Inégibilité pour délit d’opinion : un pas vers la charia

L’assemblée nationale a voté hier l’inéligibilité, pour opinion blâmable. Pour faire passer la mesure de censure et de répression des points de vue, par l’interdiction de les exposer sous peine de ne plus pouvoir se présenter à une élection, le vote sanctionne…« le racisme », l’antisémitisme et l’homophobie.

La mesure votée hier est une transition

Elle prépare autre chose. Elle prépare, en particulier, la mise dans le droit français des exigences de l’OCI (l’ancienne organisation de la conférence des états islamiques). Pour cette organisation étatique à fondements religieux, ne pas croire en l’existence de Mahomet, ou ne pas croire qu’il a rencontré pendant 26 ans l’ange Gabriel (et que cet ange lui faisait lire et apprendre les sourates du coran), ne pas être d’accord – et le dire – avec l’ordre moral et politique produit par lesdites révélations, ne pas croire que sur sa monture ailée à tête de femme il montera dans les sept cieux rencontrer les prophètes des Hébreux et que ceux-ci lui donneront leur sanction, ce serait blasphémer ; ce blasphème serait d’autant plus grave et répréhensible qu’il serait un racisme et rien d’autre, et ce serait le pire des racismes parce qu’il viserait les musulmans.

L’exigence de l’OCI se décline dans le processus d’Istanbul, dont le dictateur Erdogan (prononcer Erdouane) est actuellement le fer de lance.

En apprenant la mesure votée, je me suis fait cette réflexion : mais au fait, de quel antisémitisme s’agit-il ?

Pourquoi de quel antisémitisme ?

Pourquoi ? Parce qu’Il existe en effet plusieurs types d’antisémitisme, plusieurs causes d’hostilité ou de détestation des Juifs.

Question : si l’on ne peut plus élire un antisémite, va-t-on quand-même accorder la nationalité et le statut d’électeur au sieur Ramadan Tariq, un homme qui professe ouvertement et cultive l’antisémitisme ; un antisémitisme virulent de la variante frères musulmans qui appelle à la destruction des Juifs jusqu’au dernier ; un antisémitisme soutenant notamment les récents assassinats de Juifs poignardés chez eux par un fanatique « Palestinien » ?

Question : va-t-on délégaliser et interdire de se présenter aux prochaines élections le parti des musulmans de France, parce que son programme est antisémite pour les besoins de la fidélité aux hadiths de Muslim et Al Boukhari présentés comme des « dits authentiques » de Mahomet ?

Si l’on ne le fait pas, l’assemblée aura voté une censure et une interdiction à se présenter à l’élection, seulement pour l’antisémitisme traditionnel, uniquement pour l’animosité dite de droite à l’encontre des Juifs. On aura, de ce fait, mis dans la loi une inégalité politique interdisant ceci aux uns (antisémitisme de droite), mais l’autorisant aux autres (antisémitisme mahométan).

Que va dire le sénat ? Que dira le Conseil constitutionnel ?

Ces deux instances feront-elles semblant de ne pas voir la discrimination manifeste et l’inégalité politique introduites dans la loi par cette disposition recueillant l’opinion favorable de la Licra ; rappelons que cette officine s’était positionnée contre George Bensoussan ; elle le poursuivait pour « racisme » pour des propos qui ne l’étaient pas ; rappelons aussi qu’elle avait aussi poursuivi, aux côtés de la secte des frères musulmans (en la personne du CCIF), des maires ayant pris des mesures d’interdiction du burkini sur les plages de leur commune.

Pour les amendeurs de l’assemblée nationale, ceux des maires condamnés seront-ils visés par l’interdiction introduite par la nouvelle loi ?

Pour nous résumer, une mécanique totalitaire est mise en route

Cette mécanique vient compléter le putsch judiciaro-médiatique destiné à faire élire un homme ne disposant du suffrage que de 12% des électeurs, mais obtenant 303 élus par la grâce du « front » ou du désistement « républicain ».

Cette mécanique tyrannique vise à juguler l’opinion

Elle vise à dissoudre les vieilles nations et leur culture qui ont produit la démocratie politique. La démocratie politique et tout ce qu’elle sous-tend devraient céder le pas face à la réaction fanatique et à des croyances réclamant de devenir dogmes obligatoires pour tous et pour chacun.

L’antisémitisme est un pur prétexte

L’homophobie en est un autre. L’objectif n’est autre “que” la mise en œuvre du processus d’Istanbul.

Szyja Waldman




La Licra est complice d’une lente fascisation de la France

La Licra vient de trouver un moyen, pour effectuer la normalisation de la représentation politique française : « l’inéligibilité pour cause de délit de racisme. »

Sachant qu’avec l’aide de la Licra, et de quelques officines peu ou prou liées à la secte Al Bâna, la définition du racisme a évolué : (que) le « racisme » est devenu un mot-valise recouvrant l’exigence de l’Organisation de la conférence des États islamique, à savoir que :
– critiquer l’islam est islamophobe, ce serait « raciste »;
– mettre en doute Mahomet est islamophobe, ce serait raciste;
– critiquer la charia est islamophobe, ce serait raciste;
– dénoncer le djihadisme, en tant que partie parmi d’autres de l’action islamique depuis des siècles et dans différentes parties du monde est islamophobe, ce serait raciste.

En d’autres termes, l’idéologie, les mythes et les croyances coraniques ne doivent pas pouvoir être considérées comme les croyances, les mythes et les idéologies juives, chrétiennes, animistes, bouddhistes, les conceptions et les convictions matérialistes (athéisme) ; l’idéologie, les mythes et les croyances coraniques doivent être placées au-dessus de toute réflexion libre et de toute critique les concernant : douter de l’historicité de Bourak, l’animal fabuleux ailé à corps de cheval et tête de femme, douter que le fondateur de l’islam se soit envolé sur cet être fantastique que personne d’autre que son cavalier de circonstance n’a jamais vu, ce serait islamophobe, ce serait raciste… On sait que c’est cette croyance-là qui permet à l’islam de se déclarer légitime et seul propriétaire du mont du Temple à Jérusalem, puisqu’en effet, selon la croyance, MHMD aurait attaché cet animal étonnant au mur occidental du Temple de Salomon-Hérode (le Kotel), ce qui en ferait un lieu saint musulman et seulement musulman ; ce qui ôterait toute légitimité à la présence juive et abolirait le passé juif du lieu.

Grâce à la Licra, douter de la croyance en Bourak serait du racisme ; cette croyance placée hors de toute possibilité d’examen critique débouterait les Juifs de toute prétention sur le lieu, sauf à vouloir tomber dans le « racisme » et, en France, exposerait à des poursuites et à l’inéligibilité.

Pour dire les choses autrement, la réflexion au sujet d’un lien possible entre islam et tueries à répétition, en France, en Angleterre, aux USA, en Allemagne, en Belgique, en Égypte, au Soudan, en Somalie, au Kenya, au Nigeria, au Cameroun, en Tunisie, au Maroc, en Syrie, en Irak, aux Philippines, en Israël, en Indonésie, au Pakistan, en Afghanistan, en Espagne, cette réflexion ne devrait plus être une opinion mais un délit de racisme. Voici la dernière trouvaille de la Licra, pour bâillonner la population et ses représentants.

En clair, la Licra a pris le parti d’imposer la dhimmisation de la représentation politique en France, comme moyen de dhimmisation générale des consciences, par une définition étendue du délit de « racisme » débouchant sur l’inéligibilité.

En clair, la Licra, qui ose encore se dire « antifasciste », se fait le promoteur d’une fascisation lente, en imposant une camisole de force à la pensée, pour mieux l’étouffer et la faire définitivement disparaître.
Si le fascisme idéologique de la nouvelle tocade de la Licra est odieux et grotesque, il n’en demeure pas moins qu’il est là, qu’il est dangereux, que même si le nouveau président et son équipe ne soumettent pas à la future assemblée le vote de cette proposition de loi liberticide, il se trouvera bien quelque juge et procureur pour considérer que le droit doit évoluer, que la doctrine juridique de l’antiracisme -enrichie par les réclamations fanatiques de l’OCI- exige cette amputation majeure imposée à la liberté de conscience et d’opinion.

