Cartographie des zones islamisées de Barbès

Voici une explication détaillée de la façon dont les musulmans procèdent chaque vendredi pour prendre le contrôle des rues du quartier Barbès, et les confisquer à leurs habitants :
1) Mosquée de la rue Polonceau :

En rouge, les rues qui sont barrées, interdites aux véhicules et aux piétons par les musulmans, et dont les habitants ne peuvent ni entrer ni sortir de chez eux pendant près de deux heures.
En orange, les rues qui sont barrées, et interdites aux véhicules par les musulmans, les piétons pouvant encore passer sur la chaussée.
En vert, les rues dont les trottoirs sont confisqués par les musulmans pour y prier, forçant les piétons à marcher sur la chaussée.
Dans la plupart de ces rues, les commerces sont obligés de fermer pendant la prière des musulmans.

A : une barrière est placée en travers de la chaussée de la rue Polonceau, à son commencement sur la rue des Poissonniers, vers 13h.
B : une barrière est placée en travers de la chaussée de la rue Polonceau, au commencement de la rue Erckmann-Chatrian, vers 13h30.
C : une barrière est placée en travers de la chaussée de la rue des Poissonniers, à son commencement sur le boulevard Barbès, vers 14h.
De A à B, sur plus de 120 mètres de longueur, la rue Polonceau est totalement confisquée par les musulmans : aucun véhicule, aucun piéton, aucun habitant de la rue, n’a le droit de passer.
A partir de C, rue des Poissonniers, les véhicules ne peuvent plus passer après 14h. Les deux trottoirs sont intégralement occupés par les musulmans. Depuis peu, les musulmans se mettent à installer leurs tapis aussi sur la chaussée. Mois après mois, le passage libre pour les piétons rétrécit.
2) Mosquée de la rue Myrha :

En rouge, les rues qui sont barrées, interdites aux véhicules et aux piétons par les musulmans, et dont les habitants ne peuvent ni entrer ni sortir de chez eux pendant près de deux heures.
En orange, les rues qui sont barrées, et interdites aux véhicules par les musulmans, les piétons pouvant encore passer sur un étroit trottoir.
En vert, les rues dont les trottoirs sont confisqués par les musulmans pour y prier, forçant les piétons à marcher sur la chaussée.
Dans la plupart de ces rues, les commerces sont obligés de fermer pendant la prière des musulmans.

A : 3 à 4 voitures sont garées au milieu de la rue Myrha, à la hauteur du débouché de la rue Affre, vers 13h30.
B : 4 barrières sont placées en travers de la chaussée, au carrefour de la rue Myrha et de la rue Léon, vers 13h30.
C : 2 voitures sont garées au commencement de la rue Léon, puis une barrière placée en travers de celle-ci, devant les voitures, vers 14h.
De B à A, sur plus de 100 mètres de longueur, la rue Myrha est totalement confisquée par les musulmans : aucun véhicule, aucun piéton, aucun habitant de la rue, n’a le droit de passer.
De C à B, les piétons peuvent passer, sur l’étroit trottoir de la rue Léon, jusqu’à 14h. Ensuite, celui-ci se couvre lui aussi de tapis et de musulmans, rendant de facto tout passage impossible.
3) Un scandale qui dure depuis 10 ans :
Nous renouvelons notre appel de la semaine dernière : combien de temps encore les autorités françaises laisseront-elles s’écouler, avant d’intervenir et de mettre fin à ces procédés illégaux ? Combien de rues seront occupées, confisquées, conquises par les musulmans, en plein Paris, avant que la Mairie du 18e arrondissement, la Mairie de Paris, la Préfecture de Paris, le gouvernement, ne se décident enfin à agir ?
Maxime Lépante

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