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Le coran, une analyse du contenu et de la rhétorique

Il y a plus d’un an, j’ai commencé à débattre avec des musulmans sur internet. Pour ce faire, j’ai lu attentivement le coran. Tout au long de ces débats parfois âpres, j’ai pu approfondir ma connaissance non seulement de l’islam mais également de la foi chrétienne.

Voici mon analyse générale du texte coranique.

Le coran est très clairement un « manifeste ». C’est-à-dire un livre dont le but est la présentation et la défense d’un système de pensée/croyance. Le coran a été écrit pour promouvoir l’islam. Il y a beaucoup de livres répondant à ce genre mais peu ont eu une aussi grande influence. On peut citer « Le capital » de Karl Marx ou « Mein kampf » de Hitler. Comme dans ces autres manifestes, le propos du coran est de créer une distinction et une opposition nette entre les hommes. Cette différenciation est sociale dans « Le capital », « raciale » dans « Mein kampf » et religieuse dans le coran.

Le coran fonde l’islam et en fait l’apologie. Il est constitué de sentences s’enchaînant les unes après les autres. Il n’y a ni histoires, ni témoignages, ni dialogues mais un long monologue où les affirmations plus ou moins équivalentes se répètent sur les 110 sourates. Il s’en dégage une pensée monolithique et répétitive. Les enchaînements logiques sont pauvres, l’argument d’autorité faisant office de preuve définitive (c’est Allah qui le dit…). Le lecteur est confronté à un texte qui a pour objectif de le convaincre d’adhérer à la religion du coran et de suivre Mohammed.

Pour y parvenir, le coran déploie une rhétorique somme toute assez basique.

-L’autopromotion : l’islam est la meilleure religion, le coran est parfait, directement descendu du ciel, la communauté musulmane est la meilleure communauté et Mohammed est un homme de très haute moralité, le sceau des prophètes. Le coran est ainsi émaillé de superlatifs qui affirment sa supériorité.

Cela prêterait à sourire si ces affirmations n’étaient pas prises argent comptant par des millions de personnes. Elles ne peuvent que flatter l’orgueil et développer un sentiment de supériorité. De plus cela dissuade de réfléchir et de remettre en question certains dogmes ou d’avoir un regard critique sur la vie et les actes de Mohammed. En effet, comment remettre en question un texte parfait, incréé, de nature divine… ?

– Le dénigrement de la concurrence : les critiques et insultes sont omniprésentes à l’égard des « mécréants », en particulier vis-à-vis des chrétiens et des juifs.

Les adjectifs « pervers », « menteurs » sont couramment utilisés, les non-musulmans sont aussi comparés à des animaux dont ils ne valent pas mieux. Le coran est un livre profondément anti-chrétien et anti-juif. Le chrétien est considéré comme un idolâtre (polythéiste) et les juifs sont accusés d’avoir falsifié les écritures. Hélas, on ne peut que constater que ces versets influent de façon très négative la perception que peuvent avoir les musulmans des juifs/chrétiens/athées/…

-L’interdiction de la contradiction et du débat.

Le coran dissuade les musulmans de faire des efforts de recherche et de réflexion qui remettraient en question le dogme.

La réponse à toute question dérangeante se résume à : « Allah sait mieux ».

L’argument coranique : « un non-arabophone ne peut comprendre le coran », est souvent brandi pour réfuter toute critique.

-La promesse de récompenses pour ceux qui adhèrent.

Les récompenses sont, dans ce monde, une domination politique sur les autres peuples et, après la mort, les fameuses « houris » et délices charnels de toutes sortes.

-Les menaces à l’encontre des récalcitrants ou opposants.

Dans presque toutes les sourates il y a des passages qui menacent les mécréants, c’est à dire les non-musulmans de l’enfer. Ces occurrences très nombreuses décrivent ce lieu comme l’endroit ou Dieu lui-même torture incessamment les hommes avec moult détails sordides. Il n’y a pas d’assurance du salut en Islam sauf pour celui qui meurt au combat dans le jihad.

Le propos du coran est très clairement l’opposition et la séparation des musulmans des autres communautés. Cette différenciation musulman/non musulman est l’axe central du coran.

Lors des échanges avec des musulmans, l’enjeu pour moi était de susciter un questionnement. J’ai constaté cependant que des arguments, même justes, n’ont souvent aucun effet sur des personnes qui depuis l’enfance entendent les mêmes propos et sont persuadés d’être dans la « vérité ». D’autre part, beaucoup de personnes musulmanes sur ces sites suivent un raisonnement algorithmique dont le seul but est d’essayer de convertir les chrétiens. Leur logique est guidée par un nombre limité de chaînons logiques qui tournent en boucle.

Je remarque par ailleurs que des personnes qui ne sont pas de culture musulmane se convertissent en nombre en Europe et particulièrement en France. Ne pas discerner la rhétorique manipulatoire dans le coran est à mon avis la conséquence d’un affaiblissement général de la connaissance des fondements du christianisme à savoir des évangiles.

Les évangiles en effet ne procèdent pas de la même intention et le contraste avec le coran est saisissant.

Christophe Sévérac

 

 




2023 : l’année des révélations

Quand on gouverne par le mensonge, la vérité est votre pire ennemi et doit être combattue par tous les moyens. Sur le point d’être démasqué, le pouvoir devient de plus en plus violent, impitoyable.

Les vaccins sont dangereux : une vérité insupportable pour le pouvoir !

Cette information qui n’a pas été diffusée par les grands médias, a néanmoins infusé dans la population. Les témoignages, la parole de scientifiques et médecins courageux (qui l’ont pour certains payé très cher) ont été entendus par le plus grand nombre.

