
Foi en Dieu, fondement de la nation, famille, amitiĂ© et combat sont les 5 piliers proposĂ©s par Flynn pour rĂ©sister Ă la destruction des États-Unis par les mondialistes de l’État profond.
N’attendez pas que d’autres se battent pour vous, pour votre libertĂ© et votre patrie, c’est Ă chacun d’entre nous de retrouver les valeurs fondamentales de justice, de vĂ©ritĂ©, de libertĂ©, d’amitiĂ©, de famille, de patrie et de prendre part Ă l’insurrection contre l’impitoyable nouvel ordre mondial.Â
Il n’est pas nĂ©cessaire de regarder les informations pendant longtemps pour constater que l’AmĂ©rique est en train de changer rapidement. Ce glissement vers le bas se retrouve non seulement dans nos dirigeants, mais aussi dans les dĂ©finitions changeantes du Bien et du Mal acceptĂ©es aveuglĂ©ment par de nombreux AmĂ©ricains aujourd’hui.
Nos dirigeants voudraient nous faire croire que ces valeurs changeantes sont inĂ©vitables et qu’elles sont bonnes. C’est pourquoi on les appelle “progressistes”.
Pourtant, pour ceux d’entre nous qui croient encore aux vĂ©ritĂ©s immortelles sur lesquelles l’AmĂ©rique a Ă©tĂ© fondĂ©e, leur soi-disant “progrès” est pour le moins alarmant.
Malheureusement, certains vont laisser cette inquiĂ©tude se transformer en dĂ©faitisme. Ils dĂ©tourneront le regard de la bataille qui se dĂ©roule devant nous dans l’espoir de trouver une position oĂą se retirer.
À ceux qui préfèrent la retraite ou la capitulation plutôt que le combat, je pose une simple question :
Si l’AmĂ©rique tombe, oĂą irez-vous ?
Où irez-vous pour trouver une autre nation qui offre les opportunités et les garanties individuelles de vie, de liberté et de poursuite du bonheur ?
OĂą trouverez-vous une nation dont les documents fondateurs garantissent un gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple ?
Nommez un endroit qui vous offre, Ă vous et Ă votre famille, autant ou plus que nos États-Unis d’AmĂ©rique.
La rĂ©ponse est simple : il n’existe aucun endroit de ce genre.
En dĂ©pit de notre dĂ©clin, l’AmĂ©rique reste la meilleure nation au monde. C’est notre terre, ce sont nos gens, ce sont nos villes, nos quartiers et nos rues. C’est notre pays.
Bien que la bataille pour l’âme de l’AmĂ©rique soit fĂ©roce devant nous, nous ne pouvons pas nous permettre de regarder ailleurs dans l’espoir de trouver une retraite. Il n’y en aura pas.
Bien que je puisse paraĂ®tre pessimiste, je suis tout sauf pessimiste. Dieu m’a permis d’endurer une campagne de plusieurs annĂ©es menĂ©e par la gauche pour me dĂ©truire, moi et ma famille. Ils voulaient que je serve d’exemple Ă quiconque voudrait dĂ©fier les bureaucrates retranchĂ©s du marais de l’État profond.
Malgré tous leurs efforts, je me tiens devant vous comme la preuve vivante que la victoire est absolument possible.
Le fait mĂŞme que nous soyons rĂ©unis ici aujourd’hui en tant que citoyens amĂ©ricains libres de s’exprimer et de se rassembler pacifiquement devrait nous remplir d’espoir.
Mais l’espoir n’est pas un plan de survie. L’espoir n’a jamais gagnĂ© une guerre, et il ne gagnera pas la paix sur le front intĂ©rieur. Dans cet article, j’ai l’intention aujourd’hui de partager avec vous quelques leçons que j’ai apprises dans ma bataille contre les forces obscures qui menacent encore notre nation aujourd’hui.
