Congrès des imams voulu par Macron: Taqîya mode d’emploi

Le mois du jeûne débutera jeudi 23 mars pour les mahométans. Gloire au prophète, ils peuvent se prévaloir du soutien d’une éminente personnalité. Brichelle a déclaré qu’il avait toujours aimé se faire des jeunes !

À l’approche du ramadan, désormais fête religieuse la plus importante au Francistan, les médias collabos se gargarisent d’une information majeure : l’islam (sans majuscule) réfléchit à l’adaptation de son discours à la France.

Qui sont les personnes visées ?

C’est une adaptation à géométrie variable puisqu’elle ne cible que les « Français musulmans » dont un million sur quatre ne respecteraient pas les « lois de dieu» selon les estimations du Conseil national des Imams, association créée en novembre 2021 à l’initiative de Moussa D et subventionnée par Macronescu.

Les cinq autres millions de « fidèles », de multiples nationalités, déclarés ou clandestins, on évite de trop en parler. Ceux-là sont de bons musulmans. Des pratiquants assidus. Pour beaucoup analphabètes et déracinés. Sous la coupe des religieux. C’est parmi cette population hétéroclite que se recrutent le plus de prêcheurs, de fourriers pour le djihad et d’activistes. Ne pas prononcer le mot « terroriste » c’est une insulte raciste !

L’ennui est que la foi exubérante trop visible de certains contrarie les efforts de normalisation des islamistes qui, pour le moment, essaient de se fondre le plus possible dans la société française sans faire trop de vagues.

Ainsi ce samedi, sidi Chems-Eddine Hafiz, recteur de la Grande mosquée de Paris, a réuni le Conseil national des Imams, pour évaluer les compétences religieuses des imams, calmer les plus excités, et accréditer les religieux exerçant en France. Un pouvoir de police de plus, abandonné par l’État.

Mission : s’implanter, s’incruster, diriger, mais en douceur apparente

Le sidi précité déplore qu’en France, l’islam (sans majuscule) suscite des peurs, des colères et des rejets. À la fois de la part des autochtones, ce qui est normal. Les envahis forcés d’accepter les envahisseurs n’en pensent pas moins… Mais il fustige aussi les réticences de la part d’un quorum non négligeable de gens nés mahométans, ou de culture familiale islamique, qui prennent leurs distances avec cette idéologie dictatoriale déguisée en religion.

Tous ces frondeurs ne sont pas des apostats, loin s’en faut, mais ils prennent des libertés avec un fanatisme médiéval, imposé sous la contrainte, la menace et parfois la violence. Avec une proportion de plus en plus importante de femmes qui veulent vivre libres et fuient donc leur milieu d’origine. Il n’y a pas que des idiotes bâchées à la cervelle récurée par la propagande. Il faut donc « rééduquer » d’urgence ces rebelles. La rééducation des masses indociles ou seulement tièdes, le must de tous les régimes totalitaires.

Pour s’adapter, ils en viennent à moins chanter la gloire de leur prophète. Des Français de souche ont fini par s’intéresser à sa vie édifiante et découvrir son appétence coupable pour les gamines prépubères… Et c’est mal vu chez les Kouffars… Encore une injustice islamophobe, puisque dans le show business, les médias, la haute finance et la politique, on est pédophile sans complexes.

À l’époque où j’étais toléré sur les réseaux asociaux du Nouvel Ordre Mondial, un prédicateur m’avait reproché d’utiliser le mot « mahométan ». Parce qu’il renvoyait à un seul homme. Aussi « parfait » fût-il. Mais il se garda bien de répliquer lorsque j’évoquai la pédophilie avérée de son « beau modèle »… Le lendemain, je ne pouvais plus me connecter. Et en cherchant un peu, je découvris que les Émirats possédaient une participation importante dans le capital de cette société « américaine ».

Le ramadan de gré ou de force, on ne discute pas !

Au point de vue de la santé, physique et mentale, le ramadan est une connerie monumentale qui produit des dégâts irréparables. Et plus encore lorsqu’il est pratiqué dans des pays chauds. Les « savants de l’islam » se réfèrent à des élucubrations vieilles de 1400 ans, proférées par un chamelier analphabète ignorant tout de la physiologie, de l’histologie et de la psychiatrie.

L’hypoglycémie et la déshydratation sont les premiers dommages évidents pour ceux qui subissent cette mortification. Malaises, troubles de l’équilibre et de la vision sont la récompense d’allah (sans majuscule) pour les soumis qui ne mangent pas du lever au coucher du soleil. Affections rénales, hépatiques et urinaires gratifient ceux qui ne boivent pas la moindre goutte de liquide. Puisque les plus pieux sont tenus de cracher ostensiblement leur salive.

