Je ne pleurerai pas sur le sort des professeurs de gauche…

Cher Jean-Pierre,

J’apprends avec une infinie tristesse l’assassinat sordide d’un de tes collègues par un de ceux que tu as passé une longue carrière militante (au sein de diverses associations) et professionnelle (en tant que professeur), à défendre.

Alors cette fois-ci tu es touché dans ton corps, enfin dans ton esprit de corps, par l’ignominie que tu tentes d’imposer en France depuis 30 années que nous te payons à enseigner nos enfants.

Oh ! je ne doute pas que tu ne mettras pas longtemps à te reprendre et à militer à nouveau de toutes les forces de tes petits poings anémiés de pseudo-intellectuel trotskiste pour les sans-papiers, l’immigration légale ou illégale, l’indigénisme, la repentance et toutes ces causes qui te donnent depuis tes 15 ans l’impression de marcher sur la route du Bien.

Il faut dire que tu as des excuses. Fils d’un ouvrier communiste déserteur et porteur de valises du FLN pendant la guerre d’Algérie et d’une brûleuse de soutien-gorge fémino-soixante-huitarde tendance Gisèle Halimi, tu as été élevé au biberon de la trahison, de la capitulation devant l’ennemi et de la haine des tiens et de ton pays. Bien sûr, si la nature t’avait pourvu d’une queue aussi longue que tes cheveux, tu aurais pu te révolter contre la triste saga familiale, mais force est de constater que tu manquas autant de couilles que de jugeotte.

Et puis avouons-le, ton époque était douce aux gauchistes et pour glander doctement à l’Éducation nationale, il était de bon ton d’être d’une gauche qui se voulait humaniste, quitte à oublier que les Européens blancs catholiques sont aussi des humains. Je ne prétendrais pas que tes longues années de représentant syndical ainsi que ton engagement au Grand Orient de France sont l’explication à la jolie ascension que tu fis au sein de ton administration malgré tes congés maladie incessants et les piètres résultats de tes élèves, mais ça n’a pas dû vraiment nuire. D’ailleurs tu sacrifias même ta grande modestie en acceptant de recevoir les Palmes académiques des mains d’un ancien Grand Maître qui se trouvait être aussi… inspecteur académique ! Mon Dieu que le monde est bien fait pour les hommes de bonne volonté !

Tu peux aussi être fier de ta descendance ! Ton fils Mehdi (il paraît que sa maman bonne Française de gauche comme toi, était fan de Belle et Sébastien) est aujourd’hui une figure du milieu antifa avec lequel il pourchasse la vermine nazie ou plus exactement ce qu’il a décidé de définir comme telle, de sa hargne. Bien sûr, il le fait bien à l’abri du site La Horde où il mène une guerre sans dangers derrière le doux anonymat des pseudos et des VPN. Au moins a-t-il l’intelligence, contrairement à Clément Merrick, de ne pas croire qu’un pseudo-intellectuel bourgeois et poitrinaire peut longtemps se confronter à un prolétaire faf et boxeur sans quelques désagréments… Je n’aurais pas la cruauté de parler de ta fille sauf pour reconnaître qu’elle a les épaules plus larges que celles de son frère et couche avec plus de nanas !

Bref mon cher Jean-Pierre, tu es un cas d’école et si tu n’existais pas, il faudrait presque t’inventer ! Non, je déconne, en fait on se serait très bien passé de toi…

Mais revenons à nos moutons, halals bien entendu puisque nous parlons d’égorgement, et à la raison de cette petite bafouille que je t’écris entre deux tranches de rillettes, cornichons or not cornichons that is the question.

Comme ton ami Coquerel de la LFI tu t’es aujourd’hui fendu d’un long texte d’indignation contre « cet acte barbare » et si tu t’en prends au « fanatisme religieux », pas une seule fois tu n’emploies les mots “islam” ou “musulman”. Voilà, tout comme Arnaud Beltrame a été victime de son « héroïsme », ton collègue a été victime du « fanatisme religieux ». Pour peu on se demanderait s’il n’a pas été assassiné par un commando de prêtres en soutane de la Fraternité Saint Pie X !

C’est étonnant comme tu as du mal à prononcer certains mots aujourd’hui alors qu’il y a 30 ans que tu les sers à toutes les sauces à tes élèves en leur expliquant la paix, l’amour et la tolérance de cette religion bénie d’Allah…

Vois-tu mon cher Jean-Pierre, tu travailles, sans doute fort naïvement (du moins je préfère le croire), depuis toujours à l’avènement de ce qui se produit de plus en plus régulièrement en France aujourd’hui. Tu étais si heureux d’afficher la main « Touche pas à mon pote » sur ta veste de treillis prétendûment cubaine alors qu’elle n’était qu’américaine, tu aimais tant enseigner à des petits Blancs, dans des classes de plus en plus grises, que la colonisation était la plus grande honte de la France dont ils devaient impérativement se repentir, tu manifestas avec tant d’ardeur en criant “Free Palestine”, tu expliquas à tant de gens sans doute moins cultivés que toi qu’ils ne comprenaient rien au sens de l’histoire ni à la politique et qu’en votant Le Pen ils ne valaient guère mieux que le dernier gardien de Dachau ou Treblinka, tu fis tellement la promotion des pauvres migrants réfugiés de guerres inexistantes, tu endoctrinas tellement notre jeunesse qu’aujourd’hui il va bien falloir que tu avales la soupière de merde que tu fais mijoter depuis tes 16 ans de révolutionnaire boutonneux. Trotskiste à 20 ans, socialiste à 30,  syndicaliste à 40, tu as parfaitement réussi ton parcours.

Il te reste néanmoins un regret, « ne pas avoir eu l’élégance d’être nègre » comme le chantait Jacques Brel.

Alors non, Jean-Pierre, je ne pleurerai pas avec toi sur « les profs », du moins sur ceux très majoritaires dans ce pays qui nous trahissent depuis si longtemps.

S’il me restait des larmes – mais je les ai déjà toutes versées sur l’état de la France que toi et tes amis nous avez construite – je pleurerais bien volontiers sur la dépouille de Samuel Paty ton collègue.

Mais des larmes, je n’en ai plus que de rage et les temps ne sont plus aux chandelles, aux fleurs et aux marches blanches. Et si tu me demandes ce que je veux, comme l’enfant grec de Victor Hugo, je te répondrai juste « Je veux de la poudre et des balles ».

Enfin, mon cher Jean-Pierre, il me reste un dernier conseil à te donner. Réfléchis vite à ce que tu écriras de ton doigt ensanglanté sur le bitume après avoir été égorgé par ceux que tu aimes tant. Pense à des paroles fortes… « Ils n’auront pas ma haine », « C’est pas ça l’islam » ou « Pas d’amalgame » seraient de bon ton !

François Galvaire




Soyons nous aussi des enfants de Jean Raspail

Alors que l’immense Jean Raspail nous a quittés, le journal (L’im)Monde publie en titre, avec la malhonnêteté qu’on lui connaît, “La famille nationaliste pleure la mort de Jean Raspail, prophète du « Grand Remplacement” ! Comme si l’œuvre de ce conteur hors-pair se limitait à quelques thèmes “nauséabonds” destinés à séduire une “esstrème drouate” qu’on fantasme rancie dans le racisme et la haine de l’autre…

Le procédé est d’autant plus malhonnête que peu d’écrivains français se sont autant passionnés pour “l’alter” que Jean Raspail. Voyageur impénitent, ethnologue, explorateur, il a consacré la plus grande partie de sa vie, de sa science et de son œuvre sur les traces de civilisations et de races (qui bien entendu n’existent pas…) disparues ou en voie d’extinction.

Certains de ses ouvrages les plus marquants, mais sans doute inconnus de l’auteur inculte du Monde, comme Bleu Caraïbes et Citrons Verts, Secouons le Cocotier, Pêcheur de Lune ou Qui se souvient des Hommes ? sont entièrement dédiés aux Indiens Caraïbes, aux Alakalufs, aux Indiens d’Amérique du Nord et du Canada et à bien d’autres…

Peu d’écrivains auront autant que Jean Raspail aimé l’homme et cherché à le comprendre, de quelque couleur ou civilisation qu’il soit !

Mais, et c’est bien là que le bât blesse pour les “bien-pensants” auto-proclamés de “l’axe du Bien”, il savait que les civilisations et les cultures sont par essence concurrentes et que leur mélange aboutit forcément à la destruction des plus faibles ou des moins combatives.

Une image qui l’a profondément marqué est récurrente dans l’œuvre de Jean Raspail et se retrouve dans de nombreux romans. C’est celle d’une frêle embarcation d’Alakalufs quasi nus, approchant un navire chilien pour y recevoir l’aumône de quelques denrées alimentaires avant de replonger vers la nuit australe et glacée. La survie d’une civilisation qui ne peut plus combattre est dans la fuite et le repli sur soi.

