Chine et complot mondialiste

 

Il semblerait que, de l’offensive capitaliste mondialiste que nous affrontons, la Chine soit l’un des piliers centraux :

1. Hunter Biden est fortement compromis avec la Chine qui l’aurait grassement payé pour son influence au sein du gouvernement Obama via son père Joe ;

2. Il semblerait que la Chine soit accusée d’être l’un des endroits où auraient été imprimés les faux bulletins de vote. Or, dans un pays comme la Chine, aucune impression de ce type ne peut se faire sans l’assentiment du gouvernement. Si c’était prouvé, cela équivaudrait presque à une déclaration de guerre qu’il faudra ensuite gérer par voie diplomatique ;

3. Enfin, rappelons-nous que, en parfait accord, comme par hasard, avec des projections effectuées dans les années précédentes, l’épidémie de covid s’est déclarée à Wuhan en Chine. Pourquoi les capitalistes mondialistes ont-ils choisi la Chine pour lancer la première serrure de leur clé covidienne, pour préparer la mise en place de la dictature mondiale ? Ce n’était pas pour l’attaquer, mais parce que, pour lancer correctement la psychose covidienne, il leur fallait un pays comme la Chine.

Pourquoi ?

a) parce que les gouvernants chinois sont de l’espèce de ceux qui se fichent complètement de la vie de leurs compatriotes,

b) parce que seul un régime dictatorial pouvait avoir le total contrôle non seulement de l’information, mais aussi des moyens d’intoxication, de désinformation – non seulement nous avons vu sur nos écrans des images officielles effrayantes de files d’attente interminables, de soignants équipés comme pour une expédition sur la planète Mars, mais aussi des images prétendument « volées » montrant des gens à terre en pleine rue ou dans un casino (en avez-vous vu d’autres depuis, en provenance d’autres pays ?).

Il n’y a pas d’un côté l’UE et les autres pays dirigés par des capitalistes mondialistes, de l’autre la Chine. Les instances dirigeantes de part et d’autre s’apprêtent à instaurer une dictature mondiale des banques et des multinationales dont elles sont les servantes. Et cela n’a rien à voir avec du communisme.

C’est du CAPITALISME D’ÉTAT GLOBALISÉ À L’ÉCHELLE PLANÉTAIRE, qui s’inspire directement du régime capitaliste d’État chinois : libéralisme économique comme fondement d’un laisser-faire total dans les conditions d’exploitation du prolétariat et unification de la classe capitaliste exerçant sa dictature comme un corps organique, comme un être unique ou comme une famille, répartissant les fruits de l’exploitation entre ses membres, à l’image de la bureaucratie du Parti-État. L’objectif que se donnent les capitalistes mondialistes dans leur offensive planétaire est l’instauration d’un CAPITALISME DE SUPER-ÉTAT, sur le modèle capitaliste d’État de l’URSS et de la République Populaire de Chine, juste adaptation de la dictature de la classe capitaliste à l’échelle du globalisme qui s’est mis en place avec la restructuration du capitalisme dans les années 70.

Et si la « gouvernance mondiale », si la « Grande Réinitialisation », vous tentent, rappelez-vous ce qu’ont subi les Russes et les Chinois avec le goulag et les camps de rééducation par le travail, avec la militarisation de l’industrie, le « Grand bond en avant », la « Révolution culturelle ». Ce n’est qu’un petit aperçu de ce qui nous attend, sous la domination idéologique des Khmers verts et des « antiracistes » racialistes, des traqueurs de cisgenres et des délateurs de producteurs de CO2, des indigénistes et des réclameurs d’excuses, des islamistes et des gauchistes bolchevico-staliniens. Les représentants des capitalistes mondialistes s’apprêtent à instaurer une dictature mondiale des banques et des multinationales. Cela n’a rien à voir avec le communisme.

C’est (à nouveau) du CAPITALISME D’ÉTAT GLOBALISÉ À L’ÉCHELLE PLANÉTAIRE qui s’inspire directement du régime capitaliste d’État chinois : libéralisme économique comme fondement d’un laisser-faire total dans les conditions d’exploitation du prolétariat et unification de la classe capitaliste exerçant sa dictature comme un corps organique, comme un être unique ou comme une famille, répartissant les fruits de l’exploitation entre ses membres, à l’image de la bureaucratie du Parti-État.

Le CAPITALISME D’ÉTAT GLOBALISÉ À L’ÉCHELLE PLANÉTAIRE procède de cette même mise en commun, non des moyens de production afin de faire disparaître le prolétariat (communisme), mais bien des rouages de l’exploitation d’un prolétariat (nous) ; ses tenants en envisageant froidement non seulement la réduction en esclavage sous surveillance étroite et contrôle permanent, mais aussi la réduction par élimination pour ceux des humains qu’ils considèrent comme inutiles, ce afin de réduire leurs charges.

Nous avons tous été abusés par un coup monté, une fraude sanitaire, qui a son pendant avec la fraude électorale sur la base d’un même principe propagandiste : “Plus le mensonge est gros, mieux il passe” (Goebbels, ministre nazi de la Propagande).

Saurons-nous montrer que nous ne sommes pas des moutons que l’on peut mener sans crainte à l’abattoir ?

François Tara