulait que la Cour prononce une décision lui permettant de garder le contrôle des parts d’une entreprise minière, objet d’un litige avec l’État et d’anciens actionnaires.

Cinquième fortune du pays estimée à 1,4 milliard de dollars par Forbes, Kostiantin Jevago, propriétaire du groupe minier Ferrexpo, est recherché depuis plusieurs années pour infractions financières en Ukraine. Cet ex-député est accusé d’avoir détourné 113 millions de dollars de sa banque Finance and Credit Bank, avant de la déclarer en faillite en 2015.

Arrêté le 28 décembre 2022 à Courchevel, il a été placé quelques jours en détention provisoire puis sous contrôle judiciaire depuis début janvier. Mais la demande d’extradition a été rejetée par la cour d’appel de Chambéry, le 30 mars. Sur intervention des plus hautes autorités, murmure-t-on. Macronescu ne semble pas pressé de renvoyer cet individu dans son pays. Au nom des droits de l’homme. Ne les respecterait-on pas en Ukraine ? Que sait le paltoquet que nous ignorons ? Ah ils s’en disent de belles entre deux tendres papouilles !

Les glapissements de la hyène Ursula pour faire oublier les embrouilles

Cette européo-mondialiste formatée dans les mêmes officines que Macronescu affirmait il y a peu, sans sourciller, que : « L’Ukraine a réglé ses problèmes internes, il n’y a presque plus de corruption dans ce pays. »

Toutefois l’institut Kiel, proche du gouvernement allemand, a demandé des garanties et un droit de regard sur les 750 milliards de dollars promis par l’Eurocrature… Suscitant la colère du Zygomyr qui rejette cette intolérable ingérence. Le ouistiti hirsute est très vexé qu’on ose le soupçonner de malversations.

Pourtant, il a beau prétendre, entre deux bisous à Macronescu, qu’il s’occupe personnellement du grand nettoyage, tous les indices prouvent le contraire. Sauf pour ceux qui refusent de voir la réalité, tant leur haine des Russes leur a collé des peaux de saucisson sur les yeux.

Depuis quinze mois, le pays dénoncé naguère par Transparency International comme un nid de pirates, une cour des miracles, une succursale de la mafia, est brusquement devenu un parangon de vertu, de droiture et de gestion désintéressée… Pour enfumer les niais, des licenciements et des démissions ont bien eu lieu courant 2022 et début 2023 au sein des équipes au pouvoir et dans les administrations. Mais cela ne concernait que des sous-fifres, ou comme par hasard, des personnes doutant du bien-fondé de la politique du Zygomyr.

La corruption existait avant la guerre, elle s’est aggravée depuis

Déjà en 2016, selon un rapport de Transparency International, entre 38 % et 42 % des ménages ukrainiens déclaraient avoir payé un pot-de-vin pour accéder aux services publics de base. Et si un simple coup de tampon sur un document anodin, donné par un petit fonctionnaire, se monnaye… Que dire des décisions prises par les flics, les juges et les administrateurs locaux disposant d’un vrai pouvoir de nuisance en proportion de leur niveau hiérarchique ?

Un effort de nettoyage semble avoir été entrepris, en surface, contre des demi-sel aux manœuvres trop voyantes qui risquaient de démobiliser les redoutables guerriers ukrainiens. Comme le vol d’argent destiné aux troupes, le détournement de la nourriture et des médicaments pour les soldats, et la revente des armes et munitions à des entités étrangères sur le marché noir de la mort.

Zygomyr accuse indéfiniment l’URSS de ses déboires, comme les dictateurs africains rendent le colonialisme responsable de tous leurs échecs

Certes l’Ukraine a hérité d’une corruption généralisée après la chute de l’Union soviétique, en particulier au sein du système judiciaire, de la police, du secteur de la santé et de l’éducation. Mais depuis 1990, les politiciens au service des oligarques n’ont rien fait pour prendre leurs distances. La rente était trop confortable ! Sous l’apparence d’une démocratie purement formelle. Puisque, comme en France, du maire de village au dictateur suprême, une fois élu chacun considère qu’il peut agir à sa guise et n’a de comptes à rendre à personne.

Ceux qui contrarient le ouistiti sont les premiers sacrifiés

Triple avantage : Il donne des gages de réformes à ses sponsors. Se débarrasse d’opposants. Et les dépouille pour abonder sa cagnotte personnelle. Comme récemment Ihor Kolomoisky, ancien propriétaire de la plus grande banque ukrainienne, PrivatBank, et puissant oligarque bien en cour, à présent déchu… Car s’il avait trahi tour à tour Ioulia Timochenko, Viktor Loutchenko et Vitali Klitchko, il s’était « rattrapé » en finançant sans barguigner le Zygomyr.

Ainsi, avant de soutenir la campagne électorale du nabot mal rasé, l’oligarque utilisait la chaîne de télévision qu’il possédait pour diffuser un programme populaire de sitcom, vantant les compétences de ce vrai-faux président, si sympathique quand il faisait le clown, en jouant du piano à queue.

Mais Kolomoisky a commis une lourde erreur. Confit dans ses milliards, il a voulu être associé aux décisions. Et pourquoi pas devenir calife à la place du calife ? Ce que le ouistiti ne lui a pas pardonné.

Comme prétexte, les services de sécurité ukrainiens (SBU) ont perquisitionné le domicile de l’oligarque dans le cadre d’une enquête sur le détournement de fonds de la plus grande société pétrolière d’Ukraine, Ukrnafta, dont Kolomoisky détenait une participation majoritaire. Avant que ses biens ne soient saisis au profit de l’État. Comprendre au profit du Zygomyr et de ses associés. Ce nain ingrat n’a pas hésité à dépouiller son bienfaiteur d’antan.