Et c’est bien à ça que Jean Raspail a voulu nous faire réfléchir dans d’autres romans comme “Septentrion” ou “Sept cavaliers quittèrent la ville au crépuscule par la porte de l’Ouest qui n’était plus gardée”… l’exil est le corollaire de la défaite… Vae victis !

En sonnant l’alarme dans son roman “Le Camp des Saints”, Jean Raspail ne prêche aucune haine de l’autre, il se montre même finalement assez compréhensif pour les mécanismes qui poussent le Sud à envahir le Nord. Seulement il nous met en garde contre notre mollesse et notre prétendu amour du genre humain qui n’est que mépris de soi-même et lâcheté. Celui qui n’est pas capable de défendre son empire est juste appelé à en être chassé un jour par les plus combatifs, les plus affamés ou les plus nombreux.

Malgré son catholicisme revendiqué, Jean Raspail est aussi très proche des idées paganistes qui nous renvoient à “l’Ordre naturel” et aux préceptes de David Lane. Il est dans la nature du lion de dévorer la gazelle et dans celle de la gazelle de tenter de s’enfuir pour sauver sa vie. Finalement il appartient à chacun de choisir le destin du lion ou celui de la gazelle et d’être prêt à en payer le prix.

Mais malgré la défaite annoncée, Jean Raspail garde espoir. Dans “Sire”, “L’Anneau du Pêcheur”, “Le Jeu du roi”, “Les Pikkendorf” ou “Moi, Antoine de Tounens, roi de Patagonie”, il nous rappelle que les enfants, les poètes et les rêveurs portent en eux la solution car même si le Royaume est détruit, ils portent le Royaume en eux, car il est tout autant spirituel que matériel. Et ce qui vit en eux peut être reconstruit pourvu qu’ils gardent la foi malgré les sarcasmes et les moqueries des faibles, des tièdes et des imbéciles.

À Danton qui disait “On n’emporte pas la terre de sa patrie sur les semelles de nos souliers”, Jean Raspail répond que le Royaume vit dans nos cœurs et dans nos âmes.

Soyons nous aussi des “enfants” de Jean Raspail et portons le Royaume en nous ! S’il venait à disparaître, nous le reconstruirions.

François Galvaire




Abdallah Zekri estime que Mila aura cherché ce qui pourrait lui arriver…

Abdallah Zekri, secrétaire général du CFCM

Je ne voulais pas parler du cas « Mila » comme dit le prince Charles… Camilla, OK je sors !
Mais j’ai lu tellement de choses sur les réseaux qui m’ont fait bondir que je ne peux m’empêcher de le faire.
Ce qui est bien avec cet article, c’est qu’elle va me brouiller avec la frange la plus méprisable des musulmans, mais ça c’est déjà fait depuis longtemps, mais aussi avec une partie de ma famille politique.
Commençons par les débiles qui, pour nous prouver que l’islam est une religion de paix, d’amour et de tolérance, ont par dizaines de milliers pourri la pauvre gamine en la menaçant des pires sévices allant du viol à la lapidation en passant par toutes les tortures possibles.
Le propos était simple « Wallah comme tu ne m’aimes pas je vais te violer et t’égorger sale chienne française »… Vu comme ça, c’est vrai que ça pousse à l’amour ou à la remigration à la nage vers le bled… Chacun choisira en fonction de son niveau de soumission !
Mais bon, rien d’étonnant à tout ça, il y a malheureusement longtemps que nous sommes habitués à ces braiments d’ânes qui se prennent pour des lions ! Ce qui est malheureux, c’est que nous ayons accepté de nous y habituer, et nous en sommes tous un peu fautifs.
J’avoue que dans ma grande naïveté, je me disais qu’il allait bien y avoir au moins quelques leaders musulmans pour oser calmer le jeu en remettant l’insulte dans le contexte d’une gamine de 16 ans manifestement pas très maligne. Mais non, ni par humanité ni par simple taqîya, aucun chef religieux ou politique n’a osé calmer ses troupes. J’attendais au moins Tarek Obrou, « Frère taqîya », Mohamed Moussaoui président du CFCM qui prétend « promouvoir un islam authentique à même de préserver la jeunesse française des propagandes extrémistes » ou pourquoi pas un des chantres touchepasàmonpotistes comme Harlem Désir.
Mais non, aucun d’entre eux ni aucun autre n’est venu défendre la « chienne française » coupable de ce délit de blasphème qui n’existe pas dans la loi française mais bien dans la charia. Du coup, on aura bien compris à quelle loi ils préfèrent se soumettre et surtout soumettre les Français !
D’ailleurs, non seulement aucun leader musulman n’a défendu Mila mais Abdallah Zekri, délégué général du CFCM, ne s’est pas gêné pour déclarer qu’elle avait bien cherché ce qui lui arrivait… Bref, Ponce Pilate à la mode merguez s’en lave les mains ! Tout comme nombre de musulmans parmi les plus « modérés » admettent que les attentats de Charlie, de Nice ou du Bataclan, c’est pas gentil mais qu’il ne fallait pas attaquer le Prophète ou la Libye… Ils ne sont pas d’accord avec le terrorisme mais un peu quand même ! Il eût fallu que les victimes ne soient qu’un peu tuées ou un peu écrabouillées et tout aurait été dans le meilleur des mondes d’Allah !
Mais bon, n’oublions pas l’essentiel, les vrais monstres sont Zemmour ou Zineb qui osent ne pas montrer un enthousiasme forcené devant la paix et l’amour qui nous sont promis et régulièrement servis à la pointe du couteau façon kebab !
Mais comme je vous le disais plus haut, je ne vois rien de très étonnant dans tout ça, il y a déjà longtemps qu’on nous joue cette pièce de merde !
Par contre j’ai été plus que choqué, en fait j’ai été peiné, par les réactions d’une partie de la sphère patriote. Voilà que sous prétexte que Mila se déclare « lesbienne » (à 16 ans, laissez-moi sourire) et qu’elle serait de gauche, un certain nombre de « facho-natio-patriotes » n’hésitent pas à dire comme le muzz de base que c’est bien fait pour sa gueule et qu’il est hors de question de la défendre !
Mais quelle honte ! Comment un Français qui revendique ses origines, sa race, sa religion, sa nation peut-il laisser tomber un ou une autre Français(e) aux mains des barbares sous prétexte qu’il ne partage pas ses orientations sexuelles ou politiques ? Comment peut-on trahir les siens à ce point ?
Comment peut-on confondre le combat légitime contre les lobbys LGBT qui tentent de détruire nos valeurs et la haine contre la supposée homosexualité d’une gamine de 16 ans ?
Ainsi parce que Mila a les cheveux bleus elle devient l’ennemi à abattre ? Ainsi parce qu’elle ose affirmer préférer pour l’instant (n’oublions pas ses 16 ans) les filles aux garçons, elle mériterait notre mépris et notre haine ?
Certains me répondront « Oui mais en plus, elle a fait un post où elle dit détester les fachos »… D’abord tout semble permettre de croire que ce post émane d’un faux compte destiné à lui faire encore plus d’ennemis, mais même si elle a vraiment écrit, ça je m’en cogne complètement. Je n’ai pas besoin de l’amour ou de l’amitié de Mila pour la défendre. Elle pourrait même me cracher à la gueule que je la défendrais encore ! Lesbienne, gauchiste, végétarienne ou pastafariste, je m’en cogne ! Mila est une jeune Française qui a osé pousser un cri de colère (assez bête en effet, mais ça reste le cri d’une enfant) contre des gens qui lui font peur et par qui elle se sent opprimée. Et leur réaction a en effet montré à quel point elle a raison d’avoir peur et d’être en colère !
En tant qu’adulte, en tant que papa, en tant que daron, je me sens responsable et solidaire de chaque enfant français qui crie « j’ai peur et j’ai mal » et même s’il me déteste, je veux être à ses côtés ! Mais peut-être pour ressentir cela faut-il avoir déjà été un vrai papa ou un vrai tonton, peut-être faut-il avoir tenu dans ses bras un petit être fragile en se disant « Quoi que tu fasses dans la vie je serai là pour te protéger. Peut-être que je te botterai le cul, peut-être que tu me détesteras, mais quoi qu’il arrive, j’irai te chercher au fin fond de l’enfer où tu te seras mis ».
Il me semble que beaucoup de soi-disant « fachos » devraient passer un peu moins de temps sur internet et un peu plus dans le lit de leur femme pour faire des enfants et pour comprendre ce qu’est l’amour inconditionnel des siens ! Ils s’en porteraient mieux et la nation aussi !
François Galvaire




Joyeux Noël halal, les p’tits cons !

