« La violence sacralisée » : Un islam réel, à partir de ses propres sources

L’islam se présente trop souvent comme un système d’amour, de tolérance et de paix. Il contraste pourtant avec la réalité de la haine, de l’intolérance à l’autre et des guerres interminables suscitées depuis le VIIe siècle.

Comment éclairer le débat, comment démêler les grands axes de compréhension de cette idéologie qui ensanglante encore le monde ?

« La violence sacralisée », essai à 4 mains de 2 éminents connaisseurs des textes islamiques « sacrés », analyse avec rigueur les convictions et les comportements de l’islam réel, souvent bien distinct de l’islam de rêve des islamophiles.

Dans la mesure où l’islam, au-delà de ses pratiques diverses, se réfère totalement au Coran et aux conduites relatées de Mahomet, les auteurs ont procédé à une exploration minutieuse de ce suprématisme qui a colonisé une partie du monde.

La violence propre à l’homme a été, dans l’islam, sacralisée  progressivement dans des textes afin de légitimer, sans culpabilité, des actes parmi  les plus inhumains. C’est la seule croyance, la seule idéologie, à notre connaissance, qui demande de piller, de tuer, de violer, d’éradiquer des peuples pour « plaire » à son dieu et mériter son paradis… et sans jamais se remettre en question.

Les deux auteurs ont vécu dans des pays islamiques. Ils savent de quoi ils parlent et à qui ils ont à faire.

Toufik MANAR fut musulman de naissance, érudit arabisant et conscient des défis culturels imposés par le prosélytisme islamique. Sa lucidité met sa vie en danger, ce qui est significatif du traitement réservé aux dissidents issus de l’islam et aux critiques en général.

Guy SOREL, déjà interviewé par Charles DEMASSIEUX pour son précédent ouvrage « Psychanalyse d’Allah », est passionné par les théories et les pratiques des idéologies, des utopies totalitaires et de leurs affinités paranoïaques perverses.

Ce livre est une référence quasi encyclopédique pour qui souhaite posséder des arguments solides sur la culture, les dogmes,  les courants et les stratégies islamiques  dans leurs objectifs paranoïaques de domination mondiale.

Guy SAUVAGE

https://leseditionsdeparis.com/collection/actuels/la-violence-sacralisee




Virus et islam : incertitudes et convictions

            

Un virus, cause d’infection pulmonaire mortelle à 2 % environ : oui.

Des connaissances incomplètes et des incertitudes scientifiques : oui

Une cacophonie d’experts en désaccord, mais qui avancent leurs convictions avec autant de force que leurs ego : oui

Le public profane qui ne peut départager le scientifique, l’incertain, voire le cocasse et qui en est réduit à des pseudo-certitudes propres aux croyances : oui

La reconnaissance de la médiocrité, de la communication et des décisions foireuses des gouvernants, cause, entre autres, de la méfiance et des inquiétudes légitimes qu’elle soulève : oui encore…

Mais…

   – Puisque le virus est inhalé et va se situer dans les voies aériennes, comment croire qu’interposer un obstacle de tissu, même imparfait, ne serait en rien protecteur ? Les chirurgiens en salle d’opération porteraient donc un masque inutile, voire toxique ?

   – À ce jour, on n’a pas trouvé plus performant que les vaccins pour lutter contre les pandémies. Faut-il encore rappeler les millions de morts épargnés par les vaccins, même imparfaits et exceptionnellement  dangereux de nos jours ? Le vaccin antivariolique, qui a éradiqué la maladie, entraînait à ses débuts de 2 à 10 % de décès, bien loin des 0,00001% de l’Astrazeneca, qui affole tant notre principe de précaution.

   – Faut-il rappeler que les labos ne sont pas des philanthropes, mais qu’ils ont aussi besoin de fonds pour leurs coûteuses recherches et font souvent du bon boulot ? Ils ont identifié le virus, décrypté son génome, trouvé la technique de son diagnostic, vérifié autant que possible l’efficacité du vaccin, la stimulation immunitaire, ses effets secondaires, etc… Dans toute innovation médicale, avantages et risques existent toujours et un travail considérable est effectué avant sa disposition au public. Confondre tous les labos comme des escrocs pervers, qui existent dans toutes les professions, est une erreur.

Certes, le scandale des interdits de traitements éventuellement utiles, la pauvreté des informations transparentes alliées aux inconnues scientifiques ont montré l’incompétence et l’arrogance des gestionnaires gouvernementaux.

Mais suivre la mode de l’inondation covid au quotidien nous éloigne des problèmes autrement plus préoccupants.

Mieux vaudrait reprendre notre combat essentiel contre la maladie du siècle à forte mortalité physique et culturelle : l’islam.

Guy Sauvage

 




Pour en finir avec l’islamisme

                                                       

Les pays musulmans n’emploient jamais le terme “islamisme”. Le mot arabe correspondant n’existe pas.

Il n’y a que l’islam. L’islam est UN, dans le Coran, parole “réelle” du dieu Allah, même si ses pratiques, partielles ou intégrales, varient selon les pays.

Tout l’ordre social et juridique se fonde sur le Coran et la légende de Mahomet et occupe une place aussi fondamentale et permanente que le christianisme au Moyen Âge.

Dans la plupart des dictionnaires non musulmans, l’islamisme est définit comme “l’islam politique”, artificiellement différencié de “l’islam religion”.

Mais, où ont-ils pu découvrir un islam non politique, qui n’interviendrait pas dans l’organisation de tous les secteurs des sociétés islamiques ?

L’ “islamisme” est une vitrine présentée à la sauce occidentale afin de distinguer 2 “essences”, sans doute intentionnellement séparées :

– un “bon” islam, non violent, compatible avec les modèles de sociétés ouvertes, comme “n’importe quelle autre religion”, et

– un “mauvais” islam, violent, sexiste, ségrégationniste, qui serait à la fois dévoyé et dénié (le  “ce-n’est-pas-ça -l’islam”).