Lorsque l’on se bat pour la vĂ©ritĂ©, le point de dĂ©part le plus important est d’ĂŞtre bien ancrĂ© dans la VĂ©ritĂ© elle-mĂŞme. Je fais rĂ©fĂ©rence Ă la VĂ©ritĂ© avec un V majuscule, comme dans “Je suis le chemin, la vĂ©ritĂ© et la vie”.
La foi en Dieu est une partie essentielle de la lutte pour restaurer la grandeur de l’AmĂ©rique. Notre foi personnelle est inextricablement liĂ©e Ă nos libertĂ©s personnelles.
Alexis de Tocqueville, le grand auteur français de l’ouvrage rĂ©volutionnaire “La dĂ©mocratie en AmĂ©rique”, a Ă©crit : “Dès mon arrivĂ©e aux États-Unis, l’aspect religieux du pays a Ă©tĂ© la première chose qui a frappĂ© mon attention…”.
“Les AmĂ©ricains combinent si intimement dans leur esprit les notions de christianisme et de libertĂ©, qu’il est impossible de leur faire concevoir l’une sans l’autre.”
Tocqueville a tout Ă fait raison. Avant la fondation de l’AmĂ©rique, aucun document au monde n’avait directement liĂ© les droits individuels des citoyens Ă leur valeur unique et Ă leur autonomie devant un CrĂ©ateur omnipotent.
Nous ne devrions pas essayer de commĂ©morer la volontĂ© de nos fondateurs d’engager leur vie, leur fortune et leur honneur sacrĂ© sans reconnaĂ®tre Ă©galement la foi qui a servi de fondement Ă une telle audace.
La foi et la libertĂ© ne peuvent jamais ĂŞtre sĂ©parĂ©es l’une de l’autre.
Si vous souhaitez avoir de l’audace dans la lutte pour l’AmĂ©rique comme l’ont fait nos Pères fondateurs, ayez foi en Dieu tout-puissant. Ayez confiance en sa puissance comme votre Ă©pĂ©e et votre bouclier.
Je dois avouer que je suis rarement du genre Ă porter ma foi sur le revers de ma veste, mais combattre l’État profond m’a appris Ă quel point notre Dieu est fidèle. MĂŞme lorsque tant de mes amis et collègues m’ont abandonnĂ©, Dieu ne l’a jamais fait. En fait, traverser ces Ă©preuves n’a fait que le rapprocher de moi. Faites de la foi un Ă©lĂ©ment essentiel de votre stratĂ©gie de combat aujourd’hui.
Si nous nous enracinons dans la foi, nous devons aussi nous enraciner dans les Ă©crits de nos Pères fondateurs. Si nous voulons prĂ©server l’hĂ©ritage de grands hommes tels que George Washington, John Adams et Patrick Henry, nous devons savoir ce qu’ils dĂ©fendaient.
Tout le monde peut en apprendre davantage sur la fondation de notre nation. Commencez simplement. Quand avez-vous lu pour la dernière fois la Constitution ou encore la DĂ©claration d’indĂ©pendance ?
Nous avons tendance Ă oublier Ă quel point il est facile de lire la Constitution de bout en bout. Le “Affordable Care Act” (loi sur les soins abordables) du prĂ©sident Obama comptait plus de 314.000 mots, mais le document qui encadre l’ensemble de notre système de gouvernement ne compte que 4.500 mots. L’AmĂ©ricain moyen peut le lire en une demi-heure.
Bien sĂ»r, si nous voulons vraiment entrer dans l’Ă©tat d’esprit de nos Pères fondateurs, nous devons creuser davantage. Les Federalist Papers, De la DĂ©mocratie en AmĂ©rique de Tocqueville, Le Sens Commun de Paine et les Ă©crits de John Locke valent tous la peine d’ĂŞtre lus.
La conception de l’AmĂ©rique est certes miraculeuse, mais elle est loin d’ĂŞtre accidentelle. Les hommes qui se sont rĂ©unis Ă Philadelphie Ă©taient des hommes de foi et de caractère audacieux qui ont tout risquĂ© pour “assurer les bienfaits de la libertĂ©”.
