Pâques 2019 : Notre-Dame de Paris ne répond plus !

Chères amies, chers amis et chers camarades,

Ainsi donc, en ce jour de Pâques 2019, les cloches de Notre-Dame de PARIS sont et resteront silencieuses.

Victime d’une tentative d’assassinat, notre cathédrale a failli disparaître de la surface de la terre de FRANCE en ce 15 avril 2019.

Si cela n’a pas été le cas, la FRANCE le doit essentiellement à ses Soldats, les Sapeurs-Pompiers de Paris dont l’abnégation, le courage, et les compétences ne sont plus à démontrer.

Dès la connaissance de l’événement, les Français et les Amis de la France, qu’ils soient croyants ou non, ont été pris d’une véritable sidération en réaction au choc émotionnel majeur causé par l’annonce de l’événement, sur toutes les chaînes de télévisions mondiales, en direct et en continu, des images des flammes dantesques.

Il ne nous est malheureusement pas possible de remercier la multitude de nos amis étrangers qui, spontanément, nous ont fait parvenir leurs messages de sympathie, de soutien et d’association à notre peine immense… Mais, nous n’oublierons pas qu’ils étaient “à nos côtés” !

Alors que le feu progressait d’une manière inexorable, les flammes semblaient posséder une vie propre et être mystérieusement incitées à gagner – à tout prix – la tour nord et la tour sud, ainsi que la grande rose… pour “que la fête soit totale” !

Je n’ai aucune compétence en la matière, mais comme tant d’autres j’ai été frappé par la présence de cette foutue fumée jaune, pourtant j’ai eu l’occasion de voir quelques incendies… La seule fumée jaune que j’aie jamais vue était celle d’une fusée dont j’avais pour mission de protéger le pas de tir au Sahara, cette fusée avait eu quelques défaillances et était venue s’écraser à quelques pas.

Voire une telle fumée : sa densité, sa couleur jaune, ses tourbillons m’ont laissé une impression “d’étrange”.

Ceci d’autant plus que les propos sortis de la bouche de nombreux “experts” la justifiaient sans la moindre preuve, avant toute enquête… et pour cause : pas facile de mener des investigations quand la scène de crime a une température de plusieurs centaines de degrés et que l’incendie règne encore !

Enfin, la précipitation avec laquelle le procureur a annoncé que l’enquête (alors que le feu n’était pas encore sous contrôle, et que – donc – l’enquête n’avait pas encore pu débuter) était orientée vers une “cause accidentelle” a suffi à me faire comprendre qu’il y a avait derrière cela une volonté politique de cacher tout ou partie de la vérité, afin de manipuler l’opinion publique nationale et internationale !

Souvenons-nous des propos du Général Henri ROURE “La France et son Armée” (du 27/11/2018) qui commençait son texte ainsi : “Je ne crois ni aux hasards, ni aux coïncidences. Tout a un sens dès lors que les événements émanent d’une même source. C’est bien sûr le cas en stratégie politique.”

Durant ma formation d’Officier, c’est “à coup de pompes dans l’arrière-train” que l’on m’a fait acquérir cette “règle” : “hasard et coïncidences n’existent pas” ! C’est soit de l’ignorance, soit de la bêtise, soit de la “conviction religieuse”, mais beaucoup plus sûrement de la stratégie politique !

Si aujourd’hui je ne suis plus croyant, bien que né dans une famille chrétienne, de traditions, de pratiques chrétiennes, dans la continuation de la lignée de mes ancêtres, et en terre chrétienne, je n’accepte pas et n’accepterai jamais les textes, quels qu’il soient, qui constituent ou constitueraient la base idéologique d’un système liberticide, et je combattrai ceux qui voudraient qu’ils deviennent LA règle !

Je revendique mon appartenance à l’Histoire de la France, à sa Culture à ses Valeurs, elles ont constitué le creuset dans lequel je suis devenu un Homme, un Citoyen et un Soldat.

J’ai le plus grand respect pour tous ceux qui ont une foi et la pratiquent, quelle qu’elle soit, mais seulement tant que :

les dogmes auxquels ils croient me laissent penser, être et agir en toute liberté conformément à ma raison, dans le respect total d’autrui ;

leur comportement n’a pas pour finalité de faire de ceux que j’aime, de ceux qui sont mes amis et de moi-même, des membres d’une « sous-race » soi-disant « protégée »;

leur comportement sera en tout point conforme à la Constitution et aux Lois de la République française, à l’Histoire, à la culture et à l’identité de la France.

Vieux Soldat de France, j’ai fait mienne cette phrase du Général Marcel BIGEARD :

« … Le vieux soldat que je suis devenu essaie de continuer à servir en puisant certes dans son passé, mais en ayant le regard fixé sur ce que pourrait être demain… ».

Je ne verrai peut-être pas “demain”, mais je sais que Notre-Dame de PARIS, grâce aux Français et à leurs amis dans le monde, rejaillira de ses cendres, que ses cloches, à nouveau, sonneront à la volée et que le sol du parvis résonnera aux coups des battants sur les robes !

Avec toutes les amitiés d’un Vieux Soldat de FRANCE

Colonel Jean-François Cerisier

À ce texte, je vous joins le court message d’un membre de la famille de mon épouse, qui de son appartement, au sixième étage d’un bâtiment de la rue des Écoles (coté sud de Notre-Dame de PARIS) :

Chers amis,

Quelques photos de ma fenêtre…

Au spectacle terrible succède la désolation,

À la désolation, l’espérance… Car le feu est éteint, les tours sont encore debout, la rosace ouest parait intacte, la structure de pierre tient encore… Et l’humanité semble avoir gardé son âme… Le temps des cathédrales n’a pas dit son dernier mot et Notre-Dame sera reconstruite, même si beaucoup d’entre nous ne le verrons pas…

Hauts les cœurs !

ainsi que les trois photos prises ce 19 avril 2019 à 20h29; 20h30; 20h33 (elles supportent un bon agrandissement sans perte de qualité).




Bonne année la France, parce qu’il ne réussira pas à la casser

Les promesses du Candidat à la magistrature suprême

Tout d’abord, bien sûr, il y a les annonces faites par le candidat que vous avez été deux fois.

Si elles ont été et sont tenues à 20 % il conviendrait d’en établir un registre de références…

Mais, dans les 80 % restant, il est aisé de constater que :

  • soit elles ont carrément été passées à la trappe ;
  • soit elles ont donné lieu à des décisions totalement à l’opposé.

Il est vrai, que depuis des décennies, les conditions internationales et nationales de tous ordres n’ont pas été et ne sont pas favorables à notre Pays. Ceci est une constante dans l’Histoire : ce que tout homme politique ne peut ignorer et n’a pas le droit d’ignorer !

Alors, pourquoi avoir fait et faire des promesses que Vous sachiez ou que Vous savez ne  savez ne pas pouvoir tenir, voire ne pas vouloir tenir, si ce n’est par volonté de manipulation, volonté de paraître le meilleur ?

Quelle que soit l’hypothèse retenue, ce n’est pas une erreur, mais une faute !

Les succès du président de la République

D’une manière générale, quels que soient les succès réels obtenus, ou supposés tels, depuis des générations, le peuple français qui est soumis à une désinformation[1] permanente ne retient plus que le négatif, des tenants du crypto-communisme, et celle des oligarchies constituées par les Partis, les Organisations ou les États voulant faire de la France une terre vassale.

Qu’ils soient à l’intérieur ou à l’extérieur de nos frontières, trois idées dominent :

  • casser la France en foutant en l’air toutes ses Valeurs, et en promettant le « grand soir » qui va apporter toutes les solutions aux envies malsaines d’égalitarisme forcené, de refus des efforts, de recherche de tous les biens surtout si on peut les « piquer » à ceux qui travaillent sans désemparer ;
  • obtenir la victoire de l’oligarchie ou du parti ayant adoubé les politiciens, et se maintenir sur l’assiette au beurre… La place est bonne ;
  • transformer la Nation française en un vaste ensemble de « protégés » soumis au dieu de la lune.

Le tout en faisant que tous les nantis du pouvoir, leurs amis ou leurs obligés conservent tant leurs privilèges que leurs prébendes.

Hélas, aujourd’hui, la plus grande partie de nos politiciens ne comprend ni ne veut reconnaître cela.

Agissant ainsi ils ne commettent pas des erreurs, mais des fautes dont ils auront à répondre devant la Nation !

Le rôle du Chef

Même quand on est un vieux Soldat de France, le Chef est sacré…

Et le Chef n’est pas un exécutant : il commande. Il est donc responsable au plus haut niveau !

Être le chef élu ne donne aucun blanc-seing, mais seulement le droit et l’obligation de Servir !

Quand bien même la légalité ne peut être mise en doute, il y a autre chose, de bien plus fort, cela se nomme la légitimité : elle ne s’obtient pas par un vote, ne se décrète pas ou ne découle pas de quelque onction, elle se mérite !

Le chef, en l’occurrence ici, détenteur de la magistrature suprême, se doit d’être légitime !

Cette légitimité a pour base le programme présenté à la Nation[2], auquel celle-ci a adhéré, qu’elle a retenu et notifié au candidat par son vote.

Cette légitimité implique que l’élu du suffrage universel direct :

  • s’entoure de tous les collaborateurs dont seuls le dévouement et la compétence soient les critères de plus haut niveau requis pour le Service de la Patrie : les nombreux charlots n’ont pas leur place[3]
  • fixe des objectifs clairs découlant directement du programme retenu, devenu un contrat entre la Nation et le Président élu.

Ce programme présenté à la Nation et devenu par son choix la Politique de la France doit :

  • refléter le système de valeurs de la Nation, ce qui implique le respect des valeurs forgées sur 2000 ans : notre Histoire, notre culture, nos religions ou notre athéisme, nos choix philosophique

Nos valeurs ne sont pas celles des habitants du Moyen-Orient, du Maghreb ou de l’Afrique sub-saharienne ou de toute autre région du monde.

Elles ne leur sont pas inférieures, non plus ;

  • définir les options qui ont été prises à l’avance sur les orientations majeures et les moyens qui seront utilisés.

C’est ce qui permet à l’appareil de l’État, plus particulièrement à tous ceux qui ont la responsabilité de piloter un de ses départements de disposer d’un référentiel commun et stable afin :

  • de créer, dans l’action, une unité de vue entre tous ceux dont les fonctions sont différentes mais interdépendantes;
  • d’apporter une homogénéité dans les décisions, dans le temps et de permettre la continuité des efforts nécessaires à l’atteinte des objectifs fixés.

C’est ainsi, que la politique de la France – en général – et les politiques sectorielles doivent être :

  • permanentes, mais pas nécessairement immuables ;
  • explicites, cela suppose qu’elles soient formulées par écrit, d’abord à l’intention de l’appareil d’État, de ses Représentants élus et de toute la Nation ;
  • intégrées, car cela est indispensable à la nécessaire cohérence entre les politiques sectorielles ;
  • décidées par le Président, assisté du Gouvernement : ministres, secrétaires d’État qu’il a choisis pour exécuter, et qui doivent rendre des comptes à la Nation via la Représentation Nationale. Ce qui, de fait, exclut tout conseiller, tout « cabinet noir », toute officine plus ou moins occulte, constituée de lobbyistes défendant des intérêts économiques, des causes étrangères, des opinions ou des groupes de personnes qui se comportent en influenceur politique !