Ne s’agirait-il pas plutôt d’un subterfuge sémantique édifié pour sauvegarder une frontière supposée étanche entre les 2 et qui éviterait les questions épineuses ?

Ne serait-ce pas une façon de dénier les fondamentaux identiques de ces islams différents, mais qui n’en font qu’un ? Puisque chacun se réfèrent aux mêmes textes dits sacrés, en assurant qu’ils n’en font pas la même lecture ?

Se concentrer sur les moyens employés (violence, non-violence, mensonges) permet de masquer les objectifs universels communs.

Comme si l’islam-isme était purement politique et l’islam purement religieux, alors qu’ils sont tous deux indéfectiblement intriqués à un mode de vie politico-religieux : la charia appliquée et l’élimination progressive ou la soumission des non musulmans, ainsi qu’Allah le prescrit dans son seul livre.

Ne dont-on pas analyser l’islam à partir de ses fruits réels, plutôt que toujours invoquer réformes rêvées, mais non encore entamées depuis le VIIe siècle ?

Entre les tueurs de non musulmans et les “modérés” non violents, il existe une continuité idéologique et non une imperméabilité. L’université islamique Al Azhar a toujours défendu cette position : l’État islamique (et non islamiste) est entièrement conforme à l’islam, sauf lorsqu’il a brûlé vif un pilote jordanien, puisque la mort par le feu est réservée à Allah, et la femme peut être frappée, mais sans briser ses os, paraît-il.

Suivre toutes les prescriptions du dieu est trop horrible, mais les sélectionner, c’est ne pas se soumettre à ses “volontés”, donc sortir de la “religion” : c’est l’impasse islamique.

Guy Sauvage

https://pierrecassen.com/2020/10/07/ceux-qui-disent-islamisme-sont-des-idiots-ou-des-traitres/

 

 





Les Français, la police, le gouvernement ont peur : pas les voyous !

Le principe d’égalité et de non-discrimination devant la loi, un fondement du droit français et de la démocratie, s’applique « quels que soient la nationalité, le sexe, l’origine ethnique, la religion ou toute autre situation » (Déclaration universelle des droits de l’homme).

Jamais depuis la dernière guerre mondiale, le fossé ne s’est élargi autant entre les mots et les choses.

Cette fracture est exemplaire dans le discours sur le confinement pratiquement total du pays jusqu’au 11 mai, sous peine d’amendes de 135 euros. Mais pas dans la réalité du terrain de nombre de banlieues à grande « sensibilité ».  Le principe constitutionnel d’égalité devant la loi ne s’applique pas dans les territoires islamiques en phase d’émeutes.

Nous vivons dans un temps de peur et de son évitement névrotique en travestissant des mots et des choses.

Les mots s’utilisent comme « éléments de langage », en connotations positives (le correct), négatives (le mal) ou en tabou (le silence, l’interdit).

Contrevenant au principe d’égalité devant la loi, ce 24 avril, des consignes adressées à tous les services de police du Calvados, au nom du directeur départemental de la Sécurité publique ont prescrit : d’« éviter d’intervenir dans les quartiers à forte concentration de populations suivant le ramadan », d’« éviter le contact avec les perturbateurs » et de ne pas intervenir « sauf atteinte aux personnes ou en cas d’atteinte grave aux biens ».

Merveille de la langue de bois : elle minimise les séditions des « perturbateurs » et complète à ravir l’évitement du « mot-barrière » : l’islam.

Puisque l’on sait bien que ces « populations qui suivent le ramadan » n’ont « rien à voir avec l’islam ». Sans doute la détresse sociale et l’insupportable confinement attisent et justifient dans notre pauvre pays les incendies et les guets-apens de voyous qui nous rappellent qu’Allah est akbar.

Les émeutes et les violences nocturnes sont nommées dans un premier temps « incidents sporadiques », « tensions » sans gravité ou carrément passées sous silence médiatique. Puis, afin d’atténuer le choc de la désinformation, on affirme que « l’ordre républicain est présent partout »et que « l’intervention est systématique ». Mais notre ministre de l’Intérieur ne peut retenir qu’il « analyse » la situation comme « l’effet de la dureté du confinement ». Justifierait-il les violences ? Nous n’osons y croire. Pourtant, toutes les régions pauvres de France ne  brûlent point les voitures et les écoles et n’ agressent pas les pompiers et la police…

Les choses, la réalité  :

La population a peur : de l’épidémie, des incompétences et des cacophonies des gouvernants, du confinement, du délitement des lois du pays, de l’islam et de l’état actuel de la France.

La police a peur :

– des voyous qui les agressent et les insultent en toute impunité,

– de leur hiérarchie qui multiplie les entraves aux interventions, tout en recommandant de « s’abstenir de commentaires » (Le Parisien du 24 avril), qui paralysent les actions par des consignes contradictoires. Il arrive même que les policiers s’enfuient pour éviter de se trouver en situation inextricable. Leurs blessés n’entraînent aucune compassion, aucune manifestation, à l’inverse de la sollicitude pour les « victimes de violences policières ».

Le gouvernement a peur :

– des émeutes qui dégénèrent, de l’embrasement de banlieues, des décisions changeantes et de leurs conséquences, de son impuissance, de l’islam offensif qu’il traite avec pincettes soigneuses.

Il avoue accepter le séparatisme islamique. Il refuse de reconnaître ses inhibitions à traiter la question islamique autrement qu’en suivant les mêmes logiciels obsolètes de ces dernières décades. Il fait tout pour masquer son incapacité à intervenir, terrorisé par la menace après en avoir tant dénié le danger durant des années.

