Madame Belkacem, vous êtes musulmane, marocaine, assujettie à l’islam et à votre roi

«Alors, d’abord, ça – les mariages forcés- ne concernent pas que les sociétés musulmanes, vous voyez. C’est aussi de ce point de vue là qu’il faut, je pense, arrêter les amalgames ou la stigmatisation : le mariage forcé, ça peut concerner des sociétés catholiques.»

Madame Belkacem, vous êtes musulmane, marocaine, entremetteuse de l’islam dans le pays qui vous a accueilli, et vous portez toujours allégeance à votre roi. Je me réjouis de votre faculté de penser, et en conséquence, étant donné votre apparente et indubitable omniscience en matières matrimoniales, je me permets de soumettre à votre perspicacité d’autres aspects méritant certainement comparaison entre l’islam et le christianisme. Probablement que ces comparaisons apparaîtront comme des similitudes irrécusables à votre jugement sagace, ostensiblement aguerri et enrichi par tant d’effort prosélyte mené au service de votre idéologie.

BELKACEM3Ces éléments factuels fourniront indubitablement, vous en conviendrez, des arguments objectifs qui ostraciseront une fois pour toutes les fâcheux “amalgames” et l’illégitime “stigmatisation”, dont est exclusivement victime la religion dite musulmane.

Madame Belkacem, vos valeurs incitent à combattre les mécréants jusqu’à ce qu’ils témoignent qu’il n’y a de dieu qu’Allah et que Muhammad est le messager d’Allah (Muslim 1:33). Mes valeurs chrétiennes m’incitent à ne pas verser le sang des autres car tous ceux qui prendront l’épée périront par l’épée (Matthieu 26:52).

Madame Belkacem, votre dieu hait ceux qui n’acceptent pas l’Islam (Coran 30:4, 3:32, 22:38 ). Le mien a tant aimé le monde qu’il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit en lui ne périsse point, mais qu’il ait la vie éternelle (Jean 3:16).

Madame Belkacem, vos valeurs ordonnent à condamner et lapider les adultères (Muslim 4206). Les miennes préconisent à ceux qui s’estiment sans péché de jeter la première pierre (Jean 8:7).

Madame Belkacem, vos valeurs autorisent à voler les biens des mécréants (Boukhari 44:668, Ibn Ishaq 76) et encouragent l’usage du mensonge (Sahih Muslim 6303, Boukhari 49:857). Les miennes me l’interdisent (Matthieu 19:18).

Madame Belkacem, votre prophète, modèle pour tous les musulmans sans distinction, a assassiné ceux qui l’ont insulté (Boukhari 56:369, 4:241).. Le mien a prêché le pardon (Matthieu 18:21-22, 5:38).

Madame Belkacem, vos valeurs incitent tous ceux qui vous offensent à les offenser en retour (Coran 2:194). Les miennes me disent qui si quelqu’un me frappe sur la joue droite, de lui présenter l’autre joue (Matthieu 5:39), car le pardon, inexistant dans votre religion, est le principal fondement de la mienne.

Madame Belkacem, votre religion incite à pratiquer la guerre sainte, et celui qui pratique le jihad verra sa place au paradis revalorisée (Muslim 4645). La mienne me dit : heureux ceux qui procurent la paix, car ils seront appelés fils de Dieu (Matthieu 5:9).

Madame Belkacem, votre prophète, modèle pour tous les musulmans sans distinction a eu 13 épouses, la plus jeune avait 6 ans, il a gardé en captivité des esclaves sexuelles (Bukhari 5:268, Qur’an 33:50), a eu des rapports sexuels avec son épouse de 9 ans (Sahih Muslim 3309, Bukhari 58:236), a commandé l’assassinat de femmes (Ibn Ishaq 819, 995), a détenu des esclaves et en fit le commerce (Sahih Muslim 3901), a décapité 800 juifs hommes et jeunes garçons (Sahih Muslim 4390), ordonna 65 campagnes militaires au cours des 10 dernières années de sa vie et massacra les ennemis capturés au cours de ces batailles (Ibn Ishaq 451) et il a encouragé ses hommes à violer les femmes réduites à l’esclavage (Abou Dawoud 2150, Coran 4:24). Je vous invite à trouver l’équivalent des ces actes odieux, cruels, inhumains, abjects et belliqueux dans les fondements de ma religion.

Madame Belkacem, votre prophète, préconisa la crucifixion des autres (Coran 5:33, Muslim 16:4131), tortura ses semblables (Muslim 4131, Ibn Ishaq 436, 595, 734, 764) et commanda que ses disciples donnent leur vie pour lui (Sahih Muslim 4413). Mon modèle, n’a torturé personne, a été crucifié et a donné sa vie pour le salut des autres.

Madame Belkacem, votre prophète demandait la protection d’hommes armés à l’intérieur d’un lieu de culte (Coran 4:102). Le mien a sermonné quelqu’un qui tentait de tenter de le défendre avec vigueur (Jean 18:10-12).

Madame Belkacem, votre prophète ordonna à un esclave de lui construire son préchoir (Bukhari 47:743). Le mien lava les pieds de ses disciples (Jean 13:5).

Madame Belkacem, votre prophète, modèle pour tous les musulmans sans distinction, est mort gavé et riche grâce à tous les butins de guerre ou les rançons imposées aux vaincus. Il ordonna de s’approprier les esclaves capturés au cours de ses batailles (Coran 8:41). Mon modèle est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme la rançon de plusieurs (Matthieu 20: 28).

Madame Belkacem, vos valeurs imposent la persécution à mort des mécréants (Coran 8:39, 3:110). Les miennes m’indiquent d’aimer mes ennemis, de bénir ceux qui me maudissent, de faire du bien à ceux qui me haïssent, et de priez pour ceux qui me maltraitent et qui me persécutent (Matthieu 5:44).

Madame Belkacem, votre plus grand commandement est de croire au Jihad et la cause d’Allah (Muslim 1:149). Le mien, c’est d’aimer son prochain comme soi-même (Matthieu 22:39).

Madame Belkacem, vous mentez et vous n’êtes non seulement la porte-parole d’un gouvernement que l’histoire retiendra comme celui qui aura été le plus nuisible envers la France, mais vous êtes surtout la porte-parole de l’idéologie islamique.