Des objectifs globaux doivent avoir été fixés dans le cadre de la politique de la France, ils sont déclinés par secteur à chacun des niveaux de l’État, devenant ainsi des objectifs sectoriaux devant être atteints par chacun des membres du Gouvernement en charge d’un secteur.

Les objectifs sectoriaux doivent être fixés :

  • dans le cadre d’un plan définissant l’environnement et les moyens nécessaires et fixés ;
  • dans des délais déterminés ;
  • pour chacun d’eux, un responsable[4] doit être désigné.

Pour atteindre chacun des objectifs fixés, une ou des stratégies doivent être élaborées, en tenant compte de la conjoncture et des aléas possibles (une stratégie, n’est rien d’autre que le « chemin à suivre » pour atteindre le ou les objectifs fixés) :

  • elle est située en amont de l’action et dans un plan d’ensemble dont la responsabilité incombe à chacun des membres du Gouvernement, conformément aux responsabilités qui lui ont été confiées ;
  • elle est orientée conformément aux options prises et présentées dans le programme que le Candidat a présenté à la Nation .

À l ‘échéance, spécifiée dans les plans, l’atteinte de chacun des objectifs sectoriaux doit être contrôlée, les écarts par rapport aux prévisions doivent être justifiés : par écrit et sanctionnés, non par l’application d’oukases, mais de procédures rigoureuses spécifiées dans le plan.

Il n’apparaît pas de manière évidente que ce soit ce type d’organisation et de démarche qui ait été et qui soit à la base de la conduite de la France aujourd’hui, malgré les promesses du Candidat.

Le Chef, la Nation, les immigrés…

Depuis des années, tous les mois, toutes les semaines, et tous les jours, à grand renfort de médias (aux ordres) il nous a été expliqué voire exigé que nous, Citoyens français, nous assumions la responsabilité morale, financière, scolaire, sanitaire, d’immigrés clandestins ou non, et aussi  d’individus dont les seuls buts évidents sont de détruire notre Nation et qui, en attendant, profitent des largesses dispensées si facilement et sans compter au nom des Français.

Quand les Français élisent leur Président, c’est pour qu’il fasse son devoir. Ce qui va bien au delà de l’exercice des pouvoirs conférés par le seul vote de la Nation.

Ce devoir est simple, d’abord et avant tout :

  • faire que la France demeure ;

et

  • agir pour les Français, quelle que soit la couleur de leur peau, quelle que soit leur religion s’ils en ont une.

C’est pour cela que les Français accordent leurs suffrages au Candidat.

Tout le reste ne constituant qu’un ensemble de « détails » de mise en œuvre.

Alors que les impôts payés par les Citoyens, que les taxes nationales, régionales, départementales, communales… ne font que croître [5] , que les mutuelles ou les caisses de retraite non étatiques sont véritablement « rançonnées », les deniers que la Nation confie à l’État, qui n’est en rien propriétaire, mais tout simplement gestionnaire, disparaissent dans la gueule du dieu Moloch, qui les dévore et n’est jamais rassasié…

Quel usage est-il fait, réellement, des deniers dont les Français ont confié la gestion à l’État, mais dont ils sont et resteront les propriétaires ?

La Nation n’en sait rien !

Et il y a encore plus grave :

  • de plus en plus de Français se nourrissent avec les déchets des magasins, des grandes surfaces ou directement dans les poubelles ;
  • de plus en plus de Français n’ont plus de travail et pratiquement aucune espérance d’en trouver un ;
  • de plus en plus de Français n’ont pour seul logement qu’une roulotte, une cabane ou une tente, et tout baraquement léger est impossible à utiliser car soumis aux taxes foncières ;
  • de plus en plus de Français âgés sont laissés sur les « bas côté des routes », et l’on en arrive même à se demander si demain l’État ne distribuera pas de « petite pilule verte » qui fera disparaître tous ces « vieux cons » qui coûtent si cher…

Bien sûr, en oubliant que ce sont Eux qui ont fait les richesses de la France, ont fait la renommée de la France et se sont battus pour la Liberté de la France ;

  • de plus en plus la Constitution et les Lois qui sont le fondement de la République sont bafouées, contournées par des individus qui utilisent – en dehors de toute légalité, de toute légitimité – les largesses procurées dans le cadre de diverses prestations, subventions, tout aussi injustifiées que mystérieuses ;
  • de plus en plus de ces individus font de ces largesses leurs sources de revenus, tout en œuvrant pour la destruction de notre Nation et de ses Valeurs.

À maintes occasions, la devise de notre République Liberté  Égalité Fraternité est rappelée aux Français et nos Trois couleurs sont  brandies très haut en de maintes occasions… les Français étant des patriotes, cela « marche » toujours !

Ces trois couleurs sont celles pour lesquelles tant de Français ont donné leur vie pour que nous tous, nos enfants et les générations suivantes puissent vivre libres et heureux !

Il est de plus en plus difficile de comprendre le sens profond des propos et des actions des politiciens à quelque niveau de l’État qu’ils se trouvent, quand ils sont comparés les uns aux autres !

Tout ce qui précède permet de comprendre pourquoi les Français ne croient plus ce qui leur est raconté, ce pourquoi ils n’ont plus aucune confiance !

Voilà pourquoi, à quelque niveau de l’État qu’ils se trouvent, ceux qui veulent casser la France ne réussiront pas!

« Que Rome prenne garde à la colère de ses légions »,

Les républiques passent, les Nations demeurent !

Colonel Jean-François Cerisier

 Notes

[1] La Désinformation, à ne pas confondre avec l’intoxication ou l’influence est systématique, professionnelle, a toujours recours aux mass media, et s’adresse à l’opinion publique.

[2] Attention, ne pas confondre Nation et État.

[3] Suivez mon regard…

[4] Comprendre que cela implique d’avoir à rendre des comptes à la Nation, pas uniquement à ses représentants, et cela implique aussi l’idée de sanction.

[5] Dans le contexte politique actuel, devant la dette nationale, chaque Français doit s’attendre à devoir payer une taxe sur l’air respirable qui sera établie grâce à la pseudo-intelligence artificielle et des données provenant du système informatique de santé… en théorie protégé par le secret médical !

 




Connaître le Système islamique pour mieux le combattre

L’islamisme ou cancer vert

L’islamisme est tout à la fois :

  • la doctrine politique dont la finalité est l’expansion de l’islam, sur le monde;
  • l’idéologie développée à des fins de domination du monde musulman et du monde occidental, avec pour but le changement en profondeur : des idées, des comportements, tant dans le « territoire de l’islam » (dar al-islam), que dans le « territoire des mécréants » (dar al-kufr). (cf. infra la citation d’un court extrait des « Prolégomènes, d’Ibn Khaldoun, déclaré arabe au seul fait qu’il était musulman… ).

L’islamisme s’appuie sur une organisation comportant des individus, des structures : associatives, partisanes, sociales, éducatives, religieuses, financières, para-militaires…

L’islamiste, ou « Tenant du Système islamique » est un individu – indépendamment de sa nationalité, y compris française, femme ou homme – qui adhère tant  à la doctrine qu’à l’idéologie de l’islamisme.

Connaître son ennemi est indispensable pour le combattre

La simple étude de l’Histoire de l’islam depuis ses origines fait apparaître que, même s’il y a bien eu quelques périodes d’interruption, la guerre a été l’activité principale des Arabes ainsi que des Peuples convertis ou envahis et devenus adeptes de l’obligation divine.

Sept thèmes vous sont proposés pour cette connaissance de base.

Premier thème : L’islam est-il une religion comme les autres ?

De nombreux islamistes – ou tenants du système islamique – des collabos ou des idiots utiles, des experts auto-proclamés nous l’affirment :

« l’islam serait une religion au même titre que les autres religions monothéistes, christianisme ou judaïsme ».

Ce faisant ils nous trompent ou tentent de le faire.

Leur affirmation ânonnée repose sur trois aspects principaux : le monothéisme, la vénération de la « même déité », la reconnaissance des mêmes prophètes, dont le patriarche Abraham, mais il n’y a rien à voir entre Allah, Dieu et la Sainte Trinité, et YHWH.

L’analyse des faits historiques, des documents saints le CORAN, la SUNNAH et leurs exégèses ou les interprétations, ainsi que les documents et les faits actuels dans le monde entier prouvent le contraire.

En effet, depuis la création de l’islam par le prophète Muhammad et jusqu’à la disparition de l’empire ottoman, l’islam a été à l’origine de guerres, y compris de guerres civiles.

C’est au nom de l’islam que le Système islamique a entrepris des guerres :

  • contre les autres religions, principalement bouddhisme, hindouisme, christianisme et judaïsme, afin de les faire disparaître ;
  • par la religion, ce sont les prescriptions, les règles contenues dans les textes saints constituant les « outils de base » des islamo-terroristes, aujourd’hui commandés, utilisés, manipulés, soutenus, financés par des pays, organisations islamistes… dont la base idéologique est l’islam;
  • pour la religion : il s’agit de substituer l’islam aux autres religions, au prétexte que l’islam est la « seule vraie religion » et Allah le « seul vrai Dieu »…

Pour les islamistes, les non-musulmans sont donc des mécréants, et la conclusion s’impose : l’islam doit régner sur le monde, ce à quoi les islamistes s’emploient avec le jihad tel que défini dans plusieurs sourates du Coran.

Dans ces conditions, prétendre que l’islam est une religion comme les autres est une manipulation !

Deuxième thème: La guerre que l’islam mène à l’Occident est-elle une guerre conventionnelle ?

Il convient de rappeler que la guerre est une lutte armée entreprise par des agresseurs à l’encontre d’agressés. Chacun d’eux pouvant être des États, groupes sociaux, groupes ethniques, groupes confessionnels, groupes politico-économiques.

Les agresseurs, islamistes, par des actions armées, veulent imposer un système politique, économique, de gouvernement, une religion, une loi fondamentale… en totale contradiction avec la volonté des agressés.

Au XXIe siècle, la guerre n’a plus rien à voir avec celles des siècles précédents. Le comprendre est une nécessité si l’on veut pouvoir s’opposer aux hordes islamistes, ou aux « loups solitaires » surtout sur de longues périodes.

Le concept de « guerre » doit être complété et étendu. La guerre ne peut plus être seulement considérée comme un ensemble d’opérations de type militaire mettant en oeuvre des armes par nature.

Il est indispensable de prendre en compte les armes par destination.

Est arme par destination toute action, toute organisation, tout processus, toute technologie, tout moyen matériel ou immatériel. Un accent particulier doit être mis sur les sciences humaines et les technologies de l’information, s’appuyant sur, utilisant ou agissant sur les données et l’information. Ces armes font partie de la « boite à outils » des islamistes pour parvenir à leurs fins.

Il apparaît clairement que la guerre menée par l’islam à l’Occident n’est en rien une guerre conventionnelle.

Troisième thème : Quelle est la guerre que l’islam mène à l’Occident ?

La guerre menée par l’islam à l’Occident est totale, de type révolutionnaire, de nature asymétrique, et elle utilise le mode d’action subversif. Celui-ci déjà utilisé dans les guerres du XXe siècle est un mode d’action idéal.

Les opinions publiques dans leur ensemble, ou des groupes humains particuliers sont les cibles des actions dans le mode subversif. Pour parvenir à leurs fins, les islamistes font une très large utilisation des mass media dont les acteurs, par intérêt ou incompétence se font rouler dans la farine et contribuent très largement au développement du cancer vert et de ses métastases.

Le mode d’action subversif est idéal pour parvenir à la destruction des démocraties, de l’intérieur. Son rapport efficacité/coût est très favorable aux islamistes. En effet, les actions dans ce mode contribuent largement à la limitation du coût des opérations militaires et en compense les faiblesses des islamistes dans le mode d’action conventionnel.

