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Sébastien Lafargue, Razzy Hammadi : la tyrannie du mépris et du mensonge

Nier, occulter, manipuler c’est la méthode éprouvée par les belles âmes du multiculturalisme. Le mensonge est leur seule défense, l’indignation leur unique argument. C’est cette mécanique de démagogue que nous avons vu à l’œuvre ces dernières semaines dans les média.
Le reportage « Les nouveaux fachos » en est un parfait exemple. Le journaliste Sébastien Lafargue incarne l’archétype du faux rebelle que le système médiatique et les écoles de journalisme fabriquent en série. Sébastien se croit volontiers plein d’audace. Or, sans s’en rendre compte, sans rien sentir, en toute bonne foi, Sébastien s’est oublié.
Attention, je ne parle pas ici de la bouillie indigeste que son cerveau de journaliste aux ordres a produite pour France 4.
Non, je veux parler de son absence totale de courage, de cette lâcheté qui fait les traitres et que l’on retrouve si souvent chez les pisse-copie de son acabit.
Car Sébastien Lafargue fait partie de cette caste, majoritairement constituée d’incultes ou d’idéologues, qui depuis des années pratiquent la propagande, la manipulation, la censure, et l’anathème.
Ceux qui, tout en se croyant subversifs, ont choisi de faire ce que leurs maîtres attendent d’eux, c’est à dire : pourfendre d’hypothétiques ennemis pour faire oublier la tyrannie que les ronds de cuir de leur espèce exercent sur l’opinion.
Imaginons un instant que Sébastien ait été capable de courage. Imaginons un instant que Sébastien ait été le journaliste libre et indépendant qu’il rêve d’être.
Qu’aurait-il dû faire ?
Il se serait d’abord posé une question : « est-ce que l’accroissement des flux migratoires et la poussée démographique des populations musulmanes en France, comme partout en Europe, représentent un réel danger pour notre démocratie laïque mais aussi pour l’équilibre mondial ? »
Sébastien se serait alors mis en quête d’information, de documents, de connaissance. Au cour de ses recherches, il aurait certainement découvert une réalité qui lui était jusqu’alors inconnue. Peut-être serait-il revenu sur certains de ses présupposés. Il en aurait tiré en tout cas une analyse, et pourquoi pas des prospectives.
Mais Sébastien n’est pas téméraire. Alors il a choisi le camp des subversifs titularisés. Le camp des veules. Sébastien a fait là où on lui a dit de faire.
La stratégie employée par Sébastien est malheureusement très répandue dans les média français.