La vie d’ma mère, c’est la faute à Momo toutes ces conneries ! Mais qu’est-ce qui lui a pris, à ce bâtard, d’écrire la lettre au Père Noël à la place de son petit frère Farid ? Le môme, il voulait une Nintendo, un Ipod et puis une mini moto… pourquoi pas le cul à Fatou pendant qu’il y était ? Mais Momo, qu’était un peu jobard, il a piqué la lettre de son frangin et il l’a remplacée par la sienne ; il a demandé une kalach, des flingues, quelques grenades pour « niker la rasse d’ses putins d’enculer d’la BAC » et puis à la place du dessin du môme, il a glissé une photo de gonzesse à oilpé…

Quand il nous a raconté ça, le Momo, on a tous bien rigolé sauf Moustapha qu’a gueulé que le Père Noël c’était pas halal et que les bons muslims y devaient pas croire à ces conneries pour culs-blancs. Mais Moustapha, depuis qu’il a découvert la religion, il supporte plus rien, faut toujours qu’il nous fasse la leçon, celui-là ! Même niquer les gonzesses des roumis c’est haram y paraît… Le pauvre, s’il savait que sa frangine Nassima, son voile ça l’empêche pas de se faire prendre le cul pour 20 € ! Celui qui l’épousera, celle-là, il pourra être bien fier du drap taché de sang, mais s’il croit qu’il est le premier à enfiler sa nana, c’est lui qui l’aura dans le cul bien profond !

Bon, on avait un peu oublié l’histoire quand le 24 décembre on était une dizaine, tranquilles, dans la Cité. On fumait un peu le bedo avant de prendre le RER pour aller zoner vers Gare du Nord, quand y’a une espèce de camionnette toute pourrave qui s’arrête en face de nous. Cette caisse, on la connaissait pas, alors chacun la mate en se demandant ce que c’était que ce connard qu’arrivait chez nous en pays conquis, même qu’il s’était arrêté en plein milieu de l’allée comme y’a que les grands frères ou les mères avec leurs courses qu’ont le droit de le faire. Comme on avait le soleil dans les yeux on voyait pas le conducteur, et le mec sortait pas de sa putain de tire. On a balancé deux ou trois caillasses histoire qu’il vire son cul de chez nous, mais ça a pas eu l’air de gêner le chauffeur. Pis tranquillement il est descendu… Et je te jure que quand on l’a vu, ça nous a séchés ! Un putain de Père Noël, avec la barbe blanche, la djellaba rouge et tout l’attirail ! On l’a tous regardé comme des glands, on savait pas trop quoi dire… Il s’est amené vers nous, relax le mec, en chantonnant je sais pas quoi… une histoire de belle dans la jungle je crois, enfin un truc à la con qu’on pigeait pas. Tout d’un coup y’a Moustapha qu’a piqué sa crise en gueulant qu’on voulait pas de saloperies de trucs de mécréants ici, et puis il lui a dit d’ôter sa robe de tapette… Il avait pas fini son petit discours que le vieux lui avait envoyé une mandale dans la gueule… Putain d’sa mère j’ai jamais vu un mec foutre une baffe comme ça ! Une vraie fusée la beigne, personne l’a vue partir mais bordel tout le monde l’a entendue arriver… J’ai cru que la tronche à Moustapha elle allait s’envoler ! Je te jure ses pieds ont décollé du sol et il s’est retrouvé allongé par terre complètement KO… Et Mous, quand il est pas à la mosquée, il est à la salle de boxe… Au moins trois heures tous les jours il y passe, alors je te jure que des gnons, il est habitué à en prendre et à en distribuer. C’est même pour ça qu’on le laisse nous casser les couilles avec ses histoires de religion parce que c’est un caïd ici, le Mous ! Ben là le caïd, face au vieux il a pas tenu cinq secondes… Ça nous a quand même refroidis, ce truc ! En plus le vieux il se marrait, enfin il rigolait d’une drôle de façon quand même… il a posé sa botte sur la gueule de Mous et il a dit « Oh-Oh, le prochain qui me parle mal je lui arrache les couilles et je fourre le fion d’sa mère avec ». Putain il était pas trop poli pour un Père Noël !

Et puis il s’est approché de nous et il a dit « Oh-Oh alors c’est comme ça qu’on accueille le Père Noël et ses cadeaux, les mômes ? ». Nous on savait pas trop quoi faire, frapper le Père Noël c’est pas habituel quand même, surtout quand il a une si bonne droite ! Alors on le regardait en disant rien. La vérité, je crois, c’est qu’on se chiait tous dessus, il avait l’air complètement jobard le mec… Et puis il a dit « Oh-Oh, c’est pas tout ça les jeunes, mais moi j’ai du taf aujourd’hui, alors j’ai vos cadeaux dans le camion, mais faudrait vous bouger le cul pour les décharger vite fait… j’ai pas que ça à foutre moi ». On s’est tous regardés et y’en a pas un qu’a bougé, alors le vieux il a sorti un calibre énorme de sa manche, un gros 44 comme Clint Eastwood dans « L’inspecteur Harry » et il a dit « Oh-Oh qui c’est qu’en a marre d’avoir des genoux ici ? Je compte jusqu’à 3. 1-2… » Il avait pas fini de dire deux qu’on était tous au cul du bahut ! Il a ouvert les portes arrières de la camionnette et dedans y’avait deux caisses en bois avec des poignées en corde… C’était lourd à décharger ces saloperies. Quand on les a sorties toutes les trois, il nous a dit « Oh-Oh Joyeux Noël les mômes… amusez vous bien ! Au fait j’ai livré les mêmes à vos copains de Sarcelles… Je crois qu’ils ont l’intention de vous rendre une petite visite » et puis il est remonté pénard dans son camion.

Putain ! les mecs de Sarcelles, on était en guerre avec eux depuis huit mois. Ça avait commencé avec une histoire de gonzesse à la con et puis ça avait sacrément dégénéré. On n’osait plus sortir de la Cité qu’en bande et avec du matos sur nous, à chaque fois qu’on se croisait avec eux, ça partait en sucette sévère… Et depuis qu’on avait foutu une sacrée branlée à trois d’entre eux et cramé la BM de Dialo, leur chef, ils nous en voulaient à mort et avaient fait savoir que la prochaine fois, ils tueraient… C’étaient principalement des renois, surtout des Maliens et des Congolais, mais y’avait aussi quelques rebeus et deux ou trois Gaulois avec eux. Chez nous y’avait que des rebeus. Y’avait bien quelques culs-blancs dans la cité mais on n’en voulait pas avec nous, un mec qu’est pas muslim, tu peux pas lui faire confiance !

On a tiré les caisses dans un coin, mais moi je me doutais bien de ce qu’il y avait dedans… Bordel, c’était plein de flingues et de mitraillettes… des AK 47 comme les combattants du Jihad ! On a regardé, tout était chargé à bloc. Y’avait de quoi bien éclater la gueule de ces enculés de Sarcelles, on allait les dépouiller ces bâtards ! On était comme des dingues, on n’avait jamais eu un si beau Noël de notre vie !

Farid, il en revenait pas que sa lettre soit arrivée ! Il a même commencé à dire que tout ça c’était à lui vu que c’était lui qu’avait écrit au Père Noël… Moustapha qu’était sorti du cirage avec la joue toute bleue a essayé de nous raisonner « Arrêtez les mecs, c’est quoi ces embrouilles ? Où vous avez vu que le Père Noël apporte des flingues dans les cités ? Et puis il existe pas, ce bâtard ! » Y’a Nordine qui lui a répondu que pour un mec qu’existait pas, il l’avait quand même sacrément bien amoché… On s’est tous marrés mais Mous a pas du tout trouvé ça drôle et il a mis un coup de tronche direct sur le nez à Nordine.