Le grand danger qui guette notre civilisation ne sont pas uniquement les revendications de l’islam dit immodéré qui oeuvre à visage découvert, mais surtout des individus comme vous dont l’hypocrisie, la fausse candeur n’ont d’égal que la haine que vous portez envers notre histoire, notre culture et que vos propos outrancièrement mensongers ne sont que la traduction nauséabonde.

Madame Belkacem, ayez la décence de ne pas comparer l’incomparable et de ne pas faire d’”amalgames”, car nos valeurs, notre morale, notre humanisme issus du christianisme sont opposés et opposables aux vôtres qui prônent explicitement la haine, le châtiment et le mensonge.

Comme l’islam dont vous êtes l’adepte, vous êtes somme toute convaincue de la supériorité de votre civilisation mais tellement et tristement obsédée par son infériorité. Ou bien seriez-vous juste jalouse d’un humanisme auquel vous n’accéderez jamais.

Pierre Mylestin




Pourquoi Aymeric Caron me fait penser à la chèvre Blanquette

Monsieur Caron,

Etant un grand admirateur de votre zèle casuistique, dans sa forme du moins, vous me faites penser, dans la forme toujours, à un mammifère, herbivore, comme vous, avec lequel vous partagez un grand nombre de particularités notamment la charmante “barbiche de sous-officier” (sic!). Mais ceci n’est qu’un détail.

Le mammifère en question, vous l’avez sûrement deviné, est une chèvre. Vous me pardonnerez certainement cette balourdise sexiste à votre égard, mais sachant que vous êtes un fervent défenseur du tout pour tous, chèvre, bouc, bique, biquet, cabri, chevreau…. quelle différence somme toute à vos yeux ?

Retournons à notre caprin, prénommé Blanquette et je vous saurai -encore- bien gré de ne pas voir non plus, dans ce sobriquet inspiré de la couleur du pelage de la bête, un signe quelconque de racisme de ma part.

Avec vous on ne sait jamais. Revenons donc à nos moutons.

Je ne peux donc m’empêcher de faire le rapprochement, sans pourtant verser dans l’amalgame populiste que vous honnissez tant, entre vos illustres analyses et la non moins illustre histoire de cet ingénu animal.

Ainsi,

Comme Blanquette, vous appartenez à un cheptel, celui des journalistes qui bêlent invariablement par l’intermédiaire de nos organes subsidiés de la bien-pensance, et dans votre cas, notre Al-Jazeera nationale, sur les bienfaits de nos diversités multiculturelles importées.

Comme Blanquette, vous ignorez ou pire, feignez ignorer l’immense danger qui guette nos sociétés suite à l’apport d’une richesse monocultuelle spécifiquement musulmane, ou bien mésestimer les apports ostensibles de cette richesse sur notre civilisation, et sur d’autres civilisations au cours de l’histoire, décimées depuis lors par cette même richesse.

Comme Blanquette, vous connaissez la triste fin de Renaude qui s’est faite bouffer par le loup. Vous savez bien qu’en ce qui nous concerne, l’islam est déjà dans la bergerie et il y prolifère avec votre bienveillance, que celui-ci est en ordre de bataille sur plusieurs fronts et a parfaitement réussi la subtile coordination des revendications et intimidations belliqueuses de ses adeptes dits immodérés, avec la victimisation médiatisée de ses adeptes dits modérés, le prosélytisme faussement inoffensif à tous les niveaux de la société civile et la radicalisation latente et consensuelle de tous ses adeptes.

Comme Blanquette, sous couvert d’une émancipation progressiste synonyme d’une altération profonde du sens de la réalité, vous ne faites que servir la cause de l’islam et desservir celle de vos concitoyens lucides – uniquement cons à vos yeux et à peine citoyens si ce n’est de souche- qui essaient légitimement et objectivement de le combattre.

Comme Blanquette, enfin, vous savez bien que les chances d’intégration ou au pire d’assimilation d’un loup dans une bergerie, sont aussi ténues que celles de l’islam dans n’importe quelle société dans laquelle il s’inocule et que celui-ci, par sa démographie inhérente et par son vote communautariste annexe idéologiquement des territoires de notre pays qui sont devenus les zones de recrutement de ses futurs combattants.

En fin de compte, Monsieur Caron, heureusement qu’il y a cette histoire de Blanquette qui a apporté un peu d’eau à mon moulin, cette histoire de chèvres, de moutons, de moutons de Panurge qui se font lobotomiser avant de se faire massacrer.

“Tu m’entends bien …” Caron :
E piei lou matin lou loup la mangé.”

“Fais-toi donc chroniqueur, imbécile ! fais- toi chroniqueur ! Tu gagneras de beaux écus à la rose, tu auras ton couvert chez Brébant, et tu pourras te montrer les jours de première avec une plume neuve à ta barrette…” Alphonse Daudet (La chèvre de monsieur Seguin).

 Pierre MYLESTIN




Faudra-t-il une guerre civile pour qu’Hollande et ses bouffons comprennent enfin ce qu’est l’islam ?

Il en est de certaines castes de nos sociétés, de certains grands intellectuels, d’experts, de journalistes, de politiciens, pour qui le monde s’arrête au seuil de leurs convictions moralisantes et pour qui les avancées destructrices qu’ils prônent et qui minent les fondements de notre société sont tout simplement synonymes de progrès. Ces visionnaires aveuglés par leurs propres certitudes refutent en particulier, avec véhémence et désinvolture, toute vérité sur la réelle nature de l’islam qui contredit leurs théories intellectuelles aliénées. Et l’actuel Président de la République ainsi que la cohorte de ses collaborateurs, ne sont-ils pas, ni plus ni moins que les minables bouffons de l’islam ?

Que faut-il pour leur faire comprendre que les affirmations d’islam en France, d’islam de France, d’islam avec la France, d’islam pour la France, d’islam qui fait partie intégrante de l’Histoire de France, ne sont que des affirmations trompeuses et mensongères et que la seule et unique vérité est qu’il n’y a qu’un seul, unique et indivisible islam, celui qui est contre la France, celui qui défend exclusivement la cause de l’islam, celui du Coran et des Hadiths.

Que faut-il pour leur faire comprendre que le temps passe et que l’islam, avec leur aide, et celle de ses collaborateurs islamo-complaisants, de sa démographie galopante, de son immigration spécifique incontrôlée et incontrôlable est en train de nous envahir irrémédiablement.