C’est celle qui fut employée par les deux ravis de l’ islam que sont Malek Chebel et Razzy Hammadi pour décrédibiliser Pierre Cassen lors du débat télévisé qui les opposa. Il y avait là, concentrée en quelques minutes d’émission, toute la panoplie du blabla et du racolage politique : cécité face au réel, démagogie communautaire, révision de l’Histoire, bobard, dissimulation… et indignation.
Ah ça l’indignation, ils en connaissent un rayon les bobo-gaucho ! Voilà plus de trente ans que la confrérie des indignés catéchise et évangélise en masse. Et puis dernièrement, ils ont eu leur révélation : Saint Hessel est arrivé. « Indignez-vous » s’est imposé comme le livre sacré qu’ils attendaient tous. Depuis ils y croient dur comme fer à leurs délires d’aliénés !
Faut voir Razzy Hammadi nous jouer la comédie pour se convaincre de l’étendue des dégâts. Souvenez-vous de sa face grimaçante, de son sourire suffisamment prétentieux pour le rendre inconsistant, et de son regard effarouché à la vue du calendrier musulman de FO que lui a tendu Pierre Cassen… si ce n’est pas de l’indignation authentique ça, je ne sais pas ce qu’il vous faut !
Quel cri d’épouvante ! Quelle mine affectée ! Le boy-scout du socialisme est sensible c’est certain. Un être fragile Razzy. Une âme offensée. Faudrait pas oublier le traumatisme que fut pour lui l’épisode des prières de rue. Se faire prendre en flagrant délit de mensonge par des méchants fachos, ça perturbe. Une blessure pour Razzy ! Une déchirure ! Il était pas habitué à de pareilles méthodes. C’est pas des façons de faire c’est sûr. Razzy il est civilisé. On ne parle pas comme ça à Razzy. C’est un gars du PS Razzy. Faut respecter. Considérer. Honorer. Glorifier. Vénérer. Comprenez que pour Razzy les mensonges sont fait pour ne jamais être révélés. Un peu comme la vérité. C’est le PS qui lui a tout appris.
Mais attention n’allez pas croire que la droite est dépourvue de Tartuffe. Prenez Copé, l’élu à la tête de Meaux, un bel exemple d’égocentrisme qui sait lui aussi faire dans l’affabulation, le mensonge et le mépris. Face à Marine Le Pen, il a montré toute l’étendue de son savoir faire en la matière…(1)
Et que dire des associations antiracistes gavées de subventions publiques, véritables petites milices de la bienpensance, même pas capables de se mobiliser pour venir en aide à un couple de boulanger effrayé et devant fuir sous l’intimidation de la racaille islamisée. (2) et (3)
Et que dire du journal Libération (4), qui prête des propos au philosophe Alain Finkelkraut contraires à ses idées mais bien conformes aux dogmes que nous imposent les média de ce pays dont la majorité écrasante se dit fièrement de gauche en continuant à jouer aux marginaux.
La liste des difficultés que rencontre aujourd’hui le peuple s’allonge de jour en jour. Et il ne reste à la petite caste de notre démocratie de plus en plus oligarchique que le mensonge, la falsification du réel, la mythification, l’intimidation, le recours à la haine pour se maintenir en place. Cette dérive ressemble aux glissements totalitaires contre lesquels ont cherché à nous prémunir quelques auteurs de science fiction et de roman d’anticipation. Il faut aujourd’hui prendre conscience du danger que font peser ces stratagèmes sur la liberté d’expression et sur les possibilités de changer les choses. A l’instar des vampires, nos potentats de la modernité souriante ne supportent pas la clarté… c’est pour cela qu’ils redoutent aujourd’hui la lumière qui éclaire le combat de Riposte Laïque.
Jérôme Cortier
(1) http://www.dailymotion.com/video/xgp67d_bfmtv-2012-jean-francois-cope-face-a-marine-le-pen_news
(2) http://www.dailymotion.com/video/xgtunf_31-01-11-2-marine-le-pen-sur-le-racisme-anti-blanc_news#from=embed
(3)cri-d-alarme-d-un-boulanger-de-l-epeule.shtml
(4) finkielkraut-%C2%ABil-n%E2%80%99y-a-pas-de-peuple-francais%C2%BB




De qui Mélenchon et Hamon sont-ils les héritiers ?

Elle monte dans les sondages. Sa côte de popularité est au beau fixe. Ses passages à la télé sont des succès d’audience. Elle dit ce que les autres n’osent plus dire. Voit ce que les autres ne veulent plus voir. Pense ce que les autres refusent de penser. Elle est le fruit de leurs reniements, de leurs bassesses, de leurs lâchetés, de leurs corruptions, de leurs terrorismes intellectuels. Le peuple l’écoute. Le peuple acquiesce… ça leur fait peur aux autres.
Et quand ils ont peur les autres, ils mettent en marche la machine à cancan, le grand foutoir éreintant à blablas. Ils lancent des cabales. Ils organisent des battues. Une fois la chasse ouverte, en meutes, ils vilipendent, diabolisent, vampirisent, insultent, manipulent, calomnient.
Dans ce genre de procédé putassier, la gauche n’ a pas son pareil. La calomnie y fait figure de vieille tradition. La seule qu’elle accepte encore de faire perdurer.

De qui Mélenchon est-il l’héritier ?

C’est donc sans surprise que le premier a s’être illustré comme délateur en chef fut l’islamo-chaviste Mélenchon. Le 7 décembre, sur le plateau de l’émission «Le grand journal» de Canal+ le trotskyste avarié endossa avec application le costume de la stasi ! Devant les sourires fabriqués des animateurs niaiseux, le dérisoire Mélenchon se mit à régurgiter sa propagande stalinienne. Et, tout en arborant crânement le triangle rouge des communistes déportés au revers d’une veste qu’on a vu tant de fois tournée et retournée, l’épouvantail Mélenchon chercha à faire de Marine Le Pen l’héritière directe des nazis. Rien que ça. Le Procédé est ordurier. Digne d’une petite fripouille. A l’évidence, Mélenchon est un imposteur.