Nous devons apprendre de leur sacrifice, et nous devons l’honorer.
Le grand pamphlĂ©taire Thomas Paine a Ă©crit avec Ă©loquence dans sa Crise amĂ©ricaine que “ce que nous obtenons Ă trop bon marchĂ©, nous l’estimons trop lĂ©gèrement : c’est seulement la chertĂ© qui donne Ă chaque chose sa valeur. Le Ciel sait mettre un prix appropriĂ© Ă ses biens ; et il serait Ă©trange, en effet, qu’un article aussi cĂ©leste que la libertĂ© ne soit pas hautement apprĂ©ciĂ©”.
Ces mots ont Ă©tĂ© lus Ă l’ensemble de l’armĂ©e continentale sur ordre du gĂ©nĂ©ral George Washington, mais ils s’appliquent Ă©galement Ă nous aujourd’hui. La libertĂ© exige les sacrifices de chaque gĂ©nĂ©ration.
Alors que nous nous appuyons sur notre foi et une comprĂ©hension claire de nos documents fondateurs, nous ne devons jamais oublier l’importance de notre famille dans la dĂ©fense de la vĂ©ritĂ©.
Lorsque personne d’autre ne voulait se tenir Ă mes cĂ´tĂ©s, ma femme Lori Ă©tait lĂ , comme elle l’a toujours Ă©tĂ© depuis notre rencontre Ă l’âge de 13 ans. J’ai Ă©pousĂ© mon amour de collège en 1981, et ce fut l’une des meilleures dĂ©cisions que j’ai prises.
Lori a Ă©tĂ© mon rocher sur une mer d’incertitude. La mĂŞme force de caractère et la mĂŞme conviction qui ont fait d’elle une Ă©pouse extraordinaire de militaire l’ont Ă©galement Ă©quipĂ©e pour rĂ©sister aux batailles politiques de ces dernières annĂ©es.
Elle est ma meilleure amie. J’ai la chance inouĂŻe de l’avoir Ă mes cĂ´tĂ©s.
Ce n’est pas sans raison que les forces des tĂ©nèbres s’efforcent d’Ă©radiquer la famille telle que nous la connaissons. Elles voient combien le lien familial peut ĂŞtre puissant, alors elles veulent le redĂ©finir, le diluer et le remplacer par une dĂ©pendance Ă l’Ă©gard de l’État.
Nous ne pouvons pas les laisser détruire la famille. Tant que les mariages et les familles seront forts, la liberté aura toujours une chance de se battre.
Ne cĂ©dez jamais Ă ceux qui disent qu’ils savent mieux que vous comment Ă©lever vos enfants. Dieu a confiĂ© le soin des enfants aux parents, pas aux gouvernements.
Comme l’a dit Ronald Reagan : “La libertĂ© est une chose fragile, et elle n’est jamais Ă plus d’une gĂ©nĂ©ration de son extinction.” Prenez les mots de Reagan Ă cĹ“ur lorsque vous formez vos enfants. Votre combat pour la libertĂ© aujourd’hui ne signifiera rien si la gĂ©nĂ©ration suivante ne sait pas la conserver.
Ne pensez pas que le combat pour protĂ©ger nos familles est distinct de notre combat pour sauver l’AmĂ©rique. Le combat pour protĂ©ger la famille est la pierre angulaire de notre combat pour sauver l’AmĂ©rique. Il est peu probable que tout ce que vous ferez dans la vie sera aussi important ou aussi significatif.
En regardant Ă nouveau nos ancĂŞtres, nous constatons qu’ils ont agi avec courage pour le bien des gĂ©nĂ©rations futures. Nous voyons leur souci de leurs enfants et des enfants de leurs enfants dans tout ce qu’ils ont dit et fait.
