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Damien Rieu : le meilleur allié de Marine Le Pen à Reconquête

Un lecteur nous a fait parvenir cet article, paru dans le journal Rivarol, sous la plume de Robert Spieler. Comme Riposte Laïque et notre fondateur sont cités, ainsi que notre contributeur Bernard Germain, par ailleurs porte-parole de la coordination Partout Callac. Nous partageons bien sûr le contenu de cet article, qui condamne ce qui s’apparente à la dédiabolisation de Reconquête.

Dans le cadre du procès opposant Karim Benzema à Damien Rieu, le militant de Reconquête a été relaxé ce mardi 19 septembre. Il était jugé pour diffamation après un tweet publié en 2020 comparant l’ancien footballeur international français à des jihadistes. Damien Rieu est devenu dans les années 2010 l’un des militants les plus médiatiques — notamment sur Twitter — du mouvement identitaire en France. Il est notamment cofondateur et porte-parole de Génération identitaire. Assistant parlementaire du député européen Philippe Olivier, il sera candidat du Rassemblement national dans le canton de Péronne (Somme) en 2021. Il rejoint ensuite le parti Reconquête, se ralliant à la candidature d’Éric Zemmour en vue de l’élection présidentielle de 2022. Candidat aux législatives en 2022, il obtient 10,66 % des voix. Bref, son pedigree de combattant identitaire peut sembler à première vue impeccable. Oui mais monsieur Rieu est, comme madame Le Pen, en recherche de respectabilité et de dédiabolisation. Il y a des gens qu’on ne tient plus trop à côtoyer. Des gens qui parlent trop fort, qui sont plus « rouge qui tache » que champagne et petits fours.

C’est le cas de Pierre Cassen, dirigeant de Riposte laïque, combattant contre l’invasion migratoire dans nos campagnes. Cassen, dont pourtant le moins qu’on puisse dire est qu’il n’est pas spécialement judéocritique et anti- sioniste radical, était invité le 23 septembre par la fédération de Seine-et-Marne de Reconquête, à l’occasion d’une conférence intitulée « Ruralité et immigration ». Las, il a appris il y a une semaine que la direction nationale de Reconquête, par la voix de Damien Rieu, avait décidé de déprogrammer son invitation. Pierre Cassen, on le comprend, est évidemment furieux, d’autant qu’un problème s’était aussi posé à Callac et à Saint-Brévin, deux villes qui devaient accueillir une centaine de migrants, contre l’avis de la population. Le collectif « Partout Callac », auquel s’étaient agrégés de nombreux militants de Reconquête, piloté par Bernard Germain, son porte-parole, s’était mobilisé avec une remarquable efficacité, et avait réussi à faire reculer les complices de l’invasion. Son mot d’ordre : « Non à l’arrivée des migrants, parce que Callac doit rester Callac et la France doit rester la France », Mais la méthode employée n’avait pas plu à monsieur Rieu. Ses explications valent leur pesant de cacahuètes. Florilège : « Les manifestations et rassemblements« […] représentent souvent des risques d’image ou physiques pour les participants et seraient “dangereuses” » ; « la violence des milices antifas n’autorise pas Reconquête! à inviter ses adhérents, souvent des familles et parfois des personnes âgées, à participer à un événement où les conditions de sécurité ne sont plus réunies » (comme les antifas sont toujours présents, interdiction aux militants de Reconquête de participer à des manifs !) Et puis, cette envolée grandiose : « Reconquête! ne souhaite pas inviter ses adhérents à participer à des événements à côté de mouvements ou d’individus qui portent des idéologies ou des méthodes contraires à ses valeurs, et qui seront utilisés pour nuire à la cause. » C’est beau comme du Marine Le Pen. Mais qui sont ces “infréquentables” ? Civitas, le Parti de la France, les amis de Roland Hélie et de Synthèse nationale, ces deux derniers mouvements ayant pourtant activement soutenu la candidature présidentielle de Zemmour en 2022 ? Il y aurait eu des « mecs en noir », dit monsieur Rieu. Complètement délirant… Et il poursuit : nous ne rassemblons pas « n’importe qui, n’importe quoi, n’importe comment ». Réponse de Bernard Germain : « N’as-tu pas l’impression qu’en agissant ainsi tu sabotes le combat contre l’invasion migratoire ? » Décidément, la stratégie de dédiabolisation et de normalisation est une maladie contagieuse.

Robert Spieler

Source : Rivarol 27/9/2023




Callac : Erwan Chartier est bien trop lâche pour débattre avec Bernard Germain

Ce mercredi, la télévison locale Tebéo passait, à 18 heures, après ses informations locales, un face-à-face, sur le dossier Callac, que nous appelons la victoire de Callac. D’un côté, Erwan Chartier, l’ineffable rédacteur en chef de la feuille de chou locale Le Poher – qui tirait à quelques centaines d’exemplaires avant qu’il ne se fasse mousser par des prétendues menaces d’extrême droite, qui lui ont permis de progresser un peu, et d’atteindre deux ou trois mille exemplaires vendus.

De l’autre côté, Elisabeth Louvel, responsable Reconquête dans la région brestoise, femme par ailleurs agréable, souriante et élégante, sur le plateau, alors qu’Erwan Chartier, par ailleurs un peu bouffi, est habillé comme un crasseux gauchiste.

Le débat est présenté par Pauline Fercot (au bout de dix minutes de journal), qui rapidement, et cela sera le cas tout au long du débat, montrera clairement qu’elle penche du côté de l’immigrationniste Chartier, qu’elle appellera familièrement Erwan (solidarité des journaleux bobos qui doivent bien se connaître), alors qu’elle appellera la responsable de Reconquête froidement “Elisabeth Louvel”, ou bien “Madame Louvel”, et que tout de suite, suivant le langage d’Erwan Chartier, elle classera le parti d’Eric Zemmour à l’extrême droite, ce qu’Elisabeth contesta.

https://www.tebeo.bzh/video/bonjour-bretagne-34/

Bien sûr, Chartier, qui a écrit un bouquin sur l’affaire de Callac (il faut bien faire son beurre), put faire la promotion de son ouvrage en toute liberté, alors qu’on ne parla pas du livre de Bernard Germain sur le même sujet.

Il aura bien plus la parole qu’Elisabeth Louvel. Il ne sera jamais interrompu, et pourra déverser son idéologie, ses mensonges et ses insultes sans le moindre problème. Par contre, Elisabeth ne pourra jamais aligner deux phrases de suite sans se voir interrompre systématiquement, et voir Pauline Fercot changer de sujet pour l’empêcher de développer son propos.

Ainsi, le rédacteur en chef du Poher se permit, d’entrée, un grossier mensonge en se faisant passer pour un journaliste neutre, qui n’avait aucun a-priori dans cette histoire, alors que les colonnes de sa feuille de chou n’arrêtèrent pas de faire l’éloge du projet Horizon et d’insulter les opposants, les comparant aux collabos de la dernière guerre.

Mais quand, dans une réponse cinglante ou ironique, Bernard Germain et Paul Le Poulpe répondent aux mensonges des imposteurs du Poher, là cela pleurniche dur !

https://resistancerepublicaine.com/2022/10/31/la-femme-est-lavenir-de-lhomme-non-cest-lafricain/

https://ripostelaique.com/le-poher-erwan-chartier-et-faustine-sternberg-au-bord-du-suicide.html

C’est qu’eux, ils sont le camp du bien, ils ont tous les droits, alors que Riposte Laïque, Résistance républicaine ou Reconquête ne peuvent que se taire, quand ils sont classés de manière mensongère à l’extrême droite et traités de “fachos”. Donc, le vaillant Chartier a décidé de traîner Christine Tasin et Bernard Germain au tribunal, au nom bien sûr de la démocratie et de la liberté de la presse !