Rappelons seulement à Mélenchon le pacte germano-soviétique qui fit du PCF l’allié servil d’Hitler. Rappelons à Mélenchon les désertions de Thorez et de ses camarades. Rappelons à Mélenchon les sabotages des communistes contre l’armée française. Rappelons à Mélenchon les millions de morts du régime soviétique. Rappelons à Mélenchon qu’il fut, lui le parangon de vertu, le zélé serviteur d’un président aux amitiés bien troubles, et décoré de la Francisque. Rappelons à cette figure d’antiquité le goulag. Le partage de la Pologne. Katyn. La Sibérie. Et puis Prague. Et puis Cuba. Et puis Mao… Et puis Hugo Chavez, ami intime des Mollah d’Iran.

Si Marine Le Pen est une bonne élève de l’anti-fascisme, Benoit Hamon est un cancre

Les gardiens du temple de la vertu et du politiquement correcte nous ont habitué à désigner comme nazi ou fasciste toute personne qui ne leur fait pas allégeance. Marine Le Pen a sans doute cru pouvoir céder elle aussi à ce genre de facilité.
C’est donc en toute confiance qu’elle évoqua, devant un parterre de militants, l’occupation de la seconde guerre mondiale en parlant des prières musulmanes dans certaines rue de France. Il n’en fallut pas davantage pour mettre la confrérie des indignés en émoi. Les redresseurs ont donné de la voix. A l’unisson ils ont condamné l’infâme et ont fait face à la bête immonde.

« Marine Le Pen juge que les petits enfants des libérateurs de Marseille sont des occupants quand sa famille politique, l’extrême droite française, elle, était du côté de la Collaboration. » a-t-on entendu aboyer le cerbère socialo, Benoit Hamon. Sans rire. Le petit bonhomme de neige de la gauche se croit-il en 1980 ?
A l’époque des fables et des légendes. À l’ époque bénit des dieux socialistes où l’on pouvait encore manipuler l’histoire. Ou bien Benoit Hamon est un cancre. Et Il ignore tout de l’histoire de son peuple. Ne lui a-t-on jamais dit que ses aînés en socialisme ont largement collaboré par pacifisme, antisémitisme et aussi, chose que l’on dit moins, par européisme. Hamon n’a-t-il jamais entendu dire que les pleins pouvoir ont été votés à Pétain par une assemblée d’élus du Front populaire. Et que dire de Déat, Laval, Doriot, ou encore l’ancien leader de la CGT, René Bélin … tous de gauche et collabos, alors que De Gaulle était à Londres avec la cagoule et les synagogues.

Et pourquoi Hamon ne trouve-t-il pas anormal que l’on ne nous parle jamais de ces musulmans qui ont choisi Hitler et ont massacré et pillé des villages Français (1). Ce genre d’épisode explique bien des choses actuelles. Mais Hamon préfère fermer les yeux pour mieux rêver d’une gauche pure et immaculée. Une gauche qui ne soit pas sortie salie de l’Histoire tragique des hommes. Tout cela ne sert à rien. Les douces promesses, les jolis conte de fée, même aidé par la radio socialisante France Inter et une horde de plumitifs aux ordres, ne suffiront plus jamais à endormir le peuple. C’est à la gauche aujourd’hui d’ouvrir les yeux.
Jérôme Cortier
(1): http://luette.free.fr/spip/spip.php?article175




ACSE : un outil de propagande et une pompe à fric au service de l'islam et de la diversité

Souvenons-nous de l’envolée colérique d’Houria Bouteldja : «Il faut rééduquer le reste de la société…la société occidentale. Nous, on les appelle les sous-chiens (ou souchiens), parce qu’il faut bien leur donner un nom : les Blancs!».
La harpie hystérique des indigènes de la république exhibait là le crétinisme de l’insoumise factice. Celui qui consiste à prendre une mine affectée et à vociférer contre un monde auquel on adhère en secret. Car le commissariat de rééducation politique dont rêve Houria et qui pourrait avoir la vertu d’éteindre sa rage volcanique de collégienne solitaire existe bel et bien : il s’agit de l’Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l’Égalité des chances (l’ACSE).