Que faut-il pour leur faire réaliser que l’intégration forcée dans nos sociétés de l’intégrisme profondément intrinsèque à l’islam constitue un grave danger pour notre civilisation, comme bien d’autres anéanties avant nous, qui ont essayé an vain d’assimiler l’inassimilable.

Que faut-il pour qu’ils se mettent à l’évidence que l’islam ne reconnait aucune frontière, aucun pays, aucune civilisation à part celles bâties sur ses fondements belliqueux, car le peuple de l’islam ne reconnait aucune valeur, aucune loi, aucune religion autres que celles qui l’unissent dans l’unique et indivisible Oumma, la grande nation qui unit tous les adeptes modérés et immodérés. Car l’islam a vocation à dominer le monde, soumettre les autres,le non-musulman étant ostensiblement défini dans les textes fondateurs de cette idéologie comme l’ennemi à soumettre, à persécuter, à massacrer.

Que faut-il pour qu’ils constatent que l’islam oeuvre principalement par l’écrasante majorité de ses adeptes dits modérés, faussement complaisants, faussement conciliants, faussement démocrates, faussement tolérants, qui induisent sciemment en erreur l’opinion sur la véritable nature de leur idéologie et qui n’ont jamais manifesté et ne manifestent jamais aucune réserve, aucune critique à l’égard de leurs coreligionnaires dits immodérés ou envers les préceptes inhumains, intolérants et inflexibles exultés dans le Coran.

Que faut-il pour qu’ils réalisent que l’islam est en ordre de bataille sur plusieurs fronts et a parfaitement réussi la subtile coordination des revendications et intimidations belliqueuses de ses adeptes dits immodérés, avec la victimisation médiatisée de ses adeptes dits modérés, le prosélytisme faussement inoffensif à tous les niveaux de la société civile et la radicalisation latente et consensuelle de tous ses adeptes.

Que faut-il pour qu’ils admettent qu’actuellement l’islam a clairement renoué avec l’âge d’or de ses conquêtes, à la seule différence que ses foutouhates contemporaines se font actuellement sans verser aucune goutte de sang, mais celles-ci sont menées de manière sournoise, calculée, patiente, inexorable voire définitive et lorsque ses adeptes seront majoritaires viendra le temps des persécutions sanguinaires, de la soumission ou l’élimination de tous les non-musulmans, glorifiant ainsi le véritable message de cette idéologie..

Que faut-il pour qu’ils assimilent que tous les masochistes impénitents et pénitents pathologiques qui s’autoflagellent par les incessants discours de repentance, ne font que servir la cause de l’islam et desservir celle des citoyens lucides qui essaient de le combattre. L’islam, idéologie sadique par excellence leur rendra dûment la monnaie de leur pitoyable masochisme.

Que faut-il pour qu’ils voient que l’islam est en train de devenir effectivement la religion de l’Europe car l’Europe ne veut plus de sa religion historique. Quand les imams remplaceront nos curés, les minarets nos clochers, les prières de rues nos processions millénaires, nous regretterons amèrement les symboles, les traditions, la morale humaniste définis par une religion éclairée et bien plus tolérante, représentée par des individus avec qui la discussion est constructive.

Que faut-il pour qu’ils comprennent que quand l’islam devient majoritaire il est infailliblement agressif, tortionnaire et tyrannique, dévoilant ainsi sa véritable et unique nature, qui incite explicitement ses adeptes à persécuter des millions de mécréants réduits en esclavage et ignoblement maltraités sans relâche parce qu’”infidèles”. Car l’Islam est une civilisation et l’Occident une autre, et il n’ y a jamais eu de place pour les deux sur un même territoire, et l’histoire a clairement montré ce qu’il advient des populations autochtones quand l’islam vient à dominer.

Que faut-il pour qu’ils admettent que l’islam modéré n’existe pas, tout comme l’islamisme, son corollaire médiatique, les deux termes n’étant que des affabulations sciemment mensongères créées de toutes pièces afin d’anesthésier notre esprit critique envers le seul et innommable islam, idéologie fasciste explicitement criminelle contre l’humanité conçue par un psychopathe déviant et sanguinaire.

Que faut-il à toutes ces féministes hystériques, ces lobbys homosexuels, ces intégristes laïcards, pour leur faire comprendre que leur ridicule combat mené contre nos valeurs culturelles et cultuelles, se retournera contre eux le jour ou dominera l’islam.

Que faut-il pour qu’ils conçoivent que l’islam, par sa démographie inhérente et importée et par le vote communautariste qui en découle a reussi à annexer idéologiquement certains territoires de notre nation qui sont définitivement perdus géographiquement, et que ces mêmes territoires de France sont devenus des zones de recrutement des futurs combattants de l’islam pour déclarer la guerre au peuple de France.

Il leur faut une guerre civile, dont l’issue est plus qu’incertaine.

Pourtant.

N’est-il point écrit et répété inlassablement dans nos médias, par nos experts, par nos philosophes, par nos dirigeants, par nos journalistes, que l’islam est la meilleure idéologie qui soit, que les musulmans, sont les meilleurs personnes qui soient, et que tout ce qui n’est pas islam doit être moqué, humilié, bafoué, profané, détruit.

Pourquoi alors tant d’obscurantisme de notre part, tant de rejet envers une ideologie sur laquelle nous avons des préjugés si négatifs. Peut-être en l’embrassant comme le souhaitent nos élites, nous la reconnaîtrons enfin à sa juste valeur et nous pourrons enfin profiter de ses magnanimes subtilités.

Ou peut-être alors devrions-nous tout simplement ne pas essayer de comprendre, nous résigner, fermer les yeux et faire définitivement le deuil de la France.

Pierre Mylestin




Nous leur avons tout offert… et cela va nous être fatal !

“Si l’hospitalité est une éthique, comment en faire un droit ?” disait l’immense écrivain issu de la diversité Tahar Ben Jelloun, cosignataire exemplaire de la pétition à l’encontre de Richard Millet et exemple vivant que la multiculturalité est réellement une richesse.

