Majeur sexuellement mais toujours mineur même en cas de décapitation

La pédocriminalité a de beaux jours devant elle ; déjà qu’elle tente de contourner le droit en pénétrant le mental enfantin pour y foutre ses spasmes sous couvert de lutte contre (tout contre) les “discriminations”, dont la sexualité avec un adulte qui peut se “ressentir” enfant ; certes, ce n’est pas, encore, dans les tuyaux, du moins officiels, mais on y vient façon Gramsci par drag queens interposées liseuses de contes et d’initiations à la nudité verte ou comment se tortiller nu dans l’herbe cela commence toujours par des jeux “innocents”; ne parlons pas des Familia Grande et autres “liaisons dangereuses” entre un môme de 14 piges et sa prof de théâtre vingt ans plus âgée…

Concentrons-nous surtout sur le fait que l’on peut être donc initié à la sexualité dite autrefois “adulte” dès le plus jeune âge, mais lorsqu’il s’agit de condamner un acte délictueux voire criminel effectué par un “mineur” sa peine est de fait minorée, coupée en deux (la justice pour enfants s’est arrêtée en 1945) et de plus en plus avec du sursis ou du bracelet ; ainsi les nazes ayant donné Samuel Paty restent chez eux bien au chaud sur Playstation et réseaux à influence rémunérée, suscitant alors l’admiration infinie de leurs émules à la recherche eux-aussi d’une autre tête à découper pour “jouer au ballon” comme la maire de Romans l’a déclarée, l’incitant alors et de plus en plus à botter en touche…

Ainsi va la justice en Absurdie où en effet des colleurs d’affiche et des manifestants pour Thomas, avec casier vierge, écopent de la prison ferme, alors que les complices de djihadistes ont juste le minimum syndical et encore. Comme si les jeux étaient faits et la messe dite: les Paty, Bernard (31 à 44% des jeunes musulmans ne condamnent pas son assassinat) sont des victimes sacrificielles offertes à Eurabia  permettant ainsi à toute une voyoucratie à col blanc de continuer à hurler contre “l’ultra-droite” alors qu’ils arment par ce type de condamnation et aussi de psychiatrisation toute une flopée de jeunes tueurs à la recherche d’un exploit, telle cette tentative de s’emparer d’un village et d’assassiner tous ces habitants mais qui aurait été déjouée au dernier moment (sans doute trop voyant pour le moment…).

Et pendant ce temps, les mêmes iront hurler parce que les soldats israéliens ont mis en slip des dizaines de djihadistes (mais ne les ont pas assassinés violés mutilés et filmés comme durant le 7 octobre ou lors du Bataclan) alors qu’il faut bien leur montrer et aussi à leurs “amis” (surtout “mineurs”) que mis à nu en dehors de leurs costumes militaires bandeaux et kalach paradant lors de la remise des otages ils peuvent eux aussi perdre de leur superbe…

On attend la même chose, ici, en France…

Car il n’est pas sûr que cela énerve et remplisse leurs rangs, il ne semble pas que “la” rue se soit enflammée depuis le faux du soit-disant bombardement israélien de l’hôpital, une “rue arabe” pourtant chauffée à blanc y compris par des révolutionnaires d’opérette occidentaux, reprenant par exemple à leur compte une info d’un journal de gauche israélien faisant état d’une erreur de tir opéré par un hélicoptère de l’armée israélienne le 7 octobre sur un pick-up allant à vive allure, erreur qui a été ensuite montée en épingle pour indiquer que les réels criminels du 7 sont israéliens et que les images diffusées par les djihadistes eux-mêmes sont des montages…

De même, le fait que cette jeune djihadiste ait menti alors qu’elle n’était même pas là concernant le cours de Paty sur la liberté d’expression à savoir montrer son guide avec une bombe en guise de turban, ce qui permet de discuter sur le fait de savoir si l’islam s’impose avec le couteau la bombe ou pas… Mais que nenni, et ses collègues ont immédiatement pris fait et cause pour cette jeune soldate qui “normalement” aurait pu finir naguère devant un peloton d’exécution ou écartelée…

Mais il est vrai que “nous” ne sommes pas en guerre… Juste contre un virus c’est tout… Pour le reste, circulez… Il n’y a rien à voir, en démocrature avancée…

Lucien Samir Oulahbib




Pourquoi le chef terroriste du Hamas à Gaza avait-il des avoirs en France ?

Yahya Sinwar

La France a décidé, le 5 décembre dernier, de geler les avoirs du chef du Hamas à Gaza, Yahya Sinwar, considéré comme étant l’architecte de la barbarie du 7 octobre.

L’information n’a pas suscité beaucoup de réactions. Même aucune.

C’est notre brave ministre de l’Économie, Bruno Le Maire, qui serait à l’origine de cette décision de gel (sûrement sur instruction de son maître).

Un arrêté du ministre, datant du 30 novembre, décrète que « Les fonds et ressources économiques qui appartiennent à, sont possédés, détenus ou contrôlés par M. Yahya Sinwar (…) font l’objet d’une mesure de gel des avoirs ».

On voudrait bien savoir quels sont ces « fonds » et surtout quelles sont ces « ressources économiques » qui appartiennent en France au terroriste palestinien.

On ne révèle pas le montant de ces avoirs, mais cela ne doit pas être une question de quelques euros pour l’argent de poche du terroriste du Hamas qui a dû certainement séjourner en France et se serait baladé sur les Champs-Élysées.

Il ne faut cependant pas que l’on s’inquiète. Le gel des avoirs de Sinwar ne vaut que pour six mois.

Ce gel lui rapportera quelques bénéfices.

Mais la question qui s’impose est : comment et pourquoi la France abrite les avoirs de ce barbare palestinien ?

Le terroriste du Hamas avait-il l’intention de se réfugier en France après son forfait ?

A-t-il des soutiens en France ?

Reçoit-il des dons en France ?

Est-il encore le bienvenu en France ?

Y a-t-il d’autres dirigeants terroristes de par le monde qui ont des « fonds et des ressources économiques » en France ?

Les dirigeants de Boko Haram, du Nigeria, et d’Al-Qaïda au Maghreb islamique (AQMI) ont-ils des avoirs en France ?

Yahya Sinwar est le « plus pauvre » parmi les dirigeants du Hamas.

Selon les rapports de différents médias internationaux, y compris la majestueuse BBC, il ne détiendrait qu’un avoir entre 1 et 3 millions de dollars. Il arrive derrière Ismail Haniyeh, le chef du bureau politique du Hamas, dont la fortune est estimée à au moins 5 millions de dollars et qui réside depuis 2019 au Qatar.

Le Haniyeh est également propriétaire de plusieurs biens immobiliers, dont certains sont au nom de ses 13 enfants, notamment en Turquie (un de ses enfants détient la nationalité turque).

Il aurait une fortune égale à celle de Mohammed Deif, chef, depuis près de 20 ans, des « Brigades Ezz edine Al Qassam », qui s’occupe des attentats contre les Israéliens.

La majeure partie de ces richesses proviendrait de « l’industrie des tunnels », où le Hamas impose des taxes sur les marchandises passées en contrebande.

Un tunnel entre Gaza et l’Égypte pouvait se louer jusqu’à 50 000 dollars l’heure. Inimaginable.

Mais c’est Khaled Meschal, un homme influent de l’organisation terroriste palestinienne, qui caracole en tête des millionnaires du Hamas. Sa fortune est évaluée à 5 milliards de dollars. Il aurait investi massivement dans des projets immobiliers au Moyen-Orient et dans des banques égyptiennes.

La bande de Gaza, souvent évoquée pour la précarité de ses habitants, ne compte pas moins de 600 millionnaires.

Tu le sais, Guterres ?

Si oui, alors, comme le dit si bien notre Larcher national, « ferme ta gueule »…

Messin’Issa

Allez, pour finir, une belle photo qui montre qu’un peuple qui tient à sa survie, survivra…

À voir leurs mamelles, on dirait qu’ils ont allaité des hippopotames…

Messin Issa

https://resistancerepublicaine.com/2023/12/09/pourquoi-le-chef-terroriste-du-hamas-a-gaza-avait-il-des-avoirs-en-france/




Le viol est une arme de guerre islamique

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Selon le mouvement islamiste palestinien Hamas, l’islam condamne le viol.
La voix de la vérité vient de parler, il faut l’écouter. Dans les kibboutzim de Kfar Aza, Nir OZ et Beeri, selon le Hamas, il n’y a jamais eu de viol. Et les combattants islamistes qui ont envahi et détruit ces kibboutzim sont des anges qui ne peuvent en aucun cas commettre un viol ou toucher à un cheveu d’une femme, surtout si elle est juive.

Hamas, par cette déclaration, veut cacher et enterrer définitivement ce qui s’est réellement passé le 7 octobre 2023 dans ces kibboutzim situés le long de la bande de Gaza.
Alors voyons ce que le Coran et la sunna disent.

En islam, la qualification de “viol” ne s’applique pas à la captive (en arabe, on dit sabaya) ou à l’esclave, car cette dernière reste la propriété de son maître qui peut la tripoter sans son consentement.
On ne trouve aucun verset dans le Coran qui décourage explicitement le viol envers les mécréantes après une conquête (al-fatah) d’une contrée, au contraire, il est licite de prendre les femmes ou les filles comme des butins de guerre et d’avoir des relations sexuelles avec elles.
Le verset 24 de la sourate 4 donne l’autorisation aux musulmans de forniquer licitement avec les captives (sabaya) mariées à des non musulmans, lors des razzias.