Sans être interrompu par Pauline Fercot, le plumitif put citer Bernard Germain, très rapidement et de manière méprisante, calomnier Catherine Blein, et déformer les propos qui lui valurent une condamnation scandaleuse par les tribunaux, et insulter le site “Résistance républicaine”, qui sera qualifié d’extrême droite, ce qui fera plaisir à Christine Tasin, qui se dit toujours une femme de gauche…

Bien sûr, nous eûmes droit, neutralité obligé, à un reportage élogieux sur Corlay, où le maire Allain a imposé, sans en informer la population, des familles africaines dans le village. Il paraît que tout le monde est heureux, et qu’il va y avoir plein d’emplois qui n’étaient pas fournis qui vont être occupés par les nouveaux venus, c’est la présentatrice elle-même qui, sortant de son rôle, s’est permis d’ajouter cela. Mais par contre, aucun reportage dans des villes bretonnes où les habitants ont à se plaindre de l’arrivée de nouvelles populations, comme Nantes, Rennes, Brest, Vannes, Pontivy et tant d’autres, et bien sûr aucun lien avec les émeutes qui ont ravagé la France durant cinq jours, sauf dans nos campagnes.

Chartier, encore une fois sans être repris par la présentatrice complice, pourra se permettre de dire que les élus ont été menacés par l’extrême droite, que douze plaintes ont été déposées, que la maison du maire de Saint-Brevin a été incendiée par les mêmes, sans préciser qu’aucune de ces plaintes n’a abouti, et que des pistes d’extrême gauche sont cachées par les autorités, concernant la maison du maire de Yannick Morez.

Il n’y aura bien sûr pas la possibilité de rappeler qu’à Callac et Saint-Brévin, les seules violences physiques vinrent de la gauche et de l’extrême gauche, qui agressèrent les forces de l’ordre et des manifestants isolés, sans oublier des incendies de voitures et des vitrines vandalisées.

Elisabeth Louvel essaiera d’expliquer qu’elle était à Callac lors de la première manifestation, que le maire lui-même avait reconnu que 80 % de la population était hostile au projet, mais elle fut rapidement interrompue.

Nous eûmes droit au grand numéro de “La France terre d’immigration” et à la comparaison entre l’immigration italienne ou portugaise et l’immigration africaine, sans préciser que l’une était une immigration de travail, avec des Européens de culture chrétienne, et que l’autre est une immigration de peuplement, avec des individus de culture musulmane bien souvent, ce qui change tout.

Là encore, Elisabeth Louvel essaiera de rétablir les choses, mais elle fut tout de suite couper sèchement par Pauline Fercot.

La responsable de Reconquête expliquera que la victoire de Callac fut celle de Reconquête.

On regrette, malgré les qualités d’Elisabeth Louvel, que ce ne soit pas Bernard Germain qui ait été invité à ce débat. D’abord parce qu’il avait davantage de légitimité pour cela, et qu’il est évident qu’il n’aurait pas laissé cet Erwan Chartier propager tous ses mensonges et toutes ses calomnies.

Mais peut-être est-ce Erwan Chartier lui-même qui a eu peur de ce débat, où il aurait sans doute été mis minable par un interlocuteur qui n’a pas l’habitude de se laisser marcher dessus, ni de se laisser interrompre.

Mais puisque le pleutre Chartier se dit un démocrate ouvert au débat, nous le défions d’accepter, sur l’affaire de Callac, un débat avec Bernard Germain.

Nous sommes certains que nos amis de Breizh Infos seraient ravis de l’organiser…

Mais Chartier nous fera le coup de “On ne débat pas avec le fascisme, on le combat”.

Ben voyons !

Martine Chapouton




Vandalisme à Monteneuf : la faute de l’ancien maire à migrants Daniel Huet ?

Le nouveau maire de Monteneuf, dans le Morbihan, Yann Yhuel, ne décolère pas. De nouvelles dégradations ont été commises à la cantine et dans l’école Sainte-Marie, à la veille de la rentrée scolaire. Et on sent que l’homme en a plus que marre de cette accumulation de ce qu’on appelle les “incivilités” et qui sont la plupart du temps des actes de vandalisme gratuits.

Il paraît, selon lui, que cela fait plus d’un an et demi que cela dure. On peut en conclure, en toute logique, qu’auparavant, cela ne se produisait pas dans cette petite ville de moins de 800 habitants. Et le maire, qui avoue son impuissance et se sent abandonné, affirme qu’il suffit d’une famille pour que le désordre règne.

Seulement, voilà, le maire, durant trois mandats, s’appelait Daniel Huet, et il était obnubilé par l’accueil des étrangers.

https://www.ouest-france.fr/bretagne/serent-56460/serent-un-collectif-daccueil-aux-migrants-cree-par-des-serentais-3843320

Et lors du dernier conseil municipal, bien que non-élu, Daniel Huet a pris la parole pour sermonner un jeune élu qui s’opposait à une subvention que la municipalité voulait accorder à une association de soutien aux migrants.

Il est vrai que c’est cet homme qui pleurnichait parce que sa population, plus sage que lui, n’acceptait pas l’idée d’installer des migrants dans sa ville.

C’est aussi cet ancien maire qui proteste contre le retrait de l’écriture inclusive sur le nom d’une salle municipale.

https://www.ouest-france.fr/culture/langue-francaise/ce-maire-du-morbihan-retire-lecriture-inclusive-du-nom-dune-salle-lancien-maire-sinsurge-8361d15c-27a8-11ee-a0ad-0eea9464400c

D’où la question que tout le monde ne peut que se poser. Est-ce à cause de l’action immigrationniste de l’ancien maire Daniel Huet que Monteneuf subit aujourd’hui une hausse de la délinquance, et les joies du vivre-ensemble ?

Nos colonnes sont ouvertes à tous ceux qui voudront témoigner, mais c’est à cause de tous les Daniel Huet de France, et ils sont nombreux, que notre pays est en danger de mort…

Martine Chapouton




Scoop : un de nos “collaborateurs” a assassiné un commissaire-priseur

Le 30 août, nous avons reçu ce courriel d’un homme qui se présente comme grand reporter au Télégramme, Didier Déniel. Pour information, nous avons déjà eu quelques “aventures” avec ce personnage, qui avait couvert la première manifestation de Callac avec une partialité qui ne laisse aucun doute sur les orientations de ce plumitif.

https://ripostelaique.com/didier-deniel-journaliste-du-telegramme-est-il-neutre-et-honnete.html

Nous avions eu à la suite de cet article quelques échanges privés un peu vifs, mais jamais grossiers, que nous garderons pour nous.

Voici donc ce que ce journaliste qui se présente comme grand reporter avait à nous dire.

