Bienvenue chez les dhimmis : les djihadistes criminels de retour

La Croisade du djihad islamo-gauchiste de l’EI sur Slate, quelle surprise, encore des effets pervers ! C’est dur, mais les écolo-gauchistes LREM révolutionnaires libertaires y seront bientôt parvenus : le retour des criminels du djihad aura été résolument défendu par les dhimmis avocaillons et profiteurs humanistes de service. Tout se déroule exactement comme prévu pour refuser de repousser hors de France les criminels du djihad. C’est-à-dire le mal absolu. Il y a peu de temps, on a vu monter la propagande du djihad, comme une mayonnaise aussi onctueuse qu’épaisse, sur la nécessité du pardon pour les criminels du djihad de retour au pays qu’ils ont tant aimé. La ficelle est un peu grosse, mais ça peut passer pour peu que l’État-LREM se sente contraint à se répandre dans le domaine de l’interventionnisme humanitaire étatique pro-djihad.

Dans la foulée, pour passer à la vitesse supérieure et pour célébrer cet appitoye-merdoiement LREM pro-djihad tranquille, les mineurs délinquants seront toujours plus impunis afin de les préparer au djihad avec un faste ostentatoire dans les quartiers islamisés, les territoires définitivement perdus de la République.

De façon prodigieuse, peu de mois plus tard, des effets pervers seront rapidement constatés : grâce aux efforts conjugués de la Belloubet, des législateurs LREM imbéciles et des abrutis administratifs, des milliers de délinquants vont pouvoir agir en toute impunité alors que les statistiques criminelles, même manipulées LREM, ne pourront voir autre chose que les chiffres de la délinquance augmenter en France.

Et en même temps, le peuple français, trop joyeux de vivre dans le système LREM, devra s’infliger pénitence en subissant les méfaits de la clique de délinquants impunis avec les pickpockets roms du métro et des espaces pour touristes à Paris. Tout cela grâce aux législateurs dégénérés et irresponsables LREM destructeurs de la sécurité du pays, dont le but quasi avoué est la campagne électorale des municipales.

L’abrutissement LREM total consiste à diminuer avant tout la sécurité de tout le monde dans le pays et d’appauvrir les gens. L’apitoiement d’une voix chevrotante d’émotion en faveur des criminels du djihad, le retour, fera carton plein d’emmerdoiement, une réussite socialiste LREM du désarroi pour tous, ou presque !

C’est pourtant le moment que choisit le gouvernement pour nous jouer : djihad, le retour, une utopie criminelle avec un maximum d’effets pervers pour la promotions du djihad dans les quartiers islamisés. On sait qu’aucune des solutions des LREM dhimmis ne résoudra les problèmes du djihad dans les quartiers islamisés. On sait que ce sera un fiasco et que cette initiative destinée à apporter la misère pour tous et des emmerdements massifs à une part croissante de la population des quartiers sera qualifiée de succès !

Ces diktats législatifs affligeants sont un fléau en République socialiste LREM pro-djihad. Mais rien ne semble pouvoir arrêter l’appareil législatif en faveur de l’Islamistan devenu complètement fou. On sait que les solutions proposées pour le djihad, le retour, n’en sont pas et qu’elles vont provoquer des effets pervers.

La suite sera exactement comme prévu, un résultat catastrophique. Et que fait-on ? Mais on continue comme si de rien n’était, pardi ! La politique pro-djihad est en marche et rien ne pourra plus l’arrêter !

La tribune des avocaillons dhimmis pro-djihad : “Ce serait un immense déshonneur pour notre pays !”

Franceinfo : “L’appel de 45 avocats contre les condamnations à mort de neuf Français en Irak. Des Français sont menacés d’être pendus. La justice irakienne a condamné neuf Français appartenant au groupe État islamique à la peine capitale. Pour ces avocats, l’article 66-1 de la Constitution interdisant la peine de mort “ne souffre d’aucune dérogation, pas même en matière de terrorisme”. Après les condamnations à mort des Français pour leur appartenance au groupe jihadiste État  islamique, 45 avocats dénoncent, dans une tribune publiée sur franceinfo.fr, à l’initiative de William Bourdon et Vincent Brengarth, l’inaction de l’État en la matière. Ils assurent que laisser exécuter ces peines ou même autoriser leur prononcé est “contraire à notre ordre public et reviendrait à répondre à la barbarie par une peine que nous prohibons catégoriquement”.

“Ce risque n’est pas dérisoire et ce ne sont pas les mots de Jean-Yves Le Drian, rappelant son souhait qu’ils ne soient pas condamnés à mort et exécutés, qui peuvent aujourd’hui rassurer qui que ce soit. Son argument d’autorité selon lequel ils auraient été jugés de façon équitable ne peut convaincre personne.