Ainsi, la sourate 4 par le verset 23 interdit les relations sexuelles en dehors du mariage pour les musulmans. Par contre le verset 24 de la même sourate légalise religieusement le viol des captives déjà mariées aux non musulmans (des mécréants, juifs, chrétiens ou païens).
“Vous sont interdites vos mères, filles, sœurs, tantes paternelles et tantes maternelles, filles d’un frère et filles d’une sœur, mères qui vous ont allaités, sœurs de lait, mères de vos femmes, belles-filles sous votre tutelle et issues des femmes avec qui vous avez consommé le mariage ; si le mariage n’a pas été consommé, ceci n’est pas un péché de votre part ; les femmes de vos fils nés de vos reins ; de même que deux sœurs réunies – exception faite pour le passé. Car vraiment Allah est Pardonneur et Miséricordieux”( sourate 4, verset 23).
et parmi les femmes, les dames (qui ont un mari), sauf si elles sont vos esclaves en toute propriété. Prescription d’Allah sur vous ! À part cela, il vous est permis de les rechercher, en vous serviteur de vos biens et en concluant mariage, non en débauchés. Puis, de même que vous jouissez d’elles, donnez-leur leur mahr (dot), comme une chose due. Il n’y a aucun péché contre vous à ce que vous concluiez un accord quelconque entre vous après la fixation du mahr. Car Allah est, certes, Omniscient et Sage” ( sourate 4 verset 24).

D’autres versets autorisent les musulmans propriétaire d’esclaves femmes à forniquer avec elles sans les épouser religieusement. Allah, dans sa grande miséricorde le permet, car pour lui, une esclave est un objet qui s’achète et se vend, et son propriétaire peut avoir des relations sexuelles avec elle, en dehors du mariage.
Dans la sourate 23, versets 1 à 6, Allah octroie aux musulmans le droit religieux ( selon la charia) de coucher avec les femmes qu’ils détiennent légalement de leur main droite comme esclaves, sans qu’ils ne soient mariés avec elles.

Le Tout Miséricordieux, le Très :
« Bienheureux sont certes les croyants, ceux qui sont humbles dans leur Salat, qui se détournent des futilités, qui s’acquittent de la zakat, et qui préservent leurs sexes [de tout rapport], si ce n’est avec leurs épouses ou les esclaves qu’ils possèdent, car là vraiment, on ne peut les blâmer ».
Lire aussi les versets 29 et 30 de la sourate 70.
J’attends avec impatience une réponse de la part des oulémas pour invalider ces versets ci-dessous.
Les hadiths dans sahih Muslim expliquent les détails de l’autorisation du viol accordée par ce verset coranique 24 de la sourate 4.
Abu Sa’id Al Khudri a déclaré : « Le Messager d’Allah a envoyé une expédition militaire à Awtas à l’occasion de la bataille de Hunain. Ils ont rencontré leurs ennemis et se sont battus avec eux. Ils les ont vaincus et ont fait des prisonniers notamment des femmes. Certains des compagnons de l’apôtre d’Allah étaient réticents à avoir des relations avec les femmes captives à cause de leurs maris païens. Ainsi, Allah l’Exalté a fait descendre le verset coranique” Et toutes les femmes mariées (vous sont interdites) sauf celles (captives) que votre main droite possède.” C’est-à-dire qu’elles leur sont licites, (Abu Dawud 2155).
Ce hadith du Sahih Muslim se trouve dans le chapitre intitulé : « De l’autorisation d’avoir des rapports sexuels avec la captive après la période d’attente ; même si elle est mariée, son statut de captive annule son mariage ».

L’islam n’est-il pas une religion basée sur la bienveillance et le respect de l’autre ?
D’après Abû Sa’îd al-Khudrî : Le jour de Hunayn, le Messager d’Allah envoya une armée à Awtâs. Elle rencontre l’ennemi, le combattit, le défit et emporta des prisonnières. Certains compagnons du messager d’Allah étaient gênés d’avoir des rapports avec des captives, car elles étaient mariées à des polythéistes qu’ils connaissaient. Allah révéla alors le verset 24 de la sourate 4: « … et les femmes déjà mariées, sauf si elles sont vos captives ».

D’après ce verset, Allah donne libre court à la frustration islamique. Elles vous sont permises signifie que vous pouvez forniquer sans limite, autant que vous voulez, car Allah l’autorise pour vous récompenser de votre djihad (Sahih Mouslim 8:3432).
Dans le tafsîr d’Ibn Kathir, le plus éminent de tous les exégètes du Coran, concernant le verset 4:24 : il est écrit ceci :
Les femmes mariées de bonne condition sont aussi interdites à moins qu’elles ne soient des captives de guerre, et dans ce cas, il est permis d’avoir des rapports sexuels avec elles.

Bravo à Allah et son Apôtre qui légalisent le viol pour la bonne cause.
Et à ce propos Abou Sa’id Al-Khoudri a rapporté : « Dans une de nos expéditions nous avons eu, parmi le butin, des femmes de Awtas qui avaient des époux. Comme nous répugnions de les cohabiter, nous exigeons à l’Envoyé de Dieu -qu’Allah le bénisse et le salue – à leur sujet. Dieu fit alors descendre ce verset : « Il vous est interdit d’épouser les femmes déjà engagées dans le mariage, à moins que ce ne soient des captives ». Et par la suite nous eûmes des rapports avec elles. (littéralement : à la suite de ces versets, leurs épouses des incroyants nous sont devenues légitimes). C’est la formulation recueillie par At-Tirmidhi An-Nasa’i, Ibn Jarir et Muslim dans son Sahih.)

La conclusion tirée de ce verset est que le viol est une arme de guerre qui permet de terroriser les ennemis d’Allah notamment les juifs et les chrétiens (associateurs).
Ce qui s’était passé le 7 octobre 2023, dans le sud d’Israël, le long de la bande de Gaza, est un crime contre l’humanité, et un viol organisé contre les femmes israéliennes conformément aux enseignements coraniques.

En violant les jeunes femmes israéliennes qui faisaient la fête (la rave party ), en les mutilant sexuellement ensuite, est une démonstration claire et nette que l’islam est une idéologie barbare qui permet de souiller et d’animaliser les mécréants et dans ce cas précis, les Juifs qui sont considérés comme les rejetons de singes et de porcs. Mais le summum de l’horreur, c’est qu’après commis ces viols généralisés, les combattants du Hamas n’ont pas hésité à se filmer et à envoyer les vidéos à leurs amis djihadistes pour terroriser les ennemis d’Allah, c’est à dire les Juifs.
Ces actions criminelles sont des preuves que l’islam est une idéologie de terreur et non, une religion de paix et d’amour !
Lire, sourate 2 verset 60, sourate 5, verset 60, sourate 7, verset 166, sourate 33, versets 57, 60, 61, sourate 98, verset 6, sourate 47, verset 12.

Un hadith rapporte un incident qui a conduit au célèbre événement de Ghadir Khumm, sur lequel se disputent actuellement les sunnites et les chiites. Les sources sunnites et chiites conviennent que Muhammad a reçu des plaintes concernant Ali (son cousin et gendre) qui s’est offert une jeune esclave prélevée sur le butin de guerre, de la cinquième part qui revient à Allah et son prophète conformément au Coran mais certains musulmans s’en sont plaints de cet agissement du futur quatrième calife ‘bien guidé’ auprès de Mahomet.

Le hadith sunnite mentionne qu’’Ali a fait le Ghusl (toilette complète obligatoire après un contact sexuel ou une éjaculation), parce qu’il a une relation sexuelle avec une captive mineure. Et Mahomet n’a pas considéré qu’Ali a commis une faute, au contraire il a sermonné les plaignants.
Selon Bourayda : Le Prophète envoya Alî (Ibn Abî Tâlib) à Khalid Ibn al-Walîd pour rapporter le cinquième du butin. En ce temps, je détestais Âli… il avait pris son bain (après avoir eu des relations sexuelles avec une fille esclave faisant partie du butin) ! J’ai dit à Khâlid : « tu ne vois pas ce qu’il fait ? » Quand nous sommes revenus vers le Prophète, je le mis au courant ! Il m’a dit : « Bourayda ! Détestes-tu Alî à ce point ? – Oui ! Dis-je. – Ne le déteste pas ! Alî a plus de droit que cela du cinquième du butin ! » (Sahih Boukhari 5:59:637).

L’islam est basé sur la malhonnêteté, la duplicité et le mensonge. À part ça, il n’y a rien de nouveau dans le monde arabo-islamique qui est dans le déni le plus absolu depuis quatorze siècles.
La sève de l’islam, c’est le sang versé pour le djihad. Le butin de guerre, notamment les captives, constitue le carburant qui fait monter les pulsions sexuelles des combattants d’Allah . C’est le ventre et le bas-ventre. Car sans le djihad et la terreur sacralisée, c’est la fin de l’islam.
On comprend mieux pourquoi Mahomet a dit : “tuez celui qui quitte l’islam”.
Et la haine des musulmans envers les apostats est justifiée dans le Coran, car ces derniers accusent la religion de paix et d’amour de n’être qu’un totalitarisme abject qui soumet les hommes et les femmes au nom d’un dieu sanguinaire.