Il ne faut pas croire pour autant que le mode d’action subversif remplace ou remplacera les actions terroristes, d’autant que la révolution a besoin de martyrs !

La guerre menée par l’islam à l’Occident est donc totale, de type révolutionnaire, de nature asymétrique, et de mode d’action subversif.

Quatrième thème : Quelle est la  « stratégie » employée par l’islam en Occident ?

Simultanément à un à un envahissement géographique, les islamistes, petit à petit, mettent sous contrôle les citoyens occidentaux, ce qui est rendu possible par la mise en place d’organisations parallèles de toutes natures afin :

  • de soustraire les citoyens musulmans ou non aux autorités morales, aux lois en vigueur, aux valeurs des civilisations occidentales
  • de limiter, voire supprimer la liberté d’action des citoyens, préalable à la suppression de la liberté de penser (déjà fortement limitée dans certains pays ou organisations).

Cinquième thème : Comment  neutraliser les opposants au système islamique ?

La neutralisation des opposants au système islamique utilise la multiplication des attentats terroristes, de plus en plus sauvages et de plus en plus nombreux.

L’établissement de la complicité du silence, qui a pour but le verrouillage de toute velléité de réaction chez les citoyens occidentaux repose sur des actes de terrorisme psychologique et de terrorisme physique. Il faut frapper fort les esprits occidentaux en utilisant des méthodes classiques ou des méthodes de la guerre révolutionnaire, et de nouvelles armes de la guerre non conventionnelle.

Ces armes sont principalement la manipulation et la désinformation.

Les manipulations permettent :

  • le développement ou le renforcement des adhésions volontaires aux “idéaux” islamistes;
  • le ralliement à la cause islamiste des brebis égarées;
  • l’annihilation de la combativité des citoyens opposés au système islamique et aussi le recrutement d’alliés ou d’auxiliaires chez les citoyens occidentaux.

Sixième thème : Colonisation morale et intellectuelle de l’Occident

Dans la guerre contre l’Occident, simultanément à un envahissement géographique, les islamistes, petit à petit, mettent sous contrôle les citoyens occidentaux. Ceci est rendu possible par la mise en place d’organisations parallèles de toutes natures afin :

  • de soustraire les mécréants honnis et les musulmans aux autorités morales, aux lois en vigueur, aux valeurs des civilisations occidentales
  • de limiter, voire supprimer la liberté d’action des citoyens, préalable à la suppression de la liberté de penser.

La mise sous contrôle des citoyens occidentaux repose sur :

  • la neutralisation des opposants au système islamique;
  • l’établissement de la complicité du silence.

La neutralisation des opposants au système islamique utilise :

  • la pandémie d’attentats terroristes ;
  • l’établissement de la complicité du silence afin de verrouiller toute velléité de réaction chez les citoyens occidentaux. Les actes de terrorisme psychologique ou physique sont ici très utiles.

Il faut frapper fort les esprits occidentaux en utilisant des méthodes classiques ou des armes de la guerre révolutionnaire, ou de nouvelles armes de la guerre non conventionnelle.

Parmi les armes nouvelles : la manipulation et la désinformation.

La manipulation est utilisée pour :

– le développement ou le renforcement des adhésions volontaires aux “idéaux” islamistes;

– le ralliement à la cause islamiste des brebis égarées;

– l’annihilation de la combativité des citoyens opposés au système islamique et aussi le recrutement d’alliés ou d’auxiliaires chez les citoyens occidentaux.

Nota (la désinformation selon Vladimir VOLKOFF est utilisée pour ne pas faire croire ce qui n’est pas mais modifier le comportement malgré les croyances, qu’elles soient religieuses, des opinions ou des convictions intimes)

Septième thème : Quel est le réseau d’aide à la propagation de l’islam sur le monde ?

Le système islamique a mis en place, dans le monde musulman et dans le monde mécréant, haï, un ensemble d’organisations et de mouvements constituant de fait un réseau. D’une manière générale, ces structures ont en commun leur haine de l’Occident et la volonté de l’asservir. La principale finalité de cet ensemble est la propagation de l’islam sur le monde.

Au centre du réseau on trouve une organisation tout à fait particulière : l’OCI, ou Organisation de coopération islamique. Elle regroupe 57 pays et joue un rôle majeur dans la nébuleuse islamique dont les entités ne sont pas nécessairement islamo-terroristes, quand bien même les passerelles sont nombreuses.

L’OCI est une entité de commandement, de pilotage, de décision, qui s’est auto-proclamée le maître “à bien penser”, à “bien dire” et à “bien faire” du monde, pas seulement islamique.

L’OCI, avec ses filiales, ses franchisés, ses séides, de fait contrôle le monde islamique en copiant l’ONU.

L’OCI a pour projet de faire disparaître l’ONU ainsi que ses diverses organisations qu’elle copie. La différence majeure entre ONU et OCI est que cette dernière introduit dans tous les domaines et à tous les niveaux la soumission totale à Allah telle que prescrite dans la profession de foi. L’OCI agit dans tous les domaines de la vie : politique, religieux, social, éducatif, sanitaire, financier, industriel…

Tout autour de l’OCI et de ses filiales gravitent de nombreuses organisations à caractère terroriste. Il est à noter que l’OCI s’est infiltrée aux plus hauts niveaux des États occidentaux et des structures internationales, en particulier celles de l’UE.

Colonel Jean-François Cerisier

Auteur de Guerre à l’Occident, guerre en Occident

https://ripostelaique.com/guerre-a-loccident.html




Tout savoir sur les Frères musulmans…

Le 3 mai 2016, Jean Sobieski écrivait dans les Coraneries :
« CORANERIE OLYMPIQUE AVEC MÉDAILLE D’OR DE LA TAQÎYA :
Naissance officielle de l’Islam-de-France, « expérience inédite » , première mondiale.
Et surtout, « on ne veut pas prendre le pouvoir » .
Arrête, camarade Lasfar, par la pitié du Prophète, arrête, j’ai mal aux côtes ! »

Cet article présente l’organisation « les Frères Musulmans », qui contrôle plusieurs entités subordonnées, dont l’UOIF (cf. Guerre à l’Occident – Guerre en Occident, chapitre 9 – Les réseaux du système islamique)

Origines des Frères musulmans
L’ organisation « Frères musulmans » a été fondée en 1928 par Hassan el Banna, dans l’esprit de la renaissance islamique, après l’effondrement de l’Empire ottoman et l’éradication du système de califat, qui prévalait dans le monde musulman et qui l’unissait depuis des siècles.
Hassan el Banna prétendait que l’islam n’était pas seulement un système de croyance, mais plutôt un système censé diriger tous les aspects de la vie, du berceau à la tombe : le système islamique (cf Guerre à l’Occident – Guerre en Occident, chapitre 1).

Depuis sa fondation, les Frères Musulmans ont cherché à propager leur vision de l’Islam dans le monde entier, provoquant des affrontements avec d’autres musulmans « ne tenant pas à leur foi pure ». Dès le début, Al-Banna a formé les membres de la confrérie, non seulement dans le cadre d’une une éducation musulmane traditionnelle, mais aussi dans l’optique de la guerre sainte (dJihad).
Officiellement, c’est une organisation pacifique, opposée à toute influence occidentale. Elle a une vocation panislamique, et possède des ramifications lui ayant permis de diffuser rapidement ses idées :
• dans la plupart des pays à majorité musulmane : au Moyen-Orient, au Soudan et en Afrique du Nord ;
• dans de nombreux pays ayant une minorité musulmane, Europe en particulier.

Les Frères musulmans, se sont opposés, parfois, violemment, aux États laïcs arabes, ce qui a entraîné son interdiction ou la limitation de ses activités dans plusieurs pays arabes.
Hassan al-Banna savait que son projet nécessiterait un puissant réseau mondial d’organisations travaillant toutes ensemble en dédiant totalement leur vie et leurs ressources afin que les buts soient atteints. À cette fin, il a créé de nombreuses organisations œuvrant dans une multitude de domaines, y compris mais sans s’y limiter : médias, économie, social, scoutisme, professionnel, militaire et gouvernemental. Les Frères musulmans ont réussi à créer de puissantes organisations dans tous les pays occidentaux. Ils ont également été très habiles dans le placement de leurs membres à des postes clés au sein de gouvernements, d’établissements d’enseignement, les armées, la police, et les structures d’élus…

Pour les chercheurs, la nébuleuse des Frères musulmans :
• serait coordonnée par la « Muslim Association of Britain» implantée à Londres ;
• utiliserait les services de la banque Al-Taqwa .
Sayyid QUTB, pendu sur ordre de NASSER, en 1966, a été le théoricien de la guerre sainte (djihad), et l’un des membres égyptiens les plus en vue des Frères musulmans.
Saïd RAMADAN, gendre de Hassan el Banna était membre des Frères musulmans, et Tariq RAMADAN, fils de Saïd, est membre des Frères musulmans.

Buts, finalités

Les finalités des Frères musulmans sont la lutte contre la laïcité occidentale, contre l’imitation du modèle européen et contre les influences soufies.
Ils s’opposent aux courants laïques des Nations à majorité musulmane; les Frères musulmans ont pour but principal l’instauration de républiques islamiques, fondées sur un retour aux préceptes du Coran, et l’application de la loi islamique (charia), dans les pays à majorité musulmane tels que l’Égypte, la Libye, la Syrie, ou la Tunisie.
Les Frères musulmans et ses filiales ont officiellement condamné le recours à la violence, sauf en dehors de la Palestine .
Les Frères musulmans possèdent des liens avec des organismes d’obédience Wahhabite, bien qu’ils soient rivaux.

Selon la place qu’ils occupent dans les différents pays, les Frères musulmans élaborent ou établissent des systèmes islamiques fondés sur la loi islamique (charia).
Aujourd’hui, les structures européennes des organisations associées aux Frères musulmans font la promotion d’un islam reposant sur le strict respect de la loi islamique comme système de vie, et ils encouragent fortement les musulmans à participer à la vie des sociétés dans lesquels ils sont insérés afin de faire avancer la cause du système-islamique, et de prendre le contrôle des États dans lesquels ces communautés sont insérées.
La profession de foi de l’Organisation des frères musulmans est :
{…« Allah est notre objectif. Le prophète Mahomet est notre chef. Le Coran est notre loi. Le djihad – guerre juste, appelé improprement guerre sainte – est notre voie. Mourir dans les voies d’Allah est notre plus grand espoir…}
Dans une fatwa prononcée en décembre 2002 , Yusuf al-Qaradawi, un des chefs spirituels des Frères musulmans, a déclaré :
{… « L’islam va retourner en Europe comme un conquérant et un vainqueur après en avoir été expulsé à deux reprises. Cette fois-ci, je maintiens que la conquête ne se fera pas par l’épée mais en recourant au discours et à l’idéologie »…}
Activités
Les Frères musulmans ont envoyé certains de leurs membres – en général ayant reçu une excellente formation, ayant des habitudes vestimentaires « parfaitement européennes » – dans les pays européens. En général, ils invoquent les statuts d’exilés politiques ou d’étudiants …
Dans chacun des pays dans lesquels ils sont implantés, les Frères musulmans ont créé des relations étroites avec les populations musulmanes émigrées et ont constitué des noyaux de nouveaux membres.
Si les actions, des Frères musulmans paraissent être exercées aux niveaux locaux, ceux-ci raisonnent « espace européen » en établissant des liens étroits avec les diverses organisations nationales.
Plusieurs organisations leur sont associées dans les pays occidentaux, ils exercent plusieurs activités, plus particulièrement celles en relation avec les questions sociales et politiques présentant un intérêt pour les musulmans.

