Le Coran est parole d’Allah, il ne peut donc pas être interprété !
Le Coran est parole d’Allah, il ne peut donc pas être interprété !
Certains pensent et affirment que le musulman – qui fonde sa croyance sur le contenu du Coran – nage en pleine ambiguïté, car le contenu de son Coran est a minima ambigu concernant les notions d’égalité entre les individus, la place de la femme dans la société ou encore, quant au traitement spécifique qu’il faudrait réserver aux homosexuels.
C’est inexact, c’est faux !
Le Coran n’est en rien ambigu, il est au contraire très clair et péremptoire sur ces sujets. Ce qui est ambigu dans le Coran, c’est la manière avec laquelle il a été monté. Uthman, le troisième calife (successeur de Mahomet), a classé les versets par ordre de… longueur, détruisant ainsi son contexte chronologique et lui donnant, mais seulement en apparence, une certaine ambiguïté. Par la suite, Uthman a complètement détruit toutes les notes antérieures afin d’interdire la modification de sa version du Coran, ainsi définitivement figée…
Les mêmes affirment souvent que « nul n’est tenu de prendre le Coran au mot ».
C’est faux, archifaux !
Au contraire, le Coran étant parole d’Allah, il ne peut pas être interprété ! Il doit être rigoureusement respecté à la lettre. Ce qui est étayé par le fait que l’interprétation du Coran est, en islam, passible de la peine de mort…
Et encore, d’autres écrivent que « les musulmans se sont tenus tranquilles – relativement tout du moins – pendant des siècles ».
Oui, c’est exact, mais pourquoi ?
Voici. Les musulmans n’étaient pas, par le passé, en force dans l’Occident. Dans ce cas de figure, l’islam oblige le croyant, lorsqu’il est en position de faiblesse, à se dissimuler et même à feindre l’apostasie… Cette ruse se nomme « taqîya ». Elle protège l’adepte de l’islam ; le musulman, mais aussi l’existence même de l’islam. Par contre, lorsque les musulmans sont en force, le Coran les oblige à combattre les non musulmans. Soit en convertissant le mécréant à l’islam, soit s’il refuse sa conversion, en le tuant. C’est écrit noir sur blanc dans le Coran.
Sous sa forme la plus répandue, la taqîya consiste pour le musulman à dissimuler son appartenance à l’islam dans le but d’échapper aux critiques ou aux persécutions. La dissimulation peut être passive, en se dissimulant, ou être active. Il s’agit alors de feindre la soumission à l’adversaire ou à adopter ses attitudes. Le Coran dit que ceux qui auront été contraints à l’apostasie seront pardonnés.
Le Coran interdit le suicide aux musulmans. C’est ce qui fonde le fait selon lequel mentir pour se protéger est un devoir.
La taqîya est devenue un comportement historiquement adopté dans les communautés musulmanes qui en font un large usage. Il s’agit principalement de simuler la tolérance à l’autre. C’est la ruse divine. Cette « machination divine » est la réponse du Coran au problème de la prospérité ostentatoire de ceux qui, selon Mohamet, ne la méritent pas. Autrement dit, Allah « trompe » les mécréants en les laissant provisoirement prospérer. « La ruse divine » est un faux bienfait accordé à un mécréant pour sa prospérité jusqu’à entraîner sa perdition, ce qui est notre cas actuel dans tout l’Occident…
V 55 et 56, S 23 : « Pensent-ils que ce que Nous leur accordons, en biens et enfants, que Nous Nous empressons de leur faire sur les biens (du paradis) ? Au contraire, ils n’en sont pas conscients ».
Et juste avant (V 54) « Laisse-les dans leur égarement pour un certain temps ».
Cette logique est en langage usuel une expression commune chez les musulmans « Nous cherchons en Allah un refuge contre la ruse divine d’Allah » et aussi « Prête-moi secours et ne prête pas secours contre moi : emploie la ruse divine en ma faveur mais ne l’emploie pas à mon encontre ».
Selon l’islam, les musulmans ne doivent respecter les traités que si ces derniers sont avantageux pour l’islam. Cet aspect de la charia est basé des hadiths tels que celui-ci : « Si vous prêtez un jour serment de faire quelque chose et découvrez par la suite que quelque chose d’autre est mieux, alors dénoncez votre serment et faites ce qui est mieux ».
Cela se passe de tout commentaire…
« On peut ne pas avoir lu le Coran et défendre les musulmans en désignant leur religion comme étant d’amour et de paix». Cette affirmation est complètement risible, elle tue ! Au figuré, mais aussi au sens propre…
Comment pouvoir juger d’une philosophie dogmatique, aussi dramatiquement dangereuse, sans avoir connaissance de son socle absolu : le Coran ? Sans ce livre, pas d’islam, pas de musulman !