La mortalité en France en 2022 est, à peu de chose près, la même qu’en 2021 en pleine épidémie. Soit une hausse de 9 % par rapport à 2019, c’est considérable (+53 000 décès). Cette situation est la même en Allemagne, en Angleterre +18 % cet été par rapport à une moyenne, (+24 % de crises cardiaques).

La natalité déjà faible toute l’année s’est carrément effondrée à l’automne en France (-10 % par rapport à l’automne 2021), du jamais vu et les scientifiques n’ont aucune explication.

Les gens ont malheureusement pu, pour beaucoup, constater parmi leurs proches des atteintes cardiaques inattendues, des maladies auto-immunes apparues soudainement, des cancers extrêmement agressifs post-vaxcovid.

Dans ma famille, une embolie pulmonaire et une myocardite.

La méfiance s’est installée durablement, même les vaccinations traditionnelles en pâtissent comme celle contre la grippe.

Le discours matraqué dans tous les médias « vaccinez-vous » ne tient plus. La courbe de la vaccination COVID est complètement plate et chez les enfants de moins de 11 ans le rejet est massif, plus de 97 % de non-vaccinés.

Les dégâts en terme de crédibilité de la parole publique sont considérables.

Lors d’un sondage Ouest-France (17/08/2022) 82 % des participants indiquent ne plus vouloir se faire vacciner même si un nouveau variant apparaissait. Il reste bien sûr le noyau dur des inconditionnels de la macronie, pour qui, tout ce qui vient d’en haut est du pain béni qu’il faut recevoir avec actions de grâce. Mais le carré se réduit sous les coups cruels du réel.

https://www.ouest-france.fr/sante/vaccin/la-question-du-jour-vous-ferez-vous-de-nouveau-vacciner-contre-le-covid-19-6d97199a-1e3f-11ed-b83d-4732997e1808

D’après vous, que peut-il se passer quand une partie de la population, sans bruit, opère une sécession intellectuelle et se désolidarise d’un système qu’elle considère comme malveillant ?

L’année 2023 pourrait bien détenir la réponse à cette question.

Ce pouvoir ne supporte pas la contradiction. Pour échapper à ses responsabilités, dont pénales, une fuite en avant est pour lui la seule option. Les dissidents seront de plus en plus persécutés comme le sont les personnels dits « suspendus ».

Les médias alternatifs comme « France Soir » sont l’objet d’une chasse aux sorcières, des mouvements dissidents comme « SOS Éducation » sont harcelés.

Les libertés individuelles reculent, le contrôle des individus se renforce sous prétexte de sécurité, de réchauffement climatique, de lutte contre ceci ou cela…

Il faut s’attendre à une année très mouvementée car une partie de la population ne se laissera pas faire.

Que la solidarité, la débrouillardise, la résistance, la prudence également soient avec vous tout au long de cette année. Ne vous laissez pas manipuler, soyez malins et prenez soin des vôtres.

Christophe Sévérac




Paroles de « Suspendus »

Ces témoignages sont tirés d’un site dédié aux personnels suspendus : https://lesessentiels.org

– Marie-Paule a 50 ans, elle est mère de deux enfants et vit seule. Elle exerce depuis 17 ans au sein de l’hôpital public, d’abord comme aide-soignante, puis comme infirmière au service des urgences. Elle est suspendue depuis le 17 septembre 2021.

La plupart des soignants de mon équipe ont d’abord refusé ce « vaccin », mais le pass sanitaire les a presque tous fait basculer. Au bout d’un moment on ne pouvait même plus aborder le sujet. J’ai été suspendue en 48h, sans même un message. C’est une collègue qui m’a prévenue, le 17 : « Tu n’es plus sur le planning, surtout ne reviens pas, ils vont te mettre dehors ». J’avais attendu le dernier moment, je ne pensais pas qu’ils iraient jusque-là. J’ai eu un entretien préalable et j’ai reçu un courrier 3 jours après. C’est là que j’ai réalisé que j’étais suspendue, sans salaire ni droit au chômage, pour une durée indéterminée. Normalement, une suspension sans salaire est une sanction consécutive à un passage devant un conseil de discipline, qui ne doit pas durer plus de 4 mois. Vivre ça, c’est d’une violence incroyable. Je me suis retrouvée en état de choc, du jour au lendemain j’ai presque tout perdu, tout s’est écroulé autour de moi. J’ai été obligée de déménager, car je ne pouvais plus payer le loyer. Mais du jour au lendemain on n’est plus rien, on n’est même plus un citoyen, on n’a plus aucun droit, même pas celui d’aller travailler, on n’a plus de ressources, on ne peut plus s’acheter à manger. C’est ça qu’on a vécu !

– Alexandre, 53 ans est aide-soignant en milieu hospitalier depuis 30 ans. Il a été vacciné sous la contrainte.

Je ne suis pas anti-vaccin, mais leur expérimentation, là… Je ne suis pas un animal ! Et ça j’en ai gros sur la patate. Je suis tellement en colère. Et maintenant j’ai peur, je suis vacciné et je ne sais pas ce qui va m’arriver, je n’ai pas confiance en ces vaccins…En attendant, depuis 1 mois que j’ai eu ma 2e injection, je suis très fatigué et ça ce n’est pas des mensonges. J’ai des boutons sous les bras, je n’en avais jamais eu avant. J’ai les transaminases qui ont explosé, je ne bois pas une goutte d’alcool. Quand j’en ai parlé à mon médecin, je lui ai demandé si ça ne venait pas du vaccin, il m’a dit «  Mais non, mais non… »

– Nicolas a 41 ans, il est masseur kinésithérapeute en hôpital public depuis 17 ans. Il vit en couple et a deux enfants de 14 et 17 ans. Suspendu depuis le 23 septembre.

