Ce que disait le commissaire Pellegrini, en 2005…

Résultat de recherche d'images pour "PHOTO banlieue en flammes"

Aujourd’hui, je me contenterai de livrer un extrait de l’excellent livre du commissaire divisionnaire Charles Pellegrini, “Banlieues en flammes”, écrit au lendemain des émeutes de 2005.

Ce livre pourrait être écrit aujourd’hui, à ceci près que tout s’est aggravé dans des proportions inavouables par les autorités.

Avec 1 000 agressions gratuites par jour, on ne peut pas dire que la sagesse et le bon sens aient gagné les esprits de nos élites dirigeantes.

75 % des Français ne se sentent plus en sécurité mais tout va bien.

Un total manque de volonté politique, une lâcheté absolue par peur des émeutes.

Car l’exemple de New-York est là pour prouver qu’avec de la volonté, la peur peut changer de camp et force revenir à la loi.

De 1990 à 1998, le nombre de meurtres annuels est passé de 2 245 à 633 !

Cela s’appelle la “tolérance zéro”, et ça marche !

Mais revenons à 2005. C’était déjà la catastrophe, couverte par l’omerta.

“Que fait la police” ?

“Elle se lasse car elle en a assez d’arrêter des délinquants qui sont aussitôt remis en liberté et elle en a assez de la cécité ambiante qui minimise les faits les plus graves”.

“Intervenir dans les banlieues ? L’interpellation d’un seul individu doit être encadrée par des brigades entières pour maintenir l’ordre. Suivent pendant des jours des représailles à l’encontre de tout gardien de la paix ou représentant institutionnel.”

Toute immixtion sur le territoire de ces jeunes entraîne des affrontements et des émeutes, et donc une image médiatique déplorable du quartier. Les maires sont donc les premiers à conseiller à la police de ne pas y mettre les pieds.”

“Et quand un drame arrive, la réalité est étrangement déguisée. Ainsi, quand, les jeunes d’une cité de Vitry-sur-Seine se livrent à des émeutes suite à “l’assassinat” d’un des leurs, ils oublient que l’incident s’est produit après une attaque à main armée dans une banque, que les malfaiteurs ont tiré sur les policiers à la sortie du braquage, et que c’est par légitime défense que ceux-ci ont ouvert le feu et touché un des malfrats qui, soit dit en passant, était un multirécidiviste connu des services de police.”

“Les nuits qui suivent connaissent de terribles échauffourées : des dizaines de voitures brûlées, un commissariat est pris d’assaut à l’aide de fusils et de grenades (venues de l’ex-Yougoslavie) et l’on crie au meurtre, on demande justice pour le “gentil-camarade-victime-de-la-société.”

“Le taux d’élucidation des crimes et délits est passé de 52 % en 1972 à 28 % en 2003 ! Et sur ce faible pourcentage, l’inexécution des décisions de justice a aussi de quoi décourager les policiers. Elle atteindrait les 58 % pour les peines de prison ferme, et les sursis avec mise à l’épreuve ne sont exécutés que dans 25 % des cas.”

Ces extraits illustrent à merveille le laxisme judiciaire et le renoncement des élites dirigeantes à rétablir l’ordre républicain dans les banlieues.

13 années ont passé et tout s’est aggravé, la population d’origine immigrée ayant augmenté de 4 millions de personnes sur la période.

Rappelons que les 2/3 des détenus sont musulmans. (Jack Lang)

Le lien immigration-insécurité est indéniable.

“Le danger ne vient plus nécessairement de l’extérieur, mais peut provenir des populations non intégrées en recherche d’identité.”

“Serons-nous capables d’imposer nos valeurs et notre culture face à ce prosélytisme qui sape notre attachement à la laïcité, remet en question la mixité et la place des femmes dans notre société, et nous expose à la menace du terrorisme” ?

En 2018, nous connaissons la réponse : NON ! Renoncement permanent et angélisme suicidaire sont gravés  dans l’ADN de nos dirigeants.

Ajoutons à cela la complicité de la presse qui pratique l’omerta, jusqu’à défendre l’indéfendable, et on mesure l’ampleur du désastre.

