Comment les socialistes aident le terrorisme islamique…

De Royal à Hollande en passant par Delanoë et bien d’autre au PS, les contacts socialistes  avec le Hamas palestinien et le Hezbollah Libanais terroriste n’on jamais cessé !

La preuve que les socialistes ont toujours privilégié les musulmans à leurs peuples trop « moisis » !

Avant le 22 juillet 2013 le Hezbollah, « Parti de Dieu » chiite libanais, n’était pas considéré officiellement par EU et la France comme mouvement terroriste, bien qu’il le fût aux Etats-Unis depuis 1997 et dans bien d’autres pays, avec une longue liste d’attentats terroristes à son actif depuis son apparition en 1982.

En octobre 2006 Ségolène Royal échangeait fort aimablement avec l’un de ses représentants à Beyrouth.

Le mois précédent, sans le nommer précisément, Bertrand Delanoë l’avait couvert d’éloges.

Ainsi l’on apprend que le 17 janvier 2014, Emmanuel Bonne, conseiller spécial de François Hollande, rencontrait à Beyrouth en catimini, un haut responsable du mouvement terroriste.

Si ce sont les Américains et les israéliens, qui ont subi le plus gros des attaques terroristes perpétrées par le Hezbollah, la France, elle aussi, a été très largement touchée !

En octobre 1983, 241 marines américains et 56 parachutistes français de la force multinationale étaient tués lors de l’explosion de deux camions piégés devant des casernes des marines et de l’armée française à Beyrouth (Le Drakkar).

En décembre de la même année une attaque contre des soldats français de la FINUL au sud du Liban faisait 10 morts, dont 1 soldat français, et plus de 110 blessés.

En 1985 les diplomates français Marcel Carton et Marcel Fontaine, le journaliste Jean-Paul Kauffmann et le chercheur au CNRS Michel Seurat étaient enlevés. Seurat sera assassiné en 1986, sans que ne soit jamais retrouvé son corps. Cette année-là six autres Français étaient enlevés, dont quatre journalistes d’Antenne 2.

Entre décembre 1985 et septembre 1986 onze attentats perpétrés à Paris faisaient 13 morts et des centaines de blessés. Deux autres attentats étaient heureusement déjoués.

Le Hezbollah a à son actif des centaines de victimes et des milliers de blessés Ce qui lui a valu d’être placé de longue date sur la liste des organisations terroristes des Etats-Unis, du Canada, de l’Australie, de la Grande-Bretagne, du Bahrein et des pays arabes du Golfe Persique.

L’Union européenne attendra donc 30 ans !!!

Jusqu’en juillet 2013 pour ne placer que « la branche armée » du Hezbollah sur sa liste des organisations terroristes, une distinction artificielle rejetée d’ailleurs par les Etats-Unis.

Le 7 mai 2007 Susan E.Rice, alors Ambassadeur des Etats-Unis aux Nations unies, déclarait avec lucidité : « Je vais être très claire : nous ne voyons aucune distinction entre les ailes soi-disant politiques et militaires de ces groupes. Et nous n’aurons pas de contacts avec jusqu’à ce qu’elles déposent les armes, quel que puisse être leur implication au sein du gouvernement libanais ».

Par ailleurs, le responsable des relations internationales du Hezbollah, Ammar Moussaoui, celui-là même que vient de rencontrer en catimini Emmanuel Bonne émissaire de François Hollande à Beyrouth, condamnait alors « avec force la décision européenne de mettre son parti sur liste noire, la considérant comme une insulte au Liban et à son peuple ». Il soulignait que « tout le monde sait que les branches militaires et politique du Hezbollah sont une seule et même chose ».

Fin 2006, déjà, Ségolène Royal, candidate du PS à la présidence de la République, fait une tournée au Proche-Orient, flanquée de l’un de ses directeurs de campagne, le très anti-israélien (pour ne pas dire antisémite) Jean-Louis Bianco. Et à propos d’une grande manifestation du Hezbollah à Beyrouth, dans la foulée de l’assassinat du ministre anti-syrien Pierre Gemayel, elle parle de « moment démocratique », affiche sa volonté de « parler avec tout le monde », et déclare à un député du Hezbollah, qui vient de se lancer à son intention, à une diatribe anti-américaine et anti-israélienne, comparant Israël au nazisme, : « il y a beaucoup de choses que je partage avec vous… »

Confrontée au tollé provoqué par cet épisode navrant, son entourage accusera perfidement, le traducteur, de ne pas lui avoir tout traduit… et donc pas le mot « nazya » entendu cependant par l’ensemble des journalistes présents. Ségolène Royal se fendra d’un communiqué de presse qui condamnera ces propos le lendemain. Mais ajoutera aussi « Personne, personne ne m’empêchera de continuer à dialoguer avec des représentants démocratiquement élus ». (sic)

Quelque temps auparavant, à la mi-septembre 2006, c’est le Maire PS de Paris, Bertrand Delanoë, qui se rendait à Beyrouth pour y dire sa solidarité avec les Libanais, la « souffrance ressentie par Paris », disait-il, « avec les Libanais tout au long de cette crise… »

C’est ainsi que Delanoë évoquait la seconde guerre du Liban, sans dire un mot de ce qui l’avait réellement provoquée et que je vous rappelle ici. Le but de la guerre était d’une part de faire cesser les nombreux tirs de roquettes Katioucha envoyés par les agents du Hezbollah vers les villes du nord d’Israël, où résident près d’un million de personnes ; d’autre part d’affaiblir en profondeur l’organisation terroriste du Hezbollah qui opère à partir du territoire libanais. Et enfin, l’objectif était de libérer les 2 soldats israéliens kidnappés par des hommes du Hezbollah le 12 juillet 2006 au matin.