Benjamin Franklin a encouragĂ© la ratification de la Constitution des États-Unis avec le raisonnement suivant : “Pour le bien de notre postĂ©ritĂ©, nous agirons de tout cĹ“ur et Ă l’unanimitĂ© en recommandant cette Constitution, partout oĂą notre influence peut s’Ă©tendre, et nous tournerons nos pensĂ©es et nos efforts futurs vers les moyens de la faire bien administrer”.
Lorsque vous vous battez pour l’AmĂ©rique, n’oubliez pas que vous vous battez pour votre famille (mamans, papas). Faites-en un fil conducteur lorsque vous vous battez contre les forces des tĂ©nèbres.
Après avoir construit l’importance de la famille sur la base de la foi et de la fondation, les patriotes doivent voir l’importance de la vĂ©ritable amitiĂ©.
John Adams a dit de l’amitiĂ© qu’elle Ă©tait “l’une des gloires distinctives de l’homme… C’est d’elle que je compte tirer le principal bonheur de ma vie future”.
Lorsque je suis devenu la cible prĂ©fĂ©rĂ©e de la gauche pour le crime d’avoir aidĂ© le candidat Trump Ă gagner la prĂ©sidence des États-Unis, puis d’avoir Ă©tĂ© son premier conseiller en sĂ©curitĂ© nationale, j’ai Ă©tĂ© abandonnĂ© par beaucoup de ceux qui disaient ĂŞtre mes amis.
Ceux avec qui j’avais auparavant passĂ© du temps ont soudainement cessĂ© d’appeler, d’envoyer des SMS et de s’engager avec moi et ma famille. Ce n’est que lorsque j’ai eu le plus besoin d’eux qu’ils ont rĂ©vĂ©lĂ© leur vrai visage.
Pour ĂŞtre honnĂŞte, je me suis sentie trahi.
Pourtant, c’est pendant ces jours sombres que j’ai dĂ©couvert que j’avais plus d’amis que je ne l’avais jamais imaginĂ©. Des lettres ont commencĂ© Ă affluer de tous les coins de la nation, et dans certains cas, du monde entier.
Ces lettres, dont beaucoup provenaient de chrĂ©tiens et de patriotes que je n’avais jamais rencontrĂ©s, contenaient des mots d’encouragement, des fonds pour ma dĂ©fense juridique et des offres de prières en mon nom dans mes heures les plus sombres. C’Ă©tait l’expression de vrais amis.
J’ai Ă©tĂ© si Ă©mu par ces milliers d’amis que je me suis donnĂ© pour mission de remercier chacun d’entre eux. Aujourd’hui encore, je chĂ©ris leurs lettres.
Vous ne recevrez peut-ĂŞtre pas des milliers de lettres d’encouragement comme je l’ai fait, mais vous devriez rĂ©flĂ©chir maintenant Ă qui sont vos vrais amis. Si vous voulez mener la bataille pour la libertĂ©, vous devez vous demander si les personnes dont vous dĂ©pendez seront Ă vos cĂ´tĂ©s dans les moments difficiles.
N’oubliez pas que vous n’ĂŞtes pas seul. Il y a beaucoup d’autres AmĂ©ricains comme nous qui veulent dĂ©fendre notre grand hĂ©ritage national, mais ceux qui s’opposent Ă nous veulent diviser pour mieux nous conquĂ©rir.
Ne les laissez pas s’en tirer Ă bon compte. Trouvez vos vrais amis et dĂ©fendez-les avec audace. Nous pouvons gagner ce combat si nous travaillons ensemble.
Jusqu’Ă prĂ©sent, je vous ai parlĂ© de l’importance de la foi, de la fondation de notre nation et de l’importance de la famille et de la valeur de la vĂ©ritable amitiĂ©. Ce sont les Ă©lĂ©ments que j’ai trouvĂ©s vitaux lorsque tout le reste semble s’accumuler contre vous.
Je voudrais maintenant parler du combat.