* *    *

À peine avait-il quitté la Cité que le commandant Massart prévenait à la radio que le colis était bien arrivé. Il ôta sa robe en conduisant, décolla sa barbe et sa radio se mit à crachoter  :

« Soleil à Coursier vous me recevez ? Vous regagnez le QG  fissa. Commanche est en approche de Fort Chabrol. Ils ont sept voitures, quatre gus par caisse minimum… Ils seront sur objectif dans moins de cinq minutes. Magnez-vous ! »

Massart rigolait toujours des codes à la con employés par ses collègues. « Soleil » c’était le responsable de l’opération, en l’occurrence le DGPN (Directeur général de la police nationale), le « Coursier » c’était lui, « Commanche » c’étaient les mecs de Sarcelles et « Fort Chabrol » la Cité où il venait de faire sa livraison. Il en avait vu des coups tordus, Massart, depuis qu’il avait vingt ans. Il avait commencé par passer dix ans au « service action » d’abord du SDECE devenu après la DGSE, et puis après il avait demandé à être muté dans un service de l’intérieur, il en avait marre de cavaler sur tous les coups tordus et souvent foireux de la terre, et quitte à barbouzer, il avait préféré rester en France. C’était pas très habituel comme carrière, en général on quittait pas sa « maison » d’origine, mais comme il avait une gamine malade et qu’on lui devait quand même quelques beaux coups, on s’était arrangé pour le changer de service tout en continuant à utiliser ses compétences… Mais putain, une embrouille comme ça, il aurait jamais imaginé en vivre une dans sa carrière ! Faut dire que les mentalités avaient vite évolué depuis le changement de présidence… On finassait plus ! Le Karcher c’était pas qu’une expression ! Quand même, armer des bandes rivales pour qu’elles se pètent la gueule et pouvoir intervenir en force après, c’était bien foireux comme plan… Il se demandait si les génies qui avaient conçu cette embrouille avaient encore quelques notions de « moralité républicaine »… D’autant que l’objectif c’était bien entendu que toutes les banlieues s’embrasent et qu’apeuré par la violence des événements, le bon peuple moufte pas quand on enverrait tout ce que l’armée et la police avaient comme mecs retaillés pour les actions de guérilla urbaine contre des mômes en pleine révolte. Ça faisait un an qu’on répandait de l’essence partout et aujourd’hui on l’avait envoyé comme on gratte une allumette… Franchement, ça lui plaisait pas trop ce truc là, à l’origine c’était un militaire, les coups de vice, les opérations foireuses, les « terroristes » chatouillés au fer à souder, il voulait bien, mais à l’extérieur bordel, pas contre des mômes français, même si “français” il fallait le dire vite…

Et puis cette histoire de Père Noël, quelle connerie ! Ç’aurait quand même été plus simple de passer par les canaux habituels, de fournir les armes par les mecs infiltrés ou retournés qu’on avait dans la place. Quand il s’en était ouvert à son chef, celui-ci avait répondu « Et la poésie Massart ? Vous en faites quoi de la poésie de Noël ? ». En bientôt 30 ans de carrière, c’était bien la première fois qu’on lui parlait de poésie… y’avait pas à chier, le monde était en train de devenir dingue ! Il était temps qu’il prenne sa retraite…

Le jour de Noël, c’était pas anodin… Depuis des années les mecs de l’est s’étaient fait une spécialité de cramer des caisses pour les fêtes. Et puis à cette période, les mômes avaient pas classe. Donc c’était simple, y’avait d’un côté les gentils qui seraient en famille pour Noël et les méchants qui traîneraient dans la rue… Pas de quartier dans les quartiers ! Et tant pis si les mômes musulmans avaient aucune raison de fêter Noël, ceux qui seraient dans les rues, ce serait les méchants, point barre… Les « plus hautes autorités de l’État » en avaient décidé ainsi et y’avait pas à discuter. En plus, au moment des fêtes, le populo était trop occupé à ripailler pour avoir le temps de s’indigner, beaucoup de syndicalistes et de cadres politiques étaient en vacances avec bobonne, le temps que tout ça réagisse, si on s’y prenait bien, tout devrait être plié en trois jours. Il fallait que la révolte des banlieues explose la nuit de Noël et qu’elle soit définitivement matée au plus tard pour le réveillon… Ils allaient quand même pas nous niquer deux fêtes de suite, ces petits cons ! Pour les voeux de bonne année à la téloche, le Président pourrait apparaître en « mateur de racailles insurgées » tenant bien en main les brides du pouvoir. Le message serait clair !

Et puis on n’avait quand même pas pris trop de risques… Les armes livrées avaient été sabotées, elles tireraient deux ou trois coups et puis ce serait tout, après les percuteurs seraient niqués et les flics pourraient intervenir sans danger contre des mômes qu’auraient des armes inopérantes à la main ! Quand les gamins se seraient étripés entre eux avec les premières bastos, on pourrait tirer les survivants comme à l’entraînement, sans risquer de pertes du côté des forces de l’ordre. Mais bien sûr, on laisserait les caméras filmer les flingues saisis… y’avait aucune chance pour qu’un de ces petits malins de journaleux aille démonter les percuteurs et se rende compte qu’ils étaient défectueux ! Bien sûr, très peu de gens étaient au courant du sabotage, les forces spéciales seraient persuadées d’avoir en face d’eux des mecs armés et prêts à en découdre… Ils feraient les sommations après !

Quand il arriva au QG, Massart entendit dans sa radio « C’est parti… Les Commanches attaquent Fort Chabrol »… En même temps qu’il descendait de sa camionnette, il vit trois hélicoptères porteurs de troupes d’assaut filer en direction de la Cité.

C’était parti… Joyeux Noël les p’tits cons !

François Galvaire




Fête de l’Aïd : un scandale sanitaire près de chez toi

Dimanche 11 août, pour la fête de l’Aïd el-Kébir, environ 200 000 moutons seront égorgés rituellement, dans le silence assourdissant des associations de protection animales, et des végans pourtant si prompts à emmerder les bouchers traditionnels.

En tant que viandard assumé je ne vais pas avoir l’hypocrisie de m’indigner de ce « massacre » programmé et je ne vois pas au nom de quoi je supporterais l’agneau de Pâques ou de Pessah, la dinde de Noël, la poule au pot du dimanche et pas le mouton de l’Aïd !
On peut bien entendu, pour des raisons éthiques, ne pas accepter qu’on abatte des animaux pour les manger, mais en consommant de la viande régulièrement et sans complexe, je ne vois pas au nom de quoi je m’indignerais que les musulmans en fassent autant.
Non ce qui me choque dans cette fête, ce n’est pas tant le « massacre » annoncé que les conditions sanitaires et légales dans lesquelles il va avoir lieu avec une parfaite hypocrisie et même lâcheté des pouvoirs publics.

Et ma colère est bien plus tournée contre l’État qui encore une fois courbe l’échine et veut à tout prix éviter les vagues d’une communauté réputée comme revendicative et turbulente que contre les musulmans qui ont compris depuis longtemps qu’il leur suffit souvent de tousser un peu fort pour que l’État se couche.

Les chiffres sont extrêmement difficiles à trouver tant un couvercle « vertueux » est posé sur les conditions de cette fête. Vous savez comme l’État aime cacher ou travestir les statistiques ethniques ou religieuses quand elles ne correspondent pas à son idéologie. Je ne vous donnerai donc que des approximations obtenues à force de recoupements grâce à l’excellent travail d’Alain de Peretti, le fondateur de Vigilance Halal, qui est sans doute un des meilleurs spécialistes du marché français du halal et sans qui je n’aurais pas pu faire cette vidéo.

Vous savez sans doute que l’abattage d’un animal aux fins de consommation est extrêmement réglementé en France et que même le traditionnel cochon tué par les paysans à la ferme n’est qu’une « tolérance » laissée à la discrétion des mairies et de la gendarmerie qui peut très bien, si elle le désire, décider de verbaliser les contrevenants. En France, seuls les abattoirs homologués sont autorisés à tuer des bêtes destinées à la consommation et les règles vétérinaires et d’hygiène sont devenues tellement strictes depuis une trentaine d’années que beaucoup de petits abattoirs locaux ont dû fermer faute d’avoir les moyens de se mettre aux normes.

Et bien, figurez-vous que ces règlements très stricts – et ceux d’entre vous qui ont travaillé en restauration ou en commerce de bouche savent combien les services vétérinaires sont habituellement intransigeants – deviennent soudainement dérogatoires lors de la fête de l’Aïd ! Sur les 200 000 moutons qui vont être sacrifiés rituellement, à peine 80 000 le seront dans des abattoirs traditionnels et homologués ! Le reste sera soit tué directement à la maison, puisqu’une tradition musulmane veut que ce soit le chef de famille qui sacrifie l’animal, soit dans des « abattoirs » temporaires (c’est-à-dire la plupart du temps un champ, un terrain privé, un parking, un terrain de sport communal) qui auront reçu en dépit de TOUTES les règles d’hygiène habituellement si strictes, l’autorisation préfectorale d’être mis en place.