“La France a été prise au piège d’un discours martelé depuis presque deux ans. Notre pays fera tout pour éviter que nos ressortissants reviennent en France et fera tout pour qu’ils soient jugés sur place. Et ce quel que soit le caractère des procédures dont ils feraient l’objet et quel que soit le risque d’exécution qu’ils pourraient encourir. La France n’a pas voulu rapatrier ses ressortissants et a préféré les exposer à la peine de mort et à des procès expéditifs dont nous savons qu’ils méconnaissent gravement les droits de la défense.

“Un traitement inhumain et dégradant”. L’effet de ce cynisme d’État a été de potentialiser le risque que ces djihadiste soient exécutés. Comment ? En suspendant l’exécution de nos ressortissants à l’intensité des pressions que la France souhaitera mettre en œuvre dans ses relations bilatérales opaques avec l’Irak.

“Exécuter ces peines de mort est contraire à notre ordre public et reviendrait à répondre à la barbarie par une peine que nous prohibons catégoriquement. Nos juridictions refusent les demandes d’extradition lorsqu’il existe un risque pour la personne dont la remise est demandée d’être condamnée à la peine capitale par la justice de l’État requérant. L’article 66-1 de la Constitution selon lequel “nul ne peut être condamné à la peine de mort” ne souffre d’aucune dérogation, pas même en matière de terrorisme. En application du protocole n°13 à la Convention européenne des droits de l’homme, ratifié par la France, la peine de mort est abolie en toutes circonstances. “Partout où la peine de mort est prodiguée, la barbarie domine. Partout où la peine de mort est rare, la civilisation règne“, disait Victor Hugo.” Question : Où en est cette utopie que la civilisation règnerait dans les quartiers islamisés, ces territoires définitivement perdus de la République ?

Pourquoi la propagande en faveur des djihadistes de l’EI s’adresse aux dhimmis occidentaux ?

En lisant la tribune des avocaillons dhimmis pro-djihad pour renforcer propagande djihadiste, on croit parfois rêver, mais c’est toujours un mauvais rêve. La propagande de l’État islamique est toujours répandue avec soin et la tribune qui vient de sortir fait étalage de préventions humanitaires bienveillantes inédites.

Malgré cela, l’État islamique étale des photos de décapitation et fait une apologie du terrorisme le plus meurtrier : ces références culturelles ne semblent pas destinées à parler seulement à leurs sympathisants !

Les Évangiles revus par les djihadistes frappent plus encore avec la tribune des avocaillons dhimmis pro-Djihad : “Ce serait un immense déshonneur pour notre pays !” L’univers médiatique de Daesh possède de nombreuses ramifications et ce dans tous les pays du monde ! Même si l’État islamique semble mal en point, sa propagande continue avec cet effort de justification du retour des criminels du Djihad qui témoigne d’une volonté de décrocher un brevet de respectabilité toute chrétienne pour le pardon des offenses et l’amour des ennemis. Les Évangiles des avocaillons dhimmis pro-djihad : “Ce serait un immense déshonneur pour notre pays !” sont de plus en plus soucieux de convaincre qu’ils ont raison, moralement et philosophiquement.

Les rédacteurs de la tribune semblent peu convaincants dans leur prêchi-prêcha humaniste ! Ce qui est étrange pour une tribune de propagande dhimmi, c’est que toutes ces références humanistes pourraient être destinées à accélérer la radicalisation d’adolescents en mal de repères, et surtout à émouvoir Margot.

Mais là aussi le bât blesse. Car la diffusion des images d’exécutions et de prêches radicalisés produit moins de compassion pour les criminels du djihad, et pour leur retour en France, pays de liberté pour tous !

Pourquoi un tel message, quand tant de terroristes arguent de leur volonté de rétribution face aux crimes commis par l’Occident ? “Ce qu’il faut comprendre c’est que votre politique est à l’origine de notre détestation, cette raison de vous haïr est liée au fait que, même si vous cessiez de nous bombarder, de nous emprisonner, de nous torturer, de nous avilir, d’usurper nos terres, nous continuerions à vous haïr car la raison première de notre haine ne disparaîtra qu’avec votre conversion à l’islam.” Le djihad ne serait qu’un moyen d’intimidation terroriste pour forcer à une conversion de masse de l’Occident majoritairement chrétien.

“La radicalisation express et solitaire est un schéma que Daesh a, de longue date, encouragé comme vecteur d’une terreur facile à propager dans la pratique. La vie d’un terroriste avant son ralliement au Califat importe peu. La “jahiliyya” (“ignorance” en arabe), dans l’idéologie salafiste, c’est la période de l’existence d’un individu avant qu’il rejoigne “la vraie foi” et mette en pratique un islam approuvé par les fondamentalistes.

“C’est toujours une phase attendue, incontournable de l’histoire personnelle des terroristes !”

