Réseaux sociaux censurés : les journalistes rêvent de retrouver leur monopole !
Nous n’avons déjà pas beaucoup de liberté d’expression mais cela va être pire ! Au détour de la loi « sécurité globale » nous apprenons qu’écrire, parler ou diffuser sur internet nous vaudra les foudres de la justice hors du droit de la presse.
Nous savons déjà que les cibles des juges seront les Français de sang. Pour les musulmans, les migrants, les Français de papiers pour qui la France est un hôtel, rien ne changera, ils pourront toujours appeler à tuer Mila ou des professeurs d’histoire en toute impunité, critiquer l’accueil des Français et nous traiter de racistes, de colonisateurs, bref, de nazis pour reprendre le vocable des antifas.
J’ai lu également qu’un des projets du gouvernement est que les photos « terroristes » soient retirées en moins d’une heure des réseaux sociaux. Pas de la presse mais des réseaux sociaux. Réseaux sociaux qui étaient les seuls espaces de liberté d’expression restant en France. La photo d’un enfant de clandestin mort sur une plage, OUI, la photo d’un Français décapité par un musulman, NON. Car l’une sert à l’acceptation de l’invasion en terrorisant par la culpabilité la ménagère de moins 50 ans, l’autre non.
Ce sont les journalistes qui disent le Bien et le Beau. Ce nouveau clergé pense et parle à notre place. Techniquement depuis internet, chacun peut prendre la parole, filmer le réel et diffuser ses pensés. Au début nous étions peu à le faire, nous passions sous le radar. À présent que la quasi-totalité des Français a un accès internet et que plusieurs millions s’en servent, c’est la panique ! Comment faire taire le peuple ? Comment faire pour que les Français ne s’organisent plus façon Gilets jaunes grâce aux réseaux sociaux ?
Sortir du droit de la presse les réseaux sociaux et plus généralement tout discours non validé par la caste journalistique fait partie du plan du gouvernent pour nous faire taire.
Mais les censeurs mondialistes sont également bien implantés chez Wikipédia, via des ayatollahs d’ultra-gauche qui y sont devenus administrateurs. Je soupçonne beaucoup d’entre eux d’être des profs, pour être aussi obtus et dictatoriaux, je ne vois que cela. Sur Wiki les seules sources valables pour les administrateurs sont les sources venant des journalistes. Lien vers une école ou académie d’art pour sourcer le parcours d’un artiste non valable pour eux ! Il faut pour les administrateurs de Wiki qu’un journaliste ait publié dans son média les informations qu’il a lues comme toi sur le site internet de l’institution où l’artiste a fait ses études, pour que l’information soit acceptée. Résultat, des pans entiers de connaissances n’y sont pas alors qu’elles sont disponibles. Ce que méprisent et ignorent les journalistes n’existe pas. C’est pratique pour le pouvoir en place qui ainsi rend invisible ses véritables opposants.
Et il y a pire ! Un livre et son auteur, pour être dans Wiki, ne doivent pas être auto-édités ! Alors que pour faire face à la censure, les nationalistes se sont organisés et s’autopublient, c’est un comble. Ainsi toute la jeune génération est invisibilisée du grand public. Il reste les écrivains à la Renaud Camus qui, ayant été publiés par des maisons d’éditions en début de carrière, sont tolérés par Wiki.
Si vous recherchez un passe-temps utile, devenez contributeur et plus simple, lecteur de Wiki. En restant parfaitement neutre vous pourrez y rester, y rectifier des erreurs, ajouter du contenu, bref guider le grand public et ne pas abandonner le français de base aux délires des gauchistes mondialistes suicidaires.
Nos opinions sont des délits. Techniquement grâce à internet et au téléphone portable nous pouvons être des journalistes, mais nous n’avons pas la carte de leur club de privilégiés, donc nous devons la fermer. Pour Wikipédia n’existe que ce que la presse relate. Bonne chance pour 2021.
Brenton Anders