Le ouistiti devrait se méfier car Kolomoisky est un tueur rancunier. Il avait offert un million de dollars à celui qui assassinerait le député pro-russe Oleg Starev, président du Parlement de l’Union des Républiques russophones de l’Ukraine. De même qu’il avait financé des groupes de mercenaires d’Azov, offrant des primes substantielles aux sicaires en fonction du nombre de Russes qu’ils zigouillaient. Femmes et enfants inclus.

Le mandat d’arrêt international lancé par Poutine a été refusé par Interpol, aux ordres de l’Otan et de l’Eurocrature.

Le zygomyr voudrait bien continuer à jouer sur tous les tableaux

Alors que ce général de carnaval exhorte ses alliés à lui fournir toujours plus d’argent et de matériels de guerre, il doit prouver que tous ces cadeaux sont bien utilisés. Faire semblant de lutter contre la corruption est également indispensable pour soutenir la candidature de l’Ukraine qui aspire à conclure une alliance juteuse avec l’Eurocrature. Qu’elle doit d’abord convaincre de sa probité et de sa bonne gestion. Laquelle UE ne demande qu’à y croire. Puisque l’Otan le lui ordonne.

Qui a été sacrifié jusqu’à présent ?

Le gouvernement de Kiev a annoncé le 22 janvier qu’une enquête avait neutralisé un groupe criminel organisé qui avait détourné des fonds destinés à remettre en état des infrastructures critiques bombardées par les Russes et à fournir à la population de la lumière, du chauffage et de l’eau en hiver.

Oleksandr Kubrakov, ministre des infrastructures, a démis de ses fonctions son vice-ministre Vasyl Lozynsky. Lequel avait été arrêté après avoir reçu un pot-de-vin de 400 000 dollars. Cet âne de Lozynsky, nommé personnellement par le ouistiti à ce poste, n’avait pas voulu partager le grisbi. Tant pis pour lui !

Par la suite, ont été démissionnés et ont pour la plupart disparu de la circulation : le chef du cabinet de Zelensky, ainsi que quatre ministres, cinq sous-ministres et sept gouverneurs, auxquels on reproche des faits bénins comme d’avoir dépassé leur nombre de jours de vacances, et utilisé à titre personnel leurs véhicules de fonction. Rien de bien grave finalement. Assez toutefois pour donner l’impression d’un coup de balai tout en noyant le poisson. Cela semble assez réussi pour apaiser les soupçons des gogos bailleurs de fonds. Lesquels doivent quand même justifier un peu leurs dépenses insensées auprès de leurs opinions respectives.

Christian Navis

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Covid : des crimes prémédités pires que tout ce qu’on supposait !

Pour maître Reiner Fuellmich, universitaire et avocat spécialisé en droit médical et pharmaceutique, qui plaide aussi bien en Europe qu’aux USA et au Japon, promoteur d’un Nuremberg 2 pour faire condamner les assassins du covid, les preuves sont accablantes.

« Il s’agit de meurtres de masse intentionnels et prémédités, dit-il. Cela ne fait absolument aucun doute. Nous avons des preuves et nous allons les coincer. »

Mais quand on sait qu’il a fallu plus de dix ans pour bousculer Talonetto du fait de quelques pots de vin, seuls les futurs centenaires auront une chance de voir les gibiers de potence du covid se balancer aux ramures des gibets.

Des statistiques qui dérangent

On sait à l’heure actuelle, malgré tous les tripatouillages tendant à imputer les morts par “vaxination” forcée à toutes sortes de comorbidités (en y incluant même des accidents de la route au pic de la vague !) que 5 % au moins des lots de prétendus vaccins avaient été délibérément rendus toxiques. En plus des pathologies intrinsèques qu’ils provoquaient.

Cela faisait partie de l’expérimentation. Augmentant les risques d’embolies et de troubles cardiopulmonaires. Provoquant entre 5 et 10 % de morts selon les pays, les régions, les villes, parmi les cobayes soumis à cette thérapie expérimentale qu’on a d’abord crue incontrôlée.

Pas si incontrôlée que ça !

On est en présence d’une expérimentation mondiale monstrueuse, comparable aux folies criminelles des médecins d’Hitler. On a voulu tester les possibilités d’hécatombe, avec un virus trafiqué, pour réduire au moins de moitié la population mondiale. Tout en choisissant des cibles-tests appropriées. Préserver des esclaves utiles et des cadres dociles. Éliminer des parasites et liquider en priorité ceux qui « pensent mal » ou qui pourraient dénoncer le pot aux roses.

Des chercheurs comme Craig Paardekooper de la Kingston University de Londres, déclaré fou et blacklisté par les moteurs de recherche du Nouvel Ordre Mondial, et Alexandra Latypova, ex-cadre sup’ de l’industrie pharmaceutique, victime d’une tentative d’assassinat, ont découvert que 5 % des lots de « vaccins » contre le SARS-CoV-2 sont responsables du grand nombre de décès liés à la « vaccination » aux USA. Car les lots étaient disparates. Avec des étiquettes génériques mensongères. Constituant une violation intentionnelle de la réglementation fédérale exigeant l’uniformité des doses.

L’article en français de Global Research apporte des précisions chiffrées.

Pour Pfizer, 4 % au moins des lots de vaccins, et 5 % chez Moderna, cumulaient tous les décès attribuables aux conséquences des piquouses. Mais il y a plus criminel encore ! Les lots hautement toxiques furent répartis entre les comtés et les États ayant donné des majorités confortables à Trump. Tandis que, dans les secteurs à dominante démocrate, les « vaccins » étaient d’une toxicité moindre. Sinon neutralisés.