Le 7 octobre 2023, les barbares de Hamas ont violé, torturé et décapité les femmes juives, comme l’a fait avant eux Daesh contre les Yézidies mais aussi le GIA algérien dans les années quatre-vingt-dix qui a, lui aussi, violé, séquestré et égorgé des femmes.
Mais les bonnes âmes continuent de dire que ce n’est pas l’islam, et pourtant, Mahomet a bien volé, violé, tué et kidnappé des femmes (voir siraa nabayouia – vie du Prophète). Safiya Bent Houyay est une des nombreuses victimes des viols commis par Mahomet contre les captives de guerre et les esclaves. En effet, après tué son mari, son père et son frère, il la viola le soir-même. La tradition islamique rapporte qu’elle était consentante de coucher avec le meilleur homme sur terre depuis la création.

Et ce qui est encore choquant, c’est le silence des féministes occidentales qui sont muettes comme des carpes face aux crimes perpétrés par les hordes du Hamas contre les Juives.
Que la honte poursuive ces féministes de pacotille jusqu’à la résurrection.
Que leur faut-il de plus pour ouvrir les yeux sur les crimes monstrueux de l’islam depuis le IXe siècle ?
Et le Hamas, qui prétend être un mouvement de libération, avec son idéologie islamo-nazie est l’unique responsable du drame actuel des habitants de Gaza.

Hamdane Ammar




Les Chinois ne veulent plus de mosquées chez eux

Les mosquées assorties de madrasas (écoles coraniques) ne sont pas seulement des lieux de prière où l’on fait psalmodier aux « croyants » les délires péremptoires d’un chamelier illettré et pédophile, qui sévissait il y a 1400 ans.

En Chine, on les considère comme des structures de commandement pour les factieux et les sécessionnistes, des tribunaux privés façon mafia, et des viviers pour les terroristes… Il n’y a là aucune islamophobie. Ce sont les textes sacrés des mahométans et de leurs exégètes qui le disent. Avec un cynisme glaçant qui contraste avec l’habituelle takiya destinée à embobiner les infidèles.

Deux philosophies, deux façons de vivre incompatibles

Pour les Chinois, leur culture ancestrale se traduit par des pagodes, des palais et des demeures, respectant un équilibre avec la nature, dans la sobriété et la discrétion. Basée sur les principes du taoïsme et du bouddhisme, qui ont survécu à la révolution de Mao, elle doit exprimer un goût raffiné, une beauté philosophique et une pensée rationnelle.

Shanghai n’est pas la Chine, fort heureusement. Cette horrible verrue avatar de Manhattan en pire, déroge au bon goût pour des nécessités économiques… Les vieilles mosquées s’y donnent des airs de Taj Mahal du pauvre, et si certaines sont effacées dans les plans de rénovation urbaine, d’autres ont déjà été reconverties en musées.

Quoi qu’il en soit, les dômes, les minarets et les arabesques sur les façades des mosquées n’ont pas leur place en Chine ! Selon des données satellite recoupées avec les pleurnicheries habituelles, 18 000 mosquées auraient eu leurs éléments de style arabo-musulman détruits en 5 ans.

Symboles d’une emprise sur un territoire de conquête, les bâtiments les plus imposants sont des cibles prioritaires. Comme la mosquée de Doudian, près de Pékin. Une des plus grandes du Nord de la Chine, dont les dômes pesants et les minarets agressifs ont été éradiqués.

Quant aux petites mosquées provinciales, elles font connaissance avec le bulldozer comme en Inde. Une politique de fermeté qui a valu un triomphe électoral à Narendra Modi… Le monde entier rejette les djihadistes. Sauf les Francouillons et les princes islamistes.

Au Xinjiang terre d’incrustation de l’islam, 25 millions de Ouïgours prétendaient imposer leur loi à un milliard et demi de Chinois. En « marquant leur territoire » avec 25.000 mosquées dont 15.000, aux dômes et minarets ratiboisés, sont encore debout.

Les Chinois sont attachés à leur culture et fiers de leur passé, à la différence des lâches Européens tarés… La neutralité dont bénéficiaient les mahométans, dans un pays officiellement laïc, a pris fin il y a 20 ans quand ces bons apôtres ont exprimé leur amour et leur tolérance par une multiplication d’attentats, tous plus odieux les uns que les autres.

Une affaire de styles

Les islamo-collabos d’Europe ont poussé des couinements de porcelets castrés lorsqu’ils ont découvert le « scandale » des mosquées en Chine… Par contre, les églises vandalisées ou brûlées, les statues de saints saccagées, les crèches mises à la décharge, une cathédrale incendiée en France… rien à cirer. Tandis que pour ces traîtres, une mosquée rectifiée pour s’insérer dans le style local serait un crime contre l’humanité.

Les transformations architecturales visant à harmoniser les édifices religieux avec la culture chinoise s’étendent à l’ensemble du territoire. Bien évidemment, les régions les plus ciblées sont celles où se concentrent le plus grand nombre de mahométans. Les observations satellite montrent que dans le Ningxia, au centre du pays, plus de 90 % des mosquées à l’architecture islamique ont été éradiquées. Dans le Gansu adjacent, 80 % ont disparu du paysage. « On est chez nous et on fait ce qu’on veut chez nous » disent les Chinois.

Pour les mosquées restées ouvertes après avoir perdu leur aspect provocateur, divers systèmes de surveillance contrôlent les allées et venues des pèlerins. Caméras, drones, descentes de police inopinées. Pas question de laisser des prédicateurs salafistes exhorter au djihad.

Naturellement les permis de construire de nouvelles mosquées sont refusés… Parfois, plutôt que de démolir les mosquées, on leur trouve un nouvel usage. Les plus vastes abritent des bâtiments administratifs ou des dispensaires, ou sont reconverties en petits centres commerciaux. Celles qui ont du terrain autour peuvent faire des parkings.

Une forme d’humour chinois ? Alors qu’il fallait ôter ses babouches pour aller à la prière, dans le village de Huang Niwan situé dans la Préfecture autonome Hui de Linxia, la mosquée a été reconvertie en atelier de fabrication de chaussures. Un énergumène du cru, pas content, a brandi un couteau. Une policière lui a collé une balle dans la tête. Et on a présenté la facture du projectile à sa famille. Fin de la rébellion.

Une police efficace est une police aimée des paysans et crainte par les voleurs

Ainsi écrivait, il y a 2300 ans, Han-Fei-tse anticipant Machiavel in « L’art de gouverner » ou « Le Tao du prince ». En France, les honnêtes gens se méfient des flics dont ils ont peur, tandis que les voyous se rient de l’autorité… En Chine, c’est une autre paire de manches.

Selon une ONG mahométane de défense des droits de l’homme (mais quid de ceux des femmes ?) basée dans les émirats, une demi-douzaine de Hui auraient créé des désordres, en molestant des conducteurs d’engins de génie civil s’affairant à raser une mosquée. Les barbus ont été rasés avec. Sans supplément. Coupe dégagée au-dessus des oreilles.

Parmi les excellentes recrues de la police chinoise, dotées du permis de tuer, il y a des apostates militantes qui ont échappé à l’esclavage et règlent de vieux comptes. Pour elles, et pour leurs sœurs pas encore libérées. Ça, c’est du féminisme. Autrement plus efficace que de montrer leurs seins et leur cul.

On est impatient de voir à l’œuvre ces forces de l’ordre que Monsieur Xi a décidé d’envoyer à Paris pour protéger leurs compatriotes pendant les JO. Une nécessité depuis que la ville-poubelle a la réputation internationale de rivaliser avec les coupe-gorges de la casbah de Kaboul.

La désislamisation de la société chinoise

Tandis que nos bobos s’extasient des us et coutumes des envahisseurs, et les copient, se convertissent ou donnent à leurs moutards des prénoms arabes, les Chinois appliquent strictement le principe de la liberté religieuse qui figure dans leur Constitution. Chacun est libre de pratiquer le culte de son choix, mais en privé. Tout affichage ostensible d’une croyance est répréhensible et réprimé comme il se doit.

Ainsi chez les Hui du Ningxia, les autorités locales ont exigé en 2019 que les restaurants et les boucheries retirent les lettres arabes mentionnant le label « halal » sur leur devanture. Et envoyé en camp de travail les imams qui continuaient à attribuer cette certification prohibée.

D’autres directives ont été publiées pour interdire les distributions gratuites de corans dans les écoles, ou les visites organisées pour les enfants dans les mosquées… Quant aux bâchées, elles peuvent se déguiser tant qu’elle veulent à la maison. Dehors, arrêtées par la police, elles écopent de peines de prison ferme, aggravées en cas de récidives.

Un imam plus réaliste que ses coreligionnaires, interviewé par un journaleux français islamolâtre, reconnaît que le meilleur moyen de vivre tranquille est de ne pas attirer l’attention sur soi. Mais il craint que ses ouailles s’éloignent de la religion s’ils vont moins souvent à la mosquée. Bel aveu inconscient que, libérés de l’emprise des prêcheurs sur les esprits simples, des lobotomisés pourraient découvrir la liberté de penser. Au détriment de leur secte qui se déliterait.