Charles Pellegrini disait clairement en 2005 ce que tous les autres taisaient.

Voilà un policier, ex-patron de l’OCRB, qui ferait un excellent ministre de l’Intérieur !

Jacques Guillemain

image_pdfimage_print

12 Commentaires

  1. Celui qui ferait l’affaire, en fait, il y en aurait beaucoup, mais sans les ordres d’intervenir, on peut mettre n’importe qui, c’est ce qui se passe aujourd’hui, ce n’est certainement pas Castaner qui va dire aux CRS de charger ses amis muz.

  2. Laxisme judiciaire et laxisme de l’Etat. Les deux ne nous servent plus à grand chose si ce n’est à ponctionner toujours plus notre portemonnaie.
    Que pourrons-nous faire en face de voyous prêts à tout et armés à mort ? De plus, nous aurons contre nous : la police, la gendarmerie, les CRS et l’armée. S’ajouteront aux muzz tous les gauchos et les cathos proches de François. Bref, les meilleurs d’entre nous périront ou seront enfermés à vie.
    Seules les urnes peuvent nous sauver.

  3. Au lieu de craindre des révoltes façon 2005 , il faut au contraire tout faire pour porter la racaille à incandescence et la mener à sortir du bois pour en finir avec elle ./
    Tout doit être entrepris pour parvenir à la grande casse généralisée , seule voie d’ accès aux solutions finales que sont la liquidation physique des islamogauchiottes et la remigration massive des afromuzz sans compter la restauration de l’ ordre .
    Puisse ce jour arriver vite , l’ impatience grandit !

  4. triste constat: la réalité ne fait même plus peur aux zélites mais quand ils en seront victimes ils réfléchiront peut être, comme cette bénévole à calais violée par un migrant!

  5. La banlieue pratique un rapport de force , pour l’instant elle à l’impression qu’elle est gagnante puisque l’Etat prend des gants quant aux décisions drastiques à prendre face à cette violence bien calculée et dirigée d’ailleurs par sa complicité tacite
    Pour commencer , ,,, contrôle des naissances , ça suffit cette super production de prochains dégénérés pondus pour nous détruire .Comment ? mais en supprimant les aides sociales , allocs et autres après le deuxième enfant . Ce n’est pas à notre pays de nourrir en notre sein ces futurs petits soldats éduqués par un Islam délirant !!
    C’est par ces pondeuses que les vers se multiplient !!!

  6. Charles Pellegrini, écœuré, travaille maintenant dans le privé.
    Dommage.
    Il reste le criminologue Xavier Raufer, mais il va falloir encore attendre pour que ces voix dissidentes parviennent aux affaires , la macronie s’accroche au pouvoir comme des morpion à des poils de fesses.

  7. Quarante ans de laxisme politique et judiciaire et voilà le résultat : avant de vouloir ramener la paix et la sécurité en France occupée, il faut d’abord mettre au pas la justice “Mur des Cons” et ses juges marxisés jusqu’à la moëlle et réformer le droit à la légitime défense des forces de l’ordre, sans oublier de construire au moins 30.000 places de prison supplémentaires.
    Tout représentant de l’ordre en uniforme ou clairement identifié par un brassard de police devrait avoir le droit de riposter avec son arme de service à toute attaque caractérisée à son encontre, que ce soit au moyen d’armes par nature ou d’armes par destination, seul ou en bande.
    Force doit dans tous les cas rester à la Loi.

  8. Les juges sont des gonzesses pour la plupart qui mouillent la petite culotte devant mouloud le buldybuldé le dealer a la porshe payée cash !!! il n’y a plus de prison qui punissent et il y a une justice d’assistante sociale ( c’est une dictature militaire qu’il nous faut ….malheureusement) Ce n’est pas des conneries et je vous met la photo des juges pour 2018 ci dessous 90% de petites cochonnes
    http://www.enm.justice.fr/?q=actu-15102018-Concours-complementaire-2018-146-candidats-admissibles

    • Assistante sociale, non ! Au minimum complicité. Ne pas oublier que le chaos est leur gagne-pain.

Les commentaires sont fermés.