Faire de l’hospitalité un droit, voire même un devoir, et pourquoi pas une astreinte dont les manquements aboutiraient à une infraction à ce nouvel ordre moral, multiculturel en théorie, islamophile en pratique, cet embrouillamini de valeurs dont le but clairement avoué est l’anéantissement de nos propres fondements judéo-chrétiens à la faveur de ceux d’une idéologie dépravée, dont les velléités de conquête auront des conséquences catastrophiques pour notre propre civilisation car elles n’ont mené depuis 14 siècles et mènent toujours aux pires drames que l’humanité ait connu.

Notre hospitalité, notre humanisme, notre tolérance, notre démocratie, notre ouverture vont nous être fatals. Nous avons béatement accueilli une population exogène adepte d’une idéologie totalement et ouvertement incompatible avec toute forme d’hospitalité, d’humanisme, de tolérance, de démocratie ou d’ouverture et qui tente maintenant de se substituer à nous, de nous faire renier nos propres valeurs. Nous ne devons plus accepter cette fatalité.

Avons-nous été si inhospitaliers envers ses coreligionnaires pour mériter telle semonce d’un adepte d’une idéologie qui prône éhontément la pratique du mensonge ?

Nous avons offert un système éducatif et une ouverture à la critique et l’auto-critique constructives et ils réclament une révision de nos livres d’histoire pour y intégrer l’histoire de leur pays et de leur religion, contestent le droit d’un professeur de culture occidentale d’émettre toute observation fondée à l’encontre de leur idéologie ou de juger le travail d’un étudiant musulman, exigent que soient supprimées toutes les références historiques de ceux qui nous ont défendu de l’envahisseur musulman et à nous imposer une repentance indue ainsi qu’à nos futures générations. Ils revendiquent que leurs filles soient dispensées de certains cours antinomiques à leurs dogmes anachroniques et imposent que leurs femmes soient accompagnées de leur mari et soient évaluées par une femme et ce sans être pénalisées pour leur examen.

Nous les avons invité à participer à nos fêtes et traditions et ils réclament des salles de prières dans nos écoles alors qu’ils exigent de nous de renier nos traditions chrétiennes, obtiennent le retrait des sapins et des crèches dans les lieux publics et la suppression de la fête de Noël en prenant comme excuse les principes de la laïcité. Tout cela en voulant nous imposer leurs interdits alimentaires et leurs commémorations issues d’une tradition sanguinaire.

Nous avons offert les principes d’égalité et de fraternité dès le plus jeune âge et ils nous imposent l’apartheid islamique communément appliqué dans leurs pays d’origine. Ils réclament des vestiaires séparés dans les salles de sport, car “un circoncis ne peut se déshabiller à côté d’un impur”, commandent d’instituer l’usage séparé de deux robinets de toilettes, l’un réservé aux “musulmans”, l’autre “aux autres”, car il n’y a d’égaux que des musulmans entre eux et que tous les mécréants et autres sous-chiens sont considérés inférieurs.

Dès l’école, nous leur avons inculqué le respect et la liberté de la femme et ils voilent leurs filles et leurs femmes et les emprisonnent dans les accoutrements de l’ignorance, du sexisme et de l’esclavagisme, imposent que leurs filles enfilent leurs manteaux avant d’aller au tableau afin de n’éveiller aucune convoitise, ordonnent de réaliser un sas sans fenêtres, pour reconnaître les mères, voilées de la tête au pied, avant de leur rendre leurs enfants. Ils refusent que dans des écoles primaires que leurs fillettes soient laissées dans la classe d’un instituteur remplaçant l’institutrice et imposent des horaires décalés dans les lieux publics.

Nous leur avons offert la citoyenneté et des droits, et ils veulent baiser la France jusqu’à ce qu’elle les aime, sifflent son hymne national, arborent les drapeaux de leur pays d’origine pour fêter l’élection d’un président dhimmi, hurlent “morts aux juifs” ou “vive Ben Laden”, crient en choeur nous sommes tous des Mohamed Merah, sont fiers de leurs coreligionnaires meurtriers et acclament dans leurs cités de non-droit les assassins coupables de meurtres sauvages lors de reconstitution des faits. Ils veulent imposer la charia, support juridique intrinsèque et indissociable de l’idéologie musulmane, équivalent d’un Code Civil et d’un Code Pénal, applicable par tous les croyants musulmans.

Nous leur avons offert la liberté d’expression et ils la retournent contre nous en nous persécutant par l’intermédiaire des organes subsidiés de la bienpensance islamophile et des officines prônant l’intégrisme antiraciste, nouveaux flics et juges arbitraires au service d’une idéologie qui a inspiré le nazisme.

Nous leur avons offert du travail et implémenté une discrimination positive afin d’embaucher de manière préférentielle des “jeunes” issus de l’immigration et ils réclament des jours de congés supplémentaires pour leurs fêtes islamiques et des des horaires aménagés pour leurs prières quotidiennes. Des musulmanes exigent de pouvoir pratiquer des métiers publics avec un voile, un tchador afin de ne pas éveiller la concupiscence de leurs collègues de travail.

Nous leur avons donné notre confiance en les intégrant dans notre armée et ils refusent de combattre contre leurs coreligionnaires dans des pays où l’idéologie islamique est la cause des malheurs de toute une population. De quel côté combattront-ils quand la guerre civile éclatera inévitablement dans leur nouveau pays d’accueil ?

Nous leur avons ouvert nos églises pour accueillir les plus démunis d’entre eux ainsi que ceux qui fuient les conséquences funestes de leur idéologie dans leur pays d’origine. Leurs coreligionnaires profanent nos lieux de culte, taggent “mort aux chrétiens et aux juifs ” sur leurs murs, caillassent impunément les fidèles en pleine messe et urinent dans les bénitiers.

Nous leur avons offert des soins de santé et des services médicaux de pointe et ils refusent que leurs femmes soient examinées par des hommes. Des médecins se sont faits lyncher pour avoir soigné des femmes sans le consentement de leurs maris et des musulmanes voilées et étudiantes en médecine exigent de ne soigner que des femmes.

Nous leur avons offert une assistance et des services sociaux et ils en abusent éhontément et de manière calculée notamment à la faveur de leur démographie galopante car ils nous envahiront par le ventre de leurs femmes. Ils refusent les signes extérieurs inhérents à notre culture mais acceptent de bénéficier quand même des “primes de Noël” et abusent de notre générosité en refusant les plats non halal qui leurs sont offerts par des organisations caritatives.

