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L’épopée héroïque des Identitaires en Méditerranée

Parmi les mauvaises nouvelles de cet été, et dernièrement encore le carnage perpétué en Brie champenoise par un « déséquilibré » ou à Barcelone par « une camionnette folle » fruits amers et répétitifs du plan d’islamisation et d’invasion de l’Europe concocté de longue date par l’hyper classe mondialiste blanche et sa minorité politico-financière délinquante, nous avons une bonne raison de nous réjouir. Cet espoir nous est donné par le mouvement politique « Les identitaires » et son initiative en Méditerranée.

Ce qui apparaissait au départ comme un pari risqué pour ne pas dire un allant à la Don Quichotte, une lutte contre un flot irrépressible se révèle être un succès à la fois opérationnel, stratégique et de communication.

Les identitaires ont su avec pertinence éviter l’écueil de passer pour des extrémistes suivant l’assignation sidérante de nos ennemis. Ils ne sont pas des « malveillants » entravant la mission humanitaire des ONG et leur armada, et leurs moyens, et leurs souteneurs. Ils ont démontré jour après jour sereinement, avec calme et méthode, avec tous les arguments liés aux faits et l’observation l’imposture, le cynisme, l’instrumentalisation que font les ONG des mal nommés « migrants ».

Alors que les armées nationales européennes (exceptées les armées polonaises, hongroises, tchèques, slovaques et russes) se réfugient derrière l’obéissance à des ordres iniques de l’oligarchie mondialiste européenne, le C-Star avec à son bord son équipage européen obéit et est guidé par une morale supérieure, une conscience supérieure, un courage supérieur, une nécessité impérieuse.

Cet équipage a rempli d’autre part et de manière paradoxale contre l’institution démoniaque de l’Union Européenne, véritable « tumeur » institutionnelle et politique travaillant à la destruction de notre maison et civilisation commune, l’Europe, sa mission morale de défendre les frontières extérieures des pays européens enrôlés dans le fameux traité de Schengen signé en 1990 et actif en 1995 (modifié en 2007 par le traité de Lisbonne) qui prétendait mettre en oeuvre, outre un espace de libre circulation des ressortissants des Etats signataires, garantir aussi un « espace de liberté, de sécurité et de justice », formule orwellienne ou cynique et cocasse à l’aune des événements qui touchent l’Europe depuis l’invasion consécutive à l’action déplorable perpétuée en Libye par le couple Sarkozy-Lévy, puisque c’est tout l’inverse qui s’est produit.

En Méditerranée, les Identitaires, cet équipage héroïque européen a parfaitement montré et prouvé que les bateaux dit humanitaires des différentes ONG se livraient à un odieux trafic avec les passeurs islamistes et que pour ces ONG, le réservoir humain africain constituait un fonds de commerce inique et juteux. Avec tactique et pertinence, le C-Star des identitaires œuvrant de concert et dans un rapport d’égal à égal avec les autorités officielles d’un Etat libyen de nouveau sourcilleux sur sa souveraineté et sa dignité, ont pu mettre fin pour l’instant à la traite ignoble et son corollaire l’invasion.

Si les Identitaires ont agi sans haine et avec un immense courage, guidés sans doute par la vertu des Anciens et par les écrits précieux du grand Dominique Venner, leurs ennemis se sont dévoilés à eux, sans que nos héros ne les provoquent ou ne les désignent, les faits s’en chargeant. Sans surprise, nous retrouvons les mêmes qui avec hargne se dressent contre tous les lieux, organisations, média de la dissidence. Sans surprise, ce ne sont pas nos adversaires étrangers (qui poussent finalement suivant leurs intérêts propres leurs avantages) qui s’opposent avec haine aux identitaires mais l’oligarchie politique et financière et son système d’action.

L’Union européenne, cette organisation en partie mafieuse, technocratique, anti démocratique, anti européenne est un des principaux financeurs des ONG qui agissent en Méditerranée. On se souvient qu’un des hiérarques millionnaire de cette entreprise totalitaire et dictatoriale en germe, Pierre Moscovici avait déclaré au sujet du million de « migrants » entrés en 2015, que cet afflux » aurait un impact positif sur la croissance ». Outre cette assertion mensongère, on voit tout le cynisme qu’elle révèle après les terribles événements en France, en Angleterre, en Allemagne et en Espagne, et tous les crimes quotidiens liés à l’invasion que l’UE planifie. On voit aussi qu’elle consent (pour des motifs matériels fallacieux) et encourage le fait criminel de détruire notre civilisation par sa submersion.

En lien avec ceci, l’oligarchie politico-financière délinquante est l’autre grand acteur qui finance cette opération de traite gigantesque et de destruction. Nous retrouvons un de ses principaux agents, Georges Soros poursuivi dans plusieurs pays et son réseau de « l’Open Society » qui utilise avec d’autres officines le terrorisme moral, c’est-à-dire la culpabilisation pour anéantir psychologiquement et moralement les peuples européens et leur ôter toute velléité de défense (on ne soulignera jamais assez la violence perverse des marginaux délinquants de l’hyper classe mondiale y compris et surtout sur les jeunes esprits, victimes prioritaires du harcèlement odieux en contravention et contradiction du saint esprit du « devoir de mémoire », terrorisme à des fins de promotion de leurs « espérances planétariennes »).

Les Etats européens noyautés par l’idéologie de l’hydre mondialiste et inféodés via leur oligarchie ont montré avec l’affaire maltaise jusqu’où pouvaient aller nos ennemis puisque nous observons les dérives de ces apôtres des ténèbres partout en Europe occidentale. Contre toutes les lois humaines, les lois des gens de mer, le gouvernement travailliste du paradis fiscal maltais a mis sous embargo notre marine identitaire, y compris son ravitaillement en eau (condamnant l’équipage du C-Star à une mort certaine et cruelle) provoquant en retour un mouvement de sympathie et de soutien de la population européenne maltaise ce qui ne peut que nous renforcer dans nos espoirs.

Nous n’évoquerons pas ici les relais médiatiques et associatifs du système d’action mafieux que nos lecteurs connaissent par ailleurs. Nous leur conseillons juste d’éteindre leurs postes.

Pour conclure, nous pensons que les identitaires, mouvement d’idées et d’actions qui se décline dans tous les pays européens représente un formidable levier pour notre cause commune, et une des meilleures formules de résistance et avec l’aide de la providence et la volonté de reconquête. Son dessein se lit dans ses actions et dans son intitulé. Ce sont aussi ses ennemis qui le définissent et le désignent. Sa légitimité morale et politique, sa formule combative, sa conscience supérieure, son courage supérieur pallient l’inconsistance des chefs des armées nationales qui servent honteusement leurs maîtres et quémandent des fonds pour guerroyer là où sont les intérêts de ces derniers ou mettre en danger leurs hommes qui rêvent sans doute d’un autre destin que celui de planton et cible comme « sentinelle ».

La défense de l’Europe par les identitaires européens est cet effet papillon que nous attendons tous, un éveil des consciences nationales en faveur de notre maison commune. Ils attendent en retour notre soutien moral, politique mais aussi financier et pour ceux qui le peuvent l’engagement.