Je travaille en ce moment sur le meurtre -voire l’assassinat- de Gilles Grannec, un commissaire priseur brestois tué de plusieurs coups de couteau hier matin dans un appartement du centre-ville. Cet acte odieux aurait été commis par un de vos collaborateurs, Philippe Perchirin, propriétaire de l’appartement, qui a signé plusieurs tribunes dans vos colonnes.
L’homme s’est rendu à la Police et est, depuis, en garde à vue.
Je voudrais savoir quels liens vous unissaient à cette personne. Et si, ces derniers temps, elle avait présenté des comportements pouvant s’apparenter à de la démence.
Merci de votre réponse.
Didier Déniel
Grand reporter au Télégramme

Nous avons bien sûr fait une recherche, et découvert le drame qui s’était produit à Brest.

https://www.lepoint.fr/societe/brest-un-commissaire-priseur-tue-par-un-homme-aux-motivations-inconnues-30-08-2023-2533373_23.php

https://www.ouest-france.fr/necrologie/hommage-a-gilles-grannec-le-commissaire-priseur-qui-cherissait-les-peintres-bretons-7b03a9a2-48d4-11ee-a179-0f0217016be2

https://www.leparisien.fr/finistere-29/meurtre-du-commissaire-priseur-a-brest-un-suspect-nebuleux-et-un-scenario-encore-obscur-01-09-2023-YUEWTECN7VBEVFKSXFXJADIKOU.php

Après plusieurs recherches, nous avons découvert que le meurtrier s’appelait Philippe Perchirin, et que, horreur, il avait écrit deux articles, dont l’un exprimait un désaccord avec nous, dans les années 2010. Voici donc ce que, à la demande de notre président, j’ai répondu au journaliste.

Bonjour,

Je découvre cette information. Permettez-moi d’exprimer ma surprise quant à votre qualificatif de “collaborateur”.

Après une recherche, je découvre que Philippe Perchirin a écrit deux articles pour Riposte Laïque, l’un en 2010, et l’autre en 2012, où il exprimait plutôt des divergences avec notre ligne politique.

https://ripostelaique.com/author/philippe-perchirin

Pour votre information, près de 2500 contributeurs ont déjà écrit au moins un article dans Riposte Laïque, dont Philippe Perchirin. Donc, je vous précise qu’il n’a vraiment rien à voir avec le quotidien de Riposte Laïque, et si le nom de notre site apparaissait dans un article, pour nous lier à ce crime, nous nous réserverions le droit de faire les mises au point nécessaires.

Bien à vous.

Martine Chapouton

Mais cela ne s’est pas arrêté là. Curieusement, nous avons reçu une demande d’une personne se présentant comme un ami de la victime, nous suppliant de retirer les deux articles de notre site, en mémoire de la victime. Curieuse démarche…

Philippe Perchirin, auteur de 2 articles sur votre site a assassiné il y a quelques jours, de 15 coups de couteau notre ami Gilles Grannec, Commissaire Priseur à Brest, marié deux enfants, 55 ans. Nous sommes tous attérés par sa disparition, et j’ai personnellemnt entrepris par rapport à ses enfants, son épouse, ses amis de faire supprimer tous les écrits, enregistrements, photos de ce meutrier. Jusqu’a présent ma demande a été acceptée par tous les sites. Pourriez-vous avoir l’amabilité de faire la même chose, s’il vous plait.

Naturellement, j’ai encore dû répondre…

Bonsoir Monsieur,

Je comprends votre émotion et votre douleur devant la mort de votre ami, et qu’elle vous paraisse insupportable. Mais je vous avoue ma perplexité devant votre démarche. Philippe Perchirin a écrit deux articles, sur notre site, il y a plus de dix ans, et il exprimait notamment des désaccords avec nous. Qu’il ait commis un acte révoltant, un crime impardonnable, nous le concevons, mais en quoi faire disparaître toute trace de lui (elles étaient par ailleurs peu nombreuses) sur la toile changera-t-il quelque chose à la douleur de sa femme et de ses enfants ? Cet homme a eu un vie avant son crime, et nous ne nous sentons pas le droit de la gommer, de la rayer de la carte, comme s’il n’avait jamais existé. C’est une peine de mort d’un nouveau type que vous nous demandez de participer. Nous espérons que la justice le condamnera comme il le mérite, mais on n’efface jamais la trace des assassins de l’Histoire, c’est ainsi. Par exemple, Mohamed Merah a tué sept personnes, dans des circonstances abominables, et personne n’a demandé, en mémoire aux victimes, d’effacer sur internet toute trace de son existence. Même chose pour Fourniret ou Dutroux, autres grands criminels de l’Histoire.

Donc, notre réponse sera négative, et j’espère que vous en comprendrez les raisons.

Bien à vous.

Mais connaissant nos amis les journalistes de propagande, nous nous attendions bien à une suite. L’avenir nous a donné raison, il fallait forcément amalgamer Riposte Laïque au meurtrier Philippe Perchirin, ce qui fut fait sur un site apparemment confidentiel, qui paraît beaucoup se référer au nommé Erwan Chartier, le gourou de la feuille de chou bretonne Le Poher.

https://penn-bazh.bzh/2023/08/31/brest-le-tueur-collaborait-avec-des-sites-dextreme-droite/

Bien sûr, dans la plus pure tradition stalinienne, on multiplie les amalgames entre l’auteur et Riposte Laïque, ainsi que Breizh Info, pour démontrer que l’extrême droite, voire l’ultra-droite, est mouillée dans cet assassinat.

On rappellera juste aux journalistes Chartier et Déniel que Richard Durn, qui a tué, le 27 mars 2002, à Nanterre, huit élus, et en a blessé dix-neuf, n’appartenait pas à Riposte Laïque (qui n’existait pas encore), ni à la mouvance patriote, mais qu’il avait milité au PS et chez les Verts, et était toujours le trésorier de la LDH de Nanterre, ce qu’aucun journaleux de propagande n’a jamais relevé…

https://fr.wikipedia.org/wiki/Tuerie_de_Nanterre

Reste à connaître les raisons pour lesquelles ce rendez-vous, prévu de longue date, entre deux personnes amoureuses de la Bretagne, mais de manière différente, a pu tourner au drame…

Martine Chapouton




Cada de Saint-Brevin attaqué ? L’étonnant silence des autorités

C’est donc le 23 septembre que la gauche collaborationniste va venir narguer les habitants de Saint-Brevin, en tenant un colloque sur l’accueil de l’autre, qu’ils appellent exilés, alors que ce sont des envahisseurs qui n’ont rien à faire en France.

Les militants de Saint-Brevin, mais aussi d’autres sensibilités, n’entendent pas laisser passer cette provocation, et envisagent d’organiser une contre-manifestation, pour exiger une consultation citoyenne sur l’installation de 110 clandestins près d’une école, la priorité pour les Français dans l’habitat social, et surtout la vérité sur l’incendie de la maison du maire.

En effet, étonnamment, l’enquête, jusqu’à ce jour, n’a visé que la mouvance patriote, appelée extrême droite par les médias et la gauche, alors que la piste d’un incendiaire gauchiste, qui circule beaucoup à Saint-Brevin, est totalement occultée par les autorités.

Autre silence étonnant, ce samedi matin, un important dispositif policier, avec la présence des plus hautes autorités du département, a empêché, par sa présence, ce qui paraissait être un projet d’occupation du Cada. De nombreux témoignages concordants d’habitants de Saint-Brevin ne laissent aucun doute sur la réalité de cette information.

Or, curieusement, les autorités, mais aussi les médias, maintiennent un curieux silence sur l’opération qui se préparait. Et personne ne communique sur la question, même les médias de propagande comme Ouest-France et le Télégramme sont silencieux.