Si l’on ne repoussait pas totalement cette grotesque exigence, -à côté de la limitation fondamentale de la liberté de penser qu’elle induit-, la normalisation, -imposée aux Tchécoslovaques entre 1969 et 1975-, apparaîtrait comme une simple et toute petite entorse au code gouvernemental de bonne conduite démocratique…

Szyja Waldman




Juppé voulait interdire au peuple toute critique de la Justice

Épilogue ? En tout cas, fin du premier acte, dimanche après-midi. François Fillon n’a pas capitulé. Victime choisie des putschistes macrono-juppeistes, il ne lâche pas prise.
Des « rats » quittent son navire, me direz-vous. Ils s’en vont courtiser, qui Macron, qui Juppé qui fait encore sa coquette – disposant d’un bon matelas de signatures de maires alors qu’il n’était pas officiellement candidat. Il sera intéressant de regarder les appartenances et les dates de ces parrainages non sollicités, si cela est légalement possible.

Depuis hier après-midi, Juppé s’est déclaré non-candidat : «  c’est trop tard »… Après ce non-cadeau de sa personne, Alain Juppé, – virant lui aussi à Machiavel-le petit -, y est allé de son coup de griffe, reprochant à François Fillon : d’avoir parlé « d’assassinat politique ».

Ce faisant, François Fillon tomberait, et c’est très mal et irresponsable selon lui, dans le « complotisme » ; parce que tout est normal dans ses malheurs judiciaires ; tout est normal, quand un procureur met en route une procédure contre un candidat qui est le candidat qui a toute chance d’être le nouveau président, le lendemain de la publication d’un article par un journal satirique, pour des faits prescrits.

Parce que c’est normal que la police descende, pour ces faits-là, perquisitionner l’appartement de ce candidat ; parce que c’est normal que l’homme donnant le grain à moudre au journal satirique soit un condisciple et un proche d’un autre candidat ayant lui les faveurs des médias et de plusieurs ministres du parti gouvernemental, et que la veille de sa venue chez le journal satirique ce délateur soit passé par l’Élysée ; parce que c’est tout à fait par hasard que le procureur, étonnamment réactif à une information parue la veille, soit par ailleurs le bénéficiaire d’une récente nomination par son ancien ministre devenu porte-parole d’un des candidats…

Parce que c’est normal que ce Coincoin, autoproclamé hebdomadaire satirique à prétentions investigatrices, ne soit pas encore allé investigué à Versailles, à la « Lanterne », une résidence présidentielle ou fiston Royal-Hollande invitait des potes autour de la piscine et à rester, en toute modestie, à dormir aux frais de la gueuse.

Bref, pour Alain Juppé, tout ceci n’est qu’accumulation types Prévert, – de pures coïncidences sans rapport entre elles -, et il faut avoir le cerveau dérangé d’un « complotiste » pour y trouver de curieuses et étranges relations et surtout, prendre l’initiative de critiquer l’institution de la justice, en s’interrogeant sur les motivations de ceux des magistrats (un procureur et un juge) qui selon François Fillon s’acharnent contre lui et son épouse.

Une observation au passage :
Le juge de l’affaire d’Outreau n’a pas été sommé de s’expliquer ?
N’est-il pas passé devant ses Pairs, pour répondre de décisions judiciaires qui ont brisé des dizaines de familles innocentes ?
S’interroger et marquer alors son désaccord avec ce juge débutant, était-ce être « complotiste » ?
Pour Alain Juppé oui.

Une observation ici : Ce reproche et cette soumission inconditionnelle au judiciaire ne doit-il pas nous mettre en garde contre sa conception de la démocratie ?
La séparation des pouvoirs, selon Montesquieu, ne signifie pas qu’un des pouvoirs, le judiciaire, soit placé au-dessus de la critique et de l’avis des citoyens qui – selon lui et, plus tard, les démocrates de 1792 – doivent rester souverains. Mais pour Alain Juppé, le pouvoir non-électif des juges doit toujours rester placé hors de portée de l’avis et de la critique populaire.

Etait-ce avoir l’esprit dérangé et mettre illégitimement en cause les institutions, – des institutions sacrées selon lui -, que de s’interroger dans cette affaire ?
Si nous suivons ici la critique féroce d’Alain Juppé : Clemenceau et ses amis n’étaient que des complotistes, ils refusaient le jugement rendu contre le capitaine Dreyfus… Ridicule, grotesque, lâche et irresponsable, la pitoyable argutie d’Alain Juppé.

Nous aurons encore des surprises

Le machiavélisme du putschiste en chef déroule les anneaux d’un jeu complexe, bien trop alambiqué pour que des comparses, juges ou journalistes ne se prennent pas les pieds :
l’indulgence judiciaire pour le couple Macron-Bayrou cessera-t-elle, et si oui, quand ?
Madame de Sarnez va-t-elle être appelée devant les juges pour répondre, elle aussi, pour son « attaché parlementaire européen » travaillant au siège parisien du Modem ? Apparemment pas, d’autant que la délatrice fait partie du staff de campagne Macron-Bayrou.

L’argent de poche, pour frais de bouche, finançant le mouvement du sieur Macron, des fonds du ministère des finances, ne donnera pas lieu à réprimandes publiques ?

Tout cela vire à la comédie sinistre

Personne n’est dupe, n’en déplaise aux bourreurs de crânes des médias publics et privés. De plus en plus de citoyens se rendent compte que les irréprochables assassins politiques de Fillon baignent eux-mêmes dans un jus saumâtre d’emplois fictifs, de sinécures et d’autres motifs à largesses publiques.

Refusant la candidature du « plan B », Alain Juppé donne à François Fillon un coup de pied de l’âne. Il fait sa modeste… pour camoufler sa piteuse capitulation devant un coup de force judiciaire contre les élections d’avril 2017 et contre l’alternance démocratique.
François Fillon n’a pas cédé. Marine Le Pen a envoyé paître les juges…
François Fillon a défié les irréprochables, des hommes et des femmes dont les juges refusent encore de regarder et examiner de près les turpitudes.

Une marée humaine de dizaines de milliers de gens simples est venue dire la réalité démocratique de la primaire de la droite, renvoyant Juppé-Sarkozy à leurs fourneaux ou à la rédaction de leurs mémoires. Ce qui ne les empêche pas de mitonner de petits plats épicés pour confisquer et éliminer les effets de la souveraineté populaire déclinée dans les quatre millions de voix de la primaire investissant François Fillon. Au demeurant, ils sont fidèles à eux-mêmes, agissant ici comme après le refus massif et majoritaire du traité constitutionnel européen.

Les putschistes macrono-juppeistes veulent passer par-dessus la volonté populaire, au moyen de la judiciarisation des élections

Répétons-le : Ils veulent passer par-dessus les primaires qu’ils ont organisées, comme ils ont fait avec le référendum et le vote contre le traité constitutionnel européen, besognant comme s’il n’avait pas eu lieu, puis comme si le Brexit lui aussi n’avait pas eu lieu.

Des démocrates, je vous dis, mais ce sont des démocrates qui donnent au mot démocratie un sens absolument opposé à celui que les Grecs lui ont donné. On comprend au passage l’intérêt politique qu’il y a à ne plus enseigner le grec au lycée…

Si les élections d’avril devaient consacrer le succès des putschistes, éliminant par une machination journalistico-judiciaire la majorité politique existant dans le peuple depuis la seconde année de l’actuelle présidence, nul doute que la France serait grosse de quelque chose ressemblant, dans ses fondements, au 21 août 1792. Il ne s’agira pas là du petit jeu de collégiens et d’étudiants gauchistes harcelant la police, le jeu politique appelé « provocation-mobilisation… ». Là, il s’agira du Peuple lui-même, du Peuple souverain, du Peuple redressé et s’avançant de manière irrésistible. Il ne s’agira pas d’une « révolution arabe » à Paris, mais d’un second juin-juillet 2013 égyptien, dans toute la France.

À jouer avec le feu, on se brûle
Peut-être que parmi les slogans populaires on entendra alors : « à la lanterne !».

Szyja Waldman




Vont-ils oser nous ressortir Juppé ?

Après avoir fait semblant de vouloir respecter la primaire de la Droite, Alain Juppé, le compagnon de route des frères musulmans, le Clinton Hillary version bordelaise, joue encore à celui qui ne sait pas encore s’il va planter sa petite banderille dont ses supporters espèrent la mort politique de François Fillon en tant que présidentiable.

L’homme Fillon ne se laisse pas intimider par la cabale lui reprochant des faits non illégaux ; faits qui, s’ils étaient illégaux, seraient prescrits et ne pourraient donner lieu à poursuites légales.