François-Xavier Laisne




Attentats : l’oligarchie a décidé d’utiliser l’islam pour nous détruire

Quand le sage montre la lune, l’imbécile regarde le doigt. Ici et ailleurs dans la mouvance patriote, nationaliste ou identitaire, nous nous efforçons avec plus ou moins de bonheur de montrer quelles sont les causes de nos drames actuels dont le dernier en date est le massacre perpétré à Barcelone. Mais qui est responsable ? Qui endosse la plus grande des responsabilités dans les derniers massacres commis en Europe occidentale ? Au Bataclan, à Nice, à Londres, et maintenant à Barcelone ? Qui a fait venir en masse les tueurs ? Qui les a armés ? Qui les a renforcés ? Qui en a fait un Etat dans l’Etat ? Qui a permis à un peuple, une civilisation qui nous est concurrente et plus ou moins hostile à travers les siècles de venir ici, sur le sol européen, parmi nous, européens de race blanche, de culture chrétienne, grecque et romaine ou germanique, ou celtique, ou slave, ou scandinave ?

Qui sont les fous qui ont abaissé le mur, qui ont détruit les barrières, qui ont laissé « la horde » nous envahir ? Ce n’est pas vous, ce n’est pas moi, ce ne sont pas nos aïeuls dans leur énorme majorité paysans à qui on a demandé régulièrement le grand sacrifice, le prix de la souffrance, du sang, et de donner leur vie pour garder cette frontière contre leurs frères qui leur ressemblaient tant…

Qui a détruit la Libye, qui a fait bombarder ce pays viable et souverain ouvrant grande les vannes à une invasion sans précédent ? Qui dans un contexte déjà tendu, alors que l’Afrique représente un danger énorme en raison de sa démographie et de son instabilité a fait bombarder et sauter le verrou qui nous protégeait d’un déferlement inépuisable ? Qui sont les criminels qui nous ont importé un conflit religieux multiséculaire sur notre sol, et nous imposent maintenant un problème racial ? Qui a détruit l’Irak et la Syrie, détruit deux pays arabes où les minorités chrétiennes orientales pouvaient vivre dans une relative sérénité et sécurité ? Qui s’est appuyé sur l’islam le plus rétrograde, qui a soutenu l’Etat musulman le plus fanatique, l’Arabie-Saoudite, pour des raisons obscures qui ne sont pas liées uniquement au pétrole ?

Je n’ai pas suivi la relation médiatique de l’effroyable hécatombe de Barcelone. Mais les propos, discours, les mêmes témoignages, les mêmes « experts », spécialistes, la même indécence, la même compassion feinte me sont parvenus. Ne comptez pas sur la propagande qui se satisfait d’un surcroit d’audience en jouant sur votre légitime émotion pour vous parler des causes profondes des drames présents. Ne comptez pas sur BFM dans les mains de Drahi et animé par des journalistes payés et convaincus des vertus du mondialisme pour éclairer le spectateur trop passif qui se satisfait d’un spectacle malsain, ni sur TF1, ni sur les chaînes d’Etat et leurs « journalistes » dans les mains de Macron, eux-mêmes dans celles de Rothschild.

Le système d’action lié à l’hyper classe mondiale (très majoritairement blanche et originaire des Etats-Unis et d’Europe occidentale) qui se déploie dans tous les lieux de pouvoirs internationaux (ONU, UE etc) et nationaux (chefs d’Etat, gouvernements et leurs relais) sont les responsables. Une poignée d’hommes qui ont monopolisé tous les pouvoirs ont décidé pour des raisons idéologiques et messianiques (cf Atlas du mondialisme de Pierre Hillard, 2017) de mettre à genoux l’Europe et les peuples européens, de les soumettre en vue de l’édification d’un gouvernement mondial. L’islam via l’invasion est un moyen de destruction de nos libertés et de nos souverainetés, de nos solidarités naturelles reposant sur notre appartenance et ressemblance. La soumission des esprits inhérente à l’islam permet à l’oligarchie de se perpétuer et de se renforcer. L’islam est manipulée parce qu’elle est manipulable, ceux qui sont au pouvoir l’ont très bien compris. C’est un formidable agent de contrôle et de coercition des individus et des groupes.

Les attentats monstrueux qui ont lieu en Europe sont imputables à ceux qui font entrer depuis quatre décennies un autre peuple et une autre civilisation en notre sein. Il s’agit d’un plan voulu et concerté qui n’est pas un complot puisque aussi bien l’ONU, que l’UE (de nombreux textes en ce sens), que des personnages influents comme Attali ou le criminel Sarkozy l’ont annoncé (obligation de métissage sous la contrainte lors de son discours de Palaiseau de décembre 2008), que ce dernier l’a mis en oeuvre de manière spectaculaire, tout comme Merkel en Allemagne. Nous pouvons affirmer qu’au-delà d’avoir fait entrer cet autre peuple ou même ces autres peuples, les mêmes acteurs ayant en charge des institutions comme l’Education Nationale les ont dressés contre nous, population autochtone, les ont élevés dans la haine.

Ils auraient pu tenter une intégration sur un nombre raisonnable, ils en ont fait pour un nombre grandissant des tueurs ou leurs complices. Cette oligarchie a décidé de nous détruire, l’islamisation est une de ses armes. Elle n’y renoncera pas.

François-Xavier Laisne




La vacancière japonaise Choko, 20 ans, a trouvé la mort à Paris…

Vous n’entendrez certainement pas évoquer par nos média les vacances de Choko (enfant du papillon en japonais) à Paris cet été.

Choko, avait 20 ans. Unique fille d’une grande famille de diplomates japonais originaires de la ville d’Hakodate au Nord du Japon sur l’île d’Hokkaido côté Pacifique. Sa famille cultivait un amour immodéré de la vieille Europe et de la France depuis qu’un trisaïeul y fut ambassadeur peu après l’ère Meiji (1868-1912) et la guerre russo-japonaise (8 février 1904-5 septembre 1905). Sous la contrainte des Etats-Unis et sous l’impulsion de l’empereur Mutsuhito, le Japon était passé au cours de cette période de l’isolement, du système féodal des shoguns, celui des seigneurs de guerre ou samouraïs, à l’ouverture, à l’industrialisation et à l’organisation militaro-bureaucratique suivant des normes occidentales.

La famille Nakamura dont Choko était l’enfant prodigue entretenait ces histoires, ces gloires aussi fortement qu’elle vénérait comme il sied au Japon les esprits des ancêtres. Ainsi dans les deux autels familiaux (butsudan et kamidana) et dans une tradition qui tient à la fois du bouddhisme et du shintoïsme (religion officielle à partir de Meiji), on honorait à la fois l’empereur et les âmes des défunts.