L’AmĂ©rique a besoin de combattants aujourd’hui. Nous avons besoin de ceux qui diront, comme le prĂ©sident Andrew Jackson, “Je suis nĂ© pour une tempĂŞte, et le calme ne me convient pas”.
Nous avons besoin de ceux qui se dresseront contre les idéologies marxistes ratées qui ont envahi le courant principal de notre conscience comme un réseau de plantes étouffantes cherchant à étrangler le puissant chêne américain.
Ces plantes parasites se manifestent par :
- La censure des mĂ©dias sociaux pour le libre Ă©change d’idĂ©es
- Les messages grand public qui visent à contrôler la pensée
- Le politiquement correct conçu pour forcer la conformité comportementale
- L’application sĂ©lective et la militarisation des idĂ©aux, lois et institutions conçus pour nous protĂ©ger.
- Des attaques à grande échelle contre la famille et le patriotisme lui-même.
Ces problèmes sont importants, mais vous n’avez pas besoin d’ĂŞtre une superstar de Washington pour faire partie de la solution. La victoire peut ĂŞtre obtenue grâce aux efforts coordonnĂ©s de nombreuses personnes accomplissant de petits mais courageux actes de patriotisme.
Commencez par tendre la main Ă ceux qui vous entourent. Soyez une voix franche dans votre Ă©glise et votre communautĂ©. Vous serez Ă©tonnĂ© de voir combien de cĹ“urs et d’esprits peuvent ĂŞtre influencĂ©s simplement en prĂ©sentant calmement, intelligemment et respectueusement un point de vue diffĂ©rent de ce qui est dit dans les informations grand public.
Ensuite, fixez-vous comme objectif d’ĂŞtre lĂ oĂą l’action se dĂ©roule. On dit souvent que “l’histoire est faite par ceux qui se prĂ©sentent”. Prenez le temps d’assister aux rĂ©unions Ă la mairie. Soyez prĂ©sent aux rĂ©unions de votre commission scolaire locale. Apprenez Ă connaĂ®tre les lĂ©gislateurs de votre État et tenez-vous au courant de ce qui se passe Ă l’AssemblĂ©e de votre État.
Ne vous contentez pas de vous plaindre du manque d’Ă©quitĂ© des Ă©lections. Faites partie de la solution en lançant une pĂ©tition ou en faisant pression au niveau politique qui vous convient pour renforcer les lois sur l’intĂ©gritĂ© des Ă©lections. Contactez le bureau de votre parti local pour vous porter volontaire comme observateur de scrutin. N’oubliez pas que le poste le plus puissant au monde n’est pas celui du prĂ©sident des États-Unis, mais bien celui d’un volontaire dĂ©terminĂ© et patriotique.
Si vos reprĂ©sentants locaux refusent de dĂ©fendre ce qui est juste, utilisez l’arme ultime de l’activiste de base. Dites-leur que vous vous prĂ©senterez contre eux et allez jusqu’au bout.
Tous les politiciens, Ă tous les niveaux, ne craignent rien de plus que la possibilitĂ© de perdre leur pouvoir. MĂŞme si les chances de rĂ©ussite de votre commune ou de votre district sont faibles, une forte prĂ©sence des conservateurs peut empĂŞcher vos reprĂ©sentants de s’Ă©carter trop vers la gauche Ă l’avenir.
Quelle que soit la façon dont vous dĂ©cidez de vous impliquer, prenez la dĂ©cision aujourd’hui. L’AmĂ©rique a besoin de soldats dans le combat pour la libertĂ©.
Personne ne viendra nous sauver de nos problèmes. Certains pensent que le système judiciaire rĂ©soudra tous nos problèmes, mais ils ont prouvĂ© qu’ils n’Ă©taient pas fiables, au mieux.
PlutĂ´t que d’attendre que quelqu’un d’autre se batte pour nous, nous devons ĂŞtre prĂŞts Ă faire le travail difficile nous-mĂŞmes.