Ces différences de distribution selon les comportements politiques des destinataires traduisent une volonté criminelle sur laquelle des services locaux de police enquêtent… Avec le concours mesuré des agents spéciaux « Famous But Ineffective » (FBI) pour le moment. Trop occupés à protéger les Biden père et fils. Mais on peut faire confiance à la pugnacité des juristes étasuniens pour renverser le panier de crabes.

Il n’y a pas qu’en Amérique que la nocivité des « vaccins » était ajustée pour se débarrasser des gêneurs.

Reiner Fuellmich a enquêté avec des centaines de juristes et des milliers de scientifiques, dans tous les pays démocratiques, ouverts, d’Europe et d’Asie. Le Comité d’enquête Corona a recueilli une surabondance de preuves non seulement sur la toxicité des prétendus « vaccins » mais aussi sur le tri sélectif des « bénéficiaires ».

Au départ, la confusion régnait, attribuant au hasard ou à pas de chance les raisons pour lesquelles certains mouraient ou traînaient des pathologies lourdes, tandis que d’autres s’en sortaient sans trop de dommages. La réponse est dans l’incohérence voulue des lots de vaccins et leur répartition en apparence aléatoire.

D’autres experts, comme l’ancien vice-président et directeur scientifique de Pfizer, le Dr Michael Yeadon (déclaré fou, complotiste et viré) et l’ancien chef du Comité de la santé de l’Assemblée parlementaire du Conseil de l’Europe, le Dr Wolfgang Wodarg, virologue et épidémiologiste de classe internationale comme Raoult et Perronne (déclaré fou, complotiste et viré) ont conclu que « des actes criminels ont été commis » et que « les preuves de ces crimes extrêmement graves sont aujourd’hui évidentes.»

Tout était organisé pour masquer les crimes par une panique mondiale soigneusement médiatisée

La « pandémie de coronavirus » a été orchestrée par la terreur, avec la complicité des journaleux pourris des chaînes de désinformation continue, assortis de quelques médicastres à la ramasse pour se donner une teinture pseudo-scientifique.

Tout était bidonné dès le départ en toute connaissance de cause. Des masques inutiles. Une ingénierie sociale des confinements permettant de tester le niveau de soumission et de stupidité des populations. Des violations des droits des personnes, avec des délits imaginaires anti-constitutionnels. Des vaccinations forcées imposées par la ruse, le chantage, la menace et des mesures de rétorsion, en violation des dispositions du Code de Nuremberg.

Une multiplication des délits de non-assistance à personnes en danger par refus de soins parce que Big Pharma avait ordonné à ses Macron et autres loufiats d’interdire tout traitement efficace comme l’HCQ ou l’Ivermectine, qui auraient prouvé l’inanité de leurs pseudo-vaccins.

Et même aujourd’hui que la pseudo-pandémie est officiellement terminée, les pourritures médiatiques et les médicastres stipendiés insistent lourdement pour que les gogos continuent à se faire piquer. L’arnaque est trop juteuse pour y renoncer comme ça.

Mais on n’a pas assassiné partout pareil !

Des pays comme l’Inde et le Brésil ont pu soigner à peu près librement la grippe pangoline en dépit d’énormes chantages financiers des labos et de l’OMS à leur service. Mais avec quelques bémols. Ainsi au Brésil, dans les districts pro-Bolsonaro (accusé d’avoir entravé la diffusion des pseudo-vaccins) la mortalité a été très élevée. Par contre, ceux qui « votaient bien » pour le repris de justesse Lula étaient curieusement mithridatisés.

Tout aussi étrangement, en Inde musulmane, comme dans les monarchies pétrolières du Proche-Orient, mais aussi en Europe avec les populations islamiques importées, l’anticorps mahométan fut d’une formidable efficacité.

La structure fédérale de l’Union Indienne reconnaissant à chaque État l’autonomie sanitaire, là où les mahométans étaient majoritaires, ils se sont soignés sans tenir compte des diktats de Big Pharma. Et malgré un maillage médical ténu, le taux de mortalité a été plus faible qu’aux USA et en Europe… où les kouffars tombaient comme des mouches… Tandis que dans les enclaves étrangères hostiles, où la plupart des mesures de prophylaxie furent ignorées, et les patients soignés au Doliprane, on ne compta que peu de décès pangolinesques, en proportion de la population.

Paranoïa ? Complotisme ? Ou purs hasards ? Il s’agit de faits observés et répertoriés par des collèges d’experts, pour la plupart interdits de médias et virés de leur emploi dès qu’ils eurent brisé l’omerta. Or la disparité des lots de vaccins et la sélectivité des destinataires ouvrent la porte à toutes les suspicions possibles. À l’aune de la valeur de la vie humaine, selon les critères de l’Euro et de la Mondocrature, il y a des « espèces protégées » qui méritent plus que d’autres de continuer à vivre. Une approche mieux ciblée du Grand Remplacement. Relativement négligeable à l’échelle actuelle. Mais qui anticipe des lendemains qui déchantent.

On ne compte plus les scientifiques indépendants qui surmontent leur peur des représailles et arrachent leurs bâillons, pour affirmer que le « vaccin » est non seulement plus mortel que la maladie elle-même, mais qu’il contribue largement à sa diffusion. Mais il y a pire. Car on peut considérer qu’on a préparé les esprits à une forme de menace biologique insidieuse, omniprésente, et à la soumission pavlovienne des populations.

Et si le covid avait été la répétition générale d’une manipulation mondiale encore plus radicale ?

