Chez les Macron, cherchez la femme

On trouvera l’expression la plus ancienne chez Juvénal (fin du Ier siècle – début du IIe siècle de notre ère) dans sa Satire VI, 2423 : nulla fere causa est in qua non femina litem mouerit (« Il est peu de procès où l’ardente chicane/ d’un sexe querelleur n’ait emprunté l’organe. »).

Elle est reprise dans le roman Les Mohicans de Paris (1854) d’Alexandre Dumas.

« Cherchez la femme, pardieu ! Cherchez la femme ! »

Dans les polars, l’enquêteur qui comprend où « chercher la femme » parvient souvent à résoudre l’énigme! Et nous, alors ? On n’enquête pas, peut-être ?

Les admirateurs et autres adorateurs de la plus belle première dame du monde n’approuvent pas notre entêtement à couvrir des centaines de pages en nous servant de Brichel macron (Merci Daphné R.), comme si c’étaient des bruits de gare, des bavardages oiseux, des jabotages de femmes frustrées, avides de commérages !

Que le fallacieux nabot mente est un fait prouvé ! Inutile de revenir là-dessus. Mais qu’il joue au sauveur de la planète en nous cachant ses propres fourberies ! Comment lui faire confiance lorsqu’il s’agit de nous injecter un produit suspect, à nous et à nos enfants, si petits soient-ils !

« Il y a une femme dans toutes les affaires ; aussitôt qu’on me fait un rapport, je dis : « Cherchez la femme ! »

Le problème ici, c’est que de femme, il n’y a point !

Malgré le tablier en soie birmane ceint pour ne pas se souiller en faisant sauter les pommes aux lardons, malgré les perruques, les faux cils, les seins en silicone, les talons de 15 cm et les jupettes coûteuses (je sais, elles ne sont qu’empruntées), malgré un « cabinet », plusieurs secrétaires et des tasses à thé en porcelaine de Sèvres, on peut chercher longtemps, on ne trouvera pas !

Ceux qui se scandalisent que l’on se préoccupe des origines de Brichelle l’hoberelle ne se rendent pas compte que le véritable fait majeur est que l’on ne sait rien d’elle avant Macron.

Écrivez-donc « Brigitte Macron jeune » sur Internet et voici ce que vous trouverez :

Et quand on sait que l’on ne sait rien, en vérité c’est précisément parce qu’on ne sait rien que l’on sait que l’on nous cache quelque chose d’énorme ! Si on ne prend pas en considération l’hypothèse du transsexualisme de Brigitte, la biographie du couple factieux est incohérent pour tout esprit rationnel…

Brichel “porte plainte“ après la circulation d’une honteuse rumeur !

Il fait quoi, Maître Ennochi ? Lui si « rompu à l’exercice » ? On lit qu’il aurait « brisé le silence », mais je n’ai encore rien entendu ! Rompu peut-être, mais pas de premier prix d’empressement, en tous cas.

Ce que tous les Français se demandent : Le 2ème homme de France va t’il participer à l’élection de Miss France Transgenre 2022 ? Nous vous tiendrons au courant.

Un homme, moi ? Mensonge !

 

Et si on interrogeait Claude Hugo, professeur de Français retraité, sur le nombre incommensurable de clichés de lui à côté de Brichel, surtout sur la légende dans toutes les langues, mandarin et tonkinois compris.

Plus prochjes :  Brigitte et son époux André Louis Auzière, Lady Macron with her first husband, Frau Macron mit ihrem ersten Ehemann !

Et la pointure des talons aiguille de la marquise du Faubourg ?

Il suffirait de mesure la largeur des marches du palais et de comparer avec celles qu’a certainement prises « son » chausseur ! Car la si « solaire » pensionnée de l’éducation nationale a « son » avocat, « sa » maquilleuse, « sa » coiffeuse et « ses » cuisiniers.

Rien de nouveau, l’Histoire est un perpétuel recommencement : vous vous rappellerez sûrement Berthe de Laon, la mère de Charlemagne ? Appelée Berthe aux grands pieds ?

La dame, voyageant à Paris, se marie avec Pépin le Bref, c‘est là que survient la trahison de Margiste (vers 168 à 693). Dans la forêt du Mans, elle vit plusieurs mésaventures (vers 694 à 1235)^. Pendant ce temps le roi vit avec la fausse reine à Paris pendant plusieurs années, jusqu’à ce que France de Blanchefleur se rende compte de la trahison. Elle est punie (vers 1445 à 2459).

Pépin, égaré dans ladite forêt lors d’une partie de chasse, rencontre Berthe-aux-longs-petons et tente d’abuser d’elle. Berthe lui révèle son identité, et Pépin le Bref fait appeler Blanchefleur, qui confirme qu’il s’agit bien de leur fille (vers 2460 à 3290).

Quand Brichel a été bien sage, le bref actuellement au pouvoir  l’autorise à porter ses baskets Vuitton (un prêt, s’entend !)

Question : si les chausses de la chatelaine sont empruntées, quelqu’un d’autre doit les utiliser ensuite ! Trouvez-donc des individu/es souhaitant se mouvoir sur des talons aiguille de pointure 44 !

L’ex-mari fantôme, les savates démesurées, les opérations répétées, un vrai pataugis !

Vous ne me croyez pas ? M’auriez vous crue si je vous avais dit, il y a trois ans, que des enfants de 5 ans et moins seraient piqués de force dans notre pays ? Sous la menace de lourdes amendes ? Si je vous avais raconté qu’on vous offrirait une grande part de napolitaine ou de quatre fromages pour vous faire injecter du venin dans le gras du bras ? Que vous pourriez boire votre café assis, mais pas debout ? Certes non.

Serait-ce donc si réprouvable de réclamer la transparence promise par le candidat macron,

juste après avoir donné des dîners frénétiques dans son duplex vue imprenable sur Paris ? En huit mois, des dinettes qui auraient coûté 120 000 euros d’argent public ?

Anne Schubert

P.S. : je ne renonce pas, la prochaine fois, je m’attacherai à feu André-Louis, le mari « effacé » au point d’être devenu nul et non avenu.