La dhimmitude infecte le monde universitaire
Quand la lâcheté n’a plus de limites, l’esprit est en danger.
Ceci n’est pas un article, mais un simple coup de gueule. Parce qu’il y a les grands drames, ceux qui font pleurer du sang et saigner des larmes…
Et puis il y a ces mesquineries quotidiennes si petites qu’elles se faufilent entre les gouttes des gros événements. Elles sont si discrètes que si l’on n’est pas attentif, elles pénètrent comme un poison, goutte à goutte. C’est aussi contre ses minableries qu’il faut rester en éveil, car à la fin, elles contribuent à faire le lit des grandes horreurs.
Et un matin, le citoyen un peu trop niais, un peu trop amorphe, va se réveiller encore plus niais et amorphe, mais avec ce qui lui reste de cerveau encore plus corrompu. Prêt pour toutes les soumissions.
Personne ne nie le poids de la peur. Superman n’existe pas. Il n’y a que des citoyens conscients qui savent que sans les libertés, même la vie et l’amour n’ont plus le même goût. Et que nous avons des leçons, parfois définitives, à tirer de l’Histoire du monde.
Qui s’étonne encore quand des petits journalistes obséquieux, ou des politiques confits dans leurs avantages, trahissent la France et son peuple? Même les politiciens nous ont enseigné les limites des parchemins et des Légions d’Honneur, s’il n’y a pas une conscience derrière.
Mais le pire, c’est la trahison morale d’une frange non négligeable d’intellectuels et d’universitaires. Plus que d’autres, ils savent ce que représentent la Connaissance, combien elle est précieuse pour faire évoluer l’humanité et la sortir du cloaque mental dans lequel les dictatures veulent l’entraîner. Et ceux qui ont un peu de courage savent qu’ignorance et Islam font une belle paire au service du totalitarisme.
Or certains s’abaissent, pour rentrer dans le moule de la dhimmitude. Est-ce sciemment ou par simple légèreté?
Sans doute pour être au moins sûr de recevoir les précieux crédits de recherche… qui financeront aussi quelques bonnes tables où l’on s’arsouille avec un vin pas très halal. Entre intellectuels de haut vol au-dessus d’un nid de couards. Ils cherchent c’est vrai, mais savent aussi préserver leurs intérêts et nager en eaux troubles. Celles du politiquement correct, et de la laïcité trahie par certains francs-maçons qui ont oublié jusqu’aux racines spirituelles de leur ordre.
Certains pauvres intellos ne mériteraient même plus ce sous-titre, car leur bien-pensance à leur sauce rance et moisie, trahit l’espoir d’un progrès pour tous. Voyez le résultat de l’indigence des sciences de l’éducation, fondées sur moult doctorats, dans la génération des jeunes notamment de banlieue. Quelques Diafoirus sont en train de tout foirer ! Sur le dos de ce collectif qui leur est si cher…et qui nous coûte tant !
La connaissance n’a pas besoin de bien pensance. Et on constate que penser librement, devient un acte de courage et de résistance dont certains n’ont plus l’intégrité !
Alors soyez lâches si c’est votre choix, mais gardez-vous de salir ceux qui, même maladroitement, ont au moins le courage qui vous fait tant défaut. Utilisez à meilleur escient le prestige de vos diplômes et de vos chaires pour ne pas distiller des placebos de connaissance qui s’englueraient sur vos langues de bois.
Les habitués des rayons de librairies ont sans doute remarqué que des chercheurs pondent régulièrement des travaux alambiqués, cherchant par tous les moyens à mettre l’Islam en avant. Ils l’infiltrent dans notre Histoire, nos sciences humaines, et le reste, comme si lentement, tout le monde universitaire se mettait à tourner autour du nombril islamique. Les auditeurs habitués de France Culture savent de quoi je parle.
Les cours s’abstiennent de plus en plus de contester la doxa pro islam, alors que le rôle de la pensée c’est de contester à bon escient ! C’est la pensée occidentale qui a fait faire d’extraordinaires progrès à la pensée et à la recherche. Pas l’Islam. Et ceux qui disent le contraire méritent aussi des diplômes d’enfumeurs.
A ce rythme de lâcheté galopante, que feront tous ces universitaires (majoritairement de gauche?), si on leur demandait d’exclure le collègue juif ou chrétien, ou simplement dissident…qui devrait porter une étoile jaune à nouveau, ou une croix, avant d’être exclu de la faculté ?
A terme, ceux qui redoutent tellement la ruée des chiens sur leur petit confort, laisseront-ils enfermer les autres dans un camp de rééducation, sans état d’âme ?
Ne pensez-pas, elle délire ! Cela c’est déjà vu, il y a moins d’un siècle ! Souvenons-nous combien d’universitaires en Europe détournèrent le regard quand on maltraita leurs confrères. Leur silence fut aussi coupable que celui que l’on reproche souvent au Vatican.
Ce sont les myriades de petites lâchetés quotidiennes, commises par des citoyens pas méchants, qui permirent et permettent aux vrais fachos, nazis noirs d’Hitler, verts de l’Islam, ou rouges communistes, de grimper très haut et d’écraser les autres. Ne construisons pas l’édifice des compromissions et des lâchetés au prix de notre âme.
J’ai souvent saisi au vol des éléments peu glorieux pour le monde universitaire français. Le hasard a fait que j’ai pu relever les coordonnées de cette émission…Il y en a bien d’autres.
