Avec la justice Taubira, la France appartient-elle toujours aux Français ?

Ri7Juges lèchentUn énième incident nous rappelle que les Français ne sont plus chez eux en France, que nous ne sommes plus chez nous.
Un policier qui avait participé au contrôle d’identité mouvementé d’une femme portant le niqab, déclencheur des violences l’été dernier à Trappes (Yvelines), a été mis en examen, soupçonné de propos islamophobes sur sa page Facebook, a indiqué mardi le parquet de Versailles. Le parquet a requis le 26 mars son renvoi devant le tribunal correctionnel, à l’issue d’une information judiciaire pour « provocation à la haine raciale ou à la violence » confiée à un juge d’instruction. Il a été mis en examen le 30 janvier.

En l’occurrence, le fonctionnaire avait partagé le 22 juillet sur sa page Facebook en accès public une photographie de femme intégralement voilée représentée devant une mosquée, avec le logo de la ville de Trappes et la mention « La douceur de vivre ». L’image, issue du groupe les femmes blanches sont les plus belles”, était ainsi commentée par le policier : « S’y pas tri guntille dy demandei à nous fimmes (femmes) d’enlever ly rideau surtout dans la rypublik islamik de Trappe. » (« Le Point le 20/05/2014).
Cet incident, qui n’est ni plus ni moins qu’un délit de blasphème, c’est à dire en bon français un retour en arrière de la France le 1er juillet 1766, date de la mise à mort à Abbeville du Chevalier de la Barre.
De la même façon par un étonnant parallèle, ce même jour, deux chauffeurs de bus de Nîmes sont condamnés par le tribunal correctionnel de Nîmes, qui leur a infligé des amendes de 1.500 euros et des stages de citoyenneté à ces deux chauffeurs qui avaient publié sur leur profil Facebook des photos et une vidéo à caractère islamophobe.

Le tribunal correctionnel est allé au-delà des réquisitions du procureur de la République Patrick Pribille, lequel avait réclamé le 11 avril 1.000 euros d’amende, les stages de citoyenneté et la non-inscription de la condamnation au casier judiciaire, une demande rejetée par les magistrats.

Le premier prévenu d’incitation à la discrimination, à la haine ou à la violence est un ancien élu du personnel de 44 ans, il a reconnu avoir publié en mai 2013 une photo montrant un musulman en prière avec un porc le chevauchant et mimant l’acte sexuel avec pour légende : « C’est toi qui voulais “niquer” la France. »

Le second prévenu est l’un de ses collègues de 52 ans. Il a admis avoir diffusé une vidéo montage représentant des personnes d’origine maghrébine et notamment des femmes voilées à un arrêt de bus d’un quartier de Nîmes explosant sous des missiles. Cette vidéo avait causé beaucoup d’émoi dans certains quartiers, notamment auprès des jeunes de confession musulmane.

Il est vrai que lorsque ces mêmes jeunes gens à l’épiderme sensible peuvent en toute impunité, assassiner, violer, trafiquer de la drogue, hurler en « rap » leur haine de la France, ils ne risquent rien, aucun rappel à la loi, aucune sanction.
L’islamisation de pans entiers de la France c’est avant tout l’avancée paisible de la barbarie sans visage humain, et ce au nom d’une lâcheté chamberlinesque devant l’islam et ses suppôts.

Chaque pâque de la presse quotidienne régionale donne raison à Laurent Obertone, qui dans son livre « la France Orange Mécanique » ne faisait que dérouler les faits comme un constat notarié des crimes commis chaque jour en France. Ces crimes déguisés par la presse (souvenez-vous du jeune Wladimir tuant le jeune Killian « parce qu’il me regardait » et ce géant tchétchène de 16 ans s’appelant en vérité suleymane se tient ainsi dans son bon droit).

La règle générale est la complaisance ou la lâcheté des juges et de la garde des Sceaux qui appellent à des punitions « très » sommaires, lorsqu’ils n’appellent pas tous à de plus en plus de peines aussi punitives que le bracelet électronique voire le « travail d’intérêt général » voire la relâche sans sanction.
Chacun dans son cocon désespère et n’ose faire part [sauf aux très proches] de son dégoût et de son sentiment d’inutilité.

La thèse de Renaud Camus sur le « grand remplacement » a trouvé en Jean-Marie Le Pen un nouvel illustrateur, qui contrairement à certains membres de son parti, appelle un chat un chat et Rollet un fripon. Cela affirmé, le 20 mai lors d’une réunion publique dans une ville emblématique du « grand remplacement, à Marseille.
“Dans notre pays et dans toute l’Europe, nous avons connu un phénomène cataclysmique : l’invasion migratoire dont nous ne connaissons aujourd’hui que le début du commencement, cette immigration massive risque de produire un véritable remplacement des populations si nous n’arrivons pas assez tôt au pouvoir pour mettre un terme à la politique de décadence menée depuis des décennies”.

Cette immigration “est le fruit de l’explosion démographique et du fait que dans le même temps, la production des biens n’a pas connu la même courbe. On gagne 20 euros par mois au Népal, 40 euros au Bangladesh, 100 millions d’habitants vivent avec un dollar par jour dans le triangle du delta du Nil” en Égypte. “Il y a 735 millions d’habitants en Europe. En face, il y en a 7 milliards”, a-t-il encore compté.

“L’Europe n’est plus qu’un radeau de la méduse dans lequel nous avons de l’eau jusqu’à la poitrine. Le problème qui nous est posé est extraordinairement difficile. Il nécessitera le sursaut de tout un peuple, la volonté de se défendre et de défendre notre liberté, notre vie et celle de nos enfants et de nos petits-enfants”, a lancé, martial, Le Pen.

Ce “phénomène d’immigration massive est aggravé chez nous par un fait religieux : une grande partie de ces immigrés sont des musulmans, une religion qui a une vocation conquérante, d’autant plus conquérante qu’elle se sent forte et qu’ils se sentent nombreux. Elle va jusqu’à conquérir jusque dans nos propres rangs – pas au FN, mais en France – de nombreux et nouveaux fidèles”. “Cette immigration pèse d’un poids écrasant sur notre économie et notre société. L’immigration ne rapporte pas 20 milliards par an, elle coûte 100 milliards par an”, a-t-il accusé.

Jean-Marie Le Pen a raison, car tel un vol de criquets, les jeunes gens à l’épiderme sensible, ceux que le journal “Le Monde” baptisait Wladimir, se sont jetés sur la France et retrouvant les gestes ancestraux de leurs ancêtres, pillent, violent, insultes en toute impunité.

Pourquoi la France ? Parce qu’aujourd’hui n’importe quelle violence peut lui être fait, son peuple peut souffrir sans que les soi-disant élites s’en émeuvent.
La France chérit tant par Charles Péguy que par Léon Blum, tant par Charles de Gaulle que par le colonel Guingouin, la France et les vrais Français en viennent à rêver des lois américaines sur le port d’arme, port d’arme qui dans notre pays n’est accordé qu’aux crapules islamistes.

Peut-être que l’arrivée au parlement européen de députés défendant leur pays et notre civilisation occidentale et européenne fera bouger les lignes, qu’enfin la peur change de camp.

Lazare Zylbergleitt

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