Chalot le gauchiste dénonce les dealers… mais soutient l’immigration !

Nous avons déjà évoqué dans plusieurs articles le cas de ce sympathique personnage, mélange d’Abbé Pierre et de Léon Trotski, qui se nomme Jean-François Chalot. L’homme se dit toujours militant d’extrême gauche, il se prétend laïque et internationaliste. Pourquoi pas ! Il milite dans des associations locales du 77, et a des responsabilités nationales dans une association familiale immigrationniste, le Cnafal.

Dans cet article, paru sur le site des Associations familiales laïques, Jean-François Chalot (qui a milité un temps avec notre fondateur, Pierre Cassen, avec lequel, en dépit de divergences sérieuses, il entretient une relation amicale) semble découvrir que ce sont les classes populaires qui sont les premières victimes de la surdélinquance, parmi lesquelles les territoires perdus de la République, aux mains des dealers.

http://aflmelundal77.over-blog.com/2019/02/montaigu-entre-desesperance-et-espoir.html

Le constat pourrait paraître sympathique et courageux, sauf si on se souvient de la célèbre phrase de Bossuet : “Dieu se rit des hommes qui déplorent les conséquences dont ils chérissent les causes”.

S’il y a une surdélinquance due aux trafiquants de drogue, entre autre, c’est à cause d’une immigration massive, sauvage, majoritairement africaine et musulmane, pour laquelle Jean-François Chalot et ses amis se sont battus de tout temps. Ce sont eux qui se sont opposés, et avec quelle virulence, à toute mesure voulant permettre l’expulsion des délinquants étrangers. Ce sont encore eux qui ont multiplié les démarches pour donner automatiquement la nationalité française – au nom du droit du sol – à tous ceux qui naissent en France, même si, tels ces djihadistes qui vont bientôt revenir de Syrie, ils sont aux antipodes de nos valeurs. Ce sont eux enfin qui ont, de tout temps, voté pour des immigrationnistes qui nous imposent, depuis plusieurs, 400 000 nouveaux venus tous les ans. Ils ont par ailleurs combattu, et avec quelle violence, ceux qui refusaient le tsunami migratoire, les comparant à des disciples d’Hitler, rien de moins.

Et maintenant, des Jean-François Chalot et autres, constatant l’ampleur du désastre qu’ils ont provoqué, gémissent et réclament des commissions Théodule et autres tables rondes pour trouver les bonnes solutions, sans par ailleurs oser cette revendication minimale : l’arrêt immédiat de toute immigration, et le renvoi chez eux des délinquants étrangers.

Mais Jean-François Chalot et ses amis sont dans le camp du Bien, bien sûr, et ils ne peuvent parler comme les très méchants militants qu’ils classent, dans leur logiciel sclérosé, à l’extrême droite.

En attendant, les dealers continuent à faire la loi et des clandestins, dont beaucoup renforceront leurs rangs, arrivent tous les jours, et les classes populaires, ceux qui n’ont pas les moyens de partir, n’ont plus qu’à raser les murs.

Encore merci, la gauche et l’extrême gauche immigrationniste !

Jeanne Bourdillon