Nous vous avons été et sommes toujours de manière suicidaire trop hospitaliers envers une certaine immigration et c’est celle-ci en particulier qui nous sera fatale si nous continuons à l’accueillir en se soumettant à ses demandes de manière si incoercible, incontrôlée, voire maladive et maintenant irrépressible.
Les collabos nous ressassent sans cesse dans les médias islamo-gauchistes que l’immigration est une chance pour nous et que nous avons besoin de “sang neuf”. On omet de nous dire qu’il faudrait une compatibilité entre le sang du donneur et celui de receveur. Sinon il y a un grand risque de choc.
En important l’islam, nous avons introduit la virulence et l’abomination d’une idéologie pestiférée conçue par un psychopathe enragé et perfide et qui a causé systématiquement des guerres partout où elle s’est inoculée.

Et le plus grand danger de cette idéologie est indubitablement sa fourberie immanente, la duplicité essentielle de ses discours et la fausse magnanimité de l’écrasante majorité de ses adeptes dits modérés ou immodérés.

“Le fourbe abuse de l’hospitalité la plus tendre pour porter des coups de traître.”
Georges Clémenceau.

Pierre Mylestin




Eloge non littéraire de Mohamed, prophète de l’islam

Le Coran, dans sa forme, est nous dit-on, le sublime paroxysme de la quintessence de l’atticisme arabe et plus particulièrement celui de la période mécquo-médinoise, période coïncidant avec la survenue dans notre système solaire du prophète de l’islam, l’illustre Mohamed.

A défaut de manier les subtilités lexiques de ce somptueux lyrisme qui me permettraient de mieux en apprécier la valeur unique, et dans le but pragmatique d’associer cette félicité littéraire à celle des hordes modérées et immodérées des adpetes de l’idéologie d’amour et de paix, et surtout à celle de nos intellectuels et autres élus bienpensants chroniquement extatiques devant cette source intarissable et éternelle de bonté humaine, je me résigne modestement à tenter succintement de faire l’éloge dithyrambique, sur base de son application concrète et factuelle, de quelques aspects de son fond idéologique plutôt que celui de sa forme.

Bien que l’usage du terme de fond soit opportun vu le contexte, il serait plus propice vu la teneur du message de parler plutôt d’abysse idéologique.

En effet, un texte qui depuis plus de 1400 ans exulte autant de ferveur belliqueuse, de perpétuelle rancoeur aveugle, d’hystérie collective, qui contraint l’être humain à atteindre le summum de ce qu’il y a de plus profondément haineux, cruel, sanguinaire, pervers, abject, immoral, mensonger, fourbe, un texte qui a réussi avec autant de perfection à déshumaniser l’autre, en particulier la femme, tant dans sa nature charnelle que spirituelle, ne peut que susciter un certain intérêt voire une certaine admiration malsaine qui ferait transparaître l’oeuvre de ce bon vieux Donatien Alphonse François de Sade comme un vulgaire pamphlet écrit gauchement par un amateur prépubère.

D’ailleurs, en parlant d’amateurisme, l’on comprend maintenant plus facilement la cause du dernier épisode d’horripilation collective des meutes musulmanes offusquées à l’égard de la récente et piètre adaptation cinématographique de série B de ce chef-d’oeuvre littéraire immuable. Il est sans doute vrai que lorsqu’on est féru d’une telle finesse littéraire, on est plutôt plus apte à apprécier les films d’auteur à faible budget, comme ceux fréquemment diffusés sur la toile, montrant caméra au poignet, la décapitation d’une adultère, la lapidation d’une femme victime d’un viol collectif, l’écrasement à coups de rocher du crâne d’une adolescente par son pieux et honorable père, l’égorgement d’un otage mécréant au nom de l’islam, la pendaison d’un apostat, le dépeçage partiel d’un bandit de son vivant, plus éclectiquement le martyr qui se fait exploser au nom d’Allah dans l’espoir de trouver son troupeau de pucelles au paradis, voire plus rarement des grosses productions beaucoup plus spectaculaires avec parfois plus de 3000 figurants mécréants involontaires, comme celles dont la date de sortie planétaire était judicieusement orchestrée un 11 septembre 2001. Quand on est si friand de culture alternative, on ne lésine pas sur les moyens et surtout on ne compte pas, le tout dépendant de quel bord on se situe (sic).

De plus, la rigueur casuistique morbide mise en exergue ostensiblement dans cet ouvrage incomparable, contraste souvent avec une assez originale versatilité dans l’immuabilité intemporelle de ses préceptes et ce, au gré des circonstances ou du “contexte” historique et/ou érectile du prophète en question. En effet, on y découvre que par le principe d’abrogation un dogme peut être tout simplement annulé même s’il est en contradiction radicale avec celui qui le succède. Cohérent, pratique et efficace. Probablement qu’en ces temps, comme on ne maitrisait pas encore parfaitement les effets de la testostéronémie circulante sur le comportement copulatoire et guerrier du mâle en quête de perpétuelles conquêtes femelles et territoriales, on inventa alors le concept d’abrogation, une sorte de politiquement correct avant-gardiste somme toute. Et honni qui mal y pense sur l’éventuel manque de crédibilité du message et des contradictions de son messager.

Pour conclure sur une note plus objective, et sans pouvoir être exhaustif, un livre d’une telle spiritualité qui emploie le terme de “guerre” 9 fois, celui de “supplice” 12 fois, “infidèle” 47 fois, “tuer” et ses conjugaisons 65 fois, “feu” (de l’enfer pour les mécréants) 150 fois, “mécréant” 155 fois, “châtiment” 354 fois, confirme indubitablement que l’islam est bel et bien respectivement une religion de paix, d’amour, et de pardon.

Chapeau l’artiste.

Pierre MYLESTIN




Je m’interroge de plus en plus sur les musulmans dits modérés…

J’adresse une authentique demande de pardon et un sincère voeu de repentance à l’égard de tous mes concitoyens de confession musulmane, en particulier les modérés qui correspondraient à l’écrasante majorité silencieuse des adeptes de l’islam, contrairement aux islamistes qui n’en forment qu’une infime minorité, une exception qui confirme somme toute la règle que l’islam est bel et bien une religion d ‘amour et de paix.