Très jeune Choko avait aimé notre pays, collectionnant tout ce qui pouvait s’y rapporter. Ses parents francophiles et francophones l’avaient très jeune familiarisée avec les contes de Perrault, les fables de La Fontaine, et même « Le Tour de France par deux enfants, 1877 » d’Augustine Tuillerie. Elle n’ignorait rien de nos arts ni de nos lettres… Choko avait ainsi développé une tendresse particulière pour la « Belle Epoque » et Paris et notre Renaissance, les bords du Loir et Chenonceau… Elle ne se lassait pas non plus de regarder le film de Jean-Pierre Jeunet « Amélie Poulain », et pleurait sur « Un long dimanche de fiançailles » mais riait sur « L’homme de Rio ». Elle admirait plus que tout Pagnol… Bref elle aimait la France, son histoire, sa religion, la catholique et notre panthéon, la « Tout Saint » et le jour des morts lui faisaient dire que le Japon et la France puisaient aux mêmes sources de la tradition, nos anciens rois renvoyaient à ses empereurs, et nos saints, bienheureux, nos anges et tous nos personnages de légendes, ceux de l’antique mythologie étaient peut-être aussi nombreux que les 8 millions de Kamis japonais. Nos innombrables églises étaient des temples et nos cathédrales étaient pour elle l’expression la plus aboutie qu’une civilisation puisse offrir « aux esprits défunts ou à naître et aux rois ». Choko avait développé une tendresse particulière pour la vierge de Nagasaki miraculeusement préservée du bombardement atomique américain (holocauste qui fit 80 000 morts le 9 août 1945) visible en la cathédrale d’Urakami.

Il était tout naturel que Choko voulût fouler notre sol et réaliser son rêve, visiter notre capitale, voir Notre-Dame et la Tour Eiffel, flâner le long de la Seine, à la recherche du temps perdu, un ouvrage de Marcel Proust en main en quête de nos paradis passés et sous l’emprise d’une douce nostalgie, pousser jusqu’à Nogent sur la Marne ou Chatou sur la Seine, écouter Debussy, Fauré ou Ravel, et bien-sûr à Giverny contempler Monet. Elle irait aussi à Reims embrasser du regard le temple des Sacres et la Basilique Saint-Remi et marier le joyau gothique martyrisé à la chapelle romane des années 60 conçue et décorée par son compatriote, le peintre Foujita. Une amie de la famille connaissant un des rares Français installés au Japon avait répercuté peut-être maladroitement un conseil de ce dernier « Si elle va en France, mieux vaudrait qu’elle restât autour de Plougastel ». Ce Français se présentant comme membre d’une ethnie particulière « les Bretons » était Boris Le Lay. Il était apparu pourtant à l’amie de la famille baroque, d’autant qu’il revendiquait un statut de réfugié politique fuyant le « pays des droits de l’homme et des libertés ». Choko ignorait que ces droits ne concernaient plus en réalité depuis longtemps déjà la population indigène.

Choko bien qu’intéressée aussi par la Grande-Bretagne après sa lecture des aventures de Kipling avait délaissé une escale et un séjour à Londres après qu’elle eut appris avec une certaine stupeur et incrédulité l’élection d’un Pakistanais comme maire de Londres. Si elle entretenait un certain déni sur la situation récente en France, elle savait davantage (notamment en raison du succès mondial du parler de Shakespeare, et bien que les Japonais méconnaissent les langues étrangères) que l’Angleterre était en voie d’être une colonie de ses colonies. Elle mettait cet état sur le compte de l’esprit libéral anglais et sa très grande singularité géographique et culturelle.

Concernant la fin tragique de Choko qui correspond à son arrivée sur notre sol, nous avons quelques éléments rapportés de sources certaines. Il est sûr que Choko a été victime d’une forme extrême de cette affection psychologique qui touche nos hôtes en provenance du pays du soleil levant « le syndrome japonais ». Ce syndrome résulte de la distorsion ou décalage ou fossé entre l’image qu’ils se font de la France et de Paris et notre triste réalité. Arrivée au mois d’août 2017, dans une capitale désertée par ses autochtones devenus minoritaires, Choko a trouvé un décor auquel elle s’attendait, sauf les détritus jonchant son sol, mais des acteurs auxquels elle ne s’attendait pas. Rompue à une grande civilité et politesse, Choko a souffert du manque de « romantisme » des nouveaux occupants. Déstabilisée, nous savons que Choko a dans le langage de la psychiatrie « décompensé ». Errant dans un Paris métamorphosé et métastasé, à demi-affamée, Choko n’a pas non plus découvert dans la capitale notre patrimoine immatériel que constitue notre cuisine, autre reflet de notre culture. N’ayant d’autre choix pour se nourrir que le kebab et le fallafel, délaissant par principe la chinoise (elle aurait dû rétrospectivement y consentir) et d’autres curiosités, coincée entre Tarik Ramadan et Jacques Attali, entre Ali Ramadan et Alain Jakubowicz, entre le CCIF et la Licra, entre les Frères et le Crif, on a retrouvé au final Choko dans une chambre d’hôtel, inanimée, une boulette aux légumes à côté, près de son chevet. On sait d’autre part que des témoins assurent l’avoir vue juste avant sa tragique fin, chercher désespérément la direction de… Plougastel. Transférée en urgence à l’hôpital de Bobigny, Avicenne, elle n’a pu être ranimée. Ses derniers mots furent des vers d’Anna de Noailles (1876-1933), poétesse issue par son père de la noblesse roumaine (Boyards) expatriée à Paris. Ces mêmes vers furent l’épitaphe sur la tombe d’Henri Lagrange (1893-1915), un des plus grands espoirs des lettres françaises militant nationaliste, Camelot, tombé à vingt ans. Devant un aréopage de médecins allogènes médusés et incrédules, nous entendons Choko clamer dans un dernier souffle ces vers qui tiennent de Ronsard et de Nerval.

Parfumés de trèfle et d’armoise, Serrant leurs vifs ruisseaux étroits, Les pays de l’Aisne & de l’Oise, Ont encore les pavés du Roi…

D’aucuns voient dans cette fin le panache dans la mort d’une figure féminine antique ou l’héroïne d’une tragédie de Racine. D’aucuns y voient aussi une mort volontaire (seppuku) propre à la culture japonaise quand l’honneur est bafoué ou que tout est perdu. Nous savons que Choko se plaisait et excellait à faire converger les deux traditions.

François-Xavier Laisne




Pourquoi vous ne me ferez pas pleurer sur le Général de Villiers

Vous ne me ferez pas pleurer sur le Général De Villiers, et même s’il fut le chef du 4ème Régiment de Dragon de Mourmelon, cette cavalerie qui m’est chère mais qui a été dissoute dans le cadre de la ruine de l’armée, j’aurai difficilement du chagrin…

S’il est louable qu’un chef d’Etat-major défende les intérêts de l’institution à travers son budget, il convient de s’interroger sur les objectifs récents de celle-ci. Et c’est là le principal, fondamental et douloureux grief, nous ne pouvons que constater que notre armée, nos soldats, nos forces ont été mises à la disposition de mauvaises causes, d’intérêts étrangers et de funestes et terribles destinées. Et alors ce n’est pas de l’irrespect que nous pouvons légitiment nourrir envers les chefs de cette armée mais davantage, une incompréhension et même encore plus une irrévérence, une mésestime, un mépris. Pour ma part, mes amis, mes camarades, mes frères je ne peux plus être solidaire et cautionner sous les faux prétextes de la loyauté et de l’obéissance ou d’une espèce de gloriole crétine, la faiblesse, le suivisme, le carriérisme et « l’intelligence »…

C’est le cœur gros que nous devons revenir sur ces événements peu glorieux. Nous sommes tristes de nous les remémorer mais nous nous obligeons à demeurer libres, francs, honnêtes et sans complaisance…
Les reproches que nous avons à adresser aux généraux et officiers de notre armée ne sont pas minces, car ils ont conduit notre pays au déshonneur et peut-être à l’irrémédiable. Eux ont obéi et ont été partie prenante d’actions sordides et meurtrières œuvrant directement contre les intérêts supérieurs de notre nation, atteignant le cœur d’un pays et d’un peuple amis, meurtrissant le nôtre.