Les plus cyniques pourraient dire « Bon, ben après tout, les règles d’hygiène, on s’en cogne, s’ils veulent manger de la viande pourrie ça les regarde ! », mais ce serait méconnaître totalement les risques sanitaires que ce genre de pratiques fait courir à tous !
Le sang est un des meilleurs milieux de culture qui existent pour les microbes (on cultive par exemple en laboratoire des souches microbiennes sur ce qu’on appelle de la « gélose au sang ») et les abattoirs sont équipés de système pour le traiter afin d’éviter les risques de contamination. Or dans ces « abattoirs temporaires », le sang des dizaines voire des centaines de bêtes abattues s’écoule librement dans la nature. Avec la chaleur du mois d’août, vous imaginez à quelle vitesse les bactéries et microbes s’y développent à l’air libre ? Et que voit-on dans la nature, en pleine chaleur sur du sang ou des déchets organiques ? Des insectes, des mouches, des moustiques qui se régalent et qui viendront après se poser sur notre nourriture ou nous piquer ! Alors ça ne vous semble toujours pas grave, si un abattoir temporaire est installé dimanche prochain à 100 mètres de votre habitation, de votre cuisine, de la chambre de vos gosses ? Ça ne vous semble pas délirant qu’on passe son temps à vous rappeler les règles de la chaîne du froid pour laisser des insectes gorgés de matières fécales ou de sang frais potentiellement contaminé se promener sur votre steak ou la joue de votre enfant ? Vous n’avez pas l’impression qu’on se fout un peu de votre gueule ? Et n’allez pas m’accuser d’islamophobie, je vous garantis que les microbes sont parfaitement laïques…

Maintenant que nous avons parlé du sang, on peut aussi parler de ce qu’on appelle les « panses vertes » et qui sont les boyaux et tout ce qu’on trouve à l’intérieur de l’animal. Elles nécessitent normalement les mêmes traitements que le sang et les abattoirs paient généralement des équarrisseurs pour les en débarrasser quand ils ne sont pas équipés d’incinérateurs pour les traiter sur place. Néanmoins, vous verrez dimanche, si vous avez la malchance d’habiter à côté d’un abattoir provisoire, que généralement ces panses vertes sont laissées à même le sol, en espérant que les renards et les corneilles feront le ménage…

Revenons-en à l’abattage domestique, c’est-à-dire celui pratiqué par le père de famille dans sa maison ou parfois même son appartement. Il se trouve lui aussi confronté au problème de la peau et des déchets. Alors assez logiquement, afin d’éviter que tous ces déchets se retrouvent jetés clandestinement n’importe où, les mairies comme Lille, Roubaix ou Tourcoing mettent à disposition des bennes en plein soleil chargées de les recueillir. Vous imaginez l’odeur en pleine ville ! Mais poussons le raisonnement un peu plus loin… Si votre chat ou votre chien meurt de sa belle mort et que vous décidez de vous en débarrasser dans une poubelle, savez-vous ce que vous risquez ? Une amende pouvant monter jusqu’à 3 750 € comme dit ici sur le site du ministère de l’Intérieur :
https://www.demarches.interieur.gouv.fr/particuliers/faire-lorsque-animal-compagnie-mort

Il est donc clair (articles L 226-1 à L 226-9 du Code rural et de la pêche maritime) qu’il est formellement interdit de jeter la dépouille de son animal dans une poubelle, un égout ou tout autre lieu… Les mairies, en mettant des bennes à disposition pour recevoir ces déchets, se mettent donc volontairement hors la loi en étant complices de la constitution d’un délit ! Et tout ça pourquoi ? Parce qu’elles sont incapables d’avoir la volonté de faire respecter la loi sur leurs communes face à des comportements qui n’ont pourtant pas lieu d’exister en France !

Alors certes, sur le papier, ces abattoirs temporaires sont encadrés. Et des règles sont données, règles que sont censés faire respecter les services vétérinaires. Par exemple, sur chaque lieu d’abattage, un vétérinaire de la DDASS doit être présent afin de vérifier que les règles minimum d’hygiène sont respectées et il doit même faire cesser l’abattage si elles ne le sont pas… Maintenant, deux questions se posent : d’abord, peut-on raisonnablement penser qu’en pleines vacances du mois d’août, on va trouver assez de vétérinaires pour surveiller, pendant toute la durée de l’abattage (pas venir faire un coucou le matin en faisant semblant de s’assurer que tout est conforme) ? Ensuite imaginons Jean-Eudes, 26 ans, 1.72 m pour 68 kg, tout juste sorti de longues études, obligé de faire respecter les règlements sanitaires à 5 ou 6 égorgeurs halal avec leurs longues lames affûtées au milieu d’une centaine de familles attendant leur mouton dans l’excitation de la fête et du sang… Franchement, vous ne croyez pas que Jean-Eudes va être très vite persuadé que ce n’est qu’une sale journée à passer (surtout pour les moutons) et que le comptage des marguerites dans les champs est une activité champêtre bien plus agréable que le cassage de gueule halal ? De qui se fout-on ?

Et puisqu’on parle de dérogations, il faut bien aussi aborder le problème de l’égorgement halal. Il est dérogatoire à deux règles qui prévalent normalement en France : les animaux doivent être étourdis et ils doivent être saignés. Pour ceux qui ne verraient pas vraiment la différence entre « saigner » et « égorger » il n’est pas inutile de la leur expliquer. Saigner un animal revient à pratiquer une incision de chaque côté du cou sur 3 ou 4 cm de profondeur pour un ovin afin de trancher la carotide et la jugulaire alors que l’égorgement consiste à trancher cou, muscles, nerf vagal, trachée, œsophage jusqu’à la colonne vertébrale. C’est en fait une demi-décapitation sur plus de 20 cm de profondeur pour un mouton.

Alors si quelqu’un se demande encore où est la différence, il doit se poser la question de la mort qu’il choisirait entre se vider de son sang en étant inconscient ou se noyer dans son propre sang et les matières de dégurgitation de son estomac et de ses poumons sans avoir été préalablement étourdi… Peut-on vraiment penser qu’une petite prière récitée par le sacrificateur atténue beaucoup la douleur ?
Je sais bien que tuer un animal est par essence un acte violent et qu’il serait sans doute préférable de ne pas tuer, mais quitte à le faire, n’est-il pas normal de choisir la méthode la moins traumatisante pour lui ?

Pour finir, je vais répondre d’avance à ceux qui ne manqueront pas de me dire « Oui mais j’ai vu des vidéos de L214 sur un abattoir où les bovins se débattent encore avec la gorge tranchée, c’est franchement pas mieux ! ». D’abord il est évident que comme dans toute entreprise humaine, malgré tous les règlements et tous les contrôles, il y a des débordements dus à la nature humaine qui n’est pas toujours très jolie et surtout à des soi-disant impératifs économiques qui tentent de justifier l’inacceptable. Les règlements tentent de lutter contre ça mais il est évident que les fraudeurs ont toujours un coup d’avance jusqu’à ce qu’ils se fassent prendre. Et puis surtout, ce qu’a malencontreusement oublié de vous préciser L214 dans la vidéo à laquelle je fais allusion, c’est que ces images ont été tournées à l’abattoir Charal de Metz qui se trouve justement être… un abattoir 100 % halal !

Je veux enfin chaleureusement remercier Alain de Peretti, le président de l’association Vigilance Halal, sans qui je n’aurais pas pu écrire cet article. Son association lutte pied à pied depuis 7 ou 8 ans contre le halal avec déjà plus de 40 procès à son actif dont des recours devant le Conseil d’État et les instances européennes. Aucune association ne fait mieux le job qu’eux et ils méritent tout notre soutien ! Ils ont déjà dépensé près de 70 000 euros en frais d’avocats et de justice et si vous pouvez participer à leur combat, votre argent sera bien utilisé.

Voici le lien de leur site où vous pourrez faire un don :  https://vigilancehallal.com/

François Galvaire

https://www.youtube.com/channel/UCtu9RkUwfQehjGTd_LhYJbg




Les racailles tuent les nôtres, et la priorité de ce régime, c’est la loi Avia !

La loi Avia prétendant lutter contre la haine sur les réseaux sociaux commence à porter ses fruits puisque nous sommes nombreux à avoir constaté un nouveau durcissement de la censure.

Il est clair que toute parole discordante, toute opinion contraire à la doxa officielle doit être écrasée dans l’œuf de l’hydre répugnante aux idées nauséabondes qui nous rappellent les heures les plus sombres de bla-bla-bla bla-bla-bla.

L’axe du Bien a donc encore frappé contre les forces du Mal qui osent s’interroger sur l’opportunité du vivre-ensemble et la réussite de cette mixité sociale qu’on nous impose à grands coups de bons sentiments, de politiquement correct, de statistiques truquées ou cachées, de trahisons Bernarhenriléviesques etc.
Avia la croqueuse de taxi est donc autorisée à nous dicter le bien et le mal sous les applaudissements frénétiques de Siconne N’Diaye qui trouve raciste de rappeler qu’elle est africaine ! Tout va très bien Madame la Marquise !

Néanmoins l’actualité récente me fait demander quand il y aura enfin le « mort de trop » comme il y a eu le homard de trop pour de Rugy ?
Malheureusement en surfant sur les réseaux, j’ai bien peur que le Français supporte mieux la vue du sang que l’odeur du homard…
Combien faudra-t-il encore de victimes pour qu’enfin les Français forcent leurs gouvernants à changer leur politique pénale ?
Comment peut-on laisser des salopards sans culture, sans morale, sans valeurs, sans éthique, continuer à frapper presque impunément la première victime qui tombe sous leurs mains lâches ?