Des rebelles à la charge de l’État

L’ACSE c’est la propagande institutionnalisée de la démocratie multiculturelle et diversifiée française.
Vous affichez l’ambition de ré-éduquer le souchien forcément con et raciste ? Vous ne savez pas comment financer votre petite entreprise de rebelle ethniciste et communautariste ? Vous voulez faire partie de la grande famille des insurgés labellisés et fonctionnarisés ? L’ACSE est là pour vous aider, vous langer, vous pouponner, vous donner la becquée.
Mais L’ACSE est surtout là pour payer. Parce que l’ACSE a de l’oseille…pas le sien, celui des contribuables… alors l’ACSE peut payer gros…très gros !!
Crée en 2006 (1), cet établissement public national à caractère administratif était initialement prévu pour, je cite, «renforcer l’action de l’État en faveur des habitants des 2 213 quartiers de la politique de la ville et pour promouvoir l’égalité des chances et la diversité».Mais très vite, l’Agence Nationale pour la Cohésion Sociale et l’Égalité des Chances s’est offerte une nouvelle prérogative, celle d’intervenir financièrement dans le domaine culturel et scientifique.
C’est ainsi que des chercheurs en Histoire, comme Pascal Blanchard ou Gérard Noiriel, financent leur petit commerce éditorial et littéraire à l’aide de subventions généreusement accordées par l’ACSE.
Saïd Bouamama, qui est à la sociologie ce que Daniel Cohn-Bendit est à la pensée politique, a lui aussi largement bénéficié des subsides de l’État pour émettre ses opinions d’apprenti révolutionnaire, plus proches des élucubrations d’un alcoolique en pleine crise de délirium trémens que de celles d’un scientifique.
Laurent Mucchielli, Eric Fasin, Vincent Geiser… la liste de ces «Lyssenko» de la recherche en science sociale qui vont, l’air important, de conférences en colloques croquer dans le gâteau calorique des subventions d’État, serait beaucoup trop longue à faire. L’inanité de leurs conclusions sociologiques suffisent à les rendre insignifiants. Et puis, peut-on encore les qualifier de chercheurs ? Les chercheurs n’ont pas ces têtes de boutiquiers, de canailles, d’huissiers et de prêcheurs.
Ces têtes qui poussent dans des caves humides et froides, ces têtes qui végètent sous le bois mort, à l’abri d’un monceau de feuilles en décomposition…ces têtes d’humus ne seront jamais des têtes de scientifiques ! Pourquoi cette caste est-elle autant soutenue ?
Certainement parce qu’elle fournit au système ses meilleurs surveillants en chef et se prend volontiers pour une élite.

Et on remet dix euros dans le nourrin !

Si un grand nombre d’ associations antiracistes (MRAP, SOS racisme, le GISTI, la CIMADE, les indivisibles, le CRAN…) peuvent encore agir comme les escadrons d’une petite police de la pensée politique, là aussi c’est en grande partie avec l’aide de l’ACSE. Il leur suffit de rédiger un texte comportant les mots magiques : diversité, discrimination, racisme…pour que l’argent public tombe comme des obus à Gravelotte.
Et que dire des associations culturelles ? Sans doute les plus choyées du système. Prenons l’exemple en province du Tactikollectif. Résidu de militants gauchistes et d’animateurs culturels se prenant pour des artistes, cette association budgétivore organise à Toulouse le festival «Origines Contrôlées», événement pseudo-culturel où la France et son histoire y sont systématiquement dénigrée. (Leurs invités vedettes de cette année seront les Indivisibles et Rokhaya Diallo ! Tout un programme ! (2)). Et devinez qui finance ?… L’ACSE.

Aujourd’hui, l’ACSE se lance dans le domaine cultuel. A Marseille, l’Agence vient dernièrement de s’associer à la fête de l’Aïd, organisée par l’Union des familles musulmanes de Bouches-du-Rhône.
L’ACSE vient donc de nous donner la preuve que les musulmans sont capables de manifester une certaine tolérance à l’égard du cochon à condition que celui-ci prenne la forme d’une tirelire.

Pour une poignée de dollars !