Entre le gauchiste pyromane que personne n’inquiète, et une attaque de Cada dont personne ne parle, il se passe décidément de drôles de choses à Saint-Brevin.

Cette ville et son Cada seraient-elle classée Secret Défense par les autorités ?

Martine Chapouton




23 septembre : la gauche vient narguer les Brévinois qui refusent le Cada

Nous portons à votre connaissance le communiqué  ci-dessous, et espérons que cette nouvelle provocation de la gauche immigrationniste contre la population de Saint-Brevin recevra la riposte qu’elle mérite… Il serait cocasse que cela soit le camp patriotique qui “harcèle démocratiquement” une initiative des collabos, car depuis trente ans, en toute impunité, c’est le contraire qui se produit.

M.C.

Communiqué du Collectif de Préservation de la Pierre Attelée de Saint-Brevin-les-Pins

Grande initiative contre le colloque “Saint-Brevin terre d’accueil” le 23 septembre

Le collectif de Préservation de la Pierre Attelée, qui mène le combat depuis plus d’un an contre l’implantation d’un Cada près d’une école maternelle et primaire, a pris connaissance de l’initiative, impulsée par la LDH, le Mrap et d’autres associations immigrationnistes, le week-end du 23 et du 24 septembre.

https://site.ldh-france.org/nantes/saint-brevin-terre-daccueil-colloque-23-septembre-journee-festive-24-septembre/

Nous considérons la tenue de ce colloque, alors que la construction du Cada se termine, comme une véritable provocation, soutenue par les pouvoirs publics.

La majorité de nos compatriotes réclame un référendum sur l’immigration,

La surdélinquance explose dans tout le pays, touchant à présent trop souvent des enfants et des adolescents.

Quatre manifestations pacifistes ont été méprisées par les pouvoirs publics, et agressées par des militants d’extrême gauche.

Promouvoir “Saint-Brevin terre d’accueil” dans un tel contexte ne peut que susciter des tensions supplémentaires dans une ville où de plus en plus d’habitants prennent conscience de la folie de ce projet.

Nous ne renonçons pas à faire annuler un projet qui doit imposer 110 clandestins, extra-européens, sans la moindre consultation démocratique, à notre quartier et à notre ville. Nous n’accepterons pas que des associations nationales et locales, gavées de subventions, viennent narguer les habitants de Saint-Brevin.

Nous organiserons donc une riposte déterminée à cette provocation, ce même week-end, en respectant, comme toujours, le cadre démocratique, et appelons l’ensemble des partis et associations qui soutiennent ce combat à nous rejoindre pour contester cette initiative douteuse et la politique du fait accompli.

Fait à Saint-Brevin, le 1er septembre 2023




Angers : Jean-Eudes Gannat relaxé, Médiapart éructe contre les juges

Il y a près d’un mois, Jean-Eudes Gannat, fondateur de l’association angevine l’Alvarium, nous accordait un entretien, nous informait, entre autres, qu’il risquait de la prison ferme, lors du procès du 10 août.

https://ripostelaique.com/jai-jure-de-combattre-ce-regime-jusqua-sa-destruction.html

Son crime : avoir, avec quelques-uns de ses amis, défendu leur local, attaqué d’abord par les antifas, puis par les racailles émeutiers. Le procureur Bouillard, qui paraissait s’acharner sur nos jeunes amis, avait demandé 4 mois de prison ferme, et l’arrestation immédiate de Jean-Eudes. Il n’a pas été suivi par les juges, qui avaient laissé le jeune militant en liberté. Et pire camouflet, qui rend folle la gauche et hystériques les journaleux, trois des quatre militants, dont Jean-Eudes, ont été relaxés, les juges estimant qu’il était légitime de défendre leur local.

Nous allons faire la promotion de Mediapart, et vous faire profiter de son article sur le sujet…

ARTICLE DE MEDIAPART

Matthieu Suc – 11 août 2023 à 09h10

À Angers, la justice délivre un blanc-seing à une milice « armée » | Mediapart

https://www.mediapart.fr/journal/france/110823/angers-la-justice-delivre-un-blanc-seing-une-milice-armee

Le parquet avait requis une interdiction de séjour de deux ans à Angers contre des anciens de l’Alvarium,
un groupuscule d’extrême droite dissous, pour des violences commises en marge des manifestations pour
Nahel. Trois des quatre prévenus ont été relaxés.

Ils ne sont que quatre. Comparaissent libres. On leur reproche une simple « participation à un groupement formé en vue de la préparation de violences contre les personnes ou de destructions ou dégradations de biens commis » et pour, l’un d’entre eux, des violences n’ayant pas entraîné d’incapacité.

Une audience comme il y en a tous les jours, dans tous les tribunaux correctionnels de l’Hexagone. Une audience ordinaire. Ou presque. Car, au-delà des faits jugés, c’est aussi l’histoire d’une petite bande de nervis qui, en un peu moins de six ans, a fait de la paisible Angers (Maine-et-Loire) un bastion de l’extrême droite et de son bras armé, l’ultradroite. En creux, ce procès se déroulant dans la torpeur aoûtienne est aussi le constat de l’impuissance de l’État à faire cesser un trouble persistant et récurrent à l’ordre public de la part de quelques dizaines d’individus au sein d’une ville de 155 000 habitants. Un trouble que le parquet d’Angers a manifestement envie de faire cesser. Outre des peines de prison allant de six mois de sursis simple à douze mois dont six ferme, sa représentante a requis à l’encontre de chacun des prévenus deux ans d’interdiction de séjour à Angers.

Aux environs de 22 h 30 ce jeudi 10 août, le tribunal correctionnel d’Angers a condamné à trois mois avec sursis l’un des prévenus pour des violences qu’il avait avouées à l’audience mais a relaxé les trois autres au nom de « l’état de nécessité », considérant qu’ils ont répondu sans excès à une menace les visant.

Deux heures après avoir été prononcé, le « Force doit rester à la loi et pas aux groupes armées », concluant le réquisitoire de la procureure Béatrice Nectoux résonnait étrangement à l’issue de ce délibéré.

Mais revenons aux faits. Le vendredi 30 juin, comme un peu partout en France, Angers est le théâtre d’une manifestation contre les violences policières, après la mort de Nahel, tué par un motard de la police à Nanterre. Comme un peu partout en France, le rassemblement n’a pas été autorisé par le préfet. Comme un peu partout en France, les manifestants sont dispersés par les forces de l’ordre. Mais, à la différence de ce qui se passe ailleurs, des manifestants dispersés croisent la route des militants de l’Alvarium, un groupuscule d’ultradroite dissous en 2021. Ils sont armés de bâtons et de battes de baseball dont ils s’empressent de faire usage. Comme l’immortalisent des vidéos diffusées sur les réseaux sociaux.

Le lendemain, une soixantaine de personnes s’est réunie devant leur local, une trentaine d’entre eux « ont
poursuivi en courant des individus, armés d’un couteau et de bâtons », puis « ont fait usage de fumigènes pour entraver l’intervention des forces de l’ordre », selon l’arrêté du maire.