Les forces qui s’opposent Ă nous sont grandes. Ces gens ont l’argent, le pouvoir et les privilèges de leur cĂ´tĂ©.
Ils veulent forcer le cou de chaque Américain qui travaille dur à subir le joug de la servitude et des impôts.
Ils veulent forcer nos bouches Ă se soumettre Ă la censure de Big Tech et Ă la culture de l’annulation.
Ils veulent nous enlever nos enfants, les forçant à se tourner vers le gouvernement de Big Brother plutôt que vers ceux qui les aiment vraiment.
Pourtant, malgré tous leurs plans et toute leur puissance, les forces des ténèbres peuvent encore être vaincues.
Un ami m’a rĂ©cemment donnĂ© une nouvelle perspective intĂ©ressante sur un chapitre familier de l’histoire amĂ©ricaine. Rappelons que le gĂ©nĂ©ral George Washington commandait un petit groupe de patriotes contre la plus grande force militaire de la planète.
Mon ami m’a dit : “Son armĂ©e continentale Ă©tait complètement infĂ©rieure een entraĂ®nement, en armement et en nombre par les rĂ©guliers britanniques. Les Tuniques rouges Ă©taient une armĂ©e endurcie et bien disciplinĂ©e contre laquelle les volontaires en haillons de Washington ne faisaient pas le poids.
“Les colonies Ă©taient divisĂ©es sur la guerre. Le Congrès Ă©tait pratiquement dysfonctionnel pendant la pĂ©riode la plus critique. Et lors du tristement cĂ©lèbre campement hivernal de 1778 Ă Valley Forge, l’armĂ©e de Washington, forte de 11 000 hommes, a failli se dissoudre Ă cause de la famine, de la maladie et du dĂ©couragement dans les rangs !”
Nous savons tous comment l’histoire s’est terminĂ©e. Contre toute attente, les AmĂ©ricains ont battu les Britanniques et formĂ© la plus grande nation de l’histoire mondiale.
Ce ne sont pas des coups de chance mais la Providence divine qui a rendu cela possible. Plus tard, le prĂ©sident Washington a dit Ă ses concitoyens amĂ©ricains: “Nous devrions toujours ĂŞtre persuadĂ©s que les sourires propices du Ciel ne peuvent jamais ĂŞtre attendus d’une nation qui ne respecte pas les règles Ă©ternelles d’ordre et de droit que le Ciel lui-mĂŞme a ordonnĂ©es”.
En tant que patriotes d’aujourd’hui, nous nous battons pour ces mĂŞmes “règles Ă©ternelles d’ordre et de droit”. Quoi qu’on en dise, le caractère de la droiture n’a pas changĂ©.
Ces règles ont Ă©tĂ© Ă©tablies avant la fondation du monde, affirmĂ©es par nos grands Pères fondateurs et maintenues par chaque gĂ©nĂ©ration amĂ©ricaine jusqu’Ă ce chapitre critique de notre histoire.
Avec ces vérités éternelles en jeu, allez-vous vous battre avec moi maintenant pour la cause de la liberté ?
Ferez-vous partie de ceux qui se sont suffisamment souciĂ©s de transmettre le flambeau de la libertĂ© Ă une nouvelle gĂ©nĂ©ration pendant qu’il brĂ»le encore ?
Il ne peut y avoir de retraite ni de reddition. Comme je l’ai dĂ©jĂ demandĂ©, oĂą irez-vous si l’AmĂ©rique tombe ?
Notre champ de bataille est ici. Notre bouclier est la foi. Notre épée est la vérité.
La victoire est Ă nous si nous ne cĂ©dons pas face au mal et Ă l’oppression.
Rejoindrez-vous le combat ?
Pour le bien de nos enfants et petits-enfants, je prie pour que vous le fassiez.
Que Dieu bĂ©nisse l’AmĂ©rique.
Source : Western Journal
Traduction : Complotix
Julien Martel