Christine Lagarde : encore plus des clandestins au service de l’ordre mondial

RI7LagardeChariafinance ch'adore2Nous avions eu, en la personne de l’ex directeur du FMI, le « meilleur économiste du monde ». Il était l’inspirateur de la loi sur le temps de travail établissant la durée légale de celui-ci à 35 heures dans notre pays. C’était précisément son plus haut fait d’arme, celui qui permettait à certains d’en faire l’exemple et la quintessence de la pensée moderne, en remplacement de leur ancien dieu vivant c’est-à-dire Jean Maynard Keynes.
Par bonheur, le destin chaotique de DSK nous épargna une cure plus avancée de ses élucubrations dangereuses mortifères.
Mais voilà que, provenant du même organisme prétendument gestionnaire des intérêts du monde, le FMI, nous arrive une nouvelle salve de recommandations « éclairées » qui pourraient trouver une oreille bienveillante dans la gouvernance de nos vieux pays pourtant jadis si prudents. Ces conseils sentencieux nous sont assenés par Christine Lagarde, elle aussi directrice du fameux fonds, elle aussi considérée par certains comme une experte de haut vol.
Que dit-elle ?
« Les pays avancés doivent voir comment ils peuvent élargir leur approche pour accueillir plus de réfugiés… Cet afflux peut être d’abord bénéfique aux pays d’accueil, il pourrait aussi permettre de s’attaquer au vieillissement de la population dans les pays riches ».
A ce stade, on peut se demander si ces chevronnés connaisseurs du développement prennent véritablement en compte l’intérêt des peuples auxquels ils s’adressent. Nous serions en droit de nous demander si au contraire ils ne cherchent pas à favoriser un intérêt qui n’est pas le nôtre.
Car enfin, comment expliquer qu’un afflux massif de gens, qui, pour la plus grande part, ne disposent d’aucune qualification, qui ne parlent pas la langue de notre pays, pourrait entraîner notre économie vers le haut ?
Comment croire que ces populations, à la culture si opposée à la nôtre, aux croyances dont nous savons bien ce qu’elles peuvent produire de dangereux, pourraient s’assimiler et s’inscrire dans notre cohésion sociale ?
Comment oublier que notre pays compte déjà 5 millions de personnes sans attache avec le monde du travail ? Comment ne pas prendre en considération que l’Europe compte elle-même, déjà, 25 millions de chômeurs ?
Il ne me semble pas utile d’être un champion de la pensée économique pour estimer que quand il n’y en pas assez pour ceux qui sont là, il ne saurait y en avoir pour d’autres cohortes. Il me paraît aussi qu’il serait plus sage d’aider ceux qui ont besoin d’être aidés d’une autre manière qu’en les accueillant sans discernement ni projet cohérent et sérieux.
Quant à l’idée du repeuplement par l’immigration nous devons lui préférer une véritable politique de la natalité qui aurait l’avantage d’éviter le grand remplacement et de préserver l’identité à laquelle nous tenons quoi qu’il en soit.
Jean-Jacques Fifre