La propagande dhimmi de Philippe-Henry Honegger sur Slate : “Pourquoi la France n’a pas le droit de laisser les Français de Daech être condamnés à mort (Avocat pénaliste au cabinet Ruben & Associés).

[Tribune] “Les combattants qui ont rejoint l’Irak devraient être jugés en tant que tels à l’aune du droit international et non en qualité de terroristes ou de criminels de guerre”. (Pourquoi ? Honegger ne le dit pas !)

“La France a participé à toutes les conventions de lutte contre la peine de mort et s’est engagée à éviter à ses ressortissants ce sort abominable (qu’ils ont pourtant imposé à leurs victimes en toute impunité).

“Des voix se sont élevées pour savoir s’ils devaient être sauvés ou pas. Le gouvernement français qui a refusé de les accueillir pour qu’ils soient finalement livrés par les Kurdes à l’État irakien affirme avoir engagé des démarches pour éviter la peine de mort. Tout le monde semble considérer de manière évidente que ces personnes sont des terroristes et que l’État irakien est légitime à les juger. C’est pour satisfaire l’opinion publique que l’État français a accepté cette situation en reniant le droit international et tous nos principes.

“Les combattants de conflits armés doivent être jugés selon les conventions de Genève qui indiquent la manière dont doivent être traités les combattants qui ont participé à des conflits armés, les affrontements avec Daech n’échappent pas à la règle. Dès qu’il y a des affrontements armés entre deux entités constituées, pendant une période significative, c’est-à-dire s’inscrivant dans la durée, on considère qu’il y a un conflit armé international ou non international. Cela ne suppose pas qu’il y ait un État, ni qu’il y ait une déclaration de guerre. C’est alors le droit de la guerre et les conventions internationales de Genève qui doivent s’appliquer !

Les affrontements en Irak avec Daech entrent dans cette catégorie des conflits armés couverts par les Conventions de Genève. Les personnes qui participent à ces conflits armés sont appelées “combattants“.

Ils ne sont pas appelés “terroristes”. Combattants ou prisonniers de guerre, et non terroristes ! Dans le cadre d’un conflit armé “il n’y pas de terrorisme”, mais il y a des “actes de guerre qui sont légaux“. (!!!)

Ce que prévoient les conventions internationales relatives au “droit de la guerre”, c’est qu’on ne peut pas poursuivre les combattants qui ont tué, même s’ils ont posé des bombes dans le cadre d’un conflit armé.

Le principe veut que les prisonniers de guerre puissent être internés et privés de leur liberté de circulation, et qu’ils doivent être traités avec humanité, en préservant un certain nombre de droits, comme de pouvoir communiquer avec leurs proches et d’avoir une vie digne, etc.” Ben voyons ! Une vie digne !

“La tentation est grande d’accepter l’idée que “ce sont des terroristes“. Mais tout opposant ayant pris les armes est “un combattant” dont la responsabilité ne peut être engagée que s’il a commis des crimes de guerre. Si ce sont des criminels de guerre, jugeons les. Si les Français combattant avec Daech ont commis des crimes de guerre (tuer des civils) et des crimes contre l’humanité, ils doivent être poursuivis. À ce stade, que savons-nous ? Que peut-on leur reprocher concrètement à part d’être allés là-bas ?” Ben voyons !

“Pouvons-nous accepter qu’ils finissent au bout d’une corde sans connaître la réalité de ce qu’on peut leur reprocher ? Condamner, tuer, sans se poser de question, ça s’appelle “la justice des vainqueurs“.

“Sans un procès public, avec de réelles investigations (par qui, comment, et le bénéfice du doute ?), et des droits de la défense équitables, nous ne pourrons jamais connaître la vérité. Comment accepter ça ?”

“Nous avons des moyens politiques et juridiques, il faut avoir le courage d’appliquer le droit sans céder à la soif de vengeance de l’opinion publique. La France s’est munie d’un arsenal législatif qui permet de les juger en France, selon les règles du procès équitable sans qu’ils risquent la peine de mort !”

Philippe-Henry Honegger semble vouloir reconnaître la légalité des actes de guerre des djihadistes.

Pourquoi Philippe-Henry Honegger sur Slate a tant de mal à admettre que ce sont des terroristes ?

Moralité : Bienvenue dans le monde des Bisounours dhimmis : les criminels du djihad, le retour !

Thierry Michaud-Nérard

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4 Commentaires

  1. Ben oui, en occident pas de peine de mort, là bas, si,… Ces jihadistes Français, on ose espérer qu’ils pourriront dans les prisons irakiennes, si tant est que l’Irak écoute la France hin hin,… Mais ça va remplir les prisons irakiennes et ça coûte ! La peine de mort, c’est moins cher ! J’ai déjà écrit à Macron, je vais lui renvoyer un petit courrier de rappel, faites-le tout le monde !

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