Projet des Frères musulmans
Il a été écrit par Sa’id Ramadan, père de Hani et Tariq Ramadan.
À l’origine, le projet a été distribué aux membres de l’organisation des Frères musulmans dans le monde entier. Les destinataires avaient reçu l’ordre de faire en sorte que le contenu du projet ne soit pas divulgué à l’extérieur de l’organisation.
En novembre 2001, une copie du projet a été découverte lors d’un raid de la police suisse au domicile d’un important financier des Frères musulmans.
Le projet décrit 25 opérations (terme à prendre dans son sens militaire) permettant aux Frères musulmans, d’infiltrer et, à terme, conquérir, assujettir le reste du monde à l’Islam.
Il montre, on ne peut mieux l’utilisation de la tromperie (taqîya) par le Frère Amar Lasfar quand il déclare « on ne veut pas prendre le pouvoir ».

1. Structurer en réseaux et coordonner les actions des organisations islamistes ayant la même vision de l’assujettissement du monde à l’islam.
2. Éviter les relations ouvertes (non clandestines) avec les organisations et les individus terroristes connus, afin de préserver l’apparence de la «modération».
3. Infiltrer et contrôler (au sens anglo-saxon du terme : diriger, maîtriser) les organisations musulmanes existantes pour les réorienter vers les objectifs des Frères musulmans.
4. Utiliser la tromperie pour masquer les objectifs des actions islamistes, aussi longtemps que cela reste compatible avec la loi islamique (charia).
5. Éviter les conflits sociaux avec les Occidentaux aux niveaux local, national ou mondial, qui seraient susceptibles de réduire la capacité de développement dans le long terme d’une base opérationnelle islamiste en Occident, tout en apportant un soutien aux travailleurs.
6. Conduire et surveiller la collecte, l’organisation et le stockage d’ensembles de données, ainsi que celle des moyens de stockage.
7. Mettre en place un système d’alerte permettant de surveiller les médias occidentaux afin d’avertir les musulmans de complots internationaux fomentés contre eux.
8. Cultiver et développer une communauté intellectuelle islamiste et mettre en place des groupes de réflexion (laboratoires d’idées ou “think tank”), des groupes de défense des droits, la publication d’études universitaires devant légitimer les positions islamistes et rédiger la chronique de l’histoire des mouvements islamistes.
9. Élaborer et mettre en place un plan global de 100 ans pour faire avancer l’idéologie islamiste dans le monde entier.
10. Équilibrer les objectifs internationaux avec les objectifs locaux.
11. Construire un vaste ensemble de réseaux sociaux au niveau des écoles, des hôpitaux et des organisations de bienfaisance ayant des idéaux islamistes afin que le contact avec l’organisation des Frères musulmans en Occident soit constant.
12. En occident, à tous les niveaux des structures reposant sur des élections démocratiques, y compris les gouvernements, les ONG, les organisations privées et des syndicats, impliquer les musulmans politiquement engagés.

13. Instrumentaliser les institutions occidentales existantes jusqu’à ce qu’elles deviennent totalement favorables à l’islam et mises à son service.
14. Élaborer des projets de constitutions islamiques, des lois et des politiques en vue de leur mise en application éventuelle.
15. Éviter les conflits au sein des mouvements islamistes à tous les niveaux, et développer des processus de résolution des conflits.
16. Mettre en place des alliances avec des organisations occidentales «progressistes» partageant des objectifs similaires.
17. Créer des «forces de sécurité» autonomes pour protéger les musulmans en Occident.
18. Déclencher, aggraver la violence et maintenir les musulmans vivant en Occident dans l’état d’esprit de la guerre sainte (djihad ).
19. Soutenir les mouvements favorables à la guerre sainte (djihad) au sein du monde musulman par le biais de la prédication, la propagande, le soutien financier personnel, ainsi que le soutien technique et opérationnel.
20. Faire de la question palestinienne soit une cause primordiale pour les musulmans du monde.
21. Parvenir à la libération totale de la Palestine occupée par Israël et à la création d’un État islamique comme la clé de voûte dans le plan pour la domination de l’islam sur le monde.
22. Entreprendre une campagne constante pour activer la haine des musulmans contre les Juifs et rejeter toute discussion de conciliation ou de coexistence avec eux.
23. Créer et activer des cellules terroristes au sein de la Palestine occupée par Israël.
24. Relier les actions terroristes en Palestine avec le mouvement mondial de terreur.
25. Collecter des fonds permettant de perpétuer indéfiniment et de soutenir la guerre sainte (djihad) dans le monde entier.

Après la découverte du projet des Frères musulmans, en Suisse, en 1982, ceux-ci ont rapidement utilisé la tromperie (taqîya) pour essayer de mettre de la distance entre eux et le document. Les actions décrites ci-dessus, cependant, sont mises en œuvre à travers le monde, plus particulièrement en Europe et en Amérique.
Ce qui peut être constaté tous les jours.

Organisations associées

La structure de pilotage, de l’ensemble des Organisations des Frères musulmans serait la « Muslim Association of Britain ». En Europe elle possède trois grandes implantations :
• en France, « Union des organisations Islamiques de France » (UOIF) ;
• en Allemagne, « Islamische Gemeinschaft in Deutschland » (IGD), ou Communauté islamique d’Allemagne) ;
• en Belgique, « Ligue Islamique Interculturelle de Belgique » (LIB).

D’une manière générale, l’organisation des Frères musulmans :
• agit dans la construction des mosquées et dans l’Éducation. Et elle a été soupçonnée – par les autorités allemandes – d’avoir contribué ou de contribuer au financement du HAMAS, qui est l’une de ses « filiales » en Palestine ;
• possède des « succursales » dans plusieurs des grandes villes d’ALLEMAGNE, Berlin, Bonn, Brême, Darmstadt, Dresde, Düsseldorf, Erfurt, Göttingen, Hanovre, Karlsruhe, Kiel, Leipzig, Mayence, Munich, Solingen, Trèves, Tübingen …

Des organisations indépendantes ont été créées à partir des Frères musulmans, telles : Jama’a al-islamiya et le Hamas.

Colonel Jean-François Cerisier




Harki : pour toi, mon frère d’armes que j’ai abandonné il y a 60 ans

Harki, mon frère d’armes, cette nuit encore, je me suis réveillé en sueur, mon cœur battait la chamade. Tu venais de m’appeler, c’était bien ta voix, reconnaissable, comme celle de tout homme qui a peur, qui souffre et appelle son frère d’armes à l’aide : « Mon Lieutenant, au secours, viens vite… »

Depuis soixante ans et deux jours que je t’ai abandonné
: comme tout officier français j’avais reçu un ordre du chef des armées de l’époque de ne pas intervenir dans les « affaires intérieures de l’Algérie ». Les Marsiens, ces combattants révolutionnaires de la dernière heure, allaient se livrer à un génocide après le pseudo-cessez-le-feu du 19 mars 1962, qui a été violé à 12 h 00.

J’aurais dû me rebeller.
Je ne l’ai pas fait et je porte sur moi une tache indélébile ! Il y a soixante-deux ans et deux jours que j’ai pris le bateau à Bougie et que j’ai tiré la porte derrière moi sans pouvoir te faire embarquer. Deux jours après nous sommes arrivés à Port-Vendres et avons été accueillis comme des pestiférés : pas de garde d’honneur pour le Drapeau, mais des policiers.

Je savais que je ne reviendrais plus jamais et que je ne saurais jamais si tu avais
pu échapper au génocide des 150 000 harkis et familles. Pourtant, un jour, je suis revenu sur cette terre où j’avais été baptisé et pour y monter une société de services informatiques, j’ai rencontré beaucoup d’Algériens de fonctions diverses… Tout s’est très bien passé, y compris aux barrages de l’armée en Kabylie. Mais, ce n’était plus notre terre !

Bientôt, quand je vais arriver à la fin de la piste sur laquelle je chemine depuis 82
ans, mes frères d’armes me porteront en terre et ils verront cette tache indélébile que je porte au front, que seuls les hommes d’honneur reconnaissent. Ils savent donc déjà pourquoi. J’espère que des harkis ou des membres de leurs familles seront là, montrant qu’ils m’ont pardonné.

Lieutenant-Colonel (e.r.) Jean-François CERISIER




19 Mars : commémoration d’une triple ignominie

« …Quelle hécatombe connaîtrait l’Algérie si nous étions assez stupides et assez lâches pour l’abandonner… »

(Extrait de la Conférence de presse du 23 Octobre 1958 de Charles DE GAULLE)

Réaction d’un vieux Soldat, patriote « aujourd’hui plus qu’hier et moins que demain », ayant vécu les événements de la période dont la commémoration « fait toujours fureur chez les communistes et leurs séides et affidés  ».

Certains individus ou médias tentent toujours d’accréditer l’idée selon laquelle les Anciens combattants et leurs Associations auraient retenu la date du 19 mars pour la commémoration de la fin de la guerre d’Algérie. Il n’y a rien de plus faux : ce ne sont pas les anciens combattants ou leurs représentants qui ont retenu cette date et choisi d’en effectuer la commémoration.

Bien au contraire  !

Hormis les Communistes et affidés, la FNACA et ses filiales ou ses franchisés,  les Associations patriotiques, les vraies, pas celles qui, il n’y a pas encore très longtemps encore, associaient le drapeau de l’Union Soviétique à nos trois Couleurs,  ont toutes :

– décidé de ne pas reconnaître « le 19 mars » ;

– ont signifié leurs refus de participation aux sollicitations des autorités, d’une manière parfaitement claire.

Seules se rendront à cette commémoration des associations qui sont toutes – peu ou prou – dans les mains des anciens ou des néo-staliniens, dont la FNACA est tout à la fois le maître à penser et le grand ordonnateur de la nouvelle collaboration avec l’ennemi, dans le « monde » des Anciens combattants.

Ces tristes sires savent pourtant pertinemment que le 19 mars  – historiquement – marque le début d’une période des plus sombres de l’Histoire de la FRANCE, celle où le pouvoir politique, seul légitime à l’époque, en Algérie s’est comport é d’une manière ignomineuse :

  • a renié ses Filles et ses Fils, qu’ils soient Harkis ou Pieds-noirs, jusqu’à les abandonner sciemment à la barbarie ;
  • n’a pas réagi aux assassinats, aux disparitions de Soldats ;
  • a accepté que les Harkis et leurs familles qui avaient pu s’échapper du territoire algérien en laissant tous leurs biens sur place, soient parqués dans de véritables camps de concentration (comme celui de Saint-Maurice l’ardoise) entourés de miradors, avec interdiction d’en sortir.

Il est vrai qu’à l’époque, pour le pouvoir en place, ces Harkis n’étaient « que  des supplétifs » – tout comme ceux qui avaient formé la glorieuse Armée d’Afrique sans laquelle ce pouvoir n’aurait jamais existé – et que cela suffisait pour justifier des conditions qui n’auraient même pas été envisagées pour des détenus de droit commun !

Il est essentiel de rappeler que la loi du 23 février 2005 – article 2, que personne ne peut ignorer, stipule :

[La Nation associe les rapatriés d’Afrique du Nord, les personnes disparues et les populations civiles victimes de massacres ou d’exactions commis durant la guerre d’Algérie et après le 19 mars 1962 en violation des accords d’Evian, ainsi que les victimes civiles des combats de Tunisie et du Maroc, à l’hommage rendu le 5 décembre aux combattants morts pour la France en Afrique du Nord.]

