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Aux islamo-collabos comme Hollande qui osent parler de religion de paix

Ce gouvernement n’en finit pas de s’aplatir devant l’islam, et de multiplier les actes d’allégeance à ce fascisme sanguinaire, quand, partout dans le monde, on assassine, on viole, on égorge au nom de cette religion et de son prophète, et qu’en France, les islamistes mènent quotidiennement une guerre impitoyable à notre modèle laïque et civilisationnel.

Après les ramadaneries de Valls et Hollande, après les scandaleux propos de Fabius, quai d’Orsay, devant les représentants de l’OCI, où il a été jusqu’à oser conclure, après l’inévitable « bon ramadan », en évoquant une « relation de confiance entre la France et l’islam », comme si cette religion était devenue un pays, voire le grand califat que tous les disciples d’Allah appellent de leurs vœux

http://ripostelaique.com/oci-fabius-interpelle-par-jacques-myard-doit-etre-pousse-a-la-demission-pour-trahison-laique.html

Imperméable à la montée du fanatisme dans le monde, et à la progression de l’islamisation de la France, insensible aux multiples agressions subies par nos policiers, mais aussi par des enseignants et nombre de nos compatriotes, commises par, dans la majorité des cas, de jeunes arabo-musulmans ; notre premier ministre inaugurera, en compagnie de Manuel Valls, qui a l’air d’avoir pris un abonnement, la grande Mosquée de Strasbourg, le 27 septembre prochain. Nous reviendrons bien évidemment sur ce scandale laïque dans les prochains jours.

Mais, histoire de ne pas laisser passer une journée sans lécher les babouches des disciples d’Allah, notre président de la République inaugurait, ce matin, au Louvre, un salon de qu’ils appellent “les Arts de l’islam“, dont Stéphane Buret nous expliquait les dessous dans un article écrit il y a quelques mois :

http://ripostelaique.com/louvre-propagande-musulmane-et-business-islamique.html

Dans une vidéo (à la 8e minute) Christine Tasin s’interrogeait également sur la notion d’Art de l’islam. Elle n’y voyait qu’artisanat, et surtout remarquait qu’historiquement, les musulmans avaient plutôt passé leur temps à détruire tout ce qui ne représentait pas leur civilisation, oeuvres artistiques comprises.

http://www.youtube.com/watch?v=rloVjtOPhOg&feature=plcp

Notre inévitable Normal 1er, qui avait déjà souhaité bon ramadan aux musulmans, ne pouvait qu’être présent, et, bien sûr, sortir les âneries habituelles sur la religion d’amour, de tolérance et de paix pervertie par quelques méchants qui n’ont rien compris au message du prophète. Nous avons donc eu droit à la tolérance de l’islam, à la grandeur de sa civilisation, et autres banalités de dhimmis.

[youtube tcoTaRXYkBw]

http://www.youtube.com/watch?feature=player_embedded&v=tcoTaRXYkBw

Je vais donc proposer à nos lecteurs la meilleure réponse à ces grossiers mensonges historiques, en reprenant une partie du premier chapitre du livre « La force de la raison » d’Oriana Fallaci, dont la lecture rend encore plus insupportables les niaiseries de celui qui nous fait honte tous les jours en dirigeant notre pays.

« L’unique art où les fils d’Allah ont toujours excellé, c’est l’art d’envahir, conquérir, soumettre. La proie qui leur a toujours inspiré le plus de convoitise, c’est l’Europe et le monde chrétien. (…) En 635, trois ans après la mort de Mahomet, les armées du croissant envahirent la chrétienne Syrie et la  chrétienne Palestine. En 638, elles prirent Jérusalem et le Saint Sepulcre. En 640, une fois conquise la Perse et la Mésopotamie, l’actuelle Irak, elles envahirent la chrétienne Egypte et débordèrent sur le chrétien Maghreb, en Tunisie et en Algérie et au Maroc. En 668, elles attaquèrent Constantinople une première fois, lui imposant un siège de cinq ans. En 711, après avoir traversé le détroit de Gilbratar, elles débarquèrent dans la très catholique péninsule ibérique, s’emparèrent du Portugal et de l’Espagne, où (…) elles restèrent huit bons siècles.

Celui qui croit au mythe de la « cohabitation pacifique » qui, selon les collaborateurs, caractérisait les rapports entre les conquis et les conquérants, ferait bien de relire l’histoire des couvents et des monastères brûlés, des églises profanées, des religieuses violées, des femmes chrétiennes ou juives enlevées pour être enfermées dans les harems. Il ferait bien de réfléchir sur les crucifixions de Cordoue, sur les pendaisons de Grenade, sur les décapitations de Tolède et de Barcelone, de Séville et de Zamora (…)

Quant au détail que les chiens d’infidèles n’étaient pas obligés de se convertir, sais-tu à quoi cela était dû ? Au fait que les convertis ne payaient pas d’impôts, les chiens-infidèles si !