Annonçant ses rencontres avec « beaucoup d’autorités religieuses de toutes les confessions… » « Des personnalités libanaises représentatives de ce peuple que nous aimons, de sa diversité, de ses engagements », Bertrand Delanoë ajoutait : « il n’est pas possible de repousser un Libanais patriote qui met son peuple, son histoire, son avenir avant toute autre considération quelle que soit sa religion, quel que soit son parti, il est libanais, et c’est pour cela que la France l’aime ».

On ne saurait être plus clair… mais surtout l’on souhaiterait que les socialistes considèrent les patriotes français avec le même respect et le même amour !!!

Peut être faudra-t-il pour cela, que les patriotes se lancent dans le terrorisme et posent quelques bombes au siège du PS ?!!

Aujourd’hui l’on retrouve la même volonté française, sous la présidence de normal 1er, cette fois, de discuter avec « tous les partis politiques » libanais quels qu’ils soient, rapporte le quotidien libanais L’Orient Le Jour (sans faire une ligne d’ailleurs dans la merdiasphére hexagonale) qui relate la visite du « conseiller du président français François Hollande » ayant « rencontré le vendredi 19 janvier 2014 à Beyrouth un responsable du Hezbollah, le mouvement chiite libanais engagé dans les combats en Syrie aux côtés des troupes du régime… » Notant que « il s’agit de la première réunion d’un haut responsable français avec le Hezbollah depuis que la branche militaire du mouvement chiite a été inscrite le 22 juillet 2013 sur la liste de l’Union européenne des organisations terroristes ». Ainsi, et selon, le mouvement terroriste chiite, « Ammar el-Moussaoui, qui dirige les relations internationales du Hezbollah, a rencontré le conseiller du président français François Hollande pour le Moyen-Orient, Emmanuel Bonne, qui était accompagné de l’ambassadeur de France à Beyrouth Patrice Paoli… » Pour discuter des « développements tant au niveau local que régional… »

Le 17 décembre 2013, dans un entretien avec le quotidien libanais The Daily Star, l’ambassadeur de France jugeait « qu’une entente entre l’Iran et l’Arabie Saoudite et un dialogue maintenu avec le Hezbollah, est nécessaire… » Dans un pays décrit comme « allant à la dérive…» Dans un autre entretien début décembre 2013, avec As Safir, cette fois. S’il qualifiait l’intervention du Hezbollah en Syrie « d’erreur », le diplomate en poste au Liban depuis 2012, semblait mettre en doute la justesse de la décision européenne d’inscrire la branche armée du Hezbollah sur sa liste de mouvements terroristes et ajoutait : « la France ne veut rompre aucun lien avec des partis libanais représentatifs… Elle veut dialoguer avec tous. Notre dialogue avec le Hezbollah continue donc avec ses représentants politiques ».

S’il admettait, naïvement, que « l’Iran, en tant qu’Etat, devrait combattre le terrorisme, » (sic) il ajoutait : « le Hezbollah est un parti politique, pas un Etat. La France coopère avec des Etats et des gouvernements. Combattre le terrorisme est la responsabilité du gouvernement, de l’armée et des forces de sécurité libanais… »

Trente milliards de dollars saoudiens, et des contacts maintenus avec le Hezbollah.

Selon Al Balad (journal libanais proche du 14-Mars mouvement anti-syrien) cette rencontre entre le conseiller spécial de François Hollande et un responsable du Hezbollah « a voulu assurer que Paris maintient son rôle de médiateur ainsi que son parrainage de toute éventuelle sortie de crise au Liban et que les relations avec le Hezbollah sont constantes ».

Elle s’inscrit dans ce contexte : le Prince saoudien « Bandar Bin Sultan » s’est rendu, ajoute le quotidien, « en France chargé d’un panier de stimulants économiques qui ont fait venir l’eau à la bouche de François Hollande. Ce dernier n’a pu résister longtemps au charme des 30 milliards de dollars qui ont été proposés par le royaume. Il a donc accepté de jouer avec tact le jeu qui consiste à contenir l’aventurisme saoudien sans toutefois oublier de rassurer les Américains du fait que les intérêts qui lient les deux pays sont purement d’ordre économique. A cet effet, Hollande a tout d’abord levé le veto que la France avait opposé à l’inscription de l’aile militaire du Hezbollah sur la liste UE des organisations terroristes. Quelques jours après la décision européenne, l’administration française a adressé discrètement une invitation au député Ali Fayyad ».

En octobre 2013 le député du Hezbollah était reçu au Quai d’Orsay, (toujours en catimini) pour expliquer son point de vue à l’égard de la décision européenne et pour dire : « que celle-ci n’aura aucun impact sur la volonté de Paris d’être ouvert à l’égard du Hezbollah ».

Quelles qu’aient pu être les raisons ayant conduit à une telle rencontre entre un émissaire de François Hollande et un des dirigeants du Hezbollah, il n’en reste pas moins que l’on constate une volonté constante de dialoguer avec le Hezbollah terroriste, par des personnalités appartenant au PS, volonté qui demeure inchangée en dépit de l’inscription de la branche armée de ce parti sur la liste des mouvements terroristes de l’Union européenne…

Voila comment le PS et le gouvernement salissent la France ! En maintenant des relations contre nature avec les musulmans les plus dégénérés, les plus fanatiques !

Comment le PS et Hollande se compromettent honteusement avec des assassins de civiles français et soldats français !

Pour n’en douter pas une seconde, recevoir le vote des musulmans de France et avec l’affaire Dieudonné convoiter le vote des juifs de France ! Jamais les socialistes français ne reculeront devant les plus bas instincts électoraux !

Les grands oubliés de ces tractations indignes, vous le remarquerez,  sont bien entendu les chrétiens « moisis » de France !

André GALILEO

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