Cet article de Loi établit la reconnaissance de la réalité des crimes commis en Algérie, encore territoire de la Françe, contre des population civiles « après le 19 mars 1962, en violation des accords d’Evian ».

Comme la FNACA et ses séides, prétendre que le 19 mars 1962 marquait la fin de la guerre d’Algérie, outre que ce soit un mensonge éhonté n’est aussi que du révisionnisme puisque son attitude – encore aujourd’hui – conduit à une remise en question de faits appartenant à l’Histoire de la guerre d’Algérie, :

tendant à nier ou à minimiser les tortures, les assassinats massifs, les enlèvements massifs de Harkis et de leurs familles (plus de 100.000), des tortures, des assassinats et des enlèvements de familles de Pieds-noirs, des tortures, des assassinats et des enlèvements de Soldats français (alors que le cessez-le-feu était entré en vigueur), par les tueurs du FLN.

A propos du choix de la date du 19 mars comme étant celle de la fin de la guerre d’Algérie :

  • le Président MITTERAND (lors de sa conférence de presse du 24 septembre 1981) avait rejeté cette date «  … à mes yeux, cela ne peut pas être le 19 mars, parce qu’il y aura confusion dans la mémoire de notre peuple, cela ne peut pas être le 19 mars. Je trouve parfaitement normal qu’une Association l’ait choisie pour elle-même, mais au niveau du pays un date devra être choisie …».
  • le Président SARKOZY avait déclaré le 16 avril 2007. « Il n’est pas question que 19 mars soit une date officielle de commémoration. Il est arrogant de condamner et de mépriser la douleur qui fut la vôtre et celle de vos familles lorsque vous fûtes chassés de vos terres, de vos maisons, et séparés de vos amis. Je le répète, c’est par respect pour vous que je n’accepterai pas que la date officielle de la commémoration des morts de la guerre d’Algérie soit celle du cessez-le-feu, qui de surcroît, n’a pas été respecté. »

Pour toutes ces raisons, les Anciens combattants français et leurs Associations, totalement opposées à la FNACA, ses séides, ses succursales, ses franchisés, ne pouvaient que refuser que la date officielle de la fin de la guerre d’Algérie soit fixée au 19 mars, et qu’il soit aussi décidé que cette date soit celle de la journée de commémoration nationale.

Comment imaginer que les Anciens combattants de la guerre d’Algérie, aient pu réagir autrement ?

Quand, après le cessez-le-feu, le 19 mars 1962, le FLN a lâché ses hordes d’assassins, c’est la rage au coeur, le désespoir dans l’âme que, nous les Soldats de FRANCE, nous avons du obéir à un pouvoir qui nous ordonnait de ne rien faire, de ne rien tenter, de ne pas intervenir pour protéger tous ceux que les barbares menaçaient, au prétexte qu’il s’agissait « d’affaires internes de l’Algérie ». C’est à dire de rester passifs, l’arme au pied, alors que nos Frères d’Armes Harkis, nos amis Pieds-Noirs, nos Camarades, étaient massacrés, et alors que nous avions la volonté et les moyens de les protéger !

Le pouvoir de l’époque porte l’entière responsabilité de cette ignominie.

Malheureusement, chacun de nous porte en lui cette tache indélébile, ces souvenirs d’appel au secours auxquels nous ne pouvions répondre, quand bien même certains ont pu contrevenir aux ordres …

Ils ont sauvé l’Honneur !

Quand, faisant fi de l’Histoire et des textes officiels, obéissant – de fait – à ceux qui excellent dans sa réécriture et sa falsification, la FNACA et ses affidés entendent célèbrer la date de commémoration de la fin de la guerre d’Algérie, le 19 mars 2020, il s’agit d’une nouvelle ignominie !

Mais, en cette année 2020, dans la FRANCE troublée par la pandémie de maladie à coronavirus les décisions de Confinement, prises pour éviter la transmission du virus font que les pseudo-cérémoinies de célébration da la pseudo fin de la Guerre d’Algérie, montées par la FNACA et ses affidés, ne pourront avoir lieu !

Ce qui est une première bonne nouvelle !

Par ailleurs, les mêmes décisions, limitant les déplacements et rencontres, feront que nous serons totalement disponibles pour le « Devoir de mémoire » qui incombe à chacun.

Ce qui est une autre bonne nouvelle !

Les tenants du pouvoir en 1962 ont été des lâches, ignorants de l’Honneur et de la Fidélité, que l’Histoire les maudisse !

Jamais je  n’oublierai mon premier compagnon de jeu, ordonnance de mon Père, Tirailleur, Légion d’Honneur et Médaille Militaire gagnées au Feu.

Jamais je  n’oublierai  tous ces jeunes tombés pour la France.

Jamais je  n’oublierai nos Harkis et leurs familles, martyrisés, massacrés, parce que abandonnés sur ordre, alors que nous attendions du Chef des Armées l’ordre d’intervention qui n’est jamais venu.

Jamais je  n’oublierai ces cris que “j’entends” encore certaines nuits “Mon Lieutenant, au secours, viens vite !

Jamais je n’oublierai ceux de ma famille, mes amis qui ont “disparu”.

Jamais je  n’oublierai que le 19 mars, c’est la célébration de l’ignominie érigée en système, de la trahison, de la lâcheté ?

Cinquante huit ans après, je n’ai jamais autant eu envie de passer au lance-flammes tous ces traîtres à la Patrie, seul moyen pour nettoyer des ordures et simultanément purifier l’environnement .

A bientôt 80 ans, avec mes Camarades nous trouverions encore la force physique nécessaire !

Car,

    Nous sommes ces soldats qui grognaient par le monde

    Mais qui marchaient toujours et n’ont jamais plié …

    Nous sommes cette église et ce faisceau lié

    Nous sommes cette race éternelle et profonde …

    Nos fidélités sont des citadelles

     (Charles Peguy)

Jean-François CERISIER




Combat UE-Turquie : hypothèses pour le futur

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Cet article reprend les aspects essentiels du chapitre 8 « Hypothèses pour le futur » de mon livre Guerre à l’Occident – Guerre en Occident.

https://ripostelaique.com/livres/guerre-a-loccident-guerre-en-occident

S’il est évident que la situation d’aujourd’hui n’est pas parfaitement identique à celle existant au printemps 2014 (disponibilité de la maquette du livre édité par RL en mars 2015), il reste que les possibilités présentées à l’époque approchent de très près la réalité d’aujourd’hui !

Évolution de la situation, que sera, que pourrait-être demain ?

S’il est permis de penser que c’est dans la fourchette 2030 – 2050 que le début de la réaction en chaîne démarre (1) , cela s’avère très optimiste ». En effet, en plus des conflits locaux au Moyen-Orient, en plus de la volonté de certains de raser l’État d’Israël, deux bombes pourraient exploser d’ici à l’année 2030, faussant les « prévisions » concernant l’Europe :

  • l’intégration de la Turquie dans l’UE ; (thème développé ci-dessous)
  • la confirmation, par les faits, dans le partenariat euro-arabe (Euromed) des trois buts principaux qui avaient été assignés au Processus de Barcelone (thème non abordé dans cet article).

L’intégration de la Turquie dans l’UE

Le constat

Les euro-technocrates non élus, tout comme les technocrates des États européens, qu’ils soient idéologues, incompétents ou manipulés par l’OCI, n’ont rien compris ou ne veulent rien comprendre à la menace qui pèse sur l’UE, et aussi sur les autres pays d’Europe n’appartenant pas à l’UE, mais contraints de fait de subir les conséquences de l’intégration possible de la Turquie dans l’UE : une faute, ou plutôt une trahison, dont ils auraient à répondre à leurs nations.

 

Cette éventualité, à elle seule, permet d’imaginer une situation explosive en Europe, sur le plan politique, économique, social, religieux, sanitaire, éducatif, sécuritaire, étant donné que :

  • la Turquie n’a jamais été historiquement, géographiquement, culturellement, religieusement européenne. Elle est méditerranéenne, de religion musulmane, et les lointaines origines de ses populations sont avant tout asiatiques. Le fait que durant l’Empire ottoman elle ait envahi des pays européens et conservé certains des territoires conquis (aujourd’hui la Thrace orientale) n’en fait pas pour autant un pays européen.
  • de plus, la Turquie actuelle :
  •  – le gouvernement est islamiste (2)» ayant mis à bas la révolution lancée par Mustapha Kemal Atatürk, en particulier la sécularisation (3) ;
    – le gouvernement est inféodé à l’OCI dont il est un partenaire « privilégié » ;
    – la population est de l’ordre de 76 millions, dont 96 % sont musulmans (environ 73 millions) ;
    • refuse de reconnaître l’État chypriote grec, membre de l’UE ;
  • En outre, l’UE est dans l’incapacité institutionnelle de « verrouiller » ses frontières (l’agence Frontex n’a, de fait aucune utilité) (3), de respecter et faire respecter ses cultures, ses héritages du passé (en fait, les eurocrates les renient !) ;
  • Et les « instances dirigeantes » (illégitimes) de l’UE et des États européens manipulent les citoyens en leur faisant croire que la Turquie est un pays européen, alors que rien dans la géographie, dans l’histoire, dans la culture ou les religions n’autorise une telle affirmation… il est vrai largement sponsorisée par les États-Unis pour des raisons économiques et stratégiques.

Les conséquences possibles ou probables (?)

Compte tenu de l’importance de sa population, la Turquie deviendrait le deuxième pays de l’UE, juste derrière l’Allemagne, avant la France et l’Italie ce qui signifie (5) qu’elle posséderait de l’ordre de 99 sièges au Parlement (sur 752), et de l’ordre de 29 voix au Conseil (sur 345).

Pendant des siècles, l’Empire ottoman a « régné » sur plusieurs pays d’Europe, son entrée dans l’UE pourrait réveiller le mythe du « grand califat », qui ferait de la Turquie le nouveau maître de l’Europe…

Ce serait le premier pays de l’UE membre de l’OCI, véritable cheval de Troie du système islamique.

Ce serait l’ouverture béante de plusieurs portes sur les pays islamistes du Moyen-Orient.

La Turquie ne reconnaissant pas Chypre, il faudrait s’attendre à des problèmes dont les « solutions » amèneraient immanquablement à un affaiblissement de l’UE… ce dont elle n’a pas vraiment besoin.

Le problème kurde n’étant toujours pas réglé, il se pourrait que des millions de Kurdes (majoritairement musulmans) quittent le territoire de la Turquie et ceux dans lesquels ils se sont regroupés : Azerbaïdjan, Arménie, Géorgie, Afghanistan, Liban, pour venir s’installer dans plusieurs pays de l’UE actuelle (ce qui aggraverait quelque peu la situation en raison de la présence de diasporas importantes dans des pays de l’UE). Ceci serait facilité par la libre circulation des personnes au sein de l’UE, et  entraînerait certainement des réactions violentes à base ethnique ou religieuse… ce dont elle n’a pas vraiment besoin.

Le peuple turc étant fortement nationaliste, l’abandon de la souveraineté à Bruxelles engendrerait très certainement des problèmes intérieurs à la Turquie et donc au sein de l’UE … bien qu’après son entrée éventuelle un rééquilibrage soit – probablement – effectué entre les pays de l’UE.

