Bravo au chirurgien tarbais qui a parlé du génocide en cours !

Alors que la propagande pour faire “vacciner” les enfants bat son plein et s’intensifie au quotidien, le professeur Lila Bouadma, du Conseil “scientifique”… annonce, sur BFM TV, pour la rentrée : « il y aura 50 000 contaminations d’enfants par jour, c’est colossal », précisant, pour mieux paniquer les parents : « pour les enfants, on pense qu’il n’est pas plus grave, il faut changer de paradigme, ça ne fait pas rien, un certain nombre ont des formes de Covid long, ils ne sont pas très symptomatiques mais ils le restent, avec un état de fatigue important »…

Pour servir Big Pharma, n’hésitons pas !

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Heureusement, il est encore un médecin, honnête et  courageux – ils sont fort rares – qui, pour avoir dit la vérité, va connaître beaucoup d’ennuis avec la dictature dite sanitaire en cours.

Lors d’une manifestation organisée, le 21 août, contre le passe sanitaire à Tarbes, un chirurgien orthopédique, de l’hôpital de la ville, a osé comparer la  “vaccination” contre le coronavirus à un génocide, appelant à la refuser.

« Cette injection n’est pas un vaccin, c’est une thérapie génique. Cette injection est responsable de complications, qu’on appelle effets indésirables, mais ce sont en fait des complications. Ce qui se passe actuellement est dramatique car à l’hôpital, depuis le 20 août, deux jeunes de 17 et 20 ans ont des myocardites, deux jours après leur vaccination » a précisé ce praticien.

Il a prôné des solutions curatives efficaces, interdites par Véran, telles  l’hydroxychloroquine, l’azithromycine, l’Ivermectine, les vitamines C et D ou encore le Zinc, indiquant que ceux qui y avaient recours n’étaient pas hospitalisés.

Ces affirmations ont provoqué un tollé dans les médias “bien-pensants” et les foudres de l’ARS Occitanie. Pierre Ricordeau, son directeur, lors d’une conférence de presse, le 25 août,  considérant que « les propos tenus sont totalement inacceptables, d’autant plus venant d’un médecin qui a une responsabilité en matière de santé ». En bref, il l’a traité de traître à la cause des labos et du dictateur Macron.

L’hôpital de Tarbes s’en est suivi, déclarant au média local : qu’il « aurait dû rester à son rôle de chirurgien orthopédique, rôle qu’il accomplit parfaitement ».

Et comme d’habitude, l’Ordre des médecins, celui qui empêche les médecins de soigner… a été saisi, l’ARS envisageant aussi de faire un signalement au procureur de la République, pour parachever la délation et l’ostracisme.

Kapos, ausweis, Gestapo…Vive la Macronie !

Daphné Rigobert

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