Malgré toutes les précautions prises pour museler les lanceurs d’alertes, on dispose de nombreux indices selon lesquels les USA ont tenté de militariser le virus Ebola, installant leurs labos de la mort chez leurs vassaux ukrainiens qui n’ont rien à leur refuser. Coïncidence ? Plusieurs rapports indépendants ont établi que la CIA effectuait des prélèvements sur le génome des prisonniers russes. On peut supposer que, tout en maîtrisant des antidotes pour leur usage, les Ricains travaillent dans la recherche d’armes biologiques ciblant en priorité les Russes.

En outre, en Ukraine, des flacons de variole mortelle furent découverts au début de la guerre. Quasiment sans protection. Mais chaque fois l’info fut occultée, sans qu’aucune « jounalope » ne pose la question de l’utilité de telles cultures. Puisque, en théorie, une campagne mondiale avait éradiqué cette maladie, ne justifiant plus la vaccination des populations. Et donc impliquant la destruction des souches. Sauf quelques échantillons témoins, très contrôlés.

Sans que personne non plus ne s’étonne qu’en Ukraine, courant 2022, soient apparus « spontanément » des cas de variole du singe frappant des personnes qui avaient travaillé dans les installations secrètes des Amerloques. Version officielle : les malades ont guéri en deux ou trois semaines. Sauf ceux qui en sont morts. Dommage que le ouistiti Zygomyr ait été épargné. Il aurait pu contaminer Macronescu lors de leurs tendres papouilles.

Or si la variole est naturellement très contagieuse, elle peut être encore plus agressive grâce à des manipulations d’ingénierie génétique qu’on sait faire. Si le virus « amélioré » s’échappait (en l’aidant un peu…) le taux de mortalité serait infiniment plus élevé qu’avec le coronavirus.

Mais surtout, ce serait l’occasion rêvée, pour tous les petits führers à la Macron, de « suspendre » les dernières libertés publiques. Le strict contrôle des mouvements de population étant supposé réduire la dispersion de la maladie. Et la cenSSure des mal-pensants, et les interdictions de manifester ses doutes ou son hostilité envers les ordures au pouvoir seraient présentés comme le moyen d’éduquer les masses, et de les empêcher de paniquer. Privées de leurs dernières miettes de liberté. Dans leur intérêt. Et pour le bien de tous. Cela va sans dire.

Christian Navis

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Un Chinois champion du monde des échecs grâce à l’OTAN ?

Depuis le 30 avril 2023, Ding Liren est le premier Chinois champion du monde des échecs. Ses mérites sont indiscutables. Son jeu clair, créatif, puissant. Pour tout dire coruscant. Mais des tricheries dont Ding n’est pas responsable entachent son titre.

Le ricochet des trucages anti-russes

Lors du championnat du monde disputé à Astana au Kazakhstan en avril, après 3 victoires de chaque côté et 8 nulles, (soit 7/7) Ding s’impose dans la quatrième et dernière joute de départage en parties rapides, décrochant le titre mondial. Il devient le premier Chinois à remporter le titre suprême, succédant au Norvégien Magnus Carlsen qui avait jeté l’éponge.

Ding a gagné sur l’échiquier, même si son classement cumulé ne le place qu’au troisième rang mondial. Mais le cas n’est pas unique dans l’histoire des échecs.

Sa première partie de championnat, le 21 avril 2013, est un régal pour tous les amateurs du roi des jeux. Un exemple jubilatoire de ce qu’aucune intelligence artificielle ne sait vraiment faire. Gagner sans doute. Mais pas en beauté. Rappelant les échanges « hasardeux » ou « désavantageux » d’un Alekhine, ou les sacrifices « intuitifs » d’un Mickaël Tal. Des coups en apparence incorrects. Qu’on ne peut anticiper ni défendre par aucune analyse logique. Mais qui s’avèrent finalement payants.

Ding a remporté son titre de justesse, après une suite de parties nulles, et 3/3 puis ¼ en blitz (parties rapides) qui sont aux échecs ce que sont les tirs au but au foot quand il faut désigner un vainqueur. Où la chance et la solidité des nerfs contribuent à la victoire.

Son adversaire Ian Nepomniachtchi n’est pas le premier venu, mais c’est un Russe que la FIDE (Fédération internationale des échecs) a obligé à renier son pays pour pouvoir participer à la compétition.

Aujourd’hui, dans toutes les disciplines sportives ou para-sportives, un champion ne peut plus participer que s’il accepte de manger son chapeau. Comme, dans le domaine de la politique, des médias, des arts et de la science, où mieux vaut être woke, gay friendly, réchauffiste et anti-russe si on veut éviter la mort sociale.

L’autre client, peut-être plus sérieux, était Sergueï Karjakin, qui a déjà battu deux fois Magnus Carlsen. Mais il a fait le cheminement exactement inverse de « Nepo ». Russophone d’origine ukrainienne, grand admirateur de Poutine comme tous les gens capables de réfléchir par eux-mêmes, cet hyper-surdoué, plus jeune grand maître du monde à 12 ans, a choisi la Russie. Dont il a pris la nationalité. Ce qui lui a valu d’être écarté de la compétition.

Partout où les mondialistes otanesques peuvent faire des saloperies, ils ne s’en privent pas. Même dans des activités ludiques d’apparence anodine, sans incidence militaire ou économique directe. Tout pourrir est vraiment leur seconde nature. Pour le plaisir d’asservir et de dominer le monde.

Profilage de Ding

Si tant est qu’on puisse parler de l’atavisme d’un peuple, ou de son substrat culturel, observé à travers un de ses plus éminents représentants, le parcours de dingue de Ding est un triomphe de la persévérance, de l’intuition, mais aussi de la prise de risques lors de coups d’une audace inattendue, qu’il improvise in situ. Suscitant l’admiration de ses pairs.