Les voyous n’ont pas peur des lois et des sanctions :

– le non-respect du confinement, les exactions, les trafics de stupéfiants, les violences accrues, la criminalité sont toujours et encore minimisés, tolérés, blanchis par les « fautes de la société » bouc émissaire ;

– Ils font confiance en la justice, puisque, même interpelés, ils pourront bénéficier de l’indulgence, voire de la complaisance de certains juges militants par un gentil rappel à la loi ;

– 11 500 voyous font confiance au ministre de la Justice pour leur déconfinement anticipé…

Enfin libres de vaquer à leur sage réinsertion.

Grâce à elle, beaucoup jeûneront le jour et grossiront la nuit.

Mais on nous rappelle que l’état des prisons est tel qu’elles sont devenues les nids de formation à l’action islamique violente. Logique imparable : relâchons les terroristes, ils sont dangereux en prison… Dormons tranquilles : ils sont « surveillés », chacun par 5 policiers au moins.

La piètre formation psychologique des politiques, des médias et de certains juges ne leur permet pas de saisir que leurs impérities aggravent l’escalade des violences et profite aux plus agressifs.

Rappelons que le traitement des voyous islamiques demeure clairement aux antipodes de celui mis en œuvre pour les Gilets Jaunes.

Désastreux bilan de la gestion de crise :

Le déni de la réalité, dans les mots et les actes, conduit toujours au déficit d’analyse et aux conséquences dramatiques des utopies idéologiques.

Qui peut encore croire à la fiabilité des discours et des actes si confus et si contradictoires de nos gouvernants ?

Ils se plaignent des « fake news » des opposants, alors qu’ils distribuent les mensonges sans modération.

Certes, la pandémie angoisse à juste titre, par les incertitudes scientifiques et la lamentable gestion gouvernementale. Mais on en verra la fin, comme pour toutes les épidémies.

Par contre, la question islamique reste  toujours au second plan, alors que le danger est bien plus réel et s’aggrave tous les jours dans les territoires perdus. L’explosion ingérable à venir est certaine. Les vrais responsables le savent et leur laisser-faire est des plus coupables. Ils ne sauveront pas les meubles.

La France semble punie pour longtemps de ses votes répétitifs au profit des islamophiles aveugles.

Guy SAUVAGE

*Voitures, poubelles et école incendiées, cocktails Molotov sur les postes de police, barricades, destructions de caméras, caillassages de pompiers, jets de pavés, guet-apens, tirs de mortiers, agressions diverses, sans interpellation ces dernières nuits à :

Albi, Amiens, Aulnay, Auxerre, Bagneux, Belfort, Brest, Carrières, Champigny, Chanteloup, Clichy la Garenne, Conflans, Cormeilles, Egly, Ermont, Gennevilliers, Givors, Gonesse, Grenoble, Herblay, Le Havre, Lille, Limoges, Livry, Mantes, Martigues, Montigny, Montreuil, Nanterre, Pau, Poissy, Pontoise, Ronchin, Roubaix, Rueil, St-Ouen l’Aumône, Sannois, Sarcelles, Sens, Strasbourg, Taverny, Trappes, Toulouse, Tourcoing, Versailles, Villeneuve la Garenne, Villiers le Bel, Vitry… sans exhaustivité pour ces « incidents sporadiques »).




Grande-Bretagne : et pendant ce temps, Tommy Robinson croupit en prison

La répétition d’événements horribles en atténue-t-elle progressivement l’insupportable ?

Peut-on s’habituer à ce qui se passe depuis plusieurs  années en Angleterre au point de garder le silence ?

Premier acte : l’abomination :

Des gangs de proxénètes, violeurs, pédophiles et assassins ont agressé des milliers de victimes, dans de nombreuses villes anglaises : Rotterham, Telford, Bristol, Newcastle, Oxford, Sheffield, Derby…

Les violences, les actes monstrueux de tortures sur des petites filles de 10 à 15 ans, issues de familles défavorisées et fragiles, ont été commis durant plusieurs dizaines d’années, jusqu’en 2013. Les témoignages sont accessibles sur internet, avec des détails dignes de films d’horreur (marquages au fer rouge, intoxications forcées, viols collectifs, mutilations, assassinats, etc.)

Second acte : l’odieux

Dans un pays « normal », les crimes font l’objet d’enquête, de recherche des malfaiteurs et de condamnation proportionnée.

Mais, la police, les services sociaux, les médias ont établi un dispositif efficace de censure de ces événements tragiques.

La police, alertée par les familles et les victimes, n’intervenait pas, ne prenait pas en compte les plaintes, n’arrêtait personne.

Les services sociaux minimisaient les agissements des criminels et conseillaient le silence aux plaignants.

Les médias n’en parlaient jamais, en dehors de la rubrique des faits-divers, afin d’en limiter l’envergure.

Dans cette affreuse convergence d’étouffement de la réalité, des gens courageux et honnêtes ont tenté de diffuser la vérité.

Le policier J. Wegder, le journaliste du Times A. Norfolk, la députée Jayne Senior, l’avocat D. Greenwood ont accumulé rapports et dossiers concernant les faits, dans un climat d’hostilité générale, avec destructions de preuves et « pertes » de pièces à conviction.

Comment comprendre pareille omerta des institutions d’État, en principe protectrices des citoyens ? Tous les protagonistes ont été unanimes dans leur défense : la peur d’être traité de « raciste », puisque les criminels sont musulmans pakistanais et les victimes non musulmanes…

Troisième acte : la fin d’un monde de « justice » ?

Un acteur a été particulièrement essentiel dans la diffusion de la réalité de l’ignominie : Tommy Robinson.

Cet homme exceptionnel a dénoncé avec talent, intelligence et charisme les faits et le corset qui les a enserrés trop longtemps.