Les accrétions successives de nouveaux pays au sein de l’UE, alors qu’elle ne possède toujours pas de politique économique, sociale, de défense… entraînent déjà de nombreuses difficultés qui sont accentuées par le fait qu’elle soit dirigée par des commissaires a-responsables et n’ayant aucune légitimité.

L’intégration de la Turquie ne ferait que multiplier les problèmes conduisant à un possible éclatement de la « nouvelle UE ».

Et si l’irréparable devait malgré tout avoir lieu, après la Turquie, la règle « l’intégration dans l’UE : c’est celui qui l’exige, qui le décide » mettrait à bas les deux premiers paragraphes du préambule de la Charte européenne :

« Les peuples de l’Europe, en établissant entre eux une union sans cesse plus étroite, ont décidé de partager un avenir pacifique fondé sur des valeurs communes.
Consciente de son patrimoine spirituel et moral, l’Union se fonde sur les valeurs indivisibles et universelles de dignité humaine, de liberté, d’égalité et de solidarité ; elle repose sur le principe de la démocratie et le principe de l’État de droit. Elle place la personne au cœur de son action en instituant la citoyenneté de l’Union et en créant un espace de liberté, de sécurité et de justice. »

Dans ces conditions, pourquoi pas d’autres pays du Moyen-Orient ou d’Asie Occidentale ?

Ouf ! Dans l’intégration de nouveaux pays au sein de l’UE, il  ne semble pas prévu que les États-Unis réclament leur intégration…

Jean-François Cerisier

Notes

(1) Allusion à la divergence d’une pile ou d’un réacteur nucléaire lorsque démarre la réaction en chaîne de fission ou de fusion.

(2) Se déclarant « islamiste modéré », il serait intéressant de connaître la définition précise de cette expression.

(3) Pire, même, puisque en raison des conventions maritimes internationales, les opérations de lutte contre l’immigration illégale sont transformées en missions de sauvetage en mer et d’assistance aux migrants naufragés. Ce qui revient à faire que Frontex soit l’un des outils favorisant l’immigration illégale. Ceci est à rapprocher de la « brillante proposition » de création d’une « carte bleue ».




Acte IX : L’UE va-t-elle envoyer Eurogendfor, sa milice, pour sauver Macron ?

Depuis maintenant plus de huit semaines, le feuilleton “les Gilets jaunes” diffusé ad nauseam par toutes les chaînes de télévision et la presse écrite à la botte est entré dans toutes les familles françaises.

Chacun a pu constater que des manifestations – parfois violentes – sont entreprises par des groupes de citoyens qui n’ont plus le moyen de se faire démocratiquement entendre par le pouvoir exécutif à l’hallali ou par le pouvoir législatif à la botte !

Les séquences télévisées permettent à celles et ceux qui ont de modestes connaissances en la matière de constater que les organisations de Gilets jaunes, composées de patriotes, sont très fortement pénétrées par des professionnels de la révolution, qu’on les nomme “Black Blocs”, “anarchistes”, ou pilleurs de toutes sortes, dont le seul but est de tout foutre en l’air et de s’approprier les biens d’autrui.

Dans ces conditions, le pouvoir exécutif a décidé la mise en place et l’activation de forces de sécurité intérieure ayant pour mission de rétablir l’ordre et de s’opposer aux casseurs d’où qu’ils viennent et quels qu’ils soient.

Chacun a pu constater aussi que la mission des policiers, CRS ou gendarmes n’était pas chose facile, en raison des effectifs insuffisants, de la fatigue et du manque de repos. Et aussi en raison du manque effarent des compétences du pouvoir politique qui n’a que des oukases à la bouche et des mensonges éhontés comme outils de commandement !

Dans ce contexte de folie, de mensonges, de trahisons, chaque citoyen – fondamentalement patriote – est pourtant légitimement persuadé de tout savoir sur ce qui se passe dans notre pays ….

Hélas, ce n’est pas du tout le cas, et c’est grâce au rappel de quelques-uns, dont en particulier le COMITÉ VALMY, qu’une opération d’atteinte à nos libertés fondamentales, à l’intégrité de notre territoire national, qui est peut-être entreprise par des forces paramilitaires de l’Union européenne, probablement à la demande du pouvoir exécutif, mais peut-être sur décision directe de l’UE, est mise en évidence !

Plusieurs témoins ont rapporté, et certains ont publié des photos faisant apparaître :

– que des personnels participant au maintien de l’ordre qui portaient des écussons, par exemple [CRS] portaient aussi des insignes de toile étrangers et n’ayant en tout cas aucune valeur dans notre pays :

https://avantgardepeuplesobs.org/2019/01/06/france-europe-dictature-05-01-2019-confirmation-crs-a-paris-qui-ne-sont-pas-crs-et-encore-moins-francais-il-sagit-dune-milice-europeenne-eurogendfor-creee-en-2004-pour-le-mainti/

– que des matériels de type blindés de la gendarmerie possédaient le drapeau européen peint sur leur carrosserie.

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article10702

http://www.comite-valmy.org/spip.php?article10735

Au moins deux blindés affichant l’emblème de l’euro-dictature ont étés photographiés à Paris le 8 décembre. L’Eurogendfor venue protéger Macron ?

Ces forces paramilitaires ont une existence légale, c’est évident sous l’angle de l’oligarchie de l’Union européenne, mais aussi vu sous l’angle du décret n° 2012-1021 du 4 septembre 2012([i]) […] portant création[ii] de la force de gendarmerie européenne EUROGENDFOR[iii], signé à Velsen([iv]) le 18 octobre 2007, et entré en vigueur le 1er juin 2012.

La prise de connaissance des différents documents se rapportant à la création de EUROGENDFOR permet d’affirmer que le Traité de Velsen marque de fait la perte de la souveraineté nationale des États membres de l’Union européenne, à commencer par celle de la France !

EUROGENDFOR qui est considéré par ses promoteurs comme le premier “corps militaire”[v] de l’UE possède un caractère supra-national. Il est composé de “forces de police militarisées”[vi] à l’ordre de l’UE, prêtes à intervenir dans des zones de crise, sous l’égide de l’OTAN, de l’ONU, de l’UE ou de coalitions formées pour tenir compte des circonstances dans divers pays([vii]).

Il ne s’agit pas d’une véritable armée européenne qui impliquerait qu’elle soit sous la tutelle de la Commission européenne et du Parlement européen mais d’une force armée supranationale([viii]) qui possède une certaine autonomie, pour ne pas dire une autonomie certaine !

EUROGENDFOR n’est soumis à aucun contrôle des parlements nationaux, ni à celui du parlement européen mais est directement sous les ordres des pouvoirs exécutifs par l’intermédiaire du CIMIN (Comité Inter Ministériel de Haut Niveau). C’est un aspect particulièrement grave car il constitue une des preuves évidentes du caractère antidémocratique du système EUROGENDFOR !

Dans le traité il y a un paragraphe entier intitulé “Missions and tasks” (missions et tâches), dans lequel il est stipulé qu’EUROGENDFOR pourra aussi se substituer aux forces de police civile d’un État, à n’importe quelle phase d’une crise et que son personnel pourra être soumis à l’autorité civile ou à un commandement militaire.

On se fout des nations européennes et de leurs citoyens !

Au niveau des effectifs, EUROGENDFOR comprendra / comprend de l’ordre de 800 “gendarmes”([ix]) pouvant être mobilisés en 30 jours([x]), et d’une réserve de 1500 hommes[xi]

EUROGENDFOR est dirigée / conduite par deux organismes centraux :

– le CIMIN (ou Comité Inter Ministériel de Haut Niveau) organisation politique([xii]) …

Il est  composé de représentants des ministres des Affaires étrangères et de la Défense, de pays ayant adhéré au traité.

– le PHO([xiii]) ou quartier général permanent, de nature technique composé de 16 officiers et de 14 sous-officiers.

Les fonctions principales : commandant, vice-commandant, chef d’état-major et sous-chefs opérations, sous-chef planification et sous-chef logistique donnent lieu à des responsabilités tournantes entre les différentes nationalités.

Quelques articles du Traité de VELSEN méritent d’être cités, tellement ils sont énormes…

Article 21 – Les bâtiments, locaux et archives de EUROGENDFOR sont inviolables.

Article 22 –  Les propriétés, capitaux, de EUROGENDFOR ne peuvent faire l’objet de mesures prises par des autorités judiciaires de l’un quelconque des pays signataires.

Article 23 – Les communications (terme à prendre au sens technique) des officiers de EUROGENDFOR ne pourront être interceptées.

Article 28 – En cas des atteintes à la propriété causées par EUROGENDFOR les pays signataires renoncent à demander des dédommagements  si ces dommages ont été faits dans le cadre de préparations ou d’exécutions d’opérations.

Article 29 –  Les personnels appartenant à EUROGENDFOR ne pourront être soumis à des procès suivis d’une sentence, que ce soit dans l’État hôte ou dans l’État d’accueil, pour des faits liés à l’exécution de leur service.

Parmi les multiples missions dévolues à EUROGENDFOR quelques unes méritent d’être citées :

La première car elle peut se rapporter à n’importe quoi et n’importe comment[xiv] :

garantir la sécurité et l’ordre public;

Les suivantes, car elles sont totalement irréalisables, probablement – même – en cas de binationalité  car impliquant des compétences spécifiques du pays dans lequel ils agissent [xv]:

– exécuter des tâches de police judiciaire : compétences juridiques et judiciaires ;

– contrôler, conseiller et superviser la police locale, y compris dans les enquêtes pénales (idem ci-dessus) ;

– diriger la surveillance publique : ce concept doit être éminemment variable d’un pays à l’autre ;

– opérer comme police des frontières : compétences en relations juridiques et réglementaires existant entre le pays d’accueil et le ou les pays frontaliers, qui n’appartiennent pas nécessairement à l’UE ;

– récolter des informations et développer des opérations de service secret. Là, c’est carrément du grand-guignol, et qui impliquerait – au minimum – que les membres d’EUROGENDFOR possèdent les compétences requises…

Chers amies et chers amis,

Les élections européennes de 2019 en France se dérouleront le 26 mai 2019 afin d’élire les 79 députés européens représentant la France au Parlement européen.

Quand vous choisirez votre bulletin, pensez d’abord à la FRANCE, à nos Amis européens qui comme nous ne veulent plus de cette “oligarco-ploutocratie” qui entend nous asservir.

Lieutenant-colonel Jean-François Cerisier

[i]    Fait le 4 septembre 2012. François Hollande , Jean-Marc Ayrault, Laurent Fabius. Noter que la signature du ministre de la Défense “n’a pas semblé s’imposer …”

[ii]  C’est la FRANCE, en la personne de Madame Alliot-Marie ministre de la Défense (mai 2002 à mai 2007), qui a été à l’origine de la mise en place de la EUROGENDFOR, après des troubles de plus en plus fréquents sous formes de batailles de rue et de pillages suscités par des adolescents musulmans immigrés en France.

[iii]  Décret n° 2012-1021 du 4 septembre 2012 portant publication du traité entre le Royaume d’Espagne, la République française, la République italienne, le Royaume des Pays-Bas et la République portugaise portant création de la force de gendarmerie européenne EUROGENDFOR, signé à Velsen le 18 octobre 2007

[iv]  Voir https://www.lesobservateurs.ch/2014/11/21/arriva-eurogendfor-gestapo-al-soldo-dei-burocrati-di-bruxelles-prove-di-dittatura-ue/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=facebook

[v]   On peut légitimement se poser la question de savoir s’il s’agit bien d’un “Corps militaire”, qui serait appelé à combattre dans le cas d’un conflit entre des États, ou d’une milice remplaçant ou renforçant des forces de sécurité intérieures, conduisant ou participant à des opérations de maintien de l’ordre. Ce qui n’est tout de même pas tout à fait la même chose, ce d’autant que l’UE peut décider par elle-même de l’emploi de cette force !