« Terrorisés » par les antifas
Dans la foulée, Ouest-France révèle qu’une enquête pour « attroupement armé » a été ouverte par le parquet d’Angers et une perquisition a été effectuée, dès le lundi 3 juillet au matin, dans le local de l’Alvarium. Ce qui avait fait aussitôt réagir Jean-Eudes Gannat, l’un des fondateurs et porte-parole du groupuscule. Dans une vidéo publiée le lundi matin même sur son compte Instagram, et relayée notamment par le GUD Paris sur Twitter, il dénonçait la perquisition, dans un contexte où, dit-il, « l’extrême gauche » et « la racaille immigrée » ont « foutu le feu à un parc, des voitures, une mairie, un commissariat de quartier ». Il affirme que « les jeunes patriotes » n’ont fait que se défendre « face à des mecs armés de couteaux et de hachoirs ».

Et interrogeait : « Le but c’est quoi ? C’est qu’on se laisse faire, qu’il y ait des morts, ou qu’au contraire il y ait un jeune déséquilibré d’extrême droite qui pète un watt et qui fasse du terrorisme ? » Dans cette vidéo, il réclamait aussi du soutien financier. « On a vraiment besoin d’aide, la répression judiciaire qui s’abat […] va nous coûter très cher. Aidez-nous à vous défendre s’il vous plaît. » Un mois plus tard, Jean-Eudes Gannat prend place en effet sur le banc des prévenus.

Même si ce n’est pas sur lui que pèsent les charges les plus lourdes, Gannat aimante tous les regards. Ce jeune homme de 28 ans, fils d’un ex-conseiller régional du Front national, a d’abord milité dans les rangs du FN : il fut candidat aux élections municipales en 2014, puis aux départementales en 2015 à Angers, et responsable nord-ouest de l’équipe de Riwal en 2017 – l’agence de communication prestataire, pendant des années, des campagnes frontistes. Marié et père de trois enfants, il est aujourd’hui traiteur. « Suite à la dissolution de l’Alvarium j’ai quasiment décidé d’arrêter de militer », assure-t-il à la barre. Ce n’est pas tout à fait vrai. Cette année, alors que l’extrême droite se mobilisait, en n’hésitant pas à utiliser un
vocabulaire empreint d’antisémitisme et autres expressions racistes, dans la cadre de batailles locales contre l’accueil de réfugiés à Callac et Saint-Brevin-les-Pins, Gannat déclare au site d’extrême droite Breizh-info : « [Ceux qui soutiennent le projet] font le jeu d’une élite mondialiste qui tire profit financièrement de tout cela. »

Jean-Eudes Gannat est de tous les combats récents de l’extrême droite et une de ses figures montantes. Avant la dissolution, il se serait rendu, d’après ses dires, à Lesbos, signant à son retour un article pour le journal d’extrême droite Présent. Après l’annonce de l’ouverture des frontières par Ankara aux migrants voulant rejoindre l’Europe, l’île grecque était devenue en 2020 le centre de la communication des groupes d’extrême droite européens.

(…)

Bref, l’homme ne fuit pas les médias (même Mediapart), s’exprime bien et assume ses positions et un discours qui sait rester aux frontières de la légalité. Du moins, le concernant. Inauguré en janvier 2018, l’Alvarium (« la ruche », en latin), un local et bar associatif d’extrême droite devenu un groupuscule se revendiquant à la fois d’un courant catholique identitaire et nationaliste-révolutionnaire, a été dissous le 17 novembre 2021, en raison de ses appels « à la violence et à la discrimination » et parce qu’il
« alimente un discours de haine assumée ». À l’origine, l’Alvarium se définissait comme « un centre
communautaire d’actions sociales et culturelles en Anjou », s’était fait connaître en occupant illégalement un immeuble vacant en 2020, sur la façade duquel avaient été accrochées des banderoles « La France aux Français » et « Logement: appliquons la préférence nationale ».

Au lendemain de la dissolution du Bastion social, le groupe dominant à la fin de la décennie, plusieurs
groupuscules qui partagent « son patrimoine idéologique et militant autant que son identité visuelle », prennent sa place, notera dans un rapport consacré à l’ultradroite le parquet général de Paris. L’Alvarium figure dans le lot. Mais les membres de ces divers groupuscules « qui veulent se donner un vernis social », considère dans un réquisitoire le Parquet national antiterroriste, se rendent aussi coupables d’actions violentes.

En la matière, l’Alvarium est même la tête de pont. Son bar, situé dans une ruelle jouxtant le centre-ville piéton, sert de point de fixation et ses environs sont régulièrement le lieu d’échauffourées avec les militants antifascistes locaux. Comme le chroniquera Ouest-France, notamment cette fois où trois membres de l’Alvarium avaient organisé une expédition punitive contre ceux qui auraient eu l’outrecuidance de poser un autocollant moqueur sur la devanture de leur cher bar. Au nom d’un soi-
disant « droit à l’autodéfense », ils avaient passé à tabac sept personnes. Parmi les trois militants d’extrême droite qui seront condamnés pour ces faits, François-Aubert Gannat, le frère de Jean-Eudes, qui sera écroué pour l’occasion.

« Le fait d’être dans un local, on est affublé de l’étiquette de fasciste. On risque sa santé rien qu’en se
promenant dans la rue. » Un des prévenus À entendre ce jeudi les quatre prévenus à la barre et leurs avocats, la renommée « de ce local » – chacun prend bien soin à l’audience d’éviter de prononcer le nom – leur vaut de vivre un enfer et expliquerait les délits qu’on leur reproche ce jeudi.
« On est systématiquement fiché. Des sites d’extrême gauche répertorient nos identités, parfois nos adresses, les articles de presse qui parlent de nous », se plaint un autre. Un avocat produit une menace
de mort adressée sur un réseau social à son client. « Voilà je vous explique ce qu’ils subissent ! », insiste le conseil qui questionne ensuite son client déjà condamné à une peine d’amende dans le cadre des violences ayant eu cours lors de la Marche du souvenir vendéen organisée au Mans :
« Isolé en ville, dans votre voiture, vous courrez un danger réel si vous croisez des antifas ?
– Oh oui ! »

Le 30 juin et les jours suivants, les prévenus qu’un de leurs avocats qualifie comme faisant partie de « la
mouvance de droite affirmée », auraient été victimes d’un piège tendu par ces « gens d’extrême gauche » qui auraient attiré les « jeunes de banlieue [sic] » dans le centre-ville d’Angers « et plus particulièrement sur ce local »…

Le décret portant dissolution de l’Alvarium donnait à voir une autre lecture de l’histoire de ces militants
d’extrême droite. Il soulignait parmi les faits d’armes du groupuscule : une agression fin 2018 au cours de laquelle la victime, après avoir essuyé des coups, sera contrainte à effectuer un salut nazi ; des jets de projectile sur des policiers lors de la Marche du souvenir vendéen organisée au Mans en 2019 ; une descente dans un squat antifasciste d’Angers en 2020 au cours de laquelle des membres de l’Alvarium démolissaient à l’aide d’une masse plusieurs vitrines et ont visité les cinq étages de l’immeuble. Le décret soulignait enfin que les membres de l’association (comptant près de 130 membres s’acquittant d’une cotisation annuelle) s’entraînent régulièrement à des sports de combat dans une salle installée en sous-sol d’un appartement.