Ses critiques efficaces de l’islamisation de l’Europe lui ont valu une destruction sociale et un danger de mort permanent.

Étiqueté comme quasi fasciste, raciste d’extrême droite, il est l’objet de persécutions incroyables.

Je connais Tommy et puis assurer qu’il n’a jamais appelé à la violence ou à un quelconque racisme. Il estime les personnes en fonction de ce qu’ils font et non de ce qu’ils sont. Et si critiquer l’islam, c’est être catalogué  de« raciste », ce n’est qu’inculture et mauvaise foi.

Lors de ses premières manifestations, Tommy était conduit au poste de police, gardé quelques heures et relâché sans inculpation. Une bonne quarantaine de fois, tout de même.

Puis, à partir de 2012, la prison, ferme,  pour des faits éventuellement susceptibles d’amendes : entrée « illégale » aux États-Unis, 10 mois de prison, prêt « illégal », condamné à 18 mois ferme et relaxé en appel.

Sa dénonciation des gangs  criminels et du silence institutionnel d’État lui ont valu l’escalade dans la persécution.

– Interrogé systématiquement par des policiers musulmans qui rejetaient toutes les menaces de mort dont lui et sa famille étaient l’objet,

– Agressé physiquement dans la rue  et en prison, à plusieurs reprises par des Pakistanais se référant eux-mêmes à l’islam,

– Sanctionné d’amendes disproportionnées qui ont dissous son patrimoine,

– Mis en isolement, en prison, durant plusieurs mois : la loi anglaise impose de ne pas dépasser les 30 jours d’isolement, mais l’administration le changeait de lieu tous les 30 jours pour prolonger sa solitude.

– Condamné à 3 mois avec sursis en 2017 à Canterbury pour un reportage sur les proxénètes pakistanais, alors qu’il est muni de sa carte de journaliste. Il n’aurait pas permis que le « procès soit mené de façon équitable », d’après les juges,

– En mai 2018, il est à nouveau condamné à Leeds pour « atteinte à l’ordre public ». Il tentait interviewer les gangsters à l’extérieur de la Cour, en n’obtenant que des injures. Mais, ses commentaires très prudents, qui n’évoquaient que ce que la BBC avait déjà établi, ont été jugés comme « outrage au tribunal ».

Selon la loi anglaise, depuis 1940,

– aucun journaliste, autre que Tommy, n’a été en prison pour ses articles

– aucun tribunal n’a mis moins de 5 heures pour juger, condamner et emprisonner.  Et avec un avocat commis d’office, sans rien connaître de l’affaire.

Un juge de Leeds l’a fait.

Et, de surcroît, il a interdit nommément à quelques journaux d’informer sur le sort de Tommy Robinson. Là, le tollé fut si fort que ce juge est revenu sur cette décision, quelques jours après.

Ce procès fut si bâclé, si partialement mené qu’il doit être rejugé en septembre.

Soulignons que pas un journaliste français ne s’est indigné de ce déni de justice, de cette distorsion de la liberté de presse, d’expression et d’humanité.

Pas de justice pour ceux qui pensent « mal »?

Et en parler le moins possible pour ne pas ébruiter ?

Le traitement de celui qui dénonce des dangers (condamné en 5 minutes) est bien pire que celui réservé aux criminels notoires (des mois de liberté, des avocats de renom, des déclarations haineuses et la peur pour les éventuels témoins).

Pas un discours de Tommy Robinson n’a entraîné de mort d’homme, alors que celui du Coran a tué en masse des populations entières. Et c’est lui qui est persécuté par son pays alors que bien d’autres sont entourés de précautions de la peur.

Comment la Grande-Bretagne a pu en arriver à de pareilles pratiques ?

Nous en gardions la représentation naïve de l’habeas corpus, des discours libres de Hyde Park, de la tolérance et de la mesure de ses décisions… Elle devient, dans cet acharnement, ce harcèlement contre quelqu’un qui aime son pays, la caricature grimaçante de l’ « amour, la tolérance et la paix ». (*selon le slogan éculé de l’islam)

Doit-on y percevoir le modèle d’un montage pervers qui aiguise ses outils répressifs contre la parole libre de ceux qui ne veulent que vivre en  harmonie ? Et non de ceux qui déclarent leur séparation agressive dans une contre-société archaïque ?

Dans notre pauvre France actuelle, sommes-nous déjà dans ce fonctionnement ?

Guy SAUVAGE




J’ai rencontré Tommy, un héros populaire qui n’a rien d’un facho

J’ai bien connu Tommy Robinson pour l’avoir côtoyé quelques jours, lors du tournage de plusieurs vidéos en 2015.
J’avoue avoir été surpris alors, car l’image colportée par les médias ne coïncidait pas avec l’homme.
« Extrême droite, raciste, violent, peu cortiqué », disait-on.
« Extrême droite » ? Rien dans son discours et ses actes n’est anti démocratique, bien au contraire. Entre autres, il a exclu sans ménagement quelques néo nazis infiltrés dans son mouvement politique, EDL (English Defence League).

« Raciste »? Entouré d’amis d’origine musulmane, noire, juive, il n’a jamais eu d’attitudes et de propos désobligeants, ni même paternalistes.
« Violent » ? Il n’a jamais prôné la moindre violence, ni incité à la haine contre quiconque. Il n’a répondu physiquement pour se défendre que lorsqu’il fut agressé physiquement.

« Peu cortiqué » ? C’est là que l’on peut mesurer l’écart parfois important entre le niveau d’études et l’intelligence. Tommy, issu d’un milieu modeste, s’exprime avec le charisme de la sincérité et du courage, employant des mots simples et forts pour analyser avec finesse et précision des faits qui s’imposent alors comme autant d’évidences.