Mais ce n’est pas Tout. L’ACSE a franchi un nouveau cap en 2007, en créant une commission «Image de la diversité» directement intégrée au sein du Centre National du Cinéma (CNC) en charge du financement du cinéma français.
Le but visé de cette commission ?
Casser les représentations négatives des français de souche sur l’immigration (3) ; Valoriser la contribution des immigrés à la construction du patrimoine commun.
Les films sont donc sélectionnés sur des critères politiques. Et il suffit de jeterun oeil sur ceux qui ont bénéficié d’un financement, pour se rendre compte de l’idéologie qui innerve toutes les décisions prises par cette agence de propagande.
En Vrac :
Plus belle la vie ;
Welcome ;
Foot2rue ;
Hors la loi ;
Il reste du jambon ;
Entre les murs ;
Indigènes ;
Vénus Noire ;
Neuilly sa mère etc…
Pour ce mois d’octobre, la commission «Image de la diversité» a accordé pas moins de 398 000 euros pour un peu plus d’une dizaine de productions. La commission s’est réunit 4 fois cette année 2010 (février, juillet, septembre, et octobre). Le montant des subventions dépensées : 1 954 500 euros. (4)
Cette stratégie politique présente un double risque.
D’abord celui de créer un cinéma spécifique : le cinéma de la diversité.
L’art n’ayant rien à voir avec des étiquettes aussi vaseuses et tendances, on ne voit pas bien ce que pourrait apporter artistiquement cette commission… Si ce n’est une volonté de tirer vers une propagande officielle d’État un art qui doit rester libre sur le fond comme dans la forme.
Mais au cinéma comme ailleurs le nerf de la guerre c’est l’argent. Et tout projet cinématographique qui en est privé se voit soit condamné à la marginalité, soit mort-né. Les réalisateurs le savent, et c’est pour cela que certains se creusent la tête pour trouver des sujets qui pourraient leur permettre de vivre de leur art. Ils se tournent donc vers la tendance du moment, la diversité.
Ensuite, Il y a forcément une censure et voire même une autocensure. Un exemple a été donné il y a quelques années, dans une émission de France Inter animée par Colombe Schneck. Le réalisateur, Stéphane Meunier, auteur entre autres du film “Les yeux dans les bleus” était venu présenter la série télé Fortune censée raconter les péripéties d’un groupe de jeunes adultes issus de différentes communautés. Le scénario avait déplu à la commission parce que l’on y entendait des arabes insulter avec humour des Portugais. Les membres de cette commission avait alors jugé que l’on ne pouvait pas laisser supposer qu’il existait du racisme entre les communautés qui composent la diversité française. (5) Pour cette commission, le racisme ne peut avoir qu’une seule origine :
la population endogène française, les blancs.

Cette institution est dans l’angle mort de la politique. Et il ne faut pas compter sur les média pour dénoncer les effets néfastes qu’elle pourrait produire. Certains de ces média bénéficient de ses largesses budgétaires, on ne va pas tout de même pas tuer la poule aux oeufs d’or.
On l’aura compris, nombreuses associations sont tenues sous perfusion par cette institution. Ce qui a pour conséquence de produire une rétention de la connaissance et de l’information. Il suffit de participer à un des nombreux colloques ou conférences organisés par l’ACSE pour s’en convaincre. Véritables messes où le public, composé de militants associatifs, vient écouter le laïus d’un faquin déguisé en intellectuel suffisamment calibré pour passer à la télé et être financé par les pourvoyeurs de fond de la diversité.
Il serait temps que cela cesse ! Et que l’État, au travers des impôts qu’il prélève, cesse enfin de se salir les mains, en les glissant dans les rouages d’une mécanique qui ressemble de plus en plus à de la propagande.
Jérôme Cortier
(1) Notons que l’ACSE est l’héritière du FAS algérien.
« Institué au coeur du conflit algérien – 1954/1962 – par ordonnance du
29 décembre 1958, sous l’intitulé Fonds d’action sociale pour les travailleurs musulmans d’Algérie en métropole et pour leurs familles, le FAS a alors pour mission «une action sociale familiale en faveur des salariés français musulmans travaillant en France métropolitaine». Il inscrit son intervention dans le cadre du “Plan de développement économique et social en Algérie” ».

(2) http://www.tactikollectif.org/#/article_425
(3) «.. Des actions d’information d’envergure sont donc nécessaires pour déconstruire les représentations négatives et les idées fausses et renforcer notre cohésion sociale.» http://www.lacse.fr/dispatch.do?sid=site/integration_et_luttre_contre_les_discriminations/objectifs/culture_et_information
(4) http://www.lacse.fr/dispatch.do?sid=site/appel_a_projets/images_diversite/resultats_des_commissions
(5) «Quand je cherchais des financements pour faire le film, un type d’une commission, lui-même arabe, m’avait dit : « Vous n’y arriverez pas, parce qu’il n’existe pas d’humour arabe ! » Mais moi, je le connais, cet humour-là, je le rencontre tous les dimanches matin au foot ! Dans une autre commission, ils ont dit « N’insistez pas, on trouve le script limite nauséabond. » http://television.telerama.fr/television/stephane-meunier-le-racisme-existe-mais-l-humour-aussi,37270.php