C’est la France qu’on assassine face à une population anesthésiée

En cette année 2020, nous avons été gâtés  :  nous avons assisté à la valse des épidémiologistes, des pneumologues, des virologues, des chimistes, des biochimistes, des chercheurs, des physiciens, des infectiologues. Tout le gotha de la recherche, de la médecine était au rendez-vous. Nous avons eu droit à un festival de personnalités du monde scientifique, médical médiatique, politique. Ce fut un défilé, une succession, une suite ininterrompue de spécialistes, chacun y allant de son  couplet, sur un fond musical de marche funèbre. On se serait cru à la cour du roi Pétaud.

Après des mois d’atermoiements, de mensonges, de contre-vérités, qu’avons-nous appris sur une pandémie, qui, au départ n’était qu’une petite grippette, aux yeux de quelques spécialistes plus portés sur le retentissement médiatique que sur la vérité scientifique ?

D’où venait ce virus, comment a-t-il pu se propager si rapidement, quels pouvaient être les remèdes ? Que de questions sans réponse ! Et 12 mois après, on nage toujours dans l’incertitude.

Puis ce fut la comédie des masques : cela ne sert  rien, mais surtout portez des masques qui sont introuvables, et le comble fut de porter des masques partout, dans la rue, dans les bus, dans sa salle de bain et aux toilettes.

Après une période de confinement, puis de déconfinement, puis un intermède de couvre-feu, puis à nouveau un reconfinement. Il semblerait que les pouvoirs publics ont été dépassés, désemparés, déboussolés, perdus.

Comme si cette période tragi-comique d’un virus importé de Chine ne suffisait pas, nous fumes frappés par une série de crimes perpétrés au nom d’Allah.

Et là aussi, le gouvernement, dans son infinie sagesse, détourna l’attention des Français en proposant de réfléchir aux aspects du « vivre-ensemble ».
Puis ce furent les multiples déclarations, lamentations, les pleurs d’un pays meurtri , où les criminels, les assassins, les barbares ont droit de cité.

Quand se décidera-t-on à extirper ce poison qu’est l’islamisme ?

Quand les Français ouvriront-ils les yeux ?

Doit-on considérer qu’il est désormais trop tard pour agir ?

Face aux actes de terrorisme, il nous reste les mouchoirs et les commémorations.

Face au désarroi de certains ministres, clamant leur ignorance, sur des sujets d’actualité et totalement inopérants.

Face aux revendications et aux appétits inextinguibles des mahométans, nous offrons notre mansuétude infinie.

Face aux affaires  nébuleuses et donc non éclaircies, nous nous réfugions dans le silence ou dans des discours abscons.

Face à quelques scandales qui entachent la crédibilité du pouvoir, on esquive le sujet en adoptant une position de neutralité.

Mais que fait notre gouvernement, et que fait notre Président ?

Face à ces situations plus ou moins explosives, nos dirigeants posent des rustines, en évoquant la prévoyance ou la précaution. Notre gouvernement et sa cohorte de ministres plus ou moins compétents, et notre flamboyant Président nous abreuvent  et nous comblent de discours, d’allocutions, de flots de paroles.

La seule chose dont nous soyons fiers, ce sont des logorrhées, des océans de paroles, un verbiage permanent pour tout et n’importe quoi. Les radios, les chaînes de TV sont devenues des tribunes où l’on parle pour le plaisir de parler, pour se distinguer…

Les médias sont devenus des amplificateurs pour les imposteurs, les bluffeurs, les mystificateurs qui n’ont de cesse d’ergoter sur tout et n’importe quoi. Tenir le micro, ou jouer les vedettes devant une caméra, voila de quoi flatter son ego. C’est la foire aux verbiages, c’est la foire aux nullités.

« Quelle époque terrible que celle où des idiots dirigent des aveugles » (William Shakespeare)

Demain, nous serons confrontés aux nombreux islamistes libérés et qui n’auront qu’une hâte : se venger.

Questions : sommes-nous dirigés par des fous ? des incapables, des nullités, des inconscients ?

Quand nous entendons notre Président déclarer « les jeunes issus de l’immigration  sont une chance pour la France…) oubliant au passage que depuis plus de 10, 20 ans ces jeunes pourrissent les banlieues, saccagent nos villes, meurtrissent les forces de police

Quand nous entendons notre Président déclarer  « la France n’a pas de problème avec l’islam », il oublie simplement de dire que l’islam a des problèmes avec la France.

Nous n’avons pas de problème avec l’islam, mais plus de 80 % des délinquants sont d’origine musulmane. Hasard, fatalité, ou statistiques mensongères ?

Depuis Vincent Auriol (au lendemain de la guerre de 45), la France a vu défiler 10 Présidents (dont l’actuel).

Notre dernier président la République est un Président hybride, pratiquant avec plus ou moins de bonheur la politique du balancier, cherchant à s’attirer les suffrages et de Droite et de Gauche et des écolos, et des immigrés, et des syndicats, et des patrons.

C’est la devise sacrée du « en même temps » où chacun pourra reconnaître les siens.

Il est grand temps que nous changions de pilote.

Il est grand temps que les Français se réveillent et prennent leur destinée en mains, sinon…

Yves RECTENWALD