« Islamophobe » ? Ce n’est pas un délit, c’est un droit de critiquer une religion. Mais tous ceux qui s’opposent démocratiquement à l’islamisation de la société sont diabolisés par ce faux concept adopté en toute mauvaise foi, afin d’éviter les vrais débats.

Tommy est un homme admirable, sympathique, joyeux, profondément honnête et empreint d’humour malgré tout ce qu’il a vécu depuis des années. Outre les menaces de mort adressées à lui et à sa famille et les agressions physiques multiples, ce sont surtout les persécutions de l’Etat, policières, financières et judiciaires qui l’ont le plus affecté. Il avait même écopé de 18 mois de prison, soldés par un « non coupable » du tribunal. Sans compter les 30 à 40 arrestations à visées d’intimidations (il ne les comptait plus) non suivies d’inculpations quelconques. (Voir vidéo).

https://youtu.be/ FLtNqxHSDG8

Alors, pourquoi cette haine acharnée contre lui encore aujourd’hui ?
Depuis 10 ans, il a dénoncé les méfaits de personnes se réclamant de l’islam, la corruption de certains autres à visée d’entrisme (voir la vidéo sur Afzal Amin, le pakistanais qui faillit devenir Premier ministre conservateur d’Angleterre), les dangers de l’immigration massive et pratiquement sans réel contrôle, le terrorisme islamique, les appels au meurtre, les gangs très violents de pédophiles et proxénètes pakistanais (pudiquement nommés « asiatiques) et le 2 poids – 2 mesures appliqué par une certaine justice dans le traitement précautionneux des affaires impliquant des musulmans contrastant avec la sévérité discriminante pour les non musulmans.

Tommy est la conscience qui rappelle la réalité affreuse d’une l’Europe non démocratique où la violence étatique contre ceux qui dénoncent les dangers actuels se fait bien plus rigoureuse et injuste que contre les assassins que l’on craint de nommer.

A ce jour, Tommy est enfermé à la prison de Hull pour 13 mois, pour le moment à l’écart de terroristes qui veulent sa mort. Ce ne fut pas le cas lors de sa précédente incarcération où une tentative d’assassinat lui fit perdre ses dents et presque sa vie. (Voir vidéo).
Qu’a t-il commis pour pareille peine aussi scandaleuse ?
Impardonnable délit : il a filmé sur son portable l’arrivée des proxénètes pédophiles pakistanais à l’extérieur du tribunal de Leeds, où ils sont jugés.

Immédiatement arrêté, il a été jugé, condamné et incarcéré en 2 heures, vaguement « défendu » par un avocat commis d’office qui ne connaissait rien de l’affaire. Injustice expéditive dont ne bénéficient pas les bandits qui circulent librement et disposent d’une kyrielle d’avocats.

La police avait motivé son intervention par le « viol de la paix », extraordinaire proximité inconsciente du mot dans le procès des pédophiles.
Le juge militant avait avancé le motif de « préjudice à l’administration de la justice », puis celui de « préserver le jury », alors que tous les médias parlent depuis longtemps de ces faits, avec la publication des photos des accusés.
De surcroît, le juge a poussé l’arbitraire jusqu’à interdire toute information aux médias sur le sort de Tommy, mesure si pertinente qu’elle a été annulée 4 jours après.

Deux remarques :
1) Plusieurs villes, Rotherham et Telford en particulier, ont connu plus de 13 ans d’horreurs commises par des gangs pédophiles et proxénètes pakistanais, en toute impunité. Toutes les plaintes et alertes des familles et des victimes ont volontairement été étouffées, aussi bien par la police que par les travailleurs sociaux. Il a fallu le courage de quelques vrais journalistes pour démasquer cette ignominie, après des années d’efforts entravés.

Le silence terrible des institutions d’Etat sur ces crimes monstrueux avait un « motif » aussi terrible : la peur d’être considéré « raciste », en inculpant des musulmans. Lamentable sottise doublée de veulerie catastrophique que l’influence des pressions bien pensantes « correctes ».
Et, à ce jour, aucune sanction, aucune démission des lâches responsables de l’impunité de ces insoutenables forfaits.

https://youtu.be/hbXg3ca6WTg

2) Un autre silence terrible : celui de journalistes français, dont peu ont parlé de ce déni de justice effroyable en démocratie, et un seul, à ma connaissance, a souligné la fin de la liberté d’expression ou peut-être la fin de la liberté tout court. Les autres, si prompts à l’indignation sélective, se taisent honteusement, voire jubilent.

L’Angleterre n’a plus d’habeas corpus (depuis le 17ème siècle, c’était la liberté de ne pas être emprisonné arbitrairement, sans raison valable).

L’avenir européen est bien sombre, si les réactions à pareilles injustices s’amollissent ou s’éteignent.

Guy SAUVAGE




S’il vous plaît, pas d’anathème contre notre ami Sami Aldeeb !

Les derniers articles de Sami Aldeeb sur les frappes occidentales en Syrie suscitent une série de réactions passionnées dans les colonnes de RL et RR.

https://ripostelaique.com/les-criminels-qui-bombardent-la-syrie-ont-soutenu-al-qaida-et-daesch.html

http://resistancerepublicaine.eu/2018/04/14/syrie-sami-aldeeb-deconne-et-cest-peu-dire-revoltant-et-effrayant/

La politique de liberté d’expression de ces médias fait que des opinions opposées se heurtent parfois avec vivacité.
Les guerres du Moyen-Orient sont fort complexes, leurs données sont souvent sujettes à mensonges, propagande et manipulations, d’où les avis basés sur des émotions et les a priori de courants politiques.

De plus, en Syrie, il n’y a pas de « bon camp ». Il n’y a que des intérêts frelatés en jeu et rien d’humanitaire, chacun traitant les autres de criminels.

