Belloubet a tranché : “il ne semble pas absurde d’imaginer que l’on puisse réfléchir” !

C’est la déclaration fracassante de Nicole Belloubet, ministre de la justice qui a eu le sens de la formule sur Télé Matin il y a trois jours.
Et tant pis pour ma remarque sexiste, mais avec une telle réflexion je me demande si Belloubet, Garde des Sceaux, est une fausse blonde ou une vraie sotte.

Car au point où nous en sommes arrivés du blocage des prisons par un personnel pénitentiaire excédé, ne pas voir le fond du problème relève de l’incompétence notoire ou de l’enfumage récurrent de la clique au pouvoir qui refuse de voir l’islam conquérant qui gangrène la société. Et particulièrement les prisons qui sont sous la coupe de musulmans radicalisés.

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde de dire que le dysfonctionnement des prisons c’est à cause du personnel pénitentiaire en grève.

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde de dire que la protection du personnel passe par des vêtements de sécurité et pas par des armes de défense.

Car pour Belloubet il ne semble pas absurde d’évaluer la dangerosité des détenus et d’imaginer que l’on puisse réfléchir à la radicalisation en prison.

Rappelons que le blocage des prisons a commencé le 11 janvier dernier à la suite de l’agression à l’arme blanche de trois gardiens de la prison ultra-moderne de Vendin-le-Vieil par un Allemand converti à l’Islam, membre d’Al-Qaida et cerveau des attaques en 2002 contre la synagogue de Djerba en Tunisie.

Et depuis, les agressions ont continué à se multiplier contre les gardiens de prison dont celle du 19 janvier en Corse à Borgo où quatre islamistes ont gravement blessé deux gardiens.

Quand on sait d’après un rapport du sénat que “la proportion de musulmans, dans les grands établissements de l’Ile-de- France ou des villes comme Lyon, Strasbourg, Lille ou Marseille pourrait largement dépasser le taux de 50% des détenus”, https://www.senat.fr/rap/a14-114-8/a14-114-81.pdf

Quand Jack Lang le confirme en disant que deux tiers des incarcérés sont des pratiquants de la belle religion de paix, d’amour et de tolérance,

Quand le ministère de la justice nous révèle que 500 musulmans ou convertis sont emprisonnés pour des affaires liées au terrorisme et 1200 droits communs sont des islamistes radicalisés,

Quand on sait que 60% des djihadistes condamnés pour terrorisme seront libérés à partir de 2020,

On reste interloqué quand la Garde des Sceaux Belloubet, envoyée au charbon par le Président islamo-collabo Macron, s’autorise à penser qu’il “ne semble pas absurde d’imaginer que l’on puisse réfléchir” ?

Là, on imagine bien les gardiens de prison morts de rire, et les citoyens aussi. Avant qu’ils ne se fassent égorger, écraser, rafaler ou exploser. Au nom d’Allah !

Alors il est temps que l’état régalien réserve, sans état d’âme, ses préoccupations humanistes pour la sécurité de ses citoyens qui respectent les lois républicaines.
Et qu’il expulse ceux qui refusent de se soumettre à notre loi républicaine, ceux qui sont en guerre contre nos valeurs, ceux qui sont en guerre contre ce que nous sommes.

Contre les délinquants bi-nationaux de droit commun c’est la suppression des droits sociaux, la déchéance de nationalité et la valise.
Contre les assassins djihadistes qui servent leur idéologie totalitaire coranique d’anéantissement des mécréants, c’est la valise ou le cercueil.

D’autant qu’un détenu ordinaire coûte environ 40.000 euros par an à la collectivité.
Voilà un gisement d’économie compris entre 1,2 et 1,5 milliards d’euros par an.
Sans compter les trente mille places de prisons libérées. Celles qui nous manquent.

Alain Lussay

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