C’est arrivé près de chez vous : violences belges

Ou : Close (à gauche) est une ordure – preuve par 9

Je précise que je n’accuse en aucun cas les policiers qui n’ont fait que leur métier, et regrette que certains d’entre eux (26 !) aient été blessés. Si vous ouvrez votre journal, on ne parle que d’eux et non des centaines et des centaines de jeunes manifestants estropiés hier par les susmentionnés à votre ordre, et asphyxiés depuis des mois.

Ceux dont les copains, s’ils ne se sont pas encore suicidés, se bourrent d’antidépresseurs, consultent un psy, vivent 24 h sur 24 seuls dans une chambrette de 9 à 12 mètres carrés, sauf aller-retour dûment masqués chez les restos du cœur afin de s’alimenter.

Hier soir, en arrosant mon potager, j’entendais les hélicoptères tournant autour du quartier. Comme récemment, après le cambriolage d’un banque toute proche. Une amie m’appelle et me dit : il y a eu un attentat, on entend les ambulances, et ça pète de partout.

Effectivement, un peu plus tard, j’ai pu filmer une partie de notre rue, enregistrer le raffut des pétards, des ambulances et des autogires policiers.

La police à cheval chargeait d’honnêtes citoyens pour avoir osé enfreindre les règles d‘enfermement forcé !

Nombre de vidéos montrent des canons à eau et des gaz lacrymogènes brisant des foules de manifestants anti-suffocateur, anti-enfermement, anti-isolement, au Bois de la Cambre. La nation européenne a mis en place des règles de verrouillage du «niveau d’alarme quatre» (totalement illégales). Des policiers armés de gaz lacrymogène et de matraques ont été vus chargeant la foule à cheval alors que ces dernières, à bout, étaient bien obligées de se défendre.

22 arrestations (Pur scandale, voir plus bas). Plusieurs dizaines de policiers, sept chevaux de la police et huit manifestants blessés ce jeudi lors de l’évacuation du bois Au moins un, touché à la tête, a été transporté à l’hôpital. Ses jours n’étaient pas menacés. (Non, mais bien entendu, nos policiers ne sont pas des brutes, tout de même…).

Tactique dite “I cant breath” pratiquée dans les espaces verts bruxellois

Sept cheveaux blessés ? Je vous laisse imaginer la brutalité de l’intervention.

De nombreuses bouteilles de verre ont été jetées vers des policiers. Et alors ? Ils n’ont pas de monture, eux, ni de canons à eau, ni de matraques ! Car en plus, à Bruxelles comme partout ailleurs, interdiction de rouspéter. NO GRUMBLE. NO COMPLAINING ! Comportez-vous comme des moutons, et si vous êtes bien sages, vers la mi-mai, on vous servira un nouveau mensonge !

Policier bilingue mettant le grappin sur un jeune garçon pour défaut de distantiation

Parmi les participants au rassemblement, huit ont été blessés. Deux ont reçu des soins sur place et deux blessés ont été emmenés à l’hôpital. Les blessures ne sont pas toutes liées à l’intervention policière. „Il y a par exemple un participant qui a été heurté par une barre de fer“, précise un journaliste corrompu, la patte bien graissée.

Close, je le connais – facon de parler, je ne l’ai jamais approché – en revanche, je lui ai déjà écrit plusieurs fois. J’explique pourquoi.

En juillet dernier, alors que Bruxelles n’était pas encore remise du carnage des « Black matters » ayant saccagé une partie du centre-ville, le grand manitou islamo-friendly autorisait officiellement une « manifestation » de coranikes exigeant le port du torchon crânien au sein des universités. Mais « seulement 400 » avait-il ajouté. J’y étais et j’en ai compté plus de 4000. J’ai l’œil. Mon métier précédent m’obligeait à compter des foules plusieurs fois par jour. Et la police était là, attention, pas qu’on vienne reprocher à Close de manquer à ses obligations. Mais ni chevaux ni canon à eau. Juste des fonctionnaires apathiques, thermos de café et tartine de sirop de liège à la main. Dans la voiture, la radio transmettant le dernier exploit des diables rouges. Flemmards, nonchalants. J’ai pourtant tenté de les motiver, d’attirer leur attention sur l’insubordination de ces furies. De ces harpies fagotées qui, au lieu d’être reconnaissantes pour le cadeau qu’on leur fait en leur offrant des études, n’arrêtent pas d’en vouloir plus, toujours plus.