Mea culpa donc envers mes compatriotes, adeptes modérés de l’islam, qui, à tort ou à raison, se sentent stigmatisés quotidiennement par mes semblables, ces citoyens indignes qui se disent de souche, patriotes voire identitaires. Ces citoyens musulmans à part entière, pratiquant une religion intrinsèquement tolérante, de plus en plus cruellement fustigés à cause de leurs nobles origines, de leur bienveillant culte, ostensiblement agressés quotidiennement par nos jugements arbitraires envers leur idéologie tolérante et harcelés par les innombrables procès d’intention injustes intentés à l’encontre de ses magnanimes fondements.

Cet acte de repentance, je le pose en espérant que ces populations daignent nous pardonner des innombrables crimes que nous sommes malheureusement encore et toujours en train de perpétrer et perpétuer à leur égard. Manifestement l’histoire ne nous a rien appris, et notre aveuglement séculaire ne peut que susciter l’indignation. Indignation surtout tournée envers nous-même, nos traditions, notre culture et surtout notre héritage judéo-chrétien responsables de nos agissements.
Indignons-nous de nous mêmes et de ce que nous sommes et de ce que nous avons été. A cet effet, je fais la promesse solennelle que dorénavant, je me dois d’ouvrir grands les yeux et de regarder avec plus d’humilité et d’objectivité impartiale cette nouvelle société riche de par sa diversité qui se dessine sous mon regard résigné.

 *أستغفر

Pourtant.

Même en écarquillant bien les yeux, il m’est difficile de ne pas remarquer que mes compatriotes musulmans dits modérés ne se désolidarisent pas en masse et publiquement de leurs coreligionnaires dits intégristes, qui prônent l’application stricte des préceptes abjects issus de l’idéologie islamique.

Même, en usant de la plus grande volonté, je ne peux que remarquer qu’il n’y a aucune velléité de ces musulmans dits modérés de condamner avec la plus grande fermeté les prêches des imams dans les mosquées-casernes et les incitations des plus hauts dignitaires de leur culte commun à pratiquer le jihad et la désobéissance civile en vue de la réalisation de l’oumma.

Même en considérant le contexte social comme circonstance atténuante, je constate que même les musulmans dits modérés et “sans histoire” issus de la troisième génération, sont responsables de l’écrasante majorité des incivilités, des délits, des meurtres, des expressions de haine envers la nation et ses citoyens de souche et des crimes commis au nom de l’islam.

Je suis stupéfait que les musulmans dits modérés qui s’affirment adeptes d’une religion de paix, ne dénoncent pas les appels explicites à l’esclavagisme, au meurtre, à l’anéantissement des non-musulmans, au massacre impitoyable des mécréants, appels exaltés clairement et sans équivoques dans les textes fondateurs de leur idéologie.

Je m’étonne également que l’écrasante majorité des musulmans dits modérés ne font aucun effort à prôner l’égalité hommes-femmes et ne dénoncent pas en masse les appels au viol, à la lapidation, à la flagellation, à la déshumanisation des femmes et leur mutilation, tous explicitement dictées dans leur idéologie.

Il m’est difficile de ne pas remarquer que les musulmans modérés ne manifestent pas avec autant de verve leur hostilité aux dogmes les plus sinistres issus de leur idéologie, avec la même combativité que leurs coreligionnaires immodérés lorsque ceux-ci se sentent outragés à l’évocation de la réalité historique de leur prophète : sanguinaire, menteur, rancunier, esclavagiste, meurtrier, asservisseur, obsédé sexuel et pédophile.

Je suis étonné de la réticence des musulmans modérés à affirmer ouvertement que les valeurs de la nation qui les a accueilli à bras ouverts priment sur ceux de l’islam qu’ils essaient sournoisement d’implémenter, islam qui n’hésitera pas à nous désintégrer afin de s’imposer sur nous et que ces mêmes musulmans modérés ne dénoncent pas les intimidations et les revendications de l’islam politique qui veut s’emparer de la nation afin d’imposer sa cruelle chape de plomb, car l’aspect politique fait partie intégrante et est l’essence même de l’islam.

Je suis triste que mes compatriotes musulmans modérés ne dénoncent pas le dénigrement de nos emblèmes culturels et cultuels, signatures inhérentes de nos valeurs, de nos traditions et de notre culture.

J’attends enfin avec impatience que l’écrasante majorité silencieuse des musulmans modérés se prononcent enfin sur leurs véritables aspirations. Abjureront-ils leur idéologie putride ou afficheront-ils sans fausse pudeur leur véritable loyauté envers elle à l’instar de leurs coreligionnaires immodérés, somme toute bien moins hypocrites qu’eux et moins dangereux car oeuvrant à visage découvert.

L’attente est me semble-t-il assez vaine et le seul point commun entre musulmans dits modérés et les islamistes, les fanatiques ou les progressistes, les jihadistes ou les faux-républicains c’est l’islam, et l’islam modéré n’est qu’une perversion sur sa véritable nature, une invention du politiquement correct pour disculper l’islam des crimes commis ouvertement, tacitement ou par omission intentionnelle par tous ses adeptes en son nom et celui de son prophète.

Dans cette interminable attente, je persiste à regarder autour de moi et je ne peux m’empêcher en conséquence de penser, mon Dieu, protégez-moi de l'”islam modéré”, l'”islamisme” je m’en charge.

Pierre Mylestin

* implorer le pardon en néo-français.




1933 : Ein reich, ein volk, ein Führer – 2012 : Une oumma, un peuple, un Prophète

L’histoire se répète et les hommes n’apprennent donc jamais. L’esprit munichois des collabos qui a imprégné toutes les castes de la classe politique, médiatique, culturelle sans distinction idéologique est toujours le même, imperméable aux leçons tragiques données par l’histoire ancienne et contemporaine.

Nos dirigeants islamophiles sont devenus bêtes et méchants, imperturbables devant la gravissime réalité flagrante de la réalisation inexorable de l’oumma, tellement qu’ils sont aliénés par l’idéologie totalitaire de l’antiracisme qu’il vénèrent, le tiers-mondisme conquérant qu’ils adulent au nom de principes contenus dans des lois liberticides imposant la lubie du vivre ensemble dans une société multiculturelle prônée par les officines subsidiées du “racisme anti-blanc”.

Tellement stupides qu’ils ne savent pas que l’islam est une idéologie encore plus mortifère que le nazisme qui s’en est d’ailleurs inspiré, et que toutes deux prônent irrévocablement le culte de la haine de l’autre et le recours systématique à la force.