Marin, lynché à coups de béquilles ne retrouvera jamais sa vie d’avant et une autonomie totale. Mais ce n’était pas le crime de trop…
Une femme, son bébé et sa fille de 17 ans ont été renversés par un excité pendant la CAN. La femme est décédée, le bébé et sa sœur polytraumatisés. Mais ce n’était pas le crime de trop…
Benjamin, un policier toulousain, a été agressé par derrière en sortant d’une boîte de nuit à Toulouse. Il est mort sur le trottoir. Mais ce n’était pas le crime de trop…
Mamoudou Barry, docteur en droit et papa d’une petite fille, a été agressé parce que des débiles le prenaient pour un Sénégalais. Il est mort sur le trottoir devant sa femme. Mais ce n’était pas le crime de trop…

Une vidéo circule d’un père de famille bordelais venu demander aux supporters algériens de faire un peu moins de bruit qui a pris, encore une fois par derrière, un coup de casque d’une rare violence par un enfoiré drapé dans un drapeau algérien que son acte lâche ne peut que déshonorer. Il aurait pu en mourir. Mais ce n’aurait pas été le crime de trop…

Aujourd’hui un jeune homme à Toulouse a pris 10 coups de couteau au visage pour avoir voulu s’interposer dans une rixe. Mais ce ne sera pas le crime de trop…
Et je ne cite bien entendu que quelques affaires récentes parce que nous avons oublié les autres. Elles sont devenues tellement banales et fréquentes que nous les oublions vite.

En Thaïlande le violeur et l’assassin d’une touriste allemande a été condamné à mort moins de quatre mois après son crime… Voilà une vraie justice !
Mais pendant l’hécatombe, le gouvernement chasse les méchants opposants sur internet !

Les racailles peuvent détruire, insulter, voler, trafiquer, frapper, agresser, terroriser, tuer quasi impunément mais l’urgence est de museler le méchant Batdaf et tant d’autres qui disent qu’ils n’en peuvent plus de cette société de merde. Il faut condamner Christine Tasin ou Gérard Boyadjian car ils émettent quelques réserves sur la compatibilité de certains individus avec notre civilisation. On met en avant toutes les différences et toutes les dingueries prônées par des idéologues dont le seul but est de détruire 2 000 ans de notre civilisation, mais quand je déclare sur Facebook ma fierté d’être blanc, je me prends un mois de blocage.
Mais qui va avoir enfin le courage de siffler la fin de la récréation qui a tourné au bordel anarchique pour recadrer un peu tout ça ?
Est-ce vraiment haineux ou fasciste de juste réclamer de vivre en sécurité dans une société pacifiée ?

Quand va-t-on enfin décider que toute violence physique qui n’est pas justifiée par la légitime défense est inacceptable, inexcusable et passible de lourdes peines de prison ?
Quand va-t-on rétablir la peine de mort pour les assassins ?
Quand va-t-on enfin expulser sans états d’âme tous les étrangers ou binationaux auteurs de violences ou de crimes de sang ?
Quand va-t-on créer des établissements pénitentiaires particulièrement durs réservés à tous ceux qui croient que la violence physique est un mode d’expression comme un autre ?
Quand va-t-on faire en sorte que nos enfants ne soient plus confrontés dès l’école primaire à la violence et au harcèlement de quelques monstres précoces ?
Quand va-t-on faire en sorte qu’aucune femme n’ait à supporter les coups de conjoints élevés dans le mépris absolu du sexe féminin et de tout ce qui est physiquement plus faible qu’eux ?
En quoi réclamer la paix et la sécurité pour nous-mêmes et nos familles est-il scandaleux ? À quoi veut-on nous pousser ?
Nous ne sommes ni des racistes, ni des haineux. Nous sommes juste de braves gens qui en avons marre de craindre en permanence pour nos enfants, de détester la société dans laquelle nous vivons et qui regrettons une France que nous avons connue et aimée.

Alors Messieurs les politiques, plutôt que de vous attaquer à la « haine » sur les réseaux sociaux, attaquez-vous à la guerre sur nos trottoirs et vous verrez refleurir sur FB et ailleurs des photos de petits chats mignons et un peu mièvres et d’enfants heureux !

François Galvaire




Entre les Gilets jaunes et les Fennecs algériens, le gouvernement a choisi…

Les Fennec d’Algérie ont donc battu les Éléphant de Côte d’Ivoire. Pour ceux qui ne le sauraient pas, le fennec est un petit renard des sables, c’est le fameux renard du Petit Prince. Et en pensant au fennec, je ne peux m’empêcher de me souvenir de cette vieille expression peu délicate « j’ai le renard au bord du terrier » et qui signifie qu’on a une envie urgente de déféquer… Et bien avouons-le, à voir les scènes de liesse des supporters algériens hier soir, non pardon des supporters franco-(pour les allocs) algériens (pour le foot), j’ai moi aussi eu le fennec au bord du terrier !

Oui, n’en déplaise à Mme Avia la mordeuse de taxi, et malgré ses lois liberticides sur « la haine », ces hordes de racailles barbares me font sérieusement chier !
Il serait vain de vous dire une nouvelle fois ce que je pense de ces jeunes, puisque vous en pensez de même ! Sur l’échelle de l’évolution ils se sont arrêtés au niveau de la palourde trisomique et leur grand avantage c’est qu’ils ne nous déçoivent jamais, avec eux le pire est toujours possible…
Un de ces aimables bonobos a quand même réussi à tuer une mère de famille, à blesser grièvement son bébé dont le pronostic vital est engagé et à briser les jambes de sa fille aînée en leur fonçant dessus en voiture. Cette fois ci cependant, ce n’était ni un radicalisé, ni un « fou » mais juste un salopard bourré et tellement heureux de la victoire de son pays ! Ouf, la famille décimée appréciera le côté festif de son assassinat…

À Paris, un bus a été vandalisé puis volé.
4 commerces ont été vandalisés ou pillés sur le secteur des Champs-Élysées
Des débordements et des heurts ont été signalés dans 23 villes de France
Plus de 9 000 imbéciles étaient rassemblés à Marseille et une dizaine de policiers ont été blessés sans qu’aucune interpellation n’ait eu lieu
Après 9 mois de manifestations de Gilets jaunes où l’on a vu l’État sortir tout son arsenal répressif, on pouvait s’attendre à un maintien de l’ordre un peu rugueux face à ces débordements d’une jeunesse qui n’a de française que le nom, les papiers et les prestations sociales.
Aucun responsable politique ou policier ne pouvait ignorer que ce match de l’Algérie contre la Côte d’Ivoire donnerait forcément lieu à des débordements de liesse ou de colère.

Alors j’aimerais que notre ministre de l’Intérieur, ce cher Philippe Castagneur de Gaulois Gilets jaunes parfois éborgnés ou amputés, nous dise où étaient ce soir-là ses LBD, ses grenades de désencerclement DBD, ses grenades assourdissantes GLI, ses bombes au poivre, ses grenades lacrymogènes, ses tonfa, ses zélés fonctionnaires de la trique sur leurs rutilantes motos, ses canons à eau, ses hélicoptères ?

Accuser la police est une absurdité ! Quand un flingue tire, c’est le tireur qu’on condamne, pas le flingue… Les policiers ne sont que le flingue que l’État braque sur son peuple. Quand les policiers blessent et mutilent, c’est presque toujours qu’ils en ont reçu l’ordre ; quand ils se retiennent et laissent faire la racaille, c’est aussi qu’ils en ont reçu l’ordre ! Ce n’est pas l’arme qui est mauvaise, c’est la main qui la tient…

Alors la question est clairement posée à messieurs Castaner et Philippe ! Pourquoi ce déchaînement de violence contre des Français qui manifestent majoritairement dans le calme pour obtenir une vie un peu moins indigne et cette mansuétude, je dirais même cette lâcheté révoltante face à des bandes de racailles allogènes qui ne savent que foutre la merde, faire chier les gens et détruire le matériel public ?

Messieurs et Mesdames du gouvernement, Messieurs et Mesdames les responsables de la police, Messieurs et Mesdames les responsables de la sécurité publique, Messieurs et Mesdames les maires, vous avez encore une fois fait la démonstration de votre trahison permanente du Peuple français.
Entre les braves gens et les racailles, vous avez choisi la racaille.
Entre les jaunes et les gris, vous avez choisi les gris.
Entre les travailleurs et les voyous, vous avez choisi les voyous.
Entre les patriotes et les adorateurs d’une Algérie fantasmée, vous avez choisi l’étranger.
Et en vous comportant ainsi vous avez trahi à la fois les Français de souche mais aussi tous ceux issus de l’immigration qui se tiennent bien et qui se voient encore une fois assimilés à la racaille puante.