Je pensais que l’obligation vaccinale n’arriverait jamais. C’est un traitement expérimental, il y a plein de garde-fous, ce n’est pas légal. J’étais super serein par rapport à ça. Arrive le 12 juillet… Et là, je m’effondre. Je ne parle plus, je ne dors plus, je ne mange plus, je ne peux plus rien faire. Cela est arrivé alors que j’entamais 3 semaines de vacances… J’ai perdu 8 kilos. A mon retour dans le service, c’est l’été, je suis tout seul, je donne le change. Je me dis c’est du flan, je pars dans un bras de fer et je ne lâcherai pas. J’ai été convoqué à un entretien le 16 septembre. Recevoir le courrier m’a fait un choc terrible. Incapable de bouger, j’ai été mis en arrêt maladie. C’est pendant cet arrêt que j’ai été avisé de ma suspension. Pour l’administration, nul besoin que je revienne. Le but c’est que ça ne marche pas, c’est que l’on puisse fermer des services parce qu’il n’y a pas assez de soignants. Un médecin de l’établissement, avec qui je travaillais, a communiqué des noms de personnes non vaccinées à l’administration de l’hôpital en vue de leur suspension… Comment va-t-on pouvoir revivre et retravailler tous ensemble ?

– Francine, 54 ans, vit avec son compagnon. Elle travaillait au sein d’un foyer pour adultes en situation de handicap. Elle est actuellement au chômage après avoir négocié une rupture conventionnelle de contrat.

Petit à petit je me suis retrouvée toute seule. Je ne porte pas de jugement, chacun a fait comme il a pu, mais maintenant j’ai le sentiment d’être… Comment dire… C’est comme si je n’existais plus. Là, aujourd’hui, je me dis que je me suis tiré une balle dans le pied, mais je ne changerai pas d’avis. Je ne sais pas ce que va devenir ma vie. La première chose pour moi est d’essayer de garder la santé et le moral, mais ce n’est pas facile…

– Véronique est mariée, elle a 1 enfant, elle exerce dans une structure de soins du secteur médico-social depuis 26 ans. Elle est suspendue depuis le 17 septembre 2021.

Le jour de la suspension est horrible, je repars laissant mes affaires au Service. Je ne peux pas dire au revoir aux enfants, entre la coupure des vacances et la décision de l’établissement, et je ne voudrais pas qu’ils soient pris en otage dans ces conflits qui opposent, qui scindent tout le monde, de partout ; je leur écrirai. Mais quelle violence on leur fait vivre, à eux ! J’ai mis beaucoup de temps parfois à tisser du lien, à établir une relation de confiance, à comprendre leurs fonctionnements, et là, je vais disparaître, du jour au lendemain… Ça me fait mal au cœur, ça m’écrase. Ignoble jour que ce jour ! Et les suivants… Je ne sais pas de quoi sera fait demain, ce que je peux devenir, mais dans cette traversée si éprouvante, dans cette épreuve vraiment rude, ce « décapage à l’os », cette violence injuste, j’ai rencontré des personnes exceptionnelles, d’une générosité venant du cœur, des personnes pour qui humanité, solidarité, soutien ont du sens. J’ai rencontré des soignants, suspendus tout comme moi, tellement beaux, vrais et courageux. J’en suis touchée.

– Corinne a 59 ans, elle est séparée et mère de 3 enfants. Médecin généraliste en libéral depuis 30 ans, elle a été interdite d’exercer au 15 septembre 2021. J’ai peur qu’on me demande de faire des choses que je ne veux pas faire. J’ai peur qu’on m’oblige à vacciner des gens et que ça tue des personnes, puisqu’il y a des morts de ce vaccin. Je ne peux pas travailler dans ces conditions, c’est trop anxiogène pour moi. J’ai dû vacciner des personnes, j’ai mis des semaines à m’en remettre parce que j’avais peur qu’ils meurent. Je ne vois pas comment on peut travailler dans des conditions comme ça. Moi je n’accepte pas. Je ne sais pas comment font mes confrères, je me pose beaucoup de questions.  Je suis très, très, très choquée de la tournure des choses. Je trouve que c’est trop facile de manipuler une population et surtout de la rendre haineuse, violente. Voilà, je ne vais plus pouvoir être médecin, ça fait un peu bizarre de le dire comme ça, et je ne vais plus du tout avoir le même train de vie. Moi je suis capable d’accepter un boulot avec un petit revenu pour garder mes valeurs, mais c’est vrai que j’ai dû vendre ma maison. J’ai signé hier pour la vente de ma maison, ça fait mal au cœur, ça faisait 17 ans que j’étais dans cette maison… mais c’est pas grave, c’est pas grave…

Je ne cesse de penser à ces personnes plutôt que « personnels », pendues plutôt que « suspendus »…

Nous devons les aider, d’une façon ou d’une autre.

Pianoter sur nos claviers ne suffit plus.

Christophe Sévérac




Iran : rien ne sera plus comme avant

Ce qui se passe en Iran est incroyable…

C’est toute une société qui brave les interdits et les lois religieuses qui tiennent le pays sous coupe serrée. Pour la première fois dans un pays soumis à la charia, hommes et femmes se rebellent au risque de leur vie.

Il n’y aura plus d’avant car même si le régime islamique perdure, le cœur des Iraniens se détourne massivement de l’islam. Voilà 4 mois maintenant qu’ils affrontent le régime des ayatollahs. Les autorités, qui dénoncent des « émeutes », ont arrêté des milliers de personnes et condamné à mort une dizaine d’entre elles pour leur implication dans ce mouvement de protestation.

Les procès sont expéditifs, avec comme chef d’inculpation “moharebeh”, qui signifie “guerre contre Dieu” ou « inimitié contre Dieu ». Des responsables iraniens affirment que des centaines de personnes ont été tuées lors des « émeutes », notamment des dizaines de membres des forces de sécurité. Il faut savoir que les Bassidjis, une branche des gardiens de la révolution islamique, font preuve d’une violence extrême, exécutant ou torturant les opposants du régime.