Sami est un ami sincère, indéfectible. J’ai partagé de riches moments d’échanges d’idées, mêlés d’humour, de gaieté, de finesse. C’est un travailleur-né, auteur d’une trentaine d’ouvrages de grande qualité et d’érudition exceptionnelle sur l’islam qu’il connaît parfaitement. Il a reconstitué le coran dans son ordre chronologique et personne ne peut imaginer un instant qu’il puisse être complaisant à ce totalitarisme.

Il n’est en rien « bisounours », n’imaginant pas une réforme possible à terme de la religion mahométane. Ses prises de position ne visent jamais le politiquement correct, et, sans doute personne n’a, comme lui, fait autant pour éclairer nos contemporains sur les dangers qui menacent notre Occident.

Sami n’est pas un homme de haine, il n’insulte jamais personne, même si sa plume peut être particulièrement incisive.

Le supposé renvoi dos-à-dos des musulmans et des juifs dans leurs conflits n’a rien à voir avec un quelconque soupçon de parti-pris, voire de racisme. Je connais suffisamment Sami pour savoir que sa position rejoint l’idée que les religions sont un des principaux facteurs de haine et de destruction, et que, si elles étaient abandonnées, le monde se porterait mieux.
On peut ne pas être d’accord avec cette hypothèse, et l’argumenter, mais on ne peut faire ce faux procès à Sami.

En outre, les divergences d’opinion et de position entre les personnes qui considèrent l’islam comme le danger du siècle s’avèrent tristement contre productives. Elles ne profitent qu’à l’éparpillement de nos efforts pour le contrecarrer.

Alors, élaborons des arguments choisis contre les opinions opposées aux nôtres plutôt que de lancer des anathèmes définitifs aux meilleurs soutiens de nos luttes déjà bien difficiles. S’il vous plait…

Guy SAUVAGE

PS : pour ceux qui ne seraient pas convaincus de la qualité de ses travaux et pour ceux qui ne les avaient point visionné, regardez ces quelque vidéos riches d’informations et d’analyses.

https://www.youtube.com/watch?v=Q2O9qwRuK4E&list=PLwMcFCuewSBwaFSJ45mkWZy_JYuWZaLGZ&index=5

https://www.youtube.com/watch?v=elxS9ntsZ9c




L’appel des 100 : mieux vaut tard que jamais

Certes, l’appel des 100 intellectuels contre le « séparatisme islamiste » est bien imparfait et arrive un peu tard.
Imparfait : Sur la connaissance de l’islam. L’appel des 100 conserve cette fracture imaginaire entre le bel islam et l’horrible islamisme.

Ce clivage bon/mauvais dispense de l’analyse de ce concept qui n’a été inventé QUE pour les pays occidentaux et qui n’existe pas en pays musulman. Tous conviennent qu’il n’y a qu’un seul islam, total (celui de l’Etat Islamique) ou incomplet (celui de certains pays musulmans, parfois combattus avec férocité par la « pureté » des plus rigoureux).

Où qu’il soit, l’islam n’accepte pas la liberté de conscience, de pensée, de religion, n’accepte pas l’égalité des droits aux femmes et aux non musulmans, quant à la fraternité, on la mesure à la façon dont ils se comportent les uns avec les autres. Le destin des femmes est pathétique, de leur supposée infériorité, affirmée comme quasi génétique à leur soumission volontaire à se désexualiser.

Sur le « séparatisme » ; celui des asiatiques ou des bouddhistes ne suscite aucune peur. Personne n’en ressent un quelconque danger. Par contre, celui de l’islam est inquiétant pour plus de 70% de la population française. Peut-être à juste raison, dans la mesure où les assassins ne se référent qu’à cette foi.

Même notre ancien président a formulé la menace de « partition », des territoires et des mentalités, au vu d’un vivre ensemble imaginé, et en échec.

Tardif : Tous ceux qui alertaient du danger potentiel de l’islam, depuis des années, furent et sont encore insultés en tant que « racistes », « extrême droite », « fachos », de « xénophobes », d’ « identitaires »… et souvent traînés devant des tribunaux unilatéraux qui les condamnent à de lourdes peines, en élargissant arbitrairement la notion d’incitation à la haine (même si on compte à ce jour zéro mort musulman).

La plupart des signataires de l’appel ont longtemps dénié ce qui est devenu évidence pour la grande majorité des français : il y a incompatibilité entre l’islam et la démocratie.

Alors que la Cour Européenne des Droits de l’Homme a condamné la charia comme incompatible avec la démocratie en 2003, pas une institution, pas une association ne s’y est jamais référé.

Pourtant, l’appel des 100 évoque fortement ce qui s’est passé peu avant la chute du communisme : des intellectuels, des personnalités de la vie civile, des bien-pensants, des philosophes, des compagnons de route du parti… s’étaient exprimés alors en soulignant les monstruosités et les souffrances que cette idéologie avait causé à des millions d’êtres humains. Ce fut le début de la fin de ce totalitarisme.

Certes, certains intellectuels semblent souvent attirés par les systèmes totalitaires, en ce que ceux-ci offrent des « explications » au désordre du monde et des voies contraignantes « nécessaires » à un ordre nouveau, rêvé sans conflits majeurs. Mais là, ils avaient œuvrés, malgré leurs errances et leurs complicités, pour un changement dans une meilleure lucidité.

N’assistons-nous pas à une ébauche de réveil, un début de changement de paradigme sur le péril islamique qui menace l’Occident ?
Cet appel ne facilitera-t-il pas l’ouverture progressive d’une parole juste et diversifiée, sans disqualification systématique, de débats plus authentiques et plus équilibrés qu’aujourd’hui?
Par exemple avec la présence médiatique des apostats de l’islam, qui en connaissent plus long que tous sur leur idéologie d’origine ?