Bonnet brun et brun bonnet
Comme souvent, la dissolution n’a pas empêché l’activité du groupuscule. Son local accueille désormais les membres du « RED Angers » (pour Rassemblement étudiant de droite), son nouvel avatar. Début avril 2022, un peu plus d’un mois après l’invasion de l’Ukraine, RED Angers organisait un convoi en direction de Lviv. Sur les réseaux sociaux, les militants assuraient avoir livré « du matériel médical et des casques » et prenaient la pose aux côtés d’un drapeau du parti ultranationaliste ukrainien Secteur droit.
Mais l’Alvarium et RED Angers seraient deux mouvements distincts. Le RED serait « un mouvement étudiant » et « politique-politique », quand l’Alvarium serait « métapolitique » et « pas réservé aux jeunes », expliquait l’an dernier à Libération Jean-Eudes Gannat tandis que le porte-parole du RED, Gaspard Beaumier jurait en écho :
« On n’a pas du tout les mêmes vocations, on ne vise pas du tout le même public, ce n’est pas du tout les mêmes personnes ». Un discours visant à réfuter l’accusation de reconstitution de ligue dissoute qui sonne faux ce jeudi dans le prétoire. Gaspard Beaumier a pris place sur le banc des prévenus aux côtés de Jean-Eudes Gannat. Ils étaient côte à côte aussi lors des violences du 30 juin dernier…

À l’étudiant Beaumier en troisième année de Master de droit privé qui a été vu en train de lancer une canette de bière, le président du tribunal correctionnel, Guillaume Bocobza-Berlaud, demande :
« Pourquoi des personnes se postent devant le local masqués ? Vous faites souvent ça dans les réunions étudiantes ?
– Je ne sais pas.

– Je veux bien que ce soit un local étudiant mais pourquoi les gens sont armés de bâtons et de battes de baseball ? » persiste le magistrat qui, avec ses questions simples, déstabilise les prévenus, sans que ceux-ci offrent toutefois des réponses satisfaisantes.

En « état de stress », il frappe un homme à terre
Il est vrai que lors des manifestations à Angers ayant suivi la mort de Nahel, un tract appelait à venir en découdre avec ceux de l’Alvarium. Ce qui conduit les prévenus à brandir une « légitime défense » pour justifier leurs actes.

Côme Jullien de Pommerol est identifié sur des vidéos comme étant celui portant des coups de pied à un
manifestant.
« Comment expliquer cette violence ?, lui demande le président.
– C’est déjà l’attroupement antifasciste qui vient vers nous, se défend le jeune homme âgé de 23 ans. Je vois un camarade qui se fait agresser, j’arrive pour le défendre. On se doute bien que vu le stress, je n’ai pas fait une hiérarchie du danger, j’ai essayé de défendre mon collègue. Oui, je l’ai frappé [le militant antifa – ndlr] mais au seul but de mettre fin à son agression. Il n’y a pas eu d’acharnement. »

Un peu plus tard dans le cour de l’audience, le président Bocobza-Berlaud ironisera : « Vous avez eu tellement peur pour un camarade que vous avez frappé quelqu’un à terre… »
Le magistrat du siège fait un sort à la légitime défense brandie par tous les prévenus, en rappelant qu’elle doit  être « immédiate, proportionnée et nécessaire ».
« Quand on donne un coup à quelqu’un au sol, ce n’est pas de la légitime violence, moi j’appelle ça de la
vengeance »

La procureure Béatrice Nectoux
À la barre, Jean-Eudes Gannat jure lui que ses intentions n’étaient pas délictuelles.
« Moi, je n’y vais pas pour me battre. J’y vais plutôt pour y apaiser les esprits. »
À sa décharge, sur les images de vidéosurveillance de la ville, on le voit non masqué et non armé. Il ne commet aucune violence.
« En même temps vous êtes là, fait remarquer la procureure Nectoux.
– Oui, mais à l’arrière !
– À l’arrière, à l’arrière… Les généraux sont souvent à l’arrière. »

Le profil bas de Gannat à l’audience fait contraste avec ses déclarations passées, comme quand il déclarait le jour 11/08/2023 10:57 À Angers, la justice délivre un blanc-seing à une milice « armée » |
Ou quand, au printemps 2021, le compte Instagram du groupuscule se justifiait de ses précédentes actions violentes : « Pour la défense de notre local, nous ne craignons ni les attaques organisées ni la prison. »

Dans un réquisitoire qui se voulait pédagogique, Béatrice Nectoux fait la leçon aux militants d’extrême droite.
« La violence engendre la violence. Ils y participent, ils créent cette insécurité. Ils y courent à l’affrontement. On va vous dire que s’ils ont agi ainsi c’est parce qu’ils étaient provoqués et qu’ils avaient besoin de se défendre. Lorsqu’on sort d’un local armé et à demi-masqué, en groupe, si ce n’est pas en vue de commettre des infractions, il faut qu’on m’explique… Quand on donne un coup à quelqu’un au sol, ce n’est pas de la légitime violence, moi j’appelle ça de la vengeance ! »
À l’issue de son délibéré, le tribunal correctionnel d’Angers en a jugé autrement.

Le Monde n’est pas en reste des pleurnicheries…

https://www.lemonde.fr/societe/article/2023/08/11/quatre-militants-d-extreme-droite-relaxes-a-angers_6185075_3224.html

Autres collabos notoires, Ouest-France gémit à son tour…

https://www.ouest-france.fr/pays-de-la-loire/angers-49000/violences-urbaines-a-angers-pourquoi-les-identitaires-dextreme-droite-ont-ete-relaxes-ba057b74-37a1-11ee-9be7-d35bbc52c6c9

Quant à nous, nous saluons ce succès et félicitons les juges qui, pour une fois, n’ont pas cédé à la tyrannie de la gauche, et ont fait du droit, au lieu de faire de la politique.

Martine Chapouton




Callac : Bernard Germain répond aux question d’Omerta

Un nouveau média, appelé Omerta, dirigé par le grand reporter Régis Le Sommier, a posé quelques questions à notre ami Bernard Germain, sur le contexte de la bataille de Callac.

Longue vie à un des rares médias qui donne la parole à nos amis…

Martine Chapouton

https://www.omertamedia.fr/

https://www.ojim.fr/lancement-omerta-regis-le-sommier/




La journaleuse de FR3 Bretagne Carole Collinet-Appéré veut des câlins de fachos !

J’ai découvert, par le plus grand des hasards, cette vidéo tournée il y a plus de trois mois, et qui n’avait pas encore dépassé la centaine de vues, c’est dire la réputation de son héroïne, la journaliste de France 3 Bretagne Carole Collinet-Appéré.

J’ai donc décidé de lui accorder toute la promotion qu’elle mérite.

https://www.youtube.com/watch?v=cb3gLSv7xwk

DOSSIER GERMAIN – COLLINET-APPÉRÉ

https://ripostelaique.com/decodage-article-malhonnete-de-carole-collinet-appere-journaliste-a-r3.html

Il est donc interdit de critiquer un article de FR3 Bretagne signé Collinet-Appéré…

J’ai passé quelques minutes à retranscrire ce grand moment de littérature que constitue l’intervention de la journaliste de France 3 Bretagne, Carole Collinet-Appéré, lors du rassemblement de soutien à l’hebdomadaire Le Poher, qui tire à 2 000 exemplaires. Je commenterai ses propos, en rouge, entre chaque phrase, tant il y a à dire.

Moi j’suis pas du tout aguerrie à l’exercice, donc…

Cela se voit tout de suite

Je tiens d’abord à renouveler mon soutien au Poher, à toute cette équipe qui ne lâche pas une once face à l’extrême droite.