Vos lois sont de plus en plus liberticides et vous faites tout pour nous empêcher de parler. Vous nous muselez sur les réseaux sociaux, nous matraquez dans la rue et nous persécutez dans les tribunaux.
Mais tant que nous pourrons encore un peu hurler notre colère et notre rage, nous le ferons ! Et quand vous en aurez fait taire dix, cent hurleront à leur place.
Et si un jour vous réussissez à nous museler complètement, attendez-vous à ce que nous sortions les flingues !
Pensez-y, Messieurs les bien-assis sur vos trônes ! Vous pourriez bien un jour tomber sur votre cul…

François Galvaire

PS : la vidéo de ce texte, postée sur youtube, n’a tenu que deux heures




Moi aussi, j’ai fait un rêve, celui d’une France un peu différente…

Ami gaulois, tel un Martin Luther King blanc, cisgenre, carnivore et amoureux de ma race et de mon peuple, j’ai fait un rêve…
J’ai rêvé d’une France un peu différente…

D’une France où nos femmes, nos mères, nos filles, nos sœurs, nos amies, pourraient se promener partout et dans la tenue de leur choix, sans remarques désobligeantes ni regards ou gestes agressifs.
D’une France où les services de secours, pompiers, ambulanciers et policiers se sentiraient les bienvenus partout et ne craindraient d’intervenir nulle part.
D’une France où tous les Français de souche trouveraient sans problème un logement social et les aides auxquelles ils peuvent prétendre.
D’une France où aucun Français ne fuirait les logements à loyers modérés pour préserver la tranquillité de sa famille et la sécurité de ses maigres biens.
D’une France où les services d’urgence des hôpitaux ne seraient pas débordés par des étrangers revendicatifs et agressifs.
D’une France où le personnel soignant ne serait pas débordé par une nuée de patients exigeants et odieux et pourrait à nouveau traiter les malades avec humanité au lieu d’être obligés de ne faire que du « médical » en le bâclant.
D’une France où les églises et les lieux de culte seraient respectés sans qu’une protection leur soit indispensable.
D’une France où les écoliers, tous élevés dans la même langue de nos aïeux, puissent apprendre et travailler sereinement.
D’une France où les mariages sont des fêtes familiales et pas des fantasias donnant lieu à des rodéos dangereux.
D’une France où des barbus agressifs n’exigeraient pas une femme médecin pour leur épouse malade ou enceinte tout en interdisant dans même temps aux jeunes filles de faire des études.
D’une France où les enfants se tiennent bien et sont fiers de leurs bons résultats scolaires.
D’une France où le faible est aidé et soutenu et pas terrorisé et racketté.
D’une France où les cloches des églises rythment harmonieusement les heures de la journée.
D’une France où les jeunes sont fiers de leur drapeau et de ce qu’ont accompli leurs ancêtres.
D’une France où les adolescents portent les sacs de courses des vielles dames au lieu d’arracher leur sac à main.
D’une France où de jeunes sauvageons ne profitent pas de la moindre vague de chaleur pour transformer les rues en pataugeoires en ouvrant les bornes à incendie.
D’une France où les piscines et parcs publics sont des lieux de convivialité et pas des zones de non-droit laissées à la disposition de raclures asociales et bestiales.
D’une France où le bien commun est respecté car utile à tous et payé par tous.
D’une France où les transports en commun ne sont pas des lieux de stress pour les jeunes femmes et les plus faibles.
D’une France où les haineux et les revendicatifs ne sont pas plus dorlotés que les travailleurs tranquilles par des édiles lâches et corrompues.
D’une France où le premier couillon de 15 ans dépourvu de toute éducation ne vient pas te parler de respect dès qu’il se fait un peu botter le cul.
D’une France où la compassion va vers les victimes et non vers les bourreaux sous prétexte qu’ils ne connaissent pas les « codes culturels ».
D’une France qui utilise l’argent des cotisations pour son peuple et pas pour soigner la misère d’un monde qui la déteste et ne lui est d’aucune reconnaissance.
D’une France où des petites filles de 13 ans ne sont pas envoyées en vacances au bled pour être excisées ou mariées de force.
D’une France où la jeunesse est fière et reconnaissante de ce que l’État lui a offert depuis sa naissance et pas haineuse ou revendicative aux noms d’événements historiques qu’elle n’a pas vécus et dont elle ne sait rien de plus que ce que des « pédagogues » imbéciles lui ont mis dans la tête.
D’une France où le savoir, le travail et le mérite ont plus de valeur que la force violente et l’argent malhonnêtement gagné.
D’une France où personne n’essaye d’imposer dans le paysage public des tenues, des mœurs et des coutumes d’un autre âge et d’autres contrées.
D’une France où les prisons restent des lieux d’accueil humains et respectueux faute d’être engorgées par 80 % de gens qui n’ont rien à foutre dans mon pays.
D’une France où les valeurs d’accueil et de partage sont respectées et remerciées par ceux qui sont accueillis.
Bref je rêve d’une Franche humaine, généreuse et belle comme nos anciens l’ont construite et nous l’ont transmise.

Je hais ce que nous l’avons laissé devenir et je te pose une question et une seule… Que faudrait-il lui enlever pour que tous les maux que je viens de te citer disparaissent naturellement aussi vite qu’ils sont arrivés ?
Je suis sûr que tu as la réponse ! Puisque tu connais le mal, tu connais la solution…

Alors camarade, puisque tu as la réponse, combien de temps encore vas-tu laisser le mal qui nous ronge t’empêcher de retrouver la France qui fut si belle ?

François Galvaire




Seb, 35e policier suicidé : j’accuse la hiérarchie policière et l’IGPN de sa mort

Cette nuit du 20 au 21 juin 2019, un 35e policier s’est suicidé depuis le début de l’année. Seb, cet article est en ta mémoire.

Oui je sais, avec les GJ, la police n’est pas en odeur de sainteté et certains sur les réseaux sociaux, gagnés par la colère, n’hésitent pas à vomir sur la police et à cracher leur haine en oubliant parfois que derrière l’uniforme se cache un homme et que si tous les GJ ne sont pas des casseurs et des Black Blocs, tous les flics ne sont pas des brutes imbéciles prêtes à tirer au LBD dans le visage des manifestants. Y’a des cons en jaunes et des cons en bleu… Et puis il y a la grande majorité des gens bien qui font comme ils peuvent et qui méritent notre respect et notre compassion.

J’ai décidé de vous raconter l’histoire de Seb pour plusieurs raisons. D’abord parce que dans ce cas précis, je ne tire pas mes info de la Presse qui dit parfois n’importe quoi, mais de sa sphère familiale très proche avec qui je suis en contact et que je suis certain de ce que j’avance. Ensuite parce que cette histoire lamentable et terriblement triste est une parfaite illustration de l’acharnement de son administration sur un fonctionnaire alors que le ministère de l’Intérieur, devant la vague de suicides dans la police, a affirmé avoir pris conscience de l’extrême malaise de ses troupes, même si la seule réponse qu’il a trouvée à apporter est l’organisation de barbecues (oui oui, je ne plaisante pas, des barbecues contre des flingues pressés sur la tempe !) et la mise en place d’une ligne téléphonique d’urgence dont on attend toujours le numéro et les intervenants… La dernière des raisons qui me pousse à parler, c’est que la presse, BFM en tête, commence à dire des conneries qu’il est urgent de rectifier, ne serait-ce que pour la mémoire de Seb et le respect de sa famille.

Seb avait 45 ans, dont près de 20 dans la police nationale. Il laisse une femme, trois enfants, deux frères et des parents éplorés. Jusqu’à 2017 il avait une carrière sans taches, brillante même… Jamais un problème disciplinaire et même quatorze lettres de félicitations dont neuf à titre personnel. Il avait longtemps bossé aux stups et était actuellement affecté en brigade territoriale à Toulouse. Malheureusement, et ça son administration aurait dû en tenir compte avant de le traiter si mal, il avait déjà fait une tentative de suicide il y a quelques années, mais après cinq mois de repos et avec le soutien de ses collègues et supérieurs il avait repris sa profession qu’il adorait et à qui il donnait beaucoup, car il croyait profondément en sa mission.

Seb s’était pacsé avec une collègue en poste dans le 93 et il désirait se rapprocher d’elle. Il avait donc, comme c’est fréquent dans de nombreuses administrations, cherché à permuter avec un de ses collègues en poste dans le 93 désireux de venir dans le Sud. Autant dire que ce n’était pas compliqué à trouver ! Échanger un poste dans la banlieue dure de la grisaille parisienne contre une mutation au soleil de Toulouse, certains flics attendent cette aubaine pendant 15 ou 20 ans ! C’est même tellement rare et recherché que, même si c’est parfaitement illégal, certains n’hésitent pas à monnayer cette permutation pour des sommes pouvant parfois atteindre plusieurs milliers d’euros… Vous allez voir que cette information n’est pas anodine !