Les amateurs pourront se régaler avec une partie révélatrice de son style. Où il a fait tout ce qu’il ne faut pas faire d’après Karpov (Anatoli, pas Boris). Et a gagné. Voir en fin de page Wiki avec les diagrammes.

C’est d’autant plus dommage pour Ding qu’une suspicion de magouilles lui colle désormais aux godasses tel un vieux chewing-gum visqueux. Comme naguère la merde aux semelles de Karpov, joueur solide de tout premier plan, mais hélas champion de papier, sans avoir jamais rencontré Bobby Fisher. Celui-ci dissuadé de l’affronter suite à de multiples humiliations quand l’URSS faisait la loi dans le monde des échecs… L’URSS est morte et enterrée. L’Eurocrature et l’OTAN l’ont remplacée.

Une révélation tardive

À la différence d’un Bobby Fisher, grand maître à 14 ans, ou d’un Kasparov invaincu dans un tournoi de grands maîtres à 16 ans, et champion du monde à 22, Ding a pris son temps. À 15 ans, son ELO (classement) est inférieur à 2300. Plutôt en-dessous de celui des surdoués du même âge.

Par la suite, c’est un parcours en dents de scie, alternant des résultats excellents contre des adversaires redoutables, et des suites de parties médiocres… Mais à partir de 2015, tout s’accélère. Comme si la chrysalide était enfin devenue un papillon flamboyant.

Peut-être puise-t-il de nouvelles forces dans la poésie et la philosophie qu’il affectionne ? Il cite pêle-mêle Albert Camus, Louise Glück et Woody Allen. Et comme il n’affiche ni l’agressivité de Kasparov ni la sérénité d’Anand, des crétins de journaleux trouvent qu’il a un comportement étrange. Essayer de comprendre un peu un génie n’est pas à leur portée.

En août 2015, à 23 ans, il entre dans le “top ten” mondial avec un ELO de 2770. En 2017 et 2019, il est finaliste aux Coupes du monde, écarté seulement au départage. À cette même époque, il se rapproche des exploits du champion Magnus Carlsen, en étant invaincu pendant une série de cent parties classiques. Il se classe alors juste après le Norvégien. Bientôt il lui passera devant.

Les échecs en Chine triomphent au masculin comme au féminin puisque, depuis 2018, sa compatriote Ju Wenjun est championne du monde de son côté. Alors que l’Amérique décline, et que l’Europe régresse, bientôt au niveau de l’Afrique, la Chine est d’ores et déjà le pays au QI moyen le plus élevé. Avec pour challengers l’Inde et la Russie. Ça vous étonne ?

Christian Navis

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Revoilà les loups-garous nazis de Kiev !

L’info peut paraître anecdotique. Mais pas si dérisoire. Le Zygomyr a décidé de réactiver des unités de sabotage, à envoyer derrière les lignes russes, héritières des « loups-garous » de Himmler, qui comptaient de nombreux Ukrainiens dans leurs rangs.

Leurs tâches, couper les lignes de communication et de ravitaillement, brûler les récoltes, détruire les installations militaires, civiles et industrielles, faire dérailler les trains et assassiner les officiers ennemis. Un seul mot d’ordre : frapper sans se soucier de leur vie. Tels des kamikazes.

Leur signe de reconnaissance : la wolfsangel, ou griffe du loup-garou, croix nazie stylisée couchée, fièrement arborée par les miliciens d’Azov au début du conflit. Réservée aux réunions privées depuis qu’ils se sont fait engueuler par Ursula la hyène hypocrite qui veut bien qu’on soit nazi, mais préfère qu’on évite de trop le montrer.

En 1944 Himmler trouvait ses nazis un peu mous du genou

Joseph Goebbels choisit alors de ressusciter l’ancien mythe du loup-garou pour constituer des unités d’élite, en référence à un roman de Hermann Löns, qui narre les exploits d’une bande de paysans de la lande de Lunebourg, tenant en échec des mercenaires étrangers pendant la guerre de Trente Ans (1618-1648)

Il en fait des Werwolf (« loup-garou » en allemand) un corps franc formé de volontaires pour mener un combat subversif derrière les lignes de front, particulièrement à l’Est, et plus tard contre les Alliés envahissant l’Allemagne. Leurs instructions sont de continuer la lutte quoi qu’il advienne. Vaincre ou mourir. Rendre toute discussion de paix impossible. On voit où le Zygomyr va puiser son inspiration.

Des maires qui ont déclaré leur ville ouverte, sont assassinés par des Werwolf, sur ordre personnel de Himmler. Avec toute une mise en scène gore qui anticipe les pseudo charniers du Zygomyr… Ces « loups » sont moins des guerriers germaniques que des garçons bouchers sadiques.

Barricadé dans son bunker, le Zygomyr croit renverser le cours de la guerre de la même façon que les nazis à l’agonie. Et comme ces derniers, il se fait conseiller par des mages, des pythonisses et des sorciers. Les monastères de Kiev, abritant les trésors de la culture slave orthodoxe, ont été vidés et pillés pour y installer des gurus et des chamanes, mélanges de zigotos new age et de gurus de sectes apocalyptiques importés des USA, surfant entre occultisme et ésotérisme de bazar.

Les discours et ouvrages nazis montent que les hitlériens étaient fascinés par les loups-garous, vouaient un culte à des dieux païens et affirmaient communiquer avec des esprits. L’historien Eric Kurlander explique le fonctionnement de l’occultisme nazi in : Hitler’s Monsters: A Supernatural History of the Third Reich.

En utilisant l’astrologie et la numérologie, en détournant des recherches archéologiques, historiques et folkloriques, en piétinant toutes les théories scientifiques sur l’évolution de l’homme, cette pensée fantasmatique va servir aux nazis dans la création de leur propre réalité politique en Allemagne.