C’est tout de même la première fois, semble t-il, que des personnalités fort disparates reconnaissent d’une même voix, certes après un déni prolongé de réalité, l’existence d’une menace terrible et concrète, qu’ils ont encore du mal à nommer trop directement.

Ne mettons pas dans le même sac ceux qui commencent à entrouvrir leur raison devant le danger et ceux qui ne changeront sans doute jamais leurs délires, leurs dénis et leurs réponses.

Ne disqualifions pas ces 100 nouveaux éclairés, même s’ils ne sont exonérés en rien de leurs responsabilités antérieures dans l’expansion de l’islam en France.

C’est peut-être la première goutte d’eau qui peut préparer une rivière généreuse ou aussi rapidement se dessécher sans autre suite.

Mieux vaut tard et imparfait que jamais.

Guy SAUVAGE




Pas assez de pauvres en France : importons des mendiants d’Afrique

D’après la fondation Abbé Pierre et l’INSEE, il y a environ 14% de pauvres en France, soit 8 millions et demi, auxquels on peut rajouter un tiers « en difficultés ». Sans compter les travailleurs pauvres, les précaires et les chômeurs. Et l’on sait que les chiffres du chômage, par exemple, sont sujets à caution, vu les trouvailles plus ou moins élégantes de leurs manipulations.
Le revenu mensuel moyen s’élève à 1600 euros.
Est défini « pauvre » celui qui vit avec la moitié de ce revenu moyen.
Il y a en France quelques 150 000 de sans domicile fixe et 3,5 millions de mal logés.
Personne ne peut vivre avec 800 euros par mois sans les aides sociales complémentaires et essentielles de l’Etat.
Le budget consacré au social atteint 32% du PIB et 66% des prélèvements des entreprises.
280 milliards d’euros en 1990 et 700 milliards en 2015.
Malgré ces énormes efforts financiers, le nombre de pauvres a augmenté de 850 000 entre 2008 et 2012.

Quelles sont actuellement les méthodes qui permettraient d’améliorer ces situations catastrophiques ?
La majorité de nos politiques ont trouvé LA solution : importer des mendiants du monde, du Moyen-Orient et d’Afrique en grande majorité, souvent en conflit frontal avec nos codes sociaux et notre mode de vie.
Nos gouvernants nous assurent que ceux-ci vont nous sauver, grâce à leur démographie, et nous enrichir, grâce à leur travail.
Et ce, en faisant l’impasse sur les effets sociaux, culturels et sécuritaires DURABLES de l’arrivée massive et rapide de pauvres parmi les pauvres, sans contrôle autre que de façade, sans débats de fond sur les conséquences à brève et longue échéance de ce choc brutal réellement sans précédent. La moindre réflexion sur le poids économique, direct et indirect, sur l’impact civilisationnel est taxée, sous insultes diabolisantes, de sécheresse de cœur et de mépris pour la misère humaine.
On nous affirme que ces pauvres souhaitent seulement échapper aux guerres dans leurs malheureuses contrées. On n’est tout de même pas allé jusqu’à invoquer l’amour et l’enthousiasme envers nos pays d’Occident, cela aurait sans doute été trop peu crédible. Tout le monde sait que c’est uniquement le buffet garni qui est l’attraction majeure du fait le grand chaos des “printemps” peu démocratiques et de l’impéritie de nos gouvernants.
Pourquoi n’y aurait-il pas de vrais débats majeurs à propos des déséquilibres que cet apport massif hétérogène entraîne sur nos économies et sur les changements non souhaitables de nos sociétés déjà si fragiles (représentations de la femme, exclusion du différent, religiosité fondamentaliste, repli communautaire, attente d’assistance miraculeuse…) ? Quand on sait qu’à peine 10% des clandestins en Allemagne ont un petit travail et que 90% vivent d’aides sociales ? Qu’il s’agit d’hommes jeunes venus en majorité sans famille ?

En France, les nouveaux venus ont accès à quelques 47 aides sociales, sans aucune contribution ou contrepartie. Les « demandeurs d’asile » et autres clandestins bénéficient de la gratuité de la Santé (l’AME, pour 3 fois plus en 2015 qu’en 2000), de la nourriture, du logement, d’un pécule, du portable pour tous, avec le poids des 20 000 familles polygames, sans aucun contrôle, ni recensement, de bien d’autres allocations diverses, de l’ADA (aide pour demandeur d’asile), etc.
Un « demandeur » coûte au plus bas mot 15 000 euros par an, sans inclure les dépenses d’investissements secondaires cachées. Le nombre de ces demandeurs économiques reste imprécis, de 200 000 à 600 000 par an en Europe, nous dit-on, (d’après le Bureau International du Travail), toujours dans l’estimation incertaine et basse, masquée par des biais considérables, sans aucune fiabilité. De fait, tous les chiffres, clandestins, immigrés et « demandeurs » sont approximatifs, et sans même que l’on puisse savoir comment ils sont avancés.
C’est même ce flou artisanal qui signifie qu’en percevoir les réalités serait à masquer, pour ne pas inquiéter le public sensible.
Surtout que l’on sait à présent que ces milliers de personnes sont à la fois inintégrables et inexpulsables (seulement de 1 à 4% de reconduites dans leur pays d’origine) et qu’ils viennent grossir le flux des illégaux permanents, ayant fui leur pays chaotique dans l’espoir de le reconstituer en France.
Comment penser que cette énorme cour des miracles, à si lourde charge, aux valeurs musulmanes si éloignées des nôtres et plutôt hostile à nos modes de vie puisse être une solution à nos problèmes et même aux leurs ?
Et ajouter aux problèmes sans solution probante de la misère de France ceux de la misère du monde (en millions, milliards ?), ne va-t-il pas faire couler tout le navire, à la dérive, sans gouvernail ?
La misère d’une personne est un problème humain, mais celle de plusieurs millions est un problème national inquiétant pour l’avenir de notre civilisation mortelle qui ne sait plus voir et se défendre.
Et comment croire que notre addition de pauvres français, de pauvres au chômage, de pauvres du monde musulman en décomposition puisse être une chance (de disparaître ?) pour notre pauvre France ?