[vi]  Ce concept mériterait ‘être parfaitement défini …

[vii] À noter que – curieusement – la Turquie, pays européen bien connu, est membre observateur. Ce qui lui permet de connaître l’organisation, les techniques… d’EUROGENDFOR, et pourrait se révéler utile dans le cas d’un conflit ou de tensions fortes découlant de la volonté du président ERDOGAN de recréer un empire ottoman islamiste.

[viii]  Peut-être ceci est-il à rapprocher de la vision anglo-saxonne de PMC ou private military company. Selon Wikipedia : société fournissant des services dans le domaine de la sécurité et de la défense à des gouvernements, organisations internationales, ONG ou entreprises privées ; en 2012, la désignation officielle française est « entreprise de services de sécurité et de défense ».

[ix]  C’est l’appellation officielle, alors que celle de [milicien] serait certainement plus appropriée.

[x]   Ce qui signifie bien qu’il ne s’agit pas là d’une force militaire ou force de police régulière, mais d’une force rassemblée à la demande (cf vii supra)

[xi]  Qui sont-ils ? réservistes, mais de quoi ? chômeurs ? bras-cassés ? élargis de prison ? …

[xii] Avec, comme une odeur de Tcheka ou Guépéou…

[xiii]       PHO : Permanent Head-quarter operations

[xiv]       Concept de l’auberge espagnole

[xv] Cest tellement idiot que cela n’en n’est même pas drôle !




Il faudra mener la bataille pour un référendum sur l’immigration

Après la multiplication des appels ayant pour sujet “Aidez-nous à obtenir le référendum sur l’immigration”, antérieurement à l’information précisant que le projet de Pacte mondial pour les migrations serait signé à MARRAKECH les 19 et 11 décembre 2018, et que la France – en la personne du président de la République serait présente et signerait ce pacte – j’ai entrepris une réflexion de fond avec l’espoir d’être utile à mon pays.

Je vais essayer de vous présenter ma perception du projet consistant à élaborer une pétition destinée au président de la République afin d’obtenir un référendum sur l’immigration.

Je n’entends pas jouer les Cassandre, mais simplement utiliser la formation que j’ai reçue, à savoir avant de démarrer une mission il est non pas indispensable mais obligatoire d’identifier tous les risques potentiels, de les évaluer et de mettre en place des contre-mesures permettant d’arriver à bonne fin !

Tout d’abord, le but final : c’est ici l’obtention d’un “référendum sur l’immigration”.

Il convient de noter les points suivants (dans le désordre):

– Le parti politique de Nicolas Dupont-Aignan : “Debout la France” a déjà entrepris cette démarche (https://referendum-immigration.fr/). La multiplication de démarches identiques – et concurrentes – pourrait se révéler contre-performante, alors qu’il convient de s’unir face aux ennemis de l’intérieur et de l’extérieur, et sachant qu’à ce jour ce référendum ne semble pas attirer les foules (un peu plus de 24000 signatures sur les 42 millions et quelques d’électeurs …). Ce résultat, même temporaire, est insignifiant par rapport au résultat attendu, espéré ;

– Depuis que la Constitution de la Ve République est en vigueur, il apparaît que l’initiative de lancement soit de fait une “responsabilité” de l’exécutif et non du corps électoral, voire du “législatif” ;

– Toujours depuis que la Constitution de la Ve République est en vigueur, il n’y a eu que neuf référendums, et aucun n’a été organisé ni envisagé par les successeurs de Jacques Chirac (le dernier datant du 29 mai 2005). Il apparaît donc clairement que ce mode d’expression directe n’ait pas la faveur de l’exécutif, et que ceci soit particulièrement vrai quand la tête de l’exécutif a des penchants autocratiques…

– Au fond, malheureusement, une pétition risque de ne servir à rien car bon nombre de Français (de tous les horizons politiques) trouvent que c’est “très bien” de “bénéficier” d’une immigration. Ils montrent par là qu’ils n’ont rien compris ou ne veulent pas comprendre . Quant à imaginer qu’une pétition puisse influencer le pouvoir dictatorial déjà en place et qui chaque jour se renforce un peu plus, alors là c’est du rêve éveillé ;

– Un rapide parcours du site “france-pétitions” fait apparaître que les différentes pétitions ont des résultats insignifiants en nombre de signataires pour la plupart d’entre elles. Et si jamais leurs promoteurs poursuivaient leur action, il y a de grandes chances qu’elles ne parviennent même pas à la boîte aux lettres de l’Élysée, mais aillent directement à la poubelle. À l’inefficacité s’ajouteraient le ridicule et la jubilation de l’exécutif et de ses séides.

– Dans les faits, il apparaît que les pétitions soient maintenant très à la mode (tout comme le “charity business”, et pour un oui ou pour un non nombre de citoyens se lancent dans la rédaction de pétitions qui ne sont que l’expression de mécontentements individuels à portées strictement locales, ou permettant de récolter quelques subsides.

– Le chef de l’exécutif, en bon autocrate qu’il est, entend que son autorité absolue soit incontestée, et il est possible/probable qu’il entende la pérenniser afin qu’elle lui serve de tremplin pour atteindre le but qu’il s’est fixé, ou qu’on lui a fixé (?) : diriger l’Europe, pas seulement l’Union européenne. Pour arriver à une situation de ce type, sachant que la population d’origine maghrébo-africaine doit dépasser 4,8 millions d’individus, il a besoin du soutien de la Oumma et des “autorités islamiques” tant intérieurs qu’extérieures, ce qui implique une totale servilité envers ses mentors, qu’ils soient islamistes, affairistes internationaux, dirigeants de l’Onu ou “Oligarques invisibles”. Il est donc très peu probable que l’idée même d’un référendum sur l’immigration puisse voir le jour pour l’adoption d’un projet de loi portant sur l’organisation de l’immigration en France. Ce d’autant qu’aucune disposition constitutionnelle ne permet qu’un référendum puisse avoir lieu à la demande d’une fraction du corps électoral !

– Les résultats d’un référendum peuvent être défaits sans recours à un nouveau référendum :

  • par une loi pour modifier une loi référendaire consécutive à l’usage normal de l’article 11 (de la Constitution) dans le domaine législatif ;
  • par une loi constituante approuvée par le Congrès en vertu de l’article 89 (de la Constitution), pour réformer des révisions constitutionnelles ayant été adoptées, soit par le référendum concluant normalement l’article 89, soit par le référendum de l’article 11 (de la Constitution);
  • lors d’un second référendum dans lequel une question “semblable” à celle du précédent référendum serait posée pour anéantir le résultat du premier.

– Tout référendum (mais aussi toute nouvelle loi sur l’immigration) devrait être compatible avec le droit européen, comme cela a été le cas pour la loi du 16 juin 2011 relative à l’immigration, à l’intégration et à la nationalité (transposition de trois directives de l’UE) ;

  • la « directive retour » du 16 décembre 2008 sur les normes et procédures communes applicables dans les États membres au retour des ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier ;
  • la directive carte bleue du 25 mai 2009 sur les conditions d’entrée et de séjour des ressortissants de pays tiers aux fins d’un emploi hautement qualifié ;
  • la directive sanctions du 18 juin 2009 sur les sanctions et les mesures à l’encontre des employeurs de ressortissants de pays tiers en séjour irrégulier.

Pour toutes ces raisons, réclamer à cor et à cris un référendum a toutes les chances de conduire à un échec, ce d’autant qu’il conviendrait auparavant que les “partisans du référendum” s’unissent, élaborent en commun un contenu de loi – devenant projet de loi (plus qu’aléatoire), ou proposition de loi (à condition de trouver une majorité au Parlement, ce qui est aujourd’hui tout à fait improbable compte tenu de l’atomisation des partis traditionnels et des courants de pensée existants). C’est ce contenu de loi dont l’acceptation serait soumise au référendum… C’est totalement irréaliste en raison de la décomposition du corps électoral, et de l’inaptitude des citoyens (ils n’ont pas été instruits, ce n’est donc pas leur faute) à contribuer efficacement à un tel projet !

Deux autres aspects essentiels constituent chacun une “dissuasion totale” au projet de référendum sur l’immigration : la personnalité du président de la République, et l’état de guerre dans lequel nous sommes entrés il y a maintenant plusieurs années.

La personnalité du président de la République

Les agissements quotidiens du président de la République dont nous avons connaissance font apparaître :

– sa volonté d’être le seul maître après Dieu, ce qui est particulièrement visible au niveau de ses relations avec les membres du gouvernement et avec ses collaborateurs proches, voire dans ses contacts avec la “population”;

– que pour lui tout est permis, attitude mise en évidence – en particulier – quand il a insulté la France et les Français alors qu’il était en déplacement à l’étranger ;

– il se considère omnipotent et il est convaincu qu’il n’existe pas de limite pour lui ;

– il accorde une importance excessive à sa propre personne, et a besoin de l’admiration des autres ;

Il est donc très peu probable qu’il accueillerait favorablement une simple idée de référendum qui ferait que la nation française, de fait, le déposséderait de son pouvoir autocratique qu’il entend exercer. De plus, un référendum sur l’immigration risquant de le mettre en porte-à-faux, tant à l’intérieur du pays, qu’à l’extérieur, soit il le ferait capoter (il en a “légitimement le pouvoir” cf. supra), soit – ce qui est peu probable – il en ferait un outil conforme à son bon vouloir, à ses desseins de destruction de notre nation et des autres nations européennes.

L’état de guerre dans lequel nous sommes

Il n’est pas utile de détailler cet aspect, les ouvrages et les articles sont nombreux qui depuis maintenant plusieurs années ont apporté la preuve de cette situation.

Peu de Français, même à des niveaux élevés de responsabilités, ont pris conscience de cette situation, ou ont voulu le reconnaître. Et comme de nombreux collaborateurs provenant de toutes les couches de la société, de tous les partis, de toutes les religions, de toutes les “chapelles philosophiques”, de tous les milieux… soutiennent l’ennemi déjà fortement installé sur notre sol, les combats qu’il va falloir mener sont prioritaires sur tout autre chose, en particulier sur des “discussions relatives au sexe des anges”…
aujourd’hui, il s’agit avant tout de combattre les ennemis à l’intérieur, avec détermination et sans faiblesse, et de bloquer les invasions extérieures, ce qui ne pourra se faire que par l’emploi des Forces armées et de Forces de l’intérieur !

Nos ennemis ont déclenché une “guerre totale”, elle implique tous les domaines de l’État, qui sont tous des objectifs (ou cibles des attaques) des tenants du système islamique.

Parce que les objectifs du système islamique ne sont pas seulement des objectifs au sens militaire classique, mais de préférence l’ensemble des domaines de l’État, sans oublier nos populations qui, si elles ne sont pas « nécessairement » atteintes dans leur intégrité physique, le seront dans leur intégrité morale, psychologique, affective …

Cette guerre impose à notre nation – la mobilisation de toutes nos énergies, nos ressources disponibles, quels que soient les domaines plus particulièrement concernés par les actes de guerre : relations internationales, Trésor et Finances, Défense et sécurité extérieure, Intérieur et sécurité intérieure, Justice, Agriculture, Commerce,  Industrie, Travail, Logement, Transports, l’Énergie, Santé et Services sociaux, Éducation,  Services…

Chacun de ces domaines est un sous-ensemble du « système Nation » et possède de nombreuses relations avec les autres composantes de notre nation.