Bref, Seb trouve rapidement et facilement un collègue avec qui permuter et le dossier se met en place dans les méandres de l’administration. La procédure dure plusieurs mois et à aucun moment Seb – qui n’a pas besoin d’argent (il vient de vendre sa maison) et qui n’a qu’une envie, rejoindre sa femme avec qui il désire faire un enfant, n’évoque avec son collègue la moindre transaction financière.

Et puis la veille du jour où la commission doit approuver cette permutation, Seb a un dernier échange par écrit avec son collègue, et pour des raisons qu’on ignore, peut-être est-il un peu agacé par lui, peut-être fait-il de l’humour grinçant et un peu déplacé, mais il fait la bêtise de lui rappeler que cet échange de poste aurait pu lui coûter plusieurs milliers d’euros… Il prend quand même soin, voyant que son collègue prend mal les choses, de lui écrire qu’il ne lui réclame rien (ce serait d’ailleurs trop tard puisque la commission se réunit le lendemain) et qu’il n’a fait que lui faire remarquer l’excellente affaire qu’il faisait.

Et là tout s’emballe ! Le collègue en question fait l’acte le plus dégueulasse qu’on puisse imaginer… Tiens, je vous préviens, les flics bordelais, vous avez une sacrée enflure qui est arrivée dans vos rangs ! Le félon fait des copies d’écran pour faire croire à sa hiérarchie que Seb a tenté de lui soutirer de l’argent et profite de l’événement pour faire annuler la décision de mutation. La hiérarchie prévient le préfet et l’inspection générale de la police nationale est saisie. Seb, l’excellent flic apprécié et bien noté, devient le mouton noir et l’administration décide d’en faire un exemple, quitte à le sacrifier injustement. Le rouleau compresseur se met en marche et va le broyer pendant près de deux ans. La première sanction est que désormais toute mutation lui sera refusée et qu’il ne pourra pas rejoindre sa femme. Heureusement, ses collègues et ses patrons qui le connaissent bien le soutiennent, car ils le savent incapable de ce genre de magouilles, mais face à l’IGPN c’est bien insuffisant.

Les mois passent, sa commission de discipline est plusieurs fois reportée et il est enfin convoqué mardi dernier à 10 heures pour être jugé par ses pairs. Une commission de discipline, c’est un peu comme un tribunal des prud’hommes, les juges sont à la fois des représentants de la hiérarchie administrative et des représentants syndicaux ou des collègues. Les débats sont houleux et la tension palpable. Alors que tous les flics de terrain qui siègent sont au pire pour une sanction légère et symbolique du type avertissement ou blâme, les représentants de l’administration veulent faire un exemple et taper fort en réclamant deux ans de suspension sans solde. C’est une sanction extrêmement rare que l’on ne donne que pour des manquements très graves à la déontologie, et à des policiers au cursus rempli de fautes d’avertissements et de blâmes ! Finalement, comme les membres de la commission ne peuvent se mettre d’accord sur la sanction, il est décidé de renvoyer le dossier au Ministère avec néanmoins comme avis, une demande de suspension de deux ans…

Seb sort de cette commission absolument laminé ! Dès le lendemain, il reprend néanmoins son poste où il reçoit encore le soutien de tous ses collègues. Mais il ne supporte pas ce désavœu… Alors que sa carrière est jusque-là exemplaire, il est traité par son administration comme un « ripou » et on envisage de le priver de salaire pendant deux ans après l’avoir désavoué.

Hier soir vers minuit, Seb s’est pendu. Paix à son âme !

Cette histoire affreuse donne un éclairage terrible aux 34 autres suicides de flics depuis le début de l’année 2019. Il est urgent que l’administration prenne en compte le mal-être de ses personnels et les vies broyées que laissent derrière elle la politique du chiffre et une gestion scandaleuse des effectifs.

Dans n’importe quelle entreprise privée, une telle hécatombe aurait déjà donné lieu à de nombreux audits. Pour donner un exemple, Amnesty International a connu deux suicides au sein de son personnel en 2018. Ils ont immédiatement commandité un audit par une boîte extérieure qui a rendu son rapport. Dans la foulée de ce rapport, 5 des 7 directeurs d’Amnesty International ont plus ou moins volontairement donné leur démission…

À quand une prise de conscience place Beauvau ?
Je finis cet article en rendant hommage à Seb et à ses collègues et patrons toulousains qui l’ont soutenu du mieux qu’ils ont pu. J’adresse toutes mes amitiés à sa famille.
Et sur un plan plus personnel, je supplie deux de mes amis flics qui me sont chers, Claude et Pascal, de ne pas craquer face aux persécutions de leur administration qui fait tout pour les écraser et de rester debout tels que je les ai toujours connus.

Vous êtes importants les mecs, déconnez pas !

François Galvaire




Pendez-moi cette chienlit de djihadistes français !

44 avocats français ont signé dans une tribune sur Franceinfo, bizarrement indisponible à l’heure où j’écris ces lignes mais publiée ce matin, un manifeste s’opposant à la condamnation à mort en Irak de 9 terroristes islamistes de Daesh ayant des papiers français. Oui, je ne peux me résoudre à qualifier ces sombres raclures de « françaises »… Être pondu à l’Académie française n’a jamais transformé un cafard en académicien !

Partant du principe que la peine de mort a été abolie en France, ils s’insurgent que des criminels puissent être condamnés à mort dans un autre pays, pour des délits qu’ils ont commis à l’étranger .
On ne peut que s’étonner, que dis-je s’indigner, d’une position tellement néocolonialiste et impérialiste venant de gens se réclamant du mondialisme ! Comment peut-on à la fois pousser des cris d’orfraie à chaque fois que la France tente de préserver ses intérêts en Afrique et vouloir donner des leçons de droit à un État souverain comme l’Irak ?

C’est quand même avoir sacrément le cul entre deux chaises que de défendre en permanence les disparités culturelles, de vouloir absoudre, pour les mêmes raisons culturelles ou cultuelles, les agressions de femmes françaises par des migrants afghans ou sub-sahariens, et de vouloir imposer nos lois et notre culture à d’autres pays…

Si le gauchisme est bien une maladie mentale, c’est certainement la schizophrénie !
Les signataires déclarent sans rire :  « La France n’a pas voulu rapatrier ses ressortissants et a préféré les exposer à la peine de mort et à des procès expéditifs dont nous savons qu’ils méconnaissent gravement les droits de la défense ». Mon Dieu, mais quel racisme ignoble, quelle islamophobie insupportable, d’accuser un pays étranger et musulman d’avoir une justice expéditive ne reconnaissant pas les droits de la défense ! J’en suis tout retourné !

Bref les mêmes qui font tout depuis 40 ans pour l’avènement de la charia en France désirent aujourd’hui la combattre dans les pays musulmans au nom du « droit » de ressortissants français qui ont clairement et de manière parfaitement assumée combattu la France, son peuple et ses intérêts ! Vous avez dit schizophrénie ?

Il est aussi assez cocasse de les voir s’indigner de la possible exécution de terroristes et demander au président de la République d’intervenir, alors que l’on sait très bien que nos services spéciaux en collaboration avec d’autres puissances ne lésinent pas sur les « opérations homo », doux euphémisme pour nommer des assassinats parfaitement ciblés… On dit que tous les commanditaires du Bataclan sont aujourd’hui morts et j’ai peine à croire que ce soit de mort naturelle. On dit aussi, il l’a d’ailleurs reconnu, que François Hollande fut le président de la Ve République ayant le plus eu recours à ce genre d’opérations. Et nous prétendrions aujourd’hui empêcher les tribunaux irakiens de juger sur leur sol et sous leur juridiction des criminels avérés ?

Profitons-en d’ailleurs pour rendre un vibrant hommage à nos hommes des services spéciaux qui dans l’ombre font un remarquable travail, dont nous ne prenons conscience qu’à l’occasion du décès tragique de deux d’entre eux en Afrique. Grâce soit rendue à leur courage et à leur engagement sans faille !

Comment la France pourrait-elle recourir à des assassinats ciblés, sans juges, sans avocats ni jugements et tout d’un coup s’émouvoir de condamnations à mort par un tribunal étranger ?
Bref il serait temps que les petits marquis de robe et les journalistes bobos sortent un peu le nez de leurs querelles germanopratines et comprennent que si rien ne peut justifier les camps de la mort nazis, rien ne peut non plus justifier les actes ignobles des membres de l’État Islamique. La corde qui fut bonne à Nuremberg ne doit pas être pire à Bagdad !

Pendez-moi cette chienlit et qu’on n’en parle plus !

François Galvaire