Concernant le Général de Villiers, si nos chers AMX 30, notre cavalerie blindée ont été tenus à l’écart des plus regrettables et détestables opérations étant tournés sur le front de l’Est jusqu’au début des années 90, c’est bien sous son commandement qu’ont été engagés nos chers chars Leclerc dans les plus déshonorantes tâches et charges… Je veux parler de nos frères serbes. Si De Villiers ne semble pas avoir pris part aux plus infamantes actions qui ont conduit à la fin des années 90 l’arme la plus couarde, celle de l’air, à bombarder Belgrade semant la mort et la désolation parmi la population civile, il a été incapable ensuite au Kosovo de garantir la sécurité des serbes sur leur terre spirituelle ancestrale. Lâcheté, infamie, oui camarades, les plaies ne sont pas refermées quand on vous oblige vous et votre mire à cibler vos amis et vos frères les plus valeureux, quand votre pays se fait l’allié et le complice des pires atrocités, quand il sert un ennemi kosovar financé par l’empire du chaos, les Etats-Unis, l’Arabie saoudite pour ne citer qu’eux, quand votre pays ferme ensuite les yeux sur le dépeçage au sens premier du terme des enfants de ceux qui ont mêlé leur sang avec ceux des vôtres en 1914 et avant, quand les membres (reins, poumons, et cœurs, foies et jusqu’aux yeux) de ces enfants sont vendus par un Etat mafieux et extrémiste en Orient et au Proche-Orient.
Nous ne pouvons en conséquence soutenir Monsieur De Villiers qui d’autre part a servi docilement tout ce que cette République a produit dernièrement de plus nul, de plus vulgaire et de plus nocif. Je veux parler ici de Messieurs Sarkozy et Hollande. Horreur est le mot qui nous vient et nous aurions démissionné mille fois…

Le plus infâme est la Serbie, le plus dramatique est la Libye. C’est une erreur de respecter ces chefs étoilés, qui se complaisent à faire une cour obséquieuse pour quelques breloques, pour quelques grades en chocolat, et plus sûrement pour un traitement, à ceux qui ont voué une haine à la civilisation européenne et premièrement à son phare, la France. Je veux dire ici tout le dégoût que m’inspirent ceux qui ont servi au plus haut car ils ont de fait honteusement obéi comme des brutes à la pire créature, l’apôtre du mondialisme (mais aussi de son « tribalisme » privé exécrable) Bernard Henri Lévy. Les faits sont accablants. Notre armée a obéi en réalité en Serbie, et en Libye à Bernard Henri Lévy porte-voix et porte-flingue. Et nous savons ce qui motive cet état dans notre Etat, sa haine des peuples et des nations, sa haine du pays réel, la France, son obstination à détruire ses bases ethniques et cultuelles, ses liens irréductibles avec d’autres intérêts que les nôtres. A sa suite tous ont accouru pour participer à la curée du peuple serbe puis du peuple libyen… Par de grossières manœuvres, notre armée a été le bras de ces crimes. L’invasion en cours de notre continent est directement en lien avec le chaos organisé violemment en Libye par les mondialistes ou cosmopolites. Ce sont les mêmes qui ont voulu détruire la Syrie, et ce sont les mêmes qui ont semé la mort en Irak sous des prétextes fallacieux. A chaque fois nos chefs serviles ont obéi avec un zèle consternant. Il n’y a rien à attendre d’eux.

Pour en revenir à ces chefs, il faut avoir peu d’honneur et même aucun pour endurer ce défilé du 14 juillet 2017 grotesque où, par ailleurs, un siècle après les plus effroyables sacrifices (et je pense aux miens), cette institution a été ridiculisée sous le regard goguenard et inquiétant ou débile d’Emmanuel Macron. Voir se trémousser nos militaires comme des folles, les voir réduits à « village people » faisait pitié… Il ne leur manquait plus pour boire le calice jusqu’à la lie, pardonnez-moi cette image mais elle me semble la plus adaptée, que des plumes d’autruche dans le derrière. Pour reprendre les propos du Général De Villiers, cela fait plus de 20 ans que notre armée maintenant directement aux ordres de l’Otan et de Bernard Henri Lévy et sa clique se fait « baiser » et nous avec… C’est à l’aube de sa retraite et au crépuscule de sa carrière qu’il peut se retirer, ne risquant plus grand-chose et même plus rien.

François-Xavier Laisne




Hommage aux Nôtres, morts pour la France

Ils gisent là tous alignés, ils sont plus de 20 000 allongés, mais les corps démembrés, ils sont plus de 40 000 tués… Les croix s’alignent sur la colline où sont les milliers de sacrifiés. Les croix en rangs serrés sur la colline forment l’armée des trépassés qui, il y a quelques dizaines d’années, ont consenti à tout donner, à tout verser.

Ils sont 40 000 mais bien plus de 500 000, cette armée des oubliés.

Ils gisent là tous reposés, tous camarades des tranchées. Ils gisent là tranquilles depuis un siècle, cette jeunesse fauchée. Ils gisent là après l’effroi dans la gloire auréolée, défigurée… Ils ne demandent rien et restent immobiles, leurs mères se sont éteintes, leurs parents ne fleurissent plus leurs tombes, toutes les fleurs se sont fanées et les larmes se sont séchées.

Ils restent quelques vieux soldats d’une petite guerre veillant tristement sur toutes ces ombres, sur ces militaires d’outre-tombe, sur cette légion de disparus. Personne n’en parle plus après que soit enterré le dernier des oubliés.

Je vais sur la colline où tes aïeuls se sont battus pour mon pays bien mal foutu… Au loin s’étalent les belles contrées qui il y a un siècle furent bouleversées par ces armées de naufragés. Au loin s’étalent d’immenses terrils, fruits douloureux d’une autre armée, qui durant deux siècles a travaillé comme des rats faits prisonniers, dans le charbon et dans l’acier, dans la solidarité des damnés, pour enrichir quelques familles, nourrir une autre vermine….

Je suis sur la colline où ton aïeul a succombé dans la crasse et la saleté pour un millimètre, un mètre-carré, pour l’honneur et la solidarité de ses camarades infortunés. Je suis dans les pas de ton ancêtre qui irrigua de ses artères, de ses veines, de tout ce sang caillé versé, de son tout corps déchiqueté cette terre sanctifiée et protéger ses sœurs, jusqu’à sa mère que nous ne saurions plus sauver…

Autour de moi est le silence que rompent quelques dissipés, qui ne respectent pas la dignité de ce lieu et de ces hommes si éprouvés… Au loin vers l’Est c’était Verdun, qui fut il y a peu outragé et profané par une cohorte de paumés menés et entraînés par les pires nullités…

Je suis sur la colline où veille Notre-Dame de Lorette, sur cette colline martyrisée.