Le matador Juppé n’aime pas trop la corrida si elle l’oppose à une victime qui ne veut pas se laisser saigner, sans porter des coups de cornes qui pourraient bien assurer sa victoire électorale et amener dans quelques mois des sanctions professionnelles graves pour les magistrats s’étant prêtés à une pure manipulation politique de l’opinion.

Ce matin, les médias bruissaient à ce sujet

Par contre, le silence se fait toujours plus épais concernant les confidences livrées au public par l’ancien ministre Corinne Lepage. Pour les médias officiels et officieux (le comique troupier Cambadélis, Coincoin débridé, médiapart, le Monde, Libération, Ouest France…) le public ne doit pas savoir. Le public doit ignorer le plus longtemps possible : que ce qui est reproché aux uns (emploi fictif) n’est pas reproché aux autres (Madame de Sarnez et son chef, Bayrou uni désormais à Emmanuel Macron, Hamon…).

Il n’est pas certain que les juges puissent tenir jusqu’au bout cette ligne judiciaire du deux poids deux mesures ; une ligne judiciaire qui ramène à un ancien régime empiré ; une ligne judiciaire qui fait de l’un un coupable devant renoncer à venir devant les électeurs, tandis que les autres sont -pour les mêmes faits, voire de pires faits- des innocents tout à fait aptes à être candidats et à ambitionner être élus.

Il n’est pas certain que, malgré une surdité volontaire, procureurs de la république et juges ne se retrouvent pas obligés d’examiner les faits publiés par Corinne Lepage et mettent ainsi le tandem Macron-Bayrou dans la situation de François Fillon et de Marine Le Pen.

La même incertitude plane aussi au-dessus de la tête de ce brave Hamon, en dépit pour lui aussi de la mansuétude des juges, des médiapartistes et autres relais, en France, de Georges Soros et de la clique stalinoïde de l’Open society.

C’est, me semble-t-il, cette incertitude qui détermine l’Elysée et quelques autres à pousser le pion Juppé, un pion destiné à réaliser un nouveau miracle de l’opportunisme politique sans principe : unir droite et gauche contre Marine Le Pen au second tour de l’élection présidentielle et recommencer 2002 avec Alain Juppé tenant le rôle de Jacques Chirac.

Jusques à quand ces manœuvres et ces basses œuvres vont-elles avoir prise sur les événements ?

Szyja Waldman 

 




Fillon-Marine : nous assistons en direct au déroulement d’un coup d’Etat socialiste



Depuis que Manuel Valls a été écarté par la primaire organisée tambour battant par l’appareil cambadéliste de l’agonisant parti d’Epinay, les choses politiques ont pris une tournure qui n’est pas sans rappeler ce que vécurent à la fin des années quarante les futures « démocraties populaires ».

Après la « victoire » de l’inéligible compagnon de route du Hamas et du Fatah, monsieur Hamon, la machine politique étatique a mis en route d’étranges mécanismes judiciaires. L’objectif manifeste de cette judiciarisation du processus électoral : mettre en place des élections présidentielles privées des leaders d’envergure aptes à vaincre les candidats de la machine bureaucratique cambédélienne.

1° C’est ainsi qu’un condisciple d’Emmanuel Macron, après avoir été reçu à l’Élysée, s’en est allé tout à fait naturellement, de manière spontanée, livrer au Coincoin débridé les « turpitudes » de François Fillon. On peut se demander comment il se faisait qu’il ne l’ait pas fait plus tôt, avant la primaire de la droite notamment?

2° Le lendemain (vingt-quatre heures) de ce scoop immédiatement publié, un procureur de la République – récemment nommé -mais ce n’est là encore qu’une pure coïncidence- par l’ex ministre Taubira (y voir autre chose, parce que cet ancien ministre est un soutien du candidat compagnon de route du Hamas et du Fatah, ne serait que malveillance bête et méchante enrichie de « racisme »)- sans plus tarder -le lendemain de l’information publiée par le coincoin débridé- a mis en route la machine judiciaire.

La machinerie politico-journalistique s’est ébranlée sans perdre de temps en procédure précautionneuses, bon diou ! elle s’est mise en vitesse de croisière ; elle s’est agrippée aux basques du vilain petit canard et de son épouse : ah ah monsieur Dumollet, alias Fillon, vous aviez cru vous asseoir dans le fauteuil élyséen au mois de mai ; les électeurs le voulaient ainsi, mais c’est raté ; sachez que nous, les médias, nous des juges, nous l’avant-garde consciente et « conscientisatrice » de la trop « nauséabonde » société française, nous en avons décidé autrement ; nous allons changer le cours des choses : le choix de 2012 va se poursuivre, coûte que coûte, même si cela ne vous plait pas, à vous autres électeurs ; même si vous n’en êtes pas d’accord, vous ne disposerez plus d’un autre choix.

La machine judiciaire aurait pu, en toute indépendance, vouloir que la représentation nationale devienne clean et que ce qui était une norme prescrite (du point de vue de possibles poursuites) ne soit plus légale. Mais pourquoi avoir attendu la visite à l’Elysée d’un condisciple de Macron ?
Si c’était une réelle et sincère volonté d’honnêteté et de transparence, ladite machine n’aurait-elle pas dû nommer un juge, pour examiner la situation de tous les candidats, leur histoire à chacun, leurs périodes personnelles de « salaire fictif » éventuel ou celles de leurs proches, en relation avec leur position politique ; elle aurait dû s’intéresser aux starlettes et aux journalistes non unies par la loi mais- façon mœurs mitterrandiennes- bénéficiant de largesses de la république : ce juge n’aurait-il pas dû aussi s’intéresser à tel fils de dame ministre, -elle-même ex épouse de monsieur moi-président-, disposant assez régulièrement de coûteuses résidences présidentielles pour lui et ses amis… la liste n’est pas exhaustive.

Dernier sur la liste depuis ce matin, la cinquième roue centriste du carrosse d’Emmanuel Macron, l’irréprochable Bayrou. Bayrou, cet atout du jeune homme dont certain disent qu’il est le véritable candidat de l’Elysée, risquerait de devenir une chaîne lourdement lestée l’entraînant vers le fond, si les juges et les médias raisonnaient de la même manière quel que soit le candidat.

Mais présentement, l’appareil judiciaire est utilisé pour fabriquer des élections non conformes à l’alternance voulue par le pays. La justice sait parfaitement que ce qu’elle reproche à François Fillon et à Marine Le Pen peut être reproché à d’autres candidats ; mais elle fait comme si ce n’était pas le cas. Il y a de ce fait, de bons et vertueux emplois fictifs, de bonnes et vertueuses utilisations de fonds publics à des fins personnelles ou politiques.

Je parlais ce matin avec un ami qui me disait : (que) dans cette affaire, la manière de fonctionner du procureur de la République et du juge qui a été nommé lui fait penser à l’ancien régime, au système de la lettre de cachet, aux caprices de l’arbitraire et du despotisme. Bref, nous serions revenus sous, me disait-il, un nouvel ancien régime, avec une restauration des pires traits de l’ancienne monarchie, avec un deux poids et deux mesures systémique devenu la règle admise par les médias et les juges.

Les magistrats vont-ils se laisser embarquer dans le deux poids et deux mesures manifeste ?
Cette connivence ne suffira peut-être pas à la victoire des putschistes : en effet, l’ancienne ministre Corinne Lepage explique, dans son livre « les mains propres », comment le Modem lui a demandé qu’un de ses assistants parlementaire au Parlement européen aille travailler au siège parisien du parti de François Bayrou. Corinne Lepage refusera cette exigence, mais pas Marielle de Sarnez
Question : si Marine Le Pen doit être poursuivie, pour une accusation d’utilisation de fonds européens destinés à payer un attaché parlementaire européen pour son activité au service du travail politique de son parti, hors du domaine de l’activité parlementaire européenne, Marielle de Sarnez ne doit-elle pas être poursuivie sans plus tarder, ainsi que le Président du Modem en sa qualité d’ordonnateur et bénéficiaire de ce délit ?

Si la justice est indépendante et impartiale : dans ces affaires, nous allons assister à de nombreuses mises en examen, tant à droite qu’à gauche. Présentement, il ne s’agit manifestement pas de cela, on n’a droit jusqu’à ce jour qu’à la traque de François Fillon et à celle de Marine Le Pen.

Le délit reproché aux uns n’est pas reproché aux autres

Bien qu’ils aient quelques casseroles trainant derrière eux, et pas des moindres, le PCF, l’appareil ex stalinien de la CGT, -dont on a vu dans les procès des Comités d’entreprise d’EDF et de la SNCF comment leurs apparatchiks ont géré les œuvres sociales… : sans complexe et pudeur, avec l’appui logistique des médias, ces irréprochables ont convié le bon peuple syndicaliste ou toujours « communiste » à venir ici et là protester, avec des casseroles musicales, pour accueillir François Fillon ou Marine Le Pen.

