Le frappé Bruno Frappat veut faire taire les « fêlés » Onfray-Zemmour
Votre chronique se termine par : « rien ne les fera donc taire ? » Youssoupha a trouvé la solution : « Je mets un billet sur la tête de celui qui fera taire ce con d’Éric Zemmour ». Qu’en pensez-vous ?
Vous devez savoir que Zemmour a déjà reçu des menaces de mort ainsi que la courageuse Christine Kelly. Il a déjà été frappé comme Macron.
Il reste la censure anti-démocratique ou les camps de rééducation à la mode communiste ?
Zemmour et Onfray sont cultivés, intelligents et écrivent des livres à succès ; rien ne vous empêche de faire aussi bien. Ce sont des lanceurs d’alerte comme l’étaient ceux qui dénonçaient le danger d’Hitler dans les années 30 et qui n’ont pas été écoutés. De Gaulle, non plus : il était un visionnaire.
À cause des naïfs dangereux de l’époque qui nous ont amenés à la défaite, mon beau-père a été raflé par les Allemands le 11 novembre 1943 à Grenoble. Il a passé 18 mois dans les camps de concentration de Buchenwald et de Dora. L’État lui a remis la Légion d’honneur.
Pourquoi ne vous en prenez-vous pas à Mélenchon qui a défilé avec des islamistes qui criaient « mort aux Juifs », comme Hitler ? On peut parler de « complicité sournoise » comme vous dites ?
Le vrai danger est représenté par tous ceux de la « cancel culture » qui veulent nous faire taire et nous faire vivre comme sous Staline, Mao et Pol Pot ! Je me souviens du Monde qui se réjouissait de l’arrivée des Khmers rouges à Phnom Penh : 2 000 000 de morts ! Tous des neuneus dangereux !
Plutôt que d’empêcher Zemmour de parler, des courageux démocrates acceptent de débattre avec lui : Bernard-Henri Lévy, Raphaël Enthoven, Jacques Attali… etc.
Jean-Louis Carassio