Elle trône sur deux provinces, deux morceaux de cette France, de l’Artois et de la Flandre. Deux provinces mutilées comme la Champagne qui est sacrée… L’homme qui gît et ici repose ne demande pas grand-chose, juste un moment, un instant dont tu disposes… Juste un recueillement qui pour lui s’impose…

Ils ne demandent pas le panthéon, eux qui ont servi sur tous les fronts, sous l’averse des obus, les pieds gelés, les corps fourbus, dévorés par la vermine, crevés par la boue et la souillure cette armée de suppliciés… Ils ne demandent pas l’académie tous ces héros, ces condamnés, tous ces illustres noms qu’ils soient tués, estropiés ou rescapés… Juste peut-être que tu te souviennes qu’ils consentirent aux sacrifices dans d’étranges feux d’artifice, mais eux sans artifices.

Qu’ils consentirent d’être cloués sur l’autel des idées, de la France et ses réelles solidarités, pour une étrange liberté qui aujourd’hui est confisquée et qu’en face d’eux des frères de la même classe dans cette guerre se fracassaient, se suicidaient, se liquidaient à la même place, dans la même culture-identité,sous l’œil des mêmes rapaces qui aujourd’hui se repaissent de notre noble race.

François-Xavier Laisne

 




Islam-immigration : le recentrage du FN est préjudiciable à la cause

A l’issue des présidentielles et avant les législatives, il nous a paru nécessaire d’établir quelques constats. Les présidentielles se soldent par notre demi-échec. Ce n’est pas un échec total, puisque 35% de nos compatriotes conscients des enjeux se sont portés sur la meilleure des options pour les uns, ou la moins mauvaise pour les autres. Il nous faut regretter deux choses : la première est ce fameux débat calamiteux entre les deux tours sans lequel notre camp aurait dépassé les 40%. En cela, nous ne pouvons considérer cet épisode comme un échec total mais comme un espoir. Si encore minoritaires nous sommes, nos idées ont progressé y compris et surtout chez nos alliés naturels, les électeurs de la droite traditionnelle qui n’existe pas ou plus.

Au-delà de la forme, des limites personnelles ou erreurs stratégiques de celle qui incarnait nos espoirs et notre combat, nous devons avoir la lucidité et le courage de relever des éléments fâcheux. Il y a eu au sein du discours du FN, premier parti d’opposition nationale, une dérive concernant l’islam et l’invasion.

Sur l’islam, sans évoquer les accommodements nécessaires des collaborationnistes, et tout en sachant gré à Marine Le Pen de s’être engagée contre le « fondamentalisme islamique », la distinction qu’elle opère entre islam et islamisme ne tient pas. L’islamisme est consubstantiel à l’islam, parce que l’islam forme un tout, qu’il est à fois politique et religieux, que c’est aussi un code civil qui régit la vie privée, de l’individu à la famille et au groupe avec tous les délires et les déviances dont nous sommes témoins (rapport aux femmes, aux autres, qu’ils soient d’une autre religion, agnostiques ou athées, l’alimentation, rapport aux animaux, rituels quotidiens, etc.), et avec toutes les formes de pression morale et physique dont l’islam use, y compris la terreur. Aucune zone islamisée, aucun pays ne souffre d’exception. Où l’islam s’impose règne la soumission à ses principes, la liberté disparaît, le contrôle de tous par tous est la norme, l’air devient irrespirable. L’islam, n’en déplaise à Marine Le Pen, n’est pas compatible avec nos valeurs, qui dépassent de loin celles de « la République » mais qui sont celles d’un des peuples les plus importants de la civilisation européenne.

Sur l’invasion, la position de Marine le Pen ne tient pas, même si elle apparaît comme la moins pire sur le sujet. En reprenant le mythe de l’intégration, en considérant qu’il suffit d’avoir une carte d’identité française pour être français, le Front national fait fausse route. La masse de l’invasion oblige à considérer ce fait comme une agression mortifère qu’il faut dénoncer et combattre sans nuances. Une majorité des allogènes arrivés depuis le regroupement familial a vocation à retrouver son espace culturel naturel. Pour recouvrir notre sérénité et envisager l’avenir, notre pays doit retrouver son homogénéité ethnique. Le Front national ne peut prétendre combattre l’invasion tout en réfutant la nature du peuple français, peuple blanc européen.

Si les pays d’Europe centrale, la Pologne, la Hongrie, la Tchéquie, ont le bénéfice d’avoir à leur tête des dirigeants défendant les intérêts et la sécurité de leur peuple, nous avons l’inverse en Europe occidentale. Les plus grands pays européens sont occupés par des dirigeants collaborationnistes. Notre combat se heurte à ce mur qui détient tous les pouvoirs et qui est ainsi le premier agent de notre drame.

Nos ennemis occupent les postes politiques, les médias, la justice, l’enseignement et la haute administration déconcentrée (préfets). En réaction, nous possédons quelques médias alternatifs, des réseaux sociaux en partie censurés, la sociabilité de nos proches et de nos familles, quelques mouvements politiques avec le FN qui demeure à la fois une force et une faiblesse.

On ne peut plus considérer le Front national comme l’unique solution politique à notre problème existentiel. Son recentrage est préjudiciable à la cause. Il fixe d’autre part notre colère, sans danger pour le système qui l’utilise et s’en accommode. Tout cela nous éloigne d’autres actions et d’autres mouvements plus adaptés dans le contexte des agressions internes et externes que nous subissons. Il s’apparente plus à un choix par défaut en attendant les inflexions indispensables. Le souverainisme stricto sensu, qu’il soit social ou libéral, n’est plus une réponse à la hauteur des enjeux. Nous voyons, avec Londres, l’Allemagne en voie de disparition, l’Italie submergée, la Suède ravagée, que nos maux concernent l’ensemble des peuples frères. Une lutte globale doit s’enclencher avec ses déclinaisons nationales, ses liens intra-européens, et avec pour axe obsessionnel la défense de notre identité, ethnique, linguistique, territoriale, historique, de notre droit légitime à perpétuer notre héritage, nos usages, notre univers, notre imaginaire…

Sur les moyens, sur la méthode. Nous voulons rendre ici hommage aux « Identitaires » qui ont anticipé à la fois sur le fond et la forme les grandes problématiques auxquelles nous sommes confrontés. Nous invitons nos lecteurs à les soutenir et/ou les rejoindre. Pour autant, il nous semble de plus en plus évident que si la lutte politique est indispensable, notre lutte qui ne fait que commencer, demande un renouvellement des modes opératoires, de plus grands engagements. Nos ennemis intimes trahissent pour l’heure en toute impunité, ouvrant grande la porte à l’invasion et l’islamisation. Notre engagement doit être à la fois global et total pour nous prémunir en premier lieu des vrais responsables de notre situation : les traîtres. Clairement, il importe qu’ils cessent de nuire avec uniquement les bénéfices.

