Bientôt un parti des cannibales de France ?

Chez les Francouillons, des surdoués importés du lointain Sud auxquels des gauchistes offrent des circonscriptions et les macronards des maroquins, mordent une épaule ou un bras par-ci, croquent une oreille ou un nez par-là. C’est devenu banal. Et quasiment halal.

Doit-on s’en offusquer ? Certainement pas. Puisque « qui mord adore ». C’est leur façon sympathique et spontanée, bien qu’un peu primitive, d’exprimer leur amour pour leur nouvelle patrie.

Le cannibalisme est absent du code pénal français

S’il a lieu après un homicide, il est considéré par les juristes comme « une dégradation du corps de la victime.» S’il précède la mort, on le qualifie d’ « acte de torture et de barbarie. »

Mais comme 9 fois sur 10 le cannibale est déclaré irresponsable par les «experts» (en quoi ? En cuisine anthropophage ?) ce sont finalement les médecins qui en parlent le mieux.

« L’immonde » le torchon subventionné des bobos qui se prennent pour des intellos, a retenu parmi plusieurs dizaines de cas, 6 festins avérés de mangeurs d’hommes, tous irresponsables sauf un. Aucun détail ne permet de les identifier.

Pourtant les soigneurs du Yéti ont embauché des ethno-anthropologues dans les cours, les arrière-cours et les basses-cours pour combler le fossé culturel entre certains justiciables et les codes qu’ils ne connaissent pas. Mais là, silence radio.

« A » arrache l’oreille de son père et la mange. Puis il lui coupe trois doigts qui finissent aussi en casse-croûte.

Le diagnostic de schizophrénie paranoïde est énoncé. Considéré comme non responsable, « A » échappe à la prison. Et on lui rendra sa liberté après quelques soins. Bon appétit !

« B » fracasse la tête de sa mère et lui arrache les yeux pour les gober. Ainsi que deux doigts. Et il lui bouffe le nez pour de vrai.

Schizophrénie paranoïde bien évidemment. Relaxe Votre Honneur !

« C » tente de tuer sa mère avec un hachoir à viande, lui arrache un morceau de bras et le mange.

Ce fin gourmet est un Eurasien (tiens, là on donne son pedigree), chrétien de surcroît (tiens, là on évoque sa religion).

Schizophrénie paranoïde. Les psys ne savent-ils dire que ça ? Pas de poursuites pénales.

« D » commence par tuer sa mère, la scalpe et déguste son cerveau à la cuillère. Puis il tue son frère et lui dévore un bras.

Son objectif est de tuer des voisins pour se livrer à la nécrophilie. Heureusement, son père parvient à le neutraliser alors que le forcené tente de l’assassiner. En vue d’une dégustation sur le pouce ?

« D » est un original qui se prend pour la réincarnation de Hitler. Il porte même une petite moustache carrée ridicule. Les échotiers insistent lourdement. Et on voit bien qu’ils sont déçus de ne pas pouvoir prouver qu’il avait la carte du RN.

Diagnostic : désorganisation, troubles de la pensée et comportements bizarres, délires et hallucinations.

Les auteurs du mémoire, pourtant bien informés, affirment ne pas savoir ce qu’il est devenu.

« E », alors qu’il est en prison pour vol à main armée, tue son compagnon de cellule. Il veut ensuite manger son cœur mais se trompe et découpe des morceaux de poumon qu’il cuisine avec de l’ail et des oignons.

Encore un surdoué qui a du sécher les cours d’anatomie pour le bac sciences !

Ce cancre avait déjà un vrai casier de crabes : trafics de drogues, bagarres, viols. Exceptionnellement, il prend 30 ans de prison, même si on sait qu’il ne les fera pas. Mauvaise pioche, il est tombé sur un des derniers juges à l’ancienne.

« X » apercevant un vieil homme à sa fenêtre, lui fracasse le crâne avec une barre de fer. Il prélève ensuite au couteau la langue et le cœur de sa victime et les fait cuire sur le grill dans la cheminée du mort avec des haricots tarbais, avant de les manger.

Puis cet ancien militaire (on a le droit de le dire) tente de massacrer une famille, mais il a présumé de ses forces et, trahi par ses flatulences, il est neutralisé.

Diagnostic : trouble psychotique aigu avec conviction délirante mystique et sentiment de possession diabolique. Direction l’hôpital psychiatrique.

Nostalgie des colonies perdues ? Souvenirs de la Françafrique ?

Des actes de cannibalisme commis au Libéria sont jugés à Paris en ce moment. Comme si on n’avait pas assez de nos propres assassins et terroristes… On va en importer d’un minuscule pays anglophone connu pour ses pavillons de complaisance, ses trafics d’armes, ses coups d’État à répétition et sa genèse originale. Puisque, au départ, il fut inventé par les USA en 1847 pour y renvoyer leurs Nègres.

