Avant de mourir, le père Hamel a préféré accuser Satan plutôt qu’Allah
Il y a six ans, le père Hamel était égorgé dans son église, pendant une messe, par deux musulmans, Adel Kermiche et Abdel-Malik Petitjean, âgés de 19 ans, abattus par la police.
Apparemment, ils avaient des complices, et ont contraint un fidèle de l’église à filmer la scène.
Naturellement, nous avions eu droit à un hymne au vivre-ensemble, comme le rappelait notre regretté contributeur Éric Lhullier.
Anniversaire de l’assassinat du Père Hamel : le Vivre Ensemble ad nauseam
Et bien évidemment, Macron en personne incita, dans l’esprit de “Vous n’aurez pas ma haine”, les Français à continuer à se laisser égorger par des musulmans, qu’on appelle djihadistes.
Macron aux Français : Souriez quand vous vous faites égorger !
Notons donc que l’islam fut préservé, que les Français furent priés de ne pas céder à la haine, et que le père Hamel, qui avait cédé une partie du domaine paroissial pour les musulmans, a préféré, avant de mourir, accuser Satan plutôt qu’Allah.