Les élites instruites et les intellectuels étaient peu enclins à accorder du crédit à ces délires, mais les classes moyennes et le prolétariat finissaient par y adhérer. D’autant que toute opinion rationnelle susceptible de déglinguer leur château de cartes était soigneusement réprimée par Goebbels et ses sbires.

Beaucoup de nazis trouvaient ces idées intéressantes parce qu’ils avaient grandi à une époque de véritable floraison de la pensée surnaturelle à travers toute l’Allemagne. Même les plus sceptiques considéraient cette pensée fantasmatique comme représentative de la culture germanique. Et en toute hypothèse, utile pour manipuler des masses ignares.

L’anti-science comme instrument de domination

Hitler et Goebbels font tous les deux le constat que les adeptes de la pensée völkisch (terme difficilement traduisible qui décrit un courant de pensée païen, germanique, antisémite et racial du XIXᵉ siècle en Allemagne) sont les plus susceptibles d’adhérer au parti nazi. Nombre de ces personnes n’auraient rien contre l’idée de se promener « vêtues de peaux d’ours si on le leur demandait», comme Hitler l’affirme cyniquement quand il évoque les runes. À croire que Soros s’en est inspiré pour formater l’idiote Greta et le maître égyptologue rappeur.

Cette époque ressemble terriblement à la nôtre, où des ignares et des débiles mentaux peuvent, avec la complicité des médias stipendiés par le Nouvel Ordre mondial, répandre des théories fantaisistes sur les climats, une pseudo pandémie ou l’Afrique mère de toutes les civilisations. Et induire en erreur une foultitude de pauvres gens dont la seule source d’information est leur poste de télé.

Des doctorats en pataphysique à la pelle

Comme la mongolienne nordique qui a arrêté ses études à la fin de l’école primaire s’est vue décerner un diplôme de docteur honoris causa… Dans les années 1930, Hitler et Himmler décernent ce même titre honorifique à divers farfelus, dont Philipp Fauth, auteur de la théorie de la glace éternelle (le réchauffisme à l’envers !).

Ils placent alors ce charlatan, entouré d’autres farfelus comme Hörbigger, un bricoleur de machines agricoles, à la tête d’un Institut international de recherche sur la glace éternelle, promue doctrine nazie officielle. Qui annonce le prochain déluge universel quand la glace de la lune et de tous les corps célestes va fondre et s’abattre sur la terre. Le GIEC et ses professeurs Tournesol ont eu des prédécesseurs gratinés !

Les vrais scientifiques qui protestaient étaient démis de leurs fonctions et interdits de publications. S’ils insistaient, ils finissaient en camp de concentration. Les hérétiques aujourd’hui ne sont punis que de la mort sociale. On ne compte plus le nombre de brillants et courageux universitaires devenus au mieux chauffeurs de taxis, au pire clochards. Surtout chez les réfractaires aux thérapies expérimentales criminelles.

Le préjugé anti-scientifique des nazis réinventé et encouragé sur Internet

Les mêmes causes produisent les mêmes effets. On prend quelques imbéciles instruits qui n’ont jamais rien produit et sont ignorés par leurs pairs. On leur attribue des crédits, des locaux, des assistants et un accès illimité aux médias de désinformation continue. Le pouvoir de décider du bien et du mal, du juste et du vrai, et de sanctionner les opposants à la doxa leur donne l’illusion d’être devenus des génies d’un coup de baguette magique.

De nos jours, les élucubrations réchauffistes ruinent les entreprises et les États, entraînant une régression civilisationnelle vers le charbon et le vélocipède qu’on n’aurait jamais osé imaginer il y a quelques décennies, et leurs auteurs pontifient, tancent, sanctionnent au gré de leurs humeurs.

Avec les nazis, c’était pareil. La pensée miraculeuse et autres extravagances ont causé un préjudice stratégique et militaire grave à l’effort de guerre des Boches.

Victimes de leurs conneries, encore heureux !

L’imaginaire surnaturel et le rejet par les nazis de la science positive au profit des pseudo-sciences ont handicapé leurs capacités de développement, tant sur le plan technologique que logistique. Les exemples les plus connus sont le programme de fusées longtemps considéré comme farfelu par le führer, les recherches se concentrant sur le rayon de la mort et les armes psychotroniques, sans parler de l’aversion d’Hitler pour la technologie nucléaire. Qui ne pouvait être qu’erronée puisque des Juifs y avaient travaillé.

La pensée surnaturelle a affaibli la capacité des nazis à produire ce dont ils avaient besoin, à un moment donné, bombardiers, chasseurs, navires et sous-marins. Et si l’on peut penser qu’ils auraient perdu la guerre de toute façon, cette pensée magique a eu un impact négatif pour eux.

Le retour des « loups-garous » ukrainiens n’est pas du au hasard !

L’Ukraine est à un tournant historique, comme naguère en Allemagne, où la popularité des idées occultes renforçait la légitimité d’une société chancelante. Une mythologie et un folklore inventés de toutes pièces pour doter l’Ukraine d’un passé, permettent à l’imaginaire surnaturel de se répandre jusqu’à devenir une composante fumeuse de la doctrine politique. Un phénomène que l’on n’observait habituellement que dans les sociétés archaïques régies par la pensée magique.

Derrière ces mascarades, se structure une organisation néonazie semblable à celle des Werwolfs d’origine, créés en même temps que le Volkssturm, la milice populaire allemande qui devait épauler la Wehrmacht dans la défense du territoire du Reich. Himmler voyait ces unités comme l’« organisation concrète de la résistance allemande ». Des paramilitaires menant des actions de sabotage sur les arrières des troupes russes. Les milices suicidaires de Kiev ont le même objectif.

