
Quand Mélenchon, Coquerel et Corbière soutenaient les islamo-racailles contre la police, lors de l’affaire Théo, relayant de graves accusations qui se sont révélées fausses…
Dans une vidéo qu’il vient de proposer aux abonnés de sa chaine Youtube, Maximilien Mélenchon joue aux vierges effarouchées. Il s’en prend en effet à Fillon et Marine Le Pen en les accusant de vouloir polémiquer sur l’attentat des Champs-Elysées et les accuse de s’en prendre injustement au gouvernement.

C’est cocasse quand on sait que Mélenchon n’a pas eu de mots assez durs pour vilipender Cazeneuve et Hollande lors des manifestations contre la loi El Kohmri. Voilà ce qu’il écrivait à l’époque:

Dans sa vidéo, le youtubeur des enfants de la Stasi ne prononce jamais le mot islamiste. Dans sa bouche le terroriste est un simple “meurtrier”. Hier soir encore lors de sa conclusion à l’émission 15 minutes pour convaincre le leader maximo a utilisé le verbiage suivant: “les violents”. En 2012, quand Merah a commis ses attentats contre des enfants juifs et des soldats français, Mélenchon a alors parlé de “criminel décérébré”. Jamais Mélenchon n’a été capable de désigner le véritable ennemi qui nous menace: l’islamisme. Le petit père sans peuple s’emploie toujours à épargner les fidèles de la religion de paix et d’amour.
Pudeur qu’il n’a plus quand ils s’agit de dénoncer les errements d’un prétendu catholique (ce que n’a jamais revendiqué Breivik). Tel fut le cas lors des attentats perpétrés par Anders Behring Breivik en Norvège :

Mélenchon déteste les frontières, il ne s’en fixe donc aucune quand il veut conquérir le trône des hypocrites. En fin d’émission, sur France 2, le candidat de la France insoumise (insoumise à la finance mais pas à l’islam apparemment) a présenté ses condoléances aux forces de l’ordre.
Un peu facile quand, lors des manifestations contre la loi El Khomri, il a relayé les pires accusations de la CGT et des groupes gauchistes, accusant les policiers des exactions dont ils étaient victimes, agressés qu’ils étaient par les groupes gauchistes, qui servent parfois de milices à la gauche quand il s’agit d’empêcher Nicolas Dupont-Aignan, Marine Le Pen ou Florian Philippot de s’exprimer.
Les condoléances de Mélenchon sont d’autant moins crédibles qu’il avait également manifesté contre les violences policières – notons là encore que nous ne l’avons jamais vu manifester contre la violence des islamo-racailles – dans le cadre d’un rassemblement organisé à la suite de l’affaire Théo.
Lors de cette manifestation les racailles s’en sont donné à cœur joie en agressant et provoquant la police. Mélenchon n’a pas pris la peine évidemment de condamner ces violences.
Et que dire des slogans des amis de Mélenchon:
« On n’oublie pas, on pardonne pas ! » « Police partout, justice nulle part » (les rescapés du Bataclan apprécieront), « C’est l’impunité et l’injustice, alors désarmons la police ! » ou encore

L’affaire Théo s’est révélée plus complexe que ce que les média nous en ont dit. On a découvert qu’il n’y avait pas eu viol, que Théo avait des liens familiaux avec un ministre congolais, que ses déclarations à la police ont été très contradictoires, et que la famille de Théo faisait l’objet d’une enquête financière pour des subventions d’un montant de 678 000 euros touchées par une association bidon montée par Théo lui-même.
Aujourd’hui, tout prêt à croire que les policiers ont été accusés avec un peu trop de précipitation, on peut se demander si Mélenchon n’a pas manqué d’un minimum de décence quand il a cloué au pilori les forces de l’ordre lors de l’émission politique sur France 2 :
http://www.dailymotion.com/video/x5d11le_affaire-theo-jean-luc-melenchon-s-emporte-contre-un-policier-video_tv#tab_embed
Encore une fois, Mélenchon ne peut s’empêcher de caresser dans le sens du poil les minorités, les racailles et les islamistes. Cette stratégie est dangereuse et s’il venait à conquérir le pouvoir, la France vivrait ses derniers jours.
Jérôme Cortier