Donc, pour comprendre comment le « diable » met sa queue partout, même dans des détails bien vicieux, à peine perceptibles mais ô combien parlants,
et pour comprendre les raisons de ce coup de gueule, j’invite le lecteur à écouter le podcast de cette émission de France Culture, à partir de la 20 ème minute, pour ceux que l’archéologie n’intéresse pas.
http://www.franceculture.fr/emission-le-salon-noir-archeologie-d-un-animal-d-exception-le-cheval-2015-11-21
Il entendra un chercheur, évoquant un simple sujet sur l’histoire du cheval dans le monde antique dire :
- « …au 3ème siècle avant…..au 6ème siècle avant… »
Mais avant quoi ?
Car ce chercheur, même s’il empile tous ses diplômes pour dominer le monde du haut de sa dhimmitude, n’a même pas voulu prononcer : AVANT JESUS-CHRIST.
Quand on en arrive à ce point… soyons inquiets pour l’avenir de l’Université française ! Pour l’avenir de la connaissance, et de la reconnaissance de ce que nous sommes, tout court.
Car reconnaître que notre civilisation, commence vers l’An 0, reconnu comme tel car c’est la période où est né un certain Jésus, ne fera pas s’effondrer l’édifice de la laïcité.
Mais comme ça va arranger les affaires de la Barbarie Saoudite et du Qatar !
Rappelons à cet archéologue distingué… que : s’il a étudié librement, s’il est parvenu là où il est, c’ est grâce à la civilisation judéo-chrétienne, et aux apports d’une laïcité qui n’a pas à rougir, tant qu’elle met l’intelligence au service du progrès ! Dans une société musulmane, il n’aurait pu étudier que le Coran, remâcher de la sourate, matin, midi et soir. Et fermer sa gueule !
Car tous les penseurs qui l’on ouvert un peu trop pendant des siècles de tolérance, etc…. ont été écartés et bannis au mieux, et il n’y a pas eu de progrès. Au pire certains ont très mal fini.
Contrairement au Christianisme qui a mis un terme à ses erreurs et ses propres horreurs, telles l’Inquisition et les chasses aux sorcières.
Alors défendons la liberté d’expression pour les universitaires, puisque certains ont déjà renoncé! Mais la liberté d’expression ne doit pas être confondue avec de la langue de bois rongée aux mites !
Un peu comme ces minables journalistes qui enlèvent courageusement le saint du calendrier météo.
Comment expliquer à un enfant que si l’on appelle le 8 juin : Médard, c’est parce qu’il y avait un saint à côté du Médard. Sinon cela n’a aucun sens ! Autant nommer le 8 juin : brouette ou pancréas !
Alors n’hésitez plus à envoyer vos enfants étudier ailleurs, car à ce rythme, les néo-pseudo intellos feront un blanc de 1789 ans, et oublieront tout ce qui est arrivé entre l’an 0 et la Révolution Française. Et ils ne craindront pas le ridicule ultime en évoquant un 3ème siècle avant…le néant?
Avoir peur de dire que notre civilisation judéo chrétienne commence avec la période de la naissance de Jésus, revient à renier 2000 ans d’héritage culturel et moral, avec ses splendeurs et ses erreurs!
Parions aussi que sous peu, certains voudront prendre l’an 632 comme point de référence de mondiale . En oubliant pieusement toute laïcité au passage!
Quand à cet Islam qui détourne et nie sournoisement toute Histoire antérieure, faisons lui confiance pour s’appuyer sur des moutons et ânes, fussent-ils bardés de diplômes, pour faire le travail à sa place !
Même plus besoin d’envoyer les Barbaresques enlever des gens pour en faire des esclaves.
La génération 68/Mitterrand/Hollande vient déjà déposer ses tripes et son cerveau en gage d’esclavage consenti !
A ce degré, on ne sait plus ce qui l’emporte de la honte ou du ridicule.
Mais, croyez moi, surtout n’en riez pas. Car de ces innombrables et mesquines compromissions, il ne peut rien naître de bon. Surtout pas pour les ânes et les moutons.
A bon électeur, salut.
Lucie Clavijo
http://verite-islam.blogspot.fr/
https://www.erudit.org/revue/philoso/2010/v37/n2/045184ar.html
http://www.histoire.presse.fr/dossiers/le-retour-de-la-censure/peut-on-critiquer-l-islam-01-02-2007-7798
« tout ce qui c’est fait de grand en Islam est de l’ordre du transgressif… » Abdelwahab Medeb, clair.
http://nawaat.org/portail/2005/02/07/inventer-de-nouveaux-instruments-intellectuels-ebrahim-moosa/
encore plus clair
Si vous voulez comprendre ce qu’est ‘un intellectuel libre’ en Islam, et constater qu’il reste verrouillé dans l’Islam, à lire:
Penseur libre en Islam : Mohammed Talbi
Ou
Les Nouveaux Penseurs en Islam : Rachid Benzine.
Nous épargnons au lecteur tous les liens sur les persécutions dont furent victimes les Soufis
Quand à cela, qui en a entendu parler ?
http://plunkett.hautetfort.com/archive/2011/01/31/evenement-choc-dans-l-islam-23-penseurs-musulmans-demandent.html
Ils n’arrivent pas à en sortir.
Les seuls qui ont vraiment compris, ont apostasié.