L’aveuglement névrotique et coupable de nos gouvernants aboutit à ce que nous ne donnerons jamais ce que les illégaux attendent de nous et qu’ils nous donneront sans doute ce que l’on n’attend pas d’eux.

Guy SAUVAGE




Durant ma longue carrière de psychiatre, je n’ai jamais eu de patients criant “Allah akbar” !

 

Depuis le début des attentats, les médias, relais des gouvernements (de droite, du centre et de gauche) utilisent bien vite et trop facilement le terme erratique de « déséquilibrés ».

De toute ma longue carrière de psychiatre, jamais je n’ai rencontré des patients, armés de couteaux, de « voitures folles », de kalachnikovs, exclusivement musulmans et poussant le cri de guerre « Allah Akbar ! » pour « se donner du courage », pour tuer, sans aucun sentiment de culpabilité, le plus grand nombre possible de non-musulmans.

Aucun psychiatre n’a jamais observé pareille « épidémie de déséquilibrés ».

L’étiquette « déséquilibré » : terme flou, sans aucun concept clinique, revient à catégoriser le volontaire assassin de « fou », d’irresponsable.

Ce qui permet d’affirmer :
-le « rien à voir avec », le « ce n’est pas ça, l’islam », le « pas d’amalgame », le « pas de stigmatisation » : toutes ces réitérations pour dissocier les assassins de ce à quoi ils se réfèrent constamment, de ce qu’ils connaissent parfaitement : l’islam, adhérant totalement à ses textes déclarés sacrés.
Et surtout pour dédouaner de toute la violence de ces textes terrifiants, de toute la haine qu’ils contiennent, de tous ces actes commis au nom de leurs messages si clairs.

Manipulation grossière des politiques

Notre ministre de l’Intérieur invoque le recours à la psychiatrie pour solutionner le fanatisme, en tant que maladie à reconnaître et à traiter. Si l’on suit sa démarche, ces tueries ne seraient compréhensibles que par la folie, pour un tiers d’entre elles (et de quel chapeau sort cette « statistique » ?).
Psychothérapies, médicaments, signalements médicaux seraient sommés d’y répondre efficacement.
Belle illusion idéologique, s’il parvient à y croire lui-même.

Heureusement, la plupart des psychiatres rejettent nettement ce simplisme bien-pensant.
Seuls des non-professionnels peuvent avancer ce stéréotype avarié du lien entre maladie mentale et criminalité. La croyance qu’il faut être fou pour tuer « sans raison » est entièrement fausse. La majorité des crimes sont commis par des gens non malades, mais par ceux qui ont des troubles de la personnalité.

Les assassins islamiques ont eu tous, sauf exception, des antécédents de grande délinquance avant de passer au terrorisme. Il s’agit de personnalités paranoïaques, perverses ou psychopathiques, très compatibles avec une vie sociale « normale », sans être perçus comme pathologiques.

Ils passent sans changement du statut de minable braqueur ou de meurtrier crapuleux à celui de « héros » d’une « cause noble». Ils deviennent les représentants d’une cause transcendante, les vengeurs de Dieu, les « purs » parmi les infâmes mécréants.

Mais il leur faut aussi des conditions extérieures suffisantes pour commettre leurs forfaits. Sans soutiens financiers considérables d’États religieux, sans réseaux de complices, sans aura de « combattants » de la religion, aucun acte organisé ne serait possible.

Pourtant, les nouvelles stratégies terroristes islamiques, les actes individuels se référant aux mots d’ordre des « autorités », État Islamique, Al-Qaïda ou Al-Ahzar, deviennent accessibles au plus petit croyant sans grands moyens financiers et intellectuels, animé de suffisamment de haine criminelle et de foi en la solution finale de leur religion totale.

La fabrication du terroriste islamique repose sur 3 piliers fondamentaux :
– une personnalité paranoïaque, perverse ou psychopathique, trouble de personnalité et non maladie mentale, pratiquement pas accessible aux soins psychiatriques.
– des références « transcendantales », des textes dits sacrés, des modèles divins, des « autorités » supposées savoir, des dogmes grossiers permettant l’économie de l’esprit critique.
– des conditions extérieures rendant les assassinats matériellement possibles.
Si un de ces éléments manque, l’accès à l’acte terroriste n’est plus possible.

Tous les systèmes totalitaires, nazisme, fascisme, communisme, se sont servis de ces profils psychologiques, de références « absolues », de contextes favorables, pour leurs plus basses œuvres : des personnalités particulières, des écrits sacralisés, des chefs charismatiques et des conditions matérielles, historiques, politiques, sociales pour leurs recrutements. La Milice, les gardiens de camps, les exécuteurs de balle dans la nuque, les « guerriers de Dieu » retrouvent leurs similitudes, quelles que soient les époques et les lieux.

Les « racines » de l’islam dit radical, sont claires : le Coran, la vie « exemplaire » de Mahomet, au mieux de son intégralité dans l’État islamique, moribond en territoires, mais en pleine expansion idéologique dans le monde musulman.

La « déradicalisation », faux concept désincarné, est une illusion ridicule, tentant de se formuler à partir de fausses prémisses et de vraies arnaques.

Il est lamentable et consternant d’imaginer qu’une croyance intégrée dans une personnalité puisse être traitée comme une maladie de l’esprit.

Aucun psychiatre n’adhère à cette ineptie.

Guy SAUVAGE