Mais des casseroles, ils en ont aussi, et de grosses, de très grosses. Jusques à quand les médias feront comme si ce n’était pas le cas ?

Après avoir mis en mouvement une machine – qu’on ne veut pas et que l’on ne peut plus arrêter sans se dénoncer soi-même comme un putschiste d’opérette- même si le pouvoir judiciaire n’a pas de fondement légal pour agir et mettre en examen, on continue, on s’obstine, on s’acharne, on dit ou on fait dire : la loi c’est une chose, l’éthique c’en est une autre… On remplace la loi, précisément définie par l’éthique qui est du domaine subjectif, parce que c’est une sorte de dix-huit brumaire du pauvre qui a été mis en route contre les libres élections présidentielles du mois d’avril prochain en cherchant à briser la candidature des deux candidats les mieux placés du point de vue des suffrages.

On a lancé l’hallali

On poursuit, on déchaîne la vindicte. On met en examen, pour des faits prescrits et non-délictueux ; on réclame des candidats mis en examen qu’il retirent leur candidature ; on leur réclame de laisser transformer les élections présidentielles en simulacre, en assassinat du vote libre, en coup d’état renouant avec les méthodes éprouvées du stalinisme des années 47-48 en Tchécoslovaquie, Hongrie et Roumanie.

Après le futur très probable président de la république candidat de la droite classique française, c’est la possible présidente, candidate du Front national, qu’il s’agit d’empêcher d’aller aux urnes, par le recours au putsch judiciaire accompagné d’aboiements en boucle de médias partisans et courtisans acceptant comme légitime le principe d’ancien régime du deux poids et deux mesures.
Cette fois, et pour cet autre adversaire possédant toute chance de se trouver en tête du premier tour, on a recours à l’appui stratégique de la bureaucratie de l’union européenne.

L’objectif est le même que contre François Fillon : au moyen d’un appareil judiciaire, on mène campagne médiatique pour déconsidérer l’adversaire et, si c’est possible, le rendre inéligible.
Chaque jour apporte sa nouvelle pierre, dévoilant un machiavélisme politique espérant interdire les élections démocratiques en les réduisant à n’être plus qu’une comédie grotesque, qu’une farce sinistre par l’élimination des deux candidats les plus représentatifs qui devaient se confronter en se retrouvant -eux et pas d’autres- au second tour de l’élection présidentielle.

Dernière minute : l’UE lève l’immunité parlementaire de Marine Le Pen, suite à des tweets hostiles à Daesch

Le Monde exulte, l’Union européenne, suite à une demande du Parquet de Nanterre, vient de lever l’immunité parlementaire de Marine Le Pen. Le crime de la présidente du FN ? Comparée de manière ignoble par Bourdin à l’Etat islamique, elle avait tweeté des images montrant la réalité des atrocités de ces djihadistes. Cela a suffi pour qu’elle soit, comme le fut hier de manière grotesque Eric Zemmour, accusée d’apologie du terrorisme. Cela va-t-il devenir un délit de publier des images des camps de la mort nazi, et amalgamer à de la propagande hitlérienne ?

Et le journal Le Monde, dont le PDG, Pierre Bergé, soutient Macron, d’insister sur les 3 ans de prison qu’elle risque. Le locaux du FN en sont à deux perquisitions, le pouvoir socialiste verra-t-il le prétexte à en faire d’autres, et à multiplier les convocations de Marine Le Pen, qui a annoncé qu’elle ne s’y rendrait pas. Allons-nous assister au spectacle grotesque d’une arrestation de la candidate du FN, en plein meeting, pendant que nous y sommes ?

Oui, je pèse mes mots : nous assistons au déroulement d’un coup d’Etat.
Les Putschistes vont-ils réussir ?

Szyja Waldman




Ils espèrent faire taire les mal-pensants du net avec 135.000 euros d’amende

Cazeneuvevallshollande

La faute morale se drape fréquemment dans la toge de la vertu. C’est le cas encore, avec la traque à la « fausse information » sur le Net ; résultat : cent trente cinq mille euros d’amende (135.000). Voici à quoi s’expose l’imprudent internaute véhiculant une information qui l’inquiète mais pouvant s’avérer inexacte, si cette information, -non confirmée ou non-prouvée-, concerne les actions, les projets ou les intentions du pouvoir en place.

En d’autres termes : les intentions gouvernementales doivent devenir taboues. Il doit être interdit d’avoir une opinion défavorable sur des projets gouvernementaux, tant qu’ils sont projets…
Pour les hommes et les femmes asservis à la bureaucratie irresponsable, les lanceurs d’alerte doivent être poursuivis, impitoyablement, et châtié sévèrement.

De quoi s’agit-il, concrètement : la dénonciation d’un projet ministériel, abandonné ensuite ou pas mais critiqué publiquement avant ou pendant son abandon (abandon dont le vulgum pécus ne sait le plus souvent rien), deviendrait désormais un délit grave… un délit de « fausse information ».
Ce serait un délit aggravé, si l’alerte trouvait un écho dans la population, « troublant ainsi l’ordre public »…

« Nous avons les moyens de vous faire parler ! », disait Papa Schulze, dans son rôle d’officier de la Gestapo, dans le film avec notre « BB nationale », Babette s’en va-t’en guerre.

Nous avons les moyens de vous faire taire, de vous faire subir en silence et vous devrez tout accepter : viols, attaques au poignard ou à la voiture bélier (comme il vient d’arriver à deux surveillants de maison d’arrêt), attentats, bouts de dictature de la charia -comme il règne dans les foyers pour migrants en Allemagne et dans certaines maisons d’arrêt en France-… Un tribunal d’exception sera notre instrument, disent nos puissants du moment.

L’objet de ce tribunal spécial : traquer et juger ce nouveau délit, ce nouveau crime particulièrement inacceptable, celui de… « Refus de l’immigration », musulmane, rajoute-ton en haut lieu.
La sauce utilisée et largement tartinée, pour faire passer le l’arrière-goût de tyrannie et de traque policière, « l’antiracisme ».

Ah, l’antiracisme !!!

Le mot antiracisme est ainsi mis à nouveau à contribution, pour réprimer ; il est devenu comme le mot socialisme, lorsqu’il était mobilisé à tout bout de champ dans les démocraties populaires et en URSS, pour protéger la domination inégalitaire et totalitaire de la bureaucratie, pour servir de justification aux pires répressions et à l’oppression permanente.

Le contenu de cet « antiracisme » : obliger à dire que les viols en masse organisés doivent être excusés, supportés sans réagir, sans vouloir se préserver !

Le contenu réel de cet « antiracisme », de cette idéologie frelatée, c’est aussi de dire et faire dire : que les incendies de voiture, sur les parkings des cités Hlm, ne sont que manifestations et protestations de créatures souffrantes !

L’objectif affiché par nos ministres de la justice, allemands et français : traquer, réprimer, tous ceux s’exprimant sur les réseaux sociaux pour dire, à l’inverse : les gars, les filles, ça ne va pas ; ils sont fous là-haut ; ils veulent nous livrer à la vindicte et à la violence d’éléments ne rêvant que de plaies et de bosses au nom de leur religion placée au-dessus des lois démocratiques et mêmes en opposition radicale à des principes civilisateurs humains, admis depuis des millénaires chez les peuples aborigènes.

Taper dur, au porte-monnaie, pour commencer

Les dogmes du système de la bureaucratie européenne, conjugués à ceux de la dame Merkel, doivent devenir obligatoires, prétendent-ils.

Qui osera marmonner contre eux, sera puni, sévèrement puni, ruiné, chassé de son logis

À celui qui osera parler fort, en plus en le faisant sur les réseaux sociaux, on enlèvera le goût du pain et l’envie de continuer à dire qu’il n’est pas d’accord.

C’est pourquoi, le projet, préparé par les équipes des ministres allemands et français de la justice, prévoit de taper fort, très fort, financièrement, pour commencer. Ensuite, comme pour l’auteur du « concile d’amour » qui avait critiqué la religion catholique, au début de la seconde partie du 19ème siècle, se retrouvera confronté aux foudres de la justice bavaroise, ce sera l’emprisonnement. En plus, parce qu’on est en France taubirisée, l’impertinent recevra, en prime, le quotidien de la tôle régie par la loi des caïds prodjihadisme…

Dans cette France victime d’un processus totalitaire : il faudra d’abord ruiner les impertinents, avant que de, dans une seconde étape, rouvrir quelque variante europoïde du Goulag.

