Les clandestins demandent des devis pour percevoir l’argent de la CAF !

Cet après-midi, je suis allé acheter un micro-ondes dans une grande enseigne nationale. J’ai attendu un moment qu’une conseillère s’occupe de moi. Elle était, en effet, occupée à rédiger des devis.

Elle est venue vers moi, elle semblait à la fois lasse et excédée. Elle m’a très vite expliqué les raisons de son grand courroux causé par un surcroît de travail et un sentiment d’injustice énorme. En effet, les migrants arrivés sur notre territoire et qui s’y installent bénéficient d’aides de la CAF pour acheter de l’électroménager. Ils demandent donc des devis pour percevoir l’argent de la CAF qui leur permettra d’acheter réfrigérateur, gazinière, lave-linge… pour aménager leur nouveau logement. Quand je vois dans ma ville l’augmentation des minorités visibles, je pense que la dame n’a pas fini de faire des devis ! Et nous nous n’avons pas fini de voir nos retraites, allocations, salaires revus à la baisse !

Les politiques se foutent de nous. Les Français doivent, chaque jour se serrer la ceinture et l’argent est dilapidé pour les étrangers. Qu’est-ce que c’est que ce bordel ?

Sylvain Lemarchand




Ecole : la grande dégringolade

L’Ecole Française accueille le monde entier. La bonne nouvelle se répand et nous voyons arriver dans les classes des élèves d’Algérie, du Maroc, du Gabon, du Sénégal, d’Albanie ou du Laos. Parmi eux il y a, fort heureusement, des enfants volontaires, sérieux, respectueux et quelques-uns côtoient très vite la tête de classe. Il y a également des pauvres gosses, des enfants des rues, qui se sont élevés sans cadre, sans repères qui mobilisent des équipes éducatives entières, les services sociaux, de santé ou de justice. Il y a également des enfants handicapés accueillis par des membres de leur famille déjà installée en France qui viennent se faire scolariser, soigner, dans un pays ou le système de santé est à bout de souffle. Le pays est ouvert et la bonne nouvelle se répand !

Les enseignants doivent ainsi faire face à une diversité de niveaux dans leur classe jamais vue. Ainsi, dans tous les niveaux de classe, il est demandé aux enseignants de gérer une classe de 25 à 30 élèves avec une organisation de travail par groupe de niveau ou individualisée pour que «  chaque élève progresse à son rythme ».

Sur les portes des classes, il est toujours écrit CP, CE1, CE2… mais aujourd’hui le ministère refusant les redoublements, les élèves, suivent un cursus de classe en classe sans se préoccuper de leur « niveau scolaire ». Toute une classe d’âge vit ensemble !
Ainsi, arrivé en fin de cursus de l’école élémentaire, l’enseignant de CM2 doit faire progresser dans sa classe des élèves qui ne savent pas encore lire (mais c’est normal on apprend à lire toute sa vie !), certains qui ne connaissent pas encore tous les sons, certains qui lisent très lentement et ne comprennent pas le sens du texte et d’autres qui maitrisent la lecture. La même disparité se retrouve en mathématiques, orthographe, grammaire…

Les résultats de la France s’écroulent de manière dramatique dans les classements internationaux, c’est ce qu’ils veulent ces dirigeants de la honte. Terrasser le pays, nous rendre ignares et pauvres.

La mise à mort de notre pays est en Marche et le rythme s’accélère rapidement.

Sylvain Lemarchand




Ecole : la mise à mort est En Marche

Sept amis, sept enseignants, sept amoureux de leur métier, professeurs des écoles, de collège, de lycée qui vivent au quotidien dans leurs classes les conséquences d’une immigration massive, laxiste et ingérable ont décidé de vous faire partager leur consternation.
Lorsque nous en parlons autour de nous, nos interlocuteurs, nous écoutent, sidérés et disent très souvent « on ne se rendait pas compte que c’était à ce point-là ! ».

Le ministère de l’Education nationale nous demande d’être « bienveillants » et nous le sommes. Mais nous ne pouvons plus être silencieux. Le milieu éducatif ordinaire croule sous les difficultés sociales et éducatives. L’arrivée massive de jeunes étrangers vient aggraver la situation et va, à terme, détruire notre système de solidarité déjà à bout de souffle.
Il est temps pour nous, avant qu’il ne soit trop tard, d’informer, de partager ce que nous vivons et constatons.
Dans le quotidien, nous voyons arriver des migrants qui n’ont ni fui des pays en guerre, ni traversé des déserts, ni franchi la Méditerranée au péril de leur vie.

Nous avons vu arriver dans nos classes  depuis la rentrée :
– une fillette venant du Maroc et hébergée avec sa mère dans un CADA (Centre d’Accueil pour les Demandeurs d’Asile).
– un élève de 10 ans qui vient du Sénégal (en grosses difficultés scolaires) hébergé par sa tante.
– un élève qui vient du Mali adopté par des membres de sa famille domiciliés en France… ingérable en classe et à la maison qui vient d’être placé dans un foyer.
– une psychotique venue de Jordanie avec sa famille. Papa et maman sont repartis et ont laissé la jeune à une grand-mère… et à la généreuse France qui la scolarise difficilement mais, c’est la loi, l’école accueille tous les enfants présents sur le territoire. Un dossier va même être constitué auprès de la Maison Départementale des Personnes Handicapées qui pourra proposer : – une orientation vers un établissement spécialisé (la liste d’attente est pourtant déjà très longue dans ces structures puisque certains petits Français doivent aller en Belgique) et – une allocation financière pour aider la mamie !
– un élève venant d’Indonésie (hébergé avec sa famille depuis 8 ans dans une structure sociale) incapable de suivre la formation professionnelle dans laquelle il est inscrit.
– un élève né en France (enfant de deux parents rwandais) placé en Maison d’enfants suite à l’incarcération d’un des parents.
Je ne vous relate ici que les derniers arrivants qui rejoignent des précédents déjà fort nombreux.
De toute évidence, le flux s’amplifie et l’appel d’air est considérable.

Ainsi nous constatons qu’il est permis :
– d’entrer illégalement en France et de s’y installer (quel que soit le pays d’origine)
– d’arriver avec un visa, de scolariser les enfants en France, de se faire soigner et de ne pas repartir
– de faire venir un membre de la famille handicapé ou malade, une nièce que l’on veut scolariser en France
– de bénéficier de mesures financières de compensation d’un handicap alors que vous n’êtes pas Français.

Ces personnes qui utilisent notre système si généreux peuvent le faire car il y a, de toute évidence, une volonté politique de terrasser nos systèmes éducatifs, de santé et nos mécanismes de solidarité. Permettre et laisser cette situation se décliner dans toutes les villes et villages est une mise à mort de l’organisation solidaire de notre Pays.

Sylvain Lemarchand