Les blessés (souvent au visage et aux yeux) fuient les hôpitaux publics où les services de renseignement traquent et arrêtent tous blessés par balles et les expédient en prison dont celle tristement célèbre d’Evin. De nombreux médecins au péril de leur vie secourent à titre privé ces manifestants blessés ou falsifient les fiches de soins. Hélas plusieurs de ces médecins ont déjà été exécutés par les gardiens de la révolution.

Le peuple iranien s’adapte et continue le mouvement de protestation la nuit.

Plus de 20 000 jeunes ont déjà été arrêtés par le régime. C’est une guerre ouverte contre la jeunesse et surtout contre l’éducation dont a profité cette génération des années 2000 et particulièrement les jeunes femmes. En Iran, près de la moitié de la population a moins de 30 ans. Cette jeunesse éduquée ne supporte tout simplement plus d’être soumise à un obscurantisme islamiste, à une privation des libertés fondamentales, à un système sociétal qui opprime les femmes. Cela fait des années que la jeunesse joue avec ces règles et les transgresse selon le principe : « Pas vu, pas pris ». Les jeunes arrivaient à se retrouver, à s’amuser, à défier le totalitarisme religieux, tout en faisant semblant d’être de bons citoyens musulmans. La corde a rompu. La mort de cette jeune fille Mahsa Amini a été comme un détonateur qui a fait exploser les faux-semblants et cette apparence de paix civile.

Comment pourront-ils arrêter les écoliers qui vont à l’école en criant « Femmes, vie, liberté » ? Ce slogan est un affront direct à l’idéologie islamique pour qui tout homme doit être soumis à l’islam, et toute femme, un signe visible de la soumission à Allah. Ce régime dévoile son vrai visage. Les gardiens de la révolution de Khamenei (IRGC) et des agents en civil ont attaqué des dizaines d’universités. Ils utilisent des fusils à plomb, des balles réelles et des gaz lacrymogènes, et enlèvent des étudiants, en particulier les étudiantes.

Cette guerre est impitoyable et sans merci. Les opposants à ce régime n’ont que leur courage et leur détermination. Même si ce régime se maintient au pouvoir, au prix du sang versé, il aura définitivement perdu le soutien du peuple. En effet plus de 80 % du peuple soutient ce soulèvement. Même si les pères de familles hésitent à risquer leurs vies, la fermeture du Bazar de Téhéran, les grèves dans le secteur pétrolier sont des signes qui ne trompent pas sur le mécontentement général du peuple iranien.

Au travers de ce régime c’est l’islam qui est profondément remis en question. Il révèle son incompatibilité avec la liberté de conscience, avec la liberté tout court.

Une étude, parue en 2020, confirme la sécularisation sans précédent de la société iranienne. Cette étude a été menée sur un pan très large de la société, ses résultats témoignent d’une transformation radicale des croyances et pratiques religieuses :

72 % des iraniens sont contre le port obligatoire du Hijab, 12 % sont indécis et seulement 15 % y sont favorables.

Seulement 40 % de la population se dit musulmane (Chiite, sunnite et soufis) contre 99,5 selon le gouvernement.

Plus de 60 % ont déclaré ne pas faire les prières quotidiennes obligatoires des musulmans, 60 % ont déclaré ne pas avoir observé le jeûne pendant le Ramadan (la majorité étant « malade… »)

On peut corréler cette évolution avec un fort taux d’alphabétisation et un niveau de pénétration d’Internet  comparable à ceux de l’Italie, avec environ 60 millions d’utilisateurs. Le nombre augmente sans cesse : 70 % des adultes sont membres d’au moins une plateforme de médias sociaux.

 

Le silence du pouvoir politique en France, est révélateur du malaise des diplomaties européennes devant ce soulèvement populaire. La révolution islamique de Khomeyni était encensée par la gauche française, aussi, aujourd’hui, Laurent Fabius, l’ancien chef de la diplomatie française, se cache derrière un pudique : « On ne comprend pas grand-chose, on a peu d’informations sur ce régime ».

Quel paradoxe encore, de constater que l’islam s’impose en Europe, comme si celle-ci était blasée de cette liberté que nos ancêtres ont conquise au  prix le plus fort. Quand on voit nos concitoyens, sans coup férir, accepter cette islamisation de quartiers et villes entières, quand on voit que le voile est devenu un emblème pour une gauche en perte d’audit, que le christianisme est devenue une curiosité muséale, que même les innocentes crèches sont persona non grata, on réalise alors que la France va s’islamiser dans sa culture et ses institutions. Les opposants à cette transformation de la société seront persécutés sous le couvert d’islamophobie ou de racisme. Le « tout se vaut », « les religions sont égales entre elles » sera l’alibi grâce à lequel on imposera l’islam en France.

Il nous faudra goûter aux joies des lois islamiques pour comprendre que nous avons perdu ce qui était le plus précieux. Que la liberté n’a pas de prix et doit être défendue, que le Christ n’est pas seulement une décoration de Noël.

Christophe Sévérac




La carte des pendus

La carte des pendus

https://www.google.com/maps/d/u/0/viewer?hl=fr&ll=44.488347753054924%2C1.6383189588912384&z=10&fbclid=IwAR0tCenYuTopc5jOjLiOSsdb1kOFqDgB3sukicCCtKfvGJ0mYDzYxfGaMm8&mid=1aGrhoLEC4Sowi-3T-tCJTnZzMbIskGM

Vous en connaissez vous des « suspendus » ? Moi, j’avoue que non, on en entend un peu parler, mais de là à dire qu’ils existent vraiment…Alors que la NUPES se paie leurs têtes en refusant de faire front commun avec le RN sur le sujet, que le gouvernement Macron  les enfonce sous l’eau pour bien les finir, ça nous laisse froid. L’absurdité est érigée en système, l’ensemble des soignants n’est de toute façon plus à jour en terme de vaccination puisque celle-ci n’est efficace que durant 6 mois. Bref, cette discrimination est d’autant plus dégueulasse que les études s’accumulent sur la dangerosité de ces traitements ADN/ARN.