Les Han ont commencé à réécrire le coran, en l’expurgeant de ses sourates les plus agressives

Plutôt que d’interdire le « Mein kampf » des mahométans, ils en ont fait un livre d’aphorismes philosophiques, de phytothérapie, de recettes de cuisine, de traités de puériculture, et de conseils de sexologie.

Il paraît que Xi Jinping supervise personnellement le rewriting et se fait présenter régulièrement un compte rendu des modifications envisagées. C’est dire l’importance qu’il accorde à l’éradication de cette secte, dont il ne suffit pas de réduire les manifestations architecturales les plus ostensibles pour ramener les fanatiques sur la voie de la raison.

La plupart des mahométans qui ne comprennent que le langage de la force ont fini par se calmer. Ceux de nationalité chinoise savent que la police, l’armée et la justice ne les louperont pas s’ils contreviennent aux ordres du gouvernement. Et ceux de l’extérieur qui ont noué des liens économiques et diplomatiques avec Pékin, comme l’Indonésie, la Malaisie et les États du Golfe, ont rangé la solidarité de l’oumma sous leur gandoura pour continuer à faire des affaires.

Christian Navis

https://climatorealist.blogspot.com/




Est-il possible de rééquilibrer un islamiste déséquilibré ?

Les déséquilibrés islamistes
Les déséquilibrés islamistes

La plupart, sinon la totalité des meurtriers musulmans qui ont sévi et sévissent en France, sont déclarés être des « déséquilibrés ».

Ce qui veut dire qu’ils n’ont pas « toute leur tête ». Mais ils ont tous leurs couteaux et leur haine de la France et des Français.

Comment lutter contre ce phénomène d’aspect psychiatrique spécifiquement islamiste ?

Il y a, bien sûr, des potions médicales magiques censées calmer ces esprits coraniquement surexcités qui veulent absolument finir en martyr en s’offrant un Français ou une Française.

Mais ces « potions » ne sont pas toujours acceptées par les candidats-martyrs musulmans.

C’est le cas du meurtrier du jeune touriste allemand samedi soir à Paris.

Le meurtrier, suivi pendant quelque temps pour des problèmes psychotiques et chaotiques dus à l’islam, avait arrêté, apparemment avec l’aval de son médecin traitant, de prendre les médicaments censés le soulager de ses tourments « psycho-chaotico-islamiques ».

Notre vaillant Moussa national de l’Intérieur pense avoir une solution au problème : des injections forcées de médicaments anti-attentat. Il appelle cela des « injonctions de soins ».

On va forcer tout fiché S à avaler les médicaments qui vont le dissuader de « passer à l’acte ».

On verra fleurir partout, dans les villes et les villages de France, des salles de « shoot » pour déséquilibrés musulmans. Des salles de rééquilibrage pour esprits déséquilibrés.

En France, on ne naît pas déséquilibré. On le devient. La justice française le permet. Le département de l’Intérieur l’encourage. Les déséquilibrés musulmans, ça existe seulement en France, pas dans les pays islamiques.

Les injonctions de soins anti-attentats, cela paraît une bonne solution, mais il faudrait l’appliquer à ceux qui en ont le plus besoin, le Mélenchon en premier.

Les socialistes et les communistes ont, certes, besoin aussi de ces soins, mais on ne peut pas combiner ces soins avec les soins palliatifs qu’ils reçoivent déjà.

Trouver une solution aux déséquilibrés meurtriers en France passe aussi par la nécessité de soigner et rééquilibrer les médias, les élus, les magistrats.

Nos dits « concitoyens » musulmans déséquilibrés semblent irrécupérables. Il faudrait trouver un autre moyen de les traiter.

J’en ai un, mais je n’ose pas en parler.

Pour éviter à Christine de se retrouver devant la 17e chambre.

Je reste équilibré…

Messin’Issa

https://resistancerepublicaine.com/2023/12/05/est-il-possible-de-reequilibrer-un-islamiste-desequilibre/




Mahomet fut-il réellement un beau modèle à suivre?

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Au nom d’Allah, le Clément :
« Quiconque obéit au Messager obéit certainement à Allah. Et quiconque tourne le dos… Nous ne t’avons pas envoyé à eux comme gardien » ( sourate 4, verset 80).
« En effet, vous avez dans le Messager d’Allah un excellent modèle [à suivre], pour quiconque espère en Allah et au Jour dernier et invoque Allah fréquemment » ( sourate 33 verset 21).
«Certes, Allah et Ses Anges prient sur le Prophète; ô vous qui croyez priez sur lui et adressez [lui] vos salutations. » (sourate 33 verset 56)

Les musulmans doivent suivre pas à pas le beau modèle de Médine. Et toute critique à son encontre conduit automatiquement à la mort. N’était-il pas habib Allah (l’ami de Dieu) ?
” Ô gens de Qoraïch ! Écoutez bien ! Au nom de celui qui détient mon âme entre ses mains, je suis venu à vous par l’égorgement ! » ?

Ces paroles sont sorties de la bouche du beau modèle de Médine.
Selon la tradition islamique et notamment la sirâa (la vie de Mahomet), le prophète de l’islam avait quitté la Mecque en 622 de l’ère chrétienne pour se réfugier à Médine (Yathrib) ou vivaient des tribus juives et arabes païennes. Et dès son installation à Yathrib, Mahomet y planta le décor en se comportant comme un vrai chef d’état, un législateur et un redoutable guerrier, déterminé à propager sa croyance par l’épée. Pour y parvenir, il établit le djihad (la guerre sainte) au nom d’Allah.

Le djihad, la conquête et le butin de guerre furent les base de sa stratégie pour imposer son idéologie.
Mahomet établit une charte à Médine afin d’appliquer sa croyance par la force. Il décréta des oukases contre les mécréants et notamment les Juifs.
D’invité à Médine, il y devint le maître. Et c’est ce que les islamistes tentent de faire actuellement en France avec le soutien des idiots utiles, des islamo-gauchistes, des wokistes et des mondialistes progressistes.

Après avoir consolidé son pouvoir à Médine, Mahomet se lança dans des razzias avec l’aide des saalïkas ( les bandits et les coupeurs de routes) qui s’étaient ralliés à sa cause, et en retour leur promit le paradis et ses délices sexuels dans l’au-delà et la rapine ici-bas. En deux ans, après sa venue à Médine, il organisa sept expéditions militaires contre les tribus qui étaient récalcitrantes à la nouvelle croyance islamique ( Al-Abwa, Bowat, Uchayra, la bataille de Badr, Kodr, Banu Qaynuqa, Sawiq).

En 624, Mahomet commit le premier nettoyage ethnique. En effet, il avait chassé de Médine (Yathrib), selon la tradition islamique, la tribu juive de Banu Qaynuqa, en l’accusant d’avoir voulu soutenir ses ennemis les Quraychites lors de la bataille de Badr en 624.
Au nom d’Allah, Mahomet avait chassé les Juifs de Banu Qaynaqa ( les authentiques habitants de Yathrib) tout en s’accaparant de leurs biens. Ainsi, il avait légalisé le vol, le pillage et les confiscations des biens des autres. Ce comportement était devenu tout à fait normal et licite ( hallal) pour les musulmans. Et ce qui se passe actuellement en France avec les agressions et les vols quotidiens est le résultat de cette histoire dont l’enseignement se fait actuellement dans les mosquées et les écoles coraniques.

Après les Banu Qaynaqa, en 625, Mahomet s’était attaqué à une autre tribu de Médine, les Banu Nadir, en les accusant d’une trahison fictive. Il leur avait reproché de refuser de s’acquitter du prix du sang (la diyya) qu’ils devaient payer pour le meurtre de deux Arabes, d’une part, et il les avait soupçonnés aussi de chercher à l’assassiner en lançant sur lui un rocher. Sous ces fallacieuses accusations, il leur déclara la guerre.

Craignant que Mahomet mette ses menaces en exécution, les Banu Nadir s’étaient réfugiés dans leurs fortins. Alors Il ordonna à ses sbires qu’ils coupent leurs palmiers et qu’ils les incendient. Face à ce danger existentiel, les Juifs avaient accepté de se rendre après quinze jours de siège. Alors, il exigea d’eux de lui céder tous les biens qu’ils possédaient à Médine et de la quitter pour aller rejoindre l’oasis de Khaybar, situé au nord du Hedjaz. ( Voir verset 2 de la sourate 59).

Une fois de plus, Mahomet avait montré ses capacités de chef guerrier qui était surtout obsédé par les biens d’autrui.
Après la bataille du Fossé, en 626, qui avait opposé les Quraychites et leurs alliés des autres tribus arabes qui avaient assiégé Médine, Mahomet s’attaqua à la troisième puissante tribu juive des Banu Qurayza qu’il avait accusée de l’avoir trahi, car ses membres avaient conservé de bonnes relations avec ses ennemis mecquois.

Selon les chroniqueurs musulmans, lorsque les Quraychites quittèrent Yathrib à la suite de la bataille du Fossé, Mahomet alla se reposer chez sa fillette-épouse favorite Aïcha, la mère des croyants. C’est là que l’ange Jibril ( Gabriel) vint le voir afin de lui transmettre un ordre d’Allah lui demandant d’aller attaquer les Banu Qorayza( sourate 8, verset 41).