Szyja Waldman




Bartolone rêve d'exporter le 9-3 dans toute l'Ile-de-France encore trop blanche

bartoloneLe président Bartolone persiste et signe. C’est en creux, que Valérie Pécresse défend la race blanche, Neuilly et Versailles, continue d’affirmer le candidat du PS et des écologistes pour l’île de France, des écologistes à l’antisémitisme féroce militant encore à EELV.
Ce sont trois crimes abominables ! Les paroles non formulées, les paroles en creux, de la candidate Valérie Pécresse.
La formule utilisée ici, «Pécresse dit en creux », permet de prétendre et d’accuser, – sans éléments  de faits -, d’avoir dit ceci ou cela, sans le dire, parce qu’elle voulait le dire, parce qu’elle le pensait, même si elle ne l’avait pas dit et qu’elle ne le dit pas.
On est devant le plus parfait exemple d’une casuistique jésuito-Vychinskienne, à 1000%.
Au-delà de la candidate LR, c’est tout un chacun qui est menacé. Nous sommes tous dans le collimateur de nouveaux Big Brother : Claude Bartolone nous fait entrer, de plein pieds, dans l’ère des procureurs de tribunaux « populaires » ; vous savez, ces tribunaux qui vous envoyaient, si vous aviez échappé à la fusillade ou à la pendaison immédiate, dans les LaoGaï (les camps du vaste Goulag maoïste, où passeront des dizaines de millions de Chinois et où beaucoup laisseront la vie; des camps où l’on vous apprenait à vous dénoncer vous-même, sans discontinuer, et à rabâcher jusqu’à oublier sa pensée et croire au credo de « l’homme nouveau » entièrement soumis « au parti », c’est-à-dire à son chef infaillible et à « la pensée Mao »).
Devenait, vérité irréfragable et interdit de critiques ou questionnement, chaque slogan simpliste et totalitaire du stalinisme à la chinoise. C’est ce genre d’exercice politique auquel vient de se livrer le président de l’Assemblée nationale. C’est grave, c’est très grave !
Pas mal de chefs et de petits chefs et sous-chefs du parti du président Bartolone ont avalé, avec délectation, et tenté de faire passer pour le nec plus ultra du progrès humain le totalitarisme maoïste, – une idéologie qui fit couler des flots de sang humain et écrasa toute pensée personnelle.
Si l’on garde cela en mémoire, on comprendra plus aisément l’incroyable indulgence dont la clique gouvernementale et ses commensaux font preuve envers les tenants du totalitarisme de la charia mahométane et les assassins membres des Tcheka de l’Etat islamique (Daesh).
En ne se démarquant pas de ces procédés totalitaires, reviennent-ils vers cette utopie criminelle, dont les Chinois cherchent à se débarrasser définitivement comme les Russes se sont débarrassés définitivement de sa matrice lenino-staliniste ?
A l’opposé du crime en « creux » de Valérie Pécresse, quel crime en creux ou en plein commet-il, notre candidat ?
Il n’aime pas la race blanche. Ça se voit, et il le dit avec force, en bon élève du « think tank » Terra Nova : la « race » blanche, elle mérite de périr ; défendre son simple droit d’exister, paisiblement, devient un délit grave, devient un délit « raciste ».
Que les non-blancs veuillent faire disparaître les blancs, ce n’est pas raciste, c’est une simple opinion.
La preuve, le tout récent jugement de la Cour d’Appel.
Que des blancs ne veuillent pas disparaître et moins encore subir outrages et violences : ça, ce n’est pas une opinion, ça, c’est raciste !
Voici le dogme ! Voici la nouvelle vérité obligatoire.
Lui, sa tasse de thé, à notre présentement président de l’assemblée nationale, ce n’est pas l’actuelle majorité « blanche » vivant dans ce pays, majorité « blanche » dont les aïeux et les parents l’ont fait, avec tout ce qu’il a produit, socialement, économiquement, culturellement, scientifiquement. Il aime autre chose, et il nous dit ici qu’il y a intérêt à penser comme lui, sinon…. ça va barder !
C’est son droit de penser, et même de proférer, des absurdités.
Mais son droit, il en use et prétend en abuser, en interdisant toute autre opinion que la sienne. C’est là où ça coince. C’est cela qui risque de provoquer un retour de bâton…
Szyja Waldman




Lynchage Morano : les faits sont racistes !

