Comme la majorité des musulmans, les Allemands n’étaient pas des barbares…

Si l’attitude des musulmans purs et durs ne nous pose aujourd’hui plus guère d’interrogation (ça fait longtemps qu’ils ont jeté le masque), celle des dits modérés  ou plus exactement des peu motivés par leur religion est la plupart du temps génératrice d’ambiguïté qui me fait dire que ces derniers sont, à terme, autant à craindre que les purs et durs. Concernant ces peu motivés, Il est un fait que l’on nous dit régulièrement qu’ils sont des gens biens, souvent de bons voisins qui n’embêtent personne avec leur culte, qui ne pratiquent pas ou peu, etc., et qu’on ne voit pas pourquoi il faudrait les stigmatiser ou au minimum se méfier d’eux à propos de leur religion. C’est tant mieux et on aimerait qu’il en soit ainsi pour tous. Mais, il y a un mais !

Dans ces cas là, il m’arrive de faire la comparaison entre les musulmans actuels  et les Allemands vivant à l’orée de la Seconde Guerre mondiale.

Comme la majorité des musulmans, les Allemands n’étaient pas des barbares. Le peuple allemand n’était ni plus ni moins civilisé que le peuple français. Tous deux avaient le même niveau d’instruction, avaient généré des hommes et des femmes d’exception dans nombre de domaines et n’avaient aucune appétence spéciale pour faire la guerre.

Mais en ces temps là, le peuple allemand était tombé sous l’emprise d’un gourou du nom de Hitler.  Comme chez les musulmans, il y avait les purs et les durs qui avaient compris que pour être du côté du pouvoir, il fallait faire complète allégeance au gourou dominateur, quitte à pratiquer les pires horreurs envers les opposants. Il y avait bien quelques uns encore dotés de conscience, qui voyaient clair et qui cherchaient à se rebeller. Mal leur en prit car comme chez les apostats mulsulmans, il finirent non pas égorgés mais en fumée dans les cheminées des camps de la mort. Mais entre les deux, il y avait la masse des modérés ou des résignés qui se disaient que c’était comme ça, que c’était le système et qu’il fallait faire avec, que c’était la fatalité. Et eux aussi, sans trop y réfléchir suivaient le mouvement en faisant mine de ne pas voir les atrocités pratiquées par les purs et durs comme le font la plupart des musulmans dits modérés. Comme les musulmans peu motivés, les Allemands n’avaient pas trop le choix, ils essayaient de se faufiler dans le système tout en respectant un minimum les dogmes, en faisant le moins possible de vagues et en pensant que les purs et les durs allaient leur foutre la paix.

Mais un beau jour, le gourou Hitler tomba et les Allemands se réveillèrent, certes avec un sentiment de culpabilité, mais ils se réveillèrent et comprirent qu’ils avaient marché comme de bêtes moutons.

Mais la comparaison avec les musulmans modérés s’arrête là car leur gourou en second avait tout verrouillé. Il avait décrété que le gourou en chef était de droit divin et qu’il serait impossible de remettre en question ses préceptes.

C’est bien pour cela que je ne crois pas que les musulmans modérés puissent un jour se libérer de leurs dogmes, ils pourront tout au plus essayer de louvoyer dans le carcan qu’on leur a imposé à leur naissance.  Ils oublient que les purs et durs reprendront un jour la main quand leurs coreligionnaires seront majoritaires.  Quant aux rares musulmans qui ont su dénoncer, au péril de leur vie,  leur gourou démoniaque, ils méritent tout notre soutien et notre considération.

Jean-Louis Burtscher

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