Immédiatement, Mahomet mobilisa les sâalikas ( ses sbires) pour encercler le quartier juif des Banu Qorayza. Au bout de quinze jours de siège, les Banu Qarayza déposèrent les armes. Après leur reddition, Mahomet demanda à ses combattants de séparer les femmes et les enfants des hommes. Il s’empara ensuite de leurs biens et décréta la mort pour les hommes des Banu Qorayza et l’esclavage pour leurs femmes et leurs enfants. Il partagea ensuite leurs biens comme butin de guerre conformément au coran ( sourate 8 versets 1 et 30). Il ordonna de creuser une fosse au milieu du marché de Médine. Puis, il s’installa sur une tribune avec ses compagnons face à la fosse. Il fit défiler devant lui les sept cents à huit cents hommes des Banu Qorayza par petits groupes de cinq dont ses sbires tranchèrent la nuque et jetèrent leurs corps dans la fosse. Quant aux femmes des Banu Qorayza, Mahomet les distribua comme esclaves sexuelles de guerre à ses combattants, après avoir choisi Rayhana, bint Zayd Amrou pour lui parce qu’elle était rayonnante de beauté et était mariée au juif Abdulharem.

Le massacre des Banu Qorayza fut le début de la haine de Mahomet envers les Juifs selon le coran et la tradition islamique. L’antijudaïsme est omniprésent dans le coran où ils ont déshumanisés.
Et ce qui s’est passé le 7 octobre 2023 au sud d’Israël, le long de la bande de Gaza, illustre bien cette barbarie véhiculée par l’islam. Il n’y a rien de nouveau sous le ciel d’Allah qui a animalisé les Juifs et les chrétiens depuis quatorze siècles.

Mahomet continua à organiser des expéditions militaires contre les tribus arabes qui refusaient de se convertir à l’islam. Ainsi, il s’attaqua aux Banu Lihyan, aux Banu Mastaliq, aux tribus de Zou-Qoroud et de Houdaybiya.
Il lança ensuite un raid contre l’oasis de Khayabar où s’étaient réfugiés les Juifs de Banu Nadir qu’il avait chassés de Médine en confisquant leurs biens au nom d’Allah. Un vrai vol. Il exécuta leur chef et les expulsa définitivement du Hedjaz.

L’histoire de Safaya bint Houyay, épouse du rabinn Kinana ben Al-Rabl est édifiante. Après avoir tué son mari, son père et son frère, Mahomet la prit comme esclave sexuelle et la viola le soir-même.
N’oublions pas aussi que Mahomet avait épousé Aïcha à l’âge de six ans et consommé le mariage à neuf alors qu’il avait cinquante-trois ans. Allah accepta ce mariage en lui transmettant le verset 4 de la sourate 65 ( le divorce) qui légalise le mariage des filles pré-pubères.

La tradition islamique rapporte qu’elle fut consentante et heureuse de s’offrir à l’Envoyé d’Allah. Entre nous, quelle femme au monde normalement constituée, accepterait-elle de coucher avec un homme qui venait juste d’égorger les siens ? Un peu de bon sens et d’humanité, chers oulémas.

L’expédition mahométane de l’oasis de Khaybar reste encore vivace dans l’esprit des islamistes qui aiment radoter un chant religieux faisant référence à cette razzia de 628 en hurlant : « Ya Yahouds Khaybar, l’armée de Mohamed va revenir ». Ce chant était sur toutes les lèvres des criminels du Hamas qui avaient perpétré le pogrom du 7 octobre 2023 contre les jeunes fêtards israéliens.
Durant plus de dix ans, Mahomet avait organisé une centaine de razzias contre les tribus juives et arabes païennes de l’Arabie afin de les soumettre, de les voler et surtout de s’accaparer de leurs femmes pour ses besoins sexuels et ceux de ses compagnons.

Il n’hésita pas aussi à tuer et égorger toute personne qui lui tenait tête ou qui refusait son idéologie. Ainsi, il décapita un poète satirique de Médine, Kaab ben Al-Achraf, de la tribu juive de Banu Nadir. Selon la tradition islamique, Kaab ben Al-Achraf se moquait de Mahomet et aurait déploré les victimes des Quraychites lors de la bataille de Badr.

D’ailleurs, selon la tradition islamique, après la bataille de Badr, Mahomet cria : « Tuez tout Juif que vous rencontrez ».
Après, Kaab bin AL-Achraf, ce fut le tour d’un certain Abou Ezza d’être décapité par Mahomet, parce qu’il le raillait en contestant sa prophétie.
Un autre Juif du nom de Ghazzoul, qui jouissait d’une grande notoriété auprès de son clan, représentait un danger pour Mahomet qui décida de l’éliminer et chargea son gendre et cousin Ali ben Abi Taleb (quatrième calife bien guidé) qui l’égorgea comme un mouton dans un guet-apens.
L’assassinat de la poétesse Asma bent Merouane reste gravé dans la mémoire comme un exemple de la cruauté du prophète de l’islam et de ses sbires. En effet, Asma composait des poèmes satiriques dénonçant les agissements de Mahomet. Pour se débarrasser d’elle, il chargea un tueur à gages aveugle du nom Oumayr ben Adi dans la mosquée après la prière du soir. Celui-ci se présenta en plein nuit chez Asma qui donnait le sein à son nourrisson et autour de laquelle dormaient ses autres enfants. Il la palpa alors de sa main, et lui arracha le bébé et la poignarda à la poitrine en visant son cœur. Dès son retour, Mahomet lui décerna le titre d’Oumayr Al-bassir ( Oumayr le voyant) et lui annonça que : « deux boucs ne se donneraient pas un coup de corne pour elle ».

Car Oumayr ben Abi avait peur d’une vendetta de la part de la tribu d’Asma.
Son geste est encore d’actualité chez les islamistes qui visent le cœur de leurs victimes en plantant leur poignard.

Selon Tabari, Khaled ben Sofyan fut tué sur ordre de Mahomet pour contraindre son père à la reddition. Le père Abu Sufyan ibn Harb fut l’un des plus éminents dirigeants de la tribu Qoraychite.
Quant à l’assassinat d’Oum Kirfa, femme âgée et notable de la tribu arabe des Banu Fazara, Mahomet décida de la décapiter parce qu’elle avait refusé de se convertir à l’islam. Il envoya alors son fils adoptif Zayd ben Haritha pour la tuer. Ce dernier ordonna d’attacher chacun de ses pieds à un chameau et de forcer les deux bêtes à se diriger dans des directions opposées, jusqu’à ce que son corps s’écartèle et que mort s’en suive.

N’oublions pas aussi que Mahomet avait épousé Aïcha…. changer le verset 5 par le verset 4 de la sourate qui légalise le mariage des filles pré-pubères.
Il avait aussi pris la femme de son fils adoptif comme épouse légalisée par des versets coraniques. L’histoire de Zineb bent Djaïch ébranla à l’époque les arabes qui considéraient jusque-là l’adoption comme sacrée à laquelle il mit fin avec ce mariage.
D’ailleurs, en annonçant à son épouse Aïcha ce mariage, cette dernière lui dit : ” il faut croire que ton dieu est là pour satisfaire tes désirs”.

Pour mettre à nu, l’islam, il est important de décortiquer les paroles d’Aïcha rapportés par sahih Bukhari et sahih Mouslim où elle a compris que Mahomet n’était pas ce qu’il prétendait être.
« Appelez vos fils adoptifs du nom de leur père ce sera plus équitable devant Dieu. Si vous ne connaissez pas leur père, qu’ils soient vos frères en religion et vos compagnons » ( sourate 33, verset 4).
« O Muhammad : tu as dit un jour à cet homme envers lequel Dieu a été plein de bonté, et qu’il a comblé de ses faveurs : Garde ta femme et crains Dieu ; et tu cachais dans ton cœur ce que Dieu devait bientôt mettre au grand jour. Il était cependant plus juste de craindre Dieu. Mais lorsque Zayd prit un parti et résolut de répudier sa femme, nous te l’unîmes par mariage, afin que ce ne soit pas pour les croyants un crime d’épouser les femmes de leurs fils adoptifs après leur répudiation. Le précepte divin doit avoir son exécution » ( sourate 33 verset 37).

Mahomet avait aussi des esclaves sexuelles comme Maria la copte, Rayhana la juive de banu Nadir, Juwairiyah capturée lors du raid contre les Bani al-Mustaliq, et enfin Safiya des banu Nadir.
Allah avait octroyé à Mahomet des privilèges sexuels qu’aucun homme sur terre avant lui n’avait eu.
« Ô Prophète ! Nous t’avons rendu licites tes épouses à qui tu as donné leur mahr (dot), ce que tu as possédé légalement parmi les captives [ou esclaves] qu’Allah t’a destinées, les filles de ton oncle paternel, les filles de tes tantes paternelles, les filles de ton oncle maternel, et les filles de tes tantes maternelles, -celles qui avaient émigré en ta compagnie -, ainsi que toute femme croyante si elle fait don de sa personne au Prophète, pourvu que le Prophète consente à se forniquer avec elle: c’est là un privilège pour toi, à l’exclusion des autres croyants. Nous savons certes, ce que Nous leur avons imposé au sujet de leurs épouses et des esclaves qu’ils possèdent, afin qu’il n’y eût donc point de blâme contre toi. Allah est Pardonneur et Miséricordieux » ( sourate 33 verset 50).
« Tu fais attendre qui tu veux d’entre elles, et tu héberges chez toi qui tu veux. Puis il ne t’est fait aucun grief si tu invites chez toi l’une de celles que tu avais écartées. Voilà ce qui est le plus propre à les réjouir, à leur éviter tout chagrin et à leur faire accepter de bon cœur ce que tu leur as donné à toutes. Allah sait, cependant, ce qui est en vos cœurs. Et Allah est Omniscient et Indulgent » ( sourate 33 verset 51).