Ce mouvement était aussi voué à faire pression sur les soldats et les populations civiles qui allaient se retrouver face à l’ennemi, pour les empêcher de se rendre et de cohabiter pacifiquement avec les Russes. Une station de radio diffusait chaque jour de la propagande « anti-défaitiste ». L’émission quotidienne de télé-Zygomyr s’en inspire largement.

Cette stratégie était calquée sur la « politique de la terre brûlée » conduite par les partisans soviétiques. Les zones d’action étaient surtout rurales car facilement utilisables pour cacher des armes, abriter et nourrir les groupes Werwolf. Les zones frontalières du Donetsk tiennent ce rôle aujourd’hui. D’où l’intensité des combats. Et des massacres. Car inspiré par Goebbels, le petit clown mal rasé de l’OTAN veut prouver au monde entier, du haut de son 1,60m, que les Ukrainiens préfèrent mourir plutôt que de se rendre. Sauf lui, bien planqué, naturellement.

Actifs au milieu des ruines de Berlin, se sacrifiant dans des combats rapprochés contre des unités blindées, pendant aux réverbères ceux qui déposaient les armes, les derniers membres de la Werwolf continuèrent la lutte contre les forces russes jusqu’à l’automne 1945, repliés dans des caves, des égouts et des usines dévastées. Des trous à rats. Comme à Marioupol et à Bakhmout !

Christian Navis

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Génération Greta : le triomphe des illettrés médiatiques

Les Bantous ont inventé l’aviation. Les premières fusées ont décollé d’Afrique. Le premier ordinateur fut une création des Zoulous. Et sans les Balubas et les Bakongos, Internet n’existerait pas. C’est la vérité, même si c’est suggéré autrement. Par une Rama Yade qui rame à contre-courant avant de couler à pic.

Ne vous demandez plus pourquoi, malgré toutes ces brillantes inventions, les Africains ont subi l’esclavage des Arabes pendant quinze siècles sans se rebiffer. Et ont été incapables de produire des civilisations technologiques avancées… C’est parce que des leucodermes aussi voleurs que sournois leur ont tout pris !

Tout a été inventé en Afrique

Le chewing-gum, le téléphone portable, le préservatif à la fraise et la tapette à souris. Mais aussi le fil à couper le beurre, le moteur à dérouler les escargots et l’automobile électrique volante.

Ramatouya souffle dans les trompettes de la renommée pour rendre à un grand savant le prix Nobel dont il a été injustement privé suite à une odieuse cabale raciste. Sans poser les questions élémentaires, comment l’électricité des phares à ions aurait-elle pu être produite (de façon chimique ? Mécanique ? Thermique ? Biologique ? Nucléaire ?) Puis stockée, diffusée et utilisée, à quelles fins et pour alimenter quelles machines et comment ?

Éliminant ces questions vulgaires auxquelles les grands esprits ne sauraient s’attacher, elle vole au secours de cet éminent Gims (maître ? Avocat ? Notaire ? Attention à l’abus de titre !) dont la biographie confirme qu’il n’a pas dépassé le niveau du cours préparatoire, option borborygmes. Autrefois, on aurait évoqué avec indulgence les insuffisances d’une « culture d’autodidacte pas très doué. » Aujourd’hui, c’est largement suffisant pour en faire un ingénieur émérite et un brillant intellectuel qui donne des leçons péremptoires aux pointures de l’égyptologie, de la physique et de l’histoire des civilisations.

Rama aurait pu en rester là. Le ridicule aurait coulé avec l’oubli. Mais non, elle en a remis des couches à répétition. Comme autant de coups de pinceaux sur le museau de Brichelle. Et là, ça commence à faire choucroute.

Rama Yade est à la paléoanthropologie ce que Greta est à la physique de l’atmosphère.

Dommage pour Rama, je la trouvais plutôt mignonne et assez sympa, dans le style chérie noire dégourdie un peu délurée. Mais la négritude la grattait trop. Il a fallu qu’elle vole au secours de son frère de race que la complaisance des médias avait érigé en phare de la pensée. Posant et disposant de nouveaux paradigmes relevant de la pataphysique et des élucubrations transcendantales. Assénant ses « vérités » avec le culot de ceux qui savent qu’ils seront rarement contredits publiquement. La suspicion intimidante de racisme coud toutes les langues.

Pourtant, à la différence de Greta qui a arrêté d’aller à l’école avant ses premières règles, Ramatouya affiche un CV officiel présentable : Hypokhâgne, Sciences Peaux de zébie, reçue au concours d’administratrice du Sénat… Aujourd’hui, on est en droit de se demander quelle part la discrimination positive a tenu dans son parcours, quand on découvre ses carences culturelles.

La révolution néolithique (agriculture + élevage) n’est pas une spécificité saharienne, apparue il y a sept ou huit mille ans.

Elle a commencé en Orient et en Europe il y a dix à douze mille ans, et plus tôt encore (15 000 BP) à Monté Verde Chili actuel avec des Eurasiatiques, peut-être des proto-polynésiens. Mais aussi à la même époque chez les Papous du Mount Hagen, mélanodermes d’origine asiatique, utilisant des parlers austronésiens… De sacrés mélanges car possédant en outre des marqueurs néandertaliens ou denisoviens dans leur génome jusqu’à hauteur de 10 %. Une caractéristique que n’ont pas les Africains. Qui ne sont pas tous sortis d’Afrique pour se mêler aux autres, n’en déplaise à la pieuse légende.