François-Xavier Laisne




Dominique Venner appelait à renouer avec notre identité et à résister

Dans le cadre du combat culturel, il nous a paru nécessaire de faire découvrir à nos lecteurs et les inciter à la lire, l’oeuvre magistrale de Dominique Venner, Histoire et Tradition des Européens, 30 000 ans d’identité, publiée aux éditions du Rocher en mars 2015.

Dominique Venner, intellectuel autodidacte, est à l’image d’un Marc Aurèle, maîtrisant les armes et les mots, le combat et la réflexion. Il est de ces hommes qui manquent à la France et à l’Europe. Que son oeuvre et son sacrifice fassent naître ou renaitre une nouvelle armée.

Ce livre fait le constat de notre drame, un drame sans précédent dans notre histoire commune, vieille de 30 000 ans, dont les premiers signes connus sont les grottes ornées (art rupestre) de nos lointains ancêtres. Ce drame n’est pas une nouvelle guerre fratricide, ce drame est d’abord en nous, c’est notre abandon de nous-mêmes : « L’Etat de chaos n’est pas seulement le résultat d’un enchaînement de hasards, de menées hostiles et de catastrophes historiques. Il est la conséquence, d’un bouleversement spirituel, celui du nihilisme absolu, autrement dit l’oubli de notre tradition ».

Oui le mal est d’abord en nous, car comme le souligne Dominique Venner « Par un mouvement instinctif de survie, tous les peuples font retour à l’identité » mais ajoute-t-il « Frappés à l’âme par l’oubli d’eux-mêmes et par leur culpabilisation, seuls les Européens, ne le font pas ».
C’est parce que nous sommes touchés par ce mal que « Pour la première fois dans leur histoire multimillénaire, les peuples européens ne règnent plus sur leur propre espace, ni spirituellement, ni politiquement, ni ethniquement ».

L’objet de ce livre est de nous faire découvrir ou redécouvrir notre tradition ou histoire commune. Il est une fresque qui s’appuie sur des faits mais propose une vision métaphysique de l’histoire de l’Europe à partir de l’évocation de ces grandes figures et de ces grands courants, des poèmes homériques à la littérature chevaleresque, de l’Antiquité grecque à la Renaissance, des nationalismes aux révolutions techniques.

Il est une critique de notre moment contemporain, celui de l’illusion du progrès, de notre propre enfermement dans la technique et le matérialisme qui nourrissent l’individualisme. Ce cercle vicieux du nihilisme et du chaos. Il est une mise en garde contre ces menaces « faustiennes ».

Ce livre est aussi une espérance, tout n’est pas perdu à la seule condition de renouer avec notre héritage et de revenir à nos sources communes. Cette source est d’abord antique, c’est le récit des origines d’Homère, livre sacré des Européens. Et il cite la philosophe Simone Weil morte en 1943 « L’Europe a été déracinée, coupée de cette antiquité où tous les éléments de notre civilisation ont leur origine ».

Ainsi au constat amer et angoissant de notre possible anéantissement, Dominique Venner commence et termine son introduction flamboyante par deux exhortations qui ont à faire toujours et encore avec la volonté et la poésie, qu’expriment si bien le génie de nos peuples et de notre race :
« Ce n’est pas dans la mollesse, mais dans la fermeté de l’esprit et la résolution du coeur que sera engendré notre avenir ».

« Notre monde ne sera pas sauvé par des savants aveugles ou des érudits blasés. Il sera sauvé par des poètes et des combattants ».
Dominique Venner fut les deux…

François-Xavier Laisne




Macron sert Mammon, démon lié à la richesse mise au service du mal

Comment ne pas voir en Macron, la créature façonnée par les puissances phénoménales, monstrueuses et maléfiques de l’hyper classe mondiale, par les puissances infernales du lucre, du commerce universel et de tous les vices véniels et associés que peut procurer la démesure ou l’hubris des profits accumulés sur tout ce qui peut se vendre, sur la sueur des hommes et leurs détresses une résurgence de MAMMON, un des princes de l’enfer, MAMMON démon lié à la richesse quand elle est mise à la disposition du Mal…

L’évangile de Matthieu nous dit « Aucun homme ne peut servir deux maîtres : car toujours il haïra l’un et aimera l’autre. On ne peut servir à la fois Dieu et Mammon ». Comment ne pas voir en Emmanuel Macron le serviteur de Mammon, lui l’homme de la Banque qui traite des affaires sans priorité nationale et morale identitaire, qui vend à l’un, qui achète à l’autre y compris aux ennemis de la France et de la civilisation, lui qui au gouvernement a vendu à des intérêts étrangers deux fleurons de notre industrie, deux multinationales françaises impliquées dans des secteurs stratégiques, le nucléaire pour Alsthom, le pétrole pour Technip.

Macron mène son OPA hostile sur la France

http://ripostelaique.com/macron-mene-son-opa-hostile-sur-la-france.html

Comment croire que cet ennemi de la fille aînée de l’Eglise, lui qui l’a trahie et bafouée ou violée en Algérie, lui qui méconnaît une histoire qu’il méprise puisse incarner la continuité de l’Etat et représenter la France héritière d’un baptême, héritière de Clovis et des Francs. Lui, le suppôt d’entreprises sataniques, qu’elles soient islamiques, franc-maçonnes, du Crif ou d’autres coteries. Lui qui évoque des crimes contre l’humanité alors que ces crimes sont perpétués depuis des années contre notre nation et nos nations sœurs des peuples blancs européens. Emmanuel Macron a vendu sa mère aux Algériens.

http://ripostelaique.com/emmanuel-macron-a-vendu-sa-mere-aux-algeriens.html

Comment ne pas penser qu’une fois arrivé au pouvoir Emmanuel Macron, avec la cohorte des démons qui l’accompagnent n’instaurera pas le règne de l’immoralité, du stupre et de la concupiscence obscène en même temps que le pillage et le naufrage. Voyez cet entourage démoniaque qui se presse à sa suite. Parmi cette engeance, n’êtes-vous pas inquiet d’y retrouver l’aréopage des plus incapables, des plus veules, des plus traîtres, des plus cupides, des plus arrivistes, des plus orgueilleux, des plus insignifiants, nuls et destructeurs de notre « personnel politique » ou «du système tout court », au premier rang desquels émerge la figure sinistre et inquiétante de Pierre Bergé. Lui le propriétaire de l’immonde Le Monde, lui qui eut cette phrase diabolique concernant les femmes et la GPA assumant et encourageant ni plus ni moins que leur esclavage, «Louer son ventre pour faire un enfant ou louer ses bras pour travailler à l’usine, quelle différence ?». Nous voyons avec stupeur Emmanuel Macron, dont on pressent les penchants inavoués, ses liens « très proches » avec une autre créature du système Mathieu Gallet « PDG » de Radio France sont soigneusement mis sous le boisseau – Closer supprime un article sur Macron et Mathieu Gallet qui dérange, donc tout le monde doit le lire – parvenir au pouvoir dans notre pays devenu un cloaque et dans les griffes de cette armée luciférienne, monétiser pour Mammon, en même temps que notre patrimoine, l’enfant à naître, le ventre des femmes, en premier lieu celui des Françaises les plus pauvres, les plus asservies, les plus démunies, les plus malheureuses, les plus en détresse.

http://www.dreuz.info/2017/02/06/closer-supprime-un-article-sur-macron-et-mathieu-gallet-qui-derange-donc-tout-le-monde-doit-le-lire/

Nous voyons MAMMON et son serviteur ricaner de notre misère morale, de notre avilissement, jouir en compagnie du veau d’or et du prince de l’Enfer de notre spectacle désolant, de notre abaissement, de notre décadence, de notre chaos, de notre descente, de notre anéantissement, de notre désolation. Nous voyons François Hollande se retourner, et de son rire débile et niais se réjouir de nos ruines, posant un regard paternel et affectueux sur sa créature, puis toujours à l’ombre de son rejeton damné se goinfrer du labeur des innocents dans un de nos châteaux accaparés et souillés, tel Dracula ou Ceausescu affublé d’une autre bécasse et de sa famille.