Alors voilà une petite carte des « suspendus »… Moi, je dirais des pendus haut et court pour offense à sa majesté gouvernementale.

Il y a sûrement quelqu’un près de chez vous, en galère, un pompier, une infirmière qui peine à joindre les deux bouts. Il y a des adresses Telegram ou autres, un petit message pour les encourager et les féliciter, un mot de soutien, c’est un début de résistance et d’entraide. Allez, ne serait-ce que pour emmerder les emmerdeurs.

Ils vous paraissent peu nombreux et insignifiants ? C’est un symbole, les premières victimes d’un régime malfaisant. Je vous rassure, d’autres viendront et d’autant plus nombreuses que l’on aura été indifférents au sort de ces « suspendus ».

Dans mon village il y en a une :

Adel : aide-soignante, 7 années de service, suspendue.

Christophe Sévérac




Francocide : quand Arte ricane sottement sur Riposte Laïque

https://www.arte.tv/fr/videos/111724-003-A/entendu-francocide/

Hier soir, je suis tombé sur une petite vidéo sur Arte, consacrée au mot Francocide, un petit format de deux minutes pour décrypter des mots ou expressions. Le tout se veut fin, élégant, cultivé, un brin moqueur et décalé. Très à la mode aujourd’hui… J’avais un peu l’impression d’être à la cour de Louis XVI où les nobles s’échangeaient de bons mots sur la misère du bas peuple. La colère gronde… Mais là-haut, cela n’impressionne personne, les Gilets jaunes ont bien été matés une fois… A 1 minute et 4 secondes, le réalisateur étrille le site Riposte Laïque  pour avoir, en 2018, utilisé le terme francocide.

« … site d’extrême droite islamophage dont deux responsables ont été condamnés pour incitation à la haine… ».

Le ton badin et suffisant continue avec quelques inventions sémantiques « vision crypto cœlioscopique »,  Zemmour : « son potentiel flipogène… ». Rien de mieux que mettre les rieurs de son côté.

Mais qui peut bien continuer à rire ? Qui reste-t-il pour se moquer des victimes d’une violence qui s’étend comme la lèpre dans notre pays ?

En général, ceux qui se sentent bien à l’abri, dans des quartiers cossus, avec des salaires confortables, qui mettent leurs gosses dans le privé et ne se mélangent pas avec la plèbe. Ces gens-là ne savent pas ce que c’est que de franchir le seuil de sa porte, les sens constamment en alerte, de ne pas bien dormir la nuit à cause des rodéos nocturnes. Que de s’inquiéter parce que son enfant va parcourir une centaine de mètres dans la rue…

Non, ces gens-là plaisantent entre eux sur le sentiment d’insécurité et crachent sur un peuple « raciste et islamophobe ». C’est un petit jeu très à la mode là-haut. Pour s’amuser un peu (sinon on s’ennuierait…), on va même lui faire croire que l’on va renvoyer tous les délinquants étrangers, ou bien qu’on va multiplier les hommages aux victimes, les ériger en modèles… « Vous voyez, ils sont morts assassinés mais… ils restent nobles et ne font pas d’amalgame… »

Qu’est-ce qu’ils doivent se marrer là-haut…

Une petite Lola égorgée, et on va encore, une fois de plus, inverser l’accusation, pointer du doigt ceux qui dénoncent l’immigration incontrôlée, la démission de l’état, la dangerosité de l’islam : « les méchants, c’est eux, c’est de la récupération… »

Le problème c’est que les gens d’en-bas sont fatigués, les mots sont usés jusqu’à la corde, la réalité déborde.

Aujourd’hui, on pourrait presque oublier que la France était, jusqu’aux années 1960, un pays paisible et tranquille, tant dans les villes que dans les campagnes : en 1964, le taux de criminalité était de 12 crimes et délits pour mille habitants, un taux près de cinq fois moins important qu’aujourd’hui.

La forte délinquance des villes a atteint les campagnes, la France est aujourd’hui dans un état de délinquance endémique, c’est-à-dire que celle-ci couve en permanence et partout sur le territoire.  Plus de 350 000 agressions ont été signalées entre janvier et juin 2021, contre 300 000 au premier semestre 2020 et 320 000 sur la même période de 2019.

Cela équivaut à 1950 agressions de tous types par jour !

1950 agressions par jour, cela relève d’une situation de guerre.

Cette criminalité a de plus profondément changé, la violence sur personne liée à des vols diminue tandis que la violence gratuite explose. En clair, parmi les délinquants d’aujourd’hui, moins de voleurs de pommes, plus de personnalités ultra-violentes.

Il faut se faire à cette nouvelle réalité. Dans ses villes, comme dans ses campagnes, la France sombre, jour après jour, dans une criminalité plus diffuse, plus violente, davantage enracinée. Les gens ont appris à vivre avec et s’adaptent, ils baissent la tête, évitent de croiser le regard de certains, prennent de moins en moins les transports en commun, ne répondent pas quand ils sont interpellés dans la rue.

En 2021, 5,5 millions de personnes, soit 10 % des plus de 14 ans, déclarent renoncer à sortir de chez elles pour des raisons de sécurité.

Les poudrés d’en-haut ne voient pas tout cela ou en rient, la main sur la bouche, cependant gare : la soif de justice grandit dans le pays.