Neandertal et sa variante Denisovienne sont apparus et ont évolué hors d’Afrique. Quoi qu’en dise la doxa, qui veut tout simplifier pour des raisons idéologiques, il y a eu à différentes époques lointaines, sur des continents éloignés, des évolutions locales du génome comme des progressions en dents de scie dans les pratiques de la civilisation. L’humain unique et la civilisation linéaire au déterminisme sans surprise sont des lots de consolation jetés à ceux dont les ancêtres n’ont pas été au bon endroit au bon moment. Trop casaniers, ces parangons du métissage aujourd’hui sont restés à 0 % néandertaliens.

Ce n’est pas parce que les explorateurs d’antan ont approché des sociétés pastorales figées en Afrique qu’il faut en faire des exemples de maîtrise de l’élevage.

En outre, le progrès est un tout, et ce n’est pas parce qu’on sait plus ou moins cultiver quelques céréales et garder des troupeaux pour la viande et le lait qu’on est sur la voie de la civilisation. Il y a d’autres paramètres.

Un exemple significatif est donné par deux groupes ethniquement très dissemblables, géographiquement éloignés sur des continents étrangers, sans aucun contact, mais très en avance sur leur temps, Monte Verde et Mount Hagen. Leur point commun ? Outre une agriculture opportuniste, ils cultivent déjà il y a 15 000 ans des plantes médicinales, les traitent pour les conserver, les gardent à l’abri, et les utilisent pour se soigner de façon empirique.

La chromatographie d’absorption, osseuse et dentaire sur les restes humains retrouvés, confirment cette pratique. Rien de tel en Afrique avant longtemps. Avant que les indigènes n’aient été instruits par les Arabes puis par les Européens.

En toute hypothèse, il y eut plusieurs révolutions néolithiques sur tous les continents, séparées les unes des autres par des siècles ou des milliers d’années, et celles en Afrique sont loin d’avoir été les plus productives.

On répète les mêmes erreurs avec les « pharaons noirs »

Dans une zone désertique proche de la sixième cataracte du côté de Eyd Damer au Soudan, émergent les ruines de Méroé où des pyramides pentues mais étriquées et des temples massifs comme miniaturisés surgissent des sables.

Inspirés par l’Égypte des pharaons dont ils furent contemporains et que, parfois, ils co-dirigèrent, les Méroens appelés aussi Nubiens dans l’Antiquité sont un peuple chamite plus proche des Berbères et des Amazighs que des Noirs. Même s’ils ont le teint sombre ou bistre, leurs phénotypes sont plus proches de ceux des Éthiopiens ou des Abyssins que des Africains de pure race.

On a peine à imaginer, quand on observe ces collines rougeâtres constellées de buissons souffreteux et d’arbustes rachitiques, que jusque dans les premiers siècles de notre ère, la contrée fut bien arrosée et fertile. Prolongeant son agonie par la suite grâce à de gigantesques citernes raccordées à un astucieux système de canaux en partie enterrés.

Gouvernée par des reines guerrières, les Candaces, cette culture épanouie aux confins de Rome fut la seule à avoir conclu un traité équilibré avec l’empereur Auguste auquel elle servait de rempart.

Les « pharaons de Méroé » se sont inspirés des rites et des monuments du Nouvel Empire dans sa phase finale, dont ils constituent une adaptation tardive, intéressante mais moins massive, moins structurée, moins sophistiquée. Moins solide aussi. Ces monuments se fracturent et se disloquent assez vite. Leurs architectes et bâtisseurs étaient des copieurs, qui n’étaient pas dépourvus de talents, mais pas des créatifs ni des inventeurs maîtrisant la durée.

Aujourd’hui, l’endroit est convoité par les archéologues du monde entier et des petits malins vendent des visas d’entrée de l’UNESCO plus ou moins authentiques. Dans un chantier permanent où des tribus nubiennes qui prétendent percevoir leur tribut sur les fouilles mènent la vie dure aux administrateurs imposés par Khartoum.

Le trafic d’objets archéologiques, les meurtres et les exactions sont considérés par ces gens-là comme des accessoires de leur travail. Et chez les bobos, il n’y a rien qui classe plus un aventurier en peau de lapin que de prétendre avoir de l’authentique Méroé dans son salon.

L’essentiel du travail consiste à percevoir « ez zakat », l’aumône légale, un des cinq piliers de l’islam. De gré ou de force. Mais ce n’est pas la religion officielle qui les étouffe ! S’ils récitent la shahada et appliquent en apparence les principes pieux, ils donnent une interprétation originale du coran qu’ils mélangent à leurs antiques cultes animistes. Comme porter de la nourriture aux morts, élever des autels aux ancêtres vénérés, psalmodier des incantations aux esprits du vent, des arbres, du fleuve et de la pluie, idolâtrer des grigris de fertilité et tracer des signes cabalistiques sur les portes pour chasser le mauvais sort. Tout ça n’est vraiment pas islamiquement correct !

Même si ce syncrétisme est fréquent en Afrique, il fait désordre dans un état qui se veut une vitrine de l’islam parfait. À l’aune de ses fantasmes médiévaux.

À ces dissensions permanentes, les opposant aux rigoristes de Khartoum ajoutent des ressentiments beaucoup plus prégnants. Jusqu’à une époque récente, à peine moins de deux siècles, la Nubie était l’autre grand réservoir d’esclaves dans lequel puisaient les Arabes.

Un musulman ne pouvant mettre en esclavage un autre musulman, ils n’étaient pas trop motivés à convertir les Nubiens. Ou toléraient leur islam approximatif, puisqu’il n’est pas interdit selon certains théologiens d’asservir et de retenir dans les fers les « mauvais musulmans ». Pour parfaire leur éducation ? Bref, une situation trouble et des motivations glauques pour enrober des prétentions civilisationnelles hautement fantaisistes. Servies par un notaire de carnaval.

Christian Navis

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