NadineMorano2

Depuis les lignes ci-après, -écrites au sujet de Nadine Morano, en réaction immédiate au lynchage répondant à ses affirmations d’évidence-, une lourde machinerie s’est mise en route pour l’écraser ; cette machinerie est destinée à broyer l’impertinente déclarée raciste.
http://ripostelaique.com/les-vrais-racistes-sont-les-detracteurs-de-nadine-morano.html
Il faut déjà l’étouffer, parce qu’en plus de ne pas se soumettre au dogme devenu obligatoire, elle a osé persister dans « l’erreur » ; elle a continué d’affirmer, sans baisser casaque, avec courage, face à la meute, ce qui n’était que des faits et rien que des faits.
Un personnage, (l’ancien président de l’OM, s’exprimant dans le quotidien « Le Monde ») fait, à ce propos, dans le grotesque ubuesque doublé du vychinskien le plus pur : il assimile les propos de Nadine Morano à « l’idéologie brune » (le nazisme), qui constituerait un danger pas moindre que « les djihadistes et leurs complices ».
Bientôt, nos Vychinski convoqueront des assemblées ; ils y feront voter des motions réclamant le châtiment le plus sévère des « racistes ».
Les faits doivent avoir tort… les faits sont « racistes », veut-on nous faire admettre
Comme Galilée – que l’inquisition du Saint-Office obligera à se renier, en renonçant à dire que la terre était ronde et tournait autour du soleil, l’inquisition politique et journalistique de 2015 veut imposer de dire des Français qui ont en plus de quinze siècles fait ce pays : non, ce n’étaient pas des blancs ; non, ce n’est pas une nation formée d’une population devenue judéo-chrétienne il y a plus de quinze siècles -après avoir renoncé au chamanisme et au druidisme- qui a, dès 1352, inventé la démocratie politique moderne.
Cette population, dont il serait désormais criminel, « raciste », de dire qu’elle était blanche, rendra réelle la démocratie politique moderne, avec ses Grands Etats généraux formés de 800 députés élus représentant toutes les classes sociales du pays qui devenait la France. Elle formulera des exigences fiscales, politiques, militaires, que la majorité des nations d’Europe de la seconde moitié du 19ème siècle n’osaient pas encore envisager comme pouvant devenir leur quotidien.
La nouvelle inquisition veut ériger en crime raciste le simple fait de dire : que le petit peuple des sans-culotte – gens modestes, ouvriers, artisans, petits bourgeois, qui prirent les armes et la Bastille le 14 juillet 1789, qui s’emparèrent du Palais des tuileries et proclamèrent dans le même temps la République le 21 août 1792, la Première République Française- était formé de personnes toutes de couleur blanche. Non, il ne convient pas de le dire, ce serait raciste !
Le rappeler, voire simplement le mentionner, exclurait de la nation française les autres populations (noires, métissées) venues se greffer sur l’arbre français en adhérant à la République. Le procédé est grossier, mais il marche ; enfin il marche…auprès des médias et des politicaillons*1.
Serait raciste aussi de dire : qu’ils étaient les fils et les filles de Vercingétorix et des tribus gauloises, parfois mêlées aux Ibères (d’autres « blancs ») ou au Vascons (les basques, d’autres « blancs » encore d’origine ouralo-altaïque ou finno-ougrienne probablement), conquis d’abord par les Romains des légions de César (encore des « blancs ») puis par les tribus germaniques (toujours des « blancs »), dont ces Francs qui reconstituèrent un ensemble politique après l’effondrement de l’empire romain et se formeront en classe dirigeante, dans ce pays qui deviendra la France, en y devenant la noblesse d’épée, la chevalerie pour laquelle la littérature produira force poèmes et romans.
Mais il y a peu, tous les accusateurs de Nadine Morano versèrent des larmes, sur le sort de l’antique Palmyre dont les ruines ont été traitées au bulldozer et à l’explosif par Daesh.
Ici le bulldozer de la censure, destinée à effacer le passé de notre pays, n’est encore que verbale ; il vise à l’interdit professionnel, à l’ostracisation, précédée de condamnations morales multiples, il invite à couvrir d’injures le « coupable ».
On accuse et on déclare « raciste », en 2015, comme en 1936-38, comme en 1952-53, on déclarait contrerévolutionnaire, comme on décrétait trotskiste ou zinoviéviste, comme on accusait d’être agent de l’impérialisme, comme on qualifiait celui dont on voulait se débarrasser d’être « personnage douteux et individu à double face », « élément bourgeois dégénéré », « nationaliste réactionnaire liée aux débris des vieilles classes exploiteuses » ; plus tard on créera le crime des crimes, celui d’être un « sioniste » ou un « cosmopolite », dans l’Urss de Staline, dans la Chine de Mao ou dans la Corée du nord de la dynastie des empereurs « communistes », dans le Cuba des dynastes Castro, en Albanie d’Enver Hodja… Ce seront les procès truqués de Zinoviev et Kamenev (procès de Moscou) et de tant d’autres, de Rudolf Slansky (Procès de Prague) et de László Rajk (procès de Budapest).
C’est dans cet arsenal inquiétant que les inquisitions modernes, que nos chroniqueurs « d’on n’est pas encore couché » et que nos « Yazid » pétitionnaires, ou que nos lâches chefs de l’UMP devenue « les républicains », que tous les adorateurs de la dhimmisation, vont rechercher et puiser les arguments, le mode de raisonnement et la volonté d’ostraciser et frapper de mort morale à défaut de pouvoir exécuter d’une ou plusieurs balles dans la peau.
Ils accusent, ils sermonnent, ils réclament, ils exigent des sanctions
Ils exigent la mort politique. Peu importe les faits. Les faits risquant de déplaire aux idéologues de l’expansion de la « diversité » et à ceux qui réclament son hégémonie ; alors les faits doivent disparaître, les faits doivent être traités comme fut traitée l’astronomie selon Galilée, revenant aux racines grecques du savoir (Ptolémée, un autre « blanc ») ; les faits doivent disparaître !
Mentionner les faits doit être sanctionné : c’est un délit de racisme
Je lisais, ce matin, l’interview d’un jeune homme de Pontoise. Il fait partie de ces militants de l’action catholique qui, à Cergy-Pontoise, se dévouent quotidiennement à l’accueil des « migrants » syriens et irakiens. Il mentionne des « tensions entre chrétiens et musulmans », mais le journaliste ne lui pose aucune question à ce sujet ; serait-ce déplacé ; serait-ce « cliver » (un autre crime en 2015) ? Aucune comparaison ou rapprochement n’est effectué avec les graves évènements allemands, avec les brutalités constatées et dénoncées par des migrants victimes ou des prêtres s’occupant de réfugiés, avec les fréquentes persécutions en Allemagne (dans les centres d’accueil pour migrants) de chrétiens (Assyro-Chaldéens) et de Yezidis ; persécutions provenant d’éléments sunnites imposant autour d’eux une hégémonie religieuse absolue ouvertement revendiquée (« là où nous sommes, la sharia règne ») antagonique aux valeurs, de liberté de conscience et d’expression de l’opinion, construites par les peuples « blancs » d’Europe.
Quant à l’importation de l’Etat islamique, -pour commencer, dans les centres d’accueil en Allemagne-, pas question d’en parler dans les médias français et moins encore dans le petit monde politique français en voie de défrancisation.
Pangloss préside à tout ce qui a trait à la question dite de la « crise migratoire », jusques à quand ?
Szyja Waldman
*1 Les politicaillons sont ces pseudos démocrates, ces pseudos antiracistes, raisonnant selon le principe d’une comptabilité en partie double : ils admettront dans leur sein les doctrinaires racialistes qui ont dévoyé la négritude de Senghor, Césaire, Gontran-Damas, racialistes qui mènent une guérilla destinée à obtenir que les manuels scolaires aux Antilles ne parlent plus de « nos ancêtres les Gaulois, mais ils feront une chasse féroce à celui qui continuera d’être fier des dizaines de générations qui ont fait ce pays, qui l’ont construit et en ont fait un exemple positif pour les autres humains.
Pour cela, nier la fierté française, le Mémorial de Pointe à Pitre, consacré à l’esclavage et à la traite négrière, ne dit pas un mot du décret du 27 avril 1848 abolissant définitivement et totalement l’esclavage, interdisant aux Français de s’y livrer, directement ou indirectement, même dans un pays où il resterait légal, sous peine de déchéance immédiate de la nationalité française. La nationalité française est incompatible avec le trafic esclavagiste. Ce qui implique de déchoir de la nationalité française toute personne dont il est établi qu’elle est partie rejoindre Daesh, Boko Haram, les Jenjawid… entités sanguinaires fanatiques toutes organiquement esclavagistes
Nos ancêtres, disent-ils, les amis noiristes de nos politicaillons : ce sont, ce ne sont que, les esclaves déportés depuis l’Afrique. Nos ancêtres ne sont pas les esclavagistes… Nous sommes noirs, nous ne sommes pas des descendants de Gaulois se retrouvant en zone caraïbe. Les dix mille pétitionnaires (des « blancs »), dont une délégation fut reçue par Guizot, premier ministre, en 1847, qui réclamaient l’abolition immédiate de l’esclavage, il n’y a pas lieu d’en être fiers ? Les milliers d’ouvriers parisiens qui, en 1847 toujours, réclameront « liberté pour nos frères noirs », c’étaient des ouvriers blancs, ils le savaient et ils considéraient les esclaves noirs comme leurs frères.
N’y a-t-il pas lieu d’être fiers de ces Français ?
Quel pays peut-il s’enorgueillir de tels hommes, se trouvant dans toutes les classes de la société, génération après génération, depuis le combat de l’Abbé Grégoire et la société des Amis des Noirs, les votes de la convention, le décret impérial de mars 1815, en passant, bien avant, par l’édit royal de Louis X le Hutin (1315) ?
Quel pays a produit de tels hommes et femmes, de telles décisions légales, j’attends une réponse.
Combien de fois n’a-t-on entendu ce qui est un slogan noiriste (au sens que le mot a pris avec la dictature de Papa Doc et le macoutisme) ?
On continue régulièrement à entendre cela, « non, les Gaulois ne sont pas nos ancêtres ! », sur les antennes, -et à le lire dans la presse-, sans qu’aucun journaliste ne le relève, sans qu’aucun anthropologue ne fasse observer que rares sont les Afro-Antillais n’ayant pas les gènes d’un Français.
Blanc dans leurs patrimoines génétiques, sans qu’aucun chroniqueur d’émission nocturne ne s’en offusque.
En d’autres termes, la France métissée qu’il veulent bâtir c’est d’abord une France d’inégalité dans l’expression autorisée des convictions et des croyances ; c’est une France construisant un apartheid, à partir d’un système discriminatoire, donnant aux uns le droit de revendiquer ses racines africaines et noires, ou ses racines musulmanes (il seront même chaudement applaudis pour cela), tandis que celui ou ceux qui revendiqueront leurs racines gauloises, romaines, franques, burgondes, alamanes, magyares ou hunides, leurs racines spirituelles chrétiennes, judéo-chrétiennes, seront sifflés, conspués, objets de dérision, de pétitions, et même de sanctions pour délit, pour crime… de racisme.
Pour les uns, les racines, c’est noble, pour les autres, les racines, c’est scandaleux.
Deux poids et deux mesures, ou la construction d’un apartheid à « l’européenne »…
 




Les vrais racistes sont les détracteurs de Nadine Morano

Vercingetorix

Vercingétorix était-il blanc ou noir ?