Il n’est pas possible de confiner ni les actes de guerre, ni leurs conséquences aux seuls domaines étant les cibles directes des attaques.

Il ne peut être d’autre projet que celui de se préparer à la guerre sur notre sol. Toute dispersion des énergies, des volontés ne serait qu’un suicide, et nous avons déjà perdu beaucoup trop de temps !

Il n’y a pas que les batailles non livrées qui soient perdues… Toute bataille non centrée sur l’adversaire : ses capacités, ses faiblesses, son idéologie… et ses agissements subversifs est toujours une bataille perdue !

Jean-François Cerisier




Islam : de grâce, arrêtons les conneries !

Dans son article Ces vidéos sur l’islam qu’ils ne veulent pas que les musulmans découvrent… en date du 24/11/2018, madame Anne LAUWAERT, pour laquelle j’ai le plus profond respect et la plus sincère admiration, revient sur les travaux de plusieurs auteurs dont certains sont de nos amis sur ce site. Plus particulièrement, elle rappelle les travaux de Jean-Jacques WALTER.(2)

“[…] De son analyse il conclut que… contrairement à ce que croient les disciples de Mahomet

[…]

Et l’auteur de conclure :

« Le fruit de cette recherche rigoureusement scientifique augure une nouvelle orientation dans l’islamologie et démasque les théories obscurantistes des défenseurs d’un Coran incréé.”

À noter, tout de même, que la liste des différents auteurs donnée par Anne LAUWAERT contient des noms de celles ou ceux dont les “travaux” sont d’inégale valeur, voire intérêt. Et qu’il en manque beaucoup d’autres, en particulier Florence MRAIZIKA (1)

Voir en particulier “L’islam est faux”

https://gloria.tv/video/gSy7hvtdxjCQ1kQPUjUjhMR93

Les manques (inévitables en la matière, tant le domaine est vaste) entachent les conclusions d’une certaine incertitude (pour ne pas dire partialité) !

Cependant, je ne me permettrai pas de critiquer les travaux, recherches des uns ou des autres, ce d’autant que mon approche de la “chose” n’est pas de celle d’un historien (ce que je ne suis pas), mais celle d’un soldat…

Nous sommes en guerre, dans cette guerre totale que nous livre le système islamique (présentée et analysée dans mon ouvrage Guerre à l’Occident – Guerre en Occident)(3)

Cela change tout !

Quelle que soit la guerre que l’on mène : que l’on ait décidé de l’entreprendre – ce que font les tenants du système islamique(4) , ou que l’on ait entrepris une contre-guerre, il n’y a pas de faute plus grave que celle consistant à :

– ne pas connaître son ennemi : quel / qui est-il réellement ?

– sous-évaluer ses capacités ;

– surestimer nos capacités.

Cette faute, non seulement devant l’Histoire, mais surtout devant les Nations, est exactement la situation de l’Occident, de l’Europe plus généralement et de la FRANCE, notre patrie, plus particulièrement.

Et nous nous imaginons qu’avec nos travaux, nos études… ayant demandé des années d’un effort intensif, nous allons convaincre par la parole, par des écrits… les musulmans du monde d’arrêter cette guerre dont le but est la mise en place du système islamique dont les finalités sont politico-religieuses.

Dit autrement, dans les plus brefs délais, bien sûr, nous allons convaincre de l’ordre de 1,7 milliard d’individus (dont plus de 45 millions en Europe), voire contraindre à croire que tout ce en quoi ils croient ne sont que bobards, que tous ceux en qui ils croient ne sont que des menteurs, des manipulateurs !

Tout ceci, alors que ces musulmans, pour la plupart, sont des illettrés, et qu’ils sont manipulés, intoxiqués dès leur plus jeune âge (3ans, environ) par des pseudo-savants fous !

Vraiment, nous nous berçons d’illusions alors que de toute évidence :

– nous ne connaissons pas notre ennemi ;

– nous sous-évaluons ses capacités, particulièrement dans le temps et l’espace ;

– et nous surestimons nos propres capacités(7).

Il faut bien comprendre que les tenants du Système islamique (islamo-wahhabites, Frères musulmans), ont un esprit de domination, une volonté de conquête mon­diale qui trouvent leurs origines dans les textes de référence de l’islam (qu’il soit démontré par les kouffar que ces textes sont faux n’a ici aucun intérêt puisque c’est ce qu’ils croient et ce pour quoi ils sont prêts à mourir !). Ce d’autant que ces textes sont abondamment commentés, expliqués, mis au goût du jour par une oligarchie se croyant inspirée mais, au fond, à la pensée moyenâgeuse et paranoïaque et créateurs ou animateurs d’une psychose collective.

Et en ce début du XXIe siècle, comme dans les siècles écoulés, l’esprit de domination et la volonté de conquête, concrétisés dans la guerre contre l’Occident, constituent une fin en soi.

À ce sujet, dans son ouvrage “Les Prolégomènes”, Ibn Khaldoun(8) écrit :

« … Dans l’islamisme(9), la guerre contre les infidèles est d’obligation divine, parce que cette religion s’adresse à tous les hommes et qu’ils doivent l’embrasser de bon gré ou de force. On a donc établi chez les musulmans la souveraineté spirituelle et la souveraineté temporelle, afin que ces deux pouvoirs s’emploient simultanément dans ce double but. Les autres religions ne s’adressent pas à la totalité des hommes; aussi n’imposent-elles pas le devoir de faire la guerre aux infidèles; elles permettent seulement de combattre pour [leur] propre défense. Pour cette raison, les chefs de ces religions ne s’occupent en rien de l’administration politique… »

« … Nous ne jugeons pas convenable de salir nos pages en rapportant les opinions des chrétiens. Toutes ces doctrines sont fausses, ainsi que le Coran l’a déclaré. Nous n’avons pas à discuter ou à raisonner là-des­sus avec eux; nous n’avons qu’à leur donner le choix de l’islamisme, de la capitation ou de la mort… »

On ne fait pas une contre-guerre par la publication de livres, d’articles… quand bien même ils présentent des vérités.

On fait la guerre avec des armes portées par des combattants. Que ceux qui ne sont pas convaincus, s’ils sont croyants, prient !

Les répétitions des mensonges des kouffar que nous sommes, ne permettent en rien de combattre la duperie (cf. “l’Art de la Guerre” – Sun Tzi) des islamistes, ils en rigolent et continuent à asséner leurs vérités

Les 10 et 11 décembre va se tenir à MARRAKECH la conférence internationale pour l’adoption formelle du “Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières”, véritable machine de guerre islamiste contre les nations occidentales, ourdi par les officines “internationalistes” et “islamistes” du type de l’OCI, et largement soutenu (sponsorisé ?) par l’UE.

https://www.breizh-info.com/2018/11/14/105818/pacte-mondial-migration-droit-homme

Ce pacte “mondial” devrait être adopté lors de l’Assemblée générale de l’ONU le 19 décembre pour sa mise en œuvre avec l’adoption d’une feuille de route.

Bien sûr, le Pontifex minimus devrait être présent à MARRAKECH, et il est à craindre qu’il s’engage – au nom de la FRANCE – dans ce pacte qui, de fait, scellerait notre disparition comme Nation libre, bimillénaire !

Et nous, Français patriotes, la seule chose que nous ferions serait de brandir les études, les livres, les travaux… apportant les preuves des mensonges, des tromperies… que, bien sûr, les musulmans ne liraient pas : les traductions étant inexistantes, ou bien les traductions de concepts dans certaines langues posant quelques problèmes(5)… tombant à point nommé !

Mais, ceci – de plus – serait ridicule, pour ne pas dire pitoyable, alors que dans quelques jours ou semaines va être publiée la loi sur les “fake news”, très chère au Pontifex minimus. Bien que destinée à censurer l’information lors de périodes électorales, cette loi pourra habilement être complétée par une ou des ordonnances étendant son application, non plus à certaines périodes, mais à certains domaines… Tout comme l’a jugé la CEDH pour laquelle l’islam est une religion spécialement protégée en Europe, au point qu’il est normal d’être condamné par la justice si on dénigre cette pseudo-religion. Ce qui est pour le moins le cas dans les ouvrages cités (6)

Ce sont tous ceux qui adhèrent à la doctrine de l’islamisme.

Pour ces brillants esprits que sont les islamistes, la démocratie, la souveraineté du peuple et les droits de l’homme sont des concepts occidentaux impies, utilisés comme des armes destinées à saper la renaissance de l’islam et à empêcher l’essor d’une société islamique. Pour plusieurs auteurs, « il n’y a pas de souveraineté autre que celle d’Allah » et il convient de « briser la tête à la doctrine de la démocratie ». Ceci étant suffisant pour justifier le réflexe de défense des islamistes face à l’agression de l’Occident !

Dans cet ouvrage le terme et l’expression sont synonymes. Les salafistes-wahhabites, les Frères musulmans sont des islamistes. Ils nomment tous ceux qui, appartenant à la civilisation islamique et encore plus les « islamo-wahhabites », adhèrent à l’islamisme : idéologie développée à des fins de domination du monde musulman et du monde occidental en particulier, avec pour but un changement en profondeur : des idées, des comportements, tant dans le « territoire de l’islam » (dar al-Islam) que dans le « territoire des mécréants » (dar al-Kufr). Synonyme : islamiste.

Jean-François Cerisier

(2)       “La Théorie des codes appliquée au Coran” – (Éditions de PARIS, 2013)

(1)       “Diplômée d’araméen de l’université de Jérusalem et docteur des Mines de Saint-Étienne, Florence MRAIZIKA est doctorante à l’EPHE-Sorbonne en Histoire, textes et documents, sous la direction des professeurs Marie-Thérèse URVOY et François DEROCHE. Elle est spécialiste de l’intertextualité Bible-Coran et a exploré durant deux ans, à l’Institut catholique de Toulouse, le motif de l’alliance biblique dans le Coran ainsi que les strates de composition du corpus coranique.

(3)       https://ripostelaique.com/livres/guerre-a-loccident-guerre-en-occident

(4)       Islamiste ou tenant du Système islamique

(7)       Entre autres choses, il n’y a pas que le Coran à “démonter”. Il convient de considérer aussi la Sunna, le Fiqh, le Tafsir…

(8)       Traduits en français et commentés par W. Mac Guckin de Slane (1863). Un document produit en version numérique par Pierre Palpant, bénévole. Ibn Khaldoun est né en 1332 et mort en 1406 ; c’est un historien, philosophe, diplomate et homme politique, dont les écrits font référence. Les Arabes le présentent comme étant arabe, mais les Imazighen (ou Berbères) revendiquent, avec de bons arguments, son appartenance à la dynastie Amazigh Mérinide (http://www.amazighworld.org/). En cette occasion, il convient de mentionner la propension des Arabes à revendiquer les origines arabes des Imazighen, Perses, Espagnols, au prétexte qu’ils étaient musulmans, ce qui n’est pas du tout la même chose !

(9)       À l’époque de Ibn Khaldoun, le sens est « islam ».

(5)       Voir à cet effet les traductions du Coran entreprises sous l’égide du ministère des Affaires religieuses de l’Arabie saoudite.

(6)       Il n’est pas impossible que le jugement associé ne soit transformé en règlement européen devant être mis en œuvre dans son intégralité dans toute l’U.E.