Callac : il y a un an, c’était le premier pas vers la victoire !

C’est un premier anniversaire victorieux que nous fêtons aujourd’hui, celui de la première manif organisée à Callac, le 17 septembre 2022, pleinement réussie et qui marque un pas décisif vers une victoire historique.

Reprenons le fil des événements : la perspective d’un projet appelé Horizon arrive jusqu’à mes oreilles et celles de quelques camarades de combat. Il s’agit pour un Fonds de dotation nommé Merci de créer rien moins qu’un village africain de 70 familles au cœur de Callac, petite ville des Côtes-d’Armor de 2000 habitants. Ce fonds est dirigé par la famille Cohen, riche famille parisienne propriétaire des célèbres boutiques de vêtements pour enfants Bonpoint. C’est Mme Cohen qui a réussi à convaincre le maire de Callac Jean-Yves Rolland et son Conseil de mettre en œuvre ce projet.

Nous sommes plusieurs, au sein de Reconquête, à décider d’agir.

Très vite, début juillet 2022 je rencontre Danielle Le Men, à l’origine de la création d’un petit collectif anti-Horizon composé de trois personnes, dont deux se révéleront in fine peu fiables. Danielle se retrouve donc seule mais souhaite agir avec moi. Je veux agir également mais il nous faut une structure organisée, un collectif ne suffit pas. Je décide donc de créer l’association Les Amis de Callac, dont je prends la présidence et confie la vice-présidence à Danielle.

Notre action débute par l’écriture d’une pétition dénonçant ce projet que nous décidons de faire signer aux Callacois, et c’est ainsi que Danielle et moi arpentons chaque mercredi matin de 8h30 à 13h durant huit semaines le marché de Callac afin de faire signer un maximum de gens et d’alerter la population.

Le maire communiste Jean-Yves Rolland, favorable au projet, en prend ombrage et nous fait les pires misères comme nous interdire de tracter, ce qui est illégal, nous passons donc outre. Il refuse aussi à la population, qui pourtant le demande, l’organisation d’un référendum qui mettrait fin aux tensions qui commencent à diviser les Callacois.

Voyant le maire et ses conseillers s’obstiner dans la mise en œuvre de ce projet funeste, nous décidons de passer à la vitesse supérieure et d’organiser une grande manifestation qui aura lieu le 17 septembre et rassemblera plusieurs centaines de personnes, dont relativement peu de Callacois il faut bien le dire, mais beaucoup de Bretons et à laquelle prendront une part active nos amis de Riposte Laïque, du parti de la France, de Résistance Républicaine, de Place d’Armes et de Civitas.

Les dirigeants de Reconquête ayant refusé de nous soutenir et de nous aider financièrement, ses militants sont là en masse malgré tout et les banderoles fleurissent.

Si nous agissons en parfaite légalité et avec l’autorisation du Préfet, il n’en est pas de même bien évidemment du côté des voyous qui s’autoproclament « antifas » tout en étant les rois de l’action illégale, et qui obligeront, par leur violence, le déploiement de forces de gendarmerie considérables et la pulvérisation de toutes les équipes au gaz lacrymogène.

Notre manif, très réussie et dont toute la presse, régionale comme nationale s’est fait écho, a commencé à faire vaciller le maire et son conseil, peu habitués à faire face à pareille manifestation de force, et, en bons communistes, déboussolés à l’idée de devoir envisager de prendre en compte toute forme d’opposition.

La population de Callac, très frileuse au début, s’est enhardie et les adhésions aux Amis de Callac se sont multipliées.

Nous organiserons une seconde manif, le 5 novembre, plus importante encore que la première, et appuyée par une campagne d’affichage et plusieurs séries de tractages, qui  portera le coup de grâce au projet d’africanisation de Callac et nous donnera la victoire finale, le maire abandonnant définitivement le projet Horizon et la famille Cohen retournant à ses rêveries bobo-délirantes.

Pour ma part, j’ai remis les clés des Amis de Callac à Danielle qui en prend la présidence. J’habite en effet à une vingtaine de kilomètres de Callac et il était judicieux que des Callacois habitant sur place prennent les rênes de l’association.

Aujourd’hui, un petit noyau très déterminé ne relâche pas son attention et « colle » à la vie callacoise sur le terrain, prend des photos et constitue des dossiers. Ne manquant aucun conseil municipal, il se tient prêt à déposer une plainte ou à organiser un tractage d’information de la population.

Cette victoire est une grande première et ce n’est pas pour rien que Callac constitue « la reine des batailles ». Notre action, vigoureuse mais toujours dans la légalité, est un exemple pour toutes les petites villes qui vont se voir confrontées au même phénomène d’invasion de nos campagnes, décidé par la politique de « transition démographique » ainsi que l’appelle Macron.