Hier, c’était différent. Plus de thermos de café ni de reportage sportif. Du sérieux. On chargeait les étudiants. Les garçons et les filles qui souffrent. Que l’on empêche de respirer, que l’on enferme, sans cours, sans rencontres, sans la moindre possibilité de voir des amis. Attention : ils sont blancs. Les filles ne portent pas de torchon sur la tête, juste leurs cheveux, blonds, châtains, avides d’air et de soleil.

Je connais plusieurs d’entre eux, étudiants en droit, en médecine, en architecture. Deux jeunes apprentis privés de leur formation. Trois musiciens que je rencontre régulièrement. Virtuoses, travailleurs. Courageux. Titulaires de nombreux prix. Je leur accorde désormais la médaille du courage. Merci à vous, merci de nous défendre, de vous battre pour nous, les assoupis, les fatigués, les somnolents, les moutons.

La police avait-elle le droit de disperser la foule à l’aide de boucliers, de matraques, d’autopompes et de chiens enragés ? Où étaient les „bikers“ qui symbolisent le dialogue et le la police de “proximité” ? De nombreux enseignements sont à tirer des faits survenus hier. Sur le coup de 16h45, les policiers ont tenté par tous les moyens – les plus démesurés – de disperser les personnes encore présentes : autopompes, charges alignées, renfort de la cavalerie, brigade canine, etc.

Des méthodes cavalières, intimidantes et manquant d’humanité. Le rassemblement se déroulait dans le calme. Le fait de voir le dispositif des forces de l’ordre se déployer n’a pu qu’attiser leur envie d’exprimer leur colère.

Close, lui, précise que la situation a toujours été sous contrôle. On se demande bien où il était… Pas au bois de la Cambre en tout cas!  Sans vous manquer de respect, monsieur le maire, vous êtes un salopard de gros menteur.

Vous allez les empêcher de respirer, Close ? Les masquer comme vos copines muzz ? Les garroter selon votre bon vouloir ? C’est ça que vous voulez ? Car ces « jeunes » (j’ose à peine utiliser ce terme, ayant l’habitude de l’user pour les copains du bourgmestre) sont eux une véritable chance pour leur pays. Ils étudient, ils se perfectionnent. Non, Monsieur le maire islamo-compatible, ce ne sont pas eux qui restent au lit le matin pendant qu’oumma leur tiédit le lait de chamelle. Ils se lèvent pour bosser, eux.

Belgique: les mesures sanitaires contestées avec succès (journalmetro.com)

Auriez-vous oublié que la Belgique a été condamnée par le tribunal de première instance de Bruxelles à mettre fin à ses grotesques mesures sanitaires dans les 30 jours?

J’en déduis que c’est vous qui naviguez en pleine illégalité.

Vincent Gilles, président SLFP police :“Je suis outré et révolté”. Tiens comme maqueron après la décapitation de Samuel Paty !!

Il poursuit : « on a le droit de trouver les mesures Covid stupides, illégales et fatigantes au bout d’un an mais pas le droit de frapper sur des policiers qui ne font que rappeler ces règles, généralement avec diplomatie ! A cheval, Monsieur le président ? En chargeant les contestataires ?

 Et vous, Monsieur le maire, combien de mégères bâchées avez-vous arrêté ? Elles qui contrevenaient manifestement aux dispositions de distanciation physique ? Avec votre autorisation ? Aucune ? Elles sont toutes rentrées chez elles en pleine forme ? Même pas un ongle cassé ? Tous les fanions islamiques irréprochables?

 Si l’état utilisait seulement un quart du tiers de l’énergie pour combattre l’islamisme grimpant, le monde serait presque un paradis.

Mais l’état, en la personne de Close et avec mes propres sous, finance la réalisation d’une fresque gigantesque en hommage à un dealer noir oppressé par un policier !

Anne Schubert

P.S. : je vous souhaite de bonnes fêtes de Pâques (et non, ce n’est pas la fête du printemps !), une joyeuse chasse aux œufs avec vos enfants, des bisous, des attentions pour tout le monde et je m’en vais embrasser mes enfants, munie d’un énorme dossier administratif, dûment tesee négative, à condition que les nouvelles indictions et assignations de madame merkel (spécialiste des frontières grandes ouvertes) m’empêchent de franchir la ligne de démarcation, bien entendu.