En 2023, rappeler ces frasques de Mahomet, c’est être islamophobe et désigné comme une potentielle cible pour les islamistes.
C’est ça, le vrai islam, alors qu’on arrête de claironner que l’islam n’est pas l’islamisme.
A tous ces intellectuels qui se relayent sur les plateaux de télévision, je les invite à lire les ouvrages de M Abboud Al-Shalgy, un historien irakien, ayant pour titre ‘Mawsouat al-azab fil-islam (Encyclopédie de la torture en islam, publié en sept volumes entre 1990 et 2002 à Budapest).

L’attentat de ce samedi soir, premier décembre 2023, à Paris où un fou d’Allah, Armand R (son premier prénom est Iman) d’origine iranienne a assassiné un touriste allemand de vingt-trois ans d’origine philippine, ne va pas changer l’orientation politique du pouvoir français envers l’islam, au contraire, il l’utilisera encore comme un moyen de gouvernance pour faire peur aux français, ces castrés qui ne savent pas où ils crèchent, car leur pays a été légué à un nouveau peuple.
L’oligarchie est l’alliée stratégique de l’islam. Toute autre approche n’est qu’un enfumage pour entuber les français. Pour faire diversion, elle fera appel à la psychiatrie, c’est-à-dire au djihad
psychiatrique que les islamistes savent vendre pour éviter la prison.

Lire l’article publié sur RL le 9 mai 2023 :

https://ripostelaique.com/lislam-instrumentalise-la-psychiatrie-pour-combattre-les-mecreants.html

Hamdane Ammar




Attentat de Grenelle : pourquoi tant de musulmans sont des déséquilibrés

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Dans mon ouvrage, « l’islam dévoilé » paru à la Nouvelle Librairie, sous l’égide de l’Institut Iliade, j’ai développé la thèse de l’islam générateur de troubles psychiques, en m’appuyant sur mon expérience et sur les travaux de personnes compétentes en la matière.

Je me permets donc de vous soumettre ce travail de réflexion qui permet de sortir des débats stériles sur la santé mentale individuelle de ces assassins pour envisager la racine du mal : l’islam lui-même.
Il me semble en effet qu’on ne pourra en sortir qu’en démontrant la toxicité de cette idéologie mortifère, afin qu’elle perde son statut de religion qui la met à l’abri de toute critique dans le cadre de la laïcité.
Je considère en effet que l’islam n’est pas une religion, mais une idéologie sans aucune transcendance.

Lors de chaque attentat djihadiste les médias parlent quasi systématiquement de personnes dérangées psychiquement, déséquilibrées. Même si cette dénomination est instrumentalisée de façon évidente comme une excuse pour minorer les faits, il semble possible de lui donner une consistance réelle, qui appelle une question politiquement incorrecte : l’islam rendrait-il fou ? Ou pour le moins, y a-t-il un rapport entre islam et violence ?
En 2010, le ministère de l’Intérieur allemand commandait un rapport à l’Institut de recherche sur la criminalité de Basse Saxe qui concluait que plus les musulmans sont pieux, plus ils sont violents.

Wafa Sultan, psychiatre d’origine syrienne, ex musulmane répond « oui » de façon argumentée dans son ouvrage « L’islam fabrique des déséquilibrés ? ». Les journalistes qualifient systématiquement de déséquilibrés nombre d’agresseurs musulmans qui, sans raison apparente, blessent ou tuent des malheureux qui ont eu le tort de croiser leur chemin au mauvais moment. Dans une société où règne la tyrannie du « Surtout pas d’amalgame » Wafa Sultan ose expliquer ces actes par l’oppression mentale qu’exerce l’islam sur ses disciples, dès leur plus tendre enfance.
Elle raconte notamment que lorsqu’elle était enfant, en Syrie, si on lui proposait de choisir entre des bonbons et tuer des juifs, elle optait pour la deuxième proposition et décrit comment les règles islamiques ont enfermé dans une prison mentale, depuis 1400 ans, les disciples d’Allah, les empêchant, par un devoir de soumission à des textes sacrés, de créer, d’inventer… et d’être heureux. Elle définit l’islam comme une « machine à laver le cerveau » et décortique les nombreuses causes de l’oppression des femmes musulmanes. Elle explique que cette particularité est en grande partie responsable de la pauvreté, intellectuelle, morale et matérielle des sociétés islamiques. Son verdict est clair : « musulmans, révoltez-vous, émancipez-vous de l’islam ». Pour elle « l’islam est une prison déjà incorporée (ou enracinée) à l’intérieur de l’esprit du musulman. Elle est hermétiquement fermée par une muraille épaisse en béton armé comme un « blockhaus ». Elle est entourée par des gardiens criminels qui ne lésinent pas de décapiter tout individu qui tente d’en échapper. Le musulman qui naît et passe toute sa vie à l’intérieur de cette prison, ne pourra pas comprendre la nature de la vie à l’extérieur.

Par conséquent, il s’y accroche, car il ne connaît rien d’autre. Cependant, l’ère de l’internet a tout bouleversé. Elle a ouvert un trou dans les murs de cette prison. Ce trou n’a cessé de s’élargir au cours des deux dernières décennies. Tout musulman est aujourd’hui en mesure de savoir comment l’être humain vit en dehors de sa prison islamique. Certes, le processus de changement a commencé, mais à un rythme encore lent pour les raisons suivantes : premièrement, parce que la mentalité qui s’est construite et consolidée durant quatorze siècles ne peut être rapidement modifiée ni facilement réhabilitée. C’est un processus qui nécessite beaucoup d’efforts et de temps. Deuxièmement, parce qu’en face, il y a des campagnes intensives menées par des groupes qui ont un grand intérêt à maintenir à tout prix le statu quo, afin de conserver leurs intérêts, leurs privilèges, leur fonds de commerce. Ils constituent l’obstacle majeur sur la voie du changement. Les mouvements libéraux et gauchistes en Occident en font partie. Au prétexte de respecter la liberté de croyance, ils mettent des bâtons dans les roues. »

Nicolas Sennels est un psychologue danois qui a longuement étudié le profil psychologique des jeunes délinquants dans les prisons danoises. Là-bas, comme en France, il a constaté une surreprésentation des musulmans avec plus de 70 % des incarcérés. Il décrit comment la culture musulmane exalte la colère et la violence symboles de force, et en même temps provoque une forte frustration lors de l’immersion dans nos sociétés basées sur d’autres valeurs, qu’ils méprisent et dont ils contestent le bien-fondé. Il précise que ce ne sont pas les problèmes sociaux qui engendrent ces troubles du comportement, mais à l’inverse que cette conduite entraîne les problèmes sociaux par inadaptation. Ce n’est donc pas par racisme systémique que les personnes issues de cette communauté ont des situations sociales difficiles. Il conclut son ouvrage, « Among criminals muslims » Free press society 2009 : « on a vraiment besoin d’une discussion sérieuse sur les liens entre la culture musulmane et les comportements criminels et antisociaux ».

Le Professeur Maurice Berger, pédopsychiatre spécialisé sur les adolescents ultra violents, issus essentiellement de familles musulmanes, décrit le processus essentiel de genèse de ce comportement : les violences intrafamiliales dès la petite enfance. C’est effectivement souvent l’ambiance dans les familles musulmanes, la mère étant le plus souvent l’objet d’un traitement violent et humiliant, et, paradoxalement, elle élève ses garçons dans un complexe de supériorité et de toute puissance, contribuant ainsi à la perpétuation de l’oppression.

Fethi Benslama est un psychanalyste d’origine tunisienne. Dans son ouvrage « la psychanalyse à l’épreuve de l’islam », il met au grand jour les refoulements constitutifs de l’islam. Il y parle d’une « psychopathologie de masse » et d’une tradition « d’interdiction de penser ». Pour lui, « la religion ne fait pas son retour car elle ne s’était jamais éloignée », « l’islam, tel un dormeur artificiellement mis en sommeil, se réveille en sursaut et dévisage le monde dans un état somnambulique ». D’où la volonté farouche d’un retour aux origines de l’islam, dans la matrice tutélaire protectrice, et « d’une volonté de vengeance effrayante des temps présents ». La misère sociale et psychique est rapportée à un relâchement à l’égard des origines. « La rétraction du devenir ne serait-elle pas le degré zéro du messianisme, voire même son contraire ». Pour cet auteur, « l’énonciation coranique comporte d’emblée une guerre interne au texte, un conflit violent entre parole de vérité et dire de fiction ».