Christophe Sévérac

https://www.lefigaro.fr/vox/societe/la-delinquance-de-masse-dans-les-campagnes-fait-basculer-la-france-dans-une-nouvelle-insecurite-20210118

https://mobile.interieur.gouv.fr/Media/SSMSI/Files/CVS21_Donnees

https://www.ouest-france.fr/faits-divers/violences/les-chiffres-de-la-delinquance-en-nette-augmentation-depuis-2020-acd5ddd2-f044-11eb-9dfd-b6d2c08f691c#:~:text=Plus%20de%20350%20000%20agressions,de%20tous%20types%20par%20jour%20!




La France comparée à la Corée du Sud, pays d’exception

Les seules véritables richesses d’un pays sont les hommes et les femmes qui l’habitent. Certains pays qui sont partis de très bas ont connu une progression fulgurante et d’autres un effondrement dramatique. Ce qui fait la différence, ce sont tout d’abord les valeurs qui structurent en profondeur une société, un peuple.

En 1961, la Corée du Sud apparaissait comme l’un des pays les plus pauvres du monde, avec un niveau de vie inférieur à celui du Kenya et proche de celui de l’Éthiopie. Ce pays a subi beaucoup d’épreuves, l’occupation japonaise jusqu’en 1945, puis la guerre de Corée en 1950. Les dommages furent extrêmement élevés en terme de pertes humaines et plus de 50 % du potentiel industriel fut détruit.

Néanmoins l’économie coréenne a surmonté tous les défis. Les résultats économiques sont spectaculaires : une croissance moyenne du PIB de 7 % depuis les années 70, un chômage quasi inexistant, la création de grands groupes très puissants (SamsungHyundaiLG et SK), une industrie très performante et diversifiée, une balance commerciale largement excédentaire avec un solde positif qui la place derrière la Chine, l’Allemagne, le Japon et les Pays-Bas, et à peu près à hauteur de la Suisse et de la Suède, autres grands pays exportateurs.

Un indicateur frappant est celui de la dette par habitant, en 2019 il s’élevait à 12 000 € pour un Coréen contre             42 000 € pour un Français !!

En termes de qualité de la vie, selon The Economist, la Corée du Sud se situait, en 2012, au dix-neuvième rang mondial derrière la Suisse mais devant la France. En 2012 toujours, pour la première fois, le pays est devenu exportateur net de produits culturels.  Cette même année, la Corée du Sud se situait au quatrième rang mondial des champions de l’innovation. Au classement Pisa (qui mesure le niveau des élèves), la Corée du Sud se classe 7e et la France 26e.

A contrario la France s’enfonce, son déficit explose, sa balance commerciale est largement déficitaire, sa dette est abyssale, le tissu industriel est fragile et ancien, peu de moyennes et grandes entreprises, le niveau des élèves régresse.

Quelles sont les causes de telles différences ?

Les Sud-Coréens sont un peuple très patriote, ils n’ont pas honte d’exprimer leur fierté et leur amour pour leur pays.   « notre pays » (우리나라). La Corée du Sud a une identité forte, son peuple a une grande unité culturelle. Les immigrants représentent 12 % de la population en France contre 2,25 en Corée du Sud, en majorité des Chinois, avec qui ils ont un socle culturel commun.

Le système de valeurs de ce pays est influencé par deux courants très puissants : le christianisme est aujourd’hui la première religion de Corée du Sud, devant le bouddhisme. De nombreux dirigeants de Corée du Sud, depuis 1945, sont chrétiens dont le catholique Kim Dae-jung (1998-2003) et le presbytérien Lee Myung-bak (2008-2013). Le dynamisme du christianisme est aussi visible par le grand nombre de missionnaires (10 000), essentiellement protestants, partis prêcher à l’étranger. La Corée du Sud est ainsi le second pays missionnaire après les États-Unis. La communauté protestante est sur-représentée au niveau politique, la proportion d’élus au Parlement se réclamant de cette confession oscillant entre 31 % et 41 % au cours des années 2000 et 2010.

Les valeurs transmises par le protestantisme sont la liberté individuelle et son corollaire, le sens des responsabilités, ainsi que la dignité de la personne. En France, quand les protestants (huguenots), ont dû fuir la persécution sous Louis XIV, ils se sont exilés en Suisse, en Hollande et ont développé les industries extrêmement prospères du textile, de l’horlogerie. Le sens du travail est très développé dans ces communautés.

Contrairement à la Chine, son grand voisin, le sens de cette liberté individuelle donne une assise très forte à la démocratie. En 1987, un mouvement de protestation national a eu lieu en Corée du Sud du 10 au 29 juin. L’Église catholique a aussi joué un rôle important à cette occasion. Ces manifestations (1 à 2 millions de personnes dans les rues) ont forcé le gouvernement au pouvoir à organiser des élections et à instituer d’autres réformes démocratiques qui ont conduit à la création de la Sixième République, l’actuel gouvernement de Corée du Sud. En 2016 , des manifestations monstres ont fait tomber la présidente, accusée de corruption.

Des libertés préservées

La gestion de la crise du covid n’a pas donné lieu, en Corée du Sud, à des mesures drastiques de confinement, de discrimination entre les citoyens, de passe vaccinal ou sanitaire. La mortalité y a été bien inférieure à ce qu’elle a été en France. La démocratie et les libertés ont été préservées.

La Corée du Sud se démarque également sur le dossier Russie/Ukraine en refusant de se joindre à toute action militaire en Ukraine, contrairement là-aussi, aux pays européens qui s’engagent activement en y envoyant des armes létales. Cette indépendance de la Corée du Sud lui assure un poids diplomatique, alors que celui de la France ne cesse de se réduire.