Pour avoir cité le général de Gaulle, – qui rappelait des vérités objectives de l’Histoire de ce pays, la France, concernant ses racines humaines et sa culture-, Nadine Morano a été l’objet d’un lynchage. Elle se retrouve assimilée aux théoriciens de la suprématie de la race blanche germanique dirigeant le troisième Reich.
J’ai eu l’occasion de le faire remarquer, à plusieurs reprises : ce que l’on appelle aujourd’hui la « gauche » a adopté les comportements totalitaires du stalinisme ; les procureurs Vychinski pullulent ; il ne manque plus que les caves de la Lubianka.
Elle, « la dite gauche », n’examine plus les points de vue ou les affirmations, à partir des faits, mais en fonction des bornages obligatoires qu’elle a décidé d’imposer à tous, et qui doivent constituer les paradigmes non-discutables à partir desquels la pensée, si l’on peut encore parler de pensée, pourra se mouvoir comme une momie enserrée dans les bandelettes de l’idéologie obligatoire.
Revenons aux faits. En rappelant les racines blanches et judéo-chrétiennes de la France, Nadine Morano aurait mis ses pas dans ceux des théoriciens de la suprématie des Germains.
Le nouveau dogme de « gauche » ordonne que  observer que les Celtes, les Ibères, les Basques constituaient les peuples et les peuplades de la Gaule est un mensonge raciste, ou que c’est une vérité factuelle à oublier impérativement, parce que…raciste ?
Vercingétorix était-il Noir ou Arabe?
C’est la seule question que l’on sera en droit de se poser, et c’est cela que Nadine Morano aurait dû dire ?
Les Eduens, ces Gaulois qui formaient une puissante confédération tribale occupant le massif du Morvan et ses franges, qui invitèrent les Romains à renvoyer chez eux, dans leurs montagnes de la future Suisse, les Celtes Helvètes, n’étaient pas Blancs eux non plus ; ils n’étaient ni blonds ni roux dans leur grosse majorité. Voici le nouveau credo ?
Les Belges, ces Celtes, – dont étaient les Parisis, dont le nom reste inscrit dans la mémoire universelle avec celui de la capitale du pays qui s’appelle encore la France- n’étaient pas Blancs et aussi, comme les Eduens, ils n’étaient ni blonds ni roux, ils n’avaient que très rarement les yeux bleus ?
Voici ce qu’aurait dû dire Nadine Morano, voulant parler du passé humain de ce pays.
Les peuplades du Latium, – qui s’unifièrent autour de Rome et s’en vinrent conquérir la Gaule, la latiniseront et lui laisseront des institutions, une langue et des éléments culturels que le Germain Franc Charlemagne s’efforcera de relever en formant l’empire « romain germanique »- n’étaient pas des Blancs ; c’étaient des « Noirs », ou des métissés présentant les caractéristiques phénotypiques des « Arabes » ?
Dire que Jules César, et que les romains des Gens qui formaient l’armature physique et morale des institutions de la cité de Rome, qui allait jouer un rôle si important dans l’Histoire humaine, étaient des « Blancs », ce serait du racisme ; ce serait même du nazisme, a écrit un certain  Yazid , un « jeune de seize ans » qui appelle à sanctionner la « raciste » Morano, en lui faisant dire ce qu’elle n’a pas dit ; un jeune non encore électeur qui a lancé une pétition à cet effet.
Même François Fillon en convient, alors le dogme nouveau doit être vrai ?
Les peuplades turcophones hunides, dont les Magyars (les Hongrois) forment un vestige constitué en nation (la Hongrie), qui tenteront de conquérir la Gaule romaine, – mais furent militairement repoussés et reconduits hors du pays-, n’étaient pas des Blancs ? La preuve, les caractéristiques physiques de la nation où le prénom le plus porté est celui d’Attila !
Bref, ce serait un mensonge, un délire idéologique « nazi », que de rappeler les « racines » humaines de ce pays.
Ce serait un crime contre le « vivre ensemble » que de dire ce qu’étaient, comment étaient, Celtes, Ibères, Celte-Ibères, Vascons (Basques), Germains des différents groupes qui déferleront sur la Gaule romaine (Vandales, Wisigoths, Burgondes, Alamans, Francs saliens…), puis les pirates Vikings venus du Danemark, de Suède et de Norvège (dont une partie s’installera durablement dans ce pays, la future France, en se mêlant aux populations des côtes bretonnes (Belle île en mer) et de la future Normandie.
Ce serait du racisme  que de dire que les Allemands, qui repeupleront l’Alsace dévastée et dépeuplée par les épidémies et la guerre de trente ans, étaient des Blancs, le plus souvent des blonds aux yeux bleus.
Ce serait du nazisme, digne de Rosenberg,  que de prétendre que les ouvriers mineurs polonais, ces travailleurs acharnés qui se sont fondus dans la classe ouvrière et la nation française au vingtième siècle étaient des Blancs, des Slaves, en majorité des blonds aux yeux bleus, restés souvent patriotes polonais jusqu’à repartir en grand nombre Pologne, en 1945, pour reconstruire leur pays dévasté humainement et économiquement par le nazisme…
Ce serait du racisme et du nazisme  que de dire que les ouvriers agricoles et les maçons italiens, ou que les compagnons de Garibaldi (les chemises rouges) qui combattront aux côtés des Français en 1870-71 (contre la Prusse, puis aux côtés de la Commune parisienne), étaient des blancs le plus souvent des bruns aux yeux noirs.
Pour ne pas être « raciste », pour ne pas être nazi, soit il faut dire  qu’on ne sait pas comment étaient ces peuples et peuplades, qu’ils étaient probablement comme l’homme de Grimaldi (noirs, selon les caractéristiques présentées par le fossile de dépouille humaine), ou refuser d’en parler et de faire au plan de la relation historique ce que Daesh a fait à Palmyre avec les vestiges de l’antique cité : table rase !
Ce sera mieux – et plus conforme à l’idéologie obligatoire dite du « vivre ensemble »- ce sera excellent que de dire  que tous ces groupements humains, dont la toponymie rappelle la longue présence, n’ont probablement pas existé, qu’ils sont un mythe ; qu’ils sont un mythe raciste contraire au besoin exprimé par la nouvelle dirigeante de France télévision. Cette dernière décidant en effet : que le recrutement se ferait désormais selon le principe obligatoire de la « discrimination positive », non plus sur un principe de talent et de compétences (techniques, culturelles, oratoires…).
Il faudrait donc, pour cet antiracisme d’un genre nouveau, impérativement, que tous les William Lemergy cèdent la place devant les caméras du petit écran : qui pour des femmes, qui pour des jeunes et, surtout, partout ou presque partout, pour des non-blancs ; si en plus c’est une femme non-blanche, jeune et qu’elle est homosexuelle… ce sera parfait.
Mais cette préférence affichée pour le recrutement prioritaire de non-blancs n’est pas du racisme, c’est de la diversité obligatoire et positive.
Venons-en au second crime de Nadine Morano. Elle a eu l’impudence, l’audace raciste intolérable, de dire : que les racines de la France étaient judéo-chrétiennes.
Un écrivain, affichant son homosexualité active (il draguerait dans les bars gays, de préférence mais sans racisme, des hommes aux yeux bleus), tonne ! Il est furieux : de quoi de quoi, des racines judéo-chrétienne, la France ? Non décrète-t-il : elle est tout au plus (dans ses racines, la France) « catholique ». Parce que, pour ce censeur de Nadine Morano, les Evangiles, Jésus – qui parlait araméen et sa langue maternelle, l’hébreu, comme le rappelle un des quatre évangélistes canoniques – ça n’a rien à voir avec la tradition hébraïque et juive.
Ce censeur de Nadine Morano tient un concile à lui tout seul. Il décrète  que c’est le point de vue de Marcion*1 qui a été adopté par les conciles : le catholicisme aurait donc décidé de rompre avec les racines et la tradition juives…
Mais les faits sont têtus, et n’en déplaise à ce monsieur l’écrivain homosexuel en colère, les conciles ont condamné Marcion ; toutes les Eglises, mêmes celles du Moyen-Orient, ont refusé le choix de rupture épistémologique réclamé par Marcion. Même Monseigneur Saba, le cardinal palestinien actuel, se livrant régulièrement à de sinistres pitreries contre Israël, pour ne pas se fâcher avec Mahmoud Abbas qui n’a jamais vu qu’il ait existé un lien entre la terre d’Israël (baptisée Palestine) et les Juifs, même Monseigneur Saba ne réclame pas cet effacement radical de la matrice et du passé du christianisme des premiers siècles.
Avec notre écrivain en colère, on n’est ni dans l’Histoire des faits, ni dans le domaine de la culture.
On est dans le déni, un déni quasi pathologique ; un déni pour des fins politiques précises et bien peu honorables. Ces fins fabriquent des intellectuels et des politiques qui sont comme un certain qui sortait son revolver quand il entendait parler de culture.
Notre écrivain coureur de bars gays, devient vert de colère quand il entend parler des racines juives hébreues du christianisme, le réformé comme le catholique romain
Ce n’est peut-être pas le sujet, mais je ne terminerai pas sans dire ici ce que veut dire concrètement des racines et comment elles impactent la vie quotidienne.
La question politique centrale, pour les mois qui viennent et plus peut-être, est celle de ces masses humaines quittant la Turquie en déclarant venir de Syrie. Ce serait des masses toutes opprimées et toutes menacées. Il ne conviendrait pas de faire le tri, ce serait discriminatoire, ce serait « raciste », ce serait « nazi »…
Qui est raciste ? Qui est nazi ?
Le journal « die Welt » (dans son édition « die Welt am Sonntag ») rapporte ces faits : dans les centres d’hébergement pour « migrants », en Allemagne, les chrétiens syro-irakiens, Afghans, Pakistanais ou Iraniens, sont persécutés ; ils sont menacés de mort.
Pendant le ramadan 2015, les migrants musulmans sunnites, du centre situé à Brandebourg, près de Berlin, réveillaient à l’aube ce réfugié chrétien qui témoigne : ils l’obligeaient à manger et à boire (halal), avant le lever du soleil. S’il refusait, il se faisait traiter d’infidèle et de mécréant ; on lui crachait dessus ; on menaçait de le tuer.
Un pasteur protestant témoigne lui aussi : « les musulmans radicaux font la loi (dans les centres d’hébergement). Ils affirment, avec arrogance et sans cesse : « que là où nous sommes, c’est d’abord la sharia ». Le Pasteur Gottfried Berlin Martens précise  que les chrétiens n’osent plus préparer leurs repas dans les cuisines communes ; les croix sont interdites ; celui ne priant pas cinq fois par jour en direction de la Mecque est maltraité ».
À Giessen, dans un centre d’accueil, un jeune Syrien témoigne : il craint que beaucoup de combattants de l’Etat islamique ne se soient glissés parmi les migrants. « Ils hurlent des versets coraniques et des slogans appelant à décapiter des gens. Je ne peux pas rester ici, « je suis chrétien ».
À Freising, une famille chrétienne venue d’Irak a été menacée de mort, dans un centre d’accueil.
AH, les braves migrants, bloquons nos attributions de HLM, réquisitionnons d’anciennes PMI.
Parmi tous ceux qu’il faudrait obligatoirement accueillir, indistinctement, celui-ci qui a menacé cette famille : « Nous allons vous tuer et boire votre sang », leur répétait ce « migrant » syrien…
Que répondront à cela Manuel Valls et François Hollande ?
Le second a préféré tenir une conférence de presse sur la question climatique, à l’heure où il devait prendre la parole sur Daesh, devant l’assemblée de l’ONU.
Quant à Manuel Valls, il a menacé de sanction une commune de l’Isère qui voulait accueillir des chrétiens persécutés et menacés de mort dans leur pays, persécutés et menacés de mort dans l’espace européen (qui n’est plus réellement espace européen) des centres d’accueil commun, ces centres où l’on ne distingue pas qui est qui ; ces centres où les tueurs de Daesh vont et viennent comme poissons dans l’eau.
J’évoquais plus haut la stalinisation des mœurs politique du prétendu parti socialiste
Le Parisien du 29 septembre rapporte les propos de l’actuel président du conseil départemental de Seine Saint Denis, propos proférés à l’encontre du Maire UDI de Noisy-le-Sec, l’accusant d’être hors la loi, d’être « à la limite de la voie de fait », parce qu’ayant fait apposer des scellées sur un local de l’office municipal HLM que le préfet avait décidé d’attribuer à l’hébergement d’une quarantaine de réfugiés syriens.
Le président de l’ancien conseil général demande  « à l’Etat de faire respecter la loi à Noisy-le-Sec. Cette commune n’est pas une république autonome ».
Irresponsabilité, brutalité politique, tentative d’ériger la censure et l’autocensure ; absence du débat aux Nations-Unies ; refus de l’alliance avec Poutine et la Russie pour mette fin à la terreur verte ; bêtise caractérisée par le fait de ne pas savoir distinguer et voir ce qu’Israël à bien vu : la Syrie d’Assad n’est pas égale à celle de Daesh (collaboration militaire russo-israélienne de fait pour permettre les mouvements des unités russes venues sur le terrain syrien, en veillant à l’intégrité des Druzes israéliens autour du Golan); affolante ignorance volontaire, pour ne pas voir que  pour dix refugiés ou migrants, une partie importante sont des personnes partageant les paradigmes de Daesh.
La liste est longue des carences, des incompétences et de ce que l’Histoire retiendra – comme de véritables crimes politiques  si la civilisation parvient à se défendre contre ses ennemis intérieurs et extérieurs.
Szyja Waldman
*1) Marcion prétendait que le christianisme devait se couper totalement d’avec ses racines juives. Comme il est reproché à Nadine Morano de ne pas vouloir couper les racines humaines qui ont produit deux mille ans de floraisons et de culture humaine, Marcion reprochera au christianisme romain de ne pas vouloir rompre avec la matrice hébreue dont Jésus était un pur produit en tant que descendant de David le fondateur de la première monarchie d’Israël.