Cela commence mal. Peut-on savoir exactement les faits de guerre qui valent au Poher cette entrée en matière ? En quoi ce qu’elle appelle l’extrême droite a-t-elle déjà menacé Le Poher ? Éric Zemmour a-t-il menacé cette feuille de chou ? Marine Le Pen ? Les Amis de Callac ? Jamais, donc le seul fait d’armes du Poher est d’avoir affirmé avoir reçu des menaces de mort téléphoniques et une alerte à la bombe, dont les auteurs n’ont jamais été découverts, mais qu’ils ont attribué tout de suite aux animateurs du combat de Callac. Cela fait bien peu pour transformer de médiocres plumitifs en vaillants résistants contre la Bête Immonde…

Merci à tous d’être venus et dire ainsi votre attachement à la liberté d’informer.

En quoi la liberté d’informer du Poher et de France 3 a-t-elle été menacée ? Par contre, celle des sites de réinformation l’est tous les jours, avec des plaintes à répétition, sans que cela n’émeuve notre vaillante journaleuse-fonctionnaire. Et je n’ai pas souvenir de réaction du Poher ou de France 3 Bretagne quand des journalistes indépendants, Vincent Lapierre et Léopold Jimmy, ont été sauvagement agressés par leurs amis politiques antifas.

Si je me trouve aujourd’hui devant vous, c’est que moi aussi j’ai été la cible d’attaques, de menaces et d’injures de la part de l’extrême droite.

Quelle vantardise ! Elle a fait l’objet d’un article qui a démasqué ses grossières manipulations, et d’un commentaire qui n’aurait jamais dû paraître et a été retiré presque immédiatement. Cela fait peu pour se dire menacée.

L’article que j’ai écrit pour le site de France3 Bretagne, suite à la première menace de mort reçue par Erwan Chartier, m’a valu et me vaut d’être épinglée par le site Riposte Laïque, où mon nom est donné en pâture.

Il est normal de citer le nom d’une journaleuse qu’on critique et qu’on démasque, mais dans le jargon de la psycho-rigide journaleuse, cela devient jeter son nom en pâture…

Bernard Germain, candidat Reconquête aux dernières législatives, fer de lance de la vindicte anti-migrants à Callac, s’est fendu d’un post où il m’accuse de malhonnêteté. Il se permet même de faire un décodage de mon papier, avec toute l’honnêteté dont lui seul est le garant, évidemment.

Il y a beaucoup plus d’honnêteté et de travail dans l’article de Bernard Germain, qui pourtant n’est pas journaliste professionnel, que dans celui de Carole Collinet-Appéré, qui pourtant est une carte de presse. N’en déplaise à cette dame, il est encore permis, en France, de relever les inexactitudes prononcées par une militante de gauche déguisée en journaleuse.

Sans doute n’a-t-il pas apprécié que je cite un de ses papiers dans lequel il s’attaque de manière immonde au Poher. Je n’ai pourtant rien fait d’autre que mettre entre guillemets ce qu’il a écrit.

Bernard n’a fait que répondre de manière très argumentée à un article crapuleux du Poher, qui se permettait de faire des références malhonnêtes sur la dernière guerre mondiale. Il leur a renvoyé le boomerang, qui leur est revenu en pleine tête. Cela paraît déranger la dame Collinet-Appéré qu’un non-journaliste ose remettre en place des journaleux quand ils mentent. Ces gens-là ont une telle idée d’eux-mêmes qu’ils ne supportent pas d’être remis en place par des gens du peuple. 

Aurait-il fallu que je passe sous silence la haine que lui et d’autres distillent post après post envers Le Poher ?

Contrairement aux gens de gauche, nous ne demandons jamais à nos adversaires de se taire, et ne déposons jamais plainte contre eux, preuve de notre attachement à la liberté d’expression. Le contraire des pratiques de cette journaleuse et de ses amis politiques. 

Aurait-il fallu que je ne parle pas de Callac, alors que lui-même déroule son fiel identitaire sur le sujet, accusant au passage les journalistes d’être des collabos dans ce dossier.

On voit que la fonctionnaire de l’information ne peut cacher sa haine sur la notion d’identité quand cela concerne celle de la France et de la Bretagne, mais elle se pavanera quand un étranger africain se dira fier de son identité ou de sa religion. La bobo mondialiste dans toute sa splendeur. 

Aurait-il fallu que je taise les menaces de mort reçues par certains élus de Callac ?

Surtout pas, à condition de les montrer, car on ne les a jamais vus, et à condition de parler des menaces et agressions subies par les opposants au projet Horizon de Callac. Cela s’appelle l’objectivité et figure dans la charte déontologique des journalistes.

Ce post de Bernard Germain à mon propos a suscité des commentaires, par rapport Bobby-fr 94, quel pseudo, estime que je suis une pute du système Macron, une journalope, une connasse qui sera sacrifiée et ce sera, selon lui, ma médaille du travail.

Toute vérité n’est pas bonne à dire…

Suite à mon dépôt de plainte et celui de France Télévisions, Riposte Laïque a publié un second post, avec photo, cette fois, et mon nom, disant qu’il est interdit de critiquer Collinet-Appéré.

En tous cas, cela nous coûte un procès, qui ne lui coûtera pas un centime, puisque ce sera le contribuable qui va le payer, mais qui va nous affaiblir économiquement, ce qui est sans doute le but recherché par cette dame qui donne des leçons de démocratie à la terre entière.

Alors, je vous rassure, je n’ai rien contre la critique, il suffit qu’elle respecte les valeurs de la démocratie, et n’appelle pas les internautes à pratiquer le cyber-harcèlement.

Bref, Madame Collinet-Appéré nous fait l’honneur d’accepter les critiques, mais veut nous en imposer le cadre et en fixer les limites. C’est vraiment le jargon de la femme de gauche qui va vous dire qu’elle est pour la liberté d’expression, MAIS… celle de ses amis, et surtout pas celle de ses opposants politiques.

Le Poher et France 3 Bretagne ont fait leur travail d’information avec rigueur, et c’est bien ce qui dérange ces gens qui, depuis notre dépôt de plainte, se victimisent et osent affirmer que dans le monde qu’ils veulent construire, la liberté d’expression sera la règle. On en a la preuve depuis plusieurs mois.

Bref, la journaleuse militante s’octroie des bons points, alors que 80 % de la population de Callac était hostile à sa propagande migratoire… Et on ne voit pas, depuis quelques mois, à quel moment les médias de propagande, dont son employeur, ont été empêchés de s’exprimer, on n’entend qu’eux…

Leur monde pue la haine de l’autre, il est rance, il n’a comme seul moteur la peur et la terreur. Museler les esprits, menacer pour faire peur, voilà leur vrai visage.

Là, on est dans ce que les psychanalystes appellent l’inversion accusatoire. Elle nous reproche exactement ce que les siens pratiquent, il suffit de voir ce qui s’est passé à Brest ce samedi 17 juin, et comment ses complices ont transformé une agression gauchiste en une rixe opposant deux camps.

Callac, c’est leur prise de guerre dans le délire obsessionnel du Grand Remplacement.

C’est vrai, et on espère que cela ne sera pas la seule, en rappelant que même le maire estimait que 80 % de sa population était contre le projet qu’il défendait.

Ils sont ailleurs à la manœuvre, à Saint-Brevin-les-Pins, utilisant les mêmes ressorts pour faire tomber un autre centre d’accueil de migrants.