Un exemple pour l’avenir de la France ?

Aujourd’hui la Corée du Sud est un pays très puissant, qui a de bons résultats économiques, une qualité de vie enviable. Il est bien évidemment confronté à des défis qui lui sont propres (taux de natalité, consumérisme, moral des jeunes…)  Mais ce pays prouve que des valeurs communes et une identité forte sont le socle d’une nation et permettent de relever tous les défis.

À cet égard la France est un pays fragile et divisé, coupé de ses racines et de son histoire. L’immigration de masse a fortement fracturé son identité et affecté ses fondements. Ses dirigeants ne sont plus mus par une vision spirituelle, ils manquent de patriotisme et de courage.

La France, à moins qu’elle ne disparaisse (ce qui est possible), traversera de grandes épreuves pour que son peuple lève les yeux et retrouve son identité.

Christophe Sévérac

 




Chouette Macron est élu, la France a évité le fascisme!

Ce dimanche, en famille nous avons attendu l’apparition de notre cher président. C’était sûr que ça allait être lui, n’empêche que quand son visage lumineux est apparu, ma femme a poussé un petit cri de joie et moi j’étais sacrément soulagé. Tout allait continuer comme avant. Grâce à Macron on était en sécurité. Poutine n’a qu’à bien se tenir, le virus aussi il va prendre cher. Bon j’étais quand même un peu déçu, l’ambiance était pas au top, pas comme en 81 quand mes parents avaient voté Mitterrand, là c’était quelque chose, hein. Nous on a trinqué au Champony. On a couché nos enfants, grâce à Macron mes petits, on pourra continuer à vous piquer. Il n’y aura plus de resquilleurs qui mettent en danger tout le monde, là ça sera pas de la rigolade. Ce collègue qui me saoule avec ses fakes et bien, j’espère qu’il y aura des lois contre. Maintenant, on a une chance, pourvu qu’on s’y mette tous, de freiner le réchauffement climatique. Nous on ne se sert plus du grille-pain et les enfants font leurs devoirs à la bougie. Et heu, pour les toilettes, on attend que tout le monde ait fait ses besoins pour tirer la chasse, on économise ainsi 10 l par jour. C’est sûr, c’est dommage que le gouvernement ne puisse rien contre les pesticides.
Mais fini les vieux diesels, on sera moins nombreux sur les routes.

On a évité à la France de devenir fasciste et ça j’en suis fier, j’ai l’impression que quand j’ai mis le bulletin dans l’urne, tous les immigrés me disaient merci. Dehors les fachos, de toute façon, c’est pas normal déjà qu’il y ait autant d’extrême droite. Il y a tellement de méchanceté… Surtout on apprendra à nos enfants la tolérance, que toutes les religions sont pareilles et que tout le monde, les blancs, les noirs, les jaunes, les bleus… Non ça c’est les Schtroumpfs, les autres quoi, et bien on est tous sur la terre et qu’on n’en a qu’une et qu’on est tous copains, surtout avec les ukrainiens. c’est sûr que Macron il est chouette, ma femme me dit qu’il a de beaux yeux…En même temps, des fois quand il me regarde fixement, il me fait un peu peur, dès fois je me retourne pour voir si…mais c’est normal quand on est président, de faire un peu peur…non ? Bon je suis content, on a regardé la suite du journal de 20h et puis le film et on est allé se coucher. C’est bizarre je me sens un peu triste aussi, ça doit être le champony, il était éventé, ah ça c’est sûr, c’est plus ce que c’était.

Christophe Sévérac




Au secours ! Y a-t-il un pilote dans l’avion ?

Le bleu/jaune est à la mode, sur les pages Facebook, au coin des écrans télé, sur les façades des mairies. C’est beau à voir toutes ces nobles âmes prêtes à prendre les armes contre ces salauds de Ruskofs. Sauf qu’on n’a pas vu tous ces ardents défenseurs de la démocratie se battre pour les libertés en France… à croire que les LBD font plus peur que les kalachnikovs.

Et nos hommes politiques de gonfler le torse tel  Bruno Le Maire qui déclare la guerre économique à la Russie sur un ton martial à faire trembler l’ours au fond de son isba. La mise en garde de l’ex-président russe Medvedev « Faites attention à votre discours, Messieurs ! Et n’oubliez pas que les guerres économiques dans l’histoire de l’humanité se sont souvent transformées en guerres réelles. » l’a passablement calmé puisqu’il a tenté un rétropédalage assez calamiteux. « Heu non pardon, si j’avais su, j’aurais pas dit ça… ». Le même Bruno Le Maire qui demande à toutes les entreprises françaises de quitter la Russie… Là ça devient inquiétant, puisque tel le célèbre gardien de foot qui marque contre son camp, le gouvernement est prêt à couler l’économie de la France pour embêter Poutine.

https://sports.orange.fr/videos/insolite/-le-but-contre-son-camp-le-plus-ridicule-de-l-histoire-CNT0000018Fngr.html

La France est le premier employeur privé de la Russie avec près de 160 000 salariés. Près de 500 entreprises françaises opèrent dans le pays de Vladimir Poutine, dont 35 entreprises du CAC 40. La Russie représente par exemple le deuxième marché en volumes du Losange, avec environ 500 000 véhicules vendus en 2021. Du coup, grâce à notre cher Président, Renault dévisse sur les places boursières.

Alors quand le ministre supplie les entreprises françaises d’arrêter de commercer avec la vilaine Russie, Total énergie, très poliment l’envoie promener sur les roses.

Les répercussions sur l’économie  françaises des mesures anti-russes  seront catastrophiques, inflation des prix de l’alimentaire, de l’énergie, raréfaction de certaines matières premières, faillite d’entreprises.