De la dictature du prolétariat à celles de la charia et du migrantariat

HOLLANDE ET LE SABREComme on pouvait s’y attendre, aucun média larmoyant professionnel n’a fait état des informations sorties sur la sordide mise en scène Al Kurdi.
Comme vient de le souligner Michel Onfray : critiquer ou s’interroger sur les migrants et sur leur légitimité à être accueillis, de façon indifférenciée, en voyageant gratuitement, en étant nourris et hébergés, puis logés aux frais du contribuable vous criminalise, vous vaut les foudres « antiracistes » et les bois de justice.
Dictature de classe
Les partis socialistes ont, en 1918-1921, refusé la doctrine de la dictature du prolétariat ; ils lui ont préféré la démocratie politique (démocratie bourgeoise), comme cadre à la mise en œuvre de la socialisation progressive et pacifique des grands moyens de production et d’échange destinée à l’abolition des inégalités et des classes sociales.
Les Partis qui en sont issus, en France le parti du Congrès d’Epinay, se sont désormais convertis à une nouvelle doctrine : finie la dictature du prolétariat ; nous (les partis « socialistes » de l’union européenne) l’avons tué, le prolétariat ; à bas la démocratie politique, la souveraineté populaire, la liberté d’expression individuelle ou collective ! vive la dictature du migrantariat !
C’est ainsi que cette « nouvelle classe », érigée en classe dirigeante, – mais seulement dans les pays de la vieille Europe, pas dans les émirats du Golfe, pas en Turquie, pas en Arabie saoudite ni au Qatar ou en Algérie, ni en Afrique du sud -, peut, comme elle le désire, quand elle le désire bousculer les frontières ; frapper les douaniers et les gendarmes en scandant « Allah ou akbar ! »; jeter sur les voies les packs d’eau et les plateaux repas de la Croix rouge internationale; dévaster les hôtels trois ou quatre étoiles pas assez à son goût ; prendre d’assaut les trains et voyager gratuitement pour aller d’un pays à l’autre afin de se rendre là où elle veut, quand elle veut; être logée gratuitement, être soignée et nourrie aux frais du contribuable européen; recevoir prioritairement les logements sociaux et, dans l’attente, obtenir que l’on fasse déguerpir de leur centre d’hébergement des SDF autochtones; obtenir que l’on expulse de leur logement social des travailleurs pauvres allemands, pour qu’on lui bâtisse, sur leurs décombres, ses futurs lieux d’hébergement; que l’on exige de chaque pays de l’union européenne qu’il prenne sa quote-part de membres de la nouvelle classe dirigeante au nom de laquelle les lois vont évoluer ou changer radicalement; se faire construire les centres d’hébergement ou les logements sociaux que les budgets contraints ne permettaient paraît-il pas de mettre à la disposition des autochtones sans logement ou mal logés…
Au nom de la « diversité » et du respect «antiraciste » qui lui est dû, la nouvelle classe (selon les vœux de Terra nova), tenant lieu et place de l’ancien prolétariat (le prolétariat révolutionnaire dans le discours du « marxisme révolutionnaire », la classe ouvrière dans celui de la social-démocratie classique), le migrantariat va exiger et obtenir des positions visibles dans la société; il va se retrouver, – au nom de la non-discrimination -, à de nombreux postes décisionnaires ou concourant à la décision (médias, postes électifs, emplois de dirigeants dans les entreprises, ministères…). Les lois vont être changées pour ce faire…
Le dévoiement du discours socialiste va servir d’outil à l’anéantissement des nations en vue de leur soumission à l’ordre mondial de la dictature de la charia, passant par la domination du migrantariat, favorisant les dogmes économiques libres échangistes.
Szyja Waldmann