De l’Espagne, en 721, elles passèrent à la non moins catholique France. Conduites par Abd Al-Rahman, le gouverneur d’Andalousie, elles franchirent les Pyrénées, prirent Narbonne. Elles y massacrèrent toute la population mâle, réduisirent en esclaves toutes les femmes et tous les enfants, puis reprirent leur marche vers Carcassonne. De Carcassonne, elle passèrent à Nîmes où elles firent un carnage de bonnes sœurs et de frères. De Nîmes, elles passèrent à Lyon et à Dijon où elles razzièrent les églises une par une, et sais-tu combien de temps dura leur avancée à travers la France ? Onze ans. Par vagues. En 731, une vague de 380.000 fantassins et 16.000 cavaliers arriva à Bordeaux, qui se rendit immédiatement. De Bordeaux, elle passa à Poitiers, puis à Tours, et si, en 732, Charles Martel n’avait pas gagné la bataille de Poitiers, les Français aussi danseraient le flamenco. »

Au lieu d’inaugurer des musées d’art islamique, l’incompétent Normal 1er ne ferait-il pas mieux de veiller à ce que nos enfants apprennent la réalité de cette histoire : notre Histoire de France, au lieu de l’occulter, en ne parlant plus, dans les manuels scolaires, de la bataille de Poitiers, ni de Charles Martel, pour ne pas froisser les nouveaux arrivants ?

Je reprends la lecture : « En 827, elles débarquèrent en Sicile, un autre objet de leur convoitise. En massacrant et en profanant, comme d’habitude, elles conquirent Syracuse et Taormina, Messine, puis Palerme, et en trois quarts de siècle (il n’en fallut pas moins pour faire plier la fière résistance des Siciliens) elle fut islamisée. (…) En 841, elles débarquèrent à Ancône. Puis, de l’Adriatique, elles se déplacèrent à Ostie. Elles la mirent à sac, l’incendièrent, et en remontant les embouchures du Tibre, arrivèrent à Rome. Elles l’assiégèrent et, une nuit, y firent irruption. Elles pillèrent les basiliques de Saint-Pierre et de Saint-Paul, saccagèrent tout ce qui pouvait se saccager. (…)

De nos jours, il est à la mode de se battre la coulpe à propos des croisades, de blâmer l’Occident pour les Croisades, de voir dans les Croisades une injustice commise au détriment des pauvres musulmans innocents. Mais avant d’être une série d’expéditions visant la récupération du Saint Sépulcre, les Croisades étaient une riposte à quatre siècles d’invasion occupation vexations carnages. Elles étaient une contre-offensive visant à bloquer l’expansionnisme islamique en Europe. A le faire dévier vers l’Orient. Vers l’Inde, l’Indonésie, la Chine, le continent africain, ainsi que vers la Russie et la Sibérie où les Tartares convertis à l’islam étaient déjà en train de répandre le Coran.

(…) Et à ce propos, connais-tu la chute de Constantinople que nous a laissé le copiste Phrantzes ? (…) Les troupes ottomanes, qui, battant tambours, entrent par les brêches des murs croulants, renversent les défenseurs génois vénitiens et espagnols, les massacrent tous à coups de cimeterre, puis font irruption dans la cathédrale et décapitent même les nouveaux nés. Avec leurs petites têtes, ils éteignent les cierges… Le carnage dura de l’aube à l’après-midi. Il cessa seulement au moment où le Grand Vizir monta sur la chère de Sainte-Sophie et dit aux massacreurs : « Reposez-vous. Maintenant, ce temple appartient à Allah ».

Pendant ce temps, la soldatesque crucifiait et empalait. Les janissaires violentaient et égorgeaient les religieuses (quatre mille en quelques heures), ou enchaînaient les survivants pour les vendre au marché d’Ankara. Et les courtisans préparaient le banquet de la Victoire. Ce banquet auquel (à la barbe du prophète) Mehmed II s’énivra de vins de Chypre et, ayant un faible pour les jeunes garçons, fit amener le premier-né du grand duc orthodoxe Notaras. Un garçon de quatorze ans, connu pour sa beauté. Devant tout le monde, il le viola, et, après l’avoir violé, fit amener les autres Notaras. Ses parents, ses grands-parents, ses oncles, cousins. Sous ses yeux, il les décapita. Un par un. Il fit aussi détruire tous les autels, fondre toutes les cloches, transformer toutes les églises en mosquées ou en bazars. Eh oui, c’est ainsi que Constantinople devint Istambul.