Je voulais acheter du carrelage, rupture des stocks, les fours sont à l’arrêt à cause du prix du gaz…

Et si encore le peuple français était résilient, travailleur et patriote comme au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, s’il ne dépendait pas des aides sociales, s’il était uni et sûr de son identité, si la jeunesse se portait bien…

Si encore l’État était fort avec une police et une justice efficaces, s’il avait des finances saines, s’il n’était pas endetté jusqu’au cou, si les institutions étaient fiables…

La réalité c’est que jamais le peuple français n’a été autant désuni, vulnérable et faible. Jamais la France n’a été aussi proche de la faillite, la justice dans un tel état de déliquescence, les institutions autant corrompues. Macron pérore et pavane alors qu’il se fait bouter hors du Mali et que son pays  est dans un état lamentable. Plutôt que de s’occuper de l’Ukraine, il ferait mieux de s’occuper de la France.

Christophe Sévérac




Avalanche de coke en France

Une belle épaisseur de poudre blanche recouvre notre pays. Je ne parle pas de neige mais de cocaïne et autres poudres illicites. Elle s’est immiscée dans les foyers partout en France, en ville comme à la campagne. Des petites villes et villages jusqu’alors épargnés sont devenus de vrais centres de distribution.

Je vous invite à lire cet article qui fait un constat alarmant sur la situation en France. Il est écrit par Jean-Baptiste Noé, docteur en histoire économique.

https://institutdeslibertes.org/coke-en-stock/

Ce fléau détruit des familles, brise les relations. Les personnes devenues dépendantes sont prises au piège et les dégâts sur elles-mêmes et leur entourage sont considérables. Le temps nécessaire au sevrage psychique et à l’abandon des habitudes se comptera en années, avec des rechutes fréquentes. Des années de souffrance, des années perdues, un poids immense pour la société, une charge pour les familles.

L’État est totalement défaillant en la question, la juridiction bien trop faible et inadaptée à cette criminalité protéïforme. C’est une guerre que nous sommes en train de perdre. Les pays qui ont cédé comme le Mexique sont aux mains des cartels de la drogue. La criminalité y est galopante et la vie, un enfer.

Les enfants sont les cibles privilégiées de ces vendeurs de mort, ils cherchent à les accrocher dès le collège. En terminale, 8 % consomment régulièrement du cannabis. 42 % l’ont expérimenté soit 1 jeune sur 2 ! Ces chiffres feraient rêver n’importe quel commercial ! Le cannabis n’est en rien une drogue douce, les conséquence sur le cerveau sont une baisse importante et irréversible des performances intellectuelles ainsi que des risques importants de développer une maladie mentale incurable (schizophrénie…). J’ai un ami qui, lorsqu’il avait environ 25 ans, suite à quelques soirées festives avec consommation de cannabis, a déclenché une psychose délirante avec hallucinations. Il ne s’en est jamais remis, hospitalisations en secteur psychiatrique à répétitions, traitement médicamenteux très lourd. Il a aujourd’hui 50 ans et vit avec sa mère et la question se pose de son avenir quand elle ne sera plus là pour s’occuper de lui.

Depuis quelques années, on assiste en France à une forte augmentation de la consommation de cocaïne. Elle se consomme principalement sous forme de poudre généralement sniffée et plus rarement fumée ou injectée. Elle se consomme également sous forme de crack, chauffé pour être inhalé, on parle alors de « fumer le crack ». 2,8 % des jeunes de 17 ans et 5,6 % des adultes (4 fois plus en 20 ans) avaient déjà expérimenté la cocaïne en 2017. La drogue qui arrive en France est de plus en plus pure. 64 % c’est le taux moyen de pureté de la cocaïne en 2020 (contre 46 % en 2011).

Cette évolution s’accompagne d’une progression des cas d’intoxication aiguë en lien avec sa consommation. La cocaïne est produite quasi-exclusivement dans trois pays d’Amérique latine : la Colombie, le Pérou et la Bolivie. Les niveaux de production ont connu une croissance sans précédent depuis cinq ans.

Que faire face à cette avalanche d’horreurs, de vies détruites ?

Il est bien plus facile d’éviter qu’un jeune tombe là-dedans que de l’en sortir. Faites de la prévention auprès des plus jeunes, ne cessez d’alerter, d’informer. Les collèges en France sont devenus des zones de non-droit, on y trouve le pire. Veillez sur vos enfants. Ne vous y trompez pas : « les mauvaises fréquentations corrompent les bonnes mœurs ». Le laxisme des parents à ce sujet est affligeant. L’état de délabrement des institutions, école, police est tel qu’il faut absolument que les citoyens se lèvent et se réveillent pour leurs enfants.

Une guerre a lieu en ce moment même sur tout le territoire français. Les jeunes Français sont les plus gros consommateurs d’Europe. Dans cette guerre, la prochaine victime sera peut être votre fils ou votre fille, vos petits-enfants. Alors engagez-vous dès maintenant ! Exigez une politique beaucoup plus répressive, l’expulsion des trafiquants étrangers, des peines plus lourdes. Veillez à la sécurité au sein de l’établissement scolaire de votre enfant, n’hésitez pas à demander des comptes aux adultes responsables. Si vous habitez dans un quartier déjà gangrené, unissez-vous avec les voisins pour être plus forts. Alertez les médias, faites quelque chose ! Si vous le pouvez, fuyez ces quartiers, installez-vous à la campagne, il y a de la place.

Pour les chrétiens, en plus de tout cela, mettez-vous à genoux et pleurez pour tous ces jeunes qui tombent. Priez pour ce pays, pour que des hommes et des femmes, courageux et honnêtes, se lèvent partout en France et s’engagent. Les jeunes ont besoin de modèles, de repères, soyez-en un ! Il n’y a pas de victoires sans combats.

Christophe Sévérac