Parmi la cohorte diabolique, nous retrouvons Daniel Cohn Bendit, l’ex éducateur ennemi des nations européennes qui fit un jour l’éloge de la pédophilie à la télévision (Daniel Cohn Bendit avoue sur un plateau tv aimer les enfants, ainsi que dans un livre « le grand Bazar 1975 » certainement inspiré par l’esprit démoniaque ou Pan et dans lequel il écrivit :
« Il m’était arrivé plusieurs fois que certains gosses ouvrent ma braguette et commencent à me chatouiller. Je réagissais de manière différente selon les circonstances, mais leur désir me posait un problème. Je leur demandais : “Pourquoi ne jouez-vous pas ensemble, pourquoi m’avez-vous choisi, moi, et pas d’autres gosses ?” Mais s’ils insistaient, je les caressais quand même. […] J’avais besoin d’être inconditionnellement accepté par eux. Je voulais que les gosses aient envie de moi, et je faisais tout pour qu’ils dépendent de moi ».

Oui c’est bien Daniel Cohn Bendit nouvellement Français, interdit de séjour dans la Sainte Russie et pratiquement en Pologne qui s’est empressé de rejoindre la meute dégoûtante d’Emmanuel Macron, sans rejet ou même réserves de la créature. Et que penser de l’exécrable François Bayrou, « catholique » du même acabit que le « tragi-bouffon » et inénarrable François sis à Rome au Vatican, qui un jour s’opposa avec virulence à l’abject Dany pour se retrouver aujourd’hui dans le même bouge et lupanar. Pathétique François Bayrou, ou l’itinéraire d’un enfant vraiment gâté dans le sens d’avarié ou de pourri…

Bayrou Cohn-Bendit : le clash

https://youtu.be/DttjpawaNM8 

Que feront tous ces hommes une fois la puissance de MAMMON et celles des institutions politiques encore plus intiment liées et peut-être livrées aux mains d’un néo et infernal MOLOCH ? Que feront ces hommes mûs par des intérêts et des pulsions ignobles avec en plus la puissance destructrice des médias de propagande, et notamment celle de Berger, de Drahi ou celle de la presse d’Etat aux ordres ?
L’empire Drahi, de BFM-TV à Libération, a sa marionnette : Macron

http://ripostelaique.com/lempire-drahi-de-bfm-tv-a-liberation-a-sa-marionnette-macron.html

Et avec l’assentiment de la justice qui cautionnera les crimes même les plus détestables…
Les juges et leur parti… http://ripostelaique.com/les-juges-et-leur-parti.html

Assurément le danger funeste est dans l’enfer que ces démons parent des « meilleures intentions ». Enfer babylonien du gouvernement mondial, qui nécessite en amont et dès à présent la destruction de toutes les nations, et en premier les nôtres sous le joug des armées innombrables de l’invasion et la profanation de nos « lieux de pouvoir et de mémoire ».

François-Xavier Laisne




Du zoo de Thoiry au lycée Suger de Saint Denis, la barbarisation des moeurs


A quelques lieues de notre château de Versailles, tout près de ce qui fut le cœur de la civilisation des mœurs, du raffinement, tout proche de ce qui fut la dynamique de l’occident, témoignage outragé de ce que fut la France au siècle de Louis XIV, son éclat, sa puissance, sa grandeur, à un souffle de ce qui fait encore notre gloire auprès des autres peuples et nations du Monde qui méconnaissent en partie notre drame. Oui mes amis non loin de ce lieu symbolique de notre splendeur passée, à l’ombre de la Lumière du Grand Roi, à Thoiry, un autre château des grands siècles hébergeant un magnifique parc et refuge animalier, on abattait en même temps que Vince, le rhinocéros blanc, âgé de 4 ans, un pan de notre civilisation.

Vince nous dit-on laconiquement dans Le Parisien, « un rhinocéros blanc mâle âgé de 4 ans, a été abattu par des malfaiteurs qui lui ont volé sa corne. C’est vers 9 h 30 qu’un soigneur a découvert le cadavre de l’animal, tué de trois balles dans la tête. Sa corne avait été découpée à la tronçonneuse». Loin d’être anecdotique, ce fait criminel, ce premier acte de braconnage « de norme africaine », en Europe est à rapprocher de la litanie des crimes, délits qui endeuillent un peu plus chaque jour notre pays et qui jettent un voile sombre et horrible sur ce qui fut la civilisation.

Norbert Elias, sociologue allemand a justement parlé de « civilisation des mœurs » pour décrire le processus de sophistication et de raffinement des comportements à partir de la fin du Moyen-Age qui furent à l’oeuvre en Europe. Nous remonterons plus loin et nous dirons qu’à travers le rapport des hommes et des femmes en Occident (Georges Duby), notre civilisation riche de 30 000 ans d’identité (Dominique Venner) ces usages étaient ancrés au plus profond de notre mémoire, et bien avant la Renaissance, après l’an mille, en Champagne, en Languedoc et en Catalogne s’épanouissait « le fin’amor » ou amour courtois que chantaient poètes, trouvères du Nord de l’Europe, troubadours du Sud.

Notre continent européen, notre pays après de continuelles « guerres civiles », auraient dû reprendre cette marche vers le mieux et le beau, et en lien avec notre sujet engager de nouveau ce rapport respectueux de la cause animale, animaux, être sensibles, êtres vulnérables soumis au bon vouloir des hommes. A partir de ce crime de Vince, et au-delà, à travers les cruels rites superstitieux et quasi démoniaques de croyances qui nous sont étrangères, à travers ces égorgements et leurs montagnes de souffrances qui emplissent d’effrois le peuple héritier de la civilisation des mœurs, nous constatons l’inverse, la barbarisation de notre pays. Non plus rien n’est épargné, y compris des espèces déjà accablées par le braconnage en Afrique particulièrement.