Trois ans plus tard, en 1456, les Turcs conquirent Athènes où, de nouveau, Mehmed II transforma en mosquées toutes les églises et les édifices antiques. Avec la conquête d’Athènes, ils complétèrent l’invasion de la Grèce qu’ils auront gardée, c’est-à-dire détruite, pendant quatre cents ans, ensuite, ils attaquèrent la République de Vénise, qui en 1476, les vit entrer aussi dans le Frioul, puis dans la vallée de l’Isonzo. (…)

Et c’est justement sous Selim l’Intempérant qu’en 1571, le général Lala Mustapha conquit la chrétienne Chypre. Il y commit une des infamies les honteuses dont la prétendue Culture-supérieure  se fût jamais souillée. Le martyre du patricien vénitien Marcantonio Bragadino, gouverneur de l’île. Comme l’historien Paul Gregosi le raconte dans son livre extaordinaire, “Jihad”, après avoir signé la reddition, Bragadino se rendit chez Lala Mustapha pour discuter les termes de la future paix. Et en homme attaché à la bien-séance, il s’y rendit en grande pompe. C’est-à-dire sur un destrier au harnachement raffiné, vêtu de la toge violette du Sénat, et escorté par quarante arquebusiers en grande tenue et par le très beau page Antonio Quirini (le fils de l’amiral Quirini) qui tenait au-dessus de sa tête une ombrelle précieuse. Mais on ne parla pas vraiment de paix. Car, suivant le plan déjà établi, les janissaires saisirent le page Antonio pour l’enfermer dans le sérail de Lala Mustapha qui déflorait les jeunes garçons encore plus volontiers que Mehmed II, puis ils encerclèrent les quarante arquebusiers et les mirent en morceaux à coups de cimeterres. Littéralement en morceaux. Enfin, ils désarçonnèrent Bragadino, lui coupèrent séance tenante le nez, puis les oreilles, et, ainsi mutilé, ils l’obligèrent à s’agenouiller devant le vainqueur, qui le condamna à être écorché vif. L’exécution eut lieu treize jours plus tard, en présence de tous les Chypriotes auxquels on avait enjoint d’y assister. Tandis que les janissaires se riaient de son visage sans nez ni oreilles, Bragadino dut faire plusieurs fois le tour de la ville en trainant des sacs de balayures, et lécher la terre chaque fois qu’il passait devant Lala Mustapha. Il mourut pendant qu’on l’écorchait. (…)

Désormais, l’empire ottoman avait atteint le sommet de la puissance et sous les sultans suivants, les attaques contre le continent européen reprirent sans que rien ne les arrête. Il atteignit jusqu’à la Pologne, où ses hordes entrèrent deux fois : en 1621 et en 1672. Leur rêve de fonder l’Etat islamique d’Europe aura été bloqué seulement en 1683, quand le Grand Vizir Kara Mustapha réunit un demi-million de soldats, mille canons, quarante mille chevaux, vingt mille chameaux, vingt mille éléphants, vingt mille buffles, vingt mille mulets, vingt mille vaches et taureaux, dix milles brebis et chèvres, ainsi que cent mille sacs de maïs, cinquante mille sacs de café, une centaine d’épouses et de concubines, et avec tout cela, il entra de nouveau en Auytriche. En dressant un camp immense, (vingt-cinq mille tentes en plus de la sienne, ornée de plumes d’autruche et de fontaines), il fit de nouveau le siège de Vienne. Le fait est qu’à l’époque, les Européens étaient plus intelligents que maintenant, et, à l’exception des Français du Roi Soleil (qui avait signé avec l’ennemi un traité d’alliance, mais avait promis aux Autrichiens de ne pas les attaquer), ils accoururent tous pour défendre la ville considérée comme le rempart de la chrétienté. Tous. Anglais, Espagnols, Allemands, Ukrainiens, Polonais, Génois, Vénitiens, Toscans, Piémontais, soldats papalins. Le 12 septembre, ils remportèrent l’extraordinaire victoire qui obligea Kara Mustapha à fuir en abandonnant chameaux, éléphants, épouses, concubines égorgées… »

Comment ne pas serrer les poings, quand on entend l’islamo-collabo qui nous sert de président de la République proférer, ce matin, ses fadaises, et qu’on lit tout cela… et tellement d’autres choses, dans d’autres revues historiques.

Surtout quand on apprend que pour sauver leurs mairies, en 2014, ils vont donner le droit de vote aux étrangers, donc à une majorité de musulmans. Surtout quand on voit les deux vidéos-chocs de Guy Sauvage, dont celle de samedi… Il est plus que temps de virer au plus vite ces traîtres qui livrent notre pays aux pires sanguinaires de l’Histoire, ivres de Coran et de haine, en nous les présentant comme des paisibles Bouddhistes…

Lucette Jeanpierre