Aux Assises de Paris, depuis le 10 octobre 2022, Kunti Kamara, 47 ans, 18 au moment des faits qu’on lui reproche, un peu jeune pour être présenté comme le commandant de l’Ulimo, Union de libération du Liberia pour la démocratie, est jugé pour complicité de crimes contre l’humanité et actes de barbarie.

En 1993, après trois attaques infructueuses, les rebelles de l’Ulimo s’emparent de la ville de Foya, dans une province riche en diamants. Les habitants qui le peuvent fuient les tueurs armés de machettes.

Parmi les victimes, un certain David N’Dermini (prononcez haine darmanin) qui se croyait protégé, car installé dans une voiture avec des gens d’une ONG.

« Les rebelles voulaient savoir ce que David faisait avec eux. » affirme Jasper, l’unique témoin, dont on taira l’identité pour éviter des représailles sur sa famille au pays.

Terminus pour N’Dermini. Tabassé puis emmené dans le commissariat réquisitionné par les rebelles. Qui lui reprochent d’avoir dit que l’hôpital avait été pillé et dévasté par l’Ulimo. Pour eux, c’est un traître.

Il subit alors le « tabé », un supplice local consistant à étirer au maximum les bras de la victime dans son dos avec des câbles afin d’élargir à fond sa cage thoracique.

Frappé à coups de crosses et de rangers dans la tête, le malheureux est ensuite traîné dehors afin que tout le monde puisse assister à sa punition. Façon d’avertir la population que personne ne devait révéler les exactions de l’Ulimo.

Puis un rebelle aurait ouvert d’un coup de hache le poitrail distendu de la victime. Avant de lui arracher le cœur et de le déposer dans un plat métallique. Les autres reîtres criaient et jubilaient en brandissant leurs armes : « Regardez ce qui vous attend si vous provoquez l’Ulimo ! »

Le cœur du supplicié aurait été ensuite emmené dans la maison du commandant, puis découpé équitablement, un morceau pour chacun, qu’ils ont mangé cru sans assaisonnement. Pourtant, il n’y avait pas encore pénurie de moutarde.

Ces fins gastronomes, après leur en-cas, ont mis la ville en coupe réglée et utilisé comme esclaves sexuelles les filles qui leur tombaient sous la main.

Certaines de ces esclaves, dont la femme du témoin anonyme, auraient été contraintes par leurs maîtres à mitonner et déguster de la chair humaine.

Je ne suis pas un sauvage, proteste le principal accusé

« Il n’y a rien qui me dérange plus que d’être accusé de cannibalisme », assure Kunti Kamara, devenu entre-temps citoyen hollandais. Il fut arrêté en France en 2018 alors que Macronescu renouait des liens étroits avec le Libéria anglophone. Un pays que Le Drian visitera « pour développer la francophonie » dans cet accueillant paradis fiscal, généreux en or et en diamants. Mais riche aussi en uranium.

« Lorsque j’étais au front, j’ai tué des ennemis. Mais jamais des civils. Et encore moins pour les manger » se défend l’accusé. Difficile à vérifier 29 ans après. Aucune preuve matérielle. Un seul témoin, imprécis sur les lieux et les dates, qui donne l’impression de broder pour qu’on le prenne au sérieux.

Normalement, chez les civilisés, c’est à l’accusation de présenter ses preuves. Mais en Francouillie, pays de sauvages, cette règle est ignorée si le Grand Marabout inspiré par sa Bobrisky en décide ainsi.

Complot ou pas ?

L’affaire est polluée par des conflits religieux, mâtinés d’arrière-pensées financières et d’échanges cupides, s’ajoutant aux sempiternelles querelles ethniques. Avec de troublants relents de néo-colonialisme et de services à rendre aux amis.

Ainsi la Suisse a condamné en juin 2021 à 20 ans de prison un certain Alieu Kosiah accusé d’avoir utilisé des enfants-soldats, fait tuer une vingtaine de civils et violé des villageoises. Il a fait appel. On a oublié de lui signifier qu’on cherchait toujours son magot. Qui sait dans quelle banque il est planqué ?

La poulie qui coince :

Le justicier en chef au Libéria s’appelle Hassan Bility et on a parfois l’impression que ce pieux musulman est surtout motivé par la volonté de régler des comptes avec ceux qui ne prient pas Allah comme il faudrait. Dans un pays où l’islam représente 30 % de la population et est en croissance constante du fait de l’immigration mandingue venue essentiellement du Mali.

Quant à la compétence universelle que s’arrogent les Européens, il est tout de même étrange de constater que les témoins à charge, qui ne veulent pas donner leur nom, sont baptisés Pierre, Paul ou Jacques dans les médias. Ce que démentent off the record les avocats qui parlent de Rachid, Mouloud et Ahmed.

Quand on connaît la fourberie des mahométans, préconisée par leur coran contre les impies, et leur habileté à instrumentaliser la justice des Kouffars, on est en droit de se poser des questions sur la sincérité de ces témoignages.

Christian Navis

Climats sous influence (climatorealist.blogspot.com)