Comme nous autres Français et Européens, Vince est devenu une proie dans ce qui aurait dû demeurer son sanctuaire dans l’indifférence de la médiacratie honnie. Ses soigneurs et Colomba de la Panouse, héritière d’un noble nom et d’une noble lignée, désemparés, n’ont pu que constater leur impuissance malgré tous les efforts consentis pour protéger leurs amis. De fait cet îlot de paix et d’amour, ce havre de douceur, de quiétude et de repos, comme le fut toute notre France, jusqu’alors préservée est lui-même touché par la cruauté qui gangrène et gagne tout autour…

Vince odieusement assassiné est une métaphore de notre drame. Il est au fond comme nous la victime de deux fléaux, le cosmopolitisme et le libéralisme planétaire, deux phénomènes sauvages et sans limites vantés par le système aux commandes, ce système qui nous accable depuis la mort de Charles de Gaulle, qui fait des hommes et notamment des femmes (la GPA défendue par le sordide Pierre Bergé, un des principaux promoteurs de la créature Emmanuel Macron à partir de l’immonde Le Monde) et de tous les animaux de vulgaires marchandises et des proies et il est aussi victime des usages et pratiques présents sous d’autres contrées.

Avec la submersion et la colonisation de notre espace naturel, nous avons les fonctionnements et dysfonctionnements étrangers à notre peuple horrifié et terrorisé. Et nous passons un peu plus chaque jour de la sophistication des usages et comportements, de la pacification des rapports sociaux à des formes diverses de barbarie, au déclin, à la décadence. Cette barbarisation des moeurs et des rapports humains et sociaux se vit et s’exprime au quotidien, dans votre rue, à l’hôpital, dans votre train, au travail, de la crèche à l’école, au volant de votre voiture, du zoo comme avant-hier, au lycée comme aujourd’hui, elle est partout et tout le temps… Oui mes amis aujourd’hui, dans un lycée aux portes de Paris, dans ce lycée à l’illustre nom (Suger 1080-1151, abbé de Saint-Denis est l’initiateur de la cathédrale gothique connue de par le monde, il fut aussi un grand « ministre » de Louis VI et de Louis VII), elle bafoue notre histoire à travers celle de nos rois, entravant leur repos éternel dans leur nécropole charnelle, en la cathédrale de Saint-Denis. Comme avant-hier à l’ombre de Versailles et du château de Thoiry, c’est la civilisation des mœurs qu’on assassine. Une terreur bien plus grande que 1792 et des années de fureur nous menacent, terreur ethnique et sauvage infiniment plus que politique.

http://www.fdesouche.com/830893-lycee-suger-saint-denis-93-les-parents-des-gardes-vus-protestent

Sur les portes de bronze du portail royal de la cathédrale de Saint-Denis, Suger a fait graver ceci… « Qui que tu sois, si tu veux exalter l’honneur des portes, N’admire ni l’or ni la dépense, mais le travail de l’oeuvre. L’oeuvre noble brille, mais l’oeuvre qui brille dans sa noblesse devrait illuminer les esprits, afin qu’ils aillent, à travers les vraies lumières, Vers la vraie lumière, où le Christ est la vraie porte. Ce que la vraie lumière est à l’intérieur, la porte dorée le détermine ainsi L’esprit engourdi s’élève vers le vrai à travers les choses matérielles, Et plongé d’abord dans l’abîme, à la vue de la lumière, il resurgit. » Comment la laideur qui fait loi dans notre société contemporaine qui inverse toutes les valeurs, toutes les proportions du beau et du vrai pourrait-elle relever les « esprits engourdis » et sauver les autres Vince et nous-mêmes ? Il nous faut donc rebâtir sur nos socles et soutenir notre front…

François-Xavier Laisne




La journaleuse Lapix, épouse du PDG de Publicis-WF, magistralement mouchée par Philippot

Tombant au hasard sur un résumé de l’émission de C à vous animée par le duo infernal, Anne-Sophie Lapix et Patrick Cohen, et l’interview inquisitoriale de la harpie de service public, j’ai voulu en savoir davantage sur la jolie fleur déguisée en vache….

« C à vous » : Gros clash entre le duo Lapix / Cohen et Florian Philippot (vidéo) http://www.fdesouche.com/829993-c-vous-gros-clash-entre-le-duo-lapix-cohen-et-florian-philippot via @f_desouche

On note dans sa biographie des origines gasconnes avec une enfance à Saint-Jean-de-Luz au Pays Basque, puis le parcours classique de formatage de l’armée des journalistes standardisés autant que lobotomisés, profession largement « ubérisée » et démonétisée (après l’obtention de son diplôme de l’Institut d’Etudes Politiques de Bordeaux, elle entre au Centre de Formation des journalistes –CFJ- à Paris). Il en va de cette profession comme de la plèbe gauchiste, où celle-ci bien qu’exploitée et humiliée se sent obliger d’hurler avec les chefs de meute. La piétaille dans ce métier, c’est celle des médias périphériques, petits quotidiens régionaux, France 3, magazines de tout et de rien, papier journal, papier toilette, qui rêve des feux de la rampe, du média central parisien, Paris front de Seine, à Boulogne, ou en face dans le 15ème ou à défaut et pas loin, le 16ème et la « maison de la radio », ou encore un grand journal, l’immonde Le Monde au hasard. Le fric c’est chic malgré tout, y compris celui de la redevance que vous payez (et des subventions que vous payez aussi !) et surtout pour nos amis des journaux qui en palpent beaucoup…

Anne-Sophie Lapix c’est un exemple de l’aristocratie des fleurs de poubelles qui envahissent les plateaux. Elle s’est fait une spécialité de tailler en pièce le parti du bon sens notamment sous l’angle économique, mais s’emmêle les pinceaux. Fâcheux pour l’épouse d’un multi-millionnaire patron de Publicis. Anne-Sophie Lapix s’est mariée avec le publicitaire Arthur Sadoun le 26 juin 2010 à la mairie du 16e arrondissement de Paris. Qui est ce mystérieux Sadoun ? Nous allons résumer les choses ainsi, de manière brute, objective et factuelle comme on dit, telles qu’elles nous apparaissaient et nous sont décrites dans « L’observatoire des journalistes et de l’information médiatique » (afin aussi d’éviter tout procès d’intention).

Nous constatons de nouveau les rapports incestueux relevés chez BFM poubelle, et RMC entre les médias à partir de leurs têtes d’affiche (Elkrief, Bourdin, Lapix, etc.) entretenues par le monde trouble des affaires, les politiques, et de puissants intérêts financiers. Le clivage comme le souligne Eric Zemmour et d’autres est bien entre ce monde cosmopolite intéressé commercialement et idéologiquement à la destruction des Etats et des peuples et celui des permanences.

Toute société traditionnelle, produit d’une longue histoire représente pour l’hyper classe mondiale un obstacle à la fois pour leur dogme libéral marchand mais aussi pour leur marche démentielle vers un Etat ou gouvernement mondial (cf. nos précédents articles sur Drahi et Macron).

Florian Philippot n’avait pas devant lui une pasionaria gauchiste, mais bien la femme du principal financeur de Terra Nova, puissant et influent homme d’affaires, autre représentant de cette caste suprématiste. Terra Nova dont nous ne soulignerons jamais assez qu’elle est l’âme damnée du « parti socialiste » puisque ce groupe de réflexion (le plus écouté au sein du « PS ») a officiellement appelé au changement de peuple pour des raisons électorales. C’est avec raison, que Florian Philippot a évoqué le mépris et la condescendance déplacée qui transpirait de la mine déconfite et colérique d’Anne-Sophie Lapix. Car pour cette hyper classe, le mépris de notre peuple, de notre culture se double d’un mépris de classe….

François-Xavier Laisne