Il y a toutefois un hic et il convient de le savoir afin de ne pas se laisser abattre et de renforcer encore notre vigilance, notre détermination, et notre action pour sauver nos campagnes du Grand Remplacement. À Callac, malgré l’abandon du projet Horizon, des familles africaines arrivent. Leur arrivée est organisée en sous-main, avec la bénédiction de la présidence de la République, par quelques bons immigrationnistes callacois très actifs comme le couple Lagrue.

Sous le faux-prétexte de la charité envers des populations qui « fuient la guerre », les Lagrue (de quel droit ? À quel titre ? Personne ne le sait hormis le fait qu’ils ont des amis en Afrique…) ouvrent les portes de la ville à des familles, quasiment toujours musulmanes, composées de huit à dix enfants. Les mères restent cloîtrées à la maison et les pères, handicapés ou nécessitant des soins, ne semblent pas vraiment être arrivés pour travailler…

Aux écoles donc d’accueillir ces enfants qui ne parlent pas un mot de français, aux hôpitaux de soigner leurs parents et de faire naître leurs petits frères et sœurs et à la ville de loger tout ce monde ! Bien évidemment aucun de ces adultes ne va apporter quoi que ce soit à la ville de Callac, laquelle s’attend, au contraire, à se voir taxée plus lourdement afin de prendre en compte tous ces nouveaux venus… en attendant les exigences « halal » qui finiront bien vite par se faire jour.

Bienvenue à Callac, c’est open bar. Merci Macron.

Cette aventure callacoise montre, s’il en était besoin, que la détermination paie et que le combat n’est pas vain. Mais la suite montre aussi que notre « démocratie »n’est qu’une fumisterie puisque le pouvoir du peuple se trouve bafoué en permanence. Car les mots ayant un sens, si je me souviens de mon grec, démocratie signifie pouvoir du peuple.

Nous devons compter avec ça, et être conscients que la partie sera rude car nous ne sommes plus, c’est un fait, ni en régime démocratique ni dans un pays libre d’expression. Notre pouvoir de citoyen, adulte, contribuable et possesseur du droit de vote, est en permanence contré si nous ne pensons pas comme il faut, si nous n’avons pas fait nôtre la woke culture dévastatrice, si nous ne sommes pas prêts à dérouler le tapis rouge au tiers-monde d’Afrique et du Maghreb, autant dire à nous effacer.

Cela doit être dit et c’est à nous tous d’ouvrir les yeux des endormis autour de nous.

Si nous ne voulons pas mourir, et nous ne le voulons pas, si nous voulons sauver l’avenir de nos enfants et de nos petits-enfants, si nous voulons sauver notre culture et notre art de vivre, notre belle langue, notre histoire glorieuse, nous avons l’ardente obligation de nous battre, de toutes les façons possibles et sans flancher, même si cela paraît fou ou perdu d’avance. C’est notre seule arme, avec un vote massif aux européennes de l’an prochain puis en 2027 pour les bons, les vrais, les radicaux, les courageux et les efficaces, afin de finir par écraser le diable remplaciste et pour que vive la France éternelle.

Comme l’écrivait notre regretté Jean Raspail, Consul général de Patagonie, mon maître : « Lorsqu’une cause paraît (presque) perdue, il faut sauter sur son cheval et tenter une dernière sortie… »

Alors partout en France, à cheval ! Et que rien ne nous arrête, la victoire totale est au bout du tract, du verbe et du bulletin de vote ! Et les affreux reculeront, car ils ne sont pas courageux et que nous sommes majoritaires.

Catherine BLEIN

Fondatrice des Amis de Callac

Ancien conseiller régional de Bretagne

 

 

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4 Commentaires

  1. 8000 clandestins à lampedusa:callac peut tous les accueillir, il y a de la place!!!
    bon courage au kreiz breizh

  2. Migrants ? ah vous parlez des envahisseurs… ces féroces soldats qui viennent jusque dans nos bras égorger nos fils nos compagnes… vous connaissez le refrain…

  3. le maire communiste,je dirais plutot le maire stalinien digne successeur de Felix et aussi borné.des QI au ras des paquerettes du kreiz breiz.quand on est ravagé à ce point.il faut mettre ses actes en adéquation avec son idéologie et partir vivre dans le monde communiste.

    • Résistant breton, je crois qu’afin de mettre en accord ses idées et son mode de vie, le mieux est qu’il aille se pendre !! ailleurs tant qu’à faire !!

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