C’est également vrai, nos ressorts sont la mobilisation de la population et l’exigence d’un référendum pour que le peuple donne son avis. Terriblement facho pour la femme de gauche Collinet-Appéré (un rapport avec Nathalie Appéré, l’ineffable maire de Rennes, qui a transformé sa ville en coupe-gorge ? C’est sa sœur ?).

Alors, certes, ceux qui balancent leur haine viscérale des journalistes à longueur d’articles sur des sites qui pointent bien l’extrême droite, nous n’inventons rien, ceux-là ont beau jeu aujourd’hui de se dédouaner quand les menaces de mort pleuvent, et de les condamner.

J’avoue n’avoir rien compris à ce qu’elle a voulu dire.

C’est facile de rétropédaler quand la machine s’emballe, et que les petites mains identitaires passent à l’acte, pour faire le sale boulot.

Et en ce qui concerne le sale boulot, Carole Collinet-Appéré sait de quoi elle parle, puisqu’elle en vit, et fort bien.

Parce qu’écrire que nous sommes, entre autres choses, des collabos, salir notre intégrité, cela n’incite pas ceux qui s’abreuvent de leur prose à nous déclarer leur amour et à nous faire des câlins.

En disant que la plupart des journalistes sont des collabos du Nouvel Ordre Mondial, nous ne faisons qu’énoncer une évidence. Par contre, nous découvrons les raisons de l’air triste, austère et, disons-le, peu épanoui de Madame Collinet-Appéré : elle fantasme sur l’amour de ses ennemis et rêve de câlins de fachos. Fallait le dire, on lance un appel à candidature…

Je n’ai jamais baissé ma plume face à l’extrême droite, et ce n’est certainement pas maintenant que je vais commencer. Merci beaucoup.

Quelle courage, une vraie Danièle Casanova (j’espère qu’elle sait qui c’est…) des temps modernes !

Que dire de plus ? Son discours est fort simple : le camp du bien vous somme d’accepter l’immigration, et interdira au camp du mal de s’exprimer contre. Elle aurait été une parfaite journaliste à la Pravda, du temps du totalitarisme communiste, dont France3 Bretagne et tous les médias de grands chemins ne sont pas tellement éloignés, d’ailleurs.

Bon, n’étant pas rancunière, et ayant compris son besoin d’amour et de câlins, je lance un appel pour les mâles volontaires, contactez-nous à cette adresse : redaction@ripostelaique.com

Martine Chapouton




Dommage qu’Éric Zemmour n’ait pas tenu un meeting à Callac, c’est près de Brest…

Éric Zemmour est donc revenu à Brest, ce samedi 17 juin, pour dédicacer son livre à l’Hôtel Oceania. Il y a dix jours, il était à Pluneret, dans le Morbihan, pour les mêmes raisons.

Les gauchistes brestois avaient annoncé la couleur. Ils avaient décidé que le président de Reconquête était interdit de séjour à Brest, rien de moins. Et comme toujours, aux côtés des antifas, se trouvaient toute la gauche et l’extrême gauche, de la CGT aux Insoumis en passant par la mouvance anarchiste et les syndicalistes de Sud. Un moyen de rappeler que la gauche n’a pas les pudeurs de jeune fille de certains cadres de Reconquête qui refusent la présence de jeunes garçons en noirs dans des rassemblements dont ils ne sont même pas les organisateurs.

Il s’est passé, à divers niveaux, des choses scandaleuses, lors de cette signature. Le préfet n’a pas donné les ordres nécessaires pour que les contre-manifestants – qui n’avaient probablement pas déclaré leur initiatives, comme d’habitude – soient maintenus à un kilomètre du lieu de la signature. Il n’aurait jamais dû y avoir un contre-manifestant qui aurait pu approcher de l’hôtel. Or, les personnes qui voulaient se faire dédicacer leur livre devaient rentrer sous les huées des gauchistes, et la protection des forces de l’ordre. Il faut être courageux et très déterminé, dans ces conditions, pour se déplacer.

D’autre part, on a assisté à un véritable assaut, en pleine signature, de dizaines de nervis gauchistes, qui ont agressé au sol un jeune garçon, probablement de Génération Z, qui a fini sa journée à l’hôpital. L’hôtel a été vandalisé, tagué, des vitres ont été détruites, tout simplement parce que le préfet n’a pas donné les moyens aux forces de l’ordre d’empêcher cette agression.

https://twitter.com/i/status/1670075832050630656

Les journalistes du Télégramme, de Ouest-France et de France Bleu se sont particulièrement distingués, en parlant de “signature mouvementée”, “d’échanges de coups” et “d’altercation”, pour mieux masquer la réalité : des militants de gauche et d’extrême gauche ont agressé des Français venus faire signer un livre par son auteur.

https://www.fdesouche.com/2023/06/17/antifas-attaques-en-cours-sur-une-seance-de-dedicaces-deric-zemmour-a-brest/

Bien sûr, chaque patriote digne de ce nom doit être du côté de Reconquête et d’Éric Zemmour, solidaire du service d’ordre, attaqué, et des blessés et autres personnes agressées. Mais il faut aussi tirer deux leçons des événements qui se sont déroulés cet après-midi.

Brest est à une heure de Callac. Il est vraiment dommage – pour ne dire que cela – que la direction de Reconquête ait préféré organiser une nouvelle réunion de signature à Brest, plutôt que de mettre en place, avec l’appui de la Coordination Partout Callac et de tous ceux qui ont participé à cette victoire exemplaire, un meeting unitaire pour appeler, depuis ce lieu fortement symbolique, l’ensemble des Français à résister contre l’invasion migratoire de nos campagnes, voulue par le régime de Macron, imposée par Darmanin et ses préfets, et soutenue par les milices gauchistes qui intimident et agressent les Français qui osent refuser le Grand Remplacement dans leurs villages.

La reine de toutes les batailles, dans les mois qui vont suivre, va se situer dans nos villages et nos campagnes, et les Français ont besoin de Reconquête pour impulser ce combat. Dans ce contexte, encore davantage la veille du 18 juin, la présence d’Éric à Callac, et pourquoi pas un appel lancé par lui et d’autres patriotes, aurait eu une autre signification qu’une nouvelle séance de signatures.

Mais d’autre part, Reconquête ne peut mener seul ce combat. Ses dirigeants doivent accepter que cela soit les collectifs locaux qui dirigent leur combat comme bon leur semble. Ils sont par contre présents en soutien de la population, et doivent accepter la présence de toutes les forces politiques qui sont d’accord pour participer à cette lutte, sans exclusive. La faute politique qui a amené à lâcher le combat de Saint-Brevin ne doit plus se reproduire. S’il y avait eu, dans la sécurité de Reconquête, ce jour, les hommes en noir et d’autres forces patriotes dont la présence dérange les frileux de la direction de R!, peut-être n’y aurait-il pas eu les blessés qu’il faut déplorer ce soir. La gauche ne se gêne pas pour soutenir les Blacks Blocs et les antifas, et agir à ses côtés, il faut pratiquer de la même manière, puisque, de toute façon, quoi qu’il fasse, Éric Zemmour sera toujours diabolisé, et Reconquête agressé.

Enfin, face à la politique de division de la direction du Rassemblement national, il faut appeler les militants de ce parti à venir aux initiatives montées par les collectifs locaux.

Cette bataille vitale pour l’avenir de notre pays ne peut se mener dans la discorde, elle ne pourra être gagnée que dans l’union de toute la mouvance patriotique, sans le moindre sectarisme.

Il faut donc un front unique patriotique…

Martine Chapouton