Les islamologues Dominique et Marie-Thérèse Urvoy ont analysé les procédés rythmiques, structurels (répétition, amplification) et subliminaux mis en œuvre (« Action psychologique dans le coran » Le Cerf 2007). Le conditionnement par emprise orale est un procédé bien connu pour provoquer une auto-intoxication qui emprisonne dans une pensée unique déprise du réel. D’où le raisonnement circulaire, typique de l’islam.
Claude Levi Strauss, dans « Tristes tropiques », en 1970, confirme ces analyses : « Tout l’Islam semble être une méthode pour développer dans l’esprit des croyants des conflits insurmontables, quitte à les sauver par la suite en leur proposant des solutions d’une très grande (mais trop grande) simplicité. En fait, le contact des non musulmans les angoisse ». Les expériences de débat avec des musulmans sont la confirmation de cette attitude : nous avons coutume d’aller d’un point A à un point B et suivants de façon logique et linéaire, le raisonnement permettant de solder les points précédents mais l’interlocuteur musulman ne suit pas et revient sans cesse au point de départ. C’est le raisonnement circulaire. La psychiatrie en fait un symptôme de la schizophrénie, psychopathie dans laquelle le sujet interprète la moindre irruption du réel venant interrompre la circularité du raisonnement comme une agression et réagit par la violence. Il est facile d’en faire la constatation lors de discussions avec des mahométans, bien polis, voire obséquieux au départ et puis cédant à la colère et à la violence ensuite, lorsqu’on connait bien les textes et mécanismes islamiques ce qui permet de les amener dans une impasse logique.

Un autre facteur de frustration est la tension interne provoquée par le complexe de supériorité lié à l’appartenance à l’islam (sourate 3 verset 110 : vous êtes la meilleure des communautés qu’Allah a créé sur terre, vous « ordonnez » le bien et vous « interdisez » le mal ) et la constatation et l’évidence du retard du monde musulman dans tous les domaines. L’Occident est accusé de cet état de fait et de tous les maux et doit être détruit par la guerre sainte, toujours la victimisation, et il faut revenir à la chaude matrice originelle de l’islam, cet âge d’or fantasmé des origines.

De même, l’attraction-répulsion créée par les nombreux interdits coraniques crée une tension psychologique, des conflits internes insurmontables, une frustration intense caractéristique de la schizophrénie. C’est particulièrement net pour les relations hommes-femmes !
Enfin l’univers du musulman, entouré d’ennemis qui attaquent l’islam, ce délire obsidional de la cité assiégée par les impurs peut entraîner à l’évidence un délire paranoïde.

On peut donc en conclure que oui ! L’islam a des conséquences psychiques : schizophrénie, paranoïa, frustration, violence.

Alain de Peretti




Darmanin, arrêtez de prendre les Français pour des imbéciles

Une dizaine d’attentats, qui auraient pu être commis par « l’ultra-droite », ont été déjoués en France ces dernières années, nous a annoncé Gérald Darmanin. Nous aimerions en savoir davantage sur ces « attentats », Monsieur le ministre de l’Intérieur. Car, si la France devait désormais avoir davantage peur de l’ultra-droite que de l’ultra-gauche et des « faits divers » quotidiens et sanglants commis par une partie non négligeable, par ses actions, des radicalisés étrangers et binationaux, il serait, à mon humble avis, nécessaire que vous nous teniez mieux informés.

S’il s’agit uniquement de manifestations pacifiques avec banderoles indiquant qui sont nos ennemis, ou de quelques barrages sur certaines frontières passoires afin d’éviter une invasion incontrôlable, ce ne serait pas très grave, convenons-en. Mais si vous nous apprenez qu’il s’agissait de possibles attentats avec explosifs, ou des massacres armés de « Bougnoules », alors, bien évidemment, il nous faudrait craindre le pire, n’est-ce pas ?

Mais êtes-vous persuadé, Monsieur le ministre, que dissoudre quelques organisations ou groupuscules, qu’ils soient de droite ou de gauche, serait une solution radicale ? Allons donc ! Vous savez parfaitement que les membres se rassemblent tout aussi nombreux, et même à mon avis, bien plus nombreux.

Mais qu’elle sera votre solution quand ce ne seront plus des organisations ou des groupuscules qui manifesteront plus violemment, et peut-être armés, mais une grande partie de la population lassée, fatiguée, de subir, de se laisser piétiner, agresser, poignarder, violer, etc. Comment vous y prendrez-vous pour les « dissoudre » ? Comme dans certains pays (par exemple l’Iran) ordonnerez-vous que les forces de l’ordre « tirent dessus » ? Ce que vous n’avez jamais osé faire contre la racaille, les dealers, les barbares, etc. qui occupent déjà une partie importante de notre territoire.

Nous comprenons parfaitement votre stratégie, qui est identique à celle de toute la gauche : il est préférable pour votre politique laxiste de diriger tous les soupçons vers de prochains désordres, prévisibles selon vous, de la nouvelle menace de l’ultra-droite, que sur les violences, les agressions, les viols, les meurtres, que nous subissons chaque jour et dont nous connaissons, hélas parfaitement, qui en sont les auteurs.

Si vos prédécesseurs et vous-même, Monsieur le ministre, aviez-eu la volonté de prendre les décisions courageuses, comme celles d’expulser « tous les OQTF » et tous les « migrants » dangereux et d’employer la force contre les zones de non-droit, vous ne seriez pas devant l’obligation de présenter comme une menace précise ces groupuscules d’ultra-droite qui, pour le moment, sont loin d’avoir été un danger pour notre République… et ce n’est pas le cas pour bien d’autres groupuscules !

Arrêter de nous « seriner » que telle racaille ou tel tueur est né en France, donc français. Ne nous prenez pas pour des  « débiles ». Bien au contraire, vous laisseriez votre nom en bonne place, Gérald Darmanin, en proposant à nouveau « la déchéance de nationalité » pour tous ces « Français de papiers » auteurs d’agressions et de crimes.

Dans le cas contraire vous serez considéré, dans l’histoire de la Ve République, comme le sont vos prédécesseurs, c’est-à-dire des « bonimenteurs de boulevard ».

Manuel Gomez




Islam-islamisme : pourquoi deux mots ?

POURQUOI DEUX MOTS ?

 

Notre langue française est si belle et si riche que les gauchistes de toutes sortes s’appliquent à l’assassiner par piqûres successives de poisons tels que l’écriture inclusive, le franglais, les pronoms personnels asexués, les initiales à rallonges incessantes et autres mots improbables. Ne leur demandez pas pourquoi ils trouvent par ailleurs que notre langue est compliquée, pleine d’exceptions, de conjugaisons difficiles et de mots dont ils ignorent le sens. C’est tout simplement parce qu’ils ont la paresse d’apprendre. Mais ils veulent bien compliquer à leur manière avec toutes ces nouveautés qu’ils présentent comme une évolution nécessaire et obligatoire de notre langue aux racines anciennes. Ne leur demandez pas non plus s’ils ont lu, pour leur édification, des auteurs tels que Michel de Montaigne, Jean-Bénigne Bossuet, Charles-Louis de Montesquieu, Voltaire, Nicolas de Condorcet, François-René de Chateaubriand, Alfred de Vigny, Alexis de Tocqueville, Gustave Flaubert, Charles de Gaulle, André Malraux… Ils ne les ont pas lus non seulement parce qu’ils n’auraient rien compris, mais aussi parce que ces esprits élevés ont expliqué, chacun avec ses mots, que l’islamisme est, depuis sa création, le pire des ennemis des nations civilisées et des consciences lucides. « La lucidité, la blessure la plus proche du soleil », en disait René Char. Mais ils ne l’ont pas lu non plus.

Christianisme, bouddhisme, judaïsme, taoïsme, hindouisme et toutes autres religions ne sont désignées que par un seul mot pour chacune, ce qui est à la fois précis et suffisant parce que intrinsèquement explicite. Ainsi est notre sémantique, laquelle réunit ces différents mots par une terminaison phonétiquement commune. Il est cependant une singulière exception concernant l’islamisme. Il se nomme aussi islam. Il est le seul à être ainsi désigné par deux mots. Mais est-il vraiment une religion ? Élève-t-il l’humain vers les hauts domaines de la spiritualité ?

Beaucoup de gens pensent que l’utilisation de ces deux mots est nécessaire pour distinguer deux parties d’un tout, l’une qui serait bonne et l’autre qui serait mauvaise. Notons qu’il s’agit bien d’un tout puisqu’il n’y a qu’un seul livre fondateur, que les érudits en la matière déconseillent de traduire afin de ne pas en altérer le sens. Ainsi la signification originelle est-elle sévèrement transmise et défendue comme telle. Islam est un mot de langue arabe signifiant soumission. On ne voit pas pourquoi nous devrions utiliser ce mot d’une langue étrangère alors que nous en avons déjà un, d’autant plus que son sens impérieux est éloigné de la notion d’évolution spirituelle avec laquelle nous considérons les religions. De plus, les défenseurs de l’utilisation de ces deux mots prétendent faire le tri entre le bon et le mauvais précisément en fonction de la morale chrétienne dont leur pensée est issue, quand bien même ils renient le christianisme. C’est en effet la civilisation chrétienne à laquelle nous appartenons qui nous a faits tels que nous sommes. Les dérives gauchistes initiées depuis 1968 engendrant toutes les aberrations d’aujourd’hui, linguistiques et autres, ne sont qu’une parenthèse dans l’histoire de la France, qui existait avant 1968 et aussi bien avant 1789 (autre problème de langage, certains confondent la France et la République). Ainsi en est-il pour l’islamisme, que les esprits aliénés par le gauchisme omniprésent persistent à différencier de l’islam, malgré toutes les preuves passées et actuelles de l’aberration suicidaire de cette exception sémantique unique en son genre.