Tellement aveugles qu’ils sont devenus incapables de discerner les dangers réels qui nous menacent, ce sabre islamique qui nous effleure la gorge, et la vocation de l’idéologie islamique à vouloir dominer le monde.

Tellement coupables et responsables vis à vis de la vie des futures générations de leur abjuration volontaire et de leur soumission devant une idéologie avec laquelle il est impossible de coexister pacifiquement.

Tellement niais qu’ils s’émerveillent lors de la construction de mosquées, synonymes de futurs fours crématoires pour notre culture, nos traditions et notre morale judéo-chrétienne.

Tellement lamentables traîtres à ne pas oser affirmer leur propre identité face à la montée de l'”islamisme”, cette invention du politiquement correct qui souhaite dédouaner l’islam de toutes ses horreurs et de l’exonérer des innombrables crimes commis en son nom.

Tellement menteurs qu’ils n’osent pas dire que le Coran, qu’ils ont certainement lu, est encore plus destructeur que ne l’était Mein Kampf.

Tellement politiciens qu’ils aident directement l’islam à arriver au pouvoir absolu par des voies démocratiques et qu’il y restera au nom d’Allah, et oeuvrera ainsi par la suite à détruire cette même démocratie en retournant provisoirement contre nous nos droits de l’homme dont il exige actuellement de bénéficier, mais qu’il nous refusera en instaurant la charia.

Tellement serviles qu’il n’osent pas traiter avec l’islam comme il aurait fallu le faire avec le nazisme, avec franche pugnacité, sans aucun état d’âme et aucune empathie, car l’islam n’en a aucune à notre égard.

Tellement fossoyeurs de notre civilisation qu’ils nient qu’il n’y a qu’un seul et unique islam, comme il n’y a qu’un seul nazisme, tous deux expansionnistes, intolérants et déterminés.

Tellement perfides qu’ils considèrent que les vrais ennemis sont ceux de l’intérieur, les patriotes résistants qui veulent défendre leur nation.

Nous n’oublierons jamais nos bourreaux qui ont été élus et réélus, qui, au nom d’une tolérance partiale ont admis et imposé l’intolérant et l’intolérable.

Il n’y a plus de droite. Il n’y a plus de gauche. Il ne subsiste que deux camps : celui des résistants mécréants et celui des collabos islamophiles.

Et ces derniers, nous ne les oublierons pas lorsque l’heure des comptes aura sonné, lorsque le peuple reprendra en main son destin en voie d’islamisation.

Pierre Mylestin




Il nous faut une logique de guerre contre ceux qui nous ont déclaré la guerre

En période de guerre, pour survivre, il faut adopter une logique de guerre.

Car, nous sommes en guerre contre une idéologie qui prône ouvertement le jihad islamique pour nous conquérir et nous asservir, qui concrétisera l’oumma en piétinant nos démocraties. Celles-ci, telles qu’on les a imaginées sont moribondes, bientôt euthanasiées par le venin du politiquement correct.

Il nous faut une logique de guerre, car le harcèlement et la propagande médiatiques nous y acculent et leur tyrannie au service d’une idéologie unique islamophile transforment les citoyens de souche qui font de la légitime défense en hors-la-loi dans leur propre pays.

Il nous faut une logique de guerre, pour extirper l’humain libre de l’emprise de l’islam inhumain et de l’humanisme tiers-mondiste culpabilisateur.

Il nous faut une logique de guerre, car nous ne sommes plus dans un pays de droit. Les médias sont devenus juges, les experts sociologues sont devenus les procureurs qui sans forme de procès hormis celui de l’intention, condamnent à la mort civique, sociale, politique et médiatique tous ceux qui ne se conforment pas à leur dogmes ou qui osent leur résister.

Il nous faut une logique de guerre, contre les collaborateurs, ces traitres élus qui déforment et renient notre culture et notre morale et veulent nous imposer une histoire pervertie qui nous inculque une repentance indue tout en glorifiant une idéologie scabreuse.

Il nous faut une logique de guerre, pour retrouver le droit de débattre librement, et celui de combattre le terrorisme intellectuel, ce jihad de la pensée unique qui interdit tous les débats réalistes sur le réel et sur les questions essentielles qui engagent notre avenir.

Il nous faut une logique de guerre, contre une idéologie qui appelle ouvertement à la haine, à la guerre, au massacre, au viol, au vol, à l’esclavagisme, au mensonge, au meurtre, au génocide, à la lapidation et la pédophilie, une idéologie qu’on nous présente comme étant d’amour, de paix et de tolérance.

Il nous faut une logique de guerre, contre les démagogies des idéologies 68ardes et celles antiracistes qui en découlent, qui ont renversé nos traditions et souhaitent les dissoudre sous couvert d’un multiculturalismle sectaire.

Il nous faut une logique de guerre, car l’islamo-gauchisme est une régression totale, un crime contre l’humanité contre lequel nous avons l’obligation morale de nous rebeller et d’entrer en résistance.

Il nous faut une logique de guerre, pour oser affirmer nos racines chrétiennes, celtiques, romaines, notre culture, notre morale tournées vers la vie, la vraie tolérance et le respect de l’autre.

Il nous faut une logique de guerre, car pleurer des larmes de sang ne nous sauvera pas.

Pierre Mylestin




Nos dirigeants islamo-collabos sont atteints du syndrome de La Mecque

Il est interdit d’interdire. Dans le cadre du programme officiel d’islamisation de la République, nos dirigeants islamo-populistes élus issus de la cuvée idéologique soixante-huitarde, semblent vouloir appliquer cet illustre précepte sans compromission. Il est certes fort louable que des politiciens adhèrent encore à des principes auxquels ils ne dérogent pas. Mais cette application somme toute assez intégriste et exclusive de ce principe envers une communauté spécifique dénote-t-elle d’une conviction spirituelle en éclosion, d’un décervelage doctrinaire de nos Enarques accomplis à l’instar des adeptes de l’idéologie de paix et d’amour, d’une ignorance profonde de la réalité historique et récurrente des invasions islamiques ou bien d’une peur compatible avec une reproduction du célèbre syndrome de Stockholm, qui, dans le cas de nos actuels dirigeants dhimmis serait mieux désigné de syndrome de Mecque.