Qui oserait, par exemple, estimer sa compétence à conduire, sans même avoir lu le Code de la route ? Qui oserait se lancer dans une procédure au tribunal civil sans connaître le moins du monde ses droits en regard du Code civil ?
Je pourrais continuer, mais j’en reste là. Permettez-moi seulement de demander à tout un chacun ce qu’il pense des versets suivants et qui figurent dans le Coran :
Sourate 9, verset 111 – « En vérité, Allah a acheté aux croyants leurs personnes et leurs biens en échange du Paradis, en vue de défendre Sa Cause: TUER ET SE FAIRE TUER. C’est la promesse authentique qu’Il a prise sur Lui-même dans la Thora, Évangile et le coran. Et qui est plus fidèle à sa promesse que le Seigneur ? Réjouissez-vous donc de l’échange que vous avez effectué ! N’EST-CE PAS QUE C’EST LÀ LE COMBLE DE LA FÉLICITÉ ? »
Sourate 2, verset 216 – « Combattre vous a été prescrit, bien que vous l’ayez en aversion. Il est possible que vous ayez de l’aversion pour une chose qui est un bien pour vous et il est possible que vous aimiez une chose qui est un mal pour vous. Allah sait, alors que vous ne savez pas ».
Sourate 8, verset 17 – «Ce n’est pas vous qui les avez tués ! C’est Allah qui les a tués ! Ce n’est pas toi Prophète qui les a déstabilisés par ton geste ! C’est Allah qui l’a fait ! Il voulait ainsi donner aux croyants cette belle marque de Sa sollicitude. Il est Audient et Omniscient.»
Connaissez-vous pire conditionnement, avez-vous lu aussi pervers que ce qui précède dans les textes d’une autre religion ?
Il y a quelques années déjà que j’ai lu l’excellent ouvrage de Renaud Camus, « Le Grand Remplacement », qui nous livre d’éclatantes vérités.
En marge de celles-ci, je relève qu’aujourd’hui, on ne parle plus d’extension rapide du « parc » musulman (oui, comme des lapins, parce qu’ils en ont la prolixité), selon la technique de la « peau de léopard ». Bien que maintenant cette théorie soit devenue d’une rare évidence pour tous ! Oui, les musulmans se sont répartis en groupes, de villes en villages, telles les taches de la peau d’un léopard. Ces taches grandissent sans cesse et finiront par se rejoindre et couvrir ainsi toute la peau de l’animal qui de léopard, sera devenu jaguar.
Le monde musulman aura éliminé toutes les poches de survie et de résistance. Ce sera la fin du monde non musulman…
De même, Renaud Camus a affirmé avec beaucoup d’exactitude et d’intelligence que l’islam n’est pas une religion, mais une secte – que je qualifie d’infecte -, dans la mesure où le Coran interdit spécifiquement de quitter l’islam. J’ajouterai même que, tout au fondement de ce dogme immonde, le tout premier des « cinq piliers de l’islam » constitue un premier interdit absolu.
Voici ce premier pilier du fondement de l’islam. Il s’agit de la « « chahada ». Le musulman doit attester de sa foi et témoigner que nul autre qu’Allah ne peut être adoré et que Mohamet est son prophète.
Outre premier fondement de l’islam, la « chahada » est le pilier le plus important, car il intègre le rejet définitif de toutes les autres religions. Et comme l’affirme Renaud Camus, cette obligation fait de l’islam non pas une religion, mais bien une secte qui devrait, selon la loi, être rigoureusement interdite !
Mais la taqîya ne se limite pas seulement à cela… Au nom de la laïcité, les islamistes ou les musulmans (c’est chou vert et vert chou), exigent et obtiennent la disparition de tous les signes ou symboles qui pourraient avoir la moindre connotation religieuse autre que la leur. Alors qu’au mépris de cette même laïcité, ils nous imposent leurs rites barbares et leurs coutumes ségrégationnistes, parfaitement discriminatoires à notre égard et à l’égard de leurs propres femmes.
Savez-vous que l’étoile à 5 branches qui figure sur certains drapeaux de pays musulmans, tel le Maroc, représente les 5 piliers de l’islam ? Savez-vous que le croissant de lune, qui figure entre autres sur le drapeau de la Turquie, représente le cycle lunaire que Mohamet préférait au cycle solaire pour mesurer le temps ?
Réalisez-vous que les musulmans qui viennent chez nous – de ces pays où l’islam est outre religion, étendard et loi – invoquent la laïcité pour nous contraindre à supprimer croix et sapins de Noël ?
Réalisez-vous bien que nos gouvernements marchent avec docilité et soumission dans les pas de ces barbares, sur ce sentier d’Allah, l’index sur la couture du pantalon ?
Oui, et en conclusion, il s’agit d’admettre que l’intelligence doublée du bon sens conduit à une seule solution : il faut bouter l’islam et ses valets hors de chez nous avec la plus grande énergie et la plus grande détermination, et ce, immédiatement…
Pierre Malak