Le livre fondateur de l’islamisme, le Coran, est un livre unique, que certains considèrent comme le seul ouvrage de référence, rejetant tout autre livre comme étant hérétique, inutile et vain, même s’il ne traite pas de religion. Ce livre fondateur est un guide auquel les adeptes de l’islamisme doivent se conformer. Peu leur importe donc ce qu’en pensent les étrangers à leur communauté. Un chrétien accepterait-il qu’un non-chrétien prétende lui expliquer ce qu’il doit comprendre et appliquer dans les Évangiles, ce qu’il doit accepter ou non en faisant un tri arbitraire dans ce que tout chrétien considère comme un écrit sacré ? Bien sûr que non ! Il est donc stupide, vain et dangereux de considérer qu’un adepte de l’islamisme ne fera qu’appliquer ce qui ne nous dérange pas, ne nous menace pas, voire nous paraît folklorique, et qu’il ne décidera pas, un jour, d’appliquer des commandements visant directement notre civilisation, notre identité et notre intégrité physique. Des passages du Coran ciblant les étrangers à l‘islamisme, en particulier les chrétiens et les Juifs, conduisent des adeptes de l’islamisme à toutes les horreurs que l’on sait. Il n’y a pas de tels résultats dans les comportements des pratiquants des religions citées supra ni de n’importe quelle autre. Aucune non plus ne fait autant parler d’elle par sa différence d’us et coutumes et sa non-intégration dans la civilisation qui est la nôtre sur notre sol. Des intellectuels de pacotille peuvent toujours déblatérer, en se prenant très au sérieux, à propos des différentes sous-sectes de l’islamisme, le résultat est toujours le même, l’application de commandements du Coran appelant à répandre l‘islamisme sur toute la Terre, en ne laissant la place à rien d’autre. C’est bien ce qui existe dans tous les pays où l’islamisme est la base de la structure sociale, étatique et nationale. On peut aussi observer leur niveau d’évolution. Tout cela est factuel.

Il est d’une urgente actualité de repenser ce curieux concept engendrant ce singulier binôme désignant une même chose. Les mots ont un sens. Ils sont faits pour cela. Albert Camus disait : « Mal nommer les choses c’est ajouter au malheur du monde ». Nommons donc l’islamisme tel qu’il est, ne le cautionnons pas avec des jeux de mots concernant des réalités qui ne sont certes pas des jeux. Cessons donc de nommer l‘islamisme par son petit nom en langue arabe résonnant comme un coup de fouet, nommons-le par son vrai nom, celui de notre langue française. Les tragiques événements récents au Moyen-Orient et dans la Drôme nous rappellent que l‘islamisme ne désarme jamais, qu’il est conquérant et dominateur. Il n’est plus temps de tergiverser ou de faire des discours intellectuels. La société multiculturelle est un leurre, c’est en réalité une société multi-conflictuelle. Il n’est que de savoir que c’est dans les pays gouvernés par l’islamisme qu’il y a le plus d’attentats, les adeptes des différentes sous-sectes se faisant la guerre entre eux. Alors avec les étrangers à l‘islamisme… Le temps est venu de savoir si nous voulons que notre pays, nos enfants deviennent islamistes, OUI ou NON. Il n’y a pas de joker, ce n’est pas un jeu. C’est la guerre.

La question est simple : OUI ou NON ?

Daniel Pollett




Chers Français, vous n’avez encore rien vu, le pire est peut-être à venir…

20 août 1955

En Algérie, les « événements » (comme l’on disait pudiquement à l’époque) duraient depuis 10 mois. Les opérations militaires contre le FLN avaient donné des résultats déterminants et Jacques Soustelle, gouverneur général de l’Algérie, préparait l’annonce d’une solution politique. Pour contrecarrer ce projet, le FLN décida de frapper un grand coup pour créer « un fossé de sang » entre les populations européennes et maghrébines, comme le révélera l’un de ses chefs capturés par l’armée française.

Chef FLN du nord-constantinois, Youcef Zighout fut chargé d’organiser le massacre d’El Halia. Ce village abritait les familles d’ouvriers d’une mine de pyrite. Kabyles et immigrés d’origine italienne étaient logés à la même enseigne, mêmes salaires, mêmes conditions de vie. Cette égalité de statut et cette entente entre les deux populations étaient inacceptables pour le FLN.

Le 20 août 1955, à 11 h 30, deux bandes de tueurs attaquent le village par ses deux extrémités et massacrent 123 personnes, de toutes religions, de tous sexes, de tout âge. Outre les égorgements des hommes (après ablation du sexe et vision du viol de leurs femmes et de leurs filles) et l’éventration des femmes, méthode habituelle, on note pour la première fois des personnes dépecées, vraisemblablement tant qu’elles étaient vivantes. Les enfants en bas âge sont saisis par les pieds et fracassés contre les murs ou découpés au hachoir. Victimes de ces atrocités : 71 européens, 52 musulmans, 120 disparus.

Le massacre accompli, le groupe de tueurs se replie à Philippeville, à 15 km d’El Halia, le groupe de tueurs du FLN se replie à Philippeville où l’alerte a été donnée. Il y sera exterminé par les hommes du commandant Paul Aussaresses, alors chef du renseignement militaire.

Élevé au grade de colonel par le FLN, Youcef Zighout sera nommé au Conseil national de la révolution algérienne et abattu au cours d’une tourné de propagande dans la région de Collo le 25 septembre 1956.

L’historien Roger Vétillard a établi un bilan des massacres du 20 août 1955 à 133 morts civils européens, 36 morts musulmans francophiles (dont le neveu de Ferhat Abbas) et 47 morts membres des forces de l’ordres. Soit 216 morts et au moins 119 blessés, sans compter les disparus.

La riposte de l’armée française aurait fait 700 morts le 20 août, et les vengeances de civils plus de 2.000 tués les jours suivants (et non pas 12.000 revendiqués par le FLN).
Les conséquences de ce soulèvement sont tragiques : la fracture entre les communautés s’est créée et ne cessera de s’aggraver. « C’est la guerre, il faut la faire », déclare le gouverneur Soustelle qui abandonne tout projet de politique libérale.

Ces photos du massacre d’El Halia ont été publiées à la demande de Robert Lacoste dans un livre blanc. Quelques années plus tard, sur Arte, une journaliste les qualifiera de « photos hystériques » (sic).

28 mai 1957

Melouza est un douar situé sur les hauts plateaux du Hodna à l’orée de la Kabylie. Y vivent 400 habitants de la tribu des Beni-Illemane qui, refusant de se soumettre au FLN, ont rejoint le parti du MNA représenté dans la région par un certain « général » Bellounis qui combat le FLN à la tête d’un maquis d’un millier d’hommes.

Mohamedi Saïd, ancien auxiliaire de la gestapo française puis colonel waffen SS dans la 13e division SS Handschar, est responsable FLN de la willaya 3. Il planifie le massacre de Mélouza et donne l’ordre à son adjoint Mohand Ouddak, ancien chauffeur de taxi parisien, d’éliminer tous les hommes âgés de plus de 15 ans.

Le 28 mai 1957, 600 tueurs du FLN investissent le douar et rassemblent tous les habitants, séparant les femmes des hommes et des garçons de plus de 15 ans. Le massacre commence à 14 heures, à l’arme blanche pour éviter que des coups de feu n’alertent l’armée française. À coups de hache ou égorgés, 315 hommes et adolescents sont ainsi massacrés.

L’expérience gestapiste de Mohamedi Saïd le conduit à tenter de faire accuser l’armée française du massacre par le biais d’un tract diffusé aux médias, mais le mensonge est trop grossier et ne prend pas.
Après l’indépendance, Mohamedi Saïd s’oppose à Houari Boumediene et se réfugie à Paris où il mourra paisiblement en 1994.
1954 – 1962

En 1962, après l’abandon de l’Algérie, les Pieds-Noirs furent très mal reçus par les Français. Pourtant, de 1943 à 1945, 17 classes d’âge furent mobilisées dans l’armée d’Afrique pour libérer notre nation de l’occupation allemande.
Les Français n’ont retenu aucune leçon des atrocités commises par le FLN en Algérie. Au contraire, ils ont élu des politiques qui ont laissé s’installer sur notre sol des millions d’Algériens dont les enfants ont été élevés dans le rejet, voire la haine de la France.
En Algérie, de 1954 à 1962, les tueurs se trouvaient parmi les voisins, les camarades de classes, les collègues de travail.

Il se pourrait bien que cela se reproduise en France un jour prochain…
J. Van Rijsel

N.B. Wikipédia a publié une liste non exhaustive des attentats et tueries commises par le FLN durant la guerre d’Algérie.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Attentats_pendant_la_guerre_d%27Alg%C3%A9rie

Jean-Yves Léandri