En effet, quand les lois démocratiques de la République ne sont plus en application ou sont remodelées en fonction des aspirations hégémoniques et souvent vindicatives d’une communauté sectaire importée, il s’agit bien d’une soumission explicite de nos dirigeants, garants de l’application des lois nationales souveraines, et les signes infaillibles de la shariasation officieuse de la France.

La traduction littérale d’islam est bien la soumission. A cet exercice nos dirigeants excellent et ne ratent aucune occasion pour afficher leur soumission de manière impudiquement ostentatoire à leur -futur- tortionnaire voire même s’en éprennent éperdument en devenant plus zélés que le plus dévot des adeptes de l’idéologie d’amour et de paix. En effet, la monarchie abolie, nous pouvons présumer assez raisonnablement qu’ils sont devenus plus musulmans qu’un imam.

Cette fascination paralysante et phobique face à la plus petite racaille “issue de la diversité” et le stade avancé et probablement dépassé de dhimmisation de nos dirigeants élus, idiots utiles “à l’insu de leur plein gré“, ont atteint un tel point que les musulmans eux-mêmes ne devront plus se donner la peine de faire du prosélytisme en faveur de leur idéologie. Ce prosélytisme islamique s’est mué en un endoctrinement idéologique systématique et institutionnalisé relayé par un outil de propagande médiatique islamo-gauchiste inféodé dont l’efficacité ferait pâlir de jalousie le prophète lui-même (les décapitations et l’esclavagisme en moins).

Au lieu de vociférer en boucle que l’islam conquerra le monde, ces douces populations importées et maintenant (?) oisives useront et abuseront certainement utilement de ce précieux temps économisé à faire plutôt fructifier démographiquement notre richesse multiculturelle garante de nos futures pensions et à inculquer à leur adorable descendance les futurs fondements de la VIème République, la République Islamique de France.

Cette lobotomisation des masses, ces capitulations récidivantes sur des sujets faussement futiles, ces accomodements irraisonnables sont autant de signes flagrants qui dénotent une faiblesse suicidaire et ne font que renforcer la volonté non voilée des adeptes de la religion d’amour et de paix à vouloir imposer leur idéologie totalitaire et mortifère aux futurs soumis.

Nos dirigeants élus en sont certes responsables, mais par nos choix politiques nous sommes également coupables de cette catastrophique situation qui ne fera que s’empirer toutes choses restant égales. Et toutes choses resteront égales. L’islam est une fin en soi et l’islam étant patient, l’oumma est en train de se concrétiser inexorablement par une invasion de peuplement complice de notre passivité, de notre angélisme, de notre candeur face à la réalité flagrante et surtout de nos choix électoraux dits démocratiques.

A ce stade nous avons atteint le point de non retour. L’ennemi et ses collaborateurs sont clairement identifiés et, à défaut de posséder les moyens d’une légitime défense, il est de notre droit et notre devoir envers nos aïeux et nos enfants de préparer les bases salvatrices d’un futur combat inévitable et indispensable.

En attendant, il nous semble légitime que les représentants de ce mémorable cru gouvernemental appliquent également un autre slogan soixante-huitard plus adapté à notre époque : si Allah existait, il faudrait le supprimer.

Pierre Mylestin




A la France des Lumières s’est substitué l’islam des ténèbres

Il en est de certaines tristes réalités que seul un islamo-gauchiste collabobo, dont la conscience est corrompue par une altération psychotique du sens des évidences, oserait décrier, notamment.

A la liberté, la fraternité et l’égalité se sont substitués, la dictature du politiquement correct, l’anti-racisme et le communautarisme islamique.

A la liberté d’expression ses sont substitués les procès pour stigmatisation des minorités dominantes et les fatwas dictées par les organismes subsidiés de la bien-pensance islamophile, exclusivement contre les citoyens de souche.

A l’humanisme se sont substitués le multiculturalisme suicidaire et le sectarisme islamique.

Aux sabres des foutouhates mahométanes s’est substitué l’islamo-populisme de gauche.

Aux persécutions licites des mécréants par les musulmans se sont substitués l’antisémitisme nazislamique contemporain et la profanation récurrente de nos églises.

A la liberté de culte se sont substituées les prières de rue et l’islamisation subie de notre société à tous ses échelons.

A la critique et au libre arbitre s’est substitué le blasphème à l’encontre de l’idéologie islamique.

Au sentiment de patriotisme s’est substituée l’attachement à l’oumma où l’appartenance sectaire islamique prime sur toute autre forme de citoyenneté.

A la lapidation se sont substituées les agressions quotidiennes et impunies par des musulmans contre nos compatriotes et les insultes publiques médiatisées, et toujours impunies, envers nos valeurs par ces mêmes musulmans.

A nos fêtes et traditions millénaires inspirées du christianisme se sont substituées le ramadan, l’Aid el Kibir et les dogmes mortifères qu’ils véhiculent.

Au drapeau Français se sont substitués, entres autres, les drapeaux turc, algérien, marocain, palestinien, tunisien sans oublier celui du Hezbollah libanais.

A la souveraineté économique s’est substituée la dépendance financière islamique, nouvelle forme de djizzia contemporaine.

A nos grands hommes politiques se sont substitués les collabos, les traîtres, les lâches, les dhimmis élus de la république qui tremblent de peur devant le délinquant «issu de la diversité».

A la France des Lumières s’est substitué l’islam des ténèbres.

Aux valeurs de République se sont substituées les valeurs de la charia islamique.

A l’état de droit républicain s’est substitué un état de non-droit islamo-complaisant.

Au citoyen de souche s’est substitué le musulman de souche.

A notre liberté de penser s’est substituée notre liberté de se soumettre.

A la France s’est substituée la République Islamique de France.

En cautionnant tacitement ou explicitement les collabos islamophiles qui prônent un islam de France, qui défendent avec véhémence la lubie d’une idéologie islamique modérée respectueuse et compatible avec nos valeurs et qui combattent avec la même assiduité notre légitime instinct de survie en tant que peuple de souche, nous sommes tous des collabos, des Mohammed Merah qui assassinont de sang froid notre propre civilisation.

A cet effet, et pendant un demi-siècle nous avons approuvé démocratiquement et librement les politiques destructrices et mensongères de nos élus.

Bientôt nous en assumerons inéluctablement et entièrement les funestes conséquences.