Se goinfrer comme des porcs ensuite, pendant la nuit, outre la privation de sommeil préjudiciable à la santé, induit « l’effet yoyo » bien connu de ceux qui ont essayé désespérément de maigrir en adoptant des régimes inadaptés. Perte de poids, reprise, perte à nouveau, reprise encore pire. Les tissus musculaires et osseux de l’organisme en souffrent, et les stress répétés finissent par abîmer aussi les organes internes. Cœur, foie, estomac, intestins, reins.

Quant à l’interdiction des relations sexuelles, surtout chez des êtres jeunes, ça finit par créer des frustrations, puis des obsessions, qui leur dézinguent le ciboulot déjà affaibli par le manque d’eau, de vitamines, de protéines et de glucides. Les substances indispensables au bon fonctionnement des neurones.

La seule objection recevable serait, au regard de la science, qu’un jeûne limité à quelques jours, et sous contrôle médical, contribuerait au nettoyage de l’organisme des toxines accumulées, et à l’élimination des mauvaises graisses. Sauf que les folles agapes nocturnes produisent l’effet exactement inverse.

Il y a des accommodements avec le « ciel »

Boire, manger, fumer, baiser est interdit. Mais pas que… La période du ramadan doit être toute entière dédiée à la prière et à la lecture des textes sacrés. Les mahométans ne doivent pas consulter des écrits et des images ni écouter des sons, incompatibles avec la religion. Mais à part les talibans qui veillent férocement au respect de ces oukases, combien de « croyants » renoncent-ils à regarder un film, une vidéo, une émission télé, lire une BD ou écouter de la musique ?

Il sera difficile d’imposer ça au Francistan, d’où ces commissions de réflexion sur les adaptations ponctuelles de la pratique religieuse… Je subodore que ça se passerait mal dans les « cités » si, comme en Iran ou en Arabie Saoudite, on subissait la bastonnade et les coups de fouet, sur dénonciation de voisins, pour avoir allumé la télé ou le smartphone avant le coucher du soleil.

Pauvres mahométans, ils sont pris entre deux feux

« Depuis au moins vingt ans, dit le recteur (NDLR en fait depuis la guerre d’Algérie !), l’islam est confondu avec les actes de terrorisme perpétrés en son nom et les idéologies politiques qui manipulent cette belle religion » Discours classique des thuriféraires de la RATP (religion d’amour, de tolérance et de paix) pour qui toute critique de leur croyance et de ses dérives est impensable. Ce serait la « fitna » (hérésie) passible de l’égorgement comme l’apostasie.

Selon le sidi, les musulmans français seraient pris dans l’étau de deux radicalités. Entre des « fascistes » qui cherchent à les stigmatiser injustement et des mahométans pieux qui souhaitent que leurs coreligionnaires rejettent la société impie. Et choisissent de vivre leur vie à part. Entre eux. Dans une sorte d’apartheid volontaire dont ils ne manqueront pas de se plaindre ensuite. Sans perdre de vue que l’objectif final est, sinon de convertir tout le monde, du moins d’appliquer la charia à l’ensemble du territoire conquis.

Le sidi, expert en taqîya, déplore que d’année en année il voit augmenter les propos anti musulmans (mais pas les crimes anti kouffars !). Toutefois il affirme que c’est une erreur de discourir contre la France, ses valeurs, ses institutions, et contre la possibilité d’être à la fois français et musulman.

On retrouve là la dichotomie musulmans-islamistes. Illustrée et pratiquée à merveille par le Qatar. Mieux vaut être patients puisqu’ils ont l’éternité devant eux, pour parachever leurs conquêtes. En attendant on s’infiltre partout, en commençant par l’enseignement, les médias, les sports et la culture. On occupe des postes de responsabilités dans la politique, l’administration et la justice. Et on achète tout ce qui peut l’être. Entreprises, banques, politiciens véreux. En leur faisant adopter des lois qui avantagent les « croyants ». La dhimmitude avance à pas feutrés. C’est plus efficace que les mitraillages aveugles et les bombes dans les lieux public.

Derrière les discours lénifiants, perdurent les fondamentaux archaïques

Le comité de réflexion sur l’adaptation du discours islamique à la France réunit des imams, des muftis, des ulémas, des enseignants et de hauts dignitaires. Pour la plupart étrangers, issus des universités islamiques les plus réputées. Parmi celles-ci Al-Azhar en Égypte, dont la mission déclarée est de diffuser le message islamique à tous les peuples, de promouvoir le coran, et d’influencer l’humanité. Là où la conversion par le sabre prend du retard.

Ainsi Shawki Ibrahim Abdel Karim Allam, président de cette « université » obscurantiste et grand mufti d’Égypte n’hésite pas à téléphoner à l’homuncule Macronescu pour lui faire part de ses remontrances. Et le conseiller sur la voie à suivre. Pour ne pas offenser les mahométans. Tout particulièrement avant les élections. Ça doit le consoler de Donald et de Vlad qui lui ont raccroché au nez. Des vrais mecs eux, qui n’ont pas toléré cette ingérence cauteleuse. Même s’